Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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La proie idéale [PV : Alais Antonius]

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Vanessa White

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La proie idéale [PV : Alais Antonius]

mercredi 11 avril 2018, 16:04:24

Charlie Palmer était une femme très extravagante. A son passage, on ne pouvait s’empêcher de tourner la tête pour diverses raisons. Parfois on notait son accoutrement riche, car elle n’hésitait jamais à afficher ses grands revenus que lui procurait son statut de cheffe d’entreprise. Parfois, c’était autre chose. Dans tous les cas on admettait volontiers que cette femme transpirait la réussite et reflétait tout ce monde capitaliste rien qu’au travers sa démarche. Riche, exhibant sa fortune via beaux vêtements, soins, et autre, Charlie était aussi une femme très intelligente et habile en affaire. Ce n’était pas pour rien qu’elle était parvenue à atteindre les sommets où elle séjournait dessus.

La dame était donc une femme d’affaire puissante et extravagante, mais qui cachait comme tout le monde bien des secrets. Dont beaucoup sur sa propre personne ... Et corps. Charlie était très en forme physiquement, étant d’ailleurs plutôt athlétique. Une belle et forte stature, renforçant son côté dominante. Cela servait, lors des négociations de contrats ... Ou, dans des affaires plus privées. Personne – ou seulement ses nombreux amants et amantes – ne pourrait témoigner en revanche d’un côté très, très pervers du personnage. En effet, notre femme d’affaire était une grande consommatrice de sexe débridée, et il ne lui arrivait pas une seule journée, pas une seule soirée, sans qu’elle ne fasse l’amour à quelqu’un.

C’était pour cette raison qu’elle avait créé une sorte de rituel, de tradition. En tout point et situation dans sa vie, il lui fallait quelqu’un. Pas d’amoureux ou d’amoureuse, non. Il lui fallait un jouet. Un esclave, qui subirait toute sa furie sexuelle jusqu’à ce qu’elle ne trouve son prochain jouet. Notre histoire commença le jour où Charlie avait réellement besoin d’en trouver un – ou plutôt une – et décida pour cela de faire jouer ses relations pour obtenir un poste temporaire au lycée Mishima ; celui d’intervenante venant du milieu professionnel ! Officiellement, Charlie était donc professeure de gestion des organisations, et cela faisait d’ores et déjà quelques semaines. Alors, où était le problème, dans tout cela, hormis le fait qu’elle était une véritable prédatrice sexuelle, à la rechercher d’une proie ?

Le problème était que, elle avait jeté son dévolu sur une lycéenne, de sa classe. Une jeune et ... Jolie jeune demoiselle, ayant à peine l’âge légal. Charlie avait pris tout son temps pour analyser et scruter son dossier scolaire, apprenant donc son nom, et toutes les informations dont elle avait besoin. Alaïs était un cas très intéressant, et Charlie commençait à avoir des doutes sur certains de ses désirs, à force de l’observer, de la scruter en silence. Si ce qu’elle pensait était vrai, alors le hasard aura très bien fait les choses car ... Elle était naturellement dotée de ce qu’elle désirait profondément.

Mais, il fallait pour cela un moyen de la coincer, de la mettre dos au mur, puis de lui montrer amicalement qu’elle avait été choisie. Choisie par Charlie, pour la servir. Jusqu’à nouvel ordre. Mais de cela, rien n’en paraitrait ; au contraire, l’intervenante allait la jouer fine, décidée à utiliser les fantasmes d’Alaïs contre elle. Ainsi, ce fut au bout d’un énième cours, alors que la sonnette retentit pour signaler la fin de celui-ci, que le sérieux commença. Alors que les étudiants pliaient bagages et vidaient peu à peu la salle, Charlie leva sa voix ferme, afin d’interpeler sa cible. « Miss Antonius. Vous restez. Je dois vous parler. » Dit-elle simplement, posant fermement son stylo sur son bureau, croisant ses bras et ses jambes. Son regard était sévère, comme à son habitude, et strict. La professeure avait quelque chose à lui dire, en privé. Ou ... A lui faire, plutôt.

