Avec Maria, il fallait clairement s’attendre à une vie assez sulfureuse, et très intense. Comme Genji était bien placé pour le savoir, la jeune femme était une incorrigible perverse. Une redoutable nymphomane qui aurait sans aucun doute pu poursuivre ses études, et avoir une vie bien rangée. Mais Maria avait terminé ses études prématurément, s’était dotée d’un pseudonyme, et, depuis lors, avait obtenu l’autorisation du lycée pour être une prostituée locale, tant qu’elle tâchait de rester « discrète ». L’administration du lycée estimait que tempérer les ardeurs sexuelles des élèves était un excellent moyen de les faire bien travailler. C’était l’approche choisie par Mishima, et celle-ci marchait plutôt bien. Le lycée, malgré sa réputation sulfureuse, avait d’excellents résultats, mais en serait-il toujours le cas après trois mois de sexe intense avec une femme comme Maria ? Le pire était à craindre ! Genji était bien placé pour savoir que cette femme avait un insatiable appétit, et qu’elle ne ferait rien pour se calmer pendant ces trois mois ! Fort heureusement, Maria savait aussi, même si elle ne le lui dirait jamais clairement, que Genji était son client le plus pervers, le plus gourmand. C’était aussi pour ça qu’elle avait accepté d’être sa partenaire « exclusive » pendant trois mois, ou, en tout cas, de dormir avec lui.
Le métro seikusien était bondé. Le Japon était un pays qui avait fortement misé sur les transports en commun, et notamment ferroviaires. Les trains japonais étaient parmi les plus performants du monde, et le métro était donc bondé, surtout à l’heure de pointe. Personne ne pourrait donc les remarquer, et, même si c’était le cas, à Seikusu, le sexe crapuleux était presque normal. Maria se frotta donc contre Genji, mais n’eut pas à le chauffer trop longtemps pour sentir le corps de l’homme se blottir dans son dos, ses mains se glissant sous son chemisier.
« Hmmm, ohhh... Genji-chaan, haaa... »
Elle gémit en sentant l’homme palper ses seins, et celui-ci dut rapidement sentir les tétons pointer, déformant son chemisier, apparaissant en transparence. Après tout, les uniformes du lycée Mishima étaient souvent très moulants à hauteur des seins. Le fait est que le tailleur du lycée utilisait les standards du rectorat, sans savoir que, à Seikusu, les femmes avaient généralement un tour de poitrine bien plus proportionné que la moyenne. Les uniformes avaient donc tendance à se serrer, ce qui, toutefois, ne dérangeait nullement Maria. Elle se pinça les lèvres, crispant ses doigts sur la vitre.
Genji abaissa la fermeture de son pantalon, et le train s’arrêta alors à une station. Il y eut du mouvement, mais surtout un moment de calme, qui permit à Genji de soulever la minijupe de la femme, et de fourrer plus facilement sa queue vers une zone sensible. Maria s’amusa alors à le provoquer en jouant la fausse prude, se tortillant sur place et en se mordillant les lèvres :
« Genji, n-non, pas... Pas ici, je... »
Mais l’homme s’enfonça en elle, et le train démarra alors. Une secousse couvrit le couinement que Maria poussa tout en s’écrasant contre la vitre. Elle sentait la grosse queue de Genji en elle, pendant que l’homme se déplaçait doucement.
*Merde, sa bite... Si grosse... !!*
Elle ferma les yeux pendant quelques secondes. À côté d’eux, un jeune adolescent, avec un casque sur la tête, s’était assis. Il lui suffisait de lever la tête de son téléphone portable pour voir Maria en train de se faire ramoner le derrière, même si la minijupe s’était rabattue pour couvrir la verge de l’homme. Elle sentit Genji grogner contre son oreille, et soupira encore, se pinçant les lèvres, tout en mouillant contre ses doigts. Sa cyprine dégoulinait des doigts du jeune homme, glissant le long de ses cuisses pour décorer le sol, formant de petites gouttes, tandis que le train accélérait doucement, s’enfonçant dans les tunnels de Seikusu.
« Hmmm... Gan... Genji, haaaaa... !! »
Loin de la paniquer, l’idée d’être potentiellement observée par de multiples yeux l’excitait furieusement. Elle avait déjà confié à Genji être une grosse exhibitionniste, volontiers du genre à coucher avec de parfaits inconnus dans des lieux publics. La possibilité d’avoir du public la stimulait toujours autant, et ses doigts remuèrent contre la vitre, tandis qu’elle laissait dessus l’empreinte de ses lèvres, fermant les yeux en sentant la grosse queue de Genji remonter profondément en elle.
« Hoooo... !! Bon sang, bordel, haaaannn... Gaaaanji, hmm, tu me défonces le c-c-cul, haaaa... »
L’image n’était pas si fausse que ça, vu la taille de sa verge, et le fait qu’il devait remuer assez lentement, tout en conservant sa queue bien plantée en elle, pour qu’on ne puisse pas la voir.
Maria savourait en tout cas chaque minute qu’elle passait ici, et mouillait en conséquence.