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La vie dans les Badlands [PV]

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

La vie dans les Badlands [PV]

lundi 23 janvier 2017, 20:05:46

Pour autant qu'elle s'en souvienne, Cindy Monroe avait passé la totalité de son existence dans les Badlands, ces terres désertiques sans foi ni loi qui servaient de zone tampon entre Ashnard et Tekhos. Malgré tout, de la vie parvenait à s'y développer, surtout de la part de gens souhaitant vivre leur vie sans avoir à répondre à des états totalitaires, qui leur dictaient comment vivre le moindre aspect de leur quotidien. Bien sûr, cela avait un prix, notamment la sécurité qui était inexistante, et chacun devait se débrouiller comme il le pouvait, ou bien chercher la protection de seigneurs de guerre locaux...à condition d'avoir quelque chose à offrir.

La famille Monroe avait émigré depuis quelques générations de Tekhos à ici, un choix de vie radicalement différent, mais qui avait été nécessaire quand l'arrière grand-mère de Cindy s'était éprise d'un homme. Une chose purement impensable dans la société hautement matriarcale de Tekhos, qui jamais n'aurait pu officialiser leur union, et même qui aurait été capable de mettre le couple en prison. Ils étaient donc venus ici, dans ce petit bout de terres arides, et avaient vite compris que pour survivre ici, il fallait se mettre du bon côté des bonnes personnes, en se rendant utile. C'était donc l'arrière grand-père de Cindy qui avait commencé à fonder Hammerhead, car il était mécanicien de métier, et un bon. Les Badlands étaient les terres de multiples seigneurs de guerre dont les soldats se battaient à moto, en voiture, ou en camion...mais il fallait aussi des gens pour réparer et entretenir ces véhicules.

La famille Monroe avait ainsi pu s'implanter ici, en proposant ses services de réparation à un seigneur de guerre, en échange de protection, de matériel, de nourriture et d'eau. Cela faisait maintenant presque quatre générations qu'ils vivaient ainsi, et Hammerhead avait depuis lors bien grandi. Avec plusieurs puits creusés dans des nappes en profondeur, quelques éoliennes pour fournir l'éléctricité, et même un petit point de forage de pétrole pour ensuite disposer de carburant, la station et ses occupants étaient devenus un point stratégique, qui était rudement défendu par le seigneur de guerre qui la possédait. Le lieu avait même à quelques reprises changé de zone d'influence, mais jamais les Monroe n'avaient été inquiétés, car l'expertise de réparation se transmettait de génération en génération, et de telles compétences étaient précieuses dans les Badlands. Même certains seigneurs particulièrement sanguinaires voyaient tout l'intérêt qu'il y avait à faire travailler les Monroe pour eux, plutôt que de les tuer et perdre ainsi un vrai filon au milieu des terres arides.

Cindy, elle, était donc née dans les Badlands et n'avait connu que ça. Comme la plupart des membres de sa famille, elle avait appris sur le tas tout ce qu'elle savait en mécanique, et était même devenue très douée tout en devenant une bien belle jeune femme, qui se faisait régulièrement courtiser par tous ceux qui étaient de passage. Mais en plus des autres membres de sa famille, Cindy pouvait surtout compter sur l'aide de son grand-père maternel, qui l'avait élevée après la mort de ses parents quand elle était très jeune. Oh bien sûr, elle n'était pas seule avec lui, mais une bonne partie de sa famille s'était dispersée pour monter d'autres stations, et Hammerhead n'était pour le moment tenu que par elle ainsi que son grand-père. Cindy savait qu'elle était un beau bout de fille, et que pour assurer la continuité de sa station, qui était toute sa vie, il lui faudrait trouver un de ces jours un homme à marier pour avoir une descendance.
Seulement elle ne pouvait pas vraiment s'y résoudre, car elle avait déjà quelqu'un dans son cœur.
Le même qui devait subir tous les jours sa façon de s'habiller particulièrement provocante, qui n'avait que pour but d'essayer de le faire venir à elle...
Son grand père.

C'était clairement de l'inceste, mais dans les Badlands il n'y avait plus vraiment de codes ou de lois pour régir la vie des gens, et puis son papy était la seule personne envers qui elle se sentait vraiment proche depuis que ses frères étaient partis fonder une autre station, en lui laissant les commandes de cette dernière. Il y avait une raison à cela, Hammerhead était à moins de deux kilomètres de la Citadelle du seigneur de guerre qui les protégeait, et personne n'aurait ici l'idée folle de venir faire de raids dans la zone, sans compter que son grand-père, bien qu'âgé, était encore assez vigoureux pour la défendre.
Ce qui allait à nouveau se montrer nécessaire, car un beau brin de femme comme elle, ça attirait certes les clients, mais aussi les lourdingues qui voulaient la draguer de façon un peu trop insistante. Et alors qu'elle était le nez plongé dans le moteur de la carlingue d'un voyageur solitaire, qu'elle était en train de finir de réparer à l'extérieur, ce dernier était très proche de lui foutre la main au derrière pour la plaquer contre le capot.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 1 lundi 23 janvier 2017, 21:55:19


