« Hm... tu es bonne. Une vrai petite coquine en devenir. Hm… fais toi jouir en me faisant jouir en te frottant ainsi à moi et nous pourrons passer à la pièce maîtresse du spectacle. Hm… encore un petit effort, ma chérie. »
Découvrir la sexualité était une expérience, quelque chose d'important pour l'être humain, et en ce sens, une première fois agissait foncièrement sur la manière de voir le sexe, mais aussi sur la manière de s'attacher aux façons de se faire plaisir, de passer du temps en bonne compagnie, ou tout simplement, venir définir quels étaient les partenaires qui allaient connaître les futurs privilèges de celle qui se débarrassait enfin de sa virginité. Eh bien pour l'occasion, et même si ce n'était pas claire pour Reinhardt, qui n'était juste plus capable de retenir ses désirs, ses envies, avoir sa première fois avec le belle blonde plantureuse était tout de même une expérience à part en terme de plaisir de la chair, une expérience où elle avait pour l'instant les pleins pouvoirs, chose qui foncièrement n'arrivait pas souvent pour une débutante, et dont elle découvrait les joies comme les inconvénients avec une satisfaction souveraine. Le fait que sa tutrice l'encourageait, encore et encore, que ce soit dans ses instants maladroits que dans ses meilleurs moments, la poussait finalement à apprécier d'être au commande, la mettait en confiance, lui permettait d'oublier qu'elle était observée, et ôtait ainsi certaines gênes qui aurait put la mener à se bloquer, à se raidir, à perdre l'aisance avec laquelle elle agissait, jusqu'ici. Et ce n'était pas un mal, car ainsi tout les spectateurs pouvaient contempler son être dans une pleine liberté, la rendant finalement aussi mignonne qu'attendrissante dans ses doutes, et ses envies, soulignant son manque de connaissance dans le domaine, mais surtout les efforts qu'elle faisait pour ne plus l'être !
Les réactions donc se déchaînaient sur le chat, et si la belle petite rousse avait fermée les yeux depuis maintenant plusieurs minutes, se concentrant sur un déhanché chaleureux, incontrôlé dans le fond, simplement sauvage et basé uniquement sur la manière dont elle arrivait à se faire plaisir, cela ne pouvait manquer à la vue de Magdalena, qui pouvait donc remarquer les deux camps qui s'était formé sur le chat : ceux qui n'attendait qu'une seule chose, son dépucelage, pour voir cette belle demoiselle atteindre les affres d'un plaisir dont elle ne doutait guère, et ceux qui se laissait simplement charmer par l'audace de cette jeune ingénue qui découvrait, en toute simplicité, mais avec un naturel plein d'élégance, ce que son corps pouvait lui offrir en terme de satisfaction charnelle. S'étant déplacer d'ailleurs de manière à se simplifier un peu la vie, et ne pas s'épuiser dans des mouvements incertains, elle avait enjambée d'un coté le bassin de la femme aux longs cheveux d'or, tandis que l'autre partie de son corps s'était glissée sous la cuisse de la professionnelle des caméras érotiques, les plaçant toute deux dans une position de ciseau qui offrait, en cet instant, tout le délice de chacun des mouvements produit. Leurs intimités se frottant avec une délicate mais vibrante sensation d'extase, tandis que les pressions fugaces entre leurs deux boutons de plaisir provoquaient de terribles chocs de bonheur, la voix de la demoiselle se fit entendre de plus en plus clairement, soulignant au delà de toute considération à quel point la creeper girl s'abandonnait à l'instant savoureux qu'elles partageaient. Conquise, le visage exprimant la vision de quelques nirvana insoupçonnés, elle bavait légèrement alors qu'elle s'exprima à nouveau :
« Oh Mag.... Mag.... C'est … C'est si … si bon ! »
