Un cours particulier ... [PV Emilia Phillips]

Tsukiyo c'était dirigée vers la bibliothèque, elle avait envie de connaitre les grandes Notions des cours, n'ayant eu que des notions de mathématiques approfondie, de rapports physique/chimie de laboratoire du au job de ses parents, elle n'avait presque aucune connaissances en Sciences Naturelle et en Langues vivantes.

Elle avait croisée une prof quelques temps auparavant et lui fit part de son envie de comprendre ce qu'elle n'avait jamais appris et qu'elle aurais voulu des cours particuliers, cette prof nommée Emilia Phillips avait accepté sa demande et avait donnée rendez-vous à la bibliothèque.

*Elle est vraiment gentille de vouloir m'aider, et elle est vraiment belle aussi ... non ne pense pas à sa elle est venu pour me faire apprendre les cours*

Tsu' avait un esprit très ... mouvementé, elle fantasmait beaucoup sur tout ce qu'elle n'avait pas, et elle trouvait qu'elle n'avait pas un aspect physique ravageur et trouvait que Mme Phillips avait un look telle qu'elle aurais aimer avoir. D'aileurs, quand elle pensa ceci, elle vit Mme Phillips avancer vers elle, elle la regarda et se contenta de quelques simple mot.

"Bonjour Madame"

Voyant la jeune demoiselle de ce matin, je ne pus m'empêcher de sourire. Les yeux plongés l'instant précédent dans un énorme bouquin comme je les aimes, je ne l'avais pas remarquée. Plaçant un signet entre les pages jusque-là contemplée, je refermai le passionnant ouvrage et je m'inclinai devant mon élève de la soirée pour la saluer comme il se devait, ici au Japon. Je la regardai ensuite et je lui souris de toutes mes dents blanches comme des perles.

-Bonjour, Tsukiyo-chan. Es-tu prête pour tes leçons particulières avec moi?

Puisque, bien sûr, c'était ce que je lui ai promis, ce matin-même. Je l'emmenai un peu plus loin dans la bibliothèque. Puisque nous étions les seules, autant valait-il mieux que nous en profitions pour commencer au plus vite. J'adorais l'enseignement, c'était bien connu dans l'école. Tous les enseignants parlaient de moi comme un des professeurs des plus passionnés par l'apprentissage de ces adolescents. Voir le regard de certains boire mes paroles comme ils l'auraient fait pour leur breuvage préféré me faisait le plus grand plaisir. Au fond de la bibliothèque, il y avait un grand divan et plein de fauteuils. À ma demande, la bibliothécaire avait accepté de fermer le bâtiment une fois mon élève entrée, nous serons donc bien seules pour tout le temps que nous passeront ensemble. Énergique comme je le suis, je n'ai même pas laissé la demoiselle acquiescer ou refuser mon aide, je l'ai poussée sur le divan et je déposai divers bouquins sur la table basse. Lorsque tout fut là, je lui fis un grand sourire plein de joie et d'énergie.

-On va commencer par la baaaase ^^

Ce sourire la chamboulait un peu, bizarrement quelque chose plaisait  à Tsu', une particularité de Mme Phillips qui l'a laissait sans voix, peut être son engagement pour les élèves qui aime les cours, peut être la détermination pour aimer un travail d'une telle difficulté, ou peut être tout simplement son physique ... Et si c'était les 3?


Quand Mme Phillips lui demanda si elle était prête, elle n'eut même pas le temps de répondre qu'elle se retrouva sur le sofa, une pile de cahier devant elle, et oui n'oublions pas que les cours passe tout d'abords par une connaissances, et existe t'il une plus grande connaissance que celles des livres? Elle regarda sa prof particulière et vit qu'elles étaient seules ... L'esprit de Tsu' bascula subitement dans ses pensées, une prof peut être, mais une belle femme avant tout ...

*Non!!! Je suis là pour apprendre!!!*

Elle se concentra sur l'objet réel de ce rendez-vous et pris un livre en bougeant la tête pour montrer son accord. La base était en effet le plus important, sans la base, le reste n'a aucun sens, elle écouta les paroles de sa belle prof en ne lâchant pas les yeux d'Émilia de son regard.

