Information : Alice est une tueuse née. Elle a une plus grande affinitée avec les bêtes qu'avec les humains.
Rôle jouable : Une personne mal intentionnée / Un(e) flic / Un(e) idiot(e) / Un assassin / D'autres rôles où vous serez le dominant
Contenu de la malle : Un révolver, un petit fusil avec lunette de visée, un couteau de chasse, une machette, un faux livre contenant de quoi faire de faux papier, deux plaquettes de médicament contenant des aphrodisiaques et différents poisons/venins, une vingtaine de balles.
Ce fut sous un soleil de plomb qu'une jolie jeune adolescente, ne répondant qu'au surnom de Sixième Alice vint à se placer dans une immense valise où était caché à ses côté tout un arsenal qui ne laissait planer aucun doute sur certaine de ses compétences. Elle prit soin de serrer les deux attaches qui étaient les seuls liens entravant ses gestes et évitant qu'elle ne se tasse quand la malle serait remise à la verticale. Elle mit ses cheveux dans la malle et n'eut qu'à tendre sa jambe pour saisir une petite poignée cachée, tirant l'autre côté de la malle qui s'abbati et ferma automatiquement. Sur la partie visible on pouvait observer une liassede billet à faire baver n'importe qui travaillant dans un hôtel bas de gamme, avec un papier scotché dessus, demandant à ce qu'une personne précise vienne récupérer la valise. La première personne à voir cette valise et cette argent fut la femme de ménage, qui vint à descendre la valise en prétextant qu'une personne l'avait oublié et viendrait certainement la récupérer. Ce fut pile à ce moment, que la personne chargée d'emporter la valise arriva. Il n'était pas quelqu'un d'important, un simple transporteur qui avait été payé pour transporter le colis qu'était cette valise. Il ne se doutait pas une seule seconde qu'il transportait quelque chose d'autre qu'une simple valise, mais dans son boulot on ne réfléchissait pas et on faisait le travail pour lequel on a été payé, un point c'est tout. Il prit donc le chemin de l'aéroport pour prendre un ticket vers le Japon. La valise passa le scanner, mais il ne détectait rien, la malle ayant été prévu à cet effet. C'est ainsi qu'elle passa la frontière sans encombre, passant le trajet dans un état proche du sommeil éveillée, n'étant pas trop endormie pour perdre ses sens, mais pas suffisament éveillée pour être trop active. La basse température dans la soute ne la dérangeait pas plus que ça, elle n'avait pas besoin de beaucoup se réchauffer, sachant où était sa limite. Elle c'était préparée un bon mois à ce départ de son pays natal où la loi était le fort domine et le faible meurt.
Dans cet environnement hostile, elle avait appri à courrir avant de marcher,à utiliser une arme avant de savoir parler, tuer avant de connaître le bien du mal. Elle avait fini par trouver une personne plus forte qu'elle, un homme ayant l'argent avec lui, suffisament d'argent pour capturer sept perles dont elle en fit partie. Bien qu'étant la Sixième Alice, elle resta la plus sauvage des sept et aussi la plus amusante quand il s'agissait de l'envoyer dans une arène affronter des animaux. Elle était celle qui offrait le plus de spectacle, mais sa sauvagerie fut sous-estimée et elle fini par tuer celui que les autres Alice appelaient Maître Shizo. Dès lors elle gagna sa liberté, mais devint l'ennemi des autres Alices. Devant fuit sans cesse devant ce groupe mortel qui venait de se former, elle fuit sur les champs de batailles où elle lutta pour sa survie et disparu des radars. De temps à autres elle réaparaissait pour gagner de l'argent contre des contrats de meurtre ou une prestation plus intime. Sa dernière mission avait été de s'infiltrer dans un camp et tuer le général, la méthode utilisée fut de se faire capturer par les soldats et devenir une esclave du camps. La faiblesse des soldats face à une apparence si innocente coûta la vie de leur général, mais aussi une partie du camp. La Sixième Alice ayant causé de sévère dommage collatéraux pour permettre une fuite en volant l'un de leurs véhicules militaires. Cette action occasionna une rencontre avec les six autres Alices, elle en sortie avec une plaie béante à l'abdomen, mais en avait tué deux en se laissant planter dans l'estomac. La Sixième Alice prit un mois à panser sa plei et jugea propice de quitter la pays, elle avait suffisament d'argent pour et ne pouvait de toute manière pas rester sous peine d'être retrouvée et abbatue. Ce qui nous amène à un retour à la situation présente.
Le voyage ne rencontra aucun problème. Pour les quelques policiers japonais, un peu d'argent de main en main suffit à céder le passage. L'homme transportant la jeune femme prit un taxi et fini par laisser la male dans la campagne en sifflant un air et en laissant son chappeau dessus. Le transporteur supposait qu'une autre personne allait venir pour la malle et de toute manière ce n'était plus son problème, ayant fait son boulot. Elle attendit que la nuit tombe, avec des bruit aprticulier, pour sortir de la malle et s'étirer. Elle portait une robe couvrant assez peu son corps, ne possédant pas de chaussette ni de chaussure. Observant la Lune avec un sourire amusé, elle se mit à marcher. Elle ne savait pas où elle allait, laissant le vent l'emmener vers un endroit propice pour vendre ses services. Après bon nombre d'heures qui n'épuisèrent guère l'étrangère, elle finit par tomber dans une mignonne ville répondant au nom de Seikusu. Elle ne connaissait pa très bien le japonais, mais savait qu'en se baladant ainsi la nuit elle ferait sans doute une rencontre importante, celui d'une personne pouvant l'héberger contre différentes chose.
L'étrangère n'avait aucune arme sur elle, mais entrouvrir sa malle et saisir son couteau de chasse était une chose facile. Elle n'avait pas peur des simple d'esprit, car ils ne s'approcheraient pas. Elle savait, elle savait qu'elle dégageait naturellement une aura flippante, une aura d'assassin, sans parler d'une odeur de sang et de poudre que tout assassin professionel pouvait sentir. Alice n'avait jamais compté le nombre de personne qu'elle avait tué et elle ne cherchait pas à savoir.
La nuit était calme, le ciel dégagé, la température légèrement froide au point que la peau de la belle frémissait légèrement. Elle laissait ses pas la