Maîtresse et soumise [PV]

Howler était une belle demoiselle dans la vingtaine d'années, une demoiselle possédant de nombreux pouvoirs, de belles formes, à moitié albinos, car seulement sa pilosité était blanche, mais ses yeux étaient d'un beau bleu. La jeune esper était aussi percée, notamment au niveau des oreilles, des sourcils et juste en dessous de la lèvre inférieure, elle est aussi tatouée sur son épaule gauche, des étoiles rouges et des bandes blanches. La demi-albinos était d'origine américaine, mais déménagea à Seikusu, au Japon, sous un coup de tête, travaillant comme mécanicienne dans un garage de la ville. Elle n'y était pas venue toute seule, sa petite-amie, Nadia, l'avait suivi dans l'aventure, les deux demoiselles avaient un lien spécial, Howler était la maîtresse de Nadia, toutes les deux pratiquantes du BDSM. C'est d'ailleurs grâce à cette pratique qu'elles se sont connues, ayant eu une première expérience ensemble, elles se sont tout de suite plu, puis elles continuèrent à perfectionner leur pratique ensemble, mais cela ne les empêchait pas d'avoir d'autres partenaires, c'était un couple libre.

La journée commençait à finir, le soleil allait, petit-à-petit, en dessous de l'horizon, l'obscurité s'installait sur la ville de Seikusu, ce qui voulait dire la fin de la journée de travail pour Howler qui travaillait sur un bolide. Elle avait pas mal bosser pour aujourd'hui, réparant divers engins motorisés, certains n'avaient que des problèmes simples, il manquait de l'huile ou un tuyau était bouché, il fallait simplement le remplacer. D'autres, c'était plus complexe, on les donnait donc à Howler, afin qu'elle puisse réparer cela, elle y arrivait parfaitement, tout le monde se demandait comment, car même les meilleurs mécanos de la boite abandonnaient après plusieurs heures. Pour la demoiselle, c'était simple, elle utilisait simplement ses pouvoirs, ce qui lui donnait des connaissances dans le domaine et la capacité d'analyse, puis, elle réglait le souci. D'ailleurs, elle n'avait jamais fait d'études en mécanique, prétextant juste qu'elle adore les bolides, ce qui n'était pas faux, elle-même avait une belle moto, elle avait eu ce job en réparant, par hasard, la voiture du patron, alors qu'elle ne démarrait pas. Howler avait eu cet emploi grâce à ses capacités et cela lui plaisait bien de travailler pendant la journée et de se donner à ses pratiques de BDSM quand elle rentrait chez elle.

En parlant de rentrer chez soi, c'était donc la fin du boulot, Howler finissait les derniers réglages avant de pousser un soupir, satisfaite, allant se changer, mettant sa combinaison de moto, puis son casque, saluant ses collègues. La demi-albinos enfourcha sa moto pour rentrer tranquillement chez elle, où l'attendait sa bien-aimée Nadia qui était dans la cave de la maison, une pièce aménagée spécialement pour le BDSM, la demoiselle avait enfermé sa partenaire là-bas. Mais Howler ne vint pas la libérer tout de suite, elle prenait son temps pour prendre un bon bain, manger, puis mettre sa robe en latex par-dessus son corps nu, une robe noire qui ne cachait pas sa poitrine, commençant juste en dessous de seins et qui s'arrêtait à un tiers des cuisses. La demoiselle s'approcha donc de l'entrée de la cave, ouvrant la porte et rentrant à l'intérieur, allumant la lumière, avant de descendre doucement l'escalier pour se rendre dans les pièces inférieures, la cave étant aussi grande que la maison en terme de longueur et de largeur. La maîtresse alla retrouver sa soumise qui était là depuis quelques heures déjà, assise sur un cheval en bois, la partie où on s'assoit étant anguleux et en métal, il s'enfonçait bien dans la fente de la brune. Mais ce n'était pas tout, l'esclave sexuelle se retrouvait les yeux bandés, les oreilles cachées par des écouteurs, afin d'isoler le son, un bâillon avec une boule au niveau de la bouche, une bonne position, comme ça, Nadia allait se concentrer simplement sur le plaisir.  

