Le Grand-Sodomite devint pour l’heure le Saint-Urinoir. Dès qu’il s’agissait de blasphèmes, de parjures, et de moqueries, les démons étaient redoutables, a fortiori les succubes. Par leur nature de luxure, elles étaient souvent les cibles de religions très moralisatrices. Autant dire que, dès qu’elles avaient l’occasion de tourner en ridicule la morale sexuelle religieuse, elles n’hésitaient pas à le faire. Theorem était donc leur Grand-Sodomite, titre inventé sur le moment. Le pauvre n’était pas encore au bout de ses peines face à de telles femmes. Edessa avait beau être douce, et avoir été très gentille avec lui auparavant, elle pouvait aussi se montrer très dominatrice, surtout quand elle était en compagnie des Magoa.
Rapidement, les deux urinèrent donc dans la bouche de Theorem, enfonçant leurs grosses queues bien profondément dans sa gorge, avant d’uriner joyeusement. Elles balancèrent d’épais chapelets d’urine en lui, cherchant à ne rien négliger. Et l’urine des démones était assez particulier. C’était de l’urine chaude, et chacune urina suffisamment longuement pour laisser le temps à Theorem de s’habituer à ce contact. Elles se retirèrent donc ensuite, l’une après l’autre, et gloussèrent en le voyant à terre, gêné, et admiratif.
« Tu entends ça ? Le petit nous admire...
- Oui... C’est à croire qu’il aime être notre vide-couilles. N’as tu donc aucune fierté, Theorem ? »
Edessa, qui était celui le connaissant le mieux, se rapprocha de lui, et posa sa main sur ses cheveux, tirant un peu dessus, relevant son visage vers le sien. Avec son autre main, elle caressa son visage, ses doigts glissant le long de ses lèvres.
« Maîtresse m’a dit que tu étais un grand chevalier jadis... Un puissant guerrier, noble et valeureux. Et maintenant ? Que reste-t-il de ce fier chevalier ? Que reste-t-il de ta fierté ?
- Plus rien... Tout ce que Theorem veut, maintenant, c’est qu’on le baise.
- Depuis combien de temps est-ce que ta queue n’a pas servi, hum ? Je suis sûre que tu y rêves encore... D’enfoncer ton membre dans un con... »
Elle se redressa alors, et fourra ses doigts dans sa chatte, exhibant sa vulve luisante sous les yeux de Theorem, sa chatte apparaissant sous sa belle queue, des gouttes de cyprine tombant sur la tête de Theorem, qui était assis entre ses cuisses.
« Dans le mien, notamment... Quand tu étais au harem, je sais que tu en rêvais. Tu aurais même pu le faire, si Ishtar ne t’avait pas repris. En fait... Ça s’est joué à un jour près. Je t’avais mis sur mon emploi du temps, j’avais tout préparé, même des drogues et des stimulants pour toi. Tu aurais pris cette belle chatte que tu vois là pendant des heures, tu aurais senti mes parois se resserrer contre ta bite, tu aurais senti ma mouille éclater sur ton sexe, et tu aurais joui en moi, joui tant et tant de fois... »
Tout en décrivant la scène, elle se masturbait, provoquant des petits claquements spongieux, faisant sortir davantage de mouille. Inazia se rapprocha alors, et remplaça les doigts d’Edessa par les siens, la masturbant alors d’une main, l’autre caressant sa belle verge.
« Oui, Theorem... Crois-moi, tu ne sais pas ce que tu as loupé. Edessa a entraîné sa chatte, elle a goûté à des centaines de verges, mais elle continue à user de sa magie pour la rendre bien serrée à chaque fois. Plonger en elle, aucun homme n’y a résisté. Des dizaines et des dizaines d’orgasmes, tu aurais eu, jusqu’à tomber dans le coma.
- Haaaa...
- Mais maintenant... Maintenant, ta queue ne te sert plus à rien. Tu ne l’utilises tellement plus qu’elle a rapetissé. C’est comme un muscle, tu sais, il faut l’entretenir... Ta petite bite ne mérite pas la chatte d’Edessa, elle te sera à jamais refusée. Lèche sa queue maintenant, Grand-Sodomite, lèche sa grosse queue, constate combien elle est dure, combien elle est grosse par rapport à la tienne, et souffre du fait de savoir que jamais ta petite bite ne rentrera dans sa chatte. »
Les deux succubes n’y allaient vraiment pas par le dos de la cuiller, torturant psychologiquement Theorem, le poussant à bout... Afin de voir jusqu’à quel point il leur était vraiment soumis.