Une voleuse bien imprudente - [Valoria]

Les vents froids balayaient impitoyablement les terres de glaces. Engoncé dans un lourd manteau de fourrure, Lysandra avança lentement avec que la brise furieuse agressait sa peau délicate. Sa destination était proche, elle percevait en hauteur la forteresse qui se dessinait au loin. Un jour de voyage et la jeune femme pouvait s'engouffrer dans ce château de pierres brutes et s'emparer des objets de son désir. Ses yeux luisaient farouchement à cette pensée. La guilde à laquelle elle appartenait lui avait enfin accorder le statut de membre à part entière de l'organisation. Maître-Voleur. La jeune femme avait relevé sa tête avec fierté lorsque son mentor le lui avait annoncé. Son intronisation avait eut lieu et sur son omoplate s'inscrivait désormais le glyphe la marquant de son nouveau statut.

Elle s'était enfoncée pour la longue Quête qui marquait l'existence de chaque nouveau maître. Avant d'affirmer leur nouveau statut, ils devaient partir pour une durée d'un an dans les lieux les plus reculés pour ramener des artefacts secrets, cachés, détenus par les êtres créatures les plus ignobles, les plus terrifiantes. Son périple avait commencé en beauté. Elle avait dérobé les plus belles œuvres d'art, non sans une petite aide.

La belle Lysandra avait été prise sous l'aile d'une des plus talentueuse voleuse de Terra pour une raison bien simple : la petite possédait le pouvoir stupéfiant de pouvoir traverser les murs. Une aide fort utile quand on considérait pareil métier. Mais Lysandra ne s'était pas reposer sur ses acquis. Son charme élégant, ses capacités de séduction, son agilité, avaient fait d'elle une voleuse accomplie.  Alors que la nuit tombait, la jeune femme dénicha une grotte dans laquelle elle attendit, profitant d'un peu de sommeil, le lendemain qui allait s'annoncer assez rude.

L'escalade jusqu'en haut de la colline sur laquelle se tenait fièrement la forteresse abandonnée sembla lui durer une éternité. Pendant ce temps là, alors qu'avec agilité elle grimpait sur la glace. Elle songeait aux renseignements que quelques types lui avaient fournis en échange de quelques piécettes d'or - parfois plus. Apparemment le jeu en valait la chandelle. Les lieux étaient habités, mais rare était ceux qui savait apparemment par quoi. Ou bien ils ne voulaient pas en parler. Mais l'énergie d'un dénicheur de trésors devin avaient ressenti laisser peu de place à l’ambiguïté, il y avait des secrets dans cette forteresse. Bien qu'elle évitait généralement toute excursion avec aussi peu d'information, elle décida de s'y rendre, envahi par la curiosité et la soif de l'aventure. 

Bientôt elle longea le flanc de la falaise, alors que ses doigts s'agrippaient à la façade du château. Bientôt, elle put se hisser jusqu'à la glace plus solide, jusqu'à se trouver devant d'immenses portes. Lysandra inspira avant de les pousser. Elles s'ouvrirent dans un grand grincement et la jeune femme pu se glisser à l'intérieur alors qu'elles se refermèrent d'un coup sec derrière elle. La voleuse déglutit alors que ses yeux s'habituaient à la pénombre du hall d'entrée puis avança.

La vieille forteresse est matière à légende dans les villages avoisinants les hauts pics enneigés des terres de glace. On raconte des histoires à propos d’un vestige d’une ère passé, bien avant l'arrivée des terranides en ces terres hostiles. Une grande forteresse délabrée, érigée sur l’une des plus grandes montagnes du territoire. Cette forteresse a été bâtie sur l’une des faces de la montagne où des vents violents et un blizzard perpétuel s’attaquent sans arrêt aux murs de pierre qui s’étendent du coeur de la montagne jusqu’à son sommet. Les histoires sont nombreuses, car nombreux sont ceux qui y ont mis les pieds et peu sont ceux qui en sont revenus indemnes. Pour ce qui est de l’historique de cette installation, très peu sont capables de s’entendre. On parle de la forteresse d’un roi maudit qui aurait insulté les dieux et que ceux-ci ont pris leur vengeance en condamnant son royaume à tomber sous la rage immense de mère Nature. D’autres parlent simplement d’une installation militaire ayant appartenu à un peuple longuement disparu. Une chose est certaine: les survivants parlent de trésors incroyables. Une richesse comme on n’en retrouve nulle part ailleurs plus on s’enfonce dans les entrailles de cette forteresse maudite. Tous sont au courant des nombreux dangers qu’on y retrouve, mais l'appât du gain peut être très puissant.