Le plaisir d'avoir une gode vibrant dans l'intimité, qui s'enfonçait quand l'angle métallique rentrait dans le sexe à cause de la gravité, le plaisir d'avoir une chatte moulée au niveau du sexe masculin, qui vibrait également de haut en bas pour stimuler le membre. Le plaisir d'avoir une gode anal vibrant également, dans l'orifice des fesses, ou des coupoles, reliées à une machine qui aspirait les tétons, tout cela pendant des heures. En plus, Nadia était attachée, les mains derrière les dos, les jambes au niveau du cheval en bois, avec des poids accrochés aux chevilles, afin d'accentuer la gravité, c'était très plaisant à voir. La brune était aussi habillée d'une tenue de latex qui ne cachait ni les seins, ni entre les jambes, pour avoir accès à ces parties intéressantes avec les godes ou autres jouets, évidemment.

Tu voyais déjà le sol souillé de différents liquides, tout cela devait bien marcher alors et avait bien stimulé la brune qui subissait son sort, mais, après tout, elle s'était lancée dans cette relation pour cela, c'était son rôle de satisfaire sa maîtresse. Après, Nadia était très résistante et endurante, un tel sort n'était rien, elle avait subi bien pire de la part de Howler, ce n'était que le début du jeu et de cette longue soirée. Notre esper vient s'asseoir en face de sa partenaire, sur le cheval vraiment inconfortable, on sentait bien le bord rentrer entre les cuisses, mais elle n'y prêta pas trop attention, venant retirer le bandeau en cuir autour des yeux de la brune, lui redonnant la vue. La demi-albinos vint lui caresser les joues, lui enlevant le bâillon, tirant sur la chaîne attachée au collier et vient l'embrasser langoureusement, allant jouer avec la langue de sa partenaire en s'aidant de la sienne. La maîtresse fit un petit rire, puis un sourire pervers, regardant sa soumise, lui mordillant les lèvres et lui enlevant le casque : « Je t'ai manqué ma belle ? Tu m'as beaucoup manqué, au point où je me suis masturbée durant mon travail, j'espère que tu as bien pu profiter du moment et que tu es prête, apparemment, oui. » Elle lui montra le sol, une grosse flaque qui était un mélange de différentes sécrétions que Nadia a dû produire, de nombreux liquides qui ont coulé.

(Suite à l'abandon de l'autre joueuse et la demande de l'auteure, je reprend le rôle de Nadia  )


Nadia était une jeune fille comme les autres. En tout cas jusqu'à il y a quelques années maintenant. Nadia était née dans une famille heureuse. Fille aînée d'une famille de deux enfants, elle passa une enfance relativement calme et sans histoire. Elle avait été une bonne élève sans être exceptionnelle, avait quelques amies, faisait un peu de danse, comme ses copines, sans jamais n'y révéler aucun talent particulier.
En fait, c'était son plus grand problème... Elle ne s'illustrait nulle part. Trop timide pour se mettre à l'avant, elle passait les épreuves, sans pour autant être remarquée. Ses appréciations sur ses bulletins scolaire était "élève studieuse, continuez comme ça". Aucun prof de devait vraiment savoir qui elle était, en fait. Quand elle grandit, elle devint belle. Vraiment belle. Et bien faite. Les regards des garçons sur elle changea, et sa timidité empira. Elle était incapable de parler normalement avec eux quand elle sentait des tentatives de drague. Quand ses amies lui parlait de sexe, elle rougissait fortement et fuyait la conversation. Au point de s'isoler un peu. Et quand elle arriva à la fac, cela ne s'améliora pas.
Puis un jour, passant devant un marchand de journaux, elle vit une revue érotique. Et prit d'une impulsion subite, elle l'acheta, fuyant le regard du vendeur.

Elle passa une semaine sans y toucher. Il était au fond de son sac, et elle le fixait pendant des heures. Puis un soir, elle décida de faire preuve de courage, et l'ouvrit. Le magazine était assez soft, en soi. Mais une page l'attira avec un magnétisme incroyable. Une jeune femme, yeux bandés, ballonnée, ligotée. Ses seins ressortaient sous les pressions des cordes, et un noeud semblait s'enfoncer entre ses lèvres intimes. Mais c'était l'expression de son visage qui la marqua le plus. Une sorte d'extase, de plaisir doux mais important.
L'image lui fit un tel effet qu'elle se donna longuement du plaisir dessus. Ses songes étaient peuplés de corde et de cuir. Son ordinateur portable se remplit d'image du même genre, de plus en plus poussées... Elle se sentait possédée par une soif inapaisable.