"J'aimerai tant lui ressembler"

Ses mots lui avait échappé, il n'était pas prononcé si fort pourtant ... Elle ne se rendit pas compte et pensa que ses paroles n'était resté que dans sa tête, et elle était pourtant toujours aussi concentrée sur le cours de Mme Phillips.

L'enseignement était vraiment quelque de formidable. Assise à coté de mon élève de la soirée, les jambes élégamment croisées, je l'aidais à comprendre le français, la matière que j'enseignais le mieux et surtout celle qui me passionnait. Le français était la langue la plus complexe du monde, car il y a des milliards de choses qui donne un bon texte et surtout, tellement de manière d'écrire. Ma main guidant la sienne alors qu'elle faisait un texte en lien avec ce que je venais de lui expliquer. Quand j'enseignais, j'utilisais la même méthode que le faisait une mère pour son enfant; avec beaucoup de patience et un calme à toute épreuve. Je lui enseignais maintenant les différents accord de base, murmurant doucement à son oreille tout ce qu'elle avait à savoir, augmentant lentement mais surement la difficulté de chaque problème. Je l'entendis alors dire qu'elle voulait me ressembler. Je rougis légèrement puis je souris.

-Je n'ai rien de très spécial, tu sais... et d'ailleurs, tu es très jolie toi-même, alors, tu n'as rien à m'envier.

D'une douce main, je caressai sa petite oreille de chat. Les nekos avaient tendance à oublier leurs propres petits charmes. Ces petites oreilles félines, leurs petites queues touffues et leur langue à petits crochets, toutes les femmes et hommes rêvent d'une amante qui a des caractéristiques animales. Je lui souris doucement avant de la serrer subitement et frotter ma joue sur la sienne avec vigueur. J'avais un gros faible pour tout ce qui était mignon, et je ne pouvais m'empêcher de les tenir contre moi comme s'ils étaient des peluches.

-Et en plus, t'es cro-mignoooonne! 

Mme Phillips avait une facilité d'explication qui faisait que Tsu' comprit tout ce qu'elle lui apprenait, que ce soit dans la façon de prononcer, dans la structure des phrases ou même la manière d'écrire, Tsu' se sentait à l'aise, si tout les cours se passerais comme ça elle prendrais un grand plaisir à travailler, parce que contrairement à ce qu'on lui avait dit de l'éducation, que la prof déballait son cours et si t'as pas compris bah tant pis, son cours était tout à fait le contraire.

Après ce sourire et cette réponse, Tsu' se sentit un peu drôle, elle l'avait entendu alors qu'elle pensait que ce n'était que ses pensées et en plus sa réponse était pour elle improbable à entendre un jour, "tu est très jolie", depuis que sa "mutation" avait eu lieu, elle n'avait jamais ré entendu cette phrase, elle était heureuse.

"Merci madame ... Cela me fait vraiment plaisir de vous entendre dire ça"

Elle sentit une main passer sur son oreille, elle n'en revenait pas, elle lui caressait les oreilles que tant de gens ont mit a l'écart, elle fut parcouru d'un grand frisson et sourit à cette femme qui avait mit fin à toute ses peines et qui la serrait contre elle comme un enfant sert son doudou. Collé à Émilia ... Ses pensées s'affolait dans sa tête, ne bougeant pu et sourit quand Mme Phillips lui dit qu'elle était "cro-mignonne".

"Je peux en dire autant sur vous, vous êtes tout simplement magnifique"

Et les études dans tout ça? Quoique, les laisser de coté un instant, c'est une occasion pour avoir d'autres cours comme celui ci et de continuer le programme ... Tsu senti que ses envies allait peut être se concrétiser avec cette jolie jeune femme et approcha son visage de celui d'Émilia, elle ne savait pas comment s'y prendre pour embrasser et la regarda gêné.

"Je ... n'est jamais embrassé de ma vie et j'aimerai apprendre ça aussi ..."

En fin de compte, cela resté du domaine des Langues Vivantes, elle n'a pas totalement viré de ses objectifs en voulant aller plus loin ...

