Histoire
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Chapitre 0 : L'arriver
L'arrivée des formiens, la plus grande menace de Terra venant de l'espace, fut déceler bien avant qu'ils ne commencent leurs ravages, bien qu'à l'époque nulle n'aurait pu prédire le désastre qui allait arriver. Ce fut l'astéroïde qui les amena sur Terra qui fut déceler par les satellites et les observatoires spatiaux, le traitant que comme un simple objet de l'espace. Les premières observations permirent d'affirmer qu'il s’agissait du plus gros astéroïde qui passait si près de Terra, aussi gros qu'une ville, s'en suivit d'une étude de sa composition, qui même s'il présentait beaucoup de trace de métaux connue, certains éléments ne purent être analysé, ni être comparé à un des éléments du tableau périodique et surtout, on décela des éléments organique. Cette découverte fut un bouleversement et l'ouverture vers des chemins inconnue pour la science, avant de devenir une menace pour Tekhos. Non-content d'être le plus gros astéroïde vue aussi près de Terra, plusieurs dizaines de kilomètres et plusieurs milliers de tonnes, ce dernier était sur la trajectoire de Terra et des centaines de simulations ne montraient qu'un seul point d'impact : Tekhos.
L'objet menaçait de raser la ville, en plus de pouvoir causée d'énorme dommage partout dans Terra, que se soit l'onde de choc qui en résulterait, l'explosion ou le séisme qui en découlerait. L'état d'alerte fut déclenché et l'armée prit les choses en mains, avec la ferme intention de détruire la menace. Une seule solution était possible, la destruction de l'objet par le canon AM classe Alxion du satellite Athena, la deuxième arme de destruction massive après la bombe nucléaire, créer dans ce genre de situation après le météore Xintia, qui avait détruire une partie d'une ville voisine, engendrant des milliers de morts et afin d'éviter l'onde électromagnétique de l'arme nucléaire qui risquerait de détruire la plupart des satellites ou des potentielles retomber radioactif, suivie d'une centaine de missiles pour détruire les potentiels éclats qui seraient une menace en plus. Cette solution fut adoptée et valider par les hautes instances.
Tirant des projectiles en titane de plus d'une centaine de tonnes, avec un cœur appauvrie en uranium, le canon à Accélération Magnétique Alxion est une des armes les plus dévastatrices créer à ce jour. L'explosion égalée presque celle d'un missile nucléaire, sans les effets secondaires, comme les maladies, les radiations ou autre. Ce fut une fois à porter, à plusieurs centaines de kilomètres, qu'Athena fit feu. Sur Terra, on sortait déjà les verres et le champagne, bien trop sur de la réussite de l'objectif et de la menace qui serait bientôt plus qu'un malheureux souvenir. Mais le destin fut bien dur.
L'obus destructeur, heurta l'astéroïde et explosa, provoquant une explosion non loin de celle d'une bombe nucléaire, mais qui ne fit que dévier la menace de son objectif. La panique fut totale, tandis que l'objet avala les kilomètres rapidement. Athena tira une nouvelle fois après un long moment pour recharger le canon et charger le tir, cette fois suivit des missiles intercontinentaux à faible charge nucléaire, customiser pour aller dans l'espace et envoyer par Athena. Le résultat fut tout aussi catastrophique, l'explosion avait égalé presque à 2 fois la puissance d'une bombe nucléaire, quand bien même l'astéroïde fut dévié de plusieurs centaines de kilomètres de son point d'impact. On pu noter des impacts, mais insuffisant pour détruire le corps céleste.
Alors que tout sembler perdue, l'improbable se produisit. L'astéroïde se mit à ralentir, perdant rapidement de la vitesse, avant de pénétrer l'atmosphère, surchauffant. L'astéroïde ralentissait encore, malgré l'attraction terrestre, malgré son poids, malgré sa vitesse. Contre tout les pronostique possible, l'objet atterri sans se briser, et bien moins violemment contrairement à ce qui était prévu, loin des habitation, dans une réserve naturelle. Un séisme de magnitude 7 fut tout de même enregistrer et ressentit, et ravagea pratiquement une ville entière, qui entraîna une évacuation rapidement. Fessant face à un vent de panique, et devant prendre en charge des villes toucher par le séisme, le gouvernement laissa entièrement la situation au militaire, qui envoya des troupes réservistes et quelques unités régulières, l'armée étant sur la frontière, en prévention d'attaque extérieure.
Chapitre 1 : Opération Premier contact
Dans une
Gargouille, une trentaine de personnes se tenaient dans la soute,
en armure blindé de classe 3, nom de code Protector, casque sur leurs genoux, armes entre leurs cuisses ou sur l'attache juste au-dessus d'eux. Des soldates des forces spéciales. Parmi eux se trouver un homme, qui avait sut ce montré indispensable et particulière habile pour faire partie de l'élite, et aussi grâce à de sacrer piston. Maintenant, il passait pour la mascotte de service. L'une des soldates était rivée sur une tablette holographique tandis que le reste, dans le silence, attendait que leur chef annonce les dernières informations. C'étaient des troupes d'élites, la compagnie Braveheart.
-Bon les filles. Clama la lieutenante Margot en se levant, avant de se tenir à une poignet, tenant dans l'autre main sa tablette.
-Hem. Émit Mathis
-Bon les filles et le gars. Reprit elle, un sourire en coin. En temps normal, on devrait être dans les zones à risque à la frontière, mais comme vous le savez, on a besoin de mains pour porter assistance à la zone du crash. Le gouvernement fait face à des mouvements de paniques et pleins de monde en profite et les majorités des troupes sont aux frontières.
-Et on fait appel à des soldates, et un soldat, d'élites juste pour surveiller un rocher ? Posa Christelle On ne serait pas mieux pour aider en ville ou à la frontière ? J'veux bien que les ordres soient les ordres, mais quand même, ce n'est pas un peu inutiles ?
