Rencontre professionelle [PV Yûko]

   Le week-end, le meilleur moment de la semaine pour bien relâcher la pression, pas de cour de la journée, le temps qu'il faut pour faire ce qu'on veut. En l’occurrence, Okio voulait, eh bien déjà se faire ramoner le conduit arrière et s'abreuver d'une sucrerie particulière, et de faire quelque course, des nouveaux vêtements, plus particulièrement des bas, des strings, et une petite jupe à carreau, à ras de ses bourses, et peut être quelques jouets. Rien de bien folichon. Il alla gaiement au centre commerciale, flânant à droite et à gauche sur le chemin, roulant du cul, adressant quelque regard ambiguë, aguicheur et sourire discret à presque tout les hommes, certains interloquer, suspicieux ou l'ignorant totalement, sauf un homme, qui lui rendit son regard et qui le suivit de loin, sans que Okio ne s'en rende compte.

   Ses habits, bien que normale, étaient moulant, sa chemise blance ouverte à moitié, jusqu'au nombril, la dentelle d'une culotte dépassant de son mini-short en simili-cuir noir, avec une sorte de jupe de la même taille, allant jusqu'à la moitié de ses cuisses, des bas résilles, des troues par-ci par-là, baisser un peu trop bas, presque à la limite de ses parties, ses fesses dépassant un peu. Il avait aussi une sacoche, en bandoulière. Il aurait put faire pire, mais il ne voulait pas non plus ce faire arrêter. Il portait des chaussures normales, celle de tout les jours. Cela dit, il due remettre un peu d'ordre dans ses habits, fermer sa chemise, remonter son short par un garde, qui voyait d'un mal œil sa tenue. Par chance l'homme ne dit rien d'autre et le laissa tranquille.

   Okio alla donc dans le dédale de boutique et marchant. Il se paya des dangos, farfouilla dans une étagère de hentai, visita une boutique de jeux vidéo, avant d'aller dans une boutique de sous vêtements. Il regarda ceux un poil provoquant, avec des ajouts divers. Alors qu'il fessait ses choix, quelqu'un vint se coller à ses côtés, fessant mime de s’intéresser lui aussi aux culottes, glissa tout bas.

-Combien ?
-Quoi ?
-T'as essayer de me chauffer en venant ici, et une tenue un peu oser, t'es une prostitué ?
-C'était si facile à deviner ?
-J'ai l’œil pour ça !
-300 yens pour une pipe, dans les cabines d’essayage. Sinon vas voir ailleurs. Enchaîna rapidement Okio, empêchant l'homme de répliquer.

   Peu de personne, les cabines d’essayages plutôt isoler et le propriétaire qui était plonger dans un livre, semblait ne pas les avoir vue entré. Le prix plutôt attirant, la fille avec apparemment du caractère et facile, et la proposition de le faire dans un cabine d’essayage, risqué mais... intéressant. C'était assez inattendue, ce qui le conquit.

-Ok, mais 200, parce que y'a pas de coït !
-300, après on ira dans un meilleur endroit.
-Vendue.

   L'attrapant par la main, Okio le guida vers la première cabine d'essayage, ferma le rideau, baissa le pantalon du mec, qui avait déjà tendue ses billets, mais qu'il garda en main. Ainsi, Okio, commença par branler lentement et tendrement la verge de l'homme, tandis que la sienne gonflé lentement, tendant son short. Il prit en bouche le gland, le lécha, le goba, le mordilla, et commença lentement sa fellation, partant pour une gorge profonde, tandis que l'autre, posa une main pour accentué le mouvement.

Aujourd'hui, Yûko n'avait pas de clients, pour la simple et bonne raison qu'elle avait quelque chose de bien plus gros de programmé pour le lendemain, pour toute la journée. Un riche client, qui avait vraisemblablement beaucoup de fric à dépensé, avait réservé la moitié des filles et androgynes inscrit sur le site de son associations de prostituées pour une grosse orgie privée. Toutefois, le client avait imposé une seule chose: que les prostituées ne portent uniquement des gants longs et des collants à semelles, le tout en latex noir. Et rien d'autre. Pour sa part, la brunette était suffisamment libertine pour se balader nue dans la rue avec bras et jambes couverts par du latex. Le rendez-vous était suffisamment tôt le matin pour s'y rendre en toute tranquillité, et cela se terminait tard le soir. Elle n'avait qu'une adresse et ignorait où cela se situait exactement, mais l’inconnu l'excitait énormément.

