Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Oui Maîtresse ! [Mélinda]

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Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 15 jeudi 27 novembre 2014, 01:18:06

Liana était une neko très tactile, qui appréciait énormément les câlins, et dont la spécialité était les « câlins-koalas ». Elle se ruait sur les gens et leur bondissait dessus, avant d’enrouler tout ce qu’il était possible d’enrouler contre eux : ses bras, et ses jambes, et sa longue queue poilue. Sa tête venait alors s’enfoncer contre le cou de la personne concernée, et elle s’y nichait bien, incapable d’en être délogée. Une posture très particulière, et qui, visiblement, acheva Mika. Surprise, Claudia vit la jeune femme défaillir, glissant sur le sol… Avant de jouir. Sa culotte ne parvint à retenir une montagne de mouille, et plusieurs jets fusèrent sur le sol. Liana se recula prudemment en arrière, Ayumi entrouvrit les lèvres sous l’effet de la surprise, et Claudia, elle, se contenta d’un léger sourire évasif. Elle avait donc vu juste… L’odorat de Mika devait être très perfectionnée, ce qui expliquait pourquoi elle se sentait si instable depuis qu’elle était dans le bureau de Claudia. Elle avait dû sentir les traces de mouille laissées par Liana, et, là, elle surprenait les deux femmes après s’être faites l’amour. Même Claudia pouvait percevoir, sur le corps de Liana, les traces du plaisir qu’elle avait ressenti.

Claudia avait défailli le temps d’un bel orgasme, une flaque de mouille venait s’épaissir entre ses cuisses, et, pendant quelques secondes, plus personne ne parla, la surprise semblant avoir estomaqué toutes les personnes ici présentes. Mika se mit à rougir confusément, et Claudia eut la conviction que, si elle avait voulu être une petite fée, elle se serait transformée rapidement, afin de disparaître.

*Un orgasme si rapide, sans aucun contact physique véritable… Je pense qu’elle doit être vierge.*

Sa rougeur ne faisait que la rendre encore plus désirable, et Ayumi se rapprocha un peu, une main sur les hanches. Finalement, au bout de quelques secondes, Mika se releva, et se mit à courir, n’osant regarder personne. Elle passa juste à côté d’Ayumi, bousculant un peu la jeune femme, et ouvrit la porte se trouvant au fond, qui menait à l’arrière-cour du restaurant, là où les chariots de livraison arrivaient pour amener la marchandise. La porte se referma derrière Mikia, et Claudia regarda les deux autres femmes. Liana était en train de lécher la flaque sur le sol, sa queue remuant de gauche à droite.

« Je ne l’avais jamais vu…
 -  Je l’ai acheté pour Mélinda. »

Oui, elle parlait bien de Mika comme d’une chose, car, dans son esprit, il était désormais évident que Mika serait une esclave supplémentaire… Ses facultés étaient intimement liées au sexe, et elle n’avait de toute façon aucune autre solution.

« Mmmhmm-mmmmhhhhmmm… Ch’est bon !! »

Ayumi sourit, et caressa la queue caudale de Liana, tirant un peu dessus.

« Elle est timide… Et elle a joui plutôt vite. Est-ce que… ?
 -  Je pense que c’est une ESPer… Et qu’elle est vierge. »

Ayumi hocha lentement la tête. Elle savait comment les choses marchaient au harem, elle aussi. Tout n’était qu’un spectacle perpétuel et permanent de débauche et de luxure. On avait coutume de dire que, si Mélinda avait eu la fibre religieuse, elle aurait très probablement pu faire entrer son harem dans un casting pour devenir un lieu de culte de la Déesse Lust. Il y avait du sexe à tous les étages, même dans les sous-sols ! Claudia leur fit signe de continuer à travailler, et sortit.

Elle s’attendait à ce que Mika soit en train de tenter de s’enfuir, ce qui aurait été vain (la ruelle était fermée par une grille verrouillée), ou de pleurer… Mais il semblerait que ce soit l’heure des surprises. Claudia débarqua dans l’arrière-cour, et, vit, sur sa droite, la ruelle menant dehors. Près des poubelles, Mika était là… Et se masturbait contre le sol. Elle s’avança un peu, ses talons claquant sur le sol, mais Mika ne semblait même pas l’entendre. Elle gémissait faiblement, couinant en se masturbant, enfonçant ses doigts dans son intimité ruisselante, formant une flaque épaisse entre ses jambes. Bien malgré elle, Claudia sentit l’excitation pointer, et se durcir. Comme bien des esclaves vivant depuis longtemps auprès de sa Maîtresse, elle avait eu droit, il y a quelques années, à une opération chirurgicale dans une clinique spécialisée de Tekhos, qui l’avait doté d’une verge, faisant d’elle une Futanari.

Sa verge pointa contre son pantalon, poussant dessus. Claudia soupira, et défit un peu ses boutons, faisant sortir sa verge. Elle se rapprocha ensuite de Mika, soupirant lentement.

« Il est contraire à la politique du restaurant de se masturber toute seule, Mika… »

Claudia se tenant devant elle, sa verge se dressait face à son visage.

« Tu perçois les odeurs de manière plus sensible que les autres, n’est-ce pas ? Je suppose que ça explique ton état… Ou alors, tu es plus sensible que le commun des mortels aux fluides sexuels… »

Tout en parlant, Claudia se masturbait devant elle.

« Tu aimes cette odeur, n’est-ce pas ? Que dirais-tu d’y goûter un peu ? Libre à toi de voir… Tu peux venir sucer à la base, ou attendre que je te balance ma crème à la figure… »

L’un dans l’autre, rien ne risquait de la déranger.

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Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 16 mercredi 03 décembre 2014, 15:17:40

Enivrée par l'odeur de la neko et du sperme entre ses cuisses, je suis incapable de résister à l'envie de me masturber. J'ai horriblement honte mais, c'est si … Une part de moi-même est excitée par cette situation. Elles ont vu ma véritable nature au grand jour, elles m'ont vu jouir pour trois fois rien, après avoir seulement reniflé l'entre-jambe d'une autre fille. Maintenant que va-t-il se passer pour moi ? Je vais perdre ce travail, devenir esclave, j'aurais un maître ou une maîtresse qui me traitera comme j'ai toujours rêvé qu'on me traite. Mais mes parents ne s'en sortiront pas eux. Qu'est-ce que je vais pouvoir leur dire ? Bonjour Papa, bonjour Maman, c'est Mika. Aujourd'hui j'ai raté ma dernière chance de pouvoir vous soutenir, en ayant un orgasme au milieu de la cuisine à mon ex-nouveau-travail ! Et malgré la situation, impossible de retirer mes doigts de sous ma culotte détrempée. Je ne peux m'empêcher de les imaginer en train de discuter entre elles, disant de moi que je ne suis qu'une petite salope, se moquant de moi. Ça me rend à la fois triste et heureuse, heureuse d'être traitée comme une chienne et triste d'être mise de côté à cause de mes envies spéciales.