Mais le plus drôle, c’est que plus on s’éloigne des villages aux alentours et plus la légende semble disparaître. Comme si pour certains, cette forteresse n’avait jamais existé. Comme si elle avait été bâtie il y a trois semaines. Mais c’est idiot de croire ça, non? Les renseignements  sont pourtant fiables, alors les aventuriers ne se posent généralement que très peu de questions. Celle qui avait décidé de braver les dangers de la forteresse a suivi le même chemin que plusieurs autres avant elle et de fil en aiguille, elle se retrouva devant les grandes portes de bois n’offrirent aucune résistance, si ce n’est que le vacarme causé par le grincement des gonds. À l’intérieur, rien de plus que les ténèbres. La lumière de l’extérieur n’arrivait qu’à mettre un peu de vie à quelques mètres devant Lisandra, montrant le sol de marbre légèrement recouvert d’une fine couche de neige qui a su s'infiltrer à l’intérieur suite à l’ouverture des portes. Difficile de deviner les dimensions du hall. Quelques pas vers l’avant et une incroyable bourrasque de vent s’éleva claqua violemment la porte derrière elle, plongeant la voleuse dans l’obscurité. Bien qu’éteintes, de nombreuses torches sont accrochées au mur et prêtes d'utilisations si on en a besoin. C’est comme si quelqu’un les avait entretenus au cours des siècles.

Le hall est vraiment gigantesque et plutôt luxueux malgré l’aspect délabré de l’endroit en général. La pièce carrée est décorée aux murs de plusieurs chandeliers en fer et de diverses peintures délavées représentant des paysages et des personnages à l’air important, mais totalement inconnu. Au plafond pend un énorme chandelier dévoré par la rouille. Rien ici ne semble avoir de grande valeur. Pas surprenant, l’air ambiant est glacial après tout. Un peu plus loin, un large escalier monte à une balustrade, un étage supérieur où on peut trouver deux portes: une faite de fer et verrouillée et l’autre de bois bien ordinaire, légèrement ouverte. Au rez-de-chaussée, il n’y a qu’une seule porte fermée, mais déverrouillée, derrière laquelle on peut entendre un son à peine audible. Un son qui ressemble au grattement des pattes d’une souris sur de la pierre. Jusqu’à maintenant, rien de bien surprenant. Toutefois… Il serait surprenant que de la vermine puisse survivre ici à cette température. Où allait-elle donc décider de s’aventurer…? À partir de maintenant, rebrousser chemin est impossible… Et qui sait sur quoi elle peut tomber dans cette forteresse maudite.

Ses pas résonnaient dans le hall d'entrée. Ses doigts étaient encore engourdis à cause du froid qui gelait pratiquement tout sur place à l'extérieur, malgré les gants rien n'y faisait. L'entrée dans laquelle Lysandra se trouvait la faisait se sentir toute petite, écrasée par la magnificence de l'endroit. Enfin, en taille seulement. Il avait dû être au beau fixe un bon paquet d'années auparavant, mais après tout la forteresse était abandonnée, ce n'était donc pas surprenant. Elle respira avant d’avancer.

La porte s'était brutalement refermée derrière elle, avec un tel bruit que les murs semblèrent trembler. Enfin, ce devait juste être elle qui avait eut cette impression. Ses yeux balayaient l'espace, sans attendre elle sortit un antique briquet, une machinerie fine, en partie magique qui lui permit d'allumer une des torches au mur. Malgré sa connaissance de l'endroit, à travers rumeurs, histoires et autres, il était impossible de savoir où s'orienter, où aller en un mot elle devait : explorer.

