- PRINCESS IN THE LANDS OF FIRE AND SAND -
Identité : Serket Al-Asnam
Âge : vingt-sept ans, particulièrement jeune pour une djinn dont la longévité en ferait pâlir certains. L'équivalence mortelle est le début de l'âge adulte, la sortie de l'adolescente. On peut considéré la majorité chez eux à vingt-deux ans, bien qu'un djinn sera considéré comme juvénile jusqu'à la cinquantaine. La maturité subvint toutefois très tôt chez ces créatures.
Sexe : Féminin
Race : C'est une Ifrit, une djinn
né du feu, un peuple connu pour sa force, sa discipline, sa ruse et sa fourbe.
Sexualité : Indéfinie, ne s'est jamais posée la question. Toutefois, les djinns ont des mœurs assez libres, le choix de leurs amant(e)s ne relèvent que de leur propre choix/volonté.
Ce que l'on remarque chez Serket, c'est la discrétion qui marque sa stature et sa silhouette. Elle attire l’œil par ses apparats, ses vêtements subtilement décorés de broderie d'or mais rien ne montre l'excès ou les richesses vicieuses d'une vie vautrée dans le luxe. Celui-ci, Serket ne l'a pas connu. Comme le reste de ses semblables, elle a vécu dans le désert et a hérité par son ascendance de cheveux bruns et d'un regard profond, empreint de mystères et d'une sagesse millénaire. Sa peau tannée par le soleil est douce au toucher. Nue, on peut observer une taille fine, un corps joliment musclé. La jeune femme est de taille moyenne, imposant plus par sa présence que par la hauteur de son être. Ses yeux sont changeants, tantôt verts, tantôt aussi rougeoyants que des braises sorties du feu. Son épiderme est pratiquement dénué de toute marque, si l'on excepte une tâche de naissance dans le bas du dos, et une cicatrice à l'intérieur des cuisses, marque des temps sombres de son existence.
Serket préfère des habits pratiques, de voyage étant donné qu'elle est constamment en mouvement. Elle possède deux tenues : une de voyage composée d'une jupe, d'un haut délicatement orné et de brassards de cuir. L'autre est formée d'habits plus légers, le bas est un tissu léger. Elle est agrémentée de bracelets et colliers d'or, composés de petites piécettes. Gare à celui qui souhaiterait s'en emparer. A moins que vous souhaitez être alléger de quelques doigts. A ses tenues s'ajoutent le luxe de quelques armes qui ne la quitte presque jamais, des poignards sont plaqués sur ses cuisses à l'aide de fin bandeaux de cuir, alors qu'une large épée démesurée ceint son dos. Malgré l'imposante lame, elle manie la comme une plume délicate. Le dernier bijou de sa collection est une dague recourbée, forgée par le feu d'un ifrit et enchantée par une marid. Une fois sortie, doit être abreuver de sang d'une manière ou d'une autre (
note : il peut s'agir d'une blessure légère tant que le sang est récolté).
Serket
brûle. Par sa personnalité, son caractère. Elle est habitée par un feu nourri par ses actions, ses pensées et la nature profonde de son être On associe à cette passion la délicatesse d'un caractère forgé par un foyer aimant et soudé. Le Peuple des Sables avait beau être belliqueux, manipulateur, envers les leurs ils n'avaient que reconnaissance et respect. Sauf envers les individus les plus faibles du groupe, mis à l'écart sans aucune pitié. La vie était ainsi chez les Ifrits. Cette sélection à modeler le caractère de Serket perçue lors de ses jeunes années comme un de ses individus faibles. Elle a rapidement su leur prouver le contraire. Après le massacre de son peuple, la jeune femme a continué à faire ses preuves auprès du monde, de l'univers, de ses ennemis et de ses alliés. Elle double cette capacité à celle d'une négociatrice chevronnée. Bien que les siens soient manipulateurs, l'ifrit sait opter pour la franchise lorsque cela est nécéssaire mais cela ne veut en aucun dire qu'elle est dénuée de ruse.