Apparemment, mon compliment l'avait beaucoup touchée. À croire que les gens l'évitaient. Pourtant, les nekos étaient tout simplement désirable, alors, pourquoi serait-elle rejetée? Je trouvais cela bizarre, mais, pour ne pas l'offenser, je ne posai pas de question. Si elle était contente et heureuse, alors tout irait bien. Elle me fit une nouvelle éloge et je ne pus que rougir de plaisir devant cette flatterie. Elle approcha alors son visage du mien et m'avoua qu'elle n'avait jamais, à ma grande stupeur et incrédulité, été embrassée de toute sa vie. En tant que professeur d'Éducation Sexuelle, j'avais le droit d'enseigner théoriquement la sexualité, mais j'aimais aussi faire comprendre par la pratique. Elle voulait apprendre la langue du corps, ça se voyait et mon coté succube le ressentait. Il aurait été dévastateur de me défiler et cela l'aurait mise mal à l'aise, l'empêchant par la suite d'apprendre la matière que je voulais lui enseigner au départ. Avant qu'elle ne s'approche suffisamment pour que nos lèvres ne se touchent, je l'ai doucement renversée sur le divan et je me suis penchée sur elle, effleurant ses lèvres d'un baiser sans pour autant prolonger le contact. Je voyais mon reflet dans ses yeux ainsi qu'une légère lueur dans les miens.

-Je te l'enseignerai volontiers, Tsukiyo.

Doucement, je me penchai sur son cou et l'embrassai sur la gorge en remontant vers ses lèvres, mais je suivis un moment sa mâchoire pour bécoter sa joue avant de redescendre sur sa bouche et y poser la mienne, ouvrant ses lèvres des miennes et enfournant ma langue à l'intérieur pour aller chercher ma buccale cavalière. Je sentis alors les petits crochets de sa langue sur mes nerfs linguaux et cela éveilla davantage cet étrange sensation qui me prenait à chaque fois. Tendrement, je plaçai ses jambes sur le sofa de manière à ce qu'elle soit confortable puis je brisai ce délicieux baiser. Un sourire naquit sur mes lèvres et je passai le bout de mon nez sur le sien. Je n'avais embrassée que deux filles depuis que j'ai approché la sexualité et sincèrement, c'était certainement cela qui me plaisait le plus dans une relation. Ces petites marques d'affection me rendaient gaga et je finissais par me laisser alors aller à mes pulsions, mais je ne voulais pas brusquer la demoiselle qui devait être déjà assez ébranlée par le fait d'être sous moi et que je lui ai fait vivre son premier baiser. SI j'allais trop vite, je savais qu'elle se tendrait et qu'elle se renfermerait ensuite, alors, je pris mon temps. Mon sourire dévoila ensuite mes belles dents blanches alors que je lui léchai doucement le bout du nez.

-Tu as apprécié?

Émilia fit basculer Tsu', elle compris tout de suite qu'elle avait donner son accord en sentant passer ses lèvres sur les siennes, pas de baiser pour l'instant, juste un contact rapide, mais cela devait être un simple signe pour montrer qu'elle approuvais. Et en effet, la phrase suivante confirmait ses pensées, et Tsu' était vraiment aux anges, depuis le début de la leçon elle voulait que la suite des évènements se déroule ainsi, elle allait apprendre à embrasser et cela avec une très jolie femme qui plus est, que demander de plus?

"Je tâcherais d'apprendre au mieux vos techniques, Madame"

Un sourire se décrocha naturellement, Mme Phillips se pencha et commença à lui embrasser le cou en remontant doucement, Tsu' sentait le souffle sur sa gorge et fut submergée par un bien être fou. La belle prof était maintenant arrivée sur les lèvres de la jeune blonde, qui sentit la langue d'Émilia passer sur la sienne, elle essaya de reproduire son mouvement et titilla légèrement avec le bout de la langue celle de Mme Phillips. Elle lui demanda si elle avait apprécié, quelle question !!!

"Oui Madame, et j'ai également compris comment embrasser, c'est exactement comme je le pensait"

Une des mains de Tsu' se baladait dans le dos d'Émilia tandis que l'autre était serrer entre ses deux jambes, elle tentait d'apaiser le feu qui était en elle pour prolonger ce si beau moment, mais elle tenait difficilement en place. Elle embrassa Mme Phillips tout en passant sa main dans la chemise blanche de celle ci, montant doucement sa main dans le dos et gardant son autre main bloqué entre ses jambes. Sa langue était de plus en plus agile au contact de celle de sa prof qui a décidément un talent fou dans les matières linguistiques ...