D'un pas léger, elle fit quelques pas, armée de la torche qu'elle avait prit du mur. Curieux d'ailleurs, que celle-ci soit en aussi bon état... était-ce le mystérieux propriétaire qui l'avait entretenu. Lysandra sursauta en entendant quelques grattements, elle avança de la porte tapota sur celle-ci, attendant une réponse, une voix qui s’élèverait... Rien. Elle inspira, avant d'opter pour l’escalier, grimpant les marches une à une, prenant le soin de ne pas faire trop de bruits en faisant craquer les marches.

Elle arriva devant une porte en fer, qu'elle essaya... verrouillée. L'autre était ouverte, elle respira avant de l’entrouvrir et de s'engouffrer dans la pièce, tenant toujours la torche dans sa main serrée. Qu'allait-t-elle trouver de l'autre côté ? Lysandra tremblait, était-ce vraiment prudent de s'engouffrer dans cette demeure qui ne lui disait rien de bon ?  La jeune fille s'avança, prête à toute éventualité, alors que ses muscles étaient tendus, préparés pour la bagarre... ou la fuite.

Le bruit causé par le tapotement de Lysandra eut un drôle d'effet. L'espace de quelques secondes, les grattements se sont intensifiés pour ensuite cesser brusquement. On peut deviner que peu importe ce qu'il y avait à l'intérieur, ça a eu peur. Probablement un gros rat ou quelque chose du genre. Quoi qu'il en soit, probablement pas quelque chose de très dangereux. Après un bout de temps dans le silence, le grattement recommença. Lysandra laissa la porte de côté pour l'instant, gravant une à une les marches de marbre menant à l'étage supérieur.

Dans un grincement sinistre, la porte s'ouvra sans réelle difficulté. Mais avec ce bruit, il n'a pas de doute que si quelque chose se trouve à l'intérieur, la présence de la voleuse ne lui est pas inconnue. Heureusement pour elle, la pièce est pratiquement vide. Quelques étagères de bois mort qui n'ont su retenir leur contenu, des fioles de verre éclatées sur le sol, quelques bibliothèques contenant des parchemins et quelques livres et finalement, au fond de la pièce face à un mur, une commode contenant plusieurs papiers en tout genre. On dirait un apothicaire. Les livres sont vieux, poussiéreux et manquants plusieurs pages. Pour la plupart, des livres de recettes, de médicaments désuets et quelques bestiaires manquant cruellement de contenus. De ce côté, plutôt décevant. La plupart des fioles n'ont pas survécu à leur chute, à l'exception d'une seule. Son contenu dégage une faible lueur rosée, trahissant ses origines clairement magiques. Toutefois, le contenu ne laisse aucun indice sur ses effets et aucun des livres ou parchemins ne semble pouvoir offrir de l'information à ce sujet. Enfin, pourquoi ne pas l'apporter? Ça pourrait être utile à un moment ou l'autre. Finalement, la commode. À l'intérieur, deux clés de fer, un parchemin roulé et un journal. Les deux clés sont plutôt épaisses, attachées à un large trousseau. L'une des deux est beaucoup plus massive et solide que l'autre, ce qui peut rappeler une clé de cellule de prison. L'autre est également plus épaisse, mais beaucoup plus élégante. Le journal est écrit dans une langue inconnue. Finalement, le parchemin semble être une carte. En fait, en étudiant soigneusement le contenu, Lysandra peut facilement reconnaître le grand hall. Sans aucun doute, il s'agit de la carte de l'étage! Mais... Pourquoi seulement cet étage? Même en fouillant partout dans la pièce, on dirait que le restant est introuvable.

