Hila venait de passer près d'une oasis, pour se désaltérer, mais aussi trouver un peu de verdure pour sustenter sa faim, le tout pour continuer ses pérégrinations sans avoir à faire trop souvent de halte, mais aussi posséder de l'énergie s'il fallait fuir un prédateur. Il n'eut pas de mauvaise rencontre, se baladant paisiblement. Il n'avait pas couru, esquivant juste quelques serpent et scorpions, afin de ne pas se faire empoisonner, ce qui aurait été une bien triste situation. Il n'avait pas croisé de village terranide ou d'humaine, ce qui n'était pas une très bonne nouvelle, car qui dit pas de village, dit devoir dormir dehors, donc être à la merci des prédateur. Il dû faire un choix concernant la suite de sa journée, venant à forcer un peu le pas, se traduisant par plus d'énergie consommé et donc un estomac plus rapidement vide. En allant plus vite, il fut repéré par un tigre, ce dernier ne faisant aucune distinction entre gazelle et terranide gazelle, pour lui c'était la même chose ... VIANDE !!!
Hila dû donc abandonner sa marche rapide en bondissant pour fuir le prédateur, finissant par sauter au dessus d'une dune, qui dissimulait un gros trou. La chute aurait dû lui briser les jambes, mais à la place, il vint à être aveuglé apr une lumière, traversant un portail vers la Terre, puis un autre, situé à moint de trente centimètre, vers la jungle de Raisha. Pour le terranide, il avait eu une simple vision incohérente qu'il prenait pour la vision du monde de sa divinité. Le pauvre idiot ne savait pas qu'il avait vu un autre monde et son intelligence, étant fort limité, ne lui permettait pas d’appréhender l'étendue d'un autre monde. Il vint à finir sa course dans une lac, devant vite sortir de l'eau en voyant des poissons quelques peu agressif.
En sortant de l'eau, il put constater que l'endroit était différent, très humide. Il vint à analyser les plantes aux alentours du lac et vint, par sa curiosité, à s'enfoncer dans cet endroit, qui renfermait de nombreux danger pour un animal de la savane, comme lui. Il ne se sentait pas en danger, ce qui le rendait terriblement attirant.