Toutefois, et il fallait bien se rendre à l'évidence, Yûko ne possédait pas ce qui était demandé. Aussi devait-elle se rendre au centre commercial pour faire ses achats. Vu qu'elle n'avait aucun clients, elle portait des vêtements normaux, soit son haut moulant trop court qui laissait apparent son nombril, son shorty trop court à ras du cul et troué au niveau des fesses, ainsi que ses longues bottines noires. Bien entendu, elle ne portait aucun sous-vêtement, de fait, son intimité frottait contre le jean et ses tétons, contre le tissu fin de son haut. Autant dire que tout était bien visible. La brunette se rendit à sa boutique préférée, salua le gérant qui était plongé dans son magasine de cul et se mit à déambuler dans le rayon latex, cherchant son bonheur. Yûko mit bien une dizaine de minute avant de trouver certains modèles qui lui plaisaient et se dirigea ensuite vers les cabines d'essayages. C'est là qu'elle entendit des bruits de sussions et d'aspiration, accompagné de râles étouffés et de soupirs féminins.

* Ohhh ? On dirait que ça suce sévère la dedans~ *

Sans faire de bruits, elle se rendit dans la cabine d'à coté, la seule autre de la boutique et défit la fermeture de son shorty, pour venir y glisser quelques doigts et se caresser en écoutant de l'autre coté, attendant patiemment que la fille termine son affaire, pour faire connaissance avec elle. Elle n'avait pas fermée le rideau express, pour qu'ils la voient en sortant.

Slurp, gurlg, slorp, miom, mmmh, aaah

   Ôtant de bruit pour une simple fellation, du moins une gorge profonde, Okio offrant une délicieuse gâterie à l'homme, qui ne pouvait que se ravir de ne dépenser que 300 yens. Elle devait servir de gare, seulemnt 300 yens, des queux devaient défiler avec des prix pareilles. Elle pensait qu'a baiser sûrement. Il était presser d'en finir, afin de la culbuter, si ça ce trouve pour même pas 500 yens. Il grogna, et fit de petit mouvement de bassin, lui baisant doucement la gorge. Okio leva les yeux, un regard fantasque et ému, qui poussa l'homme à prendre plus ses aises et donc à prendre un rythme un peu plus fort, Okio se mettant à tousser, multipliant les « gurlg » et « golrp ».

   Entre temps, la boutique accueillit une nouvelle cliente, le gérant n'y fit guère attention, occuper à ce masturber à travers son pantalon, son magazine bien fournit. Nouvelle cliente atypique, car elle remarqua les doux bruit de succions, gémissement et compagnies, ce qui n'était pas le cas des deux personnes dans la cabine, vision couper par le rideau. Cela dit ce dernier était un peu fin, les silhouettes pouvant s'y dessiner, mais aucun ne remarqua celle de la femme, bien trop occuper. Espionné à leur insu, ne se doutant rien qu'un public d'une personne les écouter, le duo continua leur œuvre.

   Okio se déplaça, de façon à s’asseoir par terre, position moins fatiguant, et plaça ses mains sur les hanches de son partenaire, caressant ses hanches, remontant vers son torse, pas de muscle, un peu de gras, mais sans plus. L'homme, ses mains toujours sur la tête de Okio, fessait de grand mouvement, sa pine, bien que de taille un peu au dessus de la moyenne, déformait tout juste le début de sa gorge. Okio, ne pouvait pas se plaindre et qu'il n'avait pas de raison de ce plaindre, car les fellations, et les gorges profonde, était ce qu'il préférait.

-Au putain ! T'es trop bonne.... je... je jouit !

   Il aurait put durer plus longtemps, mais trop excité et qu'une pipe, cela fessait longtemps que sa petite ami l'avait quitter, plus trop habituer. L'homme lâcha donc sa crème chaude, directement au fond de la gorge de Okio, manquant de s'étouffer avec, contraint de l'avaler de force, sans pour autant être en colère pour ça. L'homme se retira, tandis que sa queue subit un lavage intense de Okio, léchant, suçant et aspirant, plutôt bruyamment, sa verge. Ce fut pleine de bave, plusieurs filament la reliant à la bouche de Okio, que la verge sortie à l'air libre. Okio se lécha les lèvres, avant de laper une dernière fois le service trois pièce, qui perdit de sa vigueur.

-Pffiioouu... ça fessait longtemps que t'en n'a pas eu une ? Demanda Okio, en se relevant, et en sortant une petite bouteille de sa sacoche pour boire un peu.
-Euh... ouais, j'en avait trop envie. Tien tes 300 yens. La suite on le fait où ? Demanda t-il en rangeant sa pine.
-Chez toi ? J'habite encore chez mes parents, mais ils savent pas ce que j'ai fais.
-Ah ouais, t'es lycéenne ?
-Finit depuis quelque temps, mais sinon la suite on la fait chez toi ou pas ?
-Euh..., je peux pas non plus, euh... les... les toilettes, ça ira non ? Dit précipitamment l'homme.
-Ouais, bon 3000 yens, la total et dans les toilettes.
-Ok.

