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Comme chien et chat [pv]

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Corinthe d'Ystrevent

Humain(e)

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    Noble nexusien et paladin de l'Ordre Immaculé, Corinthe est un combattant de la Foi tiraillé par des démons très peu catholiques...

Comme chien et chat [pv]

dimanche 04 mars 2018, 03:03:40

Le manoir d’Ystrevent n’était finalement pas plus remarquable que les autres demeures aisées qui peuplaient les hauts quartiers nexusiens. On reconnaissait le bâtiment à sa façade recolorée de frais et à son aile ouest contre laquelle se dressait les échafaudages des ouvriers qui achevaient cette partie de la rénovation. En cette fin d'après-midi paisible, les derniers maçons étaient partis après leur dure journée de labeur et avaient laissé les murs remis à neuf ainsi que les jardins à l'entretien un peu délaissé. Leur mise en beauté était planifiée pour plus tard ; Corinthe trouvait plus urgent de réhabiliter d'abord la maison. Le decorum végétal se verrait bichonné une fois le manoir rendu à un lustre assez honorable pour aller de paire avec la jolie réputation du maître de maison.
Pour le moment, quelques bosquets taillés, la pelouse tondue et l’allée désherbée feraient bien suffisamment l'affaire pour recevoir les quelques visiteurs venant glaner contacts utiles et amitiés intéressées.

L’intérieur était tout aussi sommaire que le jardin -pour tout sommaire que pouvait l'être le terrain d'une maison de luxe. Beaucoup de meubles avaient été vendus pour être remplacés par un mobilier neuf d'un goût actuel, mais tout n'avait pas été acquis et certains couloirs restaient un peu vides. Des pièces moins utiles étaient carrément désertées, comme à l'étage où les chambres familiales n'étaient plus que des espaces creux, à part celle de Corinthe qui s'était installé dans la chambrée parentale après l'avoir fait entièrement retapée. Sans fantaisie réelle (l’austérité de sa cellule d’aspirant à Solgarde l'avait marqué) bien que le lit s’avéra être un trésor de confort.

Corinthe se trouvait pour l'heure à l'étage inférieur. Il avait abandonné la salle de bal pour la transformer en une pièce dédiée à l'entraînement martial ; aussi trouvait-on diverses armes sur les murs, quelques râteliers fournis en guise de meubles et des mannequins de bois pour tout ornement. Un singulier “dojo” occidental et moyen-âgeux largement ouvert sur la cour intérieure grâce à ses grandes fenêtres qui baignaient l’espace de soleil en journée et offraient une nuit étoilée le reste du temps.
D’Ystrevent ne s'y trouvait toutefois pas.

Le paladin avait achevé son entraînement à la lance et ses exercices de musculation et s'était rendu à la petite chapelle contiguë pour prier alors que son personnel de maison -un majordome d'une quarantaine d'années et deux soubrettes charmantes- dînaient dans la cuisine après avoir préparé le souper de leur maître.
Une routine bien rôdée à présent. Après ses prières, Corinthe se rendrait à la salle des bains (de petites thermes aménagées à grands frais par sa mère, que le jeune homme avait toujours adorées et dont il jouissait maintenant à l'envi) puis irait manger avant de monter dans sa chambre pour une dernière prière avant de partir au lit.

Pour le moment, d’Ystrevent quittait la chapelle et son pantalon pour se rendre aux bains, bien décidé à s'y prélasser un long moment. Ce péché là était certes Paresse mais, au vu des autres petits vice de l’homme de foi, il restait le plus pardonnable..
Et le moins douloureux pour autrui.

