Une nouvelle acquisition [PV]

Alisfienze Fateburn, 21 ème du nom est une princesse lamia, issue d'une grande famille de lamia possédant des terres et des logements de luxe un peu partout sur Terra. Cette famille est connue pour être riche et influente, les membres sont de différentes races, Alisfienze faisait donc partie de la race des lamias avec ses deux mères. Notre demoiselle était dans un grand manoir spécialement aménagé pour elle, la jeune créature y était pour se relaxer et passer des vacances, surtout qu'il paraît qu'elle devait recevoir un cadeau spécial, une nouvelle servante et esclave pour sa demeure. Il fallait bien tester la marchandise, surtout que ça faisait un moment qu'elle n'avait pas eu de relations sexuelles, ce qui était déjà trop long, elle devait bien vider ses deux sexes, étant hermaphrodite.

Cela faisait longtemps qu'on t'avait annoncé cette nouvelle, une nouvelle servante et esclave pour ta demeure, tu attendais avec impatiente ton acquisition, faisant confiance au marchand qui allait te l'amener directement, ayant déjà tout payé. C'était l'avantage pour une personne importante comme toi et le marchand avait des bons goûts, tu lui donnais simplement les critères et il arrivait à acheter les plus belles perles pour te les offrir. Tu n'avais que hâte qu'il arrive au plus vite, t'occupant un peu de ton jardin que tu possédais sur une grande terrasse, des plantes venimeuses ou aux effets, toxiques ou nocifs, ta spécialité, n'étant pas vulnérable au poison. Tu savais comment bien les utiliser, tu pouvais tourner cela en aphrodisiaque ou augmenter les performances sexuelles de quelqu'un, tout était possible avec ses plantes lorsqu'on sait bien les manier. Tu chantonnais, en même temps, une cantine de ta mère et il faisait chaud, c'est pour cela que tu te baladais seins à nu, rien ne recouvrait ta poitrine et tu avais juste une culotte au niveau du bassin. Tu n'avais pas envie de mouiller tes beaux vêtements et cela faisait un peu de spectacle à tes servantes qui rougissaient en t'observant, tu les interdisais de détourner le regard, sous peine d'être puni, une punition sexuelle, se faire souiller par plusieurs futanari pendant des heures. Après tout, tu étais belle et tu méritais d'être matée, surtout que tu matais également tes servantes qui avaient la poitrine à l'air, c'est le code vestimentaire. Une tenue de servante qui ne couvre pas le haut, dévoilant les seins et dont le bas de la jupe était très court, pouvant se soulever au moindre courant d'air, dévoilant l'intimité, car elles n'avaient pas de sous-vêtements. C'était donnant-donnant.

Après quelques heures de travail et après avoir bien transpiré, tu arrêtas, cela t'avait bien détendu de faire du jardinage et cela avait fait passer des petites heures, au moins, tu avais fait quelque chose d'utile pour toi, t'occuper des plantes, récolter leur sève pour te fabriquer des potions plus tard. Tu donnas les potions de poison à une servante, qu'elle les amène où tu fabriquais les élixirs, avant de demander qu'on te fasse couler un bain de lait assez chaud dans le grand bassin au milieu de ton salon. Les servantes s'exécutèrent, tu as dû attendre quelques secondes avant que le bain ne soit prêt, avant d'y aller, te mettant nue en retirant lentement ton bas et le faisant tomber à côté, te glissant dans le liquide blanc. Tu soupiras d'aise, c'était la bonne température, assez chaud, mais pas beaucoup, tu t'en délectais en plus du verre de vin qu'on t'apporta, buvant des gorgées, il manquait plus qu'une distraction. Tu demandas donc à deux esclaves, une hermaphrodite, une femme, de se faire plaisir entre elles, les deux hésitantes et toutes timides s'avançant devant le bassin et commencèrent à se caresser et se déshabiller. La suite fut les préliminaires, la fellation de la demoiselle sur l'hermaphrodite, l'obligeant à jouir et souiller le visage, la bouche et les seins de la pure femme, tu demandas aussi le contraire, une gâterie de la futa sur la demoiselle, jusqu'à la jouissance, la cyprine souillant le sol et le visage de l'hermaphrodite. Tu te délectais de la scène, visuellement et surtout les sons des gémissements des deux servantes, te mordillant les lèvres, ta main te caressant doucement la poitrine puis les sexes déjà bien excités. Tu leur demandas de continuer, évidemment, pour passer à l'acte, la futa prenant la jeune femme en levrette, plutôt sauvagement d'ailleurs et cela te plaisait grandement. C'est là qu'on annonça l'arrivée de ta nouvelle acquisition, tu disais aux demoiselles de continuer, te redressant, assise près du bord du bassin, le bas de ton corps de serpent étant toujours dans le lait, le haut étant hors du liquide, on pouvait bien voir ta poitrine généreuse. Tu étais prête à recevoir l'inconnue avec la meilleure présentation de ta personne.