   L'homme sortie en premier, suivit de Okio, qui se sentant observer se retourna, pour voir une adolescente, peut être un peu plus âgée que Okio, généreuse en forme, se masturber tranquillement dans l'autre cabine. Okio, de prime à bord interloqué, lui adressa un grand sourire sensuelle. Cette dernière pouvait voir la forme de la verge de Okio déformant son mini-short, une petite tache humide au bout.

-Ça t'a plus ? Demanda Okio.
-Bah evidem... Commença l'homme, en se retournant, avant d'être bouche bée devant la fille, alors que sa trique reprit de la vigueur.
-Un plan à trois, ça vous dit ? Ou... ici avec le gérant, une petite orgie ?

   L'homme fut déconcerté, mais devant cette proposition... et bien il était plus que partant. Restait à voir si l'autre fille était d'accord, et surtout bien plus fournit que l'autre. Et pourquoi changer de partenaire en faite ?

Tandis que le rythme de la pipe croissait dans la cabine d'a côté, Yûko elle, accéléra les mouvements de ses doigts en elle, imaginant très bien la scène, même si elle se représentait elle même en train de la vivre, en gros plan sur le sexe de l'homme, faute d'avoir vue les visages des deux protagonistes. Ses doigts remuaient donc de manière fluide et rapide entre ses chaires rouges et humide, son jus coulant hors de sa fleur pour tremper son shorty. Son bouton d'amour comme ses tétons, étaient durs et fortement érigés tant son plaisir était grand, se dessinant aisément au travers de son haut moulant, jusqu'à ce qu'elle ne jouisse longuement, des jets de cyprine s'écrasant de l'autre côté de la cabine, qui formèrent une petite flaque dans l'allée. Sa respiration était lourde et son souffle chaud, lorsque du mouvement à sa droite lui indiqua que leur petite affaire était terminée.

De ce qu'elle compris, ils allaient se rendre dans les toilettes publics pour la suite. Et comme prévu, ils la virent tout deux lorsqu'ils sortirent de leur cabine, bien que ce soit la pute qui l'a vit en premier. Yûko vit son sourire enjôleur et le lui rendit, s'élargissant lorsqu'elle vit la bosse plus bas. Soit c'était une jeune futanari, soit c'était un femboy très efféminé au vu de ce qu'elle avait pu entendre plus tôt. Même sa voix faisait d'avantage penser à une fille qu'à un garçon.

- Un plan à trois, ça vous dit ? Ou... ici avec le gérant, une petite orgie ?

- Je connais bien le gérant, c'est un gripe-sous qui voudra pas lâcher un Yen. Un plan à trois aux chiotes par contre, ça me botte bien.

La brunette avait parlée la main encore dans son bas, la chatte à l'air, nullement gênée. Le femboy avait sans doute aussi remarqué la belle flaque de mouille au sol. Yûko se releva et ferma sa braguette pour les rejoindre, toujours en état d'excitation avancée, et se colla directement contre le client, venant caresser la bosse dans son froc.

- Normalement, je devrais te faire payer mes services moi aussi, chéri~ mais on va dire que c'est jour de promo et qu'exceptionnellement, aujourd'hui, c'est gratuit pour toi~

Ainsi, Yûko et sa nouvelle collègue se rendirent à la caisse, payant leurs articles face à un gérant qui ne daigna même pas lever les yeux de son magasine, et elles se dirigèrent vers les toilettes public. Le lieu était un peu insalubre et couvert de tags. En vrai, les personnes normales évitaient généralement d'y entrer, ce qui laissait les groupes de baise libre de leurs mouvements, comme en attestaient les préservatifs et les traces de sperme séché présents. Ils n'eurent d'ailleurs pas a s'enfermer dans une cabine, pouvant directement verrouiller la porte principale. Toutefois, Yûko n'en fit rien, des fois que des gens viendraient les rejoindre, et retira son haut, libérant sa généreuse poitrine, ses tétons encore durs, et déboutonna son shorty, sans le retirer pour autant.

- Alors, comment on procède ? Tu te tape d'abord cette petite salope ou bien tu nous baise l'une sur l'autre ?

-Je connais bien le gérant, c'est un gripe-sous qui voudra pas lâcher un Yen. Un plan à trois aux chiotes par contre, ça me botte bien.
-Tu parle en connaissance de cause ? Plaisanta Okio.

   Il s’apprêta à dire qu'il en avait un rien à foutre de son blé, mais l'inconnue se colla à l'homme et tata son paquet, qui ne put qu'avoir une trique des plus dur, laissant aussi voir à Okio la flaque de mouille dans l'autre cabine, ce qui le surprit plutôt.