« Modifié: lundi 05 mars 2018, 10:28:53 par Corinthe d'Ystrevent »

Mélinda Warren

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Re : Comme chien et chat [pv]

Réponse 1 lundi 05 mars 2018, 00:42:09

Le moins qu’on puisse dire, c’est que le jeune homme avait bien grandi. En observant le manoir de l’extérieur, Mélinda dut bien reconnaître que livrer Corinthe aux autorités impériales aurait été bien du gâchis. Même maintenant, alors que les années avaient passé, elle se souvenait encore de ce moment où un chevalier nexusien fanatique, Korvinor, l’avait attaqué chez elle, en compagnie de ce jeune garçon. À cette époque, Mélinda n’était pas devenue la puissante Comtesse qu’elle était actuellement, une femme avec qui il fallait compter. Une femme qui avait redonné aux Warren ses lettres de noblesse après son mariage avec Vanillia, une femme qui disposait d’un clan comprenant de puissants membres, comme le Duc Richard de Castlevania, ou Ishtar Naviento-Warren, qui lui avait juré une fidélité sans bornes… Non, à l’époque, elle n’était guère qu’une simple tenancière d’un bordel de luxe à Ashnard. Elle avait longtemps soupçonné que ce Korvinor avait été envoyé pour obtenir des informations de sa part sur quelqu’un d’autre, sur l’un des riches clients ashnardiens venant s’épancher chez elle… Ou alors qu’il s’était tout simplement trompé de chambre.

Korvinor avait découpé le lit, et elle avait réagi à temps, évitant l’attaque. Comme toujours, Mélinda dormait avec ses esclaves, et l’une d’elles avait été grièvement blessée par ce premier coup. Le reste avait toutefois été à l’avenant, car Mélinda n’était pas une guerrière. Elle avait pu repousser l’apprenti de Korvinor, mais lui avait été plus rude. Il avait frappé Mélinda au visage, la clouant à terre, le visage ensanglanté, et, alors qu’elle se relevait, un coup d’épée lui avait ouvert le ventre. Fort heureusement, l’éternel protecteur de Mélinda avait bondi sur Korvinor. Bran, son grand-frère, avait combattu le chevalier, et l’avait finalement tué, en transperçant son ventre. Korvinor s’était vidé de son sang sur le sol, et le jeune homme l’accompagnant s’était ensuite rué sur les vampires, manifestant une redoutable agressivité. Sa lame avait blessé Bran, et c’était finalement Mélinda qui l’avait maîtrisé, agrippant sa gorge, et plantant ses crocs dans son cou. Elle avait bu de son sang jusqu’à le faire plonger dans le coma, et avait ensuite réfléchi sur son sort.

Et là, ses doigts caressaient la reliure des livres sur sa bibliothèque personnelle. Essentiellement des traités religieux, militaires, des livres sur l’histoire de Solvinor…

*Tout ça a quand même l’air bien barbant…*

Contre toute attente, Mélinda avait, non seulement choisi d’épargner le garçon, mais, surtout de ne pas le livrer. L’attaque de Korvinor avait ébranlé tout le manoir de Mélinda, et sa mécène, Samara, en avait été informée. Elle était venue en personne, tandis qu’on soignait l’esclave mutilé, sur laquelle Mélinda veillait étroitement. Samara lui avait expliqué que Korvinor d’Astain était un raté, un chevalier qui n’avait pas réussi à devenir paladin, qui épanchait sa frustration sur ses disciples, et était le partisan d’un courant rigoriste de l’Ordre Immaculé. Pour autant, les raisons ayant justifié l’attaque sur Mélinda étaient mortes à jamais avec le corps de Korvinor, que Samara avait pris. Même maintenant, Mélinda ignorait les raisons profondes de cette attaque, mais était convaincue que Samara ne lui avait pas dit toute la vérité.

Ce que Mélinda n’avait jamais avoué à Corinthe, c’est que, si elle l’avait pris sous son aile, c’était parce que Samara le lui avait ordonné, après avoir examiné le garçon.