-Si les satellites n'avaient pas réussi à prendre ces clichés, ni les examens des scientifiques, ni les rapports de force en présence ça aurait été le cas croit moi. Répondit Clara
Sans un mot de plus, elle plaça sa tablette au milieu du groupe, avant d'activer le mode écran. Un écran de verre plat se forma, tandis que plusieurs photos s'affichèrent, ainsi que des donner et des rapport. Sans un mot, le groupe regarda les images durant un long moment. Les photos montraient le rocher, recouvert de multiple excroissance de taille gigantesque, formant une membrane qui semblait le ralentir, certaine se déchiraient, avant d'être remplacé par d'autres. Les rapports des observations des troupes en place, parler de masse organique fondue, s'écoulant du météore, ainsi que d'excroissance minérale et biologique qui s'enfoncer dans la terre.
-C'est une blague ? Lâcha Joanna.
-Classé secret défense, nous sommes bel et bien face à une forme... organique extraterrane. Rien ne correspond à des tissus vivants répertorié sur Terra, même si on trouve des similitudes. On nous envoie afin de faire face au pire des scénarios : menace biologique ou attaque aliens. Les troupes principales sont bien trop loin, le temps qu'elles arrivent, on nous envoie, nous et quelques unités de réserve pour renforcer la zone. L'objectif de la mission n'est pas défini, on doit juste rallier le site du crash comme renfort, on avisera sur place, la commandante Andrela nous donnera plus de détail. On ne sait pas à quoi on a faire, mais préparer vous au pire.
Les soldates se regardèrent, l'appréhension et une certaine tension s'installant. Le silence s'installa, chacune digérant les informations nouvellement apprise. L'une d'elles plus particulièrement, avait les mains tremblante, tenant un collier, un pendentif en fer-blanc représentant une grappe de raisin.
-Adria' ça va ? Lui demanda sa voisine.
-Oui... ça va Sacha. Mentit Adriana. Merci.
Adriana ne se sentait pas vraiment bien. Le séisme provoqué par l'astéroïde avait touché son domaine familial et elle ignorait l'étendue des dégâts. Elle n'avait pas appelé quand sa supérieure lui avait annoncé la nouvelle, ni même chercher à aller là-bas pour aider. Elle aurait dû, mais depuis que sa mère l'avait viré du domaine familial, quand elle avait annoncé qu'elle s'était engagé à l'armée pour suivre Sacha, il y a quelques années maintenant, elle ne savait plus comment agir avec eux. Sa mère ne cesser de lui reprocher son choix, de la faire culpabiliser et de ne plus vouloir la revoir en face, depuis qu'Adriana avait refusé de prendre la tête de l'entreprise familiale comme elle avait espérer qu'elle face. Son autre mère, bien plus conciliante, avait accepté son choix, mais ne pouvait s’empêcher de lui en vouloir.
Alors qu'Adriana remuait ses pensées Sacha, lui parla une nouvelle fois.
-Adria'... je sais quand tu mens, arrête de penser à ta famille, tu n'es pas responsable et tu n'a pas à te sentir coupable ! Tu te rappelle de ce que ta mère ta dit il y'a quelque jours ? Elle a finit par te renier !
-Je sais 'Cha, je...
-Les amoureuses ! Interpella la Chef. Finis les messes basses. Préparez-vous, on saute dans cinq minutes.
Alors qu'elles remettaient leurs casques, Sacha embrassa rapidement Adriana avant qu'elle ne mettent le sien. La soute arrière s'ouvrit, sur le vide, le ciel particulièrement mauvais, couvert de nuage gris-noir, menaçant à tout moment de pleuvoir. Les soldates se mirent en rangs, tandis que des bras mécaniques passèrent dans leur dos pour installer un équipement de vol sur leur armure.
-GO ! Hurla la chef quand une lumière verte s'alluma.
Par deux, les soldates se jetèrent à la suite dans le vide. Elles restèrent en chute libre quelques secondes, avant qu'elles n'activent leur nouvel équipement : deux ailes énergétiques se déployèrent et un réacteur s'activa, les propulsant à grande vitesse, avant qu'elles ne remontent et se mette en formation, formant un V, dont leur chef était la pointe. L'équipement D.A 35LP (déplacement aérien n°35 longue Portée), avait remplacé depuis longtemps les parachutes en nano-fibre et jet pack d'atterrissage. Une liberté de mouvement plus important et l'évolution sur de plus grande distance, afin d'arriver à l'endroit désiré, en plus d'être rapide et relativement discret. Fragile, non conçue pour le combat, cet équipement servait uniquement pour larguer les troupes sur des zones inaccessibles aux appareils ou pour des missions d''infiltration.
Durant une poignet de minute, les trente soldates d'élite plongèrent vers le sol, jusqu'à la limite critique, qu'un signal sonore leur indiqua, où elles durent mettre leur jambe en avant et se servir de leur réacteur et de leurs ailes afin de préparer l'atterrissage et ralentir. Surgissant du ciel, telles des anges noirs, les trente soldats se posèrent plutôt brutalement, leur armure absorbant le choc et en s'accroupissant, à une dizaine de mètres du campement. Elles se relevèrent rapidement et partirent au trot pour rejoindre la base. Comme prévenue de leur arriver, une femme se présenta à elle, ses galons indiquant qu'elle était la commande dans cet endroit. Un simple coup d’œil suffisant pour comprendre que la lieutenant-colonelle Andrela.
-Lieutenant-Colonelle, lieutenante Margot des forces d'assaut d'élite au rapport ! Clamât Margot en se mettant au garde-à-vous.
-Bien, préparer vos soldates à une exploration, passer dans l’armurerie s'il le faut. C'est une opération coup de poing, on a pas de temps à perdre, les grandes pontes veulent des résultats le plus vite possible. Lâcha Andrela en lui rendant son salut
-Excuser moi, mais une exploration ?
-Suivez moi. On a repéré plusieurs centaines de troues dans l'astéroïde. Rien de bien surprenant, mais on pense que la matière organique vient de là, car certains sons trop réguliers pour être normale, que ce soit celle des parois ou leur placement sur l'astéroïde ou même leur forme qui n'a rien de naturel. On manque de soldat, mais avec vous, on peut en visiter 5 de plus, par groupes de 6. Certain de ces conduits finissent en cul-de-sac, sur des murs organique qu'on essaye de faire sauté ou trop petit pour être visité. Et on ne peu pas envoyer de drone, car tout ce qui entre sembler ne plus fonctionner au bout de quelques mètres. Ce truc émet des champs magnétique qui perturbe tout système électronique. Une étude par sonar ou rayon X est en cour, mais on risque de mettre des semaines pour obtenir des résultats. Une intervention humaine est inévitable.