Je n'arrive pas à oublier l'odeur entre les cuisses de la neko, elle est comme imprimée dans mon esprit et refuse de s'estomper. Cette odeur qui m'a faite jouir instantanément, je n'ai jamais rien senti d'aussi fort et excitant de toute ma vie. C'est alors que j'entends la voix de Claudia juste devant moi, je relève la tête, toute rouge, honteuse d'être ainsi prise la main dans le sac. J'étais tellement perdue dans mes pensées et occupée à me faire du bien que je n'ai pas compris ce qu'elle a dit. Puis j'ai vu sa verge, pointant vers le ciel, dure comme l'acier et aussi attirante qu'une énorme sucette de votre parfum préféré. Ne m'y attendant pas, j'ai eu un geste de recul, c'était la première fois que je voyais un pénis de ma vie, je ne savais pas quoi faire avec, ni même ce que je devais penser ou dire. Et cette odeur, son sexe est juste à côté, je le sens si bien d'ici … Non ! Je dois résister ! Rester digne ! Si je me laisse aller elles vont se moquer de moi et … et … Et je ne sais pas, mes pensées sont confuses. Pourquoi ai-je si peur qu'elles se moquent ? L'odeur de son vît m'hypnotise, je me penche vers l'avant, venant en lécher le bout sans réfléchir. En fait, le plaisir que je ressens lorsque j'ai honte me dérange, je ne peux pas assumer le fait de prendre plaisir à être humiliée. Je veux être une bonne fille et une employée modèle mais, mes pulsions ne vont pas dans ce sens là et elles sont incontrôlables.

L'employée en maillot et la neko arrivent, surprises par la vision qui s'offre à elles. La scène ne semble pas les déranger, bien au contraire, puisque l'autre futanari sort elle aussi son pénis en s'approchant. Non pas une autre, c'est trop embarrassant. Je lâche tout et je recule jusqu'à buter contre le mur, haletante, paniquée, je cherche des yeux un moyen de fuir, lorsque je vois des gens qui se sont amassés à la grille pour regarder. Mon visage vire à l'écarlate, je fais non de la tête comme si cela pouvait changer quelque chose à la situation. Comble de la honte, quelques filets de cyprine jaillissent de mon entre-jambes pile à ce moment là. C'est trop pour moi, je vais craquer.

Alors que j'allais me relever et m'enfuir à nouveau, Lianna cours vers moi, passe entre Claudia et Ayumi et attrape mes cheveux pour me plaquer le visage contre sa fente pleine de foutre chaud. Je retiens ma respiration et j'essaye de me débattre. Mais la neko s'est complètement recroquevillée sur moi et est beaucoup plus forte qu'elle n'y paraît. De plus elle a retiré sa culotte. Je n'arrive pas à la faire bouger d'un pouce. Petit à petit je manque d'air, je ne veux pas revivre ça, pas devant toutes ces personnes, si ça arrive je … Je … Je risque d'aimer ça et de ne plus pouvoir m'en passer … Je suffoque, je ne dois pas respirer ça, des larmes coulent le long de mes joues mais, je dois me retenir à tout prix ! Et finalement l'instinct de survie reprend le dessus, j'aspire une grande bouffée d'air alors que mon nez est encastré dans son intimité. Non seulement un peu de sperme se coince dans mes narines mais, en plus l'odeur monte directement au cerveau. Cette fois-ci je ne perds pas connaissance car je commence à m'habituer un peu. Cependant l'excitation que je ressens est toujours aussi forte, une fois de plus je mouille le sol sans même avoir été stimulée physiquement. Les yeux révulsé, la mâchoire pendant dans le vide, je reste collée contre elle, mon corps étant devenu horriblement lourd. Je n'ai plus de forces.

Je me met à lécher l'intimité de la neko tout en continuant à me caresser le clitoris. Je n'aurais qu'à dire que c'est à cause de mon pouvoir, que je ne me contrôlais plus. Ce sera une excuse parfaite. Pour la première fois de ma vie je me laisse aller, je cède à mes envies. J'enfonce ma langue entre les lèvres intimes de Lianna, avec cette fois la volonté de lui donner du plaisir. Cette dernière se met à ronronner avant qu'Ayumi ne dise :

"Dis Claudia. Tu pense vraiment qu'elle fera l'affaire pour Mélinda ? Elle est déjà à bout de force après un simple cuni, elle ne tiendra jamais une nuit entière avec elle. J'ai déjà vu des esclaves nulles mais, jamais à ce point là."

Le fait d'être poussée à me comporter de la sorte et en plus d'être dénigrée aussi ouvertement est particulièrement humiliant. Mais au lieu de m'en indigner je commence à fantasmer. Je l'imagine me prenant par les cheveux pour montrer aux badauds mon visage embarrassé et heureux à la fois. Pour leur montrer à quel point je mouille lorsqu'on m'insulte ou qu'on se moque de moi. Qu'elle m'empêche de fuir, de me cacher, qu'elle me force à affronter mes envies en face. Ça me terrifie autant que ça m'excite.

Finalement Ayumi est la première à éjaculer sur ma joue, son sperme dégouline le long de mon cou, il tombe sur ma poitrine, tâchant mon uniforme et rajoutant encore des odeurs irrésistibles. Il ne manque que Claudia et Lianna.


Mélinda Warren

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Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 17 jeudi 04 décembre 2014, 01:53:53

Un sourire sur les lèvres, Claudia vit le visage de Mika, à mi-chemin entre la peur et l’envie, se rapprocher de son sexe, et en lécher timidement le bout. La femme agissait délicatement, lentement, nerveuse, peinant à agir. Claudia pouvait voir la peur de la femme, elle pouvait sentir son hésitation, sa souffrance, ses doutes… Et un public était en train de se former de l’autre côté de la grille. Il n’y avait que quatre ou cinq personnes, de simples badauds qui avaient vu ce curieux spectacle. Un sourire sur le coin des lèvres, Claudia laissa Mika lécher le bout de sa verge, jusqu’à ce qu’elle se calme quand Ayumi et Liana arrivèrent en renforts. Ayumi fit également pointer sa verge, qui déforma un peu son maillot de bain, et sourit à l’intention des hommes. Ce genre de spectacle public était potentiellement illégal, mais, à Ashnard, on savait où il fallait fermer les yeux. Tant que personne ne se pavanait dans les boulevards en étant nue, les gardes fermaient les yeux… Pour Ayumi, c’était une manière de se faire la pub’, et, pour la belle perverse, avoir un public était un vrai régal. Qui sait ? Peut-être même qu’elles inviteraient quelqu’un à venir baiser cette esclave… Même si c’était peu probable, dans la mesure où sa virginité la protégeait, leur Maîtresse voulant être la seule à déflorer les nouvelles recrues.

Mika était paniquée, terrorisée, encerclée par toutes ces belles personnes. Ayumi se masturbait également sous son nez, et Mika finit par paniquer, puis tenta de fuir… Peine perdue.