Bien que les siens vivaient pour la bataille, et par le caractère belliqueux de leur existence, ils appréciaient les passions qui étaient un moyen de s'affirmer dans ce monde. Serket a fait son choix, comme tant d'autres se dirigeant vers les arts. C'est une danseuse hors pair et une musicienne chevronnée. Elle joue de l'Oud ainsi que d'un instrument exotique, à dix cordes, fabriqué par le peuple des dunes. Facilement transportable, il lui permet de le trimbaler dans ses aventures. Facile à fabriquer, Serket peut aisément le répliquer si besoin est, ou bien réparer une pièce endommagée. Ainsi, Serket erre de cité en cité, vit de son art plus que de sa lame. C'est un moyen de se déguiser, de se méler à la population afin de ne pas se dévoiler à leur regard comme la dernière de son peuple, comme une créature qui effraierait, attirerait les convoitises et l'aménerait à être plier par la violence ou bien par les artifices magiques, les faiblesses de son sang.
Claustrophobe, il lui est impossible de rester dans une pièce confinée. C'est une caractéristique qui semble avoir imprégner sa Lignée. Elle aspire aux étendus vastes. Il est rare de la voir rester au même endroit pendant une longue période de temps. Une des raisons pour laquelle son peuple était nomade d'ailleurs. Mais il y a désormais une raison bien précise à son errance : la jeune ifrit souhaite se venger. C'est cette aspiration qui fait brûler son feu de manière aussi vivace. Sans cela, elle ne serait que quelques braises incandescentes tendant à devenir des cendres froides.
«
Laissez-moi vous conter une histoire,
Celle d'une vagabonde, une âme sans famille ni amis, une pauvrette cheminant seule dans le désert... » Ses doigts grattèrent les cordes de l'oud. Les badauds se pressaient autour de la saltimbanque. Les enfants des rues grimpaient avec adresse sur les piliers et les étals avant d'avoir un meilleur aperçu du spectacle, la vue leur étant dissimulé par les silhouettes déjà attroupées lorsqu'ils étaient au sol. Les gardes du palais s'approchaient afin de profiter de la fraîcheur de la demeure de Yunan, patron des arts, qui laissaient chacun aller et venir dans la luxueuse cours. Telle était l'hospitalité de cette famille de commerçants. Quelques notes supplémentaires firent taire les bavardages et les piaillements. Elle introduisit la balade qui devrait durer plusieurs jours. Il n'était nécéssaire, précisa-t-elle de prendre le temps pour rendre hommage à son héroïne. Celle-ci avait conté à la jeune fille les aventures qu'elle relaterait ici, en son nom. Ainsi, le récit commençait...
«
Il fut un temps le peuple des dunes erraient sans but. L'adresse qu'il mettait dans le combat, la discipline et la fureur de leurs mœurs attirait l'attention de bien des envieux. Mais leur fidélité et leur dévotion n'allaient plus qu'aux siens et à leurs dieux. »
Quelques murmures ponctuèrent le passage, mais on se tut devant l'ambiance instaurée par la voix tendre de la musicienne qui continua son chant, grattant sur l'instrument qui se lovait contre son ventre dénudé.
«
Buar guidait leurs pas et Kisik leur actes. Par leur naissance, chaque montrait leur valeur, et sans pitié ils étaient écartés si celle-ci ils n'arrivaient à prouver. Mais, je vous le révèle, le Peuple des Dunes n'avait rien de mortel, dans leur cœur brûlait la flamme car par le feu naquit leur âme. On les nommaient djinn... on les nommaient Ifrits. Ces êtres étranges avaient autrefois défiés, sultans, rois, reines, empereurs et princes, nobliaud et bourgeois, qui avaient voulu s'approprier leurs pouvoirs. Ils vivaient insoumis, craignant leur nature et le moment où quelques mots révélés les forceraient dans quelques écrins de bronze... »
Aucun ne perçut la légère grimace qui déforma le beau visage. Quelques mèches de cheveux glissèrent sur les joues rougies par le souffle que nécessitaient la balade.