-On sera sans communication ?
-Oui, mais vous serez relier à des câbles en acier. C'est tout ce qu'on peu faire et impossible de faire une analyse interne. Début de l'opération dans 35 minutes sur la zone Ophton, la zone éclairé de lumière verte. Conclue Andrela en repartant.
-5/5 chef. Répondit Margot, avant de se retourner. Les filles et le gars, faites un topo de l'armement et aller à l’armurerie si il faut changer. Enchaîna t-elle. Corps à corps, courte et moyenne distance ! Faite les groupes habituels.
30 minute plus tard, sur la zone Ophton, devant plusieurs entrée plongeant dans un abîme inquiétant, la troupe d'élites fessait leur dernier préparatif, tandis que les groupes se formaient devant l'entrée qui leur avait attribuer. Plusieurs signe montrer que les fameuses entrés, avaient servit à faire les espèces de membrane organique et que la matière organique avait été évacuer : la présence de matière organique autour des entrées, formant la base des membranes, le sol légèrement spongieux et la désagréable odeur de brûler, des incinérateurs à côté et les pelleteuses, dont les godets étaient encore salis par la substance. Et l'immense tas informe, noir et puant, hors de la base aussi.
Adriana vérifia une nouvelle fois son arme,
un fusil à pompe, le grand classique pour ce genre d'opération, mais elle comptait se servir de munition incendiaire et explosif, afin d'être sûr de causer le plus de dégât possible et vérifia la sangle de son épée tronçonneuse. À ses côtés, Sacha, son amoureuse depuis ses débuts dans l'armée, vérifia que son
lance flamme Inferno été bien remplit et qu'il ne lui manquait pas de recharge. Mathis, de son côté, ajusta la lanière de son
minigun à particule, plus rapide pour tirer et n'ayant pas besoin de bande munition ou de caisse de recharge que le minigun classique, mais moins mortelles, mais une cadence un peu plus importante. Margot, la chef, chargea son
Fusil Plasma LMD un fusil à plasma, capable de tir charger pour créer une grenade plasma ou à dispersion pour crée un cône de tir relativement étendu, bien que cela nuise grandement à sa puissance de feu. Sonia était armée de
mitraillette laser, rapide et mortelle, facile à recharger et capable de tir soutenu, classique mais pratique. Et enfin Laura, équiper d'un
M571, avec un tazer intégrer, permettant des coups au corps-à-corps des plus mortelle, ce dernier capable de tuer un homme. Bien évidemment, leur armement complété par deux armes de poing, balles explosives, couteau de combat acier carbone énergétique, des grenade incendiaires et du C4. Et avec ça, un harnais relier à un câble de fer, ce dernier coincer dans un boîtier qui était une sorte de tire-câble, un bout dépassant sur le côté, un puissant moteur comprimant le câble, qui si actionné, tire sur le câble, avant de le remonter. Assez puissant pour tirer une personne en armure.
-SOLDATES ! Hurla la lieutenant-colonelle Andrela sur une estrade et dans un micro. Ceci est une opération découverte, nous sommes en face d'une situation inédite, tout peut arriver, du plus improbable à la pire chose possible. Vous serez en terrain inconnu, avec pour seul lien avec le monde extérieur un câble de fer. Ne prenez aucun risque, au moindre doute, moindre danger, bâté en retraite s'il le faut. Vous avez des fumigènes et des grenades EHF, cela devrait suffire pour signaler un danger et si vous devez recevoir du soutien. Début des opérations et bonne chance.
-OYRIA ! Hurlèrent les soldates, leur crie de guerre, alors qu'elles s’engouffraient dans l'astéroïde.
Plus d'une centaine de femmes et hommes, chair à canon, entrèrent dans l'astéroïde par les divers accès juger comme non-naturelle, fais mains et origine de la matière organique. Chaque personne avait un câble d'acier attaché à sa taille. Pour le groupe d'Adriana, l'entré ne fut guère difficile, assez large et haute pour laisser passez un camion. Le groupa marcha dans de la matière organique fondue, formant une espèce de pâte épaisse et visqueuse, proche de la boue, tandis que les parois étaient recouvertes de cette même matière, dégoulinant et des morceaux tombant parfois.
-On pourrait imaginer le colon de Malia après une gastro. Fit remarquer Sonia, alors que la lampe de son casque éclairer le plafond.
-Évite de nous faire vomir. Demanda Mathis. L'odeur est déjà limite, les filtres ne sont pas assez efficaces.
-Mon nez la déjà constater. Fit remarquer Laura. On dirait un mélange entre... de la viande avarier, griller, du poisson pourrie et celle d'une de tes chaussettes.
-Je vais gerber. Répondit Mathis, en réprimant un haut de cœur, le ton allant avec.
-La ferme ! Clamât Margot. En Hexagone, Sacha la tête, Mathis la queue, discutions minimale.
Derrière eux, l'entré se fit de plus en plus loin, éclairer par les projecteurs. La matière spongieuse était de toute sorte de couleur et en réalité entièrement fait de morceaux, même si fondue par l'entrée en atmosphère. Continuant dans l'espèce de mélasse, le groupe arriva après quelques minutes sur un étrange mur, organique, mais aussi minéral et curieusement métallique, ses deux derniers formant un étrange symbole symétrique.
-Ça doit être une sorte de génOOUUUAAAHH ! Commença Laura.
Brusquement, le mur s'ouvrir en forme d'iris, créant un appel d'air assez fort, happant le groupe, avant qu'il ne retombe à une dizaine de centimètres de leur position initiale. Ils se relevèrent rapidement, braquant leurs armes pour couvrir tout les angles, avant d'être choqué par l'endroit.
Une immense salle, d'aspect aussi bien organique que minérale, ayant même des partis métalliques, qui purent qu'être fabriqué. En hauteur, diverse passerelle, des plates-formes, eux même sur une sorte de talus, et plusieurs conduits, mais sceller par une étrange membrane et des sortes de cocon de toutes parts. Le plus choquant fut la luminosité du lieu, comme éclair par le soleil. Certains murs étaient percés, comme fondus ou naturelle, dévoilant d'autre espace, mais trop haut par rapport au « sol ».