Quand elles furent seules – et enfermées – Charlie se leva lentement, ses hauts talons claquants au sol, alors qu’elle se plaça devant son bureau. Elle prit assise au bord de celui-ci, puis croisa élégamment ses longues jambes enveloppées dans de délicats collants. « Savez-vous pourquoi je vous ai retenu ici, Miss Antonius ? Je présume que non. Voyez-vous, cela fait quelques temps que je suis votre cas de très près et, il m’est apparu un détail que je dois éclaircir. » Dit-elle fermement, en la regardant dans les yeux.

Sa réaction allait déterminer de toute la suite ...
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Alaïs Antonius

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Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

Réponse 1 mercredi 11 avril 2018, 17:14:41

Depuis quelques temps, on a une prof qui est une sorte d'intervenant externe. Une femme d'affaire de ce qu'on nous a expliqué, une personne ayant vraiment réussi dans la vie et qui connais tous les rouages du monde des affaires local et qui nous en parle pour que plus tard on puisse savoir à quoi s'en tenir.

Moi ça ne me dérange pas, je suis destinée à avoir une affaire à gérer dans le futur, et du coup les conseils d'une économiste avisée sont pour moi un apport plutôt précieux. Mais le jour où on nous l'a présentée, je dois avouer que ce n'est pas son curriculum qui m'a scotchée, mais plutôt son physique. Dès ses premiers pas en classe j'ai été surprise par son aura de confiance et par la prestance de sa démarche. Je me suis tout de suite fait la réflexion qu'elle avait le maintient d'une reine. Le second point qui m'a sauté aux yeux est la taille de cette femme. Elle est super-grande, au moins un mètre-quatre-vingt au bas mot. Et avec ses talons et son maintient elle domine pratiquement tout ceux qui lui font face, ce qui m'a amené à remarquer le troisième point.

Comment on peut avoir des seins pareils ?!? Ce n'est pas possible ! Elle doit avoir un dos en béton armé pour soutenir un poids pareil et ne même pas vaciller sur ses talons hauts ! En plus, vu sa taille, elle doit passer son temps à regarder le monde entre ses seins !

Vu ma petite taille, je ne connais pas ce problème, en règle générale c'est plutôt moi qui passe mon temps à lever les yeux pour regarder mes interlocuteurs. Mais elle... Je ne sais pas comment je ferais si j'avais tout le temps l'impression que la tête de gens qui je rencontre semble jaillir de ma poitrine.

Dans les jours qui ont suivis, j'ai réalisé qu'elle a vraiment la classe. Elle s'habille toujours de manière très sérieuse et très chic, tout en trouvant le moyen de mettre bien en avant ses attributs physiques plutôt hors du commun. En plus, ses cours se sont révélés passionnants et j'ai énormément appris en quelques jours avec ses explications et ses exemples tirés de sa propre expérience. C'est toujours plus vivant quand on sent que la personne a été impliquée plutôt que quand un enseignant vient vous faire toute une théorie dessus.

Par contre, elle est belle, riche, charismatique, mais pas d'alliance au doigt, ni même de trace qu'il y en ait eu une... Elle doit être du genre à vouloir garder sa liberté. Et vu sa manière d'être j'imagine que ça doit être une sacrée croqueuse d'hommes. Songe-je lors d'un cours où je me prend à rêvasser en la regardant.

Elle nous a fait les cours d'économie depuis quelques-jours déjà, mais je suis surprise quand à la fin de celui-ci elle me demande de rester. Pourtant nous n'avons pas eu de tests et à part un moment d'absence bien anodin au milieu de tous ceux qu'on eut les garçons de la classe en reluquant le rebondissement de sa poitrine quand elle marche, je n'ai rien fait de spécial ni répondu mal à une question.

Mais une consigne est une consigne, je repose mon sac et je me rassied le temps que tout le monde sorte. Je me contente de regarder les autres faire, de saluer ceux avec qui je m'entends bien et d'attendre.

Chose que je trouve par contre vite assez inhabituelle, la prof verrouille carrément la classe après que la dernière personne soit sortie. Quand elle vient vers moi s'asseoir sur le bord de mon bureau je commence à vraiment me poser des questions. Ce n'est pas une manière de faire d'enseignante, c'est plutôt un truc que j'ai vu dans les téléfilms de mère quand une patronne veut avoir une conversation grave avec un employé.