« Keûûûûpine !! Nyuuuuu !! »

En miaulant, Liana bondit sur Mika, et l’étala sur le sol, venant s’écrabouiller autour de son visage, sa vulve se plaquant contre sa bouche. Claudia esquissa un léger sourire en se déplaçant un peu. Sa théorie était que Mika était particulièrement sensible aux fluides sexuels, et elle allait en avoir confirmation sous peu. Il y avait des sifflements admiratifs de l’autre côté, des érections déformant des pantalons, des regards libidineux. Ce n’était pas la première fois qu’une séance de sexe avait lieu dans l’arrière-cour. Les levrettes étaient monnaie courante, et, à force, les badauds savaient qu’ils avaient une chance sur deux, environ, de pouvoir se régaler.

« Hihi, tu me chatouilles ! Lèche, ma belle, lèche la foufoune de Liana ! »

Elle remuait lentement, d’avant en arrière, un sourire épanoui sur le visage, mouillant sur la tête de Mika, tandis que cette dernière se doigtait sur le sol. À côté d’elle, Ayumi se masturbait, et eut une érection, éclaboussant la joue de Mika, tandis que cette dernière continuait à se faire plaisir.

« Dis Claudia, avait sorti Ayumi en se masturbant, tu penses vraiment qu'elle fera l'affaire pour Mélinda ? Elle est déjà à bout de force après un simple cunni’, elle ne tiendra jamais une nuit entière avec elle. J'ai déjà vu des esclaves nulles mais, jamais à ce point-là... »

Ayumi était une femme endurante, qui servait au harem depuis des années. Claudia, elle, se contenta d’un léger sourire.

« Oh, je crois sincèrement qu’elle sera parfaite… »

Leur Maîtresse aimait bien les femmes fragiles, et, si Mika était vierge, il ne fallait pas s’attendre à ce qu’elle fasse preuve d’une endurance surnaturelle. Mélinda la prendrait comme elle était, et la corromprait lentement, délicieusement. Oui, ça conviendrait tout à fait à la vampire. Tout irait pour le mieux ! Liana finit par jouir, et poussa de longs miaulements en se vidant sur la tête de la femme. Liana mouillait toujours avec générosité, puis bondit ensuite, se mettant à quatre pattes au-dessus de Mika, et entreprit de lui lécher le visage, sa queue caudale remuant de gauche à droite. Elle s’attaquait à son visage, le léchant d’un bout à l’autre.

« Hum-huumm… C’est comme une bonne glace, hihi… Mais une glace bien chaude, miaaawww… Slurp-slurp !! »

Claudia secoua la tête en soupirant. Si Mika n’avait pas été vierge, elle l’aurait prise contre le mur, lui aurait déboîté le bassin, et l’aurait fait hurler comme une catin. Au lieu de ça, elle devait conserver ses orifices intacts… Sa Maîtresse lui reprocherait énormément un manquement à cette sacro-sainte règle, et, à défaut, Claudia s’avança, et posa ses mains sur la croupe de Liana, qui releva la tête, surprise.

« Myyyuuwww… ?! MIAAAAAAAAAAAAAAAA !! »

Liana hurla en enfonçant un peu ses ongles dans les épaules de Mika quand la verge de Claudia la prit par l’arrière, s’enfonçant dans son vagin trempé. Claudia se mit alors à la pénétrer, en levrette, soupirant de plaisir, serrant ses mains contre les fesses de la perverse petite neko. Elle remuait d’avant en arrière, longuement, s’enfonçant profondément en elle. Liana hurlait et haletait, la langue pendante, un peu de sa salive tombant sur le visage de la Mika, et elle se penchait ensuite pour l’embrasser fougueusement, avant de recommencer à miauler, à miauler et à haleter.
« Modifié: samedi 06 décembre 2014, 20:05:50 par Mélinda Warren »

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Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 18 dimanche 07 décembre 2014, 11:40:16

"Oh, je crois sincèrement qu’elle sera parfaite…"

Parfaite pour quoi au juste ? Pour servir de mouchoir aux futas du coin lorsqu'elles ont de petites envies ? Je dois prendre ça comme un compliment ou comme une insulte ? Et puis elles se prennent pour qui à parler de moi comme d'une sorte d'animal de compagnie qu'on se refile au besoin ? Elles sont là, toutes les deux, à discuter tranquillement tout en se masturbant au-dessus de moi. Quoi que, paradoxalement, Liana me met beaucoup plus mal à l'aise que les deux autres réunies. Elle n'arrête pas de se frotter à moi, de me remplir les narines avec ses odeurs et celles d'Ayumi qui a jouit en elle. Sous ses airs innocents c'est une authentique perverse qui ne demande qu'à entraîner les autres à sa suite pour assouvir ses envies. Et là, malheureusement pour moi, c'est de moi qu'elle a envie et elle refuse de me laisser respirer cinq minutes.

De plus en plus je m'habitue à l'odeur, elle m'excite toujours autant mais, je ne tombe plus dans les pommes. Mon esprit et mon nez s'habituent à ces nouvelles odeurs si fortes, ce qui était à deux doigts de me faire vomir il y a encore une demi-heure devient ainsi de plus en plus agréable. Aussi lorsque Liana éjacula abondamment sur mon visage, mes yeux se révulsèrent, ma bouche grande ouverte poussa de longs gémissements et mes yeux s'humidifièrent. C'est à la limite du soutenable mais, j'arrive à encaisser ça maintenant. Liana se recule, aspergeant le haut de mon uniforme de sa mouille au passage, il est foutu, je ne pourrais jamais l'utiliser pour ce soir … Oh, pourquoi je pense à ça moi ? Elle vient lécher mon visage comme une vulgaire glace, c'est vraiment la pire des trois, pensais-je encore sans me douter que je me trompais lourdement. La neko profite de ma gorge offerte et de ma bouche grande ouverte pour lécher mon cou et remonter pour m'embrasser langoureusement. En bas ma main s'agite, frottant énergiquement mon clitoris, mon corps en redemande, jouissance après jouissance il apprécie de plus en plus. Ça ne peut pas être pire, je ne peux pas avoir plus honte qu'en ce moment. C'est comme ça que je me rassure, ça ne peut pas être pire.

Une main attrape mon poignet et me force à arrêter de me masturber. Comme Liana et Claudia sont occupées, je suppose qu'il s'agit d'Ayumi même si je ne peux pas la voir pour l'instant. Elle me force à remonter mes bras au-dessus de ma tête, elle est nue, elle vient probablement de retirer son maillot. La futanari me lie les poignets avec son maillot et va l'enrouler autour d'une gouttière qui se trouve juste au-dessus de moi, me voilà attachée. Je me demande ce qu'elle veut, elle semble énervée par quelque chose et me regarde avec dureté. Je n'aime pas ça. Finalement elle pince l'un de mes tétons à travers mon uniforme détrempé, de toutes ses forces. Je crie, me demandant pourquoi elle me fait mal comme ça, ressentant aussi un plaisir masochiste à être ainsi restreinte et malmenée. Un petit jet de cyprine jailli d'entre mes cuisses au même moment, elle plaque sa main libre sur mon sexe et récupère le liquide avant de mettre sa main au-dessus de mon visage. Une question m'est alors posée, sur un ton agressif :

"Qu'est-ce que c'est ça ?"