Objets possibles à récolter:

- Une potion d'origine magique à l'effet inconnu
-  Trousseau de clés
- Journal illisible
- Carte de l'étage

Malheureusement, cette pièce n'amène nulle part ailleurs. Il semblerait également que les deux clés récoltées dans l’apothicaire n'ouvrent pas la porte verrouillée à l'étage supérieur. Une étude rapide de la carte montre que la porte de l'étage supérieur mène à une autre pièce close où on peut y voir plusieurs lits... Probablement un dortoir pour les soldats de bas niveau. L'autre porte derrière laquelle on peut entendre des grattements mène à une cuisine. À partir de là, il semblerait qu'une autre partie du château s'ouvre à notre héroïne.

Possibilités:
- Tenter de crocheter la serrure à l'étage supérieur. (Possibilité de piège. Si y'en a un. Qui sait? Pas moi. Ça serait surprenant quand même. Kek.)
- Affronter... Le gros rat dans la cuisine. So epic.

Le cœur de Lysandra tambourinait dans sa poitrine. Bien heureusement, elle ne fit aucunes mauvaises rencontres. La pièce était vide de tout occupant et elle put procéder à son exploration. Il n'y avait malheureusement aucun trésor en ces murs, il lui faudrait continuer plus loin pour mettre la main sur les objets précieux qu'elle recherchait.

Bien entendu, la voleuse ne s'attendait en aucun cas à dénicher les objets de ses désirs ici. Cela aurait été bien trop facile... et le défi pas assez corsé à son goût. Plus que le résultat de ses intrusions, c'était le récit de ceux-ci qui comptait et Lysandra espérait bien tomber sur quelques obstacles en ces murs afin de pouvoir avoir quelque chose à évoquer auprès de ses camarades.

Lysandra tomba sur quelques objets et réfléchit soigneusement à ceux qu'elle pouvait apporter avec elle. Après une longue hésitation, la jeune femme s'empara de la potion magique (qu'elle n'osa goûter pour le moment, surement pourrait-t-elle trouver un indice sur ses effets), elle prit aussi les clés. Histoire de ne pas s’embarrasser au cas où elle trouverait d'autres objets à embarquer dans les autres pièces, Lysandra laissa le journal illisible ainsi que la carte, puis sortit de la pièce.

Malheureusement, les clés ne fonctionnèrent pas sur les portes. Il ne lui restait donc pas beaucoup de solutions possibles. Utiliser sa capacités dans un pareil endroit était équivalent à se jeter depuis une falaise. Ces vieilles bâtisses regorgeaient de magie et si elle se retrouvait bloquée dans un mur c'était la mort assurée.

Elle optait donc pour la difficulté, qui était ici synonyme de sûreté. Elle décida de délaisser la cuisine pour se concentrer sur la porte verrouillée. L'ouvrir serait surement un jeu d'enfant, après tout on l'avait éduqué pour de pareilles situations... tant qu'il n'y avait pas de mauvaises surprises. Elle sortit ses outils afin de commencer à crocheter la serrure, attendant patiemment un quelconque déclic.

Alors que les instruments de la voleuse pénètrent la large serrure, un lourd grincement sinistre put se faire entendre à l'intérieur de mécanisme. Rien de bien grave, seulement la tonne rouille qui rend l'opération un peu plus difficile. La serrure elle-même offre que très peu de résistance, le manque d'entretient a grandement affaibli le tout à un point où Lysandra peut jurer que le mécanisme est tombé en morceau au moment où le déclic tant attendu se fit entendre. En fait, les gonds de la porte de fer offrent un challenge beaucoup plus élevé. La porte est pratiquement bloqué tellement ses gonds sont endommagés, mais deux ou trois solides coups d'épaule bien placés et la porte céda dans un bruit infernal qui, très probablement, se fit entendre facilement dans les environs.

