Akita écarte d’autorité les jambes de son amante et glisse quatre de ses doigts dans l’intimité brûlante et inondée, répandant encore plus d’aphrodisiaque. Les doigts s’allongent dans le vagin inondé, ils progressent jusqu’à l’entrée de l’utérus de Sue. Les doigts, précis, caressent avec vigueur les parois intimes de la jeune femme au teint hâlé sans laisser une parcelle intouchée. La dame-plante se permet même de caresser l’entrée de son utérus, plus par curiosité que pour donner du plaisir. Un pouce caresse lentement le clitoris, jouant avec. Akita, au plus profond de son être, sent que cet être de chair n’est pas aussi humain que les autres qu’elle a croisé par le passé. La verte créature décide donc d’user de son corps végétal comme bon lui semblera. Elle se laisse embrasse, prolongeant le baiser, sans que son amante ne se doute qu’elle ingère ainsi de grandes quantités d’aphrodisiaques. Le baiser est finalement et Akita s’échappe de l’étreinte des mains de la jeune femme. Ses lèvres descendent alors dans la nuque, puis le long de l’échine et dépose des baisers sur ses jolies fesses.
Sa langue passe lentement sur l’intimité, caressant chacun des pétales de sa fleur, appréciant leurs formes. Akita les dessine du bout de sa langue, s’amusant avec, prenant bien son temps. Elle fait de même avec le clitoris, mais s’amuse un peu plus longtemps avec lui, la caresser du bout de sa langue, parcourant toute sa surface. Suffisamment amusée, la dame-plante daigne enfin glisser sa langue dans l’antre brûlante et inondée de la jeune femme. La langue s’allonge lentement rejoignant l’extrémité de la grotte, jusqu’à l’entrée de la grotte d’amour. Elle grossit légèrement, danse dans les chairs intimes. La bouche se soude au sexe féminine et Akita butine la jeune femme, comme un papillon butine une fleur, se régalant de son nectar de plaisir, ne laissant rien du précieux liquide s’échapper. Les mains vertes caressent, massent les fesses de l’amante brûlante. Repue, la femme-plante retire lentement sa langue de l’intimité et ses minas du postérieure Elle se relève.
"-Akita veut aussi du plaisir."
Le corps végétal s’appuie de nouveau contre celui de la jeune femme. Sa poitrine s’écrase contre le dos, les fesses sont appuyées par le bas-ventre. Malgré la présence d’un sexe féminin, un membre viril se met à pousser et pénètre lentement dans le sexe bouillant et moite. Alors que le sexe masculin atteint une taille bien supérieure à celle que tout humain pourrait posséder, les hanches commencent à faire de lents mais puissants mouvements de va et vient. Deux mains fermes viennent tenir les hanches mâtes. Deux autres mains viennent se saisir des seins volumineux, leurs doigts s’allongeant pour se saisir d’eux et les masser malgré leur taille. La paume des mains se dote de stomates. Bien que ces orifices, servant aux plantes pour respirer et suer, soient minuscules, chacun de ceux présents dans les paumes sont bien plus grands, si grands qu’ils viennent aspirer les tétons dressés. Les lèvres se posent dans le cou, tandis qu’une vrille modifiée vient aspirer le bouton d’amour de l’amante et une autre vient jouer entre les fesses brunes, venant jouer et insister sur l’orifice, le pénétrant même durant l’étreinte. Le membre enfle, tandis que le plaisir et la semence montent. Les mouvement des hanches sont de plus en plus rapides, de plus en plus forts. Et finalement, le plaisir d’Akita explose dans un cri de jouissance, sa semence inonde l’utérus et le vagin, se répande sur les cuisses. Mais les mouvements ne s’arrêtent pas pour autant. Désirant faire durer le plaisir, elle continue son étreinte, pour partager tout sa semence dans cette étreinte aquatique. Lorsque la dernier goutte de la semence la quitter, elle libère la poitrine, les hanches, le bouton d’amour et l’œillet brun. Mais son membre reste glissé dans le corps féminin, laissant le soin à sa propriétaire de s’en défaire. La femme-plante ne montre nulle trace de fatigue, mais un sourire satisfait.