Une nuit à l'Iceberg Lounge [Le Pingouin]

Beaucoup de femmes jugeaient que le Pingouin n'était qu'un nain, au visage hideux, et tout son corps n'était pas digne de celui de Superman, ou d'autres mannequins à la mode. Mais il savait parfois utiliser, un charme très particulier pour combler ses conquêtes et coucher avec les plus belles femmes de la ville. C'était cet aspect là qu'aimait ses deux secrétaires particulières, et c'était cet aspect que Félicia était en train de découvrir en ce moment même! Qu'il était bon pour lui de toucher avec sa bouche, cette fameuse poitrine à travers sa combinaison de cuir, où il pouvait sentir ses tétons s'ériger. Son ouïe super-développée lui permettait également d'entendre les ronronnements propre au félin, qui était en train d'apprécier le traitement que le Pingouin était en train de lui faire. Malgré son côté repoussant, Felicia ne pensait qu'à son plaisir, et à celui qu'elle allait éprouver pendant cette partie de jambe en l'air.

Cette scène de sexe à 4 se révélait assez intéressant pour la chatte noire, car elle se trouvait seule entre trois personnes qui ne pensait qu'à une chose, lui donner le maximum de plaisir. Voir un corps si parfait dans cette combinaison de cuir ne lui donnait qu'une envie, la mordre avec ses dents acérées, et la prendre sauvagement pendant que ses femmes de main s'occupaient de la douceur. Il sortit un god à tête de chat qu'il mit sur la table, en attendant qu'elle soit assez humide du derrière, pour y glisser cet objet qu'elle allait surement adorer:

" Je te réserve un beau programme mon petit chat..."

Cette jeune femme au corps somptueux lui sourit, et glissa sa main sous son ventre rond, afin de flirter avec sa verge, qu'elle prit dans la main. Elle répliqua à sa question avec ton langoureux qui en disait long sur son excitation, en lui disant qu'elle adorait les calins. Ce qui tombait bien car il allait adorer sauter cette femme au corps si sexy. Il sentit une léchouille sur l'oreille, et la laissa le branler attentivement, en effectuant des gestes de vas et vients, de la base jusqu'au gland, ce qui le fit pousser des curieux râles de plaisir.

" Et encore... Ce n'est pas sa taille maximale ma belle petite chatte..."

Dés qu'il finit sa phrase, il sentit ses douces lèvres, sur les siennes charnues, en train de l'embrasser tendrement. Il décida d'emballer le jeu en glissant sa grosse langue à l'intérieur des cavités buccales de la jeune femme, pour lui rouler une pelle sans aucune douceur. Il fut pris d'un sourire carnassier quand il sentit son sexe frotter contre le chignon de sa secrétaire, qui était en train de lécher l'intimité de la blonde, pendant qu'il posa ses grosses mains sur les seins de la femme à la chevelure blanche pour pincer ses tétons.

Félicia était bercée. La jeune femme avait toujours été quelqu’un se trouvant sur la ligne, avec un sens de la moralité douteux... Si douteux qu’elle avait déjà pu rejoindre des associations mercantiles, comme les Heroes For Hire, ou qu’elle était une criminelle... Elle avait son propre sens de l’éthique, mais elle n’était pas une justicière de carte postale, voulant se battre contre le crime, et inspirer les générations futures. Félicia Hardy était une femme indépendante et joueuse, qui se révélait ici perverse et féline. La drogue du Pingouin y était pour beaucoup, mais il était permis de se demander si, dans les tréfonds de son esprit, Félicia n’avait pas en tête une autre stratégie... Difficile à dire. Ce qui était sûr, c’est qu’elle se faisait plaisir. Ses lèvres s’étaient collées à celles de Cobblepot, pour un baiser tendre et vigoureux. Le Pingouin était décidément un homme qui n’avait pas été gâté par la nature, mais, en un sens, cette laideur avait quelque chose d’excitante, car il restait un homme puissant... Et surtout très intelligent. Cobblepot était un manipulateur, et Félicia jouait avec ses hormones.

Elle avait masturbé son sexe, et il lui avoua que sa queue n’était pas dressée aussi fort qu’il fallait. La Chatte Noire esquissa un sourire, et déplaça un peu son corps, posant une main sur l’épaule de l’individu, et attrapa, avec l’autre, le gode avec la tête de chat qu’il avait sorti... Un objet typiquement japonais, qu’elle se mit à lécher sous ses yeux.

