La gouvernante. * Clad Oyio *

« Clad nous arrivons dans dix minutes chez toi. Le lycée nous a contactés pour nous prévenir que tu n’allais pas en cours ces dernières semaines, nous allons en parler avec ta mère. » Les parents de Clad étaient dans une voiture de luxe conduite par un chauffeur personnel de la famille, son père était à l’avant et à l’arrière se trouvait sa mère ainsi qu’une femme du nom de Margaux. C’était la nouvelle gouvernante de la famille que son père avait embauchée pour s’occuper de son fils, elle allait devoir faire le ménage, les repas et s’assurer qu’il ne loupe plus les cours pour qu’il puisse réussir son année. S’il avait trop d'absence, le lycée pouvait lui interdire de passer ses examens même s’il avait des bonnes notes le reste de l’année. Margaux devait lui simplifier la vie et le motiver à se rendre au lycée, ses parents après ce grand voyage allaient en profiter pour passer quelques semaines avec lui pour régler les choses avant de le laisser avec la gouvernante.

Margaux était une femme mure très discrète qui avait eu la chance de se faire embaucher dans une grande famille, à l’écoute elle faisait tout ce qu’on lui demandait pour laisser une bonne impression. Dans la voiture à côté de la mère de Clad, Margaux regardait par la fenêtre pour analyser la nouvelle ville dans laquelle elle allait vivre. Le chauffeur gara la voiture dans le parking privé souterrain et tout le monde prit l’ascenseur pour monter au dernier étage où vivait Clad.

Son père ouvrit la porte le premier car il avait le double des clés. « Clad nous sommes là. » Sa voix était ferme, comme un homme qui s’affirmait malgré son âge avancé, la mère était juste derrière moins agressive un sourire sur les lèvres elle était contente de retrouver son fils après tant d'années. Le chauffeur suivait les parents avec les nombreuses valises et Margaux attendait dans le couloir qu’elle puisse rentrer dans l’appartement.

« Clad j’espère que tu es content de nous retrouver. Nous avons quelqu’un à te présenter, c’est ta nouvelle gouvernante qui va prendre soin de toi que nous serons plus là. Avancez, pour vous présenter. » Margaux les mains croisées devant ses cuisses, passe l’encadrement de la porte pour apparaître devant le jeune homme à la coupe iroquoise blonde. « Bonjour jeune maître, je suis Margaux votre gouvernante, vous pouvez me demander ce que vous voulez. » La femme se penche en avant pour le saluer poliment, laissant sa poitrine pendre dans le vide, son col roulé bordeau moulant ne pouvant retenir des seins aussi gros. Elle se redressa pour lui sourire, remettant ses cheveux en place derrière son oreille et se tortillant dans sa jupe en cuir avec un leggings moulant en dessous.

« Margaux est là pour t’aider tous les jours, elle va faire à manger, le ménage et s’assurer que tu sois présent au lycée. S’il y a un problème, je lui ai donné l’ordre de nous contacter directement, ne t’avise pas de nous berner Clad, tu sais qu’il ne faut pas jouer avec moi. » Le père fit signe au chauffeur de déposer les valises dans le salon et de quitter les lieux, ils allaient tous rester là quelques semaines de toute façon. « Tu vas apprendre à faire connaissance avec Margaux et on va s’assurer que tout se passe bien, après nous te laisserons avec elle. Nous allons déposer nos affaires dans la chambre familiale, Clad profites-en pour faire visiter les lieux à ta gouvernante. » Les parents partaient avec leurs valises laissant Margaux avec Clad, sa valise encore au milieu du salon.

« Merci de m’accueillir chez vous jeune maître, j’ai un cadeau pour vous. » Margaux se déplace vers sa valise, ses fesses rondes moulées dans sa jupe en cuir se dandinaient à chaque pas qu’elle faisait dans le salon. Elle ouvrit la valise pour sortir une boîte avec des gâteaux à l’intérieur qu’elle tendit à Clad avec un sourire pas assuré. « Des gâteaux maison à la pomme, j’espère que vous allez les aimer jeune maître. Je pourrais vous faire un glaçage pour mettre dessus c’est encore meilleur. » Margaux espérait faire bonne impression avec son jeune maître.

