Ensemble, ils allaient joyeusement faire l’amour, en prenant leur temps, en se savourant l’un et l’autre. MJ n’était pourtant pas une fille facile, elle n’était pas du genre à coucher avec un homme qu’elle venait tout juste de rencontrer dans son club. Difficile de dire ce qui l’avait amené à réagir ainsi, à se comporter de cette façon, mais il était maintenant trop tard pour faire marche arrière... Et elle n’en avait aucune envie. En ce moment, MJ vivait quelque chose d’intense avec cet homme, et, fondamentalement, c’était bien là la seule chose qui importait. Elle s’était lentement retournée, dans une position qu’elle affectionnait tout particulièrement, et lui offrit donc la vue de son bassin, de son sexe, recouvert par une fine culotte noire empêchant d’y accéder. MJ était en train de mouiller, ce qu’Ales put se rendre compte en aventurant ses doigts le long du tissu, et en farfouillant plus loin, en tirant dessus et en l’ôtant. Il put ainsi noter que la belle Rousse s’épilait à la perfection, se rasant régulièrement.
MJ poussa un soupir de plaisir en sentant les lèvres de l’homme sur son sexe. Un long soupir, donc, et elle enfonça sa bouche contre le sexe de l’homme, remontant d’avant en arrière. Sa main était posée sur la base de sa verge, et elle s’en servait comme appui, son autre main venant caresser les testicules de l’homme en attendant. L’homme avait vraiment une magnifique verge, et la femme continua à remonter et à glisser dessus, de haut en bas, savourant ce monceau de chair en respirant par le nez. Le plus difficile, c’était de ne pas s’étouffer avec... Et aussi de ne pas aller trop vite. Quand on commençait, on avait toujours tendance à s’enfoncer trop loin, ou à ne pas aller trop loin. Une fellation, ce fantasme secret partagé par toute la gent masculine selon Mary Jane, était un art délicat qui, comme tout en matière de sexe, nécessitait, de la part de la femme, du doigté et du talent. Un domaine dans lequel la jeune femme avait fréquemment eu l’occasion de s’exercer.
« Hmmm-hmmmm... »
MJ se concentrait, s’appliquait, afin de prodiguer à son amant la meilleure expérience possible, tout en se dandinant lentement. La femme remuait son bassin de gauche à droite, et déplaça sa main de la base de son sexe pour la poser sur le lit. Son autre main, continuait régulièrement à jouer avec ses boules. Là encore, elle savait qu’il ne fallait pas les titiller, et elle se contentait donc juste de les gratter, ou, plus exactement, de les soupeser.
« Hmmmm... !! »
Elle poussait des gémissements un peu exagérés, car elle savait, par expérience, que les hommes aimaient bien ça. Le sexe de l’homme continuait à grossir, un mât solide qu’elle enfonçait parfois jusqu’à sa gorge, respirant alors lentement, avant de devoir repartir en arrière, pour éviter une sensation de haut-le-cœur de s’installer. Ensuite, MJ repartait à l’assaut, encore et encore, creusant ses joues en suçant la queue de l’homme. La femme essayait vraiment de lui offrir tout son talent, dans ce mouvement de plaisir commun.
Car, pendant qu’elle était affairée sur son service trois-pièces, lui ne la négligeait pas. C’était un échange magnifique, et il pouvait sentir son nectar intime déferler sur sa bouche, tandis que MJ, yeux clos, s’absorbait totalement dans ce qu’elle faisait... Ou presque. À un moment, elle releva la tête, et libéra pendant quelques secondes ce sexe enduit de sa salive, afin de donner à Ales quelques ultimes instructions :
« Mes fesses, Ales... Palpe-les... »
Quand on avait un si joli cul, il fallait bien s’en occuper !
Et, après avoir dit cette phrase, la femme retourna prendre son sexe en bouche.