Je lève la tête et la regarde dans les yeux pendant qu'elle m'indique qu'elle s'est penchée sur mon cas, ce qui me surprend drôlement. Je commence à être complètement perdue dans cette histoire. On dirait qu'elle se prend pour ma prof principale, mais elle est externe à l'organisation de l'école. Mais elle a quand même autorité sur nous comme une prof, du coup je commence à ne plus trop savoir comment me placer dans cette situation.

- Suivre mon cas madame ? Mais pourquoi ? De quel détail parles-t-on ? Réponds-je en me demandant bien ce qu'il se passe.

Je l'ai trouvée belle, grande et charismatique depuis son arrivée ici, mais là je commence à la trouver à la limite du flippant et je commence à stresser.

En tout cas elle est douée pour mettre la tension à ses interlocuteurs. J'ai l’impression d'être une souris en face d'une chatte en colère. Songe-je en ayant le réflexe de légèrement rentrer mon cou dans mes épaules.
« Modifié: mercredi 11 avril 2018, 17:23:53 par Alaïs Antonius »
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Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

Réponse 2 dimanche 15 avril 2018, 14:36:48

C’est à ce moment-là que Charlie décèle en sa jeune élève un début de peur. Cette fille avait tout simplement peur devant elle, et devant ce qu’elle allait lui faire. Potentiellement. Car après tout, Charlie n’avait fait que lui expliquer qu’elle devait parler d’un détail précis. Ce détail était assez délicat à aborder car, si elle le faisait mal, alors sa proie allait s’échapper. Même si, ses chances étaient maigres vu que la salle était fermée. Ce détail qu’elle avait remarqué était une visible attirance, curiosité, vers ... Les femmes membrées. Comment avait-il su cela ? C’était une question légitime, mais qui mettait en scène bien plus que le dossier scolaire d’Alaïs. Charlie n’allait pas lui dire qu’elle s’était renseignée auprès d’elle jusqu’à trouver ses plus fous fantasmes.

Mais, elle allait devoir lui dire qu’elle était au courant de son attrait pour les hermaphrodites, et dans un deuxième temps, lui révéler qu’elle en était une elle-même. Dans quel but ? Tout simplement la soumettre à la tentation. Une professeure bien membrée, prête à satisfaire la curiosité d’une élève se découvrant une passion pour ce genre de femme. Que demander de plus ... Néanmoins, tout allait résider dans la manière de le dire. Ainsi, Charlie se racla la gorge puis fixa Alaïs dans les yeux, continuant avec son ton autoritaire. « Je parle d’un détail qui vous serait plutôt personnel, jeune fille. Voyez-vous, Mishima est un lycée très particulier, où beaucoup de rumeurs circulent à son sujet, et sur ses élèves. En venant ici, l’on m’a assuré que tout ceci n’était que mythes, mais, je crains que c’est faux. » Dit-elle dans un premier temps.

« Votre cas est intéressant en ce sens ; vous êtes le parfait exemple de ce qui caractérise Mishima. Une élève en apparence normale, mais qui cache quelque chose, comme bien des gens ici ... Et au fond, comme moi. À la seule différence que moi, Charlie, accepte de révéler mes secrets quand on me le demande gentiment ... » Dit-elle d’un ton assez énigmatique. Suite à cela, la puissante femme d’affaire eut un petit sourire en coin puis, commença à écarter ses cuisses, laissant alors sa culotte visible par Alaïs. Sans dire un mot, ni interrompre le moment, Charlie écarta suffisamment ses cuisses pour que son élève finisse par apercevoir très clairement l’énorme et massive bosse qui déformait le tissu de son sous-vêtement. La bosse n’était pas parfaitement ronde, et présentait des reliefs typiquement masculins ... Une tige, et une belle sacoche.

« Vous n’avez encore jamais vu ceci, n’est-ce pas ? Et pourtant, cela vous fascine ... Avouez-le Alaïs, je ne vous mangerai pas ... » Dit-elle alors, penchant sa tête sur le côté, attendant donc de voir quelle réaction sa délicieuse élève allait avoir en voyant cette culotte berçant tendrement un juteux service trois-pièces. Est-ce que son fantasme allait se réveiller et l’emporter ?
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Alaïs Antonius

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Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

Réponse 3 lundi 16 avril 2018, 16:29:56

Voilà qu'elle me parle des rumeurs et des mythe du lycée maintenant ? Je comprend de moins en moins.