Au sein de la région, Corbyn Monroe était une institution locale. Un simple garagiste, auraient pu dire certains. Mais tous savaient que Corbyn était tout, sauf un « simple » mécanicien. Il dirigeait une petite société, une entreprise, le Hammerhead, consistant en un garage et une station-essence. Tenant à son indépendance, Corbyn avait toujours refusé de se déplacer dans la Citadelle de Lord Dante Knoos, le seigneur de guerre local, un baron de la drogue et du crime organisé qui régnait sur la région. Les Monroe avaient toujours bénéficié de la bienveillance de la Citadelle, même si, comme tous les autres, ils s’acquittaient régulièrement de la « taxe de protection » locale. Corbyn était une légende, et avait vu passer bien des gens ici. Il avait ses amis, ses habitués, et aimait bien se rendre au diner local, où il mangeait des bagels le matin, prenait un café bien chaud, et revenait le midi pour prendre le menu du chef, fourni par Kordo, chef-cuisinier, qui avait un talent inestimable avec les casseroles et les fourneaux.

Corbyn était heureux de la vie qu’il menait ici, même s’il avait, régulièrement, des soucis. Il avait pris sur lui d’éduquer sa petite-fille, Cindy, quand ses parents étaient morts. Les Badlands étaient un endroit dangereux, mais Cindy n’avait pazs été, en soi, extrêmement marquée par ce deuil, car elle n’avait jamais vraiment connu ses parents. Quant à lui, Corbyn, il avait lutté contre son chagrin en se dévouant à fond dans son travail. Cindy avait grandi au milieu des mécaniques, des écrous, des vis, des boulons, des moteurs, des flaques d’essence et des tâches d’huiles. Bien sûr, elle avait été à l’école, mais, comme n’importe quelle Monroe, avait rapidement manifesté, outre un intérêt certain, un talent indéniable, dans la mécanique.

Le Hammerhead était une entreprise familiale disposant de plusieurs employés, et Cindy avait rapidement su s’imposer. Elle était appelée à diriger la compagnie. C’était une fille bien, honnête et travailleuse. Elle ne se droguait pas, ne traînait pas du coin de la Citadelle et des sales types qui y vivaient. Pour autant, Cindy ne cessait de préoccuper Corbyn, en grande partie à cause de son attroupement.

*Et ça, je ne le comprends pas...*

La jeune femme n’était plus la fillette qu’il avait connu, mais une belle adolescente bien mûre, avec une superbe poitrine, un corps svelte et solide. Pour le dire simplement, elle était magnifique à voir, et portait une tenue extrêmement courte, pour ne pas dire franchement provocante, avec un débardeur jaune très court, un soutien-gorge rose qu’elle exhibait sans crainte, un minishort en jean qui moulait son adorable cul à la perfection, et de longs collants seyants. Une tenue de prostituée, qui faisait fantasmer les clients... Et pas uniquement.

Cindy s’habillait ainsi depuis plusieurs semaines, et, si Corbyn lui en avait fait parfois la remarque, il ne s’était encore jamais opposé à ça. Or, maintenant, il se réveillait chaque jour avec une érection redoutable. Malgré son âge, Corbyn était encore plein de vigueur, et avait, peu à peu, réalisé qu’il rêvait la nuit de... Cindy. Corbyn se réveillait à chaque fois en sueur, ayant du mal à admettre qu’il rêvait de sa petite-fille.

*Elle ne peut plus s’habiller ainsi. C’est trop dangereux !*

Aujourd’hui, Corbyn était décidé à en finir. Il avait toujours aimé Cindy, au point de lui accorder tout ce qu’elle voulait, mais ça... Dans les Badlands, c’était dangereux ! Et, au-delà même de ça, il ne pouvait accepter de fantasmer sur elle, de... De bander en pensant à la vue de ses seins, en imaginant sa tête se fourrer dans le creux de son soutien-gorge... Quittant ainsi les bureaux, il se rapprocha de l’atelier, descendant précipitamment les marches, avant d’entendre des cris.

Sa fille.

« Allez, beauté, tu crois que j’ai pas vu ton petit jeu ? Tout le monde sait, au village, que tu veux te faire baiser... C’est normal, t’es comme toutes ces salopes de Tekhanes... ! »

Corbyn arriva dans l’atelier, et vit que sa fille était plaquée contre un mur, avec, contre elle, un homme qui palpait ses fesses, et approchait sa queue. Le sang du vieil homme ne fit qu’un tour, et il s’empara d’une clef à mollette traînant sur un établi, puis s’approcha rapidement.

« Hey, connard !
 -  Qu... ? »

La clef frappa violemment l’homme au visage, provoquant un claquement sourd. L’homme s’écroula mollement sur le sol, le coup l’ayant frappé au nez, faisant jaillir son sang, qui éclaboussa notamment l’un des seins de Cindy.

« Merde, sale enculé, tu te prends pour qui, hein ?! Fils de pute ! »

Corbyn le roua de coups de pied, puis se retourna vers Cindy, et l’attrapa dans ses bras.