Mais ses mains l'avait trahi, elle dégrafa le soutient gorge d'Émilia et son autre main était en mouvement au niveau de son entrejambe, la jeunesse est toujours tellement pressé, surtout quand il s'agit de connaitre de nouvelles choses !!!

Cette enfant apprenait incroyablement vite, mais elle était tellement impatiente de passer à l'étape suivante qu'elle n'arrivait pas à profiter de l'extase que conférait la patience, ce tout petit quelque chose qui donnait des résultats délectables et surtout tellement meilleurs. J'ai sentis sa main se balader librement dans mon dos et je ne tentai pas de l'en empêcher. Ce qu'elle croyait certainement être un soutien-gorge était en fait un corset attaché en trois nœuds de cordelette. Le premier était celui qui soutenait ma poitrine, comme l'aurait fait une brassière normale, lui donnant un léger volume tout en la maintenant, le second et le troisième servait à maintenir le tissu qui comprimait mon ventre. Bien que je n'aie pas une once de gras, le corset confortait la plupart des gens. Il était rare qu'une belle personne telle que moi soit brillante, alors, j'ai du m'inventer quelques défauts, comme la fausse tache de vin sur ma hanche et mes lunettes alors que je n'avais aucune imperfection physique ou visuelle. Lorsque sa main se posa entre mes jambes, sur ma culotte, je lui souris et je me mis à l'embrasser doucement sur le nez puis dans le cou.

-Tu es trop empressée, Tsukiyo. Je ne vais pas partir soudainement, alors, prends ton temps. Tu as toute la nuit pour satisfaire tes envies sexuelles et tu dois apprendre à faire un peu languir ton ou ta partenaire.

Juste à sa manière d'agir, j'ai pu deviner qu'elle était vierge, alors, il fallait lui apprendre. Une étincelle maligne illumina mon regard l'espace d'un moment. J'allais peut-être faire l'amour à une vierge et Tsukiyo ne semblait pas être du genre agressive dans sa sexualité... enfin, pas pour le moment . J'ai bien l'intention de lui démonter un peu de mon savoir-faire et aussi de l'orienter de manière à faire plaisir à tout le monde, incluant elle-même. Doucement, je lui enlevai la main de mon entrejambe. Aucune femme n'aimait un tel empressement à cet endroit, qui était considéré comme très important. Trop de vitesse et de brusquerie pourrait lui faire perdre des amantes potentielles ainsi que lui faire une réputation de violeuse, ce qui n'était guère valorisant ni bien vu. Doucement, je me mis à masser sa douce poitrine au travers de ses vêtements, malaxant d'un mouvement circulaire pour maximiser les sensations, et je l'installai plus confortablement sur le bras du sofa, balançant mes livres sur le sol. Sortant de ma culotte et de l'arrière de ma jupe, ma queue se mit à bouger doucement à cause de l'excitation. Du bout de la pointe, elle se glissa sous la jupe de ma nouvelle amie de lit et caressa légèrement l'intérieur de sa cuisse. Ma main libre glissa alors sous sa jupe à moitié et se posa sur sa hanche. Et hop, un autre baiser langoureux pour la petite demoiselle.

-Maintenant, soit douce et calme, tu verras que cela en vaut la chandelle.

Son impatience lui jouerais surement des tours, elle y pensait, mais Mme Phillips se contenta de lui dire de ne pas se précipiter brusquement, qu'elles avaient toute la nuit, cela rassura Tsu' que sa prof comprenne ses erreurs et ses très grosse envies nouvelles pour elle, ses envies qu'elle n'arrivait pas a contrôler, avec cela, Mme Phillips avait du comprendre qu'elle était encore vierge et qu'elle n'avait jamais eu de contact physique avec personne auparavant.

Même pendant un moment si intime, une éducation est toujours utile, Émilia retira la main de la petite neko de son entrejambe d'un mouvement doux, Tsu' se laissa aller et vit sa prof lui masser les seins, cela lui procura une sensation étrange ... Elle se sentait bien, mais son manteau la gênait et elle décida de l'enlever, laissant apparaitre son ensemble en dentelle rouge. Elle sentit la main de Mme Phillips passer sur sa hanche et s'embrassèrent de nouveau avec un long baiser langoureux, elle commençais à y prendre goût et regarda sa belle prof.