Et qu'est-ce que ça a à voir avec un détail qui m'est personnel ?

Décidément plus cette conversation avance et moins je comprends de quoi on parle. Je dois avoir l'air de plus en plus perdue, ne sachant plus vraiment trop où me mettre. Mais alors qu'elle commence à me parler d'élèves normales qui cachent des choses je commence à pâlir. Je ne vois qu'une raison de me faire accoster comme ça. Et je commence à envisager avec terreur que ma prof ne soit tombée par hasard sur un de mes shows hot.

Puis je me perds de nouveau parce qu'elle me parle de ses propres secrets et qu'elle est prête à me les révéler.

C'est quoi ce délire ? Je suis entrée dans la quatrième dimension pendant que j'avais le dos tourné ? Ne puis-je m'empêcher de me demander.

La suite me laisse littéralement sans voix. Voir une intervenant externe commencer à écarter les jambes et vous montrer sa culotte c'est déjà pas courant et je sens le rose me monter aux joues à vitesse grand V.

Q-Q-Q-Q-Q-Qu-Qu-Qu-Qu-Quoi ?!?!? Mais il est en train de se passer quoi là au juste ?!?

Je sens la température de mon visage prendre l’ascenseur et je ne suis même pas au bout de mes surprises. Elle continue à écarter les jambes et je commence à distinguer des détails. Mais clairement le genre de détails qui ne devraient pas s'y trouver.

Heu... Mais on dirait... Des... Boules ? Et ça on dirait... Mince !?! C'est un PHALLUS ?

J'ouvre des yeux immense en commençant à me demander si c'est une caméra cachée. En plus ça a l'air énorme ce qu'elle cache dans sa culotte.

Étrangement, je sens ma peur et mon stress redescendre, emportés par la curiosité. Madame Charlie me demande si je n'ai encore jamais vu ceci. Vu ce qu'elle vient de me montrer, j'ai presque envie de lui dire que ce n'est pas le premier que je vois, mais d'un autre côté c'est effectivement la première fois que je vois un truc pareil... Ben sur une aussi jolie femme.

Par contre elle me demande si ça me fascine et je dois bien admettre qu'elle a tapé dans le mille, je ne parviens pas du tout à décoller mes yeux de son corpulent outillage. Ça a l'air tellement gros, tellement disproportionné... Et tellement excitant aussi !

- Je... Dis-je en hésitant. En fait... Ce n'est pas la première fois que je vois un... De ces trucs... Me défends-je pour essayer de regagner un peu de contenance. Cependant... Si votre question est plutôt "Avez-vous déjà vu un pénis sur une femme ?"... Je dois bien admettre que la réponse est "non"... Dis-je en décollant mes yeux de force pour regarder ma prof dans les yeux. Mais pourquoi m'en parler à moi... Et pourquoi me montrer ça ? Dis-je en rajustant mes lunettes sur mon nez, essayant de ne pas avoir l'air aussi intriguée que je le suis réellement.

Je me fais la réflexion qu'une fille normale aurait sans doute crié au scandale et dit à la prof qu'elle ne devrait pas montrer ses sous-vêtement à une élève. Ce qui me fait penser que vu que je me suis contenté de demander pourquoi moi, je viens sans doute de cramer mon intérêt pour ce genre de choses.

Kuso... Si elle le remarque je suis grillée...

Pourtant, une partie de moi aimerait qu'elle le remarque. J'ai vraiment envie d'en savoir plus. Et puis, madame charlie est très loin d'être moche, si en plus elle est montée comme les bosse sont l'air de le suggérer...