« Tu vas bien, ma petite chérie ? Il... Il ne t’a rien fait, au moins... ?! »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 2 mardi 24 janvier 2017, 16:54:50

La chaleur ambiante n'était clairement pas la seule raison pour laquelle Cindy s'habillait aussi légèrement, c'était avant tout et surtout parce qu'elle soupçonnait son grand-père de ne pas être complètement insensible à ses charmes. Il avait beau être un vieil homme maintenant, il lui restait encore assez de force et d'énergie pour être bien vivant, et il était tout sauf un vieillard mourant en chaise roulante. Pour Cindy, c'était aussi et surtout parmi le seul homme qui lui avait vraiment montré de l'affection. Elle avait déjà eu quelques aventures, mais rien de sérieux, principalement car ses partenaires n'avaient cherché qu'un coup d'un soir, et ce n'était pas tellement ce que Cindy voulait.
L'idée de séduire son grand-père lui était venue quand elle avait commencé à discrètement noter parfois certains regards qu'il pouvait lui porter. Comment de là un véritable désir à l'encontre de son papi était né ? Elle ne se l'expliquait pas vraiment. Même si l'inceste n'était pas proscrit dans les Badlands, où aucune loi n'était en vigueur, cela restait une pratique assez marginale et généralement cachée. Seulement, après s'en être rendue compte, Cindy avait commencé à faire des rêves assez chauds, où elle s'imaginait faire l'amour avec Corbyn sur des capots de voiture notamment. Hésitante au début, elle avait fini finalement par accepter ce désir, et son intuition lui disait que ça devait être réciproque au moins en partie. Mais briser le tabou de l'inceste n'était pas une chose aisée.

C'était pour ça que Cindy avait fini par mettre systématiquement cet accoutrement, pour le chauffer.
Mais aujourd'hui, un autre que la personne à qui ces vêtements étaient destinés se sentait chauffé par ça.
Alors qu'elle avait son attention plongée dans ce moteur, elle sentit soudainement des mains la saisir par l'arrière, et elle se fit plaquer contre le mur de l'atelier par l'aventurier solitaire qui était venu à leur station pour quelques réparations.

HEY !!!

Elle avait crié, certaine que son grand-père entendrait, alors que l'homme se faisait plus menaçant. Silencieuse, alors que ce dernier était concentré à se frotter contre elle, elle vit du coin de l'oeil la silouhette de son grand-père se profiler, attraper une clef à molette...avant de finalement frapper l'homme au visage. La jeune femme se retourna alors, et aida Corbyn à rouer de coups de pieds ce salopard, elle le frappa même au niveau de son entrejambe pour le calmer comme il le fallait. Puis Corbyn la prit dans ses bras, en s'inquiétant de son état.

Nan, nan tout va bien papy ne t'en fait pas.

Elle profitait de l'occasion pour se serrer contre lui, lui qui depuis la mort de son épouse deux ans auparavant avait parfois un peu du mal avec les déclarations d'affection. Mais il venait une fois de plus de lui sauver la mise, et elle savait qu'elle pouvait compter sur lui. Dans les Badlands, la confiance était aussi rare que précieuse, et c'était en partie pour ça qu'elle voulait encore d'avantage se rapprocher de son grand-père. Elle fit durer l'étreinte un moment, avant de se retirer doucement, et remit nonchalament son soutien-gorge en place, et rehaussa un peu son short en jean.

Bon...tu veux qu'on fasse quoi de cette vermine ? Hors de question que je continue à réparer sa caisse en tout cas, elle est de toutes manières aussi pourrie que lui. De l'huile de friteuse pour faire tourner le moteur, un carburant à peine raffiné, et de la rouille partout...même pas de quoi en tirer un sac de patates...quoique je pourrais récupérer les câbles de frein, ça peut toujours servir.

A défaut de réparer la voiture, Cindy avait bien l'intention de récupérer pour le coup tout ce qui pouvait être récupérable dessus en payement, à la fois pour le temps qu'elle avait passé dessus, mais aussi en dédomagement de cette petite agression...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 3 mardi 24 janvier 2017, 20:32:48

Âgé, Corbyn n’en était pas moins efficace. L’âge avait de l’emprise sur lui, bien sûr, mais ce vieux mécanicien avait toujours eu de bons réflexes. À force d’entretenir les véhicules qui transitaient par le Hammerhead, il avait appris à s’endurcir, à se maintenir, et, même maintenant, alors qu’il aurait pu prendre sa retraite, il continuait à s’entraîner. Ses mains étaient en acier, et il n’avait pas clairement loupé ce petit vaurien. Corbyn ne l’avait jamais vu, et comprit qu’il devait s’agir d’un quelconque voyageur. Il espérait juste que l’homme ne travaille pour Knoos, mais il doutait que, même si ce soit le cas, ce soit un type influent. Après tout, il n’y avait personne avec lui, mais Knoos était justement une raison de préoccupation de Corbyn. Plus que tout, il craignait le jour où le fils du baron de la drogue, Crimen, récupérait le pouvoir. Car, si Dante Knoos respectait et appréciait Corbyn, Crimen, lui, avait des vues sur Cindy. Néanmoins, tant que Dante était là pour calmer son fils, Corbyn n’avait rien à craindre, mais, le jour où le vieux briscard finirait par délaisser la gestion de la Citadelle...

*Enfin, j’ai le temps de voir venir, d’ici là...*

Pour l’heure, Cindy proposa de récupérer des pièces sur le moteur du type. Son grand-père acquiesça.

