Mélinda allait commencer à mettre Maki en difficulté, à lui faire comprendre ce dont la vampire était capable. Elle sourit en voyant Maki choisir de se dévêtir derrière le paravent, plutôt que sous son nez, mais demanda quand même à Katsuo de venir. Silencieuse et obéissante, la maid acquiesça, et Mélinda resta assise sur le fauteuil, patiente, amusée. Il y avait vraiment quelques éléments qui clochaient chez Maki. Cette fille androgyne ne lui disait pas tout, et Mélinda était intriguée. Elle voulait en savoir plus sur elle, découvrir ses secrets, et c’était là tout le sens de la séance qui allait se dérouler sous peu. Après quelques instants, Maki finit par sortir du paravent, toute nue, exhibant ses délicates formes.
La vampire sourit brièvement, non sans voir la jeune femme rougir, son sang s’emballant légèrement. Katsuo, dans son dos, restait la tête baissée, en position de parfaite soumise. Elle portait néanmoins une serviette autour de son corps, mais, quand elle se coucha sur le ventre sur la table, Katsuo la dénoua. Maki se trouva ainsi nue, ses fesses à l’air libre.
« Tout ce que vous avez à faire, c’est vous détendre, Maîtresse… »
Facile à faire, non ? Katsuo grimpa sur elle, et commença à caresser ses épaules, avec tendresse et délicatesse, appuyant sur sa peau, et continua ensuite à descendre. Le massage promettait d’être agréable, car Katsuo était réellement douée. Une masseuse talentueuse, qui ne demandait qu’à laisser son talent s’exprimer, ce qu’elle faisait en ce moment.
« Oui, vous avez une peau très douce, Maîtresse… Mais… Il y a longtemps qu’on ne vous a pas massé, non ? Vos muscles sont tendus… »
Silencieuse, Mélinda laissa Katsuo s’occuper du corps de la femme, et, petit à petit, la masseuse se mit à descendre, glissant le long des hanches de la femme. Quand elle s’exerçait, la timidité de Katsuo disparaissait, ce qui l’amena à se rapprocher du cou de la femme, tout en continuant à descendre avec ses mains, se glissant sur le bas du dos de la femme.
« Voulez-vous que je descende plus bas, Maîtresse ? Comme… »
Elle posa ensuite ses mains sur les fesses de la femme, chacune sur l’un d’entre eux, et sourit à nouveau.
« …Ici ? »