Je secoue légèrement la tête pour me remettre les idées en place, mais j'ai bien failli partir en fantasme.
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Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

Réponse 4 dimanche 22 avril 2018, 12:40:57

Charlie remarquait bien le regard très attentif de son élève, braqué sur son entrejambe ou plus précisément sur son énorme paquet. Sa culotte était très serrée et tirée, moulant à outrance son service trois-pièces tellement celui-ci était bien fourni. Voir la pauvre Alaïs perdue, hésitante, les yeux fixés sur son sexe lui faisait bien plaisir. Néanmoins elle s’était attendue à ce qu’elle nie, à ce qu’elle hésite ainsi voire même, la questionne. La jeune fille n’allait pas céder dès le premier coup. Mais heureusement, Charlie avait quelques idées sur comment la faire craquer. En effet alors qu’elle écouta ce qu’elle avait à dire, elle remarqua bien vite que Alaïs ne la repoussait pas.

C’était comme si elle était intéressée, mais n’osait pas le dire, ni le montrer. C’était bien normal. Un fin sourire orna les lèvres de la femme d’affaire, avant que celle-ci ne tire un peu plus sa jupe pour complètement révéler son entrejambe, et son sous-vêtement. « Je dirai que votre fascination pour les femmes comme moi ne m’échappe pas. Votre regard ne ment pas ... Et, j’ai assez d’expérience pour comprendre ce que cela veut dire. » Dit-elle en premier lieu. Elle laissa écouler un silence, avant de revenir à la charge. « Vous êtes une élève très instruite et intelligente, mais aussi ... Curieuse. J’aimerai donc vous proposer quelque chose ... » Déclara-t-elle d’un ton énigmatique.

« Je vous autorise à toucher, à regarder, à faire tout ce que vous désirez pour satisfaire votre curiosité ... Si je remarque alors que cela vous plait, je serai dans l’obligation de vous pousser jusqu’au bout de votre fantasme. Sinon, on en restera là. Qu’en dites-vous, Miss Antonius ? » Finit-elle par dire, d’un ton légèrement autoritaire mais, gardant cette voix séduisante. Bien sûr, elle fit tout pour mettre bien en évidence sa culotte et son sexe massif moulé dedans, sous le nez de la jeune fille pour mieux la faire craquer.

« Allez-y, rien de ce qui sera fait ici ne sortira d’ici. Vous avez ma parole ... » Conclut-elle avec un sourire séducteur, laissant enfin Alaïs réfléchir, et saisir son offre ou non.
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Alaïs Antonius

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Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

Réponse 5 lundi 23 avril 2018, 17:26:52

Je pensais avoir le rouge aux joues avant la tirade de madame Charlie. J'avais torts, je suis absolument écarlate après celle-ci.

Tout ce qu'elle vient de dire... C'est à la fois outrageant, intéressant, excitant et extrêmement tentant... Je ne peux pas m'empêcher de me demander si ce n'est pas trop beau pour être vrai. Une vraie futa qui vient me montrer son service trois-pièces et qui est en plus outrageusement sexy. Par-dessus le marché c'est une de mes profs et elle vient de me donner carte blanche pour en faire ce que je veux.

C'est pas possible, je dois être en train de rêver... Je me suis endormie en pleine classe et je suis en train de fantasmer sur ma prof...

Je glisse discrètement une main dans une de mes manches et me pince le bras pour contrôler que je suis bine réveillée. Et comme la douleur fuse, je comprends que ce n'est pas un rêve. Tout est vrai.

Je lève mes lunettes vers madame Charlie, toujours hésitante. Mais je sens déjà que si je refuse maintenant je vais probablement le regretter toute ma vie.

À geste lents je lève le bras, hésite, approche ma main de la culotte, hésite encore, puis après une grand inspiration, je pose ma main au complet sur le paquet.

J'ai des frissons en réalisant que c'est chaud. Je tente de tâter un peu, ça a l'air totalement vrai, je sens de légères contractions musculaire sous le tissus.

Je pousse un petit gémissement de surprise et serre les cuisses car je sens une chaleure plutôt connue commencer à poindre à mon entrejambe.

Je lève les yeux vers la prof, la fixant du regard pour voir si elle réprouve mon geste. Sans vraiment regarder, je lève ma main plus haut et glisse ma main sous la culotte pour saisir le manche de ce service trois-pièces XXL. Je le palpe, le doute n'est plus permi, c'est chaud et moelleux, c'est de la peau et de la chaire.

Kamis-Sama... Protégez-moi... Non seulement c'est une vraie mais elle est aussi gigantesque... Songe-je en redescendant mon regard pour constater que j'ai bel et bien la main dans la culotte de madame Charlie et que je suis bien en train de lui palper le membre viril qu'y s'y cache.

