Le gland qui se frottait au cuir durcissait à vitesse folle, c'était une sensation étrange et indescriptible, bien plus captivante et envoutante que de se frotter contre un ventre nue. Oui, c'était terriblement excitant et sa main fut sans aucun doute le coup de grâce qui me cloua sur place, me figea. Le gland entre ses doigts, elle aurait pu si elle le voulait faire ce qu'elle voulait de moi à cet instant, bien trop occupée à découvrir et apprécier ces sensations que je ne connaissais pas. Je ne savais même plus quoi dire et ne pouvais me contenter que de quelques balbutiement, couplé à de long frisson d'extase. Mon visage rouge n'était lui aussi pas en reste et se couplait parfaitement à mon regard dans le vague. Je faisais simplement le vide total en me laissant porter par cette masturbation des plus divines, ma verge chaude palpitant déjà dans sa main gantée et resserrée autours de mon appendice, comme une douce prison.
Wah.. waho.. mhhhh toi.. tu sais y faire... j'ai jamais autant... apprécié une masturbation...
L'explosion s'approchait et je me laissait simplement aller dans sa main, éjaculant dans de petit râles de plaisir, éclaboussant la paume de sa main, tout son gant, et son ventre... Enfin, la majeur partie se dispersait en un nuage blanc autours de son visage mais le résultat restait le même : j'avais jouit dans sa main gantée.
Tu es... validée Mikasa, je n'ai pas besoin d'un autre test...
La queue encore entre ses mains, je me laisse retomber contre son corps en pensant à nouveau à la description qu'ont m'avait fait de Mikasa, lors de la transaction. Cette renarde n'était pas l'une de ces filles sages et avait besoins parfois de mesures extrêmes pour vraiment prendre son pieds. Je décidais donc de l'allumer un peu pour voir sa réaction, en m'allongeant sur elle pour chuchoter à ses grandes oreilles.
Mais la prochaine fois, nous ne devrions pas gâcher cette semence. Qui sait de combien de litre je vais avoir besoin pour faire grossir ce joli ventre, pour qu'il mette à mal cette robe que tu portes, jusqu'à en entendre le latex craquer sous la pression. Je me demande vraiment jusqu'ou nous pourrons l'étirer...
Si elle aimait qu'ont la bouscule elle allait être servie, mais je ne savais pas encore à quel point je pouvais m'en donner à coeur joie, à quel moment son corps n'en tirerait plus de plaisir si j'allais trop loin. C'était donc à mon tours de tester ce qu'elle avait dans le ventre... et au sens même du terme : de nouveau debout, mon pied écrase progressivement son ventre, d'abord d'une petite pression et ensuite, jusqu'à en mettre à mal son souffle.
Mais quand je te vois comme ça, allongée à ma merci, j'ai aussi envie de te ligoter, de te museler la bouche comme une brave petite soumise et de te punir comme il se doit.
Le pieds accentue d'avantage la pression et commence bientôt à former un cratère bien visible sous la pression exercée. Je me retire quelques secondes pour la laisser reprendre son souffle à grande gorgées, puis m'y installe à un nouveau, d'un coups puissant cette fois, les bras croisés, la regardant de haut.
C'est ça que tu aimes Mikasa ? Tu aimes qu'ont te maltraite de la sorte ? Si tu en veux plus, masturbe toi pendant que je t'écrase, et je peux te garantir que tes attentes seront récompensées... que ton corps seras mis à rudes épreuves.
Pour être sure que c'était bien là ce qu'elle voulait, je m'amusais à relever et à écraser son ventre de plusieurs pression vives, à répétition, le piétinant comme il se doit en sentant le latex se tendre quand je m'y enfonçait assez. C'était plutôt amusant de jouer ainsi, même si ça avait l'air brutal je savais qu'il s'agissait de ses attentes et puis, ses seins qui sautaient dans tous les sens après chaque assauts valaient le détour.