« Ouais. Moi, je vais voir s’il n’a pas des pièces ou des objets de valeur sur lui, puis j’irais le balancer dehors, près des ordures. »

C’était le sort réservé à tous ceux qui venaient embêter sa fille. Et encore, le diable était chanceux. En temps normal, Corbyn n’hésitait pas à sortir sa carabine, et à faire feu. Ici, dans les Badlands, la force faisait la loi, et il fallait très rapidement s’imposer, et, surtout, ne pas hésiter à tirer. Aussi attentionné et affectueux soit-il envers sa petite-fille, le vieux réparateur avait déjà tiré sur des salopards et des bandits.

En revanche, ce que les deux n’avaient pas vu, c’était que, en tentant de la violer, l’agresseur de Cindy avait défait son minishort en ôtant les boutons...

Mais, pour l’heure, Corbyn inspecta ses poches. Il récupéra ses bottes, deux pistolets à l’intérieur, et vida son portefeuilles. Papiers, pièces de monnaie, billets... Tout était récupérable, les papiers pouvant servir à faire des faux papiers par la suite. Il le souleva ensuite par les épaules, pendant que Cindy fouillait sa voiture. Corbyn utiliserait ensuite le remorqueur pour la faire sortir, et irait la déposer à la fourrière, en même temps que leur lascar. Il alla donc l’attacher à l’entrée du garage, vérifia les liens à plusieurs reprises, et retourna voir sa petite-fille...

...Pour s’arrêter sur place.

*Oh bon sang !*

Cindy, comme à son habitude, s’était très généreusement penchée vers le moteur, de telle sorte que son minishort en jean avait glissé, tombant le long de ses cuisses, révélant... Révélant un spectacle inexplicable, qui se dessina sous les yeux de l’homme, et balaya en un seul instant toutes les questions qu’il se posai, au profit d’autres troubles, et d’une image fixe qui s’imposa en lui, rappelant les rêves fallacieux qu’il faisait.

*Bon sang de bon sang, elle a un de ces culs... Oh bon sang !*

Si elle lui parlait, Corbyn n’entendait pas, n’arrivant pas à regarder autre chose que ce magnifique cul se dessinant sous ses yeux. Des fesses superbement bombées, séparées l’une de l’autre par un fin string rose, délicate lanière qui s’insinuait contre sa croupe, et mettait en valeur le rebondi de son postérieur magique.

Corbyn se desséchait sur place, n’arrivant plus à parler, et, si Cindy se retournait, elle pourrait noter un détail physionomique qui ne mentait pas... Outre le regard de son grand-père, son pantalon était également déformé par une bosse qui pointait à hauteur de son entrejambes.

Il bandait.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 4 vendredi 10 février 2017, 19:36:53

Cindy poussa un léger soupir en voyant son grand-père s'éloigner, afin de s'occuper de ce vagabond qui avait tenté de la violer. Il serait remis plus tard à la Citadelle, où il servirait probablement d'esclave pour des travaux de labeur, car tenter d'agresser ceux et celles qui réparaient les véhicules du seigneur de guerre local était fortement puni. Cindy se rendait bien compte qu'elle devait attirer les regards libidineux sur elle, et que son attitude sur le long terme n'était pas viable, les belles plantes dans son genre devaient faire au maximum profil bas dans les Badlands. Si Corbyn continuait ainsi de l'ignorer, elle allait devoir se résoudre à laisser ses fantasmes au placard, car il était hors de question pour elle de tenter de faire le premier pas. Et si il la repoussait ?

C'est donc en soupirant qu'elle se tourna vers le capot encore ouvert de la voiture de son agresseur. C'était un vieux coucou à peine entretenu, et qui tenait en un seul morceau grâce à des réparations de fortune, mais des pièces individuelles étaient ça et là en bon état, et donc récupérables avant que la gars de la Citadelle ne viennent mettre les mains dessus, elle allait aussi siphonner son réservoir pour peu que le carburant dedans soit de qualité potable. Elle se pencha donc dans le capot, et entreprit de sectionner et de récupérer les câbles de frein qu'elle avait vu comme étant en bon état, et ne sentit que trop tard, dans sa position, son mini-short en jean glisser rapidement le long de ses cuisses.

Et merde ! Humf...

Les mains dans le moteur, maintenant les câbles qu'elle ne pouvait lâcher au risque de les perdre profondément dans la mécanique, ce qui impliquerait de devoir démonter une partie du moteur pour pouvoir les récupérer après, Cindy ne pouvait pas empêcher son short de glisser. Tout juste parvint-elle à arrêter la descente infernale au niveau de ses genoux, en écartant les jambes pour coincer le short, mais elle se trouvait de fait dans une position délicate, car elle ne pouvait plus vraiment bouger.
Elle entendit alors légèrement des bruits de pas, et reconnaissait la démarche de son grand-père, qui subitement sembla s'arrêter et ne dire mot. Même si elle ne pouvait pas le voir, et qu'elle était concentrée sur le fait de ne pas lâcher ces câbles et de pouvoir les faire sortir, Cindy sentit clairement le regard de son grand-père se poser sur ses fesses. La jeune femme se sentit alors rougir, terriblement rougir à l'idée que Corbyn pose son regard sur l'un des éléments les plus attirants de son corps: son cul parfait.
Cindy continua quelques secondes à faire semblant de ne pas avoir repéré sa présence, car malgré sa position un peu inconfortable...elle profitait. ce moment était l'incarnation même de ses fantasmes, son grand-père regardant son cul. malgré le capot de la voiture relevé, Cindy pouvait avoir dans son champ de vision une toute petite partie du pare-brise, qui reflétait légèrement à la manière d'un miroir ce qui se trouvait derrière Cindy. Et ce qu'elle parvint à y distinguer, tout en continuant de faire semblant de travailler dans le moteur...commença à la faire mouiller instantanément. Son grand-père était en train de bander.

