- Voilà comment moi j'arrête les petites putes arrogantes comme elle, messieurs!
C'est à fond dans le jeu et dans le bel effet de surprise que j'ai fait en arrivant, que la chérie en manque s'écroule et n'est plus que prise que par des spasmes. Sans n'avoir rien pu faire. Sans qu'elle n'ait eut le temps de réussir à lever le moindre petit doigt, malgré que j'étais d'accord pour penser qu'elle aurait largement pu mettre n'importe lequel de ces ivrognes au sol, pris séparément. Les vieillards et les autres poivrots se mettent alors à crier. Certains me touchent avec leurs sales grosses pattes, en me prenant presque pour leur nouveau héros. C'était bizarre pour moi d'être là, avec ces sales types... Mais tant mieux pour la suite. Mais dans une autre situation, j'aurais laissé ces idiots se démerder tout seuls. Ils peuvent aller crever... Bref l'aubergiste me remercie, en utilisant un vocabulaire que j'ai du mal à bien comprendre, mais que j'en avais que faire. Maintenant que j'étais intervenu et que j'avais défendu la pire crapule de la société, je demande mon dut, sans attendre une seule seconde de plus. Le type me donne alors la clé de l'une de ses chambres moisies et il demande à deux de ses clients de porter la fille, pour l'emmener là où elle doit finir pour la délicieuse suite qui nous attend tous les deux. Pendant que je monte avec ces connards qui tiennent à peine debout, je veille à ce que ces idiots ne lui fassent pas accidentellement mal.
- Soyez sympa de faire attention, s'il vous plait. La marchandise reste précieuse. C'est pas parce que je vais baiser une salope comme elle, que je ne la veux pas en bon état.
Les deux types franchement répugnants à voir se mettent à parler fort, utilisant les mêmes mots parfois étranges et indéchiffrables pour moi, que les autres en bas. Lorsqu'ils la posent sur le lit de la chambre, ils me regardent un instant avec une insistance assez désagréable, avant de rire comme des énergumènes. Comme ils exprimaient l'envie de vouloir se taper la fille, si ils n'avaient pas quelques idées sur moi aussi, je les menace tranquillement avec mon arme, en réponse.
- Et c'est pas la peine d'espérer quoique ce soit avec elle et encore moins avec moi. Si vous voulez vous la faire, vous attendrez votre tour qui ne sera pas avant demain matin. Maintenant virez du plancher.
Ils hésitent encore et ils m'insultent, avant que je les menace avec le même objet, que celui que j'avais utilisé sur la fille. Les deux crétins, qui semblent enfin arriver à comprendre où se trouve leur intérêt, s'en vont enfin.
- C'est dingue comme il faut parfois se donner un sacré mal, juste pour pouvoir baiser tranquillement. Pas vrai ma petite chienne?
Je regarde la fille toujours inconsciente et qui va être mon jouet de la soirée. Même si je ne savais rien d'elle, je remarque assez vite qu'elle avait l'air d'être particulière. Mais bien qu'elle semblait être de la même race que moi, je doutais vraiment qu'elle vienne du même endroit que le mien. Quant à savoir quel était justement celui-ci, je l'apprendrais bien assez tôt. Mais avant tout ça...
- D'abord me vider les couilles avec toi, chérie! J'ai une envie de fou!
Tout en observant mon trophée, que j'ai dus durement défendre pour me l'approprier, j'attrape ses vêtements que j'arrache sans attendre. Pour ses sous-vêtements, ça va encore plus vite. Et lorsque je la vois enfin toute à poil devant moi, je me touche la queue, qui commence déjà me faire bien mal.
- Putain! Quelle bonasse t'es! Heureusement que je vais te passer dessus, avant toutes ces crapules qui puent l'alcool et la gerbe!
Malgré mon envie de la baiser et de lui mettre ma bite à l'intérieur de tous ses trous, je la regarde encore un petit instant. Elle avait des cicatrices sur le corps et d'étranges tatouages. L'idée de me dire que j'étais tombé sur une fille vraiment spéciale et qui n'était peut-être pas tant que ça n'importe qui, m'excitait encore plus! On peut dire ce qu'on veut, je crois que je viens de décrocher le gros lot de la soirée.
