C’était une petite chatte prometteuse. Un de ces quatre, Myu’ devrait se fonder un club de nekos... Comme elle. Elle se voyait presque comme la vieille grand-mère aimant vivre entourée de chats, sauf que les siens étaient de petites chattes en latex, de véritables humaines qu’elle humiliait et rabaissait, afin d’en faire des poupées de latex. La poupée en question se rapprocha d’elle, léchant ses pieds, après un nouveau miaulement, sans aucun doute destiné à lui montrer le plaisir qu’elle ressentait à être dans cette position, à être soumise à cette femme, à lui obéir, et à faire scrupuleusement ce que sa Maîtresse lui ordonnerait.
*Et bien, sache que c’est réciproque... Avoir une petite chatte salope à mon service, c’est tout ce que je souhaite, surtout quand c’est l’une de mes élèves.*
Elle l’observa sans rien dire pendant quelques minutes. Le silence n’était rompu que par le glissement de la langue d’Elia sur ses bottes en latex, et par les gémissements que la femme poussait. Elle s’y faisait progressivement, sans aucune hostilité, sans aucune contestation. Myumi la laissait faire, et frottait la tête de la femme avec son autre jambe. Elle les croisa, soulevant son autre jambe par-dessus la sienne, et le bout de son pied alla frotter la tête d’Elia, entre ses deux oreilles de chattes. Elle remua ensuite un peu, et son talon glissa sur le menton de la femme, s’appuyant dessus. Un sourire amusé et vicieux éclairait les lèvres de la senseï. La Maîtresse se faisait plaisir, et ses mains continuaient à serrer la queue de neko qu’il fallait encore lui mettre.
Au bout de plusieurs minutes, elle finit par retirer ses pieds.
« Parfait, ma chérie. Parfait ! Tu es une bien belle neko... Je vais maintenant achever ta transformation. »
Myumi se releva, le corps légèrement frissonnant. Elle n’en était pas encore au point de mouiller, mais ça se rapprochait. Elle se rapprocha d’Elia, et alla dans son dos. Elle se déplaça à côté d’elle, Elia restant à quatre pattes, les mains gantées de Myumi glissant le long de son corps. Elle commença par lui caresser les cheveux, et glissa vers le bas de son corps, vers ses fesses et son fondement, à l’air libre. Tout son corps était, sous les morceaux en latex, recouvert d’une sorte de long combinaison collante et moulante, qui avait pour effet de protéger la peau d’Elia contre l’irritation, et d’absorber la sueur. Son petit cul, lui, était à l’air libre, et Myumi, en se glissant dans son dos, alla généreusement le presser, posant chacune de ses mains sur ses fesses.
« Hum... Tu as un délicieux cul, ma petite chatte... » la complimenta-t-elle en continuant à le malaxer.
Ses doigts pincèrent ses fesses, glissant sur sa chair. Elle les écartait progressivement l’une de l’autre avec ses pouces, dévoilant ainsi sa petite rondelle, un trou étroit et rose. Après quelques minutes à lui peloter ainsi le cul, elle approcha sa bouche, et lécha son trou, fourrant sa langue contre elle, essayant de percer, avec le bout de sa langue, sa rondelle. Avant de lui mettre sa queue, Myu’ comptait préparer la jeune femme à ce contact oppressant et lourd.
Faire la bonne Maîtresse, en somme.