C'est le premier jour de mon service à la police de Furria, ville prospère dans les terres très éloignées de Terra, là où tout les furrys cohabitent sans discriminations et moqueries des autres espèces terriannes, une ville où la technologie ressemble à celle de la Terre et ne cesse de se développée, et c'est moi, Mirya, une petite féline plantureuse qui en protégera ses habitants diverses et variées.
Je venais à peine de terminer l'académie de police, prouvant qu'on peut être bien faite et douée en même temps, que je commence déjà mon premier jour de service dans ma
combinaison de police noir, utilisée pour les flics pro corps à corps comme moi surtout que je vise tout dans mon agilité. A l'académie, j'avais déjà du mal à mes faire respecter dû à mes attributs féminins assez généreux, mais là, j'affiche plus comme une salope de la police qu'une experte en combat rapproché, je dois quand même faire avec vu que c'est un métier que j'aime et, heureusement, mes coéquipier(e)s savent se tenir un minimum en me voyant.
Cela est un peu normal que j'attire l'œil aussi,
un pelage rouge et blanc à rayures légèrement foncés, des yeux bleus azur ainsi que des cheveux courts rebelle, noir avec quelque mèche rouges sang sur le devant, de quoi se faire poser des questions sur ses origines, heureusement que ce n'est pas dans les mœurs de la ville, ça m'évite de répondre aux questions indiscrètes sur mes origines.
Mais l'heure n'est plus à la discussion entre camarades sur les coutumes de la police pour les nouveaux arrivants, je suis amenée à partir sur le terrain pour une bagarre entre deux clochards tortues dans une vieux hangar délabré au sud-ouest de la ville. Un début peu amusant, mais il faut bien commencer quelques part même si c'est bénin comme affaire. J'attrape donc mon étui et flingue que j'enfile autour de la taille, accrochant ma plaque à celle-ci puis pris mes clés de moto soigneusement ranger dans le hangar de la police. Point positif, c'est que, dans mon unité, nous avions droit à une moto de notre choix, payer et modifier sans frais, seul nous avions le droit d'en conduire, pour éviter des courses poursuites entre motards qui risque de nous échapper.
Ma
moto est une des dernières génération et plus performante que l'ont pouvait trouver, c'est moi, mais en mécanique. Je l'enfourche et l'active en y mettant le contact puis, attendant que le hangar s'ouvre, tape l'adresse de ma destination sur le GPS intégré et démarre en trombe pour m'y dirigée, mettant la sirène pour pouvoir prévenir les automobilistes de mon passage et qu'ils ne fassent pas de mouvements dangereux lors de ma conduite.
Je passe entre les bagnoles à toutes vitesse, prenant des virages serrer, je suis heureuse.. tellement, pelage au vent, cette sensation de liberté indescriptible, si je pouvais conduire jusqu'à ce que je meurt, je le ferai. Mais je perdis mon sourire quand je me rend compte que je quitte la ville en suivant mon gps.
C'est quoi ce bordel ?..Je tapote mon gps pour voir si il ne bug pas, mais non, je suis sur la bonne route sans personne aux alentours avant que j'aperçoives la fameuse usine où l'appel à été passé. Suspicieuse, je m'arrête devant l'entrée principal de l'hangar, éteignant ma moto en regardant toute autour... Rien... un silence complet, aucun bruit de coups ou de plaintes.
C'est donc sur mes gardes que je descend de ma bécane, prenant mon flingue en main avant d'ouvrir lentement la porte du hangar, pointant mon arme vers l'intérieur avant de m'engouffrer dans ce silence et la pénombre de la bâtisse.
On nous a signalée un bagarre ici ! C'est la police ! Où êtes vous ?Dire que je n'ai pas peur est un mensonge, mon cœur bat comme un fou dans ma poitrine, ce qui n'aide pas à ma concentration.