*Il...il bande en regardant mon cul...*

Cindy sentit sa gorge s'assécher sous l'effet d'un plaisir immédiat, car Corbyn n'était pas abasourdi par un choc "mauvais", mais bien parce qu'il adorait ce qu'il voyait. Les doutes et les espoirs de Cindy trouvaient enfin une réponse, son grand-père fantasmait bien sur elle, et là, alors qu'elle lui offrait sans vraiment l'avoir prévu son fessier divin à son regard, il était comme hypnotisé. La jeune femme se sentit toute fébrile, et finit par avoir une idée, au bout de quelques instants.

P...Papy ?

Elle fit mine de se retourner, et de ne pas distinguer la grosse bosse qui déformait le pantalon de Corbyn, ni même le geste un peu maladroit que ce dernier fit pour ramener son gilet sur le devant de son corps, dans une tentative désespérée de le câcher.

Désolée je...je crois que je suis bloquée. Ce con a du faire sauter les boutons de mon short, et si je lâche ces câbles, ça va être une plaie pour les récupérer. Tu...tu peux venir m'aider à le remettre, s'il te plait ?

Oh oui...qu'il vienne, qu'il s'approche d'elle...elle avait bon espoir qu'il ne puisse pas résister en étant si proche du cul rebondi de sa petite-fille, qui n'hésiterait pas à légèrement le remuer sous son nez, et à se cambrer pour l'approcher de son visage. Elle ne rêvait que d'une chose, et n'avait envie que d'une chose...qu'il vienne se fourrer contre elle.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 5 vendredi 10 février 2017, 21:15:58

Mon Dieu, ce cul... Corbyn n’avait même plus conscience du temps qui passait, tant il fixait silencieusement ce popotin se dandinant sous ses yeux, remuant délicatement sous son nez. Une magnifique péninsule, tandis que sa petite-fille entreprenait de vider le moteur de cette voiture. Et lui, vieil homme, sentit ses vieux démons le rattraper. Là... Là, avec ce short rabaissé, ce petit string rose glissant le long de la croupe, ne faisant que mettre en évidence les belles fesses dodues de Cindy, il n’avait pu empêcher l’érection de déformer son pantalon. Il n’arrivait pas à la retenir, et, même en en prenant conscience, et en voulant se faire violence lui-même, sa queue ne débandait pas. Elle était visible, et, plus il en prenait conscience, plus il sentait la honte venir. Son regard chercha à se défausser du postérieur magique et courbe de Cindy, lorsque sa petite-fille lui demanda de l’aide.

*Oh merde ! Si je vais l’aider...*

Se sentant gêné, comme à l’époque de ses vertes années, quand il avait été surpris par sa femme en train de se masturber devant un magazine érotique (et qu’elle avait ensuite choisi de recopier la scène extraite du magazine en direct), il déglutit. Fuir ? Impossible, Cindy avait besoin de lui. Aller l’aider ? Impossible aussi, car il devrait se coller dans son dos  pour relever son short, son visage serait pile face... Face à... Face à ÇA ! Face à cette perfection de la Nature.

*Putain de bordel de Dieu, mais qu’est-ce que je peux faire ? Si je me casse, elle ne comprendra pas... Merde, merde, merde !*

Corbyn paniquait sur place, avant de se rapprocher. Le pire, c’est que, malgré cette gêne, son érection ne diminuait pas. L’homme avait beau être veuf, par respect pour celle qu’il avait aimé, il n’avait jamais été voir les prostituées, mais avait toujours eu une libido assez élevée. Il regardait beaucoup de films pornographiques, qui contribuaient à maintenir sa frustration élevée. Depuis quelques mois, il avait d’ailleurs sensiblement augmenté sa consommation, et songeait de plus en plus à aller voir les prostituées de la Citadelle, précisément pour cesser de se rêver avec le membre tendu, en songeant aux gémissements de Cindy, et à son membre partant se planter en elle...

Et là, son membre le trahissait, son propre sexe se rebellait ! Une douleur vive régnait à hauteur de son entrejambes, et, tandis qu’il se rapprochait de la femme, son érection sembla encore s’accroître.

*Putain de queue de merde !*

Le corps de l’homme était maintenant près de la femme, et, sans qu’il le réalise, ses mains s’é&taient instinctivement posées sur son short. Il le serra entre ses doigts, ses mèches de cheveux frôlant les fesses de la femme .De fait, il aurait suffi que Cindy bombe un peu son corps vers l’arrière pour heurter son front... Et, tandis qu’il remontait un peu son short, il sentit effectivement un contact, bref, éphémère, mais terrifiant, sur ses cheveux. Les fesses de Cindy heurtèrent son front, s’enfonçant très légèrement contre sa peau, avant de repartir, et il releva son visage.

« Cindy... » réussit-il à dire, la gorge totalement sèche.