Sarah, juste Sarah, tel était le nom que l'on avait donné à cette jeune femme lors de sa naissance, car au contraire de bon nombre de personnes, elle n'était pas née libre. Venue au monde au sein d'un élevage d'esclaves, d'un père inconnu et d'une mère qui était une esclave depuis des années, le destin de la jeune Sarah avait déjà été tracé dès sa conception. Elle avait grandi, et avait été éduquée, de façon à être une docile petite poupée, qui d'ailleurs en grandissant n'était pas devenue que docile, mais également très belle. Sarah avait été vendue lorsque ses maîtres l'avaient estimée devenue assez mâture physiquement, et elle avait été réservée depuis un moment par un acheteur, très fortuné, qui avait pour habitude de fournir une riche Lamia en belles et jeunes esclaves.
On ne lui avait dit que peu de choses sur sa destination, ou la personne qu'elle allait servir, car tout ça n'avait au final aucune importance, elle se devrait d'être une esclave obéissante, docile...et surtout perverse pour satisfaire n'importe quel désir. Lorsque, une fois qu'elle était devenue adolescente, Sarah avait commencé à manifester sa beauté, elle avait été dressée à être une parfaite petite traînée. Devenue nymphomane à force de longues séances de dressage pour briser de son esprit toute éventualité de détester le sexe, elle était à présent arrivée, accompagnée d'une petite escorte et de son acheteur, à la demeure de sa maîtresse. Ce grand manoir, luxueux, et orné d'un très grand et magnifique jardin, impressionna naturellement la jeune esclave, qui se trouva toute gênée quand on lui ordonna de passer la tenue règlementaire pour toutes les esclaves ici...soit pas grand chose. Elle n'eut droit qu'à une courte jupe en tissu, verte à carreaux, ainsi qu'à des sandales, mais hormis cela Sarah ne portait rien d'autre.
La jeune humaine était bien entendu stressée, car au cours du voyage, elle avait pu comprendre que sa nouvelle maîtresse appartenait à la terrible race des Lamias, des créatures très puissantes, moitié serpent moitié humaines, qui comptaient sans nul doute parmi les plus dangereuses de Terra.

On la conduisit à l'arrière du manoir, dans une des ailes du grand jardin, qui abritait un grand bassin, au rebord duquel deux esclaves, l'une étant dotée d'un sexe masculin, était en train de pénétrer sauvagement l'autre qui gémissait de plaisir. Dans le bassin même, se trouvait donc sa maîtresse, une bien belle créature, dont la queue de serpent n'était toutefois pas visible puisqu'elle trempait dans le lait de ce bassin. Sarah se sentit littéralement écrasée par la présence de cette femme, ainsi que par le fait de se trouver presque nue en face d'elle. Et tandis que le marchand la présenta, Sarah courba alors léchine en guise de respect.

M...maîtresse, c'est un honneur de vous rencontrer enfin. Je suis Sarah, pour servir le moindre de vos désirs...

Malgré son appréhension, Sarah était également assez excitée, voir les deux femmes baiser, sa maîtresse seins nus, et elle même étant quasiment nue...il régnait dans ce lieu une atmosphère très érotique et sensuelle, sans compter le fait qu'avec ce beau Soleil, il faisait très chaud.