Perdus dans leur contemplation, ils s'avancèrent sans dire un mot. Impressionner, surprit, bouche bée, irréaliste. Les mots ne manquaient pas, notamment glauque, étrange et inquiétant, pour décrire ce qu'ils ressentaient, mais surtout danger. L'aspect ne rappelait rien qu'on puisse qualifier d'humain ou de normale, rien qui puisse donner une impression de rassurant. Rapidement, le groupe se considéra en territoire hostile, chaque alcôve, chaque cocon ou conduit pouvant cacher une menace. Ils prirent le couloir, le plus dégagé et large, le seul qui inspirait relativement confiance. Haut et large, encore plus hostile d'apparence, intimidant et surtout long. En étant dedans, on pouvait voir qu'il y avait plusieurs sortes de conduit ou alcôve, le mur une sorte de matière organique mauve noir, ayant une certaine transparence. Elles prirent le chemin face à eu, les deux autres, montant pour l'un ou descendant pour l'autre, et surtout plus sombre et qui semblait rétrécir. Celui du milieux toujours aussi dégager et relativement clair.
En s'avançant, et plaçant à intervalles réguliers des balises, des bâton lumineux, quand le groupe arriva à une intersection, généralement entre des conduits sombres, par précaution, pouvant parfois laisser qu'une personne passer ou toujours avec une sorte de membrane organique, qui s'avéra être assez dure, solidifier et malgré leur apparence laissant penser qu'elles étaient molles. Le long couloir continué, perdant peu à peu ses couleurs, devenant plus sombre et plus bas, des trous plus nombreux et les même étrange alcôve. À force, elles débouchèrent sur une grande salle, haute de plusieurs mètres et vaste, gris-noir, à mi-chemin entre le minéral, le métallique et l'organique, plusieurs piliers, relativement imposante, ressemblant à la fusion de stalactites et stalagmites, d'aspect chaotique et torturer, certain ayant des trous près du plafond ou encore des cocons qui semblait pétrifier, placer de manière aléatoire, le sol de même aspect, mais sans trou.
Une ambiance sinistre, aucuns échos, pas un bruit, un silence de mort, des sensations d'oppression et de menace, rien ne témoignant une présence de forme de vie, leur capteur ne fonctionnant pas, l'air respirable, venant sûrement de l'extérieur, bien qu'ils disposaient de bouteille d'oxygène. Le groupe s'était arrêté à l'entrée de la salle, bien que plusieurs autres entré était visible, plus au moins identique à la leur, mais la seule qui retint leur attention, fut celle en face, grande, magistrale, encadrer par des piliers faits visiblement d'or et d'argent, sertie même d'émeraude pour les plus connaisseur, du moins selon leur déduction, habilement construit, formant à la base, comme sortant du sol, plusieurs serpents s’entrelaçant, avant de former deux lignes, plutôt une paire de colonnes, argenté et dorée, s'enroulant entre eux jusqu'à encadrer l'entrée, graver de symbole inconnu. Mais le groupe ne pouvait aller plus loin ayant atteint la limite de leur câble.
-Merde... Déjà 500 mètres ? Lâcha Sonia.
-T'inquiète-je me suis entretenue avec les responsables, ils ont de la réserve. Lui dit Margot. Tiens tu vois ?
Une brève sensation qu'on les tirer, puis le câble tendu se relâcha.
-Merde... c'est quoi cet endroit !? Lâcha, à voix basse Adriana, mais ses paroles se répercutèrent en échos dans la salle. Chef, on devrait faire demi-tour, j'aime pas ça, ça pue le danger.
-Ça tombe mal, mon nez est boucher. Répliqua la chef d'un ton cinglant. On est là pour explorer alors on continue, on doit aller plus loin ! On n'est pas des bouseux de la simple infanterie, on est l'élite, le danger, c'est nous !
-Sans vouloir vous offenser chef, mais je suis du même avis. Souligna Mathis.
-Ne me dis pas que tu n'as pas de couille pour aller pus loin, t'es le seul à en avoir une vraie paire en ce moment. Lança Laura,
-La ferme ! Intima Margot. Sacha, Mathis et Adriana, aller contre l'entrée avec les piliers dorée, on vous couvre, ensuite vous nous couvrirez quand on viendra. Et oublier les espèces de cocons, on a rien pour une analyse, on en embarquera un en revenant.
Opinant du chef, le trio s’exécuta, se plaquant contre le pilier le plus proche, analysant ce qu'il y avait après, puis avancèrent sur un autre, ainsi de suite, restant à la vue de leur camarade, Sacha en tête, Adriana la suivant de près, regardant tout autour d'eux, braquant son fusil à pompe sur les entrées les plus proches et Mathis, plus lent, fit de même, jusqu'à finir de par et d'autre de l'entrée. Adriana regarda l'intérieur, pouvant voir une sorte de dallage, fait avec des cristaux violets en hexagone, les murs lises et droit, peut être minérale, le doute étant permis vue l'endroit. Sacha fit signe au reste, qui les rejoignit sous la couverture de Mathis, qui balaya la salle de son regard. Sans stopper, Margot et les deux autres s’engouffrèrent, suivit du reste, Mathis restant encore un peu, s'assurant que rien ne leur sauteraient dessus, en face, une de leur balise lumineuse, éclairant d'une lumière bleu le mur et le sol, avant de les suivre.
L'endroit plus rassurant, plus ordonner, rappelant une base militaire dans son organisation, progressant dans un couloir en hexagone, haut de trois mètres et tout aussi large. Croisant parfois un carrefour, mais prenant toujours tout droit, le couloir le plus gros, permettant une meilleure liberté de mouvement. Après quelques minutes, Laura qui fermait la marche, se retourna brusquement, pointant son arme. Pas un mot, rien, tous firent de même, écoutant le silence oppressant des lieux. Fausse alerte ou non, le groupe rebroussa chemin, mais rien, avant de reprendre la route, malgré les protestations de Mathis et de Laura, leur chef restant sourd à leur demande, pousser par une volonté de fer d'aller plus loin.