« Ah... Oui... ? »

Dans son dos, Tracy continuait à s’appliquer à lécher ses fesses, enfonçant sa langue à l’emplacement de son anus, filant le long de sa croupe. Mouillée, la tenue de Félicia épousait à la perfection ses formes, gonflant la forme de ses fesses, permettant de voir les deux belles bosses qui constituaient son fessier. Tracy se faisait plaisir, pour le coup. Son patron était content, elle était contente, tout le monde était heureux, et l’ambiance baignait dans une odeur vicieuse et de perversion... Que demander de plus ? Félicia soupirait de plaisir, en remuant son bassin de gauche à droite, et elle s’était relevée, son bassin venant frotter la verge de l’homme, tandis qu’elle continuait à sucer son gode.

Elle savait ce que Cobblepot voulait en faire, car ce truc était assez petit... Du moins, par rapport à une verge. Et, fort heureusement, Félicia était suffisamment vicieuse pour comprendre où il voulait en venir. Pas besoin de grandes explications pour ça. Elle caressa alors sa peau avec le bout de cet objet, son regard ne venant pas se détacher du visage sphérique d’Oswald. L’attente, les préliminaires... Des choses à ne clairement pas négliger, car elles conditionnaient le plaisir ultérieur. La Chatte Noire fit donc glisser ce morceau, laissant une fine traînée de salive derrière son passage. Comme elle était plus grande que l’homme, il avait une vue imprenable sur sa poitrine, partiellement recouverte par les pans de sa combinaison.

« Mmmh... Tu es quelqu’un de très vicieux, Monsieur Cobblepot. »

La femme manipulait sans hésitation les genres, alternant entre la familiarité induite par le tutoiement et l’espace d’écart voulu par les formules de politesse. Son intimité heurtait le bout du vit de l’homme, remuant dessus. Le sexe d’Oswald s’enfonçait un peu en elle, mais était retenu par la combinaison en cuir, comme une sorte d’ultime frustration, d’ultime barrage. Félicia jouait avec l’homme, maîtrisant son sujet, et Candy, de son côté, plutôt que de rester inactive, s’était mise contre l’une des jambes de Félicia, et venait l’embrasser, la mordiller. La Chatte Noire flottait dans cette ambiance de débauche fétichiste, confortant ses propres fantasmes. Elle avait toujours eu une imagination sexuelle assez débridée, et qui était en train de s’exprimer en ce moment.

« Vous voulez que je me la foute dans le cul, hum ? Dites-le... »

Elle tenait toujours dans sa main gantée le gode, et retourna l’apporter à ses lèvres, venant le sucer avec sa langue, l’enfonçant partiellement dans sa bouche. Félicia continuait à jouer... Ce qu’elle savait faire de mieux.

Félicia était en train de montrer avec son attitude qu'elle adorait le jeu de séduction et de plaisir qu'avait orchestré le Pingouin avec ses deux secrétaires. Il savait que son sens de la justice était douteux, oscillant sans cesse entre l'honneur et le crime, entre corriger les vilains et parfois endosser leur peau. Felicia était sans doute le coup de la vie de Oswald, même si ses secrétaires étaient aussi très douée. Mais cette femme aux yeux magnifiques, et au corps parfait, avec une poitrine généreuse et des cuisses ensorcelantes était pour lui un fantasme au même titre que Catwoman. Elle semblait elle même très excitée par son ravisseur qui lui donnait de bien charmante torture. Lorsqu'il lui répondit que son sexe n'était pas à sa hauteur maximale, elle sembla le prendre pour un défi, en mimant une fellation au god qu'il avait sorti de son bureau, en lui demandant s'il était bien sur de ce qu'il avançait. Il fut pris d'une excitation maladive, et il avait envie de profiter de cette femme.

" Oui... Mais si tu t'y prends comme ça mon petit chat... La musique risque de changer..."

Vu la chaleur qui régnait dans la pièce, il put voir des gouttes de sueur perler sur sa peau, la partie visible évidemment. Même s'il se demandait comment elle faisait pour pas enlever sa combinaison. Lui avait déjà commencé à enlever des pans de sa chemise, et il avait demandé à Candy de finir de le déshabiller. Le Pingouin vit sa secrétaire en train de mouler le cul de la belle femme à la chevelure blanche et il décida de lui donner une petite fessée pour la pousser à l'excitation. Elle soupira de plaisir et frotta son sexe contre ses cuisses recouvertes de cuir, ce qui eut pour effet de le mettre a la taille maximale. Quand il la vit sucer son gode, comme s'il s'agissait d'une bite, il posa ses dents sur la fermeture éclair de sa combinaison pour la descendre un peu plus.