Comme on pouvait le lire sur la carte, la pièce ressemble beaucoup à un simple dortoir et à voir l’accommodement du mobilier, on peut deviner que ceux qui dormaient ici ne devaient certainement pas être de très grande importance. Valets, vigiles, maids ou quelque chose du genre. La pièce est beaucoup plus lugubre que les autres visités par Lysandra. Sur la plupart des lits, un squelette y repose, emmitouflé dans leur couverture pour la plupart. Certains d'entre eux ont eu le crâne fendu, d'autres ont des membres manquants et un autre est transpercé d'une large lance au niveau du torse. On dirait qu'il y a eu bien de l'action dans cette pièce. On dirait également que quelqu’un a gravé quelque chose sur le mur, plusieurs lignes représentant probablement des jours. En fait, à bien observer la pièce, les murs en sont recouverts. Les habitants ont probablement été bloqués dans cette petite pièce jusqu’à leur mort… Qui sait ce qu’ils ont fait pour survivre aussi longtemps? Il n’y a pas grand-chose ici. Des sacs, quelques commodes contenant de vieux vêtements, des livres et quelques misérables pièces d’or. Par contre, l’un des squelettes possède quelques joyaux bien intéressants. Une belle bague d’or incrusté de diamants. Il semblerait aussi qu’une drôle de pierre scintillante eut été enfoncée dans son oeil. Finalement, quelques armes ici et là, mais rien qui semble vraiment important ou en bon état. Après maintes observations, il semblerait que quelqu’un ait creusé un début de tunnel derrière un lit. Ce tunnel s’étend sur à peine 5 mètres avant d’ouvrir sur un trou béant. Même avec la lueur d’une torche, on ne peut voir le fond. Difficile de dire la distance de la chute. Elle pourrait faire un peu mal comme elle pourrait tuer. En fait, même en lançant un objet dans le trou, aucun son d’impact ne peut se faire entendre. Ça, c’est inquiétant.

Il ne reste donc qu’un endroit à explorer sur cet étage. Il semblerait que les grattements dans la cuisine ont cessé, mais on peut entendre un petit sifflotement. En toute évidence, il y a quelque chose l’autre côté de cette porte et on dirait bien que cette chose n’est pas au courant de la présence de la voleuse. Si c’était le cas, le vacarme causé plus tôt l’aurait clairement averti.

Objets à ramasser:

-Une pierre précieuse inconnue

-20 pièces d’or

-Une bague en or incrustée de diamants

-Une arme en mauvais état

Possibilités:
> Tenter sa chance avec le trou sans fond dans le mur.

> S’infiltrer dans les cuisines pour contourner ou surprendre ce qui s’y trouve.

Lysandra sentait les objets qu'elle avait pris peser un peu plus dans son sac. Surement ceux-ci seraient utiles, du moins elle l'espérait. Ils étaient sans valeur comparer à ce qui l'attendait au cœur du château. Avide, elle voyait déjà les piles d'artefacts, les manuscrits poussiéreux qui renfermaient quelques secrets intéressants. Oui, la jeune voleuse était presque certaine de son futur succès. Quand elle sentit le déclic, elle poussa un petit cri de succès avant de se rendre compte qu'il s'agissait de l'affaissement de la serrure.

Elle jura, avant de se reprendre. Quelques soudains coups contre la porte lui permit de lui offrir une voie vers cette nouvelle pièce. Lysandra ne s'attendait pas déjà à quelques trésors, mais elle trouva quelque chose de plus...intimidant. Quelques corps bien anciens reposaient dans cette salle, une bataille avait eut lieu. Elle n'était pas tant effrayée que ça, après tout dans les vieux châteaux il était étonnant de ne pas trouver quelques cadavres, tant que ceux-ci n'étaient pas.... frais.

Il n'y avait rien de bien intéréssant dans la pièce, si ce n'était les joyaux possédés par un des squelettes. Elle se dirigeait vers lui, prenant sans hésitant la bague en or incrusté de diamants. La jeune femme manqua de laisser la pièce, mais décida de prendre celle-ci. Les pièces d'or ne l’intéressaient pas, tout comme l'arme étant donné qu'elle était elle même bien pourvu de ce côté là, notamment avec une dague attachée à sa cuisse. Elle aperçut rapidement un tunnel sans fond. Il ne lui restait donc plus que deux possibilités d'exploration. Si la cuisine pouvait être une bonne alternative, le trou l'attirait. Qui avait-t-il de l'autre côté ? Ses yeux brillaient à cette perspective et sans une seconde d'hésitation supplémentaire, elle s'y enfonça.