"Je me tiendrais tranquille, je suis toute à vous Madame"

Elle était juste en sous vêtement sur le sofa, regardant Mme Phillips en attendant la suite, laissant son empressement de côté, elle savait que cela vaudrais le coup, et puis c'est au prof de décider de la leçon et a l'élève de s'adapter, et puis cette leçon lui plaisait et un élève intéressé ne fait rien et écoute tout dans les moindres détails pour mieux utiliser les connaissances par la suite, et c'est exactement cela qu'elle allait faire ...

Attendant un traitement royal de la part de sa belle prof, Tsu' passa sa main dans les beaux cheveux violet de sa compagne du soir et son autre main contre la poitrine ferme encore couverte par son corset, tâtant doucement le sein et commençant à avoir une envie folle de cette nuit qui sera surement inoubliable. La main dans les cheveux glissa doucement vers le bas du dos d'Émilia et resta posé sur celui-ci, ses lèvres cherchait à nouveau ce contact qu'elle commençais à tant aimer, ce contact si doux et tendre ...

BOn, elle s'était calmée, c'était déjà bien. Je la voyais plus détendue et je savais qu'elle appréciera davantage ce qui allait lui arriver. Je continues à caresser son sein de la main droite puis je l'enlève de là quand ma petite compagne décide de s'attaquer à ma poitrine. UN sourire naquit sur mes lèvres et je pris cette douce main à l'intérieur de ma chemise, la laissant toucher directement à ma peau. J'adore les contacts directs et j'allais profiter de l'innocence sexuelle de ma nouvelle amante pour me satisfaire le plus possible et lui prendre sa virginité. Je trépignais d'impatience à entendre sa mignonne petite voix se confondre en petits cris indécents qui la plongeront dans la plus horrible gêne du monde, mais qu'elle ne pourra réprimer. En bonne perverse, j'avais emmené quelques petits jouets sexuels confisqués justement en prévoyance d'un tel événement. Je souris puis doucement, je pris la place de la jeune fille sur le divan, la faisant monter sur moi à califourchon. De ma voix la plus sensuelle et aguicheuse, détachant lentement mon chemisier qui dévoila mon tatou en forme de papillon, je chuchotai à l'oreille de ma petite Neko du soir, cherchant à éveiller son désir de me satisfaire et de gagner quelque chose en retour.

-Maintenant, caresse mon corps, mais ne descend pas trop vite. Montre-moi que tu te préoccupes de mon plaisir et je m'occuperai du tien en retour. Toutes femmes adorent qu'on les traite en déesse, je ne fais pas obstruction à cette règle. Sers-toi de ta bouche, de tes mains, de tes jambes, de ton corps en entier pour me faire du bien et je t'en donnerai pour ton argent. Il y a des jouets sexuels dans mon sac, tu peux t'en servir

Mon chemisier se sépara, dévoilant le corset de cuir noir, qui épousait ma peau d'une manière provocante, laissant à l'air libre ma généreuse poitrine aux pointes dressées par l'excitation grandissante. Il y avait tout dans ce sac. Un fouet, des cordes, des menottes, des oeufs vibrants et de multiples autres choses. Bah quoi? C'est pas un défaut d'être maso! J'ai bien dit que j'étais ouverte à toutes les sources de plaisir, non? Eh bien la douleur entre dans cette catégorie, même si c'est rare qu'on puisse les apprécier à leur juste valeur. Mes mains allèrent rejoindre les fesses de mon amante et je me mis à les pétrir tendrement, titillant au travers de sa culotte son anus, juste pour lui faire comprendre que c'était moi qui menait le jeu et qu'elle avait fort à faire si elle voulait être la dominante.

Tsu' ne connait rien en expérience sexuelle, ni les sensations sublimes qu'elle aura surement facilement grâce à sa prof' aussi douée. Elle ouvrit d'ailleurs son chemisier laissant apercevoir un magnifique papillon en tatouage, elle lui expliqua d'une jolie voix presque provocatrice d'agir de se préoccuper de son plaisir à elle aussi et ... des jouets?!!!