« Mais pourquoi ? Il a tenté de me tuer !
 -  Un jeune garçon sous l’influence d’un fanatique… Il n’est pas responsable de ses actes.
 -  Et que dois-je en faire ?
 -  Veille sur lui. Perfectionne son entraînement. Je te garantis qu’il ne te fera pas de mal, et je sens en lui quelque chose de particulier.
 -  Et tu peux m’en dire plus ?
 -  Non, pas avant de faire des investigations complémentaires. »


Les mystères, c’était la spécialité de Samara. Il arrivait fréquemment qu’elle lui donne des instructions de ce genre. Dans tous les cas, Mélinda n’aurait pas eu le cœur à tuer un jeune garçon, et elle veilla donc sur lui. Elle lui apprit à se méfier du manichéisme absolutiste de l’Ordre Immaculé, qui voyait toutes les créatures et toutes les races différentes comme des engeances maléfiques. Curieusement, Corinthe s’avéra assez curieux, et, peu à peu, ils sympathisèrent… Jusqu’à ce que Mélinda évoque avec lui les « pics sanguins significatifs » qu’elle sentait émanant de lui les matins… Une manière polie de dire qu’elle savait qu’il avait des érections matinales. Ce n’était sûrement pas Korvinor qui lui aurait parlé de ça, et Mélinda entama donc son éducation sexuelle, le masturbant lentement dans son lit, en l’incitant à lui raconter ce à quoi il pensait.

Finalement, Corinthe réussit à partir. Mélinda avait toutefois pu retrouver sa trace, et, bien des années après, ils allaient se revoir.

*Où les as-tu mises ? Je suis sûre que tu ne les as pas brûlées…*

Elle observait les livres, et chercha ensuite un coffre, ou une cache quelconque. Avançant lentement, elle tâtait le sol du pied, à la recherche d’un espace qui sonnerait creux. Las, ses investigations ne lui permirent guère d’obtenir satisfaction, et elle entendit des bruits de pas, signe que Corinthe retournait dormir dans sa chambre.

*Bon, tant pis… Normalement, il devrait ressentir ma présence, s’il est à la hauteur de sa réputation…*

Mélinda avait profité du bain de Corinthe pour se renseigner sur sa vie actuelle, et fut à la fois soulagée et déçue de ne sentir aucune présence féminine ici. Quand Corinthe ouvrit la porte, la pièce était plongée dans la pénombre, mais il devrait sans doute noter quelque chose d’anormal… À savoir que la fenêtre de sa chambre était ouverte, délivrant un courant d’air frais sur la pièce… Mélinda, elle, était installée sur le lit, tenant entre ses mains un livre qu’elle avait pris au hasard dans la bibliothèque.

« J’ai cherché, mais je n’arrive pas à trouver autre chose que des recueils de prières ou des livres assommants sur les commandements et les devoirs sacrés des Lions d’Enoch… Tu n’as rien de plus distrayant à lire, mon beau Corinthe ? »

DC d’Alice Korvander.

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Corinthe d'Ystrevent

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    Noble nexusien et paladin de l'Ordre Immaculé, Corinthe est un combattant de la Foi tiraillé par des démons très peu catholiques...

Re : Comme chien et chat [pv]

Réponse 2 lundi 05 mars 2018, 11:04:39

- Il y a pourtant un exemplaire de La culotte de dame Laurya sur les étagères. Souvenir de mon père. Sûrement auras tu mal cherché, trop pressée de venir t'avachir dans mes draps propres.

Dans l'encadrement de la porte de sa chambre, Corinthe baissa tranquillement la lame de sa rapière. Quand il avait détecté l'intrusion aux relents méphitiques tandis qu'il sortait de ses ablutions, le paladin avait fait un crochet rapide par sa salle d'entraînement pour se saisir d'une des armes exposées avant de remonter dans ses appartements. On était jamais trop prudent, même s'il doutait fortement qu'une créature maléfique ose sérieusement s'aventurer dans le manoir. Si Mélinda était tout à fait ce genre de personnage, sa présence revêtait un aspect particulier. Et la suceuse de sang devait très bien le savoir : jamais elle n'aurait pu passer les protections qu'aurait érigé Corinthe dans sa propre demeure, sans cela. L'affaire pouvait passer pour un manque cruel de vigilance, mais c'était surtout question de lancer une invitation.
Qui avait été relevée par qui de droit.