Clad était en train de dormir lorsque son téléphone sonna. Il était presque dix heures du matin et il aurait dû être en cours depuis au moins deux heures. Malheureusement, il s'était couché très tard la veille et il avait une flemme incroyable et c'est pourquoi il avait décidé de rester chez lui. Une fois de plus, qu'est-ce que ça change ? De toute façon, on ne lui dit jamais rien. Le temps de se réveiller, le téléphone avait déjà arrêté de sonner. Sans le regarder, il commença à se rendormir, mais quelques secondes plus tard, il sonna de nouveau. Cette fois-ci, il tendit le bras sur sa gauche, pour le prendre sur la petite table de nuit et appuya sur le petit bouton vert, puis l'approcha à son oreille. Le moins, que l'on puisse dire, c'est qu'à l'écoute de la voix qui en sortait, Clad fut réveillé d'un coup, il se releva, ses jambes toujours sous sa couette, sa main gauche de libre, en train de lui gratter l'arrière du crâne. C'était son père au bout du fil et il était en train de lui annoncer que lui et sa mère allaient venir vivre chez lui pendant quelques semaines, mais le pire c'est qu'il allait y avoir une gouvernante, apparemment embauchée par ses parents pour qu'elle s'occupe de lui et qu'elle s'assure qu'il aille bien en cours. Quelle plaie ! Une vieille femme, une boniche, franchement papa …

Le jeune homme raccrocha le téléphone et s'empressa d'aller se laver. Ils arrivaient dans dix minutes, il fallait qu'il se lave et fasse un peu de rangement. Une douche expresse plus tard, Clad se mit à ranger le salon et la cuisine. A peine avait-il fini de passer un coup d'éponge sur la table que ses parents entrèrent dans l'appartement. La grosse voix de son père se fit entendre, il sortit de la cuisine et salua ses parents. Il s'attendait surtout à voir une vieille femme de ménage entrer dans l'appartement, mais c'était tout le contraire qu'il avait sous les yeux.

En effet, une ravissante jeune femme, fit son apparition dans l'appartement de Clad. Elle avait de long cheveux blanc/blond, un visage très fin, mais surtout une énorme paire de seins et des cuisses généreuses. Clad resta bouche bée, son sexe se durcit d'un coup, il le sentit alors grandir le long de l'intérieur de sa cuisse. Il n'en croyait pas ses yeux, d'autant que son père confirma qu'elle était là uniquement pour s'occuper de lui. Incroyable. La jeune femme se rapprocha de lui pour le saluer et il put ainsi voir ses seins pendre vers le sol, lorsqu'elle se pencha. C'était terriblement excitant.

"Oui bon … Bonjour ! Enchanté de vous connaître moi aussi !" Dit-il en regardant sa ravissante gouvernante lui tourner le dos.

En plus des seins énormes, il pouvait ainsi constater qu'elle était dotée d'une paire de fesses tout aussi grosse. Mais où diable son père était-il allé la chercher ?! Elle se tourna et lui tendit des gâteaux.

"Ah … Heu … Merci, c'est très gentil … Il ne fallait pas." Dit-il en découvrant la pâtisserie très appétissante qu'elle venait de lui offrir. "Oui, j'ai ce qu'il faut pour le glaçage de toute façon. Merci." Dit-il en sortant du salon pour se diriger vers la cuisine et y déposer les gâteaux.

Il n'en revenait toujours pas, c'est avec les idées un peu chamboulées, qu'il retourna vers la gouvernante et lui fit signe de le suivre, afin de visiter le somptueux appartement qu'il avait hérité de ses parents. Il était si grand, qu'il y avait un étage où pouvait dormir ses parents et avoir tout ce dont ils avaient besoin (salle de bain, wc, bureau, chambres, et même un petit coin cuisine). Clad s'occupa alors de lui montrer tout le rez-de-chaussée. La salle de bain, la grande cuisine. Il en profita pour lui montrer où se trouvaient tous les ustensiles, le frigo, le four, etc. Ils se dirigèrent ensuite vers la salle de bain, le salon, mais ne restèrent pas longtemps étant donné qu'elle en avait déjà fait le tour, la salle de jeux, de cinéma, même le petit terrain de basket, une autre chambre, sûrement celle dans laquelle la gouvernante de Clad dormira, une piscine intérieure, etc.

Presque une heure plus tard, ils avaient fini et revenaient dans le salon. Ses parents étaient toujours en haut et comme il ne savait plus trop quoi lui dire, il lui fit signe de venir dans la cuisine.

"Tu veux peut-être un verre d'eau ? Oui, je te tutoie, j'espère que ça ne te dérange pas." Dit-il en faisant signe à la jeune femme de le suivre. Il prit un verre vide dans un placard et le mit sous le robinet, il l'actionna, mais il avait oublié qu'il était cassé depuis hier, il avait oublié de resserrer la visse à la base du robinet, si bien que de l'eau jailli de cet endroit-là et mouilla les deux individus. Clad et la gouvernante était trempée de la tête au pied.