Tu te demandais à quoi pouvait ressembler la demoiselle qui allait être ta nouvelle esclave, faisant confiance à ton conseiller pour t'apporter des perles rares, tu te demandais de quelle race serait cette mystérieuse servante, succube ? Ou plus classique, humaine ? Secrètement, tu avais un faible pour les belles blondes, même si ton harem contenait des femmes de tout type de chevelure ou de tout type de race, toujours grâce à ton conseiller. Tu vis arriver la fameuse jeune femme habillée que d'une jupe, sans rien d'autre, conformément au code de la tenue, elle semblait être une humaine, blonde, tu l'aimais déjà, rien que physiquement parlant. Tu te redressas donc, sortant de ton bain de lait, le liquide blanc coulant sur ton corps nu que tu n'avais pas honte de montrer à la demoiselle, au contraire, il fallait que tu affiches que tu avais une belle poitrine et de beaux sexes, un masculin et un féminin. Tu t'avançais vers l'esclave du nom de Sarah, elle semblait être bien respectueuse, bien dressée sûrement, un autre bon point, tu sentais qu'elle stressait, ce qui te fit sourire, tu étais amusée de voir cette réaction. Tu avais aussi vu que son regard se tournait sur le spectacle des deux autres esclaves dans leur ébat sexuel, elle était aussi perverse ? Sûrement, elle a dû être éduquée à faire plaisir à ses maîtres au niveau sexe, c'était quasiment parfait, ta nouvelle acquisition allait vraiment te plaire.

Tu t'avançais vers elle en souriant, croisant tes bras sous ta propre poitrine, la relevant légèrement, te mettant devant elle, tu la regardais de haut, faisant mine de réfléchir et parlant à ton tour : « Je suis Alisfienze Fateburn, 21ème du nom, lamia noble et puissante, propriétaire de ce domaine, mais tu m'appelleras Maîtresse comme tu le fais déjà, peut-être que tu pourras m'appeler Alis, mais cela dépendra de la confiance que j'ai en toi et comment tu me serviras, puisque tu es à moi maintenant... Mais quelque chose me gênait, j'ai trouvé ce que c'était. » Tu pouvais paraître faible, mais les lamias étaient une race forte physiquement, surtout leur partie serpent, le bout de ta queue vient attraper la jupe de l'esclave et l'arracher littéralement, mettant la demoiselle nue : « Ta tenue ne me convient pas, tu en as besoin d'une meilleure que tu habilleras tous les jours, je vais te la faire, considère cela comme un honneur. Reste bien droite, naturelle, évite de trop bouger. » Tu te mis à tourner autour de la blonde, observant, minutieusement, chaque courbe de son corps, chaque détail que tu trouvais alléchant, comme cette poitrine galbée, cette intimité bien rasée au niveau du pubis, ces fesses bien arrondies. Tu ne loupais rien avec ton regard de prédateur, mais cela ne s'arrêtait pas là, tu venais te glisser derrière l'esclave, collant tes seins à son dos et ton bassin à son fessier, elle pouvait, ainsi, sentir tes tétons contre son épiderme et ton membre entre ses fesses et ses cuisses. Tu commençais à lui caresser le corps, d'abord les cuisses, remontant aux hanches puis les côtes, avant de passer sur les seins, tes doigts glissant sur les monts de chaire de la demoiselle, avant de bien les prendre en main et les malaxer d'une main experte. Tu pelotais ainsi la poitrine de Sarah, tu pouvais faire ce que tu voulais, autant profiter, tu appuyais bien sur la peau avant de la relâcher.

Tu allais, également, lui embrasser puis mordiller le cou de manière tendre, tes doigts attrapant les tétons de la demoiselle, ils pointaient bien, tu les tirais puis les faisais rouler entre tes doigts, voulant exciter ton esclave. Tu lui faisais aussi sentir le membre que tu possédais, celui-ci se glissant entre les cuisses de la demoiselle, tu bougeais lentement ton bassin de l'avant en arrière et inversement, ton sexe glissant le long du sien, au niveau de la fente, entre les lèvres intimes, tu la taquinais comme cela pour lui donner des envies.