Corinthe s'avança, seulement couvert de la serviette de bain qui lui ceignait la taille et couvrait sa pudeur. Pour le reste, la Warren pouvait se repaître de la vision angélique d'un corps parfaitement glabre à l'agréable roulement musculaire. Un physique de guerrier, souligné par les cicatrices qui zébraient la peau ça et là. L'enfant dont Mélinda avait ouvert les sens et étreint la virilité avait bien grandi, gagnant tant en beauté qu'en sévérité. D'Ystrevent contourna le pied du lit sans quitter la vampire des yeux, relevant sa rapière pour que la pointe se dépose à l'intérieur de l'une de ses cuisses pour remonter lentement le long de son corps, caressant la douceur de son entre-seins avant de marquer sa gorge gracile d'un baiser froid.
Sur les lèvres jusque là scellées de Corinthe naquit un sourire léger alors qu'il paraissait menacer Mélinda de son épée.

- J'ose espérer que mes domestiques ont encore le cou vierge, maudite engeance. Malgré les propos, le ton marquait une chaleur certaine, bien que particulière. Le bon personnel de maison est difficile à se procurer.

Joueur, le paladin enfonça très légèrement l'acier brillant dans la chair de la Warren -juste de quoi en faire perler une larme de sang. La rapière se retira doucement et, en signe de paix, Corinthe la fit se ficher dans une latte vernie du parquet dans un "schtoc !" sec. L'arme vibra, se balançant sur son axe une poignée de secondes avant de se stabiliser, témoin muet de leurs étranges retrouvailles.

- Alors, dis moi. Comment les gens comme nous sont-ils sensés se saluer ?

Mélinda avait été bien des choses pour Corinthe, mais surtout ce qui se rapprochait le plus d'une première amante. Ses doigts avaient initié son membre au contact avec autrui, avait fait naître et entretenir le désir comme le plaisir puis s'étaient retrouvés souillés de l'offrande poisseuse qui concluait toujours pareil état. Sensuelle geôlière, meneuse de discussions passionnantes et passionnées, étrange amie et correspondante patiente et acharnée. Une bien étrange personnalité, incarnation de ce que Corinthe se devait d'occire.
Elle n'avait pas changé depuis qu'il l'avait quittée, il y avait de cela dix ans. Le temps ne comptait plus comme un de ses ennemis. L'enfant d'alors, lui, avait avancé vers l'âge d'homme.

Une pensée lui traversa l'esprit, étrange. "Me désirera-t-elle encore ?"
L'avait-elle jamais réellement désiré ? Qu'est-ce qui l'avait poussée, en premier lieu, à l'éclore comme elle l'avait fait ? Le plaisir du jeu ? Son jeune âge, plaisir délicieusement indécent des femmes mûres ? Peut-être en saurait-il vite davantage.

Mélinda Warren

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Re : Comme chien et chat [pv]

Réponse 3 mardi 06 mars 2018, 13:25:56

C’était bien lui, ce petit garçon au regard sévère, qui regardait avec dédain et mépris les esclaves de Mélinda, puis qui avait, peu à peu, fini par goûter au fruit défendu. Pourtant, Mélinda s’était assuré qu’il soit toujours chaste en partant... Ou vierge, du moins. Pour le reste, Corinthe avait eu droit à une éducation sexuelle progressive et sans concession. La spécialité de Mélinda, avec les jeunes adolescents qui s’ouvraient au désir sexuel, était de les initier au voyeurisme. Pour ça, elle les attachait dans un meuble, avec une vision plongeante sur le lit, et ils devaient alors regarder leur Maîtresse faire l’amour. En l’état, Corinthe avait eu droit à ça, et c’était d’ailleurs suite à ce spectacle que Mélinda l’avait énergiquement masturbé, lui offrant dans la foulée son premier baiser. Il avait vu son ancienne Maîtresse s’envoyer en l’air avec un puissant amant. Un spectacle qui avait rendu le jeuen Corinthe très fiévreux.