«
C'est de ces créatures que la Vagabonde vit le jour. Faible au début, elle s'imposa à la tribu, s’épanouit par les lames, par les jeux de guerre et les coups simulés. Sa flamme brillait avec force et élégance. De l'enfant, elle devint une jeune fille en fleur bientôt ravie par les affres du destin. Un jour, une armée vint les trouver, et les décimèrent. Seul survécu la jeune Vagabonde, protégée par la grâce de ses parents. Sa main se referma sur l'épée qu'ils avaient protégés, l'arme forgée par le sang d'Iblis et elle s'enfuit... Le chemin fut long et tortueux. Rien ne motivait plus cet être fragile auquel avait été arraché toutes attaches que le souhait de vengeance au goût à la fois doux et amer sur la langue. Armée de l'épée millénaire, elle marchait dans le désert, ses pas s'imprimant sur le sol sablonneux. Bientôt, elle trouva une petite cité, la première de sa jeune vie. On l'accueillit, on lui offrit gîte et couvert. Aucune question ne vint la presser, dévoiler le but de son errance. En récompense, pour les paysans qui avaient donné leurs dernières ressources pour leur invitée, elle exauça le vœu de la femme : une vie sans soucis, sans luxe mais où jamais plus ils n'auraient à se soucier du manque de pain. Elle repartit alors que les cris de joie tintaient dans l'air brûlant. Ainsi, son errance commença. »
La musique cessa. La déception se lisait sur les visages alors qu'elle reposait son instrument. La jeune femme fit une légère courbette en direction de son auditoire avant de relever son beau visage. Elle rassurait les spectateurs. L'histoire n'était pas fini mais il fallait prendre un peu de repos avant de continuer. Le souffle vous comprenez, et l'attente permet plus aisément les passions emportés de ceux qui viennent écouter, ajouta-t-elle avec un sourire chafouin. Tous se dispersèrent retournant vaquer à leurs habituelles occupations. Un serviteur vint à elle, la remercia et lui proposa le confort de la cour, de quelques coussins que l'on disposeraient pour elle et où la musicienne aurait tout le loisir de se reposer.
***
La musicienne avait repris l'oud et à ses côtés se tenaient désormais un jeune garçon muni d'un petit tambourin. On se pressait et la foule avait grossit par rapport à la veille. Mais peu importait, son expression était toujours la même, la voix avait les mêmes intonations et ce que les détails que l'on arrachaient d'elle étaient aussi trépidants.
«
La seconde étape fut le palais d'une Reine Folle, une noble qui s'était autoproclamé souveraine d'un palais en ruine. Celle-ci savait tout, connaissait tout. Et seule la perspective d'avoir un royaume où elle pouvait en contrôler les événements l'avait maintenu en vie. Mais il n'y avait pas de sujets dans ce palais abandonnée. Elle exigea de la Vagabonde de jouer de son Oud, de faire vibrer son cœur poussiéreux... en échange, elle lui donnerait un savoir. La jeune fille s'exécuta, et la Reine tenue sa promesse. Elle renvoya la saltimbanque en larmes, ses sanglots qui résonnaient alors contre les murs vides de sa demeure... »
Elle se tut. C'était tout pour aujourd'hui. Une des concubines de Yunan vint à elle, la salua et la remercia pour l'histoire fabuleuse qui ravissait les femmes du harem. Elle lui proposa la chaleur et le confort supplémentaire des chambres du harem, lui proposant de lui céder son lit alors qu'elle irait rendre visite à son époux. Ainsi, la chanteuse pourrait dormir en paix, sans être déranger par les allers et venues des soldats à l'aurore. Le demain, la musicienne se réveilla aux aurores, s'installant à nouveau au centre de la petite cour alors qu'elle accordait soigneusement ses instruments. Lorsque le public lui retrouvé, elle continua son récit :
«
Puis, nomade, continuant à aller de régions en régions, de cités en cités, son chemin croisa celui de Tyun le Terrible. Homme de guerre, brute, il était le seul visage parmi la foule des soldats qui avaient ravagé le campement de la tribu des dunes. Elle souhaitait aller à sa rencontre, sous le déguisement innocent d'une artiste itinérante. Malheureusement, son regard acéré lui permit de découvrir l'identité de la belle chanteuse lors d'un festin à Sethi. Allant voir l'un de ses mages, il plia notre héroïne à sa volonté, l’enchaîna à lui en la marquait de son couteau. Car voyez-vous lorsque ces sombres créatures sont marquées, elle appartienne dés lors à celui qui a commis pareil affront. Pire encore, il la traita comme un bibelot, la fit rejoindre son harem, exigea d'elle immondices, meurtres et services.... puis un jour vint le salut. Un jeune homme, ayant pris pitié de la pauvresse avait rompu ses chaînes lu permettant de plonger un couteau dans le cœur de son bourreau. Depuis, elle en garde la marque, mais sa liberté a été retrouvée.... » Les notes se turent, laissant place au silence pensant de l'auditoire fasciné. Elle prit une inspiration avant de conclure son intervention.