Alors, un soir que ses parents étaient partit en vacances, que son frère était parti voir des copains, et qu'elle n'avait pas cours de la semaine, elle se rendit dans un club privé de BDSM. Elle était seule, mais pourtant les videurs la laissèrent entrer. Et de cette nuit, elle n'avait plus que des souvenirs flous... Du moins jusqu'à sa rencontre avec Howler. La jeune demi albinos avait été un phare dans ce club, et Nadia était tombée amoureuse en un regard. Elle qui n'avait jamais connue ce sentiment en fut transporter. Au point que quand Howler s'était approchée d'elle, elle n'avait rien comprit à ses paroles, se contentant d'un signe de tête affirmatif. Et ses lèvres s'était alors emparées des siennes. Le reste de la soirée fut magique, et Nadia sût qu'elle ne pourrait plus jamais quitter Howler.

Elle changea. Du jour au lendemain, pour ses proches. Elle teint ses cheveux bruns en un mauve un peu sombre, rasant presque un coté de sa tête. Des piercings firent leur apparition. Et lorsque sa petite amie -et Maîtresse- décida de quitter les Etats Unis, elle la suivie, sans hésiter.
Elle lui faisait une totale confiance. Car oui, Howler était devenue sa Maîtresse, pour son plus grand bonheur. Elle avait repoussée ses limites de plus en plus loin, pour elle. Mais ce n'était pas qu'une relation de dépendance, mais de confiance. Elle savait qu'Howler ne lui ferait jamais de mal. Ou du moins, pas sans une contrepartie de plaisir largement supérieur.


Mais pourtant, cette fois ci, avait elle... bien fait? Oh, le plaisir était au rendez vous. Mais son corps était fatigué, lasse. Elle se sentait au bord de l'évanouissement, et elle se demandait même si cela ne s'était pas déjà produit.
Coupée du monde extérieur entre le bâillon, les écouteurs et le bandeau, attachée, immobilisée par les chaînes, elle n'avait aucune autre sensation que celles du plaisir, et d'une légère douleur dût à la fatigue de son corps. Elle avait perdue le compte du nombre de fois où elle avait jouit. Les godes qui vibraient en elle lui avait coupés toutes possibilité de réfléchir, elle ne pouvait penser qu'à une chose, son corps gémissant de plaisir, et son esprit embué. Depuis combien de temps était elle dans cette position? Elle n'en savait rien. Des heures? Ou quelques minutes? Il lui semblait avoir passé des heures entières, mais elle savait que dans ce genre de situation, l'impression est trompeuse. Alors, n'ayant guère de choix... Elle jouissait, encore et encore.

Soudain... Quelque chose sembla différent... Comme une odeur délicieuse... Et un déplacement d'air qui fit frémir sa peau. Enfin...? Oui, enfin, son bandeau lui est retiré, lui permettant de voir le visage d'Howler. Le baillon fut le suivant, lui permettant de faire bouger sa mâchoire courbaturée. Dire qu'elle se sentait épuisée était un euphémisme.
Pourtant, le baiser que lui imposa Howler la remua comme toujours. La fatigue et la lassitude s'envolèrent, remplacée par une vague de chaleur et d'affection. Une fois de plus, sa seule envie était de lui faire plaisir, de se dépasser pour elle. Aussi lui rendit elle le baiser avec passion. Et qu'elle ne put retenir un énième orgasme de plaisir.
Elle se rendit à peine compte qu'on lui enlevait le casque, jusqu'à ce que tous les bruits reviennent en même temps, assourdissant. Elle ferma les yeux, un instant, écoutant sa Maitresse. Elle rouvrit les yeux pour regarder la flaque, et rougit brusquement. Tant que ça? Elle ne pensait pas que cela pourrait être le cas.

-Je... C'est ta faute d'abord!

Le ton, très... "immature", avait pour but de titiller Howler, d'aiguiser son "appétit", sans que se soit un réel manque de respect. Une sorte d'encouragement voilé.

