La magie était une chose terrible, a fortiori quand elle était manipulée par un individu aussi instable que Minase, quelqu’un qui n’avait pas hésité à l’utiliser pour manipuler cette femme. Le sortilège avait été d’une efficacité terrible, mais, tout en manipulant Minase, il avait aussi été manipulé lui-même. Avant cette soirée, il n’aurait jamais imaginé pouvoir prostituer Risa, mais, maintenant... Ses pensées étaient particulièrement confuses, d’autant qu’il n’arrivait pas à se fatiguer. La magie pulsait furieusement en lui, et, même là, après toute une nuit à baiser sa femme, il était encore excité. Sa queue avait dégonflé, bien sûr, et il respirait lourdement. Minase suait même abondamment, avec des plaques rouges sur tout son corps. Il avait tellement encore envie de la baiser, sans arrêt, sans relâche. En théorie, il aurait dû commencer à se préparer pour aller au lycée, mais... Minase n’avait qu’une envie, en ce moment, c’était de l’embrasser, de sentir encore sa peau satinée, de se frotter contre elle, et de la pénétrer longuement. Encore et encore... Comme une spirale de sexe, une tornade sans relâche.
« Oh, Risa-san, tu sens si bon... »
Et il sentait contre son sexe ses fesses, son délicieux cul qui se frottait à lui. D’ores et déjà, Minase continuait à fantasmer, sur le fait de la prostituer, mais aussi de l’utiliser pour capturer d’autres de ses amies, et pour l’aider à les soumettre, à les asservir, à en faire ses esclaves, quitte à réutiliser le sortilège qu’il avait utilisé... Mais, pour l’heure, ses pensées naviguèrent à nouveau vers son corps, et notamment vers sa croupe. Minase sourit doucement en voyant la jeune femme frotter ses fesses contre son pénis, réveillant ce dernier. De plus, elle soupira son nom, avec cette petite voix mielleuse et tendre qui le faisait craquer.
Soupirant lentement, Minase se redressa alors, sa queue se redressant, enflant et tapant contre la croupe de la femme.
« Mets-toi en position, ma chérie... À quatre pattes, que je te baise fort ! »
Et, tandis qu’elle obtempérait, Minase se déplaça, et récupéra un objet qui traînait à proximité, un collier en cuir équipé d’une laisse, normalement destiné aux chiens... Mais qui trouverait tout à fait son utilité ici. Et, tandis que Risa se dé&plaçait également, pour s’installer au milieu du lit, Minase se pencha vers elle, et lui enfila le collier autour du cou.
« Voilà... Il faudra ensuite un pendentif à ton nom pour bien marquer ton appartenance, mais... Pour l’heure, c’est parfait. Une chienne doit avoir son collier, non ? »
Il lui mit donc l’objet, et le serra à hauteur de sa nuque, puis attrapa le bout de la laisse, non sans jeter un nouveau regard sur l’impressionnante chute de reins de Risa. Avec sa belle chevelure blonde bouclée, elle avait tout de la magnifique noble. De quoi exciter davantage Minase, qui commençait à avoir de nouveau assez mal à hauteur de son membre. Son vit tapait contre les fesses de la femme, gonflant tant sous l’effet d’une excitation bien naturelle que de la magie, qui continuait à pulser dans sa poitrine. Impossible de se défaire de cette sensation, de cette présence qui remuait en lui. Une sorte d’appel irrésistible, de prégnance qui l’envahissait.
Minase se retrouva à nouveau derrière elle, et serra d’une main le bout de la laisse de Risa. Avec son autre main, il caressa son cul, malaxant ses fesses pendant quelques secondes... Puis un sourire malicieux et mesquin traversa ses lèvres. Ensuite, sa main se redressa, et gifla sèchement le postérieur de la femme. Une première gifle, qui s’en accompagna rapidement d’une seconde. Il n’avait aucune raison particulière de la gifler, aucun motif pour la punir, si ce n’est cette perversion qui croissait en lui, et qui montait dans son corps, s’accompagnant d’une certaine forme d’ivresse. Oui, là, en ce moment, tout lui semblait possible, tout lui semblait accessible, surtout de baiser cette femme, de la soumettre, et de la battre.
« Je vais t’enculer, ma salope... Te baiser comme une grosse chienne ! Et, comme c’est ce que tu es, quand ma queue s’enfoncera dans ton cul, je veux que tu fasses deux choses... Que tu aboies, et que tu... T’insultes ! »
Minase accompagna cet ordre de claques supplémentaires, puis, quand il estima que sa queue était désormais prête, s’arrêta. Il ne la pénétra pas encore, mais se pencha plutôt vers ses fesses, et les embrassa avec sa bouche, avant de les mordiller, serrant entre ses dents les morceaux de chair, mordant ce délicieux cul rebondi à plusieurs reprises. Ce ne fut qu’ensuite qu’il posa sa main sur la base de sa queue, et l’approcha de son fondement.
Sans doute aurait-il dû la préparer un peu, mais, après tout... Elle était sa chienne, et ils baisaient depuis longtemps.
Son vit tapa donc contre la porte arrière de Risa, avant de s’y enfoncer, sans ménagement, mais au contraire avec brutalité et ténacité, tandis que son autre main attrapa de nouveau la laisse. Il tira dessus sèchement, soulevant le haut du corps de sa femme, et l’étranglant à moitié au passage.
Ce serait une sodomie brutale, car c’était ce qu’il voulait... Et elle aussi, par voie de conséquence !