C'est comment le sang d'un esclavagiste ? (PV Don)

La main de Don se crispa sur la chevelure de Morte alors qu'il lui lançait un regard plein de colère sourde il lui cria d'une voix presque démente

"JE T'AVAIS DIT DE NE PAS T'EN MELER !"

Et d'un coup sec il lui éclata la tête contre le mur. Don avait horreur de ça, quand ça ne se déroulait pas comme il l'avait prévu, il lacha Henrietta pour quelques secondes (Elle serait innofensive de toute façon et sa bouche était trop loin de ses jambes pour qu'elle puisse le mordre alors qu'il la frappait contre le mur de plus en plus fort

"QUAND JE TE DONNE UN ORDRE TU OBEIS ! "

Fit il avant de donner le coup final et d'exploser la cloison Nasale de la vampire contre le mur, cette blessure là cicatriserais et disparaîtrait, mais elle ne retrouverais pas ses pouvoirs avant au moins trois jours, elle aurait donc mal pendant tout ce temps. Dans un geste plein de colère il ouvrit la porte de la prison où se trouvait un garde et balança Morte au sol.

"Amusez vous, je passerais la reprendre dans quelques heures ! Elle ne peut rien contre vous."

Il la balança en lui donnant un violent coup de pied dans le ventre. Don lui lança un dernier regard haineux, non seulement elle allait avoir mal, mais en plus en la virant de la piece ça ne voulais dire qu'une chose :il ne l'autorisait pas a assister a ce qu'il allait faire a Henrietta, et elle ne le saurait donc jamais. Elle avait tout donné dans cet unique but, et il le lui enlevait, et maintenant elle allait surement se faire abuser par toute la prison par des gardiens qui n'avaient pas les capacités de Don a "Satisfaire une dame". Ca serait l'enfer pour lui. Il l'écouta essayer de le supplier (Si elle le faisait quelques temps, lui donant l'impression qu'il allait revenir sur sa decision alors que les gardes l'emmenaient, puis finalement il ferma la porte et poussa un long soupir en se massant l'arrête du nez. Il avait perdu son calme, il ne devait pas perdre son calme, jamais, soupirant il se tourna vers Henrietta. L'homme qui était des plus calme avait pété un plomb pendant quelques secondes et a présent il redevenait aussi aimable qu'avant

"Excuse moi, j'ai tendance a ne pas me controler parfois. Où en étais je ? Ah oui. Tes histoires de familles ne m'interessent pas, petite vampiresse."

Fit il alors qu'il s'agenouillait vers Henrietta et lui lançait tout en appuyant sur son front a répétition, pour l'ennuyer

"Et si j'ai envie de t'emmerder qu'est ce que tu va me faire pour me résister heiiin ?"

Lança Don avec un petit rire, évidement il faisait en sorte qu'Henrietta ne puisse pas relever d'un seul coup la tête et lui mordre le doigt, ça aurait été ballot, il voulait la voir essayer d''utiliser ses pouvoirs, rien que pour voir la tête déconfite qu'elle allait faire. Don n'avait pas pris la peine de l'affronter en combat singulier, pourtant il l'avait eu, et sans deverser un rond. Plus que ses compétences physiques, ses compétences dans l'art de la manipulation devraient parler un peu plus a Henrietta.

Je ne montrait aucun remord devant la supplice de Morte, elle allait connaître un enfer qui serait doux par rapport à ce que je lui ferais endurer le moment venus. Pendant qu'il était occupé à se défouler sur ma "soeur", je réessaie de faire disparaitre mes dents, sans résultat, si je ne pouvais pas faire cette manip élémentaire, autant prendre le prire des cas et ne pas pouvoir utiliser un sort. Belphegor ne viendrais pas non plus, car le lien qui me liait à lui était aussi rompu, cette homme avait un ESPer à tous les coups, et sont pouvoir devais être de neutraliser tous chose inhumaine. Puis cet idiot présenta ces excuse et voulut me titiller, j'était calme et dit d'une voix supérieur.

- Bon t'arrête tes gaminerie, tu veux que j'essaie d'utiliser un sort n'est-ce pas ? je suis pas conne, tu neutralises les pouvoir des autres par contact cutanée. Seule un abrutie ne s'en rendrais pas compte.

Je poussa un soupir ce gars était vraiment désespèrent, dire que ce type se faisait sans doute une tune d'enfer en paralysant les pouvoirs des femmes et en les emprisonnant, je connaissais le principe de Terra "vend ton prochain".

- Pour les histoire que tu n'en à rien à battre, c'était pour te dire, que comme je ne suis plus de la famille je n'ai plus connaissance de leurs adresses et comme se sont des froussard, ils se sont barrés de l'adresse que Morte a du te donner.

L'arrogance pouvais être un moyen de lui faire faire une erreur aussi avec un sourire de vainqueur je lui dit avec ma voix d'impertinente, qui m'avais vallut la haine de tous ceux que je voulais énerver

- Pète nous encore un de tes câble monsieur je me crois plus malin.