J'hésite un peu avant de répondre, des gouttes du fluide s'écrasent sur mon visage. Elle veut probablement me faire admettre que tout cela m'excite, je dois nier. Je réponds timidement :

"Ce ... C-C'est de … De la sueur !"
"De la sueur hein ? Bah voyons …"


Sa main s'est écrasée sur mon visage, maculant mon visage de ma propre mouille, comme si celle de Liana ne suffisait pas. Dans le même temps elle s'amusa à pincer mon téton en le faisant tourner, m'arrachant de petits cris à la limite entre la douleur et la jouissance.

"Je déteste me répéter petite pute. Qu'est-ce que c'est ça ? Ça sent quoi ?"
"C'est … C'est de la mouille …"
"Bien on avance ! De qui elle vient à ton avis ?"
"D-De … De … Moi …"
"Biiiiiien ! Très bien ! Et qu'est-ce que de la mouille fout entre tes cuisses ? Comment elle est arrivée là ? Pourquoi tu en fous partout depuis le début ?"
"C-C'est mon odorat, il est très sensible et …"
"Ça je m'en doute déjà espèce de débile ! Mais ce n'est qu'une odeur … Pourquoi elle te met dans cet état ? C'est quoi la vraie raison ? Le truc que tu ne nous dis pas. Oh, je sais ! On va faire plus simple ! Puisque tu ne sais pas parler correctement, tu vas m'avouer ton fantasme le plus gênant à l'oreille pour que je comprenne. J'attends !"


Elle s'est penchée au-dessus de moi, attendant une réponse de ma part. Je lui ai murmuré un fantasme bidon, hors de question que j'avoue mes véritables envies ici. Elle s'est redressée, a poussé un peu Liana en arrière avant de me coller une grosse gifle, sans dire un mot elle s'est de nouveau penchée au-dessus de moi, tendant l'oreille. La joue rougie et les larmes aux yeux j'ai décidé de lui dire la vérité, lui murmurant mes envie réelles d'une voix branlante. Elle s'est redressée avec un grand sourire :

"Je vois, ceci explique cela. Maintenant tu vas répéter ce que tu m'as dit à l'oreille, mot pour mot, en le criant suffisamment fort pour que tout le monde entende bien !"

Non ! Non non non !!! Hors de question ! Je ne peux pas dire ça ! Paniquée je fais énergiquement non de la tête, mes joues sont tellement rouges qu'on ne distingue même plus la marque de la baffe qu'elle m'a mise un peu plus tôt. La réponse ne se fait pas attendre, elle torture à nouveau mon téton qui est devenu bleu à force. Finalement, je craque :

"Je … J'ai toujours … Voulu …"
"PLUS FORT !"
"J'AI TOUJOURS VOULU ÊTRE TRAITÉE COMME UNE CHIENNE ! VIVRE DANS UNE NICHE AVEC MA GAMELLE DE CROQUETTES ! QUE … QUE … QU'ON ME SORTE EN LAISSE POUR FAIRE MES BESOINS ET … ET QU'ON OFRRE MON CUL AUX CHIENS D'UN PARC DEVANT TOUT LE MONDE !!!"


J'ai fondu en larmes, incapable de m'arrêter de pleurer. Mon Dieu je l'ai vraiment fait, je l'ai vraiment dit … Je voudrais juste disparaître, qu'on arrête de me regarder. Je n'ose plus regarder personne, esquivant les regards. Tout le quartier a pu entendre mon aveux, très vite de nouvelles personnes se pressent derrière la grille pour me voir. J'ai senti la main d'Ayumi sur ma joue, essuyant mes larmes avec son pouce, avant de me dire d'une voix douce :

"Voilà, c'est fini ma belle. Ce n'était pas si compliqué que ça. Pourquoi tu pleures ?"
"P-Parce que ça fait des années que je garde ça pour moi … J'ai honte mais, je me sens soulagée …"
"Je vois. Tu avais raison Claudia, Mélinda va l'adorer. Je suis rassurée."



Mélinda Warren

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Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 19 lundi 08 décembre 2014, 01:58:35

Acculée contre le mur, la pauvre jeune femme était la proie des assauts fougueux de Liana. Difficile de croire, en la voyant, que Liana avait plus de 80 ans... Mélinda était très attachée à cette neko, et lui faisait régulièrement boire une potion qui lui permettait de conserver sa jeunesse et sa vitalité. Même malgré son âge élevé, le sexe était ancré dans la mémoire génétique de la neko, ce qui expliquait son comportement curieux. Elle se ruait sur le visage de Mika, alternant entre lèchements et baisers intenses, où sa langue pleine de mouille fondait dans la bouche de la servante. Mika faisait l’objet d’un véritable assaut, mais Claudia n’était pas dupe : elle passait son temps à se doigter, à se tripoter la vulve. Elle était donc loin de souffrir, loin de désapprouver ce moment. C’est ce qui amena Ayumi, plus directe que Claudia, à agir. La femme s’était volontiers déshabillée, amenant le public à observer son corps ample et solide. Ayumi était une sportive, ce qu’on pouvait très rapidement voir. Son corps était musclé, et cet entraînement physique la rendait très endurante au lit. Elle attrapa les mains de Mika, qui n’était guère en mesure d’opposer une quelconque résistante, et les lia à une gouttière qui passait le long du mur, bloquant Mika contre ce dernier. Son uniforme était maculé de traces de mouille et de sueur, et la pauvre petite avait les joues cramoisies. Restant en retrait, Claudia laissa Ayumi se charger d’amener Mika à réaliser l’inévitable : tout ça l’excitait, et elle ne pouvait décemment pas prétendre ne pas aimer ce moment.

La méthode d’Ayumi était assez autoritaire, mais non moins exquise. Il ne fallait pas s’attendre à autre chose, de sa part. Ayumi avait un côté garçon manqué assez prononcé, ce qui faisait qu’elle avait longuement attendu le moment où Mélinda l’avait amené à une clinique privée de Tekhos, afin de la doter de son appendice masculin. Ayumi s’était toujours vue avec un chibre, et elle adorait l’utiliser en toutes circonstances, que ce soit avec ses amants féminins comme masculins. Elle venait de gifler Mika, et malmenait son téton. Claudia, en retrait, conservait un léger sourire amusé. Le public était en train de s’amonceler, ce qui n’était jamais bon signe. Des gardes impériaux pouvaient approcher devant un attroupement, et s’énervaient en voyant ce qui se passait. Ayumi continuait à provoquer la pauvre Mika, qui ne chercha guère plus longtemps à nier ses désirs profonds.

Elle se mit ainsi à hurler son fantasme profond, formant comme un ultime aveu qui, définitivement, achèverait de la lier au harem Warren, et aux ordres de sa désormais future et certaine Maîtresse :

« J'AI TOUJOURS VOULU ÊTRE TRAITÉE COMME UNE CHIENNE ! VIVRE DANS UNE NICHE AVEC MA GAMELLE DE CROQUETTES ! QUE … QUE … QU'ON ME SORTE EN LAISSE POUR FAIRE MES BESOINS ET … ET QU'ON OFRRE MON CUL AUX CHIENS D'UN PARC DEVANT TOUT LE MONDE !!! »

Être traitée comme une chienne... Le portrait était extrêmement excitant, et arqua sur les lèvres de Claudia un léger sourire. Il y avait de quoi creuser, mais la jeune femme savait aussi qu’il ne faudrait pas tirer trop vite sur la corde, ni faire passer la charrue avant les bœufs. Claudia s’avança un peu, faisant claquer ses talons, tandis qu’Ayumi, de son côté, avoua que, finalement, Mika serait une bonne esclave.