-Normalement, je devrais te faire payer mes services moi aussi, chéri~ mais on va dire que c'est jour de promo et qu'exceptionnellement, aujourd'hui, c'est gratuit pour toi~
-Au putain, je dois rêve ! Je vais vous faire jouir de litres mes jolies ! S'exclama l'homme.

   Okio renonça à sa petite idée, prit donc rapidement ses strings et culottes qui lui avait plus, alla payer et emboîta le pas à son client. Le voyage vers les toilettes se fit vites, sous les regards de la foule, mais dont ni Okio, ni l'homme et ni sa « collègue de travail » ne semblait être affecter d'une quelconque habitue. Les deux femmes, enfin la femme et le femboy, par habitude et l'homme sans doute par une poussée de testostérone, le transformant en mâle alpha du centre commercial, dans sa tête.

   Une fois les toilettes investit, le trio se fit donc face, les deux escortes-girls du moment et le chanceux de jour. L'odeur quoi que assez dégouttant, était néanmoins supportable après un moment, pour peu que ne respire pas trop par le nez durant ce même moment. Rapidement, la femme se déshabilla à moitié, pour le plus grand plaisir de l'homme, qui commença à retirer ses chaussures, ses chaussettes et son pantalon, ainsi qu'un préservatif de la poche interne de sa veste qu'il mit rapidement, montrant qu'il avait l'habitude d'en mettre. Okio hésita, puis les suivit, lacha à terre sa sachoce et son sac de vêtement, il retira sa chemise, dévoilant une sorte de filet noir fessant office de soutien gorge, pour des seins pratiquement inexistant.

-Alors, comment on procède ? Tu te tape d'abord cette petite salope ou bien tu nous baise l'une sur l'autre ?
-Oh putain tu parle d'un choix, je... attend... mais tes un mec ? Clamât l'homme en regardant Okio

   Okio venait de retirer ses bas, son short et était entrain de retirer sa culotte, noir, un peu transparent et avec un peu de dentelle.

-J'ai jamais dit le contraire. Et ça change quoi ? T'a toujours 5 troues rien que pour toi, et plus c'est déviant plus c'est mieux non ? Répondit Okio, sur un ton principalement pervers, mais un peu neutre, comme si c'était normale.

   L'homme fut choqué et voulue se barrer, dégoutter, mais le souvenir de la fellation, l'apparence efféminer de l'homme, son maquillage, sa voix, l'autre fille et le fait que sa trique était toujours aussi dur, ainsi que le plaisir toujours présent en lui, l'amena à revenir sur son choix. Ça pourrait être sympas comme expérience.

-Ouais... bon, t'es bien baisable, c'est bizarre, mais j'peux faire avec. Mais je veux payer... Commença l'homme, mais Okio l’interrompu.
-Te fais pas chier, j'te fais ça gratuit, j'ai surtout envie d'une queue.
-Ah ouais ? Comme punition tu passera après elle. Dit l'homme. Quand à toit, tu te met sur le dos et écarte les cuises, ta chatte doit de démanger depuis tout à l'heure.

   Il attendit qu'elle s'exécute, avant de se rapprocher d'elle, de se mettre à genoux et de présenter Roger à sa nouvelle loge. Comme dans du beurre un peu fondue, il glissa l'intérieur et heurta rapidement le fond, dans un long soupir.

-Putain, on dirait que t'attend ça depuis des lustres ! Clamat l'homme, avant de faire ses allées et venus.

   De manière plutôt fluide, et assez énergétique, il se mit à baiser sa nouvelle prostituée, mettant de l'ardeur dans l'ouvrage. Okio, de son côté, se colla au dos de l'homme, qui malgré la trique de Okio, eu l'impression d'avoir une femme dans le dos. Okio caressa de ses mains ses pectoraux, remontant parfois vers les muscles des bras, plutôt bien travailler, tout en mordillant et en léchant le coup de l'homme.

Honnêtement, Yûko était assez surprise de constater que sa collègue était en réalité UN collègue mais, dans le fond, elle s'en fichait un peu. En bonne bisexuelle, elle appréciait autant les hommes que les femmes et dans le cas présent, ça pouvait même être intéressant, la jeune fille n'ayant jamais doigtée d'hommes, ces derniers ayant toujours refusés de subir ce genre de chose. Et celui-ci lui fit d'ailleurs remarquer à l'homme qu'il avait sucer que cela ne l'avait pas dérangé outre mesure.

- Ouais... bon, t'es bien baisable, c'est bizarre, mais j'peux faire avec. Mais je veux payer...

- Te fais pas chier, j'te fais ça gratuit, j'ai surtout envie d'une queue.

- Ah ouais ? Comme punition tu passera après elle. Quand à toit, tu te met sur le dos et écarte les cuises, ta chatte doit de démanger depuis tout à l'heure.