Il y eus une explosion lointaine, semant la zizanie dans toute la prison. Je me mit à rire.

- Hé bien  ! Ils ont pas tous désamorcés, dommage pour eux les piège artisanales, sans électronique, sont toujours efficace. Dommage que je ne puisse pas voir le spectacle.

J'explose encore une fois de rire. J'avais prévue le cas où mes premier pièges seraient neutralisé et en avais placée des second avec une réaction chimique, faisant office de chronomètre. Les portes des prisons devaient être ouverte et les gardes submergé par tous les occupant des cellules, même celui des monstres. il yeut tous une série d'explosions

- Je crois que tu devrais te barrer, sinon tu serviras de casse croute (rire).

Le marchand d'esclave regarda Henrietta avec un sourire placide, naturellement elle ne pouvait que l'entendre, alors Don se pencha vers elle. Si elle avait l'air aussi sure d'elle c'est qu'elle avait utilisé ses pouvoirs et avait déjà constaté que ça ne marcherais pas, Don n'était pas stupide, pendant qu'il était occupé avec Morte, ç'eut été le meilleur moment pour attaquer mais elle ne l'avait pas fait, Don lança avec douceur.

"Tu ne me roulera pas, la raison pour laquelle tu es ici en ce moment, c'est parce que j'ai été plus malin que toi, ta soeur ou toute ta famille d'imbéciles réunie. Je trouverais le moyen de les localiser ne t'en fais pas. Tu finira aussi par le cracher une fois que j'en aurait fini avec toi. J'ai tout mon temps."

Don eut un doux sourire alors qu'il saisissait le slime durci a pleine main et l'éclatait, libérant Henrietta progressivement sauf un gros morceau qui la retenait au niveau des poignets, il lui laissa le bandeau sur les yeux et le resserra même pour ne pas qu'elle le voie, devenant invisible a ses yeux, il lui lança avec douceur

"Bien tenté mais je ne m'enerverais pas. Quand a toi tu ne devrais pas avoir un peu plus peur de ce qui va se passer?"

Une explosion retentit alors et elle se moqua de lui, l'incitant a partir, c'est vrai que ça allait faire un peu trop, il pris son Talkie Walkie

"Allô? Passez moi la vampiresse s'il vous plait...Ca m'est égal. Passez la moi."

On le mit en relation avec Morte alors que celle ci halletait pas besoin d'être un génie pour savoir ce qu'ils étaient en train de lui  faire.

"Morte?Si tu m'arrête cette revolte je te laisserais assister a tout. Oui."

Fit il en restant enigmatique, après tout Henrietta ne se doutait toujours pas qu'il allait la prendre, il voulait lui laisser la surprise, une fois qu'elle eut accepté il lui retribua ses pouvoirs d'une simple pensée, annulant l'annulation provisoirement avant de tirer Henrietta par les cheveux et la coucher près de lui, il lui écrasa la côte avec le pied

"Je ne fuis pas ma petite, je reflechis. Et maintenant tu va me dire où est la planque de tes parents."

Fit il en lui écrasant la côte

J'entendis la communication de Don avec Morte, elle ferait tous pour faire plaisir à quelqu'un et faire une petite partie de jambe en l'air après. je me mit à rire, mais pas longtemps car le colosse me mit dos au sol, me mettant son pied sur mes cotes pour bien me faire souffrir et il semblait y prendre plaisir.

- Tu crois que ...

Le sol trembla et un cris d'une créature, parcourut toute la prison, suivit de crie de frayeur et d'agonie. C'était Morte tous crachée, jamais dans la dentelle, tous dans le spectaculaire et le radical.

- Serpentia Inferno, elle veut vraiment vous faire plaisir cette petite pute. Un ,deux, trois  quatre ...

Je continua de compter jusau'à vingt et on entendit le cris d'une femme, après un instant de silence, un soldat communiqua le décès de la vampiresse, sont corps avait été comme tranché par des lames invisible et sont sang était devenue de la lave en fusion.

- Tu vois ? Dès l'instant où l'on est frappée de la mort, peut importe le temps qu'il faut attendre, elle vient toujours (rire).

Il appuya avec une certaine rage, je le sentais, ce qui brisa deux cote et je me mordit la lèvre pour ne pas crier.

- Sache que je préfère de loin mourir, mais que je reviendrais des enfers pour accomplir ma vengeance. Tu ne sauras jamais, de ma bouche, la moindre information sur mes dernière proie et si, tu t'avises de toucher à l'un deux, je te rajouterais à ma liste noire et dans les premiers.

Don ignorait ce que lui disait Henrietta et répondait au communicateur, on lui annonça que sa vampiresse était morte, le marchand d'esclave lança avec dédain

"Elle est morte sous votre possession, je veux une seconde prisonnière pour compenser la perte de celle ci...Bien sur que si j'ose, si je ne lui avait pas ordonné de vous aider la prison serait sans dessus dessous et vous auriez laissé sortir une quantitée faramineuse de prisonniers. Bonjour la publicité, bonjour l'avancement...Oui c'est celà, en fait je vais en prendre deux hein, pas une seule....Allez c'est ça au revoir."