« Tu devrais te fier plus souvent à mon intuition, Ayumi... Dès que j’ai vu cette petite, timide, nerveuse, et soucieuse de vouloir trouver quelqu’un pour l’héberger, j’ai su que notre Maîtresse l’adorerait... »

Elle se pencha vers Mika, et caressa tendrement l’une de ses joues, ses doigts venant tripoter ses humides lèvres. La jeune femme avait avoué son fantasme, et semblait partagée entre la honte et une certaine forme de soulagement à l’idée de s’être confiée. Elle l’avait hurlé fort, bien fort, comme une espèce de tumeur qu’il faudrait expulser en rugissant.

« Liana... Va me chercher une gamelle... »

Liana releva la tête, puis acquiesça, et fila rapidement. De son côté, Claudia continuait à caresser le visage de Mika. Elle était toujours attachée à la gouttière, incapable de pouvoir se retirer. Les odeurs l’enivraient, et l’avaient aidé à avouer son fantasme, à se libérer, et à exorciser ce qu’elle voulait. Une petite masochiste qui voulait se faire traiter comme la reine des putes. En soi, il n’était pas illogique qu’elle soit si chaste. De telles pensées semblaient si déviantes que les avouer lui faisait craindre de passer pour une catin. Ce faisant, elle les avait enterrés, en pensant, naïvement, qu’il suffisait de les enterrer pour que ses fantasmes ne ressortent pas. Malheureusement, l’esprit était un individu retors et joueur, qui avait su les faire ressortir.

« Ne t’inquiète pas, Mika, nous allons bien prendre soin de toi, et nous fournirons de l’argent à tes parents... Maîtresse Mélinda adorera avoir une petite chienne comme toi... C’est elle qui se chargera de ta virginité. Pour l’instant, je crois que je vais juste être gentille avec toi, et te donner l’occasion de te désaltérer un peu... »

Juste après ça, Liana revint avec une gamelle blanche, et vide. Claudia lui ordonna de la tenir, ce que la neko fit, et elle retourna se masturber, énergiquement, poussant des soupirs. Elle se masturbait sous les yeux de Mika, qui pouvait voir sa grosse queue remuer et glisser entre ses doigts. Claudia continua à s’astiquer, et, au bout de quelques poignées de secondes, finit par jouir, balançant des chapelets de foutre dans la gamelle, formant des tâches blanches qui allaient en grossissant.

Soupirant de plaisir, elle se retourna vers Ayumi, et lui proposa de jouir à son tour dans l’écuelle :

« Ensuite, Mika, tu boiras notre bon petit lait... Intégralement. Qu’il n’en reste plus une seule petite goutte... »

Liana observait ce « lait » avec une lueur perverse et envieuse dans les yeux.

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Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 20 lundi 08 décembre 2014, 22:13:23

"Tu devrais te fier plus souvent à mon intuition, Ayumi... Dès que j’ai vu cette petite, timide, nerveuse, et soucieuse de vouloir trouver quelqu’un pour l’héberger, j’ai su que notre Maîtresse l’adorerait..."
"Si je m'étais fiée à ton intuition tu aurais moins de choses à mettre dans ton précieux rapport. Grâce à moi il sera bien complet et Mélinda te félicitera sûrement pour tes bons services. Du coup si tu pouvais me mettre plus souvent dans la même équipe que Liana s'il te plaît. On travaille bien ensemble si tu vois ce que je veux dire."


Garçon manqué peut-être mais, pas idiote pour autant. Certes elle l'avait surtout fait parce que je l'énervait à tout nier comme une petite sainte nitouche. Mais, si elle peut grappiller quelques avantages à droite ou à gauche elle ne va pas louper l'occasion pour autant. Elle et Liana c'est le grand amour, elle adore cette petite neko et elle pourra lui montrer davantage son érection affection si elles travaillent plus souvent ensembles. Rendre service à Claudia étant une excellente manière d'avoir les horaires qu'elle convoite. Ce qu'elle avait réussi à me faire gueuler, c'était une info précieuse. Elle va radicalement changer la façon dont Mélinda va me voir. Oh elle l'aurait découvert tôt ou tard, là n'est pas la question mais, cela allait lui donner, dès le départ, toutes les cartes dont elle avait besoin pour me manipuler.

Alors que je suis toujours attachée à cette gouttière par le maillot d'Ayumi, Claudia s'approche, elle pose sa main sur ma joue et commence à caresser mon visage. Après la violence de l'échange précédent, la douceur de cette femme en rouge me touche plus que d'ordinaire. Je viens de tout perdre, ma dignité, toute chance d'avoir une avenir d'humaine normale, toute chance de pouvoir échapper à mes pulsions. Tout l'univers de mensonges que j'avais crée pour me protéger a volé en éclats, pulvérisé en quelques secondes par cette futanari brutale et impitoyable. J'ai toujours eu le sentiment que si je cédais un jour, ne serait-ce qu'un petit peu, à mes envies, je ne pourrais plus jamais m'arrêter. Et c'est exactement ce qui est en train de se passer :

"Liana... Va me chercher une gamelle..."

Non … Je ne suis pas un animal ! Je ne suis pas une chienne ! Et tous ces gens qui regardent … C'est tellement sale et indigne, je vaux mieux que ça ! Je pourrais être une bonne employée, dont on est contents, monter les échelons petit à petit et … et … Les gens n'aiment pas les faibles, si je suis faible ma maîtresse finira par m'abandonner, je serais seule et démunie. Même si cela n'arrive pas, lorsque je serais vieille et laide je n’intéresserais plus personne, je ne servirais plus à rien et on me jettera. Ce destin qui m'est promit me terrifie autant que mes envies m'excitent. Si je cède davantage à mes envies je suis finie, je serais heureuse dans un premier temps et ensuite on me laissera tomber sans état d'âme. Je vois Liana qui revient avec la gamelle, Claudia qui se masturbe au-dessus avant de jouir dedans et Ayumi qui à sa suite se masturbe également avant de jouir par dessus. Je dois fuir, j'arriverais à trouver une solution, je ne sais absolument pas quoi mais, je trouverais bien. Si je deviens esclave c'est la fin, je connaîtrais forcément une fin tragique. Parce que les maîtres et maîtresses ne pensent jamais à leurs esclaves, ils ne pensent qu'à leur plaisir. Pour moi il est inconcevable que des êtres aussi puissants puissent avoir la moindre empathie envers ceux qui leur sont inférieurs. Ils n'auront jamais la moindre empathie pour moi, cette Mélinda n'aimera jamais une faible comme moi, pas plus d'un certain temps en tout cas.