Yûko termina de se déshabiller et termina totalement nue dans les toilettes, avant de s'allonger à même le sol froid et humide en écartant ses cuisses au maximum, la chatte trempé et chaude comme la braise. La pénétration lui procura un énorme plaisir et elle en gémit longuement. Puis, les vas et viens s'enchaînèrent, lentement au début, le temps que son amant prennent ses marques, puis plus vite ensuite. Durant les minutes qui suivirent, elle gémit et soupira sensuellement de plaisir, sa fleur intime émettant des bruits terriblement pervers.

- Haaaaa... Haaaaaa.... Plus fort... Haaaaa.... Baise moi la chatte plus fort... Haaaaa.... Oui.... Putain oui.... Haaaa.... C'est boooon !!!! Haaaaaa !!!! Haaaaaa !!!!

Yûko était incroyablement chaude, submergée par de puissantes vagues de plaisir, tandis que ses lourds seins ballottaient au rythmes des hanches de son amant. Elle finit par se souvenir qu'ils étaient trois ici et elle interpella l'autre.

- Hey... Toi là, avec... haaaa... les cheveux violet... Viens là... Haaaa.... Je vais m'occuper de ton cul.... Haaaa....

   L'homme, appelons le Noshachi, était depuis un moment en manque, sa copine l'avait plaquer pour un autre et il n'avait tirer de coup depuis plusieurs mois. Pouvoir enfoncer ça queue dans un chatte lui avait manqué, si bien qu'il avait presque faillit jouir après quelque coup. Cette salope était tellement tremper et chaude qu'il avait bien faillit lâcher la sauce, une autre paire de manche que son ex, pas aussi tremper et accueillante. Il se lâchait, bourrant comme une dinde la gonzesse, sa généreuse poitrine se ballottant au rythme des coups, enfonçant son vit le plus fort, loin et rapidement possible dans son minou, en la tenant fermement par les cuisses. En plus, à ses yeux le femboy était foutrement doué pour les caresses, en plus d'avoir une belle gueule, renforçant sa trique et l'enfonçant un peu plus dans le vice et le plaisir, snas compter les cries de l'autre, qui n'était pas forcé, mais réel, elle prenait vraiment son pied, au plus grand plaisir de l'homme.

   D'une main, Noshachi attrapa le visage de Okio avant de tourner la sienne et de lui mettre une magnifique pelle, l'embrassant goulûment, leur langues se tordant dans tout les sens, leur salive se mélangeant. Même en l'embrassant on pouvait dire que ce type était une fille, et qui continuer à caresser son corps. Et sans cesser de l'embrasser, il jouait du bassin, enfonçant toujours aussi vigoureusement son dard, et frottant par la même occasion le queue de Okio, coller près de ses fesses. Étrangement, c'était dérangeant et excitant à la fois. Il mit fin au baisé plutôt, au même moment, la délicieuse femme qu'il prenait, fit une demande assez inattendue.

- Hey... Toi là, avec... haaaa... les cheveux violet... Viens là... Haaaa.... Je vais m'occuper de ton cul.... Haaaa....

   Surprit, les deux hommes la regardèrent un moment, avant que Noshachi, en ce moment le « chef » de la baise, car le seule vraie homme, selon lui, fit signe à Okio d'obtempéré, qui ne se fit pas prié, ayant une assez bonne idée de ce qu'elle allait faire. Il avança à quatre pattes, allant tout d'abord l'embrasser goulûment, avant de se mettre en position, tendant son beau petit cul assez bien rebondit à porter de main de la fille, assez pour caresser son bassin. Ne restant pas en reste, et ayant assez d'expérience avec lui même, de sa main la plus proche, il entreprit de pincer doucement les tétons de la fille, avant de pétrir avec sensualité sa poitrine, lui offrant un petit massage sexuelle. De son autre main, si se branla doucement, lançant des regards aussi pervers que sensuelle à leurs homme. Ce derniers voyait plus une scène entre lesbienne, qu'une scène entre hétéro, ce qui lui plaisait encore plus, bourrant encore plus le corps de cette délicieuse nana, qui s'offrait gratuitement à lui.

-C'est quoi vos p'tits noms mes jolies ? Demanda subitement l'homme.

   Ça serait mieux que de les appeler « salope » ou « pute » ou encore « toi ».

-Okio mon beau... mmh ! Susurra Okio

Alors qu'elle lui avait demandée de se mettre en position pour qu'elle puisse s'occuper de sa croupe, Okio choisit en premier lieu de venir l'embrasser. Elle ne se fit toutefois pas prier et lui rendit son langoureux baisé, tournoyant goulûment sa langue avec la sienne, dans des bruits mouillés et sonores. Ce n'est qu'une fois que leurs lèvres se séparèrent, que la jeune fille eu une belle vue sur son cul, petit et rebondit, digne d'une vraie petite salope. Le massage de ses seins la fit bien évidement tendrement gémir de plaisir.