" Et tu es surtout une petite salope!"

Certains trouverait ça trop cru, mais pour lui c'était habituel d'avoir un tel langage, malgré son look d'aristocrate, le Pingouin n'était qu'un vilain, une personne de la rue. Et il était habituel pour lui d'avoir un langage grossier envers ses partenaires de sexe féminin. Lorsqu'il sentit son pubis, a travers sa combinaison de cuir, en train de frotter son sexe qui était entre les deux pans de l'ouverture de son pantalon, il se permit à son tour de la chauffer, en glissant sa longue langue vorace entre ses deux globes de chair, tout en lui donnant des petites fessées. Il décida de reprendre les rènes de la partie en glissant deux de ses petits doigts gros dans sa combinaison pour jouer avec son pubis, et y glisser sans aucune douceur les deux doigts, afin de la doigter le plus rapidement possible, alors que ses dents mordillaient son téton droit à travers sa combinaison de cuir:

" Mets toi la dans le cul, et contente toi de gémir comme une petite chatte en détresse..."

Fit il en claquant des doigts, pour que Candy et Tracy passent à la vitesse supérieure, en prenant le god à la tête de chat, et qu'elles décident enfin de lui enlever cette combinaison, pour jouer avec ce joli petit matou.

Sous le traitement joueur et malicieux de Félicia Hardy, le membre de Cobblepot ne tarda pas à gagner encore en dureté, et par défier les lois de la gravité, faisant sourire Félicia. Si la nature avait plutôt été ingrate avec lui, en l’affublant d’un corps horrible et replet, gras et crochu, il fallait bien dire que, au moins, sa verge n’était pas petite. Une belle queue venait de se dresser, tapant contre la combinaison de la femme. Elle jouait avec le feu, la drogue injectée préalablement dans son organisme engendrant chez Félicia des réactions bizarres et inattendues. Elle surprenait le pauvre Pingouin, qui était en train de devenir grossier, et insultant. Contre elle, elle sentait les langues avides et les doigts inquisiteurs de Candy et Tracy, les deux assistantes de l’homme. Elles avaient aidé l’homme à se déshabiller, exhibant ses bourrelets de graisse sous son nez pointu digne d’un sorcier. Il avait remué sa tête contre sa poitrine, léchant le globe de ses seins, s’en imprégnant en soupirant, se pressant contre elle, avant de finalement lui ordonner d’agir, et de se fourrer ce gode dans les fesses :

« Mets-toi la dans le cul, et contente toi de gémir comme une petite chatte en détresse... »

Devant cette demande grossière, Félicia sourit légèrement. Elle avait joué avec ce gode, et le fit tournoyer entre ses doigts, tout en sentant Candy et Tracy se redresser. Tracy posa ses mains sur ses épaules, et tira un peu sur la combinaison, profitant du fait que son patron l’avait bien entrouverte avec ses dents pour la retirer davantage. Félicia soupira, et sentit ses mains gantées partir en arrière.

« Vous retirez à un chat sa fourrure ? Les sphynx ne sont pas très jolis, pourtant... »

Le sphynx était un chat connu pour son absence de fourrure, et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’un chat sans fourrure était beaucoup moins mignon qu’un chat qui en avait ! Néanmoins, Félicia n’était qu’une invitée ici. Candy se releva à son tour, et attrapa les bras de Félicia, aidant cette dernière à retirer ses bras de la combinaison, tandis que Félicia en profitait pour l’embrasser sur les lèvres. Candy en profita aussi pour attraper le gode à tête de chat, et posa l’une de ses mains sur l’un des seins de Félicia, venant pincer le téton. La belle femme noire était terriblement douée de sa langue et de ses lèvres, et, pendant toute la durée de leur baiser, Félicia ronronnait de plaisir, yeux clos, gémissant et couinant à chaque fois que la femme aux ongles manucurées pinçait son sein, la faisant frémir. Cobblepot savait s’entourer, et c’était clairement tout à son honneur. Embrasser cette femme était magnifique, et Félicia était bien loin d’être une chatte redoutable. La drogue continuait à tourner dans ses veines, et coïncidait à merveille avec les pulsions perverses qui animaient ses pensées en ce moment précis.