Elles posent la gamelle pleine de foutre chaud à terre, je dois résister à l'envie et fuir aussi vite et aussi loin que possible. Si je reste je suis condamnée, finie. La brutale futanari défait des liens et m'aide à me mettre à quatre pattes, mes jambes tremblent, elles me portent à peine. Je ne pourrais jamais m'enfuir comme ça. Je me déplace péniblement jusqu'à cette nouvelle épreuve qui m’enchaînera un peu plus à mon rôle de chienne. Je regarde un moment le contenu de la gamelle. Non ! Si je fais ça ce sera un pas de plus vers le gouffre, un pas de plus vers mon destin peu enviable. Paniquée, je rebrousse chemin avec l'énergie du désespoir, je tente de me mettre debout et j'y arrive mais, je me traîne, il faut que j'atteigne la porte. Ayumi se met à courir et se jette sur moi pour m'immobiliser. Je me débats et ça ne change rien, elle est beaucoup plus forte et entraînée que moi, je n'ai aucune chance contre elle. Ses mains m'agrippent et me retournent sur le dos pour que je lui fasse face.

"Qu'est-ce que tu fous Mika ? Jusqu'à quand tu vas jouer les petites saintes effarouchées ? Tu es une salope ! Une putain de salope de compétition ! Ainsi qu'une masochiste et une fétichiste ! Tu n'es qu'une sale petite perverse, une petite pute ! C'est ta nature, tu n'y peux rien ! Tu vas la fuir encore combien de temps ? On t'offre une chance de réaliser tes fantasmes, dans un endroit où ils seront plutôt banals par rapport à ce qu'on peut voir d'habitude. Tu comprends ça ? On est habituées à voir des cas beaucoup plus tordus que le tiens espèce d'abrutie ! C'est quoi le problème cette fois ? Pourquoi tu paniques comme ça ?"
"J-Je …"
"Quoi je ? Parle clairement ! C'est quoi ton problème ?"
"J'ai vu toutes ces esclaves dans la rue ! Dès qu'elles sont trop vieilles leurs maîtres les jettent et elles se retrouvent toutes seules à crever à petit feu dans les ruelles ! Si je vais plus loin je sais que je subirais le même sort !"
"Liana a plus de 80ans !"


Je suis restée là, la bouche entre-ouverte et les yeux écarquillés. J'ai regardé Ayumi dans les yeux, elle m'a fait un oui de la tête, puis mon regard s'est porté sur Liana qui a acquiescé à son tour. J'allais demander comment ça pouvait être possible lorsque celle qui me maintient au sol a rajouté :

"Mélinda possède plein de potions intéressantes pour faire rajeunir et booster les performances de ses amantes. Je crois que plus rien de s'oppose à ta vie de chienne Mika. Tes parents vivront bien et tu auras la possibilité de vivre pleinement tes fantasmes avec notre maîtresse à toutes les trois. Tu peux céder à tes envies sans craintes et vivre pleinement ta vie de chienne si c'est la vie que tu souhaites."

Je suis restée scotchée sur place, pour la première fois de ma vie rien ne se met entre moi et mes fantasmes. Pour la première fois de ma vie mes pulsions peuvent être satisfaites sans avoir à me préoccuper de quoi que ce soit. Je suis toujours partie du principe qu'une telle situation ne pouvait pas exister, que je vivrais toujours avec ce secret sur les épaules. Et là tout à coup tout devient possible, même mes fantasmes les plus inavouables. Elle me laisse me relever et je me dirige vers la gamelle, à quatre pattes. Je me sens légère, l'engueulade d'Ayumi m'a secouée mais, elle m'a aussi fait du bien, beaucoup de bien. Je me mets à lécher ce sperme avec plaisir, la honte que je ressent à le faire devant toutes ces personnes m'excite aussi. Les fortes odeurs me font pleurer et agressent mon nez mais, ce n'est pas grave, plus maintenant. Ma langue s'applique a tout lécher, consciencieusement. Et lorsque ma gamelle est vide je me dirige à quatre pattes vers Claudia avant de me mettre à genoux à côté d'elle, mes mains entre mes cuisses, assise comme une chienne. Puis je lèche sa main, parce que j'avais envie de le faire.

Désormais plus rien ne sera comme avant.


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Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 21 jeudi 11 décembre 2014, 02:26:45

Brave Mika… Elle rechignait encore, dans un ultime sursaut. Claudia aurait pu la tirer elle-même vers la gamelle, mais elle préféra laisser Ayumi s’en occuper. Ayumi aimait bien ce genre de choses. Surtout, elle aimait bien les femmes douces et timides comme Mika, des femmes qui, tout en étant réservées, dissimulaient des trésors insoupçonnés de perversion. Ayumi aimait bien les amener face à leurs propres paradoxes, et ses techniques directes fonctionnaient plus souvent que Claudia ne voudrait l’admettre. Tandis qu’elle s’approchait d’elle, Claudia entreprit de répondre à sa question :

« Tu formes effectivement un fort joli couple avec Liana… Il serait dommage de t’en séparer. »

Entre-temps, Ayumi plaqua Mika sur le dos, et entreprit de lui faire cracher le morceau. Mika lui avoua alors qu’elle avait peur d’entrer dans un cercle vicieux où elle serait exploitée, utilisée comme un outil, puis balancée à la casse dès que l’outil n’aurait plus aucun intérêt. Ayumi lui révéla alors que leur Maîtresse prenait soin de ses outils, et que Liana était une neko très âgée. L’espérance de vie des nekos était différente de celle des êtres humains. Il y avait de multiples variations, mais, globalement, elle se rapprochait de celle des chats, et était donc, dans de nombreux cas, plus courte. Avoir 80 ans pour Liana était donc exceptionnel, surtout qu’elle n’avait pas pris une ride. Mélinda avait des contacts au sein de l’Académie Impériale d’Ashnard. Une Archimage, Samara, était même l’une de ses gardiennes, et elle entretenait des relations intimes avec d’autres influentes magiciennes, comme Slotwenna.

Quand Mika l’apprit, il y eut comme un déclic dans sa tête. Elle comprit alors qu’elle touchait du doigt ce qu’on pouvait appeler le Paradis. Non seulement elle allait pouvoir assouvir ses envies, mais elle était aussi assurée de garder une position stable, et de pouvoir, en même temps, faire honneur à sa famille. Bien sûr, en définitive, tout dépendrait de Mélinda, mais Claudia connaissait un peu la vampire, et la voyait mal refuser une telle poupée. Mika était une perverse et une grande soumise, qui ne demandait qu’à se faire salement traiter. Une magnifique salope, qui serait le vide-couilles du harem. Elle se mit à lapper l’écuelle sans aucune honte, ou, plutôt, avec un plaisir intense, un plaisir qui surpassait la légitime honte qu’elle pouvait ressentir à l’idée de s’abaisser à un acte aussi humiliant. Elle obéissait aux ordres de Claudia, et avala cette mixture blanchâtre et poisseuse, l’avalant goulûment. Mika obéissait silencieusement, respirant lentement, et ne releva jamais la tête, toute concentrée sur sa gamelle. C’était très beau à voir, et Claudia sentait des idées venir, son sexe retrouvant son érection naturelle.