- C'est quoi vos p'tits noms mes jolies ? Demanda subitement l'homme.

- Okio mon beau... mmh !

- Moi c'est... Hmmmm ♥ C'est Yûko ♥ Haaaaa... ♥ Itadakimasu ♥

Une fois les présentations faites, elle approcha son visage de la belle croupe du femboy, une main sur chacune de ses hanches et plongea sa petite langue humide dans sa rondelle après l'avoir brièvement léchée autour, lui offrant ainsi un agréable cuni, ses gémissements étouffés dans la chair de son nouveau partenaire de jeux. Durant quelques minutes, Yûko ne fit ainsi que gémir et soupirer, son plaisir augmentant graduellement. Malgré le fait que l'homme bourrinait sauvagement son intimités, elle ne jouissait pas encore, preuve de son endurance de de son expérience dans le domaine. La prostituée finit par retirée sa langue du cul trempé de salive d'Okio et le pénétra ensuite de deux doigts, qu'elle fit aller et venir rapidement en lui.

- Hmmm... Haaaaa... Haaaaaa... Haaaaan.... J'adore ton p'tit cul.... Haaaaaa.... Okio ♥ Haaaaaaa.... Haaaaaa....

   Ce triangle était intense et jouissif, les trois personnages se donnant à cœur dans l'ouvrage. Les paroles de Yuko furent étrange aux oreilles des deux autres, jusqu'à ce que Oki lâche un petite crie de surprise purement féminin, quand Yuko entreprit de lui offrir un cunnilingus des plus agréables. Elle lécha et pénétra de langue la rondelle, inondant de bave les lieux, dévorant l'arrière train du femboy, qui mordilla sa lèvre inférieur, ses jambes de par et d'autre de la tête de la vrai fille, ses mains s'occupant de la poitrine opulante de sa partenaire, pinçant doucement ses tétons, les fessant rouler entre ses doigts ou malaxant directement le sein. De vrai lesbiennes, si Okio n'avait pas le service trois pièce, permettant de bien confirmer son sexe.

   Ce dernier était tendue à l’extrême, du pré-sperme s’écoulant lentement, stimulé par le seule plaisir que ressentait Okio. C'était assez dérangeant, mais tout aussi agréable. Okio refusait de se soulager, se laissant frusté, prenant plus son pieds par les stimulations que lui procurer la langue de sa partenaire contre sa rondelle et ses parois internes, gémissant à chaque coup de langue. Mais après quelque minutes, une fois sa rondelle dégoulinant de bave, la belle Yuko enfonça deux doigts, commençant un petit fistage, fessant de rapides allers et venues. Okio ne manqua pas de lâcher un petit crie de surprise, avant de gémir continue, soufflant profondément parfois, murmurant tant tôt un « oh oui » ou « Putain c'est bon » discrètement, tête légèrement relever, yeux mi-clos.

   De l'autre côté, l'homme du jour, s'activer pour faire plaisir à cette délicieuse salope, mais après quelque minute, il due s'avouer vaincu, car il pensait la faire jouir avant lui, mais elle était tenace, s'imaginant très bien pourquoi elle tenait autant. Ou bien il était mauvais, mais cela ne lui vint pas à l'esprit. En réalité, après quelque minute, ce fut autre chose qui lui vint à l'esprit. Il donna quelque coup, avant de s’arrêter, loupant de peu de lâcher la sauce.

-Mes petites salopes, j'ai une idée qui vas vous plaire ! Annonça t-il. Okio retire toi et toi Yuko à quatre patte !

   Il attendit qu'elles s'exécutent, se masturbant pour entretenir la machine, avant de placer Okio devant la croupe de Yuko. Sans prévenir, il enfonça d'un coup son chibre dans le cul de Okio, lui arrachant un crie de plaisir et de surprise, avant de le pousser, guidant sa trique vers la rondelle de Yuko, et donna un violant coup de bassin. Par ricochet Okio s'enfonça assez brutalement dans beau cul de Yuko. Un sandwich curieux. Il coucha le femboy sur la fille et entreprit de culbuté Okio avec vigueur, qui bougeait son bassin au même rythme, sodomisant tout aussi violemment Yuko, offrant une jolie réaction en chaîne.

   Tandis que l'homme tenait Okio par le cul, ce dernier avait une main sur la poitrine de Yuko, l'autre sur son intimité, la masturbant énergétiquement, pinçant et roulant entre ses doigts le clitoris, en plus de lui mordiller affectueusement l'oreille.