Quelque chose se bloqua dans son esprit. Son souffle rebondissait sur les fesses de sa petite-fille, et il voyait ce string rose. Ses mains relâchèrent le short, et s’appuyèrent alors sur les cuisses de la femme, tandis que, ; béat d’admiration, il répéta, en caressant avec le bout de son nez, son prénom.

« Cindy... »

Et sa bouche se posa soudain sur le string. Il lécha cette ficelle avec sa langue, remontant dessus, tandis que ses mains étaient remontées, s’appuyant contre son aine. Puis, brusquement, alors que sa queue tendait encore son pantalon, et s’appuyait contre la jambe de la femme, Corbyn sembla réaliser ce qu’il faisait, et partit précipitamment en arrière.

« Oh... Cindy, je... Je ne sais pas ce qui m’a pris, je... »

Confus, il ne savait plus quoi dire.

*Bien joué, vieux pervers ! Elle va te détester, maintenant, et, honnêtement, tu l’as bien mérité...*

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 6 lundi 13 février 2017, 13:23:44

Cindy était aussi anxieuse qu'elle était excitée, car les prochaines minutes allaient vite décider de l'évolution, ou non, de sa relation avec son grand-père adoré. Si l'inceste n'avait pas été un tabou même dans les Badlands, il y a longtemps que Cindy aurait tenté sa chance, mais la peur de se faire rejeter par Corbyn était bel et bien présente. Elle avait besoin d'être certaine que son grand-père avait tout autant envie d'elle, que elle de lui. Qu'il soit son grand-père ne la dérangeait absolument pas, au contraire même, le fait qu'il soit si proche d'elle et qu'il l'aie élevée garantissait qu'il ne lui ferait pas de mal, et qu'ils s'aimeraient pour de vrai. Dans les Badlands, pour une femme, trouver un compagnon qui soit stable mentalement et qui accepte de rester avec vous, c'était un véritable parcours du combattant.

Toute fébrile, elle sentit donc Corbyn s'approcher, et se poser très proche d'elle pour commencer à remonter son mini short. Positionné comme il l'était, le grand-père de Cindy avait son visage proche, si proche de ses fesses qu'elle pouvait sentir le souffle chaud de sa respiration contre sa peau. C'était instinctivement que la jeune fille avait un peu plus bombé ses fesses à ce moment, sans vraiment le faire exprès, et son cul avait alors heurté délicatement le front de son papy, ce qui manqua presque de la faire couiner de plaisir. Elle le sentait proche, si proche...

*Oh pitié...*

Pourvu qu'il ne se laisse pas guider par ses doutes, pourvu que...
Cindy se crispa soudainement quand elle le sentit lâcher son short, qui retomba plus bas le long de ses jambes, avant de finalement poser ses mains sur ses cuisses.

Ah...

Corbyn sembla alors se positionner, de façon à avoir son visage juste en face de la raie de ses fesses, juste en face de son string rose qui protégeait à peine son intimité. Il répéta son prénom à deux reprises, la voix complètement transformée, il prit un ton qu'il n'avait jamais entendu à son encontre, mais qu'elle l'avait déjà entendu utiliser avec sa grand-mère quand cette dernière était encore en vie.
Et subitement, il fait ce qu'elle attendait depuis un bon moment. Il vint contre elle, son visage se fourra dans la raie de ses fesses, et la jeune Cindy sentit son grand-père se mettre à lécher le tissu de son string rose.

Haaaaaa...

Cindy soupira clairement de plaisir. Elle sentait le nez de son papy se fourrer dans ses fesses, sa barbe frotter contre l'intérieur de ses cuisses, ainsi que ses mains qui étaient encore remontées pour caresser son aine, si proches de son intimité dont elle ne pouvait plus contrôler la chaleur intense...et surtout sa langue...sa langue qui explorait les zones les plus intimes de son anatomie.
Elle aurait pu en jouir, là, tout de suite, si il ne s'était pas retiré aussi rapidement qu'il était venu. Choqué par ce qu'il venait de faire, comme si son esprit s'en était rapidement rendu compte. Mais Cindy n'avait absolument pas l'intention de le laisser avoir des regrets. La jeune femme se redressa alors, son short acheva de glisser jusqu'à ses chevilles, et elle le retira pour se permettre de se déplacer jusqu'à qon grand père. Là, tout alla très vite, Cindy alla se lover contre lui, et tout en venant l'embrasser, elle posa sans aucune gêne l'une de ses mains sur son sexe qui apparaissait comme une gigantesque bosse sous son pantalon. Elle l'entoura du mieux qu'elle le pouvait de ses doigts pour mouler la forme de ce sexe, tandis qu'elle avait glissé son autre main sous le t-shirt de Corbyn pour glisser ses doigts dans les poils qu'il avait sur son torse...et surtout elle entreprit de l'embrasser langoureusement pendant quelques secondes, avant de se retirer.

Ne sois pas désolé papy...j'en ai envie...

Elle laissa quelques secondes de silence s'installer, en continuant à se blottir contre lui.

C'est pour toi que j'ai commencé à mettre ces vêtements tu sais. J'avais des doutes sur le fait que tu me regardes, quand j'étais la tête plongée dans les moteurs...mais ça me dérange pas tu sais, bien au contraire...
T'a toujours été là pour moi, tu m'a élevée quand mes parents sont morts, et t'a été le seul homme à ne jamais me manquer de respect...je me fiche bien de tous les autres papy...je t'aime...