Bien sûr, tout ce que tu faisais se déroulait devant la scène des deux autres esclaves qui continuaient toujours à baiser, elles vous regardaient également faire, ce qui les donnait plus d'entrain, la futa donnant des coups violents dans l'antre de la demoiselle, on entendait claquer et gémir. Tu lâchas un sein, ta main glissant vers le bas, tes doigts, orientés vers le bas, glissant le long du ventre, arrivant sur le pubis que tu caressais, allant encore plus bas, au niveau des lèvres intimes que tu venais taquiner. Tes doigts venaient au niveau du clitoris pour l'exciter, puis s'amuser avec les lèvres intimes, les écartant puis les collant, avant que tes doigts passent le long de la fente et s'enfoncer légèrement à l'intérieur, explorant que très peu, juste pour un aperçu. Tu jouais à garder la fente ouverte avec l'index et l'annulaire, le majeur restant un peu dans l'antre, puis tu relâchas tout, te séparant de Sarah, léchant tes doigts : « Je sais ce que tu vas porter. » Tu claquas des doigts, une esclave vient, tu lui dis ce qu'elle devait apporter, prenant ton verre pour le finir, tandis que l'esclave hermaphrodite finissait par jouir sur l'esclave femme, l'inondant de son sperme qui gicla partout, même par terre. Tu fis un rire : « Ce fut un très bon divertissement mesdames, vous pouvez disposer toutes les deux, les autres esclaves restent bien sûr. »  

L'autre esclave revint très vite avec des objets sur un plateau, tu allais présenter à Sarah, prenant d'abord le basique, le collier en cuir, avec un anneau en fer, une laisse en métal accroché dessus, tu vins mettre le collier autour du cou de la blonde. Le deuxième élément est une chaîne de seins, que tu venais accrocher au niveau des tétons de ta nouvelle esclave, avec les pinces, les réglant pour que ça tienne bien, tirant même dessus pour vérifier que ça ne se détache pas. La blonde pouvait sentir comme des vibrations, c'était fait exprès, chaque fois qu'elle ressentira de l'excitation, les pinces vibreront magiquement, plus elle aura d'excitation plus forts seront les vibrations, c'est vicieux, mais drôle. Le troisième objet était un plug anal, avec une queue de lapin, tu retournas Sarah et la fit pencher en avant, tu venais d'abord jouer avec l'anus de la jeune femme, le dilatant en faisant rentrer ton doigt à l'intérieur, voyant que cela se faisait facilement : « Eh bien, ton derrière semble aussi être habitué à mes gestes, on t'a bien éduqué... » Tu lui inséras profondément le plug anal dans l'orifice, faisant, bien sûr, exprès de le bouger lorsqu'il rentra, la queue de lapin restant dehors, le plug était aussi vibrant magiquement et fonctionnait comme les pinces. Pour finir, les oreilles de lapin sur la tête, en guise de serre-tête et une micro-jupe de soubrette, noire, à froufrou, si courte qu'il suffit juste de se baisser un peu pour voir l'entrecuisse et les fesses de Sarah. Il y avait un trou derrière pour ne pas gêner la queue de lapin.

C'était parfait, tu souriais, fière de ta création, montrant à tout le monde en la montrant du doigt : « Voilà, ça c'est beau comme tenue, regardez toutes. » Tu fixas Sarah : « Tu t'habilleras maintenant ainsi lorsque tu travailleras et quand tu seras avec moi, libre à toi de rester comme ça dans tes moments libres. » Tu allas t'asseoir sur ton canapé en cuir, prenant le verre qu'on te tendait, buvant des gorgées, avant d'admirer, encore une fois, la demoiselle, contente du résultat, te mordillant les lèvres : « Hm, tu es très bien physiquement, mais tu ne m'as pas encore montré tes talents et comme je suis curieuse, je te l'ordonne, fais moi voir de quoi tu es capable. » Tu attrapais la laisse accrochée au collier de la blonde, tirant dessus afin de la rapprocher et la mettre en face de toi, attendant qu'elle passe à l'action, bien évidemment.