Tu désirais voir ton étoile briller et ce à jamais
Toi, mon soleil qui de sa lumière me réchauffait
Quand la nuit sur nos vies tombait, tu venais chaque fois me réconforter
Mais certaines ténèbres son plus dures a oublier
Tu partais chaque fois le sourire au visage
avant de difficilement fermer la porte qui nous séparait
Au fond de toi tu le savais...
Cruelle vérité d'une famille désintégrée
"Ma douce hortensia" tu disais
avec des larmes aux yeux des fois tu me souriais
Ta peau blanche trop souvent couverte de bleus
La privation par amour, tu la connaissais
combien de fois tu est tombée malade
à cause d'un démon défoncé
Tu étais forte, tu le devais
chaque coup qu'il te portait te faisait chuter
mais chacun de mes sourires te poussait à te relever
pourtant chaque nuit tu nous entendais, mais tu ne pouvais pas l'éviter
il t'aurait tuée ci tu l'empêchait de me souiller.
Pourquoi l'as tu laissé me dévisager
A grand coups de pieds, il te brisait
sans jamais te donner une once de respect
Pour lui rien de plus que de la viande nous étions.
"Sombres salopes" était pour lui nos noms.
Quand il s'est enfin décidé à nous laisser
Tué par l'un des chiens qu'ils maltraitaient
j'ai cru que notre monde changerait
jour après jour je te voyais libre et en paix
mais à présent c'était toi qui chaque nuit te faisais souiller
pour m'assurer un avenir et une bonne santé
encore une fois l'astre n'était pas entier
Puis tu m'as lâchement laissée
en voulant donner naissance à un être qui t'aurait plus encore épuisé
Cette petite sœur accidentelle t'as tuée, alors que tu voulais la garder.
La lumière sur ma vie venait de crever
laissant mon cœur et mon esprit dans les ténèbres les plus totales
j'ai crachée, brisée, détestée, tuée
je t'en veux, je m'en veux d'exister
Aujourd'hui et pour toujours
les hortensias ne pousseront plus
et le soleil plus jamais ne se lèvera
sur ma vie de déchue
je voudrais tant te revoir....
Mais je suis persuadée qu'en ce jour je te dégouterais...
poème sur l' enfance de Lucrezia, sa mère et l'amour qu'elle éprouvait. (oui même lulu elle a ses secrets u_u).
Quand le diable est éduqué et les chiens tabassés
Tuerie sur tuerie, mais les armes toujours préservées
Pluie verte et or noir comme tout ce coton asservi
Les pyramides blanches brûlaient des croix, les politiciens en noir raclent les cendres
Toi sauveur, qu'as-tu sauvé ? Toi salope, jusqu'où vas-tu sombrer ?
11 meurtres pour 2 suicides, ce n'est pas un drame juste une statistique
engraisse l'enfance, vide sa pensée viole ta propre justice au nom d'une liberté de cuivre oxydé
La blonde aux barbituriques brille toujours et son amant lui a gardé l'impact du complot camouflé
Agenouillé devant le bûcher de la connerie humaine
(Ils prient pour se sauver eux-même
(Leurs monde ne tient plus à rien, le Christ est mort et Dieu les a baisés
Monde en feu ne veut plus de leur fascisme atténué
annonce moi l'apocalypse, énonce moi l'antéchrist
paye le prix de ta connerie, flagelle ton âme une dernière fois.
L'Armageddon est à nos portes sous sa forme phallique
Tu as été le premier, à deux reprises tu les a lancées
seulement au nom d'une perle fêlée
Confronte toi aux deux jumelles qui ont tout dévastées
Confronte toi aux deux jumelles qui se sont écroulées
Confronte toi à la réalité
n'oublie jamais que ta naissance est un crime
un crime contre l'humanité.
Vous avez compris de quoi je cause ? ^^
Lui, il est... glauque ^w^ (C'est sur tweedle dee/dum de mon remake d'Alice au pays des merveilles)
Deux âmes partagent ce corps
deux cœurs en somme pour une seule peau
nettoie moi, je te nettoie
os et chair liés pour la vie
Aucun pacte de sang, juste celui du sperme
L'embryon à fauté.
Ils disent "4 trous collés valent mieux que deux séparés"
6 ! réponds un collègue plus futé
Quand la semence coule dans ta gorge ça m'écœure
Quand ils s'immiscent en moi, ça te fait souffrir
Quand il me font mal, tu le ressens
Quand ça te dégoute , je le ressens
Nous partageons la même écuelle souillée de leur "lait"
Dans laquelle le repas est imbibé.
ici pas de pacte de sang.
juste deux sœurs engluées dans la semence.
Ramasse le couteau ma chère "droite"
Arrache lui le cœur ma chère "gauche"
Aucune de nous n'est née en "premier"
Deux esprits, différences et psychés à ne pas mélanger
Schizophrénie naturelle, petite Hansel, je suis ta Gretell dans cette maison "pain de pisse".
Deux sœurs pour un seul corps lié
Deux cranes pour une folie partagée
Tuons pour ne plus jamais êtres séparées.