Comme dit le proverbe, la curiosité vient de tuer le chat, mais dans mon cas elle ne m'a pas rendue sourde et un bruit lointain dans les couloirs me rappelle brusquement où nous sommes : au lycée.

Avec peur je retire brusquement ma main de la culotte de madame Charlie. Je serre la main qui a touché ce sexe immense contre moi en regardant en direction du couloir avant de tourner le regard vers la prof.

- D'... D'accords, vous avez gagné madame... Mais pas ici... Dis-je avec un regard implorant. Ici je ne pourrais pas... Je... Un lit... J’aimerais un lit... Souffle-je en détournant le regard de son paquet proéminent. Un lit, dans un lieu fermé... Où il n'y aurait pas de risque d'être dérangée... Je dors au dortoire alors personne ne remarquera si je ne rentre pas de la nuit... Dis-je en me mordant la lèvre.

Je sens que je mouille déjà rien qu'à l'idée de ce qu'il pourrait se passer ensuite dans un lit. J'ai été percée à jour si facilement que c'en est déconcertant...

Je n'ai plus qu'à espérer qu'elle veuille bien accéder à ma demande.
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Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

Réponse 6 mardi 01 mai 2018, 17:12:20

Cette jeune pousse était pleine de promesses. Ce fut avec un regard de braise et un silence de plomb que Charlie la laissa faire. Elle laissa sa main explorer son entrejambe, ne lui opposant aucune résistance ou barrière. La professeure la regardait faire et cela l’amusait beaucoup de voir cette jeune lycéenne céder à son fantasme, à sa curiosité et à son vice, aussi. Bien sûr, elle ne put retenir un petit sourire taquin en sentant finalement la main d’Alaïs se poser sur sa culotte bien gonflée par son membre. Comme toujours, elle restait silencieuse, ne lui adressant qu’un regard en guise de réponse.

C’était comme si Charlie désirait qu’elle explore, qu’elle s’avance. La femme laissa faire, puis ne put retenir un petit gémissement au moment où son élève faufila, enfin, sa main en-dessous le textile de son sous-vêtement. Ainsi, elle put sentir sa peau directement contre sa trique, qui était devenue bien chaude et dodue, étant en train de s’ériger. La situation était devenue très particulière, et la température semblait avoir subitement grimpé ! Charlie leva un sourcil juste après, néanmoins, en entendant la requête de son élève. « Hm, je vois. » Répondit-elle, avant de remettre en ordre sa jupe. Ainsi, Alaïs désirait un endroit plus calme, plus privé et plus confortable.

Le fait qu’elle ait déclaré que son absence au dortoir ne gênera personne indiquait clairement ce qu’elle désirait. En ne disant rien, Charlie prit alors un bout de papier et un crayon, notant quelque chose dessus, avant de glisser innocemment le papier dans le décolleté juvénile d’Alaïs. « Ceci est mon adresse, jeune fille. Tu as le choix de venir, d’assouvir ta curiosité ... Ou de ne rien en faire. La décision est tienne. Mais sache une chose ; si tu franchis le seuil de ma demeure, soit sûre que plus jamais les choses seront comme avant. » Lui déclara-t-elle, avec un sourire. La professeure commença à rassembler ses affaires puis, quand elle fut prête à partir et fermer la salle derrière Alaïs, elle lui adressa un petit clin d’œil, avant de partir.

*

Le soir était tombé, et voilà que la maitresse des lieux venait de terminer les préparatifs. Elle savait que son élève allait céder à la tentation et venir, ce fut pour cette raison qu’elle avait un peu préparé les choses. Alaïs serait surement surprise de voir que Madame Charlie avait préparé un sobre et fin diner rien que pour elles. Après tout, elle n’allait pas recevoir sa convive le ventre vide ... Et, cela faisait partit de son caractère de bien recevoir ses invités, peu importait la raison. C’était un tout. Une soirée qui s’annonçait inoubliable, surtout quand l’intéressée allait pouvoir admirer le corps de sa professeure pendant tout le long, car sa tenue était très spéciale. Charlie avait abandonné son tailleur professionnel pour une tenue bien plus légère et révélatrice.