«
Nombreuses furent les histoires de la Vagabonde, et je ne peut malheureusement toutes les révéler. Un jour peut-être elle se présentera à vous et s'aventurera à vous les conter. »
Alors que la foule s'éparpillait, le fils de Yunan, le maître de ses lieux, vêtu de riches habits d'apparat, vint à sa rencontre alors qu'elle était désormais seule au niveau de la cour. Il la salua et proposa, en guise de remerciements, le gîte et le couvert. Sans un mot, elle suivit les serviteurs qui lui montrait le chemin. On la mena jusqu'une porte qui s'ouvrit sur une salle somptueuse au milieu de laquelle trônait une table couvert de mets délicats. Seul Yunan était attablé. Elle s'assit à l'extrémité, commençant à picorer dans les plats quand son hôte l'y invita.
«
J'ai écouté avec attention ta magnifique ballade musicienne, depuis le balcon de ma demeure. Elle m'a ému... mais je serais curieux de savoir quand tu as rencontré la jeune fille qui te l'a conté. » demanda-t-il, une avidité farouche au fond des yeux. La jeune femme reposa la grappe de raisins qu'elle avait saisit alors que sa main se portait à sa cuisse. En un éclair, la dague sortie de son fourreau. Il cligna plusieurs fois les yeux, et elle avait avalé les quelques mètres qui les séparaient, apparaissant au dessus de lui dans une sorte de brume qui la composait désormais. La dague était enfoncée dans sa poitrine mais il n'avait même pas eut le temps d'en souffrir tellement le coup avait été vite porter.
«
Vois-tu Yunan, seul un récit pareil pouvait m'ouvrir les portes de ta demeure. Tu vas périr par tes faiblesses, l'art et les femmes. » Il gargouillait lamentablement, crachant un peu de sang sur la tenue poussiéreuse de l'ifrit. «
Connais-tu le savoir dont m'a fait grâce la Reine Folle ? » Il acquieça faiblement. «
Vos noms... à vous tous. Et votre destin... de mourir par ma main. » grinça-t-elle avec fureur. Il expira alors que son visage était tordu par l'effroi. Lorsque les gardes ouvrirent la porte il n'y avait plus personne dans la pièce, excepté le macchabée.
***
«
Votre balade était très belle. » Le jeune homme rougit de son impudence. Il était le seul spectateur qui avait osé la déranger alors qu'elle récoltait les quelques piécettes qu'on avait daigné lui lancer. L'hospitalité, les cruches d'eau, et les fruits étaient les biens les plus importants. Désormais, elle avait quitté le petit palais de Yunan, insoupçonnée. Il l'avait rattrapé et humble, avait complimenté une simple musicienne alors que la richesse de ses habits laissaient penser à une ascendance noble. Elle s'arrêta avant de se retourner vers lui.
«
Mais, dis-moi mon preux prince... quel est ton souhait le plus cher ? » chantonna-t-elle avant de laisser échapper un rire cristallin devant la confusion de son interlocuteur.
feu follet (pyrokinésie) - bien que la présence de la capacité à plier le feu à leur volonté soit innée, sa maîtrise ne l'est pas. On considère maladroit (voir un affront à leur peuple) tout ifrit n'était pas capable de maîtriser sa pyrokinésie à l'état de maître. Cet art est particulier et fait appel au contrôle du corps à travers des exercices acrobatiques impressionnants. Ces enseignements se transmettent de manière orale, chaque jeune djinn est associé à un maître qui lui enseigne, et doit passer de nombreuses épreuves permettant de déterminer son adresse. Sans cette éducation, ses pouvoirs seront instables, alors qu'avec celle-ci il fera preuve d'une adresse impressionnante dans son utilisation. L'ifrit peut créer du feu, et le maîtriser.
résistance corporelle - Bien entendu, comme chaque individu de son espèce, elle est résistante aux températures élevées, aux flammes en général même les chaudes. Toutefois, elle trouve des faiblesses dans les contrées glacées, même si le froid les tuera pas il affaiblira leur pouvoirs et leur organisme au point de les mener aux portes de la mort. Le feu est régénérant pour ces créatures et leur permet de guérir de pratiquement n'importe quelle blessure.
capture - Pour soumettre un djinn tel que Serket il n'existe pas trente-six moyens :
- l'
enfermer dans un
contenant quelconque (lampe, bouteille de soda, boîte) si l'on connaît les bonnes formules et/ou le véritable nom de la petite demoiselle il est possible de l'y enfermer. Elle se dissous alors en un nuage qui intégrera l'objet choisi, dés lors pour rompre l'enchantement il faudra que la miss ait réalisé
trois vœux. Aucun besoin de souhaiter sa liberté, la réalisation du trio de souhaits suffit. Le cas du vœu de liberté interviendra uniquement si il s'agit d'
une véritable lampe ou
boîte de génie imbue de magie azuré (ou "
magique djinnique").