"Merde, je suis désolé !" Dit-il en essayant d'essuyer son visage avec un torchon qui traînait là.

Il regarda alors la jeune femme à côté de lui et elle aussi était toute mouillée, si bien que son haut moulait encore mieux son énorme paire de seins. Il pouvait ainsi voir à travers ses tétons pointer fièrement. Il n'en fallait pas plus à Clad pour bander de nouveau. À contrecœur, il lui tendit le torchon dont il s'était servi pour s'essuyer.

Margaux était contente que son jeune maître trouve le gâteau à son goût et qu’il avait tout ce qu’il fallait pour faire un glaçage avant la dégustation, c’était une bonne première impression. La gouvernante ne voulait pas que son jeune maître puisse avoir une mauvaise image d’elle, sachant qu’ils allaient devoir passer une grande partie de leur temps ensemble. C’était elle qui allait veiller sur lui quand ses parents ne seront plus là, elle devait apprendre à lui faire les plats qu’il aimait bien pour le motiver et lui donner de l’énergie pour la journée. « J’espère qu’il sera à votre goût. »

Clad se mit à entreprendre la visite de son grand appartement, Margaux le suivait pour mémoriser les multiples lieux de vie, il avait de la chance d’avoir une habitation aussi grande. Même son père avait eu les yeux moins gros, en prenant un endroit plus cosy pour passer du bon temps avec sa femme et la gouvernante… C’est pour ça que Margaux était là, le père de Clad avait un penchant pour les filles plus jeunes avec des belles formes, dans le dos de sa femme il couchait avec Margaux ne s’attendant pas que tout allait basculer très vite avec son fils. La visite dura une bonne heure, Margaux n’était pas avare en commentaire sur la décoration, les meubles, l'habitation en général. Clad avait du goût en matière de décoration et Margaux se sentait bien chez lui.

Ils revenaient tous les deux dans la cuisine après la visite. « Je veux bien, jeune maître, vous pouvez me tutoyer si cela vous fait plaisir. Je n’oserai pas de mon côté. » Margaux, savait que ce n’était pas respectueux en tant que gouvernante de prendre des familiarités avec son jeune maître, elle devait rester professionnelle même s’il se montrait sympathique. La gouvernante s’approcha du robinet quand Clad l’actionna pour faire apparaître une fontaine dans la cuisine. « Jeune maître il faut l’éteindre. » Cria la gouvernante en agitant ses mains pour essayer d’éteindre le robinet qui venait de les tremper.

Il y avait de l’eau partout, les deux étaient trempés de la tête aux pieds et le sol de la cuisine, Margaux avait déjà du travail à faire. « Ne vous inquiétez pas jeune maître ça arrive à tout le monde, je me chargerais de réparer la visse pour que ça n’arrive plus. » Dit-elle pour le rassurer en prenant le torchon qu’il venait de lui tendre pour le passer sur son visage. « Merci, vous êtes gentil. » Elle regarde son jeune maître qui était trempé et elle ce n’était pas mieux, ses vêtements collaient à sa peau. « Vous devriez aller vous changer, vous allez attraper la mort, je vais m’occuper de tout nettoyer. » Margaux ne pouvait pas aller se changer, elle devait nettoyer ça pouvait être dangereux si quelqu’un venait à glisser dans l’eau. 

« Je vais éponger avant que vos parents voient ça. » Margaux dans sa tenue collante qui moulait chacune de ses formes se pencha pour chercher du sopalin dans le placard sous l’évier affichant son gros postérieur à la vue de son jeune maître marquant la raie de ses fesses sous sa jupe. « Je devrais aller vite. » Elle s’écarta pour éviter de marcher dans l’eau et en mettre encore plus partout, la gouvernante fit un grand pas en avant pour enjamber l’eau. Son pied humide se mit à glisser sur le sol, on entendit un vêtement se déchirer et Margaux tomba dans la flaque.

À plat ventre elle affichait son legging troué à la vue de son jeune maître, le trou était juste entre ses jambes laissant sa fente rose s’ouvrir malgré elle, dévoilant qu’elle ne portait pas de culotte. « Je suis une gourde. » S’exclama Margaux en se redressant pour se mettre sur les fesses écartant ses jambes sans savoir qu’elle avait un trou dans son bas.