Au bout de quelques minutes, Mika avait bien vidé son écuelle, et se rapprocha de sa Maîtresse, prenant alors une position de chienne… Avant de lui lécher affectueusement la main. Claudia ne dit rien pendant quelques secondes, avant d’afficher un tendre sourire sur ses lèvres. Par la suite, sa main vint caresser la belle chevelure de Mika, et elle se pencha vers elle, venant lécher son nez, où un peu de sperme avait atterri.

« Voilà… Tu es bien propre maintenant… Mika-la-Chienne, je pense que ce sera ton surnom officiel à partir de maintenant. Une belle petite chienne… »

Elles pourraient en rester là, mais Claudia avait d’autres idées, et se tourna vers Liana.

« Va me chercher une laisse, un collier… Et une ceinture de chasteté. Il ne faudrait pas qu’on t’encule par inadvertance, cet honneur revient à notre Maîtresse. »

Puisqu’il y avait un public, Claudia comptait bien en profiter. Elle attendit quelques instants, et, le temps que Liana revienne, elle finit par déshabiller intégralement Mika, avec l’aide d’Ayumi.

« Voici la première règle, Mika… Pour l’heure, tu vas te contenter d’aboyer. Si je t’entends parler, je te fouetterai plus tard. Tu es une chienne, agis donc comme tel. »

Les deux femmes la déshabillèrent totalement, puis Liana revint ensuite. Dehors, le public était de plus en plus excité, et certains se masturbaient déjà, leurs vits plantés entre les barreaux de la grille.

« Allez, ma petite chienne, on va te préparer pour la suite du programme… »

Liana avait apporté un collier rose pour chien, que Claudia mit autour du cou de Mika, le serrant bien, puis y accrocha la laisse. Pendant ce temps, Ayumi se chargea de lui enfiler la ceinture de chasteté, avec un cadenas. Claudia récupéra la clef.

« Voilà… Tu porteras cette ceinture jusqu’à ce soir, quand ta Maîtresse te verra, et que tu redeviendras Mika-la-Maid. En attendant… Fais la belle, petite salope. »

Claudia se redressa, puis se retourna vers les hommes, affichant un sourire à leurs attentions.

« Messieurs, l’établissement Warren vous remercie pour votre attention, et aimerait vous offrir un petit cadeau… La bouche et le corps de notre nouvelle chienne. Considérez cela comme un cadeau promotionnel de notre établissement. Vous avez le droit de jouir sur elle ou dans sa bouche. »

Elle ouvrit la porte, et laissa une dizaine d’hommes s’approcher. Certains étaient plutôt beaux, d’autres avaient un ventre proéminent, et tous s’entourèrent autour de Mika. La laisse qui la retenait fut attachée à la gouttière, et les autres formèrent un demi-cercle autour d’elle, se déshabillant en se masturbant. Claudia, elle, resta les bras croisés. Avec une petite foule, le risque était que l’effet de groupe les amène à s’énerver, et à ne pas respecter ses consignes… Mais elle savait comment maîtriser des hommes surexcités. Pour l’heure, le seul objectif était de faire plaisir à Mika, et de la faire définitivement basculer dans les voies du vice et de la luxure…

Rien de mieux qu’un petit gang-bang pour ça !
« Modifié: dimanche 21 décembre 2014, 01:27:01 par Mélinda Warren »

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Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 22 mercredi 17 décembre 2014, 00:57:35

Je suis perdue, sans repères, j'ai toujours considéré mes fantasmes comme irréalisables, raison pour laquelle je me suis permise d'imaginer beaucoup de choses extrêmes. Pour moi il n'y avait jusque là aucune chance que je puisse faire de ces fantasmes une réalité. Honnêtement j'étais bien contente d'avoir toujours une bonne excuse pour ne pas y céder. Mais depuis quelques minutes je n'ai plus aucune excuse et ces fantasmes je m'y suis attachée, je m'y suis enchaînée au fil du temps. Comme un vieux réflexe, mon esprit cherche désespérément une bonne excuse pour ne pas devenir cette chienne docile et indigne qui m'excite tant. Mais pour la première fois il n'en trouve aucune, enfin libre de céder à ces honteuses pulsions.

Après que je l'ai léchée, la main de Claudia est venue caresser mes cheveux, elle est plus tendre qu'Ayumi, plus calme aussi. Encore secouée par les méthodes de la femme aux cheveux roses, je me laisse faire sans vraiment réagir. Je ne peux m'empêcher de penser à toutes les possibilités, à tout le chemin que je pourrais faire avec cette Mélinda que je n'ai même pas encore rencontrée. Je m'imagine déjà avec ma niche, une gamelle à mon nom, un collier, une laisse, un serre-tête avec des oreilles de chienne, un plug anal avec une queue de chienne. Je voulais aussi faire une collection de sous-vêtements avec des odeurs agréables que je garderais comme des trésors. Me faire sauter par de jeunes chiens fougueux, devenir leur sac à foutre. J'imaginais aussi faire des concours de dressage ou de toilettage avec ma maîtresse, qu'elle m’entraîne à marcher correctement à quatre pattes. N'avoir à me soucier que d'elle jusqu'à la fin de mes jours, ne vivre que pour elle et par elle jusqu'à mon dernier souffle. J'imaginais ce que notre relation pourrait devenir, je me voyais déjà à ses côtés, la suivant partout où elle allait.

Elle se penche vers moi, lèche mon nez où se trouve encore un peu de sperme. Comme l'a remarqué Claudia mon attitude a changée sitôt que mon esprit fut brutalement débarrassé de toute préoccupation. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, je goûtais enfin à une réelle liberté en assumant enfin mes envies, en devenant une esclave. Le fait de me sentir libérée de ce fardeau du paraître et de la convenance me procure un plaisir et un apaisement que je n'avais jamais ressenti avant ce jour. Ayumi et Claudia me débarrassent de mes habits de servante et je me retrouve nue devant tous ces gens que je ne connais pas. Mes joues rosissent, mon cœur s’accélère, je résiste à l'envie de cacher mes parties intimes avec mes mains. Je ressens du plaisir à me donner en spectacle, je veux qu'ils puissent tous voir quelle petite salope je suis. Je veux qu'ils n'éprouvent aucun respect pour moi, qu'ils m'insultent, qu'ils me considèrent comme un objet sexuel. Je n'ai plus le droit de parler, j'aime les punitions mais, je veux être une bonne chienne, je ne ferais pas exprès d'enfreindre les règles. Le fait d'être ainsi privée d'une aptitude naturelle qui faisait encore de moi un être humain me met encore plus dans la peau du personnage, non, dans ma propre peau. Oui cette chienne c'est ma vraie moi, celle que je cache depuis toutes ces années de peur qu'elle soit aperçue. On me met ensuite un adorable collier rose qui me serre la gorge, je me peux m'empêcher de bomber le torse, fière de ce beau collier. Puis on me met la ceinture de chasteté, m’interdisant la masturbation ou la pénétration. Mon corps appartient à ma Maîtresse, mes virginités anale et vaginale lui sont réservées, à elle seule. Je fais la belle comme demandé, laissant ma langue sortir de ma bouche tandis que je halète, poussant quelques jappements de bonheur :

"Ouaf ! Ouaf !"