La mort de Morte ne faisait ni chaud ni froid a Don, c'était une proie mediocre amusante cinq minutes et ennuyeuse sur la fin, elle avait eu son utilité jusque là. Il se tourna d'un air négligeant vers Henrietta et lui lança

"Vous autres vampires vous êtes tellement fragiles. Vous avez tellement de façon de mourir, et également vous êtes facilement remplaçable. Je viens de faire une très bonne affaire. Grâce a la mort de ta soeur, cousine, ou qu'importe j'ai déjà oublié."

La promesse de vengeance d'Henrietta fit rire Don. Il se pencha vers elle et lui chuchotta a l'oreille

"Ah oui ? Alors vas y, qu'est ce que tu attend ? Tue moi. Je n'ai pas d'armes, pas de pouvoir extraordinaires, et tu as buté presque 100 gardiens d'élites de la grande prison eternum, je ne devrais pas être aussi dur a vaincre non?"

Don eut un petit rire et il lança

"Alors qu'est ce qui t'arrive ? Je pensais que tu allait me déchiqueter, ah mais peut être que tu dois mourir avant de revenir des enfers, mais ne t'inquiète pas, je ne te tuerais pas, je ne te torturerais même pas, je ne te ferais aucun mal."

Fit Don alors que son souffle percutait l'oreille d'Henrietta, a cause du bandeau elle ne pouvait pas le voir.

"Ca prendra un peu de temps, mais bientôt tu sera en mon pouvoir...Et tu me dira tout."

Henrietta sentit alors quelque chose caresser sa fesse droite et descendre le long de sa jambe doucement avant de passer sous sa juppe et saisir sa culotte, celle ci fut arrachée sans délicatesse alors que ses jambes étaient écartées et que quelque chose d'humide commençait a lécher son intimitée, si elle était réellement inexpérimentée elle ne comprendrais pas ce qui lui arriverais, et paniquerais. Il allait faire d'elle un vampire qui a peur du noir...

Il en avait de bonne ce type, comment voulait-il que je puisse le frapper ? J'avais mes mais de bloquées derrière mon dos et plus le sens de la vue, et il était hors de question d'utiliser mon odorat, cela ne ferait que ma rapprocher de mon ancienne famille. J'aurais pus mettre un coup de tête, mais comme je ne savais pas trop où il est et à quel distance. un souffle dans mon oreille me fit bouger la tête de droite à gauche, il avait des manies fort déplaisante.

- Va toujours te faire mettre pour savoir où sont ceux que tu oses appelé famille en ma présence, tu ... Arrête ça tous de suite !

J'avais sentit ces mains se balader sur le bas de mon corps et je me retrouva avec une joue sans culotte, c'est en sentant que mes jambes furent prise avec fermeté, écartées et en ayant la désagréable sensation d'être léchée à un endroit que je ne voulais pas que l'on touche, que je me mis à paniquer.

- Arrête ça tous de suite salopard, lâche moi !

je me mis à me tortiller pour le fais lâcher prise, puis une idée me vint, je fit semblant de vouloir lui mettre un coup de tête et mordit une de ces mains, en raffermissant mas prise, tout en lui pompant son sang, qui était dégueulasse, mais qui à la longue finirait par lui faire arrêter ce qu'il me faisait subir, en sachant que j'allais lui vider de son sang jusqu'à la dernière micro-goutte.

C'est comment le sang d'un esclavagiste ? Fade hein? Résumons la situation, Henrietta est couchée sur le sol et Don s'applique a lui faire une gaterie quand soudain elle se brise la colone vertébrale en deux pour aller le mordre...Oui ça serait un peu difficile quand on est juste derrière elle. Néanmoins Henrietta a bien mordu quelque chose, quelque chose que Don lui a mis en avant.

"C'est pas très pratique hein ? J'espère que ta jambe est bonne."

Un vampire est un cadavre qui a repris vie, par conséquent il ne serait pas totalement impossible qu'henrietta se soit mordue elle même sans même s'en appercevoir, Don soupira et saisit l'engin qu'il avait utilisé sur Morte et lui passa dans la gueule, ainsi elle aurait du mal a parler, et ne pourrait plus le mordre du tout. La soulevant par la tignasse, il lui assena une claque magistrale avant de lui lancer avec froid

"On attaque pas son maître. Car désormais tu es ma chose. Henrietta Van Hellsing, ta vie m'appartiens."

Et sans autre forme de procès elle le sentit lui tirer sur les cheveux et une chose vigoureuse pénétra dans sa bouche, lui tenant les deux cotés du visage, Don commença a faire de lents va et viens dans sa bouches, avant d'accellerer, lui donnant la nausée pour finalement se lacher dans sa gorge, soulevant sa tête pour qu'elle avale tout

"Alors esclave ? Que dis tu de ce liquide? Bien meilleur que le sang pas vrai?"