L'orgasme ? Elle n'y avait encore jamais goûtée, mais elle pouvait sentir quelque chose l'envahir, lui faire perdre la tête, la mener lentement vers un état qu'elle ne saurait garder sous contrôle, si encore on considérait que le mouvement fou et perpétuel de ses hanches, au-delà de toute considération de sa vigueur, de ses capacités physique, n'était pas déjà en soi un signe de ce manque de mesure qui était en train de l'emporter loin sur le chemin d'une pleine satisfaction. Son corps bouillait d'un besoin de se satisfaire, ses hanches chauffaient comme si le frottement perpétuel était en train de les enflammer. Son souffle, chaotique, parvenait à peine à se faire entendre entre les couinements de satisfactions et les ronronnements de bonheur, et si il n'y avait bien finalement qu'une seule chose dont elle avait encore conscience, c'était le corps de sa tutrice, bien plus résistantes, qui la laissait faire alors que des mains pressantes, les siennes, aux longs doigts fins, se perdaient sur sa légère poitrine en de bien vils et brutaux massages, mais ô combien plaisant. Non, en effet elle n'avait plus toute sa tête quand, dans une sensation étrange, incompréhensible même pour la jeune rousse, elle sentit qu'elle s’emballait, lâchant quasiment immédiatement les belles chairs de sa poitrine pour venir se cambrer en arrière, et déplacer son bassin avec un furieux plaisir, incontrôlable, répétant avec fougue quelques mouvements dont elle n'avait jamais eut la connaissance, ou l'idée esthétiquement sauvage, pour dés lors se tendre d'un coup, tel une corde, dans un tremblement de divin plaisir. Sa position, aussi obscène qu'inconfortable lui était alors tout naturelle alors qu'elle vint ouvrir la bouche dans un cri qui ne sortit pas, et se mua en sourd hoquet avant qu'elle ne se relâche, et s'écroule, ivre de joie.
« Oh... bon sang... Oooooh... mon dieu... C'est... aaaah »
Elle divaguait, mais s'arrêta toutefois avant que ses lèvres ne viennent prononcer les propos fatidiques sur sa manie des explosifs, et des feux d'artifices, mais pour autant elle n'en pensait pas moins, et alors que son corps se frottait avec une exquise délicatesse contre les draps de la belle blonde plantureuse devant elle, son esprit ne manqua pas de souligner le tout de l'extase qui la concernait en cet instant. Elle venait de connaître quelque chose de plus fort encore que ces instants de pur délice où elle pouvait voir le monde s'effondrer dans les flammes de ses majestueuses mise en scène pyrotechnique, et pour être tout à fait franche, elle se voyait bien capable de devenir tout aussi dépendante à ce genre de pratique qu'à son besoin généralement obscène de faire sauter quelques lieux bondés et autres milieux parfaitement débectant de futilité à ses yeux. Sauf que ce coup-ci, elle le devait à quelqu'un, ce bonheur, et alors qu'elle commença à reprendre un peu de force, que ses muscles acceptèrent de lui obéir malgré le traitement fiévreux qu'elle leur avait fait subir, elle alla pour se redresser, lentement, et tomba à l'occasion nez-à-nez avec les caméras qui filmaient la scène depuis le début. Ah, elle les avait oubliée, celle-là, mais ce n'était pas grave dans le fond. Elle les laissa tranquille pour l'instant et continua son mouvement pour s'asseoir faiblement avant d'observer Magda avec un franc et terriblement innocent sourire de joie, chose qui ne manquerait pas d'en faire chavirer plus d'un, avec son air épuisé, et ses mèches de cheveux lui collant aux temps avec la sueur provoquée par ces premiers ébats. Puis elle vint lui parler, tendrement :
« Merci... Bon dieu, merci Magda... Merci pour tout cela... »
Ses mots sont entre-coupés d'un souffle court, mais pour autant, il est clair que ses termes ne sont pas motivés par le plaisir là de suite, mais par un sincère sentiment d'affection envers sa tutrice. Maintenant, toutefois, d'autres personnes méritaient son intérêt, et elle vint se placer contre le mur, face à tout ce beau monde qui l'observait depuis la lentille des caméras, pour enfin ramener ses genoux contre elle... non sans écarter grandement ses pieds, livrant la pleine vue sur son intimité, tandis que ses mains et son menton vinrent quérir support sur ses genoux. Et là, ce fut avec un ton mutin qu'elle s'exprima, afin de chercher leurs réactions :
« Alors mes petits gars, ça vous a plu ? A quoi pensent donc nos beaux jeunes hommes et jeunes femmes derrière leurs écrans ? Est-ce que mon... premier orgasme fut plaisant à voir ? »