Ce fut après d'interminables minutes, qu'ils débarquèrent dans une nouvelle salle, et une nouvelle tension du câble se fit sentir, plus fort et brusquement, puis un relâchement. Un énorme cristal brun, au centre, briser de toute par, une forme étrange à l'intérieur. Une pièce octogonale jaune, or, avec des teints orangers, plusieurs conduit identiques a leur à la base de chaque face, mais sur les murs et sur le plafond, des structures rappelant des alvéoles, entourant un autre conduit pour le plafond, cylindrique celui-ci et formant une sorte de cône arrondie et ouvert au bout. Le groupe s'avança vers le cristal, surélevé, comme sur une estrade. En se rapprochant du cristal, la forme se fit plus précise, bien que déformer par les fêlures et fissures multiples sur la surface.
-On dirait... un homme ! Souffla Sonia.
-Non, un extraterran, il est clairement pas humain, si ce n'est pas une armure ce qu'on voit. Corrigea Laura.
-Putain de... Commença Sacha.
À peine que Laura avait finit sa phrase, les fêlures et les fissures se propagèrent, gagnant tout le cristal, alors que le groupe recula aussi rapidement que possible, alors que des morceaux tomber et que des éclats se formaient à chaque nouvelle fissure.
-À TERRE ! Hurla Margot.
À peine le groupe se mit à terre, que le cristal vola en éclats, inondant la salle d'éclat et de morceau, dans une cacophonie de verre briser, volant dans tous les sens, certain se plantant dans les murs, rebondissant sur l'armure des soldats, plus ou moins gros, bien que ne dépassant pas la taille d'une main. Quand le silence revint, Margot leva la tête, avant de se relever, suivit du reste, contemplant
la créature qui était sortie de sa prison de cristal.
Grand, devant facilement dépasser les deux mètres, imposant, un poids qu'on pouvait facilement penser dans cent-cinquante kilos. Mais le plus marquant fut surtout son aspect, inquiétant, menaçant, rien d'humain, malgré son apparence humanoïde, ce qui semblait être une armure, ressemblait plus à son corps, un exosquelette naturel, comme pour les insectes et son visage, trois yeux dont un plus gros au centre, juste en dessous un visage aussi étrange que captivant, difficile à déterminer à quoi il ressemble le plus. L'alien était debout, serrant et desserrant les mains, les regardant, comme si ce fut des années qu'il était enfermé et qu'il était engourdi, réapprenant à ses muscles les mouvements. Puis lentement, il remonta la tête vers les humains, son attitude laissant paraître qu'il était n'était pas surprit, du moins d'une interprétation humaine.
Margot baissa son arme et le mit en bandoulière, avant de lever les mains, comme pour signifier qu'elle ne représentait aucun danger. L'alien penchant la tête, comme s'il ne comprenait pas, avant de se rapprocher. Margot resta de marbre, mais les autres reculèrent, levant leurs armes, avant de le baisser, mais pas trop, sous un signe de leur chef. Des craquements se firent entendre, alors que l'alien se mit au niveau de Margot, la toisant de son œil frontal les deux autres fixant les autres membres. En levant les yeux, Adriana put identifier l'origine des bruits, des alvéoles et des morceaux, visiblement d'une paroi minérale, tombèrent, aussi bien du plafond que des murs, avant qu'elle ne sente ses entrailles se remplir de plomb et que son cœur cherche à fracasser ses côtes et que des sueurs froides ne coulent dans son dos en apercevant
les horribles créatures qui en sortir, montueux homme-guêpe, leur apparence cauchemardesque. Descendant en sautant, le long des murs, quelques-uns restèrent, alors que d'autre partaient dans les conduits, alors que d'autres, voler, provoquant un bourdonnement abominable, sortant par le conduit dans le plafond.
-Merdeputainchierbordeldemerdeputaindemerde... Enchaîna Laura.
Le groupe se resserra, toute arme dehors, certain près à lancer des grenades, alors que Margot fessait preuve aussi bien d'un courage, que d'un calme légendaire, voir divin ou d'une folie sans nom. Elle retira son casque et le posa doucement sur le sol, avant de se désigner.
-Margot, amie, pas danger.
-Bordel chef ! C'est pas un putain d'attardé mental ! Cria Laura. C'est un alien ! Vous venez sans doute d'insulter sa mère !
L'alien ne fit rien, détaillant le visage de Margot avant de se pencher vers elle, qui recula instinctivement d'un pas, baissant légèrement sa main vers son holster. L'alien resta ainsi quelques minutes avant de se relever. Brusquement et violemment, une voix retentit dans leur tête, arrachant quelque grognement, mettant aussi genou à terre.
*Je suis Arnec'glki'srtkkx, le Pacificateur, annexien des formiens, serviteur et fils de l'Overmind. Je vous attendez. Soyez heureuses êtres inférieurs, nous vous apportons une vie libre de tout malheur et faite que de plaisir et de joie sans fin, au service de la fourmilière. Soyez plus réfléchit que vos congénères qui ont pénétrer imprudemment la Fourmilière et accepter votre nouvelle vie, bien meilleur *
-Putain ! Co...comment il fait ?! Lâcha Sonia.
-Q... qu'avez-vous fait à nos camarades ? Demanda Margot, en remettant son casque et saisissant sont fusil, reculant vivement.
*Disons qu'après de longues années à dériver, mes frères et mes sœurs, ne se sont pas défouler depuis. Le simple fait que vos... camarades se soit aventurer sur leur territoire, fut une raison pour se déchaîner, à mon grand regret. Mais plutôt que de faire pareille, je préfère annoncer votre destin et les souffrances qui vous arriverons si vous le refuser, afin de trouver une meilleure voie. Vous serez porteur de notre parole et de nos visions, diffuser les à ceux de votre peuple, qu'ils prennent conscience de la menace et de leur choix, la soumissions par leur consentement ou la soumission par l'horreur et la souffrance*
À ses mots, leurs esprits furent submergés par des visions d'horreur et de cauchemar, des batailles titanesques, des montres avançant par milliers, détruisant tout, massacrant tout le monde des milliers de femmes emprisonnées dans des murs organique, violés par des millions de créatures, de toute sorte, de toute taille, donnant naissance à des larves et des monstres, dans les ruines de Tekhos, des hommes et des vieux dévorer, réduit à des masses organique ou devenant cobaye d'horrible expérience. Puis ce fut Terra, qui se fessait recouvrir par une masse organique, au couleurs violette, pourpre, noir, rose et magenta, avant de survoler des champs immenses, ou tout n'était qu'orgie, viole et souffrance, des femmes briser, en redemandant, des rivières de foutres, des cités réduit à néant, remplacer par des immenses structures organiques et minérales, l'intérieur issu directement de l'esprit tordue et malsain d'une personne folle et déranger, des femmes soumisses à des viols qu'on ne pouvait trouver que dans l'esprit de la même personne.