Voilà, elle venait de lâcher tout ce qu'elle avait envie de lui dire pour le moment, et presque tout ce qu'elle avait sur le coeur le concernant.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 7 lundi 13 février 2017, 21:02:45

Il aurait juste suffi qu’elle le repousse. Juste suffi qu’elle lui demande ce qu’il venait de faire. Corbyn, en un sens, aurait préféré ça. Oui, il aurait préféré que sa petite-fille le juge, qu’elle mette fin à ses rêves et à ses illusions. Au lieu de ça, elle se retourna, et, après quelques secondes, alla le rejoindre. Et là, devant l’acceptation de Cindy, Corbyn succomba. Son baiser, sa bouche merveilleuse, son corps parfait, oh, ce contact terrible ! Que pouvait-il faire, pauvre âme fragile ? Son sexe lui faisait un mal de chien, et la douce main de Cindy vint le presser, le caresser, diffusant en lui d’intenses sentiments de plaisir. Sa bouche se pressa contre la sienne, sa langue s’enfonça en lui, et il ne put que succomber, incapable de la repousser. Rompant le baiser, Cindy lui avoua alors qu’elle l’aimait, et qu’elle voulait que ça continue.

« Cindy, tu... »

Sa main se posa sur la joue de Cindy, et son pouce glissa sur ses lèvres tendres. Il l’enfonça instinctivement entre ses lèvres, et sentit ses dents, puis frémit au contact de sa langue. Son membre, chaud, pulsait au contact des doigts de sa petite-fille. C’était bien elle, sa petite-fille... Corbyn la revit, plus jeune, toute petite, lui souriant joyeusement, courant et galopant. Une fille intrépide, véritable teigneuse avec une passion immodérée pour la mécanique, l’exploration de ruines militaires afin d’y trouver des composants électroniques... Et c’était elle, qui le faisait bander si dur.

Dans la tête de Corbyn, tout se mit à se mélanger. Il n’arrivait plus à réfléchir consciemment, calmement. Elle ne l’avait pas repoussé, elle l’avait accepté, brouillant toutes les pistes, le perturbant. Et là, là, il était dos au mur. La repousser ? C’était impossible.

« Je t’aime », dit-elle alors, et, pour Corbyn, ce fut le signe définitif.

Il l’embrassa alors en se redressant, et la jeune femme fut repoussée, et tomba au sol, se couchant sous lui, pendant qu’ils ‘allongeait sur elle, posant une main sur ses cuisses, puis remonta pour caresser son gilet jaune. Cindy abaissait toujours la fermeture à hauteur de ses seins, offrant un décolleté magnifique, et, rapidement, Corbyn pressa main sur el sein gauche de la femme, appuyant dessus, le malaxant, tout en fourrant sa langue dans sa bouche.

« Mmhmmm... »

Sa langue jouait avec celle de la belle beauté. C’était elle, sa petite-fille, la chair de sa chair, et il ne cherchait plus à se retenir, et continua ensuite à abaisser la fermeture Éclair, jusqu’à ouvrir le gilet, puis aida Cindy à se redresser, et laissa ensuite le gilet sous elle, comme une sorte de coussin improvisé. Il l’embrassa plus longuement, enroulant son corps dans ses bras, s’appuyant contre elle. Leur baiser dura longuement, témoignant de la frustration latente du vieil homme, qui était en train d’exploser. Il continua à l’embrasser pendant un certain temps, jusqu’à finir par rompre le baiser.

Un mince filet de salive relia leurs lèvres, et, les joues rouges, Corbyn observa la jeune fille, ne portant plus que sa casquette, ses gants, son soutien-gorge, et son string.

« Cindy... Ma Cindy... »

Corbyn agissait rapidement, frénétiquement, et se mit soudain à califourchon, puis enleva son haut, tout en retirant sa ceinture. L’homme était loin d’avoir un torse glabre, et arborait de multiples poils blancs le long du torse. Rapidement, il finit en boxer, et le retira également, tout en se relevant, finissant tout nu, juste devant la femme. On pouvait ainsi voir que, malgré les âges, son corps restait encore très ferme, présentant, ici et là, quelques muscles.

Nu, l’homme restait comme figé, attendant que sa petite-fille lui dise de venir, qu’elle fasse quelque chose, le sortir de sa transe... Ou la faire plonger dedans.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 8 mardi 14 février 2017, 13:37:00

Cindy pu sentir assez rapidement que son grand-père n'avait aucunement l'intention de la repousser. Il était certes passif, mais c'était d'avantage du au choc de voir sa petite-fille actuellement accepter ses avances plutôt que de les repousser, cela devait lui sembler surréaliste, ce qui était compréhensible. Pour autant, Corbyn ne demeura pas dans cet état bien longtemps, car Cindy le stimulait avec ses baisers, et surtout les caresses de ses doigts sur son sexe.
Rapidement, après leur premier baiser, le grand-père de Cindy entreprit de prendre les choses en main, et il l'amena à s'allonger sur le sol dur du garage, tandis que lui même venait s'allonger sur elle. La jeune femme était aussi heureuse qu'excitée, car Corbyn se montrait désormais très envieux, au point même où Cindy en fut surprise, mais très, très agréablement surprise.