Que restait-il de cette période, maintenant ? En soi, le simple fait que Mélinda ait pu passer les runes de sécurité sans déclencher l’alerte était un signe. Elle vit l’homme s’avancer, consciente qu’il avait changé. En venant ici, elle prenait un risque. Corinthe était retourné à Nexus, auprès d’un ordre religieux. Il avait donc deux solides raisons de se redresser contre Mélinda : sa nationalité, et sa race. Auprès des ordres religieux, les vampires n’avaient pas souvent bonne réputation. Là, Mélinda vit Corinthe tourner autour d’elle, portant une modeste serviette, et caressa le corps de la vampire avec une rapière. Couchée sur le lit, elle suivait ses mouvements de la tête, sentant l’épée remonter le long de sa cuisse, puis dessiner un sillon dans ce décolleté plongeant qui découpait son torse en deux. Elle releva ensuite la tête en sentant l’épée caresser son menton, ne manifestant aucun geste de peur... Même quand  il enfonça légèrement sa lame en elle.

« Hnn... » grimaça-t-elle quand même.

Le sang de Corinthe n’était pas particulièrement agité, rien qui n’illustre une envie d’occire celle qui avait veillé sur lui, et l’avait aidé à chasser de son esprit le fanatisme zélote de feu Korvinor... Puis il jeta l’épée sur le sol. Cette dernière se planta dans une interstice, et vibra pendant quelques secondes. Mélinda sourit alors, et se redressa légèrement, caressant du bout des doigts son lacet noir.

« On se salue comme tu l’as fait, Corinthe, en présentant sa grosse épée... » commença-t-elle, joueuse.

Elle reprit ensuite, continuant à triturer son lacet, ce lacet. La robe de Mélinda était un petit bijou de haute lingerie, car, tout en étant très complexe, et en couvrant la majorité du corps, elle n’était retenue que par ce lacet noir, situé à hauteur de ses seins. Qu’on défasse le nœud, et la robe s’ouvrait par le haut comme les pétales d’une fleur, pour tomber ensuite. Le tisserand à l’origine de cette robe de luxe, faite sur mesure, utilisait aussi les formes naturelles du corps pour aider à la maintenir.

« Je me souviens d’une époque où tu aimais me saluer en tirant sur ce lacet... Je te montrais alors l’anatomie du corps humain en utilisant mes formes. »

Au moins, Corinthe pouvait constater que la vampire n’avait rien perdu de son piquant, de sa sensualité. Un mélange étonnant entre érotisme et vulgarité des plus obscènes, comme si Mélinda se balançait perpétuellement entre les deux. Elle se souvenait du regard fiévreux de Corinthe en découvrant ses formes, ses mains palpant ses cuisses, son regard observant ses lèvres intimes, Mélinda lui expliquant comment le corps d’une femme fonctionnait, ce qu’il fallait pour lui faire plaisir, et terminant à chaque fois par le masturber. C’était une règle simple au harem, qu’elle appliquait très souvent : l’interdiction de se caresser intimement. C’était à Mélinda qu’il revenait à chaque fois de masturber le jeune Corinthe.

Mais, en attendant, Mélinda, à genoux sur le lit, posa ses mains sur le torse glabre et musclé de Corinthe, sentant sa puissance, sa musculature. Elle sourit malicieusement.

« Oh, tes serviteurs n’ont rien, au fait, je sais me faire discrète quand il le faut... »

Elle pinça alors ses omoplates... Un peu fort. Après tout, il l’avait bien planté, et elle en profita pour rapprocher son corps encore. Ses seins caressèrent son torse, le souffle de ses lèvres glissa sur les siennes. Sa main se posa sur sa nuque, et elle s’empressa de l’embrasser ensuite. Ses lèvres se collèrent aux siennes pendant quelques secondes, et elle les retira ensuite, en souriant encore :

« Voilà... C’est bien les lèvres du petit aspirant dont je me souviens. Tu as bien grandi, en tout cas. Je savais que tu deviendrais beau, mais... Je suis ravie de voir que tu t’entretiens, ça ne te rend qu’encore plus attirant. »

Elle retourna sur le lit, s’asseyant sur les fesses, jambes écartées, mains posées en arrière sur le lit.

« Moi, j’ai beaucoup moins changé... Et j’apprécie beaucoup où tu vis, c’est très aéré. En revanche, ton matelas gagnerait à être un peu plus rembourré... »

DC d’Alice Korvander.

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