Tenue de Charlie
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Re : La proie idéale [PV : Alais Antonius]

Réponse 7 mercredi 02 mai 2018, 17:16:51

Je pousse un soupire de soulagement en entendant ma prof se montrer compréhensive. Même si je regrette un peu de la revoir remettre de l'ordre dans ses vêtement, je suis en revanche surprise de la voir écrire quelque-chose sur un bout de papier et le glisser rien de moins que dans mon décolleté.

Ha oui quand même... On me l'avais encore jamais faite celle-là.

Je recueille le papier et y découvre effectivement une adresse griffonnée dans un quartier plutôt bien situé. Elle me précise que j'ai encore le choix, même si de ça j'en suis moins sûre. Mon grand-père est très cynique dans son genre et, pour cette situation, il aurait tendance à sortir sa maxime "le poisson a gobé trop profondément l’appât pour ne pas l'avaler". Et malgré l'avertissement de ma prof, je sais pertinemment que ma curiosité a été trop fortement sollicitée pour que je reste sur ma faim.

"Plus jamais les choses ne seront comme avant..." Voilà un discours qui fait un peu cliché, mais d'un autre côté...

Je sens dans mon ventre ce nœud qui se fait sentir quand le stress et l'incertitude m'étreignent. Je sens jusqu'au plus profond de moi que ce n'est pas une blague, si je viens ça risque bien de changer mon point de vue sur beaucoup de sujets pour longtemps, si ce n'est pas à jamais... Le premier étant déjà ma certitude que la prédation sexuelle des profs sur les élèves ça n'arrive qu'aux autres. Pour la première fois de ma vie, il m'arrive quelque-chose que je qualifierais d'anormal.

Bien sûr, j'entends déjà d'ici les mauvaises langues répliquer. "Elle a la moitié de sa famille qui est originaire d'un monde parallèle, c'est pas déjà anormal ça ?" Sauf que j'ai toujours grandi avec ça et même aujourd'hui je ne parviens pas à considérer ma situation comme extraordinaire. Mon grand-père a ses affaires de son côté et mes parents avaient les leurs de leur côté. Je suis toujours passée d'un monde à l'autre sans que rien ne vienne déranger ma routine et je n'ai jamais rien eu à faire d'extraordinaire. Même apprendre à gérer le domaine ne sort pas de l'ordinaire à mes yeux par rapport à passer ma journée en classe.

Mais là... Là non seulement on vient de me faire une proposition. Une proposition sexuelle qui plus est ! Moi qui ai passé ma vie sentimentale seule devant mon écran et depuis quelques années devant ma caméra, me voici face à une vraie personne. Une personne qui m'a ouvert son cœur, et m'a dévoilé quelque-chose que personne ne doit probablement savoir à part moi dans la classe.

Ça me donne vraiment l'impression d'être très spéciale et d'être en danger aussi. En danger de quoi ? Ça par contre je n'arrive pas à le définir. Même lorsque je quitte la salle sous l’œil attentif de madame Charlie, je n'ose rien dire. Une partie de moi reste méfiante, après tout, pour quelle raison vas-t-on agiter ses bijoux de famille sous le nez d'une élève si ce n'est parce qu'on essaie de se la faire ? Je bloque avec cette partie de la réflexion et alors que je rentre au dortoirs je ne peux pas m'empêcher de retourner la question dans tous les sens, me torturant l'esprit.

Y aller ? Ne pas y aller ? Si j'y vais, que va-t-il se passer ? Peut-être rien ? Mais vu la tournure qu'ont pris les choses dans une salle de classe, dans une résidence privée, loin des yeux et des oreilles indiscrètes, les chances pour qu'il ne se passe rien sont presque ridicules.

Il faut que je reste lucide, si j'y vais il y a 99,999% de chances que je finisse avec ma prof entre les cuisses.

Plus j'y pense, moins l'idée me dérange. Oh certes, elle est bien plus âgée que moi, mais elle n'en demeure pas moins sexy as hell, comme disent les anglais. Et puis, ce paquet...

Brrr... Songe-je en frisonnant. Il doit être au moins aussi gros que mes plus gros sextoys une fois dressé ! Et pourtant j'en ai qui ont des tailles déjà bien exagérées !