- la
marquer : il peut s'agir d'un tatouage, d'une morsure, d'un suçon ou d'une blessure. Si celle-ci est temporaire la soumission ne prendrait plus effet dès qu'il aura disparu. La mort de la personne qui a apposé la marque permet aussi de s'en libérer.
à vos souhaits - l'énergie de Serket influe sur la matière et la réalité. Il lui est possible de changer de forme et de faire apparaître ce qu'elle souhaite (dans une limite respectable) rien qu'en claquant des doigts. Une relation maître-génie permet d'accéder à potentiel plus vaste, il lui sera désormais possible de réaliser n'importe quel souhait dans la limite de trois règles imposées : il ne lui est pas possible d'assassiner quelqu'un, de forcer les gens à tomber amoureux, et de ressusciter les morts. (Bon le premier c'est pas tout à fait ça, elle assassine oui, mais ne se repose pas sur ce pouvoir pour se faire. Tout de même, un peu de professionnalisme). Excepté cela, votre seule limite est celle de votre imagination. Il lui est possible d'accorder des vœux si elle sent une certaine affinité, mais il s'agirait que de petits souhaits. Les plus importants nécessitent une relation maître-djinn.
Note : Lorsqu'elle exauce un vœu, elle claque donc des doigts. C'est plus une habitude, un petit rituel rien que pour les beaux yeux de ceux qui assistent au spectacle qu'autre chose. Une façon d'éviter les éventuelles confusion.
pouf ! - maîtrise sa densité, peut se rendre intangible et réduire sa masse (pratique quand on doit faire un séjour dans une bouteille) Elle peut se rendre facilement élastique et modeler sa forme mais est beaucoup moins «
dense » dés lors, plus légère et peut augmenter sa taille.
incandescence - La forme que revête les ifrit pour côtoyer le commun des mortels est bien différente de l'essence de leur pouvoir. Celle-ci se manifeste à travers une apparence imbue de flammes, la peau du djinn est brûlante, leur corps a consistance mais oscille entre densité et un souffle chaud. Le résultat final change de djinn en djinn. Il peut être
ça, ressembler plutôt à
ceci ou à
cela. La peau des
plus vieux ifrits laisse penser à de la lave solidifié.
Les grandes distances sont négligeables dés lors et il lui est possible d'avaler de grandes distances en peu de temps. Il lui est aussi possible de se téléporter très loin, ce qui n'est pas sans risque étant donné le peu de maîtrise de cette capacité dû à une sale expérience avec un autre djinn et un vœu mal formulé... Depuis il lui arrive de se téléporter aléatoirement.
sans-nom - cette épée est, avec Serket, le seul vestige du peuple des sables. Forgée par Iblis en personne, elle a été conservé par quelques élus parmi le peuple des Dunes. La lame est seulement connue sous cette appellation étant donné l'importante que revêt les noms chez les djinns. Longue, elle n'est lourde que pour ceux à qui elle n'est pas destinée. L'épée est contenue dans un fourreau rigide. La lame est légèrement recourbée, et est brûlante au toucher.
adresse au combat - les ifrits sont des djinns guerriers et Serket ne fait pas exception à la règle. Les siens l'ont élevé dans cette optique, depuis qu'elle tient debout elle a su tenir entre ses mains une arme quelconque, qu'il s'agisse d'une lance, d'un poignard, ou d'une épée. Cette dernière est son arme de prédilection, mais elle apprécie aussi le lancer de couteaux.
***
note : l'aspect "génie/djinn" de la petite demoiselle s'inspire des histoires autour de ces êtres plus particulièrement à travers les films, séries, bande dessinées etc... dont
Lost Girl (pour les "
marques"), les
Enfants de la Lampe Magique et
Aladdin. Pour la pyrokinésie, je m'inspire du
firebending dans
Avatar : The last Airbender et
the Legend of Korra.
PS : Ceci
n'est
pas un double-compte.