C'est vrai que le terme inspecteur donnait une importance à celui qui portait ce titre: inspecteur de police, inspecteur des impôts, inspecteur de ... mon cul.
"Ryo, je m'appelle Ryo. Je trouve que ça matche bien avec Cora."Le grand flic se dit qu'il se débrouillait assez bien à jouer le rôle du policier sympa. Bon, après la séance de baise qu'il venait de vivre, même lui pouvait avoir des pensées positives. D'autant plus que l'objet de son plaisir s'accrochait à lui comme une sangsue affamée. Cora était une bonne vraie salope nymphomane comme il en avait rarement rencontrée. Les putes et autres bonnes femmes, qui n'avaient comme utilité que de le purger, gueulaient souvent, mais jamais de plaisir. Cora l'avait avalé comme s'il avait un chibre de politicien, une 'tite bite quoi. Il n'en était pas vexé mais juste étonné. La jeune femme, hormis ses nibards de dingue, n'était pas épaisse, bien foutue mais pas pouliche. Elle avait dû se former à chevaucher des kilomètres de queues dans son pays ...
Sur ses pensées philosophiques, il l'emmena à travers les rues sales du quartier de la Toussaint vers son antre. Ils marchèrent assez rapidement et chaque ondée qui passait, ils trouvaient refuge qui sous un porche, qui sous un abri bus. Chaque occasion était bonne pour se peloter, se frotter l'un à l'autre et continuer de manière plus soft ce qu'ils avaient si bien commencé. Dans la ruelle, Ryo n'avait qu'à peine profité, juste avec les yeux en fait, de ce que représentait la poitrine de Cora. Quand sous la lumière blafarde d'un lampadaire, elle jaillit devant lui alors qu'il malmenait le corset, le grand flic Ryo, la terreur des rues, en resta abasourdi. Ca! Chez une fille normale, même pas actrice X! Ca relevait du miracle. Il la pétrit de ses gros doigts, sans douceur, écrasant ces mamelles l'une contre l'autre.
"C'est pas possible! Rappelle moi d'y glisser ma queue!"Sale pute, t'es qu'une trainée de caniveau bonne à pomper du foutre! c'est ce qu'il aurait dit ... mais non. Quand ils repartirent, seuls sur le trottoir, le corset était toujours défait et un bras par dessus les épaules de Cora, il lui serrait un sein comme on serre une poire de lavement.
Marcher lui permettait de réfléchir, il avait prévenu Cora que le quartier à cette heure ci craignait vraiment, et en plus d'observer les alentours, il pensait à la suite. La suite d'après, la suite des jours à venir. Boss Takeda voulait une nouvelle pute occidentale et Cora en valait dix. Un coup d'œil bref à l'américaine et sa trique revint à la vue de la poitrine tressautant. Ouais, au moins dix. Elle durerait peut être un an, voire un peu plus si les yakuzas la préservait un peu. Elle leur rapporterait une petite fortune et finirait dans l'acide. et il faudrait recommencer.
Putain, mais quelle chaleur elle dégage! Cora est collée à lui, se dandine, l'allume. L'alcool c'est bien, l'ecstasy c'est mieux. Non Ryo, déconne pas! Y'a le business qui prime, le reste ca compte pas. Est-ce qu'elle suce bien? Parce que là, il l'a baisé mais si elle prend l'initiative, ça donne quoi? Il se doute de la réponse. Salope! Stop Ryo, t'y penses pas en fait. Ben si j'y pense et je sais déjà que j'vais merder.
A la Toussaint, quand tu trouves un diamant dans la rue, tu le gardes pour toi. Ryo réfléchit à cent à l'heure, répond en souriant à Cora, lui indique qu'ils ne sont pas loin. Il va se le garder ce petit morceau de vice incarné chienne. Rien que pour lui, enfin presque. La location, ca existe aussi. Et puis avoir en réserve une paire de loches pareille pour ouvrir les portes, c'est utile.
Cora vient de se trouver un copain à Seikusu, elle en a de la chance. Elle ne devrait pas lui coûter bien cher. Du fric, il en a. Du tout pourri, du bien moisi, des biens aussi, à l'image de son loft qu'il a récupéré il y a maintenant 2 ans à un gros dealer récalcitrant. c'était pas un arrangement, le mec dort toujours six pieds sous terre à la cave. Faudra se débarrasser du corps un jour quand même.
"On arrive, c'est là!"Il désigne du doigt un immeuble en brique style Chicago années 70. Y'en a quelques uns comme ça dans le quartier, occupés par des mecs qu'on a pas envie d'emmerder. Son loft occupe la totalité de ce qui était les deux derniers étages. Bien foutu, cossu, ordonnancé, propre, la femme de ménage était passée le matin même et l'ancien proprio avait bon goût.
Ryo tape le code d'entrée et entraine Cora dans le hall. De douces lumières s'allument automatiquement. Il y fait bon après la fraicheur de l'extérieur. L'appel du cul.
Ryo plaque sa compagne au lambris onéreux qui tapisse les murs. Fini le petit couple qui marche amoureusement sous la pluie. On arrête les conneries et on re-mélange les cartes. Il lui malaxe les seins qu'il arrive presque à couvrir de ses paluches. Vicieusement, il lui agace les tétons avant d'ancrer ses doigts dans la chair molle pour y laisser leurs marques.
"J'ai vraiment envie de vérifier à quel point t'es pas fragile ... et si tu me regardes encore avec cet air là, je crois que je te viole la bouche."Il se frotte à elle. Sans être athlétique, elle est sculpturale, belle et foutrement bandante. Les mains de Ryo libèrent ces seins dantesques pour suivre la courbe des épaules, remonter le long de son visage et saisirent ses cheveux qu'elles maltraitent.
"J'ai envie de t' baiser les seins."Il tire les cheveux pour lui faire incliner la tête avant de la redresser et de lui lécher les lèvres.
"J'ai entendu dire que les américaines sucent comme des déesses ..." C'est susurré à son oreille avant qu'il y glisse sa langue.
"J'ai envie de te casser le cul. Tu veux me sentir ravager ton fion?"Sa pression sur le corps de Cora est totale.
"Je veux te remplir à nouveau et me purger en toi."Sa grosse queue qui palpite contre le ventre de Cora rend acte.
A ce moment, un "clac" annonce l'ouverture du sas de l'entrée. Un asiatique costaud en sort, bien foutu dans un costume blanc. Kio, le yakuza du premier.
"Salut Ryo! T'évites d'en foutre partout dans le hall, l'entretien coûte une fortune. Tu serais sympa..."Aussitôt dit, aussitôt parti en quittant l'immeuble.
"Putain!"En rut, Ryo tire Cora plus loin, appelle l'ascenseur privé, y enfonce sa clé, et roule une galoche monstrueuse, baveuse à souhait, à sa bimbo tandis que l'ascenseur s'élève. 10 secondes de montée, la grille s'ouvre et ils déboulent dans le salon du policier.
L'antre de la Bête.