Yûko était une prostituée, ayant accumulée pas mal d’expérience dans le métier. Si l’intérêt majeur était de pouvoir se faire sauter et baiser dans de nombreuses situation, elle se devait tout de même de procurer du plaisir à ses partenaires avant d'en prendre. Autrement dit, il était rare qu'elle jouisse avant ces derniers, une sorte de déformation professionnelle involontaire dirons nous. Il n'était donc pas étonnant qu'elle ne se soit pas encore lâchée, malgré le pied qu'elle prenait. Au bout de plusieurs minutes, l'homme leur ordonna de changer de position et ainsi, la belle brune se retrouva à quatre pattes sur le carrelage, son petit cul bombé vers Okio.

Il ne fallut pas longtemps avant qu'elle ne sente sa bite s'enfoncer dans sa rondelle, la faisant longuement gémir de plaisir. Mais dans l'histoire, ce devait être Okio qui devait prendre un plaisir monstre, car il était autant stimulé par devant que par derrière... Jusqu'à ce qu'il se décide à jouer de nouveau avec ses seins, en plus de son clitoris, les titillant longuement et intensément.

- Haaaaa.... Ouu...Ouiiiiiii... Haaaaan ♥ C'est.... C'est booooooon.... Haaaaaa ♥♥

Une petite flaque de mouille se formait entre ses cuisses, celle-ci coulant le long de sa peau, rendant le sol un peu glissant. La jeune fille adorait se sentir si bien bourrée. Les yeux clos et la bouche entrouverte, sa langue dépassant légèrement, elle savourait chaque pénétration, chaque onde de plaisir qui l’électrisait. Elle savoura durant de très longues minutes, jusqu'à ce qu'Okio ne craque le premier et n'inonde son fondement.

- Haaaaa... HaaaaaaAAAAAAaAAAAaAAAAaaN !!! ♥♥♥

Sentir le foutre chaud abonder en elle, se déverser au plus profond de son corps, la fit elle aussi jouir d'extase, expulsant de nombreux jets de cyprine sur le carrelage, faisant de nombreuses éclaboussures facilement audibles. Si Okio avait jouis de la sorte, ce devait sans doute être parce que lui même s'était fait remplir le cul par l'homme. Néanmoins, les vas et viens continuèrent encore un moment, avant que la jeune fille ne s'affaisse sur le sol, respirant lourdement, un peu fatiguée mais heureuse. Le sexe d'Okio se retira de son fondement et le trop plein s'écoula de son petit puits ouvert...

- Hmmm... J'ai adorée cette petite séance... ♥

   N’importe qui verrait cette situation étrange, d'ailleurs cela dissuada quelqu'un d'aller au toilette, préférant ne rien savoir et ne pas s'en mêler. Une femme à quatre patte, se fessant bourré le cul par une autre femme, ou un homme très féminin, coucher sur elle, massant ses seins et lui/elle même prise par derrière par un homme, qui se déchaînait au mieux. L'homme prenait avec vigueur Okio, le fessant rebondir contre le cul rebondit de la fille, guidant ses pénétrations. Il haletait, cet acte l'éprouvant physiquement, mais il tenait bon, ses muscles lui fessait mal, mais le plaisir l’empêchait de s’arrêter pour ce reposer.

   De sont côté Okio, expérimenta pour la première fois depuis plusieurs mois, un plan à trois avec une fille, ce qui lui procura des sensations nouvelles et délicieuses. Il se sentait comme un puceau éprouvant pour la première fois les joies de la sodomie, le fessant gémir tendrement, tout en léchant le cou de la fille. En même temps, et en temps que homme dans le fond, il prenait un malin plaisir à pétrir les obus de la fille, appréciant le contact entre ses doigts, jouant avec les tétons, les fessant glisser entre ses doigts. Après quelque minutes de profonde sodomie, à pousser des grognements et de souffler comme un bœuf, l'homme donna un dernier coup, le plus fort qu'il puisse faire.

-Rrraaaaahh..... je... je jouie mmmhh ! Souffla t-il lors de son dernier coup.

   Il lâcha finalement un crie bestial, lâchant toute sa sauce, suivit de Okio, qui poussa un crie féminin, au point de n'y avoir aucune différence avec la fille qui jouit à son tour, lâchant plusieurs jets de cyprines, alors que Okio cracha plusieurs jets de sperme, continuant à remuer son bassin, arrachant encore un jets de la part de l'homme, remuant son sperme dans le cul de la fille, lâchant un dernier jet de foutre. Finalement le trio se calma, leur pulsions se calmant et l'homme se retira, se laissant tomber sur le cul, haletant, reprenant son souffle, aux anges. Okio se retira aussi, passant ses mains le long des courbes de sa partenaire, profitant ses formes, pressant ses fesses, avant de se mettre à genoux, baissant sa tête vers la rondelle de la délicieuse Yuko, voyant à quel point il avait jouit et que ce cul avait visiblement beaucoup servit, au vue de la manière dont le troue était écarté..