Tracy ne tarda pas à les rejoindre, et tendit ses mains sur la taille de Félicia, venant pincer chacun de ses seins, Candy déplaçant la sienne pour caresser le corps de cette femme-chat, se contentant juste de le frotter, faisant ainsi soupirer Félicia, qui se tortilla un peu. Sa combinaison glissait le long de son corps, mais recouvrait encore ses jambes et son bassin. Tracy, tout en pinçant ses seins, embrassa et mordilla son cou, léchant sa peau. Les deux femmes continuaient à la chauffer, pour le simple plaisir pervers de leur Boss, puis, au bout d’un moment, Candy attrapa le gode, et le déplaça d’elle-même, venant le fourrer dans les fesses de la Chatte Noire, tout en déplaçant sa tête pour lécher sa peau, près de son oreille.

« Allez, sale traînée... Le patron va t’entendre miauler... »

Elle enfonça ensuite le gode, et Félicia poussa un feulement en griffant le dos de Candy.

« Haaaaaaaaaaaa... Haaaaaaannnn !! »

Les deux femmes léchèrent ensuite son cou, tandis que la main de Candy se déplaça pour caresser la verge du patron. Cobblepot avait fourré auparavant deux doigts dans l’intimité de Félicia. Compte tenu de leur position respective, il ne pouvait toutefois pas faire grand-chose de plus que sentir la mouille de la jeune femme.

Un sourire sur les lèvres, Candy tourna sa tête vers Cobblepot. Avec ses doigts, elle s’amusait à faire remuer ce gros gode dans le cul de Félicia, la faisant hurler et gémir, ses joues se couvrant de rouge... Un spectacle tout simplement magnifique à voir !

« N’est-elle pas fascinante, patron ?! Une vraie petite pute, rien que pour vous !
 -  Haaaaaa... »

Félicia respirait lourdement, s’accommodant à la présence de ce gros truc niché dans son cul. Heureusement que ce n’était pas la première fois qu’on la défonçait par là !

Toute les conquêtes d'Oswald étaient du même avis. Derrière cet aspect repoussant, se cachait un "bon coup" comme disait les jeunes d'aujourd'hui. Et la taille de son sexe n'était pas étrangère à ces performances de prédateur sexuel. Vu le sourire de sa partenaire d'un soir, elle ne s'attendait pas à voir une pareille tige se dresser, certainement à cause de son nanisme. Les réactions bizarres et inattendues de cette super-héroine, qui se trouvait être très sexy, lorsqu'elle était en chaleur, n'était qu'une des faces de sa personnalité que la drogue faisait ressortir. La belle cambrioleuse avait semble t'il oublié ses partenaires féminines, qui décidèrent d'accélérer un peu les choses. Tracy était en train de lui enlever le haut de cette combinaison avec un air sensuel, alors que Felicia semblait un peu désorientée à l'idée de se retrouver nue, sans cuir pour protéger ce corps si généreux qui rendait le fou le vieux Cobblepot. Lorsqu'elle soupira, le Pingouin répondit à cette remarque, en lui léchant le téton d'une manière goulue:

" Oui ma belle chatte, mais c'est pour accéder à tes zones érogènes plus facilement... Je te la ferais remettre quand j'aurais envie de te sauter avec!"

Candy, sa préférée décida à son tour de rejoindre la partie en enchainant des baisers langoureux avec la belle fouineuse, qui ne cessait d'exciter le pingouin. Ses ronronnements de bonheur à l'idée de se faire embrasser par cette si belle panthère, comme il aimait la surnommer. Ses gémissements, lui donnèrent envie de se pencher pour commencer à lécher son abricot et gouter cette belle mouille qui dégoulinait de son pubis. Après avoir descendue un peu plus sa combinaison. Il glissa sa langue pour lécher son bouton de plaisir, et continua de se glisser sous elle, pour lui caresser ses cuisses toujours couverte de cuir. Même si elle n'aimait pas être nue, il reconnaissait que pour un sphynx, qui n'avait pas une apparence très gracieuse, elle était quand même très bien foutue. Avec des cuisses magnifiques, et des seins généreux bien galbés. Candy et Tracy, ses deux assistantes faisaient vraiment bien leur boulot. Elles profitaient de la cambrioleuse pour leur plaisir personnel, mais pensait surtout au plaisir de leur patron, qui surveillait la scène. La cambrioleuse était en train de gémir, tel une nymphomane en train de prendre son pied, en sentant le god écarter ses parois de chair, alors que le Pingouin décida de l'embrasser juste après qu'elle ait gémit, en lui roulant une pelle assez sauvage.