Je me pose sur ma chaise de bureau, toujours plongée dans mes pensées. Je continue à peser le pour et le contre toujours incertaine. La boule dans mon ventre est remontée dans ma gorge et je n'arrête pas d'avaler nerveusement en pensant. Je tapote du pied par-terre en laissant l'orage de mes pensées dériver d'un extrême à l'autre. La voix de la raison voudrais que je ne donne pas suite à cette proposition, voir même que j'aille tout droit chez les autorité pour dénoncer un comportement inapproprié de la part d'une enseignante. Mais à côté, mes envies me poussent à tenter cette expérience, à y aller et découvrir ce que ça fait de ne pas être seule pour se satisfaire. Découvrir de nouvelles sensations, de nouveaux horizons.

Je finis par prendre une décision et c'est celle d'aller voir ma prof. Ensuite, advienne que pourra !

Je me dépêche ensuite de virer mon sailor fuku pour passer sous la douche. Je veux être impeccable pour elle ! Tout y passe, douche, shampoing, épilation, rasage, coiffure et même une toute petite pointe de maquillage sans oublier le parfum. Je passe ensuite par mon armoire. Au début je m'apprête à enfiler des dessous classiques, mais je m’interrompt en plein ouvrage. Je ne suis pas en train de me préparer à sortir voir un film, je suis en train de me préparer à aller voir une potentielle amante ! Je dois m'habiller avec quelque-chose de plus adapté qu'un simple soutif et culotte en coton.

Je range les premiers sous-vêtement que j'avais saisi et fini par opter pour une fine lingerie blanche que j'enfile sous mes habits de ville classiques, ma robe et mes bas qui pour le coup sont blanc plutôt que sombre comme d'habitude. Je passe un temps interminable à refaire ma coupe de cheveux avant de finalement prendre mon sac et me diriger vers la sortie. Je suis tellement pressée de partir que je ne réalise que dans le bus que j'ai oublié de prendre les capotes qui étaient pourtant dans le tiroir de ma table de chevet. Je n'en utilise jamais avec mes jouets, mais je ne vais pas pour jouer avec des bites en plastique cette fois. Cette fois c'est une vraie qui m'attends au bout du voyage. Un vrai sexe masculin absolument démesuré à la hauteur de mes fantasmes les plus fous.

Je suis tellement nerveuse et excitée que je ne tiens pas en place sur le siège de mon bus. J'ai l’impression que le trajet dure mille ans au bas mot ! Sans compter qu'il me faut encore marcher un petit moment pour finalement trouver l'adresse en question. Je suis presque deçue car le logement n'a rien de particulièrement extravagant. Oh, on sent qu'il coûte cher, mais c'est sans plus. Chic mais presque trop discret.

Je toque finalement à la porte. Le soirée est encore très jeune et seuls les kamis savent ce qui m'attends. Pour ma part, je serre compulsivement les fesses !

Quand la porte s'ouvre, je suis si surprise que je mon esprit freeze instantanément en voyant la tenue de ma prof. Plus révélatrice que ça, tu meurs !

Le seul stade au-dessus serait qu'elle se promène toute nue !

- Heu... Bonsoir madame... Dis-je un peu empruntée avant d'entrer rapidement pour lui permettre de fermer la porte avant que quelqu'un ne puisse voir ça. Vous ouvrez souvent aux gens dans cette tenue ? Rougis-je en la questionnant d'une petite voix gênée, à la fois choquée et excitée par la manière dont je l'ai trouvée en arrivant. Et si j'avais été le facteur ou un agent de police ? Demande-je en retirant mes chaussures dans l'entrée.

Mais en même temps je ne peux pas m'empêcher de promener mes yeux sur les courbes plus que voluptueuses de cette femme. Dans cet accoutrement, elle est une invitation vivante à la tentation, un portrait de luxure presque caricatural.

Tiens ? Ça ne sent pas la nourriture ? Découvre-je alors que mon nez est caressé par de douces arômes et que mon ventre se met à gargouiller doucement. Je crois bien que j'ai oublié de manger avant de partir... Quelle idiote...
"À tout escalier menant vers l'infini, il faut une marche plus basse que toutes les autres."

- Un illustre inconnu


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