Quand Excella daigna enfin la relâcher en ôtant ses liens, les jambes de Jill s’abattirent lourdement sur le sol, et la guerrière resta au sol, à soupirer lentement. Une barre semblait s’être formée dans son dos. Même si Jill était très agile, et, en un sens, assez élastique, son corps avait des limites, et elle respirait bruyamment, le visage encore maculé de son foutre. Elle couina néanmoins quand sa Maîtresse alla planter une seringue dans son torse, près de son cœur, absorbant un peu de sang pour des recherches extérieures. Silencieuse, Jill restait étalée sur le sol, comme une sorte de tapis vivant attendant qu’on daigne encore se servir d’elle. Elle sentait, peu à peu, son dos aller mieux, tandis qu’Excella, elle, depuis sa position, pouvait voir la verge de Jill, toujours aussi dressée, toujours aussi tendue, comme si rien ne semblait pouvoir calmer son excitation et son érection.
Ainsi, après quelques secondes d’hésitation, après un léger flottement, Jill sentit quelque chose rebondir entre ses seins, et, troublée, vit… Un préservatif, qu’elle tint entre ses doigts. Elle se redressa légèrement, tournant la tête, et rougit en voyant sa Maîtresse coucher sur le bureau, écartant ses jambes, lui montrant une intimité humide. La femme mouillait, mais, si elle autorisation Jill à venir la prendre, ce devait être dans le silence le plus absolu.
*Diable, qu’elle est belle…*
La volonté d’Excella faisant loi, Jill se redressa, et marcha vers elle. Elle était dans son dos, et pensa ensuite à enfiler le préservatif, recouvrant son sexe de ce fin morceau de plastique.
Jill se retrouva ainsi dans le dos de la femme, et posa malgré tout ses mains sur son fessier, massant légèrement ce dernier, en se mordillant encore les lèvres. Son sexe l’élançait douloureusement, et se frottait déjà contre les cuisses de la femme. Reprenant son calme, clignant des yeux à plusieurs reprises, elle s’enfonça alors en elle, glissant sa verge dans sa chatte.
« Hnnnnnn… !! »
Ses dents se crispèrent, elle soupira, puis commença à remuer, appuyant ses mains sur le fessier parfait d’Excella, et commença ainsi à la prendre… Et, même si Excella lui avait interdit de parler, elle ne pouvait s’empêcher de soupirer légèrement, fermant régulièrement les yeux devant le plaisir procuré par cette pénétration vaginale.
« Haaaa… Haaaa… !! »