Elle se pencha pour prendre le sac, un panel énorme de jouets en tout genre, elle prit un œuf vibrant et le passe délicatement sur le ventre d'Émilia, avec son autre main elle caressa doucement le sein droite et passa sa langue du coup en se rapprochant vers ses seins, elle se baissa légèrement pour atteindre son téton et regarda celle qui allait lui apprendre tous ce dont elle aura besoin.

"J'espère que mon manque d'expérience et ma maladresse ne vous dérangerons pas pour avoir ce plaisir que vous avez l'air de tant aimer, ma chère"

Cette phrase était dit sur un ton de Grande dame, répondant légèrement à une envie de domination de sa part? Elle pourrais être dominatrice, mais la concurrence est rude et vu le niveau de sa partenaire et son talent de maitrise, elle aurait surement du mal à dominer une telle femme. Elle commença à lécher le téton de Mme Phillips, à le prendre entre ses lèvres, à le mordiller d'une manière très sensuelle, Tsu' senti les mains de sa compagne sur ses fesses ferme et des doigts titillant son anus, ceci lui procura une étrange sensation, le jeu allait commencer à être fort en émotion d'après ses petites attentions qui faisait tant d'effets ...

L'œuf vibrant passa au niveau de la poitrine de la belle, se retrouvant à la jonction des jolies seins de celle-ci, elle le laissait à cette endroit et passa son doigt tout le long de son bras, remontant jusqu'à l'épaule et continua ses allers-retours doux, levant les yeux de temps à autres pour entrevoir la réaction d'Émilia vis à vis de ses actes qu'elle n'avait jusque là jamais envisagés.

Au moins, si elle n'était pas expérimentée ou perverse, elle avait énormément de talent et de potentiel... à moins d'être une professionnelle de la masturbation en solitaire. Peut-être une masseuse, en même temps, vue qu'elle savait exactement où poser l'oeuf vibrant sur mon corps. Bien sûr, j'avais nettoyé ces jouets, les ayant confisqué pour une année entière. Je caressai doucement sa tête qui s'occupait maintenant de mes seins, cessant d'agacer son anus. Ce qui était plaisant chez les femmes, c'était qu'elles étaient toujours propres, même aux endroits considérés comme les plus sales, tel l'anus, justement. Je m'efforçais de rester neutre à ses caresses, pour la pousser à donner le meilleur d'elle-même, mais sa langue était tellement douce sur mes seins, ses dents me faisaient frissonner et ses yeux... ils étaient magnifiques, tellement beaux que j'aimerais les avoir. Je sentais le plaisir faire monter en moi une vague de chaleur plaisante et agréable.

Pour réduire un peu le temps de contact, j'approchai mon visage du sien et je m'emparai de ses lèvres pour l'embrasser langoureusement, léchant sa langue avec avidité, voir même avec un peu de voracité digne d'une louve. Mon regard se posa sur sa mignonne poitrine, bien formée, bien que petite, mais Tsukiyo-chan n'étant pas très grande, cette taille lui était proportionnelle. Ses tétons étaient dressés et très sensibles, alors, j'allais lui montrer un peu de mon savoir-faire en terme de sado-masochisme. La petite en avait le potentiel, je le sentais en moi. Je m'approchai de ses tétons et je mordis assez fortement pour laisser une marque son auréole. Mes dents enfoncèrent la chair, se heurtant à ses nerfs pour transmette cette douleur si agréable pour moi comme pour elle. Un sourire naquit sur mes lèvres et, me mettant à téter bruyamment et douloureusement, je me mis à la fouetter de ma queue sur ses fesses rondes et douces. Mais je n'avais pas encore fini. Ma main plongea dans mon sac et j'en sortis un petit appareil à électrochocs. Je savais qu'elle allait aimer, j'ai un don pour découvrir les masochistes et elle en était très certainement une.

-On passe maintenant à une étape plus haute de notre nuit. Tu auras peut-être mal, mais je suis sûre que tu vas adorer au plus profond de toi tout ce que tu vas vivre.

Et je me remis à la mordre et à fouetter ses fesses avec ma queue, les faisant rougir de sang, ne frappant que rarement au même endroit, rendant ses fesses de plus en plus sensible, de plus en plus érogène. Chaque coup lui procurerait le plaisir plutôt particulier de la douleur, mais j'avais confiance en son endurance.