Kirino avait faim et elle n'avait pas le moindre sous sur elle. Elle bavait presque devant les personnes qui avaient de la nourriture, mais elle se contenta de les voir passer, elle resta dans un coin, sentant ces chaines doré et entendant de temps à autre le cliquetis de ces chose qu'elle avait depuis toujours. Elle ne fit rien et personne ne tenta de la prendre, il faut dire qu'après une année passée dans la rue, ces vêtements sentaient la sueur de très loin et donc faisait office de protection contre ceux qui voudraient profiter d'elle .
Une heure passa, puis deux, l'humaine comptait les heures qui continuaient de défiler sans s'arrêter. Une voix demanda à tous le monde de partir, ne voulant pas causer d'ennui, elle partie aussi, avec sa faim qui était devenue insupportable. Une fois les grilles fermée, elle fit comme à son habitude, elle grimpa sur une gouttière et passa par le conduit d'aération, tout en sachant pertinemment qu'un jour elle risquait de mourir d'asphyxie, mais c'était ça ou crever de faim, aussi elle finit par trouver une grille qui n'était pas bien vissée et donne un coup de talon.
il faut dire que la demoiselle n'était guère bien vêtue, une robe en charpie, et une culotte sale mais entière. Kiniro tomba sur ces jambe et le haut, suivant la force centrifuge, percuta le sol, faisant apparaitre une bosse sur son front. Elle se dirigea vers les magasins alimentaire et commença à fouiller les poubelles, cela faisait un an qu'elle avait apprit à manger ce que les humains jetaient, au début cela la rendait malade, mais à force sont corps c'était habitué à manger des saletés. Elle trouva une bouteille d'eau à moitié vide et un sandwich où il ne restait que le pain, mais cela était déjà un festin pour Kiniro.
L'humaine s'assit sur un banc et s'empiffra de ce qu'elle avait trouvée, quelqu'un de normal n'aurait pas touché à ce qui trainerait dans une poubelle et encore moins aurait mangé ce qui y trainait, mais pour Kiniro c'était ça ou mourir et elle préférait vivre, même si c'était dans deux heure tomber sur des voyous qui profiterait d'elle, pour la laisser dans la rue après. une fois repus de ce maigre repas, elle s'allongea et ferma les yeux deux secondes, c'était sont moment de détente, elle reposait sont corps avant de tomber sur des violeur et autres personnes qui se serait faite l'humaine. elle sentait le contact de ces chaines divines sur sa peau la faisant frissonner.
Elle ne remarqua pas que quelqu'un avait assisté à toute la scène et à vrais dire elle s'en fichait un peu, tant que personne ne voudrait la violer pendant qu'elle se détendait, si la personne en voulait à son corps, il devra attendre un peu.