Le groupe était en sueur, à terre, tremblant d'effroi, seule leur entraînement et un miracle les empêchèrent de céder à la panique ou grâce à une aide mystique de l'être, mais ça ne les empêcha pas de vomir, certains retirant leur casque trop tard, leur esprit violé et tourmenter. Adriana jeta presque le sien et regarda l'alien, cherchant à se relever pour le prendre en joue, mais de nouvelle vision leur furent imposer.
Ce fut le même monde, mais cette fois, pas de guerre, pas de souffrance, les femmes étaient mieux traiter et plus enclin, soumisse, mais consentante, les hommes conserver, mais changer en femme ou servant d'esclave, transformer peu à peu en des créatures plus robuste et perfectionner. Les cités conservées, mais recouverte d'une couche organique, toujours des orgies, mais moins dure, les mêmes structures organiques en plus acceptable. Puis cela prit fin.
*Acceptez ou souffrez ! Fuyez, fuyez et tentez de survivre ! Essayez d'annoncer la fin de votre monde !*
-ON DÉGAGE ! Beugla Margot
Tous lancèrent des grenades incendiaires, alors que les hommes guêpes les fondirent sur eux. Ils activèrent le moteur de leur ceinture de survie, ramenant le câble de fer, mais ne remplir pas leur objectif. Leurs armures les protégèrent de la déflagration des grenades, mais les jetas à terre et noyant l'endroit de flamme, l'annexien restant de marbre, alors que les moteurs, finirent de tirer sur le câbles, sectionner, fondue.
-COUREBLLEEUARRG ! Crachat Margot en se relevant, avant d'être soulevé.
-PUTAIN NON ! Hurla Sophia.
Margot venait d'être transpercé de par en part, malgré son armure, par un homme guêpe. Néanmoins, elle put de sa position, d'un sursaut de sa volonté, elle chargea son arme et balança un tir concentré sur l'annexien, qui surprit, ne réagit pas assez rapidement, se prenant le tir de plein fouet et qui explosa. Elle vomit son sang et fut jeter à terre, voyant les autres s'enfuir en repoussant les quelques créatures qui venait à leur encontre, la majorité s’échappant par le conduit au plafond. La dernière chose qu'elle put
Sacha était en tête, grognant et sifflant des insultes, fessant cracher l'enfer depuis son inferno, alors que des aliens jaillissaient des divers conduits, reculant sous les flammes, ne fessant même pas attention à leur apparence, Adriana tirant par-dessus son épaule, le reste tirant dans les conduits ou jetant une grenade dedans. Des balises étaient encore présentes, les ramenant dans la salle à l'aspect torturé. Mais les cocons avaient disparu, et des troues à la base et au sommet des piliers,
de nouvelles créatures en sortirent, rappelant des araignées, les mêmes bestioles parcourant leur corps et sortant des alcôves, énorme et d'aspect inquiétant. Mathis et Sacha noyèrent la zone sous leur barrage de flamme et de particule, s'ouvrant la voie, tenant en respect les créatures, soutenues par Adriana et Laura, qui usa de l'arme électrique de son fusil, mettant à terre un des hommes araignées. Mais Sophia, complètement paniqué, brisa leur formation pour rejoindre la sortie, s'engouffrant dans leur voie qui fut dégager, mais qui se fit happer par un des hommes araignée sortant du sol, disparaissant dans un trou dans le sol, ses cries résonant avec force, alors que le groupe horrifié passa devant, ne pouvant rien faire.
Le groupe put rejoindre le gigantesque couloir, talonner de près par les monstres, ralentit par les dernières grenades et les flammes, groupe qui ne prit même pas la peine de se demander pourquoi leur balise était encore présente, regardant avec frayeur, les murs qui n'avaient plus leur couverture transparente, mettant à nue des multiples conduits. De l'une d'elle, une masse énorme en sortie pile quand ils passaient devant, abattant son bras, qui écrasa Laura et envoya valser les trois autres sous une onde de choc, plus en avant. En se relevant, le trio put voir une
immense créature, haute de 4 mètres, un homme scarabée visiblement, une de ses mains étranges, palpitante d'une énergie palpitantes et menaçante. Mais curieusement, les montres ne semblaient aussi presser de les tuer, laissant au trio, le temps de se relever et de repartir, les montres les poursuivant, visiblement sans se presser, les talonnant, mais pas trop, bien que les armures des soldats leur offraient une assistance motoriser, courant plus vite. Poursuivit par une foule de monstres qui ne presser pas, le trio courait le diable au trousse, pleurant et rageant, sachant pertinemment que les monstres auraient très bien pus les rattraper et les tuer. En vue de leur point d'arriver, les plus rapides des aliens commencèrent à prendre de la vitesse, s’apprêtant à attraper les soldats, mais un déluge de particule et de flammes les ralentirent.
-Sacha ! Laisse-moi ton arme et barrez vous ! Hurla Mathis. Je vais les retenir !
-Mais... c'est de la folie, tire toi une balle plutôt ! Répliqua telle.
-J'y compte bien ! Barrez-vous, vous devez survivre pour informer l'état-major !
D'un mouvement rageur, il s'empare du lance-flamme et entreprit, de faire barrage, même si le couloir était large, ses armes, suffisaient pour tout recouvrir, même si pas assez puissant, il ralentissait l'ennemie, assez pour que Sacha et Adriana puisse s'échapper, qui n'hésitèrent pas, son choix était fais. Précieuse seconde, où les monstres se focalisèrent sur cette homme, pas du tout inquiet que les deux autres s'échappe, dicter par leur maître et sachant ce qu'il y avait dehors. Mathis n’eut aucun regret, sauf celui de ne pas s'être confessé plus tôt à celle qu'il aimait et s’apprêtant à la rejoindre. Ces dernières pensées furent pour elle, alors que les monstres l'engloutirent sous le nombre.