La grille s'ouvre et une dizaine d'hommes arrive. Une chienne est heureuse lorsque sa maîtresse lui présente des amis, il convient donc de faire la fête à mon public qui vient me voir. Je n'ai plus peur, je sais qu'ils viennent pour souiller mon corps et je sais que je vais adorer ça, j'y deviendrais peut-être même accroc. Je me jette littéralement sur le premier sexe à ma portée, l'avalant goulûment en produisant des bruits de succion obscènes. Je penche la tête sur le côté et je laisse le pénis en érection glisser sur ma joue, tandis que je vais embrasser les testicules de cet homme. Brusquement l'homme retire son sexe et me gifle avec. La voix de l'homme tonne, forte et mécontente :

"MIKA ! MECHANTE CHIENNE ! C'est quoi ça ? On se jette sur le maître sans attendre l'autorisation ?"
"Ouuuh ouuuuuh ..."
"Pas la peine de pleurnicher vilaine ! En plus tu t'y prenais mal ! Utilises plus ta langue et sois plus passionnée. Une chienne qui ne sait pas faire plaisir à ses maîtres est inutile !"

L'homme m'a engueulée plusieurs fois après ça, m'apprenant à le sucer correctement. J'adore être rabaissée de la sorte, être traitée comme une pute de bas étage, ça m'excite. Pendant ce temps les autres me demandent la papatte en tendant leurs pénis, ils me montrent comment les masturber. Faire toutes ces tâches à la fois sans se planter demande de la concentration, sous les engueulades et les insultes de ces hommes, j'apprends, j'apprends à être leur chienne. Le manque d'air et les fortes odeurs me font pleurer, tandis que je souris, heureuse de mon sort, passant de queue en queue avec zèle. Finalement j'arrive au bout de ma tâche, mon buste est recouvert de foutre et j'en garde dans ma bouche pour le montrer fièrement à ma Maîtresse, pour qu'elle voit que je lui ai bien obéit. Je sais déjà que je ne pourrais plus jamais redevenir une humaine normale, je suis un échec complet en tant qu'être humain mais, je serais la meilleure chienne et je ferais en sorte que ma Maîtresse m'aime.


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Re : Oui Maîtresse ! [Mélinda]

Réponse 23 jeudi 18 décembre 2014, 02:17:28

Claudia était moins rude qu’Ayumi, tout simplement parce qu’elle était plus prudente. Contrairement à elle, Claudia était depuis de nombreuses années une « formatrice », c’est-à-dire une esclave qui formait d’autres esclaves, le tout pour le compte de leur Maîtresse commune. Or, elle avait déjà pu remarquer qu’il y avait des sensibilités très différentes entre les multiples esclaves, certains aimant qu’on les insulte, d’autres étant beaucoup plus timorés, et beaucoup plus nerveux. L’expérience de Claudia lui avait appris à commencer délicatement, à tâter le terrain, et à s’adapter en fonction de la manière dont le sujet réagissait. Ayumi avait été un peu plus joueuse, et avait bien parié. Nue, avec le collier autour du cou, et la ceinture de chasteté permettant de la protéger, Mika était offerte à plusieurs hommes libidineux, qui n’éprouvaient aucune gêne à l’idée de lui faire l’amour en pleine rue. Le sexe oral allait probablement devenir la vocation de Mika, le milieu de son corps étant une zone interdite d’accès. Si quelqu’un l’oublierait, par exemple en tentant de forcer la ceinture, ou de récupérer la clef, Claudia leur montrerait qu’elle savait aussi se battre.

Pour l’heure, les invités se massèrent autour de Mika, et la jeune femme, comme surexcitée, se dépêcha d’aller saisir la première queue lui passant sous le nez... Ce qui eut pour effet d’énerver l’homme, qui la frappa avec son membre, laissant une traînée de salive sur la joue de Mika. Fidèle à son rôle de chienne, la jeune femme ne parlait pas, se contentant d’aboyer ou d’haleter, poussant de petits couinements, entourée de ces hommes impatients et excités. Les hommes s’agglutinèrent progressivement autour d’elle, et des mains grasses empoignèrent sa tête et ses cheveux, et une queue disparut dans sa bouche, tandis que ses mains, restant peu inactives, se retrouvèrent bientôt à flatter différentes virilités.

Claudia observa le spectacle en souriant, se mordillant un ongle. On pouvait entendre la femme gémir et soupirer, la queue remuant dans sa bouche, parfois profondément, son amant optant pour de longues gorges profondes. Les autres jouissaient entre ses doigts, éclaboussant son corps, et d’autres queues remplaçaient ensuite les précédentes.

« Oh ouais, salope...
 -  Quelle belle pute...
 -  Là, là, suce, ma chienne, suce... »

Là encore, si elle n’avait pas été vierge, Claudia aurait autorisé un homme à se mettre sous elle, afin qu’elle s’empale sur sa verge. Un autre en aurait probablement profité pour défoncer son fondement, mais cette partie de son corps restait protégée. Mélinda tenait particulièrement à la virginité, car elle aimait sentir sa queue défoncer l’hymen d’une jeune vierge. Le sang était quelque chose d’important pour les vampires, a fortiori le sang d’une petite vierge. Pour la bouche, les choses étaient différentes. Le sexe oral était toujours la première étape par laquelle les esclaves de Maîtresse Mélinda se formaient. C’était toujours très beau à voir. La bouche de Mika ondulait le long de la verge tendue de l’homme. Parfois, des larmes glissaient le long des joues rouges de Mika, probablement quand l’air lui manquait. Des mains caressaient ses cheveux, d’autres jouissaient dans son dos, en se masturbant simplement. Les mains de Mika durent ainsi parfois caresser des verges sales, des membres recouverts de foutre. Ses mains devenaient grasses, collantes, et les hommes continuaient à la prendre, encore et encore.

On finit par éjaculer dans sa bouche, et Mika se retourna alors vers Claudia, ouvrant bien haut la bouche, lui montrant ainsi qu’elle avait bien tout avalé. Claudia se contenta de sourire.

« Très bien, ma belle... »

Mika semblait être naturellement douée pour ça. Un autre homme agrippa alors ses cheveux, et enfonça autoritairement sa queue dans sa bouche. Elle devait s’occuper d’une dizaine d’hommes, après tout, et ils n’en avait pas encore totalement fini avec elle. Tous les hommes s’activèrent contre elle. Gorges profondes, queues se frottant contre son corps... Ils continuèrent à jouir en elle et sur elle pendant une bonne heure, avant de finir par la relâcher, et par progressivement sortir, visiblement heureux et soulagés.

« Et bien... finit par commenter Ayumi. C’est pas mal pour une première fois ! »

Ayumi se glissa dans son dos, et sa main caressa l’estomac de Mika, se salissant de sperme, qu’elle essuya ensuite sur les joues de l’intéressée.

« C’est bon, tout ce petit sperme, hein, petite pute ? » susurra-t-elle à son oreille.

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