-Et bien, l'endroit est bien visité. Souffla Okio, avant de l'embraser.

   Insatiable, il y déposa un baiser, récoltant son sperme avec ses lères, avant d'y passer la langue, glissant dans le fondement, mimant une sodomie avec sa langue, avant de lécher les parois. Il joua quelque instant, avant de se retirer, léchant ses lèvres, récoltant son foutre et se dirigea vers l'homme, son sexe pointant le sol, sans vigueur.

-Qu'es...aah...que tu fais... aah... Lacha l'homme, haletant, éprouver, fatiquer, son corps demandant du repos.
-Je déteste partir sans faire un peu de nettoyage. Minauda Okio.

   Il se baissa, au niveau du sexe de l'homme, laissant son cul pointer le plafond, du sperme dégoulinant un peu et usa de langue jouant avec, parvenant à raviver la machine, assez pour le prendre en bouche et le sucer goulûment, avalant toute les traces de sperme, allant même jusqu'à gober les couilles. L'homme, se soutenant avec ses mains, n'avait plus la force de faire quoi que ce soit, reprenant de ses efforts, et regarda d'un œil à la fois ravie et surprit, le premier pour la fellation, le deuxième parce que Okio en avait visiblement encore en vie et sembler encore d'attaque, alors que lui n'en pouvait plus. Ce fut quand Okio était sur d'avoir avaler tout les traces de sperme, qu'il s’arrêta, avalant le tout avec sa bave et se releva.

-Pfiou... c'était un bon moment ! Clâmat Okio, en se rhabillant. J'aurais bien aimer continuer, mais le soldat doit se reposer et on risque de ce faire choper par la sécu. À refaire ?
-Ou..ouais. Souffla l'homme.
-Cool ! A plus alors ! Lança Okio, en se dirigeant vers la sortie.

   Lhomme resta sur le sol, avant d'aller se rhabiller. Il n'aurait pas crue ce type aussi endurant, de même pour la fille. Il allait devoir travailler ça.

   Okio poussa la porte d'un geste énergétique, sortant dans le couloir, rejoignant la galerie marchande. Il patienta, attendant que la fille soit à son niveau et lui lança un regard aguicheur.

-Maintenant que la baise est faite et qu'on a plus ou moins l'esprit clair, on refait les présentations ? Je suis Zarachi Okio, ravie de te rencontrer. Annonça t-il. J'suis sur de pas me tromper, mais t'es une prostituée pas vrai ?

   Au vu des vêtements, de la facilité à la quelle elle les avait rejoint et de certain propos, difficile de penser autrement. Il était tenter de dire pute, comme dans son habitude, mais par politesse, il avait choisit un mot moins blessant.

- Et bien, l'endroit est bien visité.

- Hi hi ♥ J'y peux rien si j'aime me faire enc...Haaan ♥

Il se mît à lui lécher son fondement et Yûko ne pu que gémir tendrement en redressant son cul vers le haut, ses seins écrasés contre le carrelage. Okio nettoya son petit trou de fond en comble jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien à récolter, avant d'en faire de même avec la queue de l'homme. En se retournant, la jeune fille vit que le puit secret de son collègue était dans le même état, aussi ravagé que le sien et alla donc lui rendre la pareille, récoltant la douce crème blanche de sa langue gourmande, s'enfonçant profondément pour ne pas en laisser une goutte, avant d'aller se rhabiller. Avant de sortir des toilettes, elle tendis sa carte à l'homme.

- Si jamais tu veux qu'on se revois~

Elle accentua avec un clin d'œil avant de sortir à son tour, rejoignant le trap.

- Maintenant que la baise est faite et qu'on a plus ou moins l'esprit clair, on refait les présentations ? Je suis Zarachi Okio, ravie de te rencontrer. J'suis sur de pas me tromper, mais t'es une prostituée pas vrai ?

- En effet. J'm'appelle Yûko et j'me prostitue. Je travaille à mon propre compte, j'suis indépendante, mais je fais aussi partie d'une assos, qui me permet de rester indépendante justement. Si ça t'intéresse, j'peux te montrer ? Tu pourrais en faire partit toi aussi ?

L'association gérait le site internet des prestations, chacune des prostituées pouvant établir ses prix sans restrictions, mais gérait également les loyers des studios, ce qui était déjà mieux qu'une chambre de maison close ou un squat. Et pour celles qui avait des difficultés pour lire ou écrire, comme c'était le cas de Yûko, une personne physique leur était attitrée si elles le souhaitait.

- Tient, j't'invite chez moi si ça t'dis. Et on pourra toujours baiser entre nous si ça t'tente.