- Miam! Et en plus, t'as des putain de nibards, ma belle! C'est pas les plus gros que j'ai vu, mais ils donnent envie!
J'attrape fermement un de ses seins bien chauds, pour bien le presser et l'avoir dans ma main encore toute froide, qui contraste avec la douce chaleur qui en émane. Je le relâche ensuite, après avoir regardé bien vicieusement ma nouvelle poupée sexuelle à baiser, avant d'aller chercher des cordes. Vu ce qu'elle était, je n'avais pas besoin d'être un grand savant, pour me dire qu'elle n'allait peut-être pas se laisser faire. Surtout au début. Et comme nous étions d'un gabarit à peu près similaires, il valait donc mieux que je me méfie. Par chance, je trouve très vite des vieilles cordes mal planquées, qui trainaient juste au-dessus des armoires aussi branlantes que le reste. Apparemment, il devait de temps en temps y avoir un sacré petit défilé, pour venir violer des filles comme elle par ici. Je souris en imaginant toutes les scènes de viols, si bien sûr ce sont vraiment des viols pour toutes ces putes en manque de bites, avant de commencer à attacher ma jolie belle au bois dormant, aux cheveux noirs teintés de bleus et aux poils pubiens, curieusement mélangés par ces deux même étranges couleurs. J'avais bien sûr de quoi l'attacher personnellement avec mes objets, mais je trouvais ça plus marrant d'essayer de m'imprégner de l'ambiance. Je lève ainsi ses bras bien au-dessus de sa tête, avant de me saisir de l'un d'eux pour l'attacher bien comme il faut au sommet du lit, avant de faire pareil avec son autre bras. Comme je ne voulais pas ou au moins au début, que la vilaine essaie de jouer avec ses jambes, je fais donc exactement la même chose avec ces derniers.
- Et voilà! Te voilà maintenant bien attachée et prête à servir de pompe à foutre, ma chérie!
Bien attachée en forme de croix, je me fous à mon tour à poil. Quand je suis bien à mes aises, avec ma tige qui n'attend plus que de se planter dans sa chatte, je retourne vers elle et je la gifle suffisamment fort, pour qu'elle se réveille.
- Allez réveille-toi! C'est l'heure de jouer avec moi, petite coquine!
Elle gémit d'abord, avant d'essayer de bouger. Quand la salope reprend correctement conscience, elle redresse un instant la tête avant de soupirer. J'arrive ensuite à quatre pattes, juste au-dessus d'elle, la queue pas loin de sa belle chatte, qui ne doit déjà n'attendre que ça. Puis je me rapproche de son joli minois et j'embrasse son cou. Je le lèche jusqu'à l'oreille, avant de la regarder de très près, tout en souriant à ma nouvelle conquête qui me voit enfin.
- Coucou. Tu te souviens de moi? C'est moi qui est venu pour te sauver, tout à l'heure... Grâce à moi, j'ai empêché toutes cette bandes de crapules dégueulasses de te sauter dessus, pour te fourrer leurs grosse queues toutes pourries partout. Enfin, je n'ai jamais dit que ça n'allait pas t'arriver, mais je passais juste dans les parages complètement par hasard, quand j'ai vu que t'étais un peu dans la merde. Alors comme le tavernier proposait à celui qui te mettrait une bonne raclée de te baiser, en offrant une de ses chambres pourries pour la nuit, j'ai pas pu résister à l'offre. Tu comprends, j'ai beaucoup de besoins avec des filles comme toi et franchement dès que je t'ai vu, j'ai su qu'il fallait que tu goûtes aussi à ma bite. Je suis sympa non?
Je me recule et je me redresse, tout en décalottant mon gland. Avec l'odeur très excitante de ma bite qui arrive jusqu'à mes narines, je m'amuse plusieurs fois à venir la frotter, sur sa belle chatte.
- Je vais jouer avec toi et te faire grimper au plafond, jusqu'à ce que tu sois épuisée! T'as qu'un seul mot magique à dire, pour que je la rentre directement à l'intérieur de ta chatte de vilaine fille, qui a dut s'en prendre un sacré petit paquet avant la mienne.
Je continue de toucher sa chatte avec mon gland, tout tapotant dessus et en me branlant de temps en temps. J'étais déjà super excité, rien qu'à l'idée d'entendre cette pute couiner pour moi.