Le spectacle était très excitant, mais beaucoup, Howler regardant sa partenaire assaillie de plaisir avec les différents jouets que la maîtresse avait préparés et utilisés durant cette séance de plusieurs heures, mais après tout, c'était dans le contrat. C'était le BDSM, Howler avait le droit d'utiliser tout son attirail de sextoys et accessoires dans le but le faire plaisir à Nadia, sa soumise et cette dernière avait déjà expérimenté tout ce que possédait l'albinos. Mais la partenaire de notre héroïne savait dans quoi elle embarquait, tout était stipulé dans le contrat que les demoiselles avaient passé, ce qui faisait plaisir à notre demoiselle, d'avoir une partenaire dévouée. Howler adorait vraiment Nadia, cela pouvait être considéré à de l'amour, ce rouge sur les joues, ce comportement enfantin, tout ceci ne faisait qu'exciter l'albinos, surtout que Nadia faisait une parfaite soumise, la maîtresse pouvait expérimenter plein de sévices sexuels. Ainsi, la demoiselle aux cheveux mauves se retrouvait à ressentir un extrême plaisir dans une situation pas très confortable, créant, ainsi, une flaque de mouille par terre que l'albinos a fait remarquer. La réaction de Nadia fut très mignonne, même si ce n'était pas la première fois qu'elle jouissait autant, la soumise était toujours honteuse du résultat. L'albinos vient encore embrasser sa partenaire, lui caressant les joues, avant de sourire et rire un peu, ses mains, se baladant sur le corps de la soumise, au niveau des seins pour les caresser et malaxer délicatement, gardant son sourire : « Ne me dis pas que tu es déjà fatiguée et tu n'aimes pas ça, tu as connu, pire, enfin, mieux que ça, pendant toute une journée, la flaque était encore plus grande. » En effet, une fois, Nadia avait déjà passé plusieurs jours dans une tenue de latex, les membres liés, suspendue au plafond, avec beaucoup de jouets qui stimulaient les endroits sensibles et Howler avait utilisé un de ses pouvoirs sur le corps de la demoiselle pour décupler les sensations.

Howler fit un petit rire, de nouveau, offrant un autre baiser à sa soumise, sur les lèvres, puis sur le cou, elle utilisait, ainsi, le fameux pouvoir, pour augmenter les sensations du toucher de Nadia, une simple caresse pouvait quasiment donner un orgasme. Mais la maîtresse savait que sa soumise était très résistante, après toutes ses années à expérimenter tous les caprices de l'albinos, la mauve devait être habituée au plaisir. La dominatrice attrapa la demoiselle, tenant la chaîne reliée au cou de la mauve, avec un collier, la délogeant de sa position et la mettant à genoux devant la flaque de liquide intime. Howler posa son pied muni d'un talon sur le dos de la soumise, appuyant dessus pour faire pencher Nadia par-dessus le mélange, rapprochant la tête de la mauve afin qu'elle touche la flaque avec son nez et ses lèvres. L'albinos fit un sourire : « Tu sais bien que je n'aime pas quand c'est sale, tu vas nettoyer cela en léchant tout, tu sais si bien le faire. » Ce n'était pas la première et la dernière fois que Howler humiliait Nadia, en privé ou en public, c'était si excitant de voir la demoiselle exécuter tous les ordres, après tout, l'humiliation faisait partie du BDSM et du contrat. Si Nadia n'aimait pas, il lui suffisait de dire le mot magique qui arrête tout, le safeword, mais généralement, la soumise acceptait d'être traitée comme une chienne, ce qui était très plaisant à voir. Tandis que Nadia s'occupait de la flaque, l'albinos vint caresser le fessier de la belle avec sa chaussure, puis sa main, épousant bien la courbe, avant de donner une fessée, puis une autre, puis une autre pour faire rougir la peau.

Mais cela ne s'arrêtait pas là, pendant que Nadia continuait à lécher, Howler sortit une sangle en cuir noir, caressant d'abord le derrière de la demoiselle avant de lui donner des coups tout en souriant : « N'oublie pas de compter les coups. » L'albinos commença son traitement de sadique, donnant des coups de sangle dans un rythme irrégulier, voulant bien marquer la peau de la mauve avec le jouet. La maîtresse riait doucement à chaque application de l'outil sur l'épiderme de la chienne, faisant bien rougir les deux zones du fessier, puis elle arrêta, se penchant pour embrasser la zone endolorie : « C'est si excitant de t'entendre gémir.. » Howler sourit de manière perverse, avant de s'intéresser aux godes dans les orifices de Nadia, d'abord ceux qui s'occupaient des orifices, les bougeant en faisant des vas et vient. Puis elle s'occupa de la chatte qui moulait bien la queue de la mauve, lui masturbant le membre en bougeant la moule de haut en bas, de manière vive, c'était le début mais c'était déjà très intense niveau sensation. Howler ne pouvait contenir toute cette excitation et tout ce spectacle, son corps ne pouvait tenir en place, elle était toute chaude au niveau de son bas ventre et avait cette grande envie d'être satisfaite. La demoiselle ne voulait que passer à la suite des choses, qui sera, d'ailleurs, très bien.

Elle soupira de contentement en sentant les mains de sa Maîtresse lui caresser les seins. Malgré tous les jouets qu'Howler pouvait utiliser sur elle, c'était toujours ses mains et ses lèvres qui lui donnait le plus de plaisir. Son corps et son esprit étaient totalement offerts à elle, et rien ne pouvait se placer dans leur relation.
Elle rougit cependant à sa remarque, et baissa les yeux, essayant de ne pas voir la flaque qui couvrait le sol. Tout était vrai, elle avait déjà connue bien pire... ou plutôt bien mieux, mais cela n'était pas une raison! Cependant, sa Maîtresse avait posée des questions, et même rhétoriques, elle se devait d'y répondre.