Hmmmm...

La jeune femme croisa ses jambes à l'arrière du bassin de son grand-père quand ce dernier vint s'allonger sur elle, et surtout elle sentait le sexe de l'homme se presser entre ses cuisses, tout dur, assoifé. Corbyn et Cindy passèrent un long moment à s'embrasser, le vieil homme laissait désormais ses doutes de côté pour pleinement profiter du corps de sa petite-fille, qu'il caressait en même temps. Il l'aida à retirer son petit gilet jaune, la déshabillant encore un peu, déjà qu'elle ne l'était pas beaucoup. Cindy avait cette merveilleuse sensation d'être de plus en plus nue, et en dehors de ses jambes où elle portait encore ses collants et ses bottes, et bien la jeune femme n'avait plus grand chose pour cacher ses formes.
Son grand-père lui passa ainsi un long moment à embrasser et caresser le corps de la jeune femme, qui réagissait en conséquence. Ses seins se durcissaient, et son string commençait à être sérieusement trempé de cyprine, à force de sentir son grand-père frotter son bassin contre le sien. Cindy était plus que réceptive à ces stimulis, au point qu'elle se mordilla la lèvre inférieure quand, en se redressant, Corbyn entreprit de se déshabiller.
Cindy le laissa faire, et surtout l'observait. C'était clairement le signe que son grand-père n'avait plus l'intention de faire marche arrière. Uns à uns, les vêtements que portaient son grand-père tombèrent sur le sol, et il finit intégralement nu devant elle, car évidemment il se devait de libérer sa queue tendue de ces vetements qu'il devait trouver étouffants. Cindy se redressa alors à son tour, en se mettant à genoux devant son grand-père, avant de retirer ses gants couverts de camboui.

Oh papy...

Cindy était pour le coup aussi peu prompte à parler que son grand-père, car elle aussi était d'avantage guidée par son envie désormais insurmontable de coucher. Vu leurs positions respectives, la jeune femme allait entreprendre de faire quelque chose qui lui semblait désormais tout à fait naturel, elle allait le sucer. Elle glissa l'une de ses délicates mains sur les testicules de Corbyn, ses doigts plongeant dans les poils pubiens blancs de son grand-père avant d'épouser la forme de ses bourses avec le bout de ses doigts pour les stimuler à l'aide de délicates carresses, tandis qu'avec son autre main, elle commença à le branler.

Ta queue est tellement grosse papy...si dure...Hmmm...
Très rapidement la jeune femme ne parvint plus à se retenir, elle ouvrit sa bouche, et s'approcha du sexe de Corbyn pour commencer à l'engoutir entre ses lèvres.

Hmmmmmm...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : La vie dans les Badlands [PV]

Réponse 9 mardi 14 février 2017, 21:16:15

Le démon s’était emparé de lui, dominant dans son corps, le contrôlant, se focalisant sur son sexe. Trop longtemps, Corbyn avait refusé ce moment, trop longtemps, il avait réfréné ses pulsions. Maintenant, ces dernières explosaient littéralement, le dominant totalement. Tout son corps tremblait sur place, et, quand il sentit le souffle de Cindy contre sa queue, l’homme frémit. Ses poings se crispèrent, et il n’osa plus rien faire. Impossible de la repousser, en effet. Elle était là, contre lui, massant ses testicules, et, quand ses doigts se posèrent sur son vit, ce dernier tressauta sur place, se roidissant.

« Hmmm... »

Bien tendue, sa queue était assoiffée. Corbyn bandait comme il avait rarement bandé de sa vie, le sexe bien dressé. Elle n’allait quand même pas... Les yeux de Corbyn s’écarquillèrent sous la surprise alors qu’il voyait sa petite-fille se placer droit face à ce sexe, avant d’ouvrir la bouche.

« Cin’... » glissa-t-il, à bout de souffle.

Corbyn se sentait éreinté, comme s’il venait de parcourir un marathon, écrasé par la soif de sexe qui le dominait totalement, et s’imposait en lui. Elle était là, toute proche, fébrile, et, sans guère attendre, attrapa son sexe, l’enfilant entre ses lèvres. Des frissons et des spasmes traversèrent le corps de Corbyn, qui posa sa main sur les cheveux de la jeune femme, crispant ses doigts dessus, et redressa sa tête vers l’arrière, en retenant un long soupir. Quand les lèvres de la jeune femme se posèrent sur sa hampe, il sentit son membre frémir, avant de se hisser, de se durcir, et de se perdre en elle.

Elle le suçait donc, avec une soif dévorante, accélérant peu à peu le rythme. Il se força à baisser la tête, afin de la regarder, de la contempler, de voir sa bouche s’arquer contre son membre, s’enfonçant plus profondément en lui. Oh ! L’homme en avait tellement rêvé, il avait tellement désiré ce moment que le voir enfin se réaliser, c’était... Eh bien, il n’arrivait tout simplement plus à réfléchir calmement, ou à analyser consciemment ce qui lui arrivait.

« Oh, Cindy, Cindy... Vas-y, ma chérie... »

Soupirant encore, il la laissait faire, désormais bien incapable de la repousser... Et ce d’autant plus que chaque partie de son corps ne voulait qu’une seule chose : qu’elle continue.

Rien de plus, et rien de moins.


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