Les terres sauvages... un lieu tellement vaste que Slimia n'a jamais prit le temps de visité. Ouais, parce que elle pas envie de se perdre et qu'elle est trop faignante pour ça. Sauf quand elle à envie d'innover ses techniques de capture, parce que c'est toujours amusant et que parfois on peu trouver une manière de faire vraiment originale. Dernièrement elle avait créer un piège qu'elle avait appeler, c'était comment déjà ? Ah oui : l'étreinte du slime ! Simple, basique, ça passe. Cela consiste à recouvrir toute les parois d'un tunnel de sa substance, avant de se refermer entièrement sur sa victime, l'enfermant dans un cocon de slime boueux, avant qu'il ne puisse réagir. Bon, c'est surtout la partie sur le plafond qui s'écroule, ensuite les mur vienne, mais dans l'ensemble l'idée est respecter. Mais je crois qu'on s'en fou un peu, mais j'ai griller plusieurs lignes comme ça.
Nan, en faite, aujourd'hui Slimia voulait évoluer. Non pas dans la mentalité ou sa manière de vivre, c'est un peu peine perdue. Non elle voulait évoluer... comme un pokémon bien qu'elle ne sache ce que c'est. Depuis quelque jours, elle était entrain de s’exercer à contrôler ses morceaux d'elle même, dit comme cela paraît bizarre, mais Slimia pouvait se séparer d'une par d'elle même, et de combler le volume manquant. La partie séparer garde les mêmes caractéristique, visqueuse, gluante, liquide et aphrodisiaque de Slimia, mais cet dernière se doit de le recoller pour en modifier les caractéristiques. Il lui est impossible de contrôler ses morceaux, seulement de sentir où ils se trouvent, afin de les retrouver et donc de se reformer ou gagner du volume. Voilà ce qu'elle voulait faire, évoluer pour contrôle à distance ses morceau et donc des clones, et de pouvoir prendre la place d'un de ses clones. Une échappatoire efficaces, fessant fit de la distance ou encore d'un quelconque lien physique et la possibilité d'étendre son champs d'action, et donc de viol.
L'idée est bonne, peut être dangereuse, mais en réalité Slimia avait juste remplir sa grotte de morceau d'elle même et passer des jours au fond d'une salle à tenter de créer un lien spirituelle avec ses morceaux d'elle-même, partout dans la grotte. Concrètement, elle était assis le cul sur une pierre, à grommeler des paroles ressemblant à des clapotis aux ralentit, les yeux fermer, les mains sur les genoux devant elle, son visage bleu foncer, comme si le sang, enfin... le... le.... bref vous comprenez l'idée, lui monté à la tête. Un simplet dirait qu'elle essaye de faire caca, mais que ça ne sortait pas.
-FFAAAIIIISSS CHHIIIIEEERRRR ! Finit par hurler Slimia, après des jours d'immobilité à tenter de réaliser son idée.
Elle se leva, furibonde, frustrer, énerver, morose, fatiguer et affamer. Elle avait négliger ses besoins primaires, cette idée de contrôle total lui était monté à la tête, après avoir vue un humain qui fessait voler des cailloux et s'en servait comme arme, ça ne l'avait pas empêcher de le violer. Cette simple scène lui avait fait pousser cette idée, après le viol et que l'homme est jouit pour les trois prochains mois. Ne sachant pas quoi faire, tirailler par trois puissante envie : dormir, violer, manger, ce qui résume plutôt bien sa manière de vivre, Slimia resta debout ne sachant pas quoi faire. Après de longue minutes, elle choisit le sexe, elle pourrait en même temps se nourrir de fluide, c'est pas glorieux mais toujours ça. Par contre, elle avait assez vue cette salle, du coup elle prit une des trois artère principale, parsemer de troue, de galerie et autre, voulant rejoindre une autre salle, faire une orgie et se nourrir de ses propres fluides. Ses parents avait bien travailler, car rapidement, les sons d'une voie humaine se fit entendre, porter par les troues et galerie.
Sa substance ne fit qu'un tour et rapidement, une vaque remplit l'artère, remontant le chemin, traversant deux salles et une autre artère, avant de s’écraser contre sa victime, qui avait put entendre comme un grondement venir vers elle, avant d'être frapper par un torrent d'eau, qui perdit rapidement d'intensité et de volume, jusqu'à ce retrouver coincer dans une espèce de grosse boule, à la texture humide et visqueuse, aussi consistant que de la boue. Slimia ne perdit pas de temps et fit fondre les vêtements de la pauvre femme, du-moins au niveau de son intimité de sa rondelle, glissant un myriade de tentacule sous ses vêtements, laissant autant de trace qu'une armée de limace, qui s'amusaient à la lécher de toute part surtout au niveau des zones érogènes.
Slimia se forma contre l'humaine, le regard fou et remplit de désir et d'envie. Elle l'embrassa, sans perdre de temps à lui sortir une phrase sur ce qui va ce passer ou ce qu'elle va faire au moment où la phrase vas finir. Elle enfonça une tentacule, qui devint sa verge, soupirant si fort qu'elle gonfla les joue de sa proie et fondit un peu, tellement cette sensation d'étroitesse, le contact et la texture d'un vagin lui avait manquer. Elle enfonça et retira lentement et amoureusement son mandrin, étirant au maximum les parois, cognant contre le col de l'utérus, dans un mouvement lent et obscène de son bassin.
Elle gémissait de plaisir, heureuse et satisfaire, si bien qu'elle jouit rapidement, tellement que le plaisir était puissant et intense, remplissant l'utérus d'un flot continue de sperme, puis par à coup, avant de reprendre ses coups de butoirs, plus rapide et plus fort, serrant contre son corps l'humaine, gémissant et poussant des cries d'extase. Des jours de privations enfin comblé, l'humaine ne reverrait pas l'extérieur avant un long moment.