Perdre un camarade fessait partie du métier, ils en avaient connue des pertes, des sacrifices, mais dans ce contexte, Adriana et Sacha pleuraient à chaude l'arme, alors que le bruit de la sulfateuse et de lance-flamme se turent, passant entre les portes ouvertes, mais la matière organique, autre fois à moitié fondue, désormais dure et uniforme, et sans doute rugueux. Elles traversèrent le conduit rapidement, débouchant sur l'extérieur, et sur une scène d’apocalypse. Des hurlements, de femmes ou de monstres, des flammes, des explosions, des bruits d'armes et des monstres partout de toute sorte, poursuivant des femmes, affrontant des unités d'assaut, des chars ou des méchas, sans doute arriver quelque temps après leur départ.
-S.. suit moi ! Clamât Adriana. On doit trouver une jeep !
Dans le ciel, des créatures plonger au sol, attrapant parfois une soldate, l'amenant à la météorite ou bien la jetant parmis les monstres aux sols, ou la déchiquetant avec d'autre camarade. Adriana arma son fusil à pompe, Sacha attrapa son arme de poing et elles foncèrent dans la bataille, tirant sur
les monstres qui leur foncer dessus, les balles explosifs réussissant à percer leur carapace, alors que des
femmes libellules leur tirèrent dessus. Au loin,
d'immense monstres ravageaient tout sur leur passage, broyant de leur pattes ou de leur mâchoire un véhicule ou un méchas.
La bataille fessait office de massacre rapidement, la masse des aliens prenait de l’ampleur, engloutissant les combattantes sous le nombres, par les airs, le sol ou sortant de l'astéroïde, de toute sorte et de toute forme. Celle qui fuyait était rattrapée par des unités volantes ou souterraine, en véhicule ou à pieds. Bataille intense ou carnage violent, le sol tremblant sous le pas et le poids des monstres, l'air saturée de crépitement des armes, des explosions, des cri et hurlement. Adriana et son amour s'étaient frayé un chemin, abattant des monstres, récupérant des armes, les usant, et reprenant d'autre, rejoignant un groupe de quatre soldates, qui se diriger vers un parc de véhicule. Elles ne croisèrent personne, alors que leur parvenait les clameurs de combats, de machine d'excavation convertit en véhicule de combat, des hurlements, des coups de feu... Mais elles ne croisèrent que des morts, et peu d'alien, sans doute plus loin dans le camp, alors qu'elles arrivaient en périphérie de la base, voyant à travers les bâtiments dépliable en ruine, matériel renverser, cadavres divers,
plusieurs jeep rover, dont une couverte de sang, porte arracher et la carlingue bien amocher et d'autre dans un état semblable. Adriana et Sacha prirent celle couverte de sang, la plus proche, la première prenant les commandes, arrachant une main rester accrocher au volant et entra son matricule, pour démarrer.
Brusquement, des homme-guêpes surgirent du ciel, s'abattant sur les quatre autres, avant de chercher à attraper le couple, alors que les quatre femmes furent amenées vers l'astéroïde. Adriana parvint à démarrer et à se dégager, pieds au plancher, écrasant et broyant sous ses roues un homme-guêpe, s'échappant des griffes des monstres. Adriana s'éloigna rapidement, fonçant droit devant elle, le bruit du combat s'estompa rapidement. Elle fonça sans rien dire pendant 2 minutes, s'enfuir étant sa priorité.
-Contact l'état-major il faut... Commença Adriana en tournant sa tête, mais ses mots moururent entre ses lèvres.
Le siège passager était vide.
-SACHA !!!!!!!
Adriana freina brutalement, et entreprit de faire un dérapage, mais elle s’arrêta sur place en voyant que toutes les lumières avaient disparues. Le noir complet, malgré quelque flamme, la lune cacher par des nuages. Adriana se perdit dans sa macabre contemplation, perdant toute notion de fuite. Un vrombissement se fit entendre, semblable au vol d'une guêpe, puis en une fraction de seconde, un homme-guêpe percuta Adriana, la plaquant sur le siège passager. L'alien se coucha sur elle, la plaquant fermement, plongeant son regard dans celui d'Adriana. Une longue minute se passa, sans qu'Adriana ne lutte, ayant perdu tout volonté.
*Pars*
Ces mots résonnèrent avec puissance dans l'esprit d'Adriana, s'imposant comme un ordre issus de son esprit lui dictant de fuir au plus vite, primant sur le besoin d'aller chercher Sacha. L'homme guêpe relâcha Adriana, avant de partir, se désintéressant d'elle, repartant dans l'obscurité. Tremblante et livide, elle entreprit de se rasseoir, avant de repartir. Tout de suite après, la radio se mit à crépiter :
-Ici le centre de commande de Sigma Optima, demande un rapport immédiat ! Es que quelqu'un me reçoit ?
-Ici le major Adriana Slanvhas, matricule A.S.-117 des forces spéciales. Je suis la seule survivant de la base avancer sur le site de crash, nous sommes entrer en contact avec une forme de vie extraterrane hostile, répondant au nom de Formiens.
Elle laissa un vide d'une seconde avant de rajouter, sur un ton froid et dure.
-Nous sommes en guerre.
Chapitre 2 : Guerre pour Terra
Centre de commandement Sigma Optima :
3 heure après le premier contact.
-Mouvement repéré côté nord-ouest, drones 46, 52 et 45.
-Perte des drones 14 à 26 par des créatures volante.
-Augmentation de l'activité sismique, des excroissances de la météorite commence à faire leur apparition.
-Combien de temps avant que l'armée ne soit déployer entièrement ?
-52 heures ma générale ! Nous avons que l'armée de l'air pour le moment !
-Préparer des bombardements au phosphore blanc et classique, ainsi que le largage des unités de drone à déploiement rapide.
-Parez dans 1 heure.
-Des capteurs indiquent des émissions chimiques à travers les excroissances.