" Beau travail Candy! Très beau travail! Vous êtes un sphynx avec des formes très énigmatiques!"

Et oui, le Pingouin était aussi un grand blagueur! Il demanda à Tracy de faire un trou dans sa combinaison de cuir au niveau de son vagin, afin qu'il passe aux choses sérieuses, pendant que Candy s’apprêtait à mettre en condition le sexe de son boss, en mimant des vas et vients avec sa main sur sa colonne de chair. La belle noire continuait son jeu en enculant l'intrus, rendant la scène très érotique pour Felicia, qui avait le regard hagard, à force de subir des vagues de plaisir la submerger. La respiration de la cambrioleuse semblait contrôlée, ce qui témoignait sa grande expérience au niveau de la coucherie. Le Pingouin s'assit sur le siège, et fit monter la jeune femme sur lui, afin que Felicia s'occupe de sa colonne de chair, en s'empalant elle même sur sa tour de Pise:

" Fascinante, voyons voir comment elle se débrouille... Vas y petit chat, vient jouer avec ce gros bout de laine!"

Prise entre ces trois pervers, la Chatte Noire se montrait relativement docile et câline. Elle savait qu’elle était en compagnie de tueurs, de personnes peu recommandables, mais, quand on était une cambrioleuse hors pair dans une combinaison moulante en cuir, on devait forcément s’attendre à tomber sur de bad boys. Félicia avait déjà travaillé pour Wilson Fisk, et sa conception de la moralité était très souple. Elle n’avait pas vraiment de scrupules à collaborer avec de sales types, si cela servait ses intérêts. De toute manière, tôt ou tard, elle finissait par obtenir ce qu’elle voulait, et, si ça ne venait pas d’elle, d’autres personnes s’assureraient de faire tomber les mauvaises personnes. Elle n’avait donc aucun scrupule à coucher avec Cobblepot, mais peut-être que la drogue dans ses veines l’aidait à se sentir si libre… Et si envieuse de sexe. Elle frottait ses lèvres contre celles de Candy, revenant l’embrasser goulûment, tout en couinant en sentant la main experte de la délicieuse femme noire remuer le gode dans ses fesses. Cobblepot avait un spectacle féérique devant lui, un spectacle devant lequel n’importe quel homme digne de ce nom se damnerait. Félicia se dandinait devant lui, perverse et fière du désir qu’elle suscitait, puis vit Cobblepot se redresser.

Les deux partenaires échangèrent un sulfureux baiser, la Chatte Noire penchant sa tête vers ce pervers petit nain. Candy, elle, ne resta pas en reste, et alla suçoter l’un de ses seins, mordillant son téton, se montrant vorace, assoiffée, avide… Une véritable panthère, ses morsures rejoignant les griffures de Tracy sur ses hanches, et les mordillements dans le cou de Félicia. Les deux femmes s’avéraient être merveilleusement câlines et sulfureuses, ne cherchant nullement un spectacle érotique tendre et doux. Bien au contraire, elles s’avéraient nerveuses, intenses, n’hésitant pas à faire souffrir la délicieuse femme-chat. Sa langue glissa avec celle d’Oswald, et Félicia continuait à gémir, mouillant davantage.

Candy reçut alors l’ordre de découper la combinaison de Félicia, afin d’accéder au vagin. La Chatte Noire fronça les sourcils, et, en voyant la main de la femme se saisir d’un ciseau, elle siffla entre ses dents, et attrapa la femme par le cou. Pendant un bref instant, une lueur de panique se dessina dans les yeux de Candy en voyant l’allure dangereuse dans les yeux de Félicia.

« Si tu approches ces ciseaux de mon intimité, je te promets un sale quart d’heure… »

Candy relâcha les ciseaux, qui tombèrent sur le sol, puis Félicia lui sourit, et lui caressa tendrement la joue, puis se retourna vers le principal intéressée. Cobblepot voulait la pénétrer, mais cette combinaison était un peu trop onéreuse et difficile à fabriquer pour que Félicia laisse ces sauvageons l’abîmer. Elle descendit sa main, et tira sur sa combinaison, dévoilant ainsi l’accès à sa vulve dégoulinante. Candy, de son côté, ne tarda pas à se remettre de sa surprise, et continua à enfoncer le gode dans le cul de Félicia, le reculant et le renfonçant, suivant toujours le même mouvement, accélérant progressivement, l’enfonçant également de plus en plus.