"Non Maîtresse, je ne suis pas fatiguée... Et j'adore ça..."

Garde la tête basse, l'humiliation était encore grande de devoir avouer cela à haute voix. Elle s'offrit cependant juste après, jetant sa tête en arrière pour offrir ses lèvres et son cou aux lèvres de l'albinos, frémissante et gémissante, ses tétons durs comme toujours, son sexe coulant encore plus. Sa bite gicla une nouvelle fois sous le troisième baiser, mais resta toujours aussi tendue. Nadia adorait être touchée, et ne se retenait de jouir qu'à grand peine. Il y avait encore quelques mois, au début de leur relation, elle espérait sans cesse être caressée et embrassée... mais depuis elle avait apprise à ne rien attendre et ne rien espérer. Elle était la soumise d'Howler, et n'avait droit qu'à ce que celle ci acceptait de lui donner. Ni plus, ni moins. Elle ne pouvait rien refuser, et rien demander. Et cet état de soumission lui convenait parfaitement. Car sa Maîtresse était la meilleure qu'elle aurait put trouver.

Sans résister, ou juste assez pour que la prise sur sa laisse soit ferme, elle se laissa manipulée pour finir à genou, courbée devant elle. Ses mains encore liée dans son dos l’empêchait de s'appuyer au sol, et tout naturellement ses lèvres et son nez vinrent tremper dans ses propres fluides. L'odeur forte ne la repoussa pas, et elle gémit, se cambrant légèrement alors que le talon s'enfonçait dans son dos.

Howler accentua son humiliation en lui ordonnant de lécher. Comme "elle sait si bien le faire". Une raillerie qui la fit frissonner, elle la soumise, complimentée et moquée en même temps. L'humiliation était un doux plaisir, différent de celui brut et pur des caresses sexuelles, et du plaisir par contrecoup de la douleur. Le doux plaisir d'être traité comme une chienne, et de répondre aux attentes de celle qu'elle aimait. C'était le plaisir masochiste pur, presque similaire au plaisir d'être complimenté.

Alors, elle commença à lécher, se tendant sous la caresse de son postérieur, et gémit alors que sa langue était pleine de foutre, de cyprine et de ses autres fluides, lorsque les claques commencèrent à faire chauffer sa peau. La marque de la main s'imprimait presque sur sa peau tendre, alors que Nadia ne cessait de lécher.
Puis vint la sangle. Sa Maitresse aimait la fouetter, et Nadia avait apprit à aimer ça.

Sa peau marquait le premier coup alors que la mauve poussait un gémissement plaintif, se cambrant, relevant son fessier rebondit, et dit d'une voix frémissante.

"Un..."

Les coups irréguliers l'empêchait de les prévoir, et son corps restait dans une position d'attente et de tension continuelle, alors qu'elle continuait de lécher le sol de ses propres fluides, ses deux sexes renouvelant ceux ci au fur et à mesure que sa voix comptait les coups. Son cul rougissait au point d'être brûlant, et s'était zébré des traces de la sangle, et elle se contentait pour seule opposition de gémir doucement entre douleur et plaisir. Et quand les lèvres remplacèrent la sangle, elle poussa un petit cri de plaisir, alors que sa peau maltraitée était encore largement douloureuse. Howler ne fouettait jamais à moitié. Et Nadia ne voulait pas de "pitié". Si sa Maitresse avait dût abaisser ses envies par soucis d'elle, elle aurait considérée cela comme un échec de sa position de soumise. Howler faisait d'elle ce qu'elle voulait, mais Nadia n'avait pas peur, car elle savait que Howler n'irait pas trop loin. Tout reposait sur la confiance mutuelle, et Nadia avait apprit se laisser totalement aller entre les mains expertes de sa Maitresse.

Mains expertes qui commencèrent à faire jouer les godes vibrants enfoncés profondément en elle, la faisant gémir, et légèrement baver. Son esprit recommençait à s'engourdir alors qu'elle essayait de se concentrer sur sa tâche: lécher. Mais cela devenait de plus en plus compliqué, surtout que son esprit s’embrumait totalement de plaisir. Et lorsque se fut sa bite qui fut stimulée, elle ne se retint plus très longtemps, et fut parcourue d'un nouvel orgasme foudroyant, giclant de foutre et de cyprine, son visage déformé de plaisir, bavant abondamment.