-Athena en position de tir dans 1 heure .
-Qu'elle est la ville-là plus proche ?
-Aurich, l'évacuation est en cour depuis le séisme.
-Déployer les sentinelles d'urgence, envoyer des transporteurs lourds. Où en est le secours de la rescapée ?
-Nous l'avons localisé, elle va en direction de Tekhos, elle ne répond plus, interception prévue dans 30 minutes.
-Je vous en donne 15 !
-MOUVEMENT ! MOUVEMENT MASSIF DE... DE TOUTE PART !
-Afficher le !
Un écran géant apparu au milieu de la salle, dévoilant la vision thermique d'un drone : une gigantesque tache blanche, couvrant presque tout l'écran,
-On a une meilleure vision ?
L'écran changea, affichant la vue d'un satellite, en vision thermique. Le météore était presque noyé dans un flot blanc, formant une pointe, en direction de Aurich.
-Combien ?
-Proche d'une dizaine de milliers.
-Athena, protocole de tir...
-Impossible, alignement incorrect, risque d'échec à 34,5%, perte civile estimer à 84,32% en cas de tir trop court, Aurich est sur ma trajectoire, risque trop important. Avancer rapide de l'ennemie, les risque de toucher Aurich augmente au fur et à mesure, tir au canon AM ou bombardement orbital obligé pour limiter les pertes. En position de tir optimal dans 35 minute.
-Les bombardiers...
-1/5 de la flotte en position ! La générale en chef de l'armée de l'air envoie tous ses appareils disponibles. Ma générale... ils ne seront jamais là à temps.
La générale laissa échapper un juron. Elle se laissa tomber sur sa chaise, avant de se pincer l’arrête du nez. Elle se releva rapidement après un profond soupir.
-Bien. Mesdames, ceci est une guerre totale, soyez prête à tout les sacrifices possibles. Nous sommes le seul rempart entre eux et Terra.
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La ville Aurich ne put être sauvée, bien que la majorité des habitants furent évacués. La maigre défense représentée par les sentinelles, les forces d'autodéfense et l'aviation furent engloutit en quelques minutes par une vaque de monstre. Une frappe nucléaire fut autoriser, mais de nouvelle vaque de monstre sortir du météore, visant cette fois des camps militaires proches. L'aviation, malgré toute sa puissance, ne put repousser aucun assaut, et les camps militaires n'étaient pas adaptés à ce genre de menace et leur arsenal pas assez puissant, tomba aux mains de l'ennemie, bien que certaine se firent sauter. L'armée réussit à s'établir entièrement durant les trois jours qui suivirent, contrant les vagues au prix de lourde pertes, mais parvenant à ralentir l'avancer implacable des formiens.
Concernant la soldate Adriana Slanvhas, elle fut récupérée quelques minutes avant la chute de Aurich, puis mener directement à la base militaire Sigma Optima, afin d'entendre son témoignage. Complètement sous le choc, du moins cela fut supposé, elle était complètement déconnectée de la réalité, et elle dévoila tout ce qu'elle avait vue, ce dont à quoi elles avaient à faire et leur objectif, à la manière d'une machine. Mais elle fut rapidement prise de crise à force de souvenir de ce qu'elle avait vue, au point qu'il fallut 4 personnes pour la contenir, quand elle commença à s'en prendre à un garde pour lui prendre son arme de service. Elle resta plusieurs mois en observation médicale, au point d'être interné afin d'éviter qu'elle ne se suicide ou qu'elle s'attaque à son entourage, après avoir appris qu'une partie de sa famille était porter disparue.
Elle resta donc 2 ans dans un hôpital psychiatrique, où elle put être soignée et se reconstruire, au point d'être déclaré à nouveau apte au service, guéri de ces crises. La suite ne fut qu’enchaînement de relation et de pot-de-vin, afin qu'elle réintégrer réellement l'armée, en plus de faire partie d'une nouvelle unité, TCAL, les Troupe de Choc d'Assaut Lourde, créer suite à de nombreuses confrontations avec des annexiens. Leur but est simple, combattre et tuer les annexiens. Leur armure est au summum de la technologie, améliorant leur capacité physique, en plus d'avoir subi un entraînement spéciale et subit les premières améliorations chimiques de l'histoire militaire. Adriana fut déclarée à presque 100% compatible avec les produits, en plus de remplir toutes les conditions physiques et mentales, malgré ses crises passées et une dizaine de tests répété plusieurs fois. Bien que cela ne fut jamais dit clairement, beaucoup soupçonnèrent Adriana d'avoir joué la comédie ou d'avoir été sujet à des expérimentations chimiques.
En trois ans, plusieurs frappe orbital furent tirer, de même que des missiles nucléaire sur des villes envahit, en plus de la conversion de 30 canon énergétique lourd à utilisation spatial en véhicule lourd répondant au nom de Dernier Rempart, connu aujourd'hui par la Cavalerie d'Acier, mener par sa créatrice, la lieutenant-Colonelle Néméria, vitrifiant 5 villes entière et des milliers d’hectares de terres, stoppant nette la progression ennemie, qui se rapprocher dangereusement de Tekhos. Cela marqua le début le début de la riposte et l’avènement de nouvelle unité de combat plus performante et puissance, les échecs purent être endigué, au point d'arriver à un statue-quo, permettant même l’installation d'une ceinture de défense. Tekhos, qui s'était placé aussitôt en gardienne de Terra devant cette menace, fit jouer ce rôle et ses relations afin de combler les pertes de plusieurs mines, de puits de pétrole et de ville industriel et agricole, évitant des crises de matière première, tout en continuant à faire fonctionner les usines d'armement et éviter la famine, ainsi que maintenir la confiance du peuple et éviter la panique.
Ainsi Tekhos resta dans un rôle de défense, déployant ses troupes uniquement pour défendre ou repousser l'ennemie, bien qu'elle tenta plusieurs assauts, qui se soldèrent par de cuisants échecs, se contentant donc de prévoir les déplacements ennemis et à contenir les assauts. Elle remporta tout de même quelque victoire, empêchant à de multiples reprises la création de nid loin dans le territoire, et même ailleurs sur Terra, quelques-unes menant parfois à des confrontations avec des annexiens.