Le Pingouin finit par s’asseoir à nouveau, sa verge dressée, et Félicia comprit ce qu’il voulait. Souriant légèrement, elle se redressa, et posa une main sur le sexe de l’homme, le maintenant en hauteur, puis fléchit lentement les genoux.

« Viens voir Maman, mon beau… Là… »

Dans un soupir, la Chatte Noire se mordilla les lèvres, et enfonça cette verge dans son corps, se glissant profondément en elle. Ce membre la fit soupirer et gémir… Puis un long cri s’échappa de ses lèvres.

« Maaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaawwww… !! »

C’était un cri qui ressemblait curieusement à un miaulement, et qui ne servait qu’à exprimer son bonheur.

Felicia pouvait voir dans son regard avide, et pervers, un désir qui ne s'était jamais autant manifesté. Il n'avait qu'une envie, sauter sur cette femme au corps si généreux, et lui faire l'amour jusqu'à ce que mort s'en suive. Il avait eu vent de certaines rumeurs sur elle, qui avait couchée avec des super-héros, et également des super-vilains, c'est pourquoi il n'avait aucun scrupule à la peloter.

 Même si vu le regard de la jeune femme, elle semblait également prendre beaucoup de plaisir. La combinaison en cuir n'était pas pour rien dans l'excitation de Oswald, mais lui qui était fétichiste des seins, il était heureux de la voir avec la combinaison ouverte, sur ses globes de chair généreux qui se dandinait, et qui était moulé sous le cuir. Il n'hésitait pas à glisser son nez crochu parmi les deux collines, et à lécher ceux-ci avec un air salace qui rendait la scène encore plus difficile à voir. Un être petit, difforme, qui était en train de faire l'amour à une de plus belles femmes de la ville.

Cette femme était un vrai félin à se dandiner de manière si érotique, suite à la pénétration du god d'une de ses secrétaires. Et le Pingouin se damnait de ne pas avoir pris de vidéo. Il envoya un regard à Tracy, de prendre une caméra afin de filmer tout ce joli monde. Felicia ne tarda pas à descendre encore plus sa combinaison, pour lui dévoiler sa vulve trempée. Il se mit à la lécher avec sa langue qui ressemblait à celle d'un reptile, pour laper son petit bouton de plaisir et son sexe, avec un désir dans le regard qui pouvait effrayer la chatte qui était en train peu à peu de devenir une maitresse accomplie.

Lorsqu'elle s'assit sur lui, en glissant d'elle même, le phallus de Oswald, dans sa propre intimité, il put l'entendre en train de prendre un air protecteur, comme si elle était en train de s'occuper d'un bébé, peut être à cause de la taille de Oswald. Il se mit à prendre un poisson qui prenait sur la table, pour frotter la poitrine de celle-ci avec celui ci, avant de mordre une bouchée, et de le faire partager à cette jeune femme, en lui donnant un baiser langoureux. Si elle était vraiment une femme-chat, elle aimerait forcément le poisson, comme lui!

" Tu vas voir ce que papa va te mettre... Un bon gourdin!"

Il se mit à glisser ses mains entre ses hanches et sa combinaison, pour avoir accès à ses fesses, afin de glisser un grand coup de butoir dans ses parties intimes, en se servant de celle-ci magnifiquement musclée, pour la pénétrer encore plus en profondeur. Ses mouvements étaient semblables à ceux d'un animal qui était en chaleur et qui n'avait qu'un objectif en tête, s'occuper de la femelle en chaleur, pour lui faire comprendre qui était le patron. Il se mit même à lui donner des fessées, afin que ces mouvements de vas et vients, soit plus lascif. Une de ses mains palmées, se mirent à toucher son petit bouton de plaisir qu'il frotta du bout du doigt, pour la pousser à gémir des miaulements encore plus érotique. Il ordonna à Candy de continuer de faire ce qu'elle savait faire de mieux, enfiler un god ceinture, et se mettre également à la prendre analement, afin que son plaisir soit au maximum, et qu'elle n'oublie pas que le quartier du Iceberg Lounge était l'endroit où elle aurait pris surement le plus de plaisir:

" Tu aimes comment tes maitres s'occupe de toi grande garce ?"

Il demanda à Candy auparavant de prendre une brique de lait, car il avait une idée assez érotique en tête, qui venait d'une ancienne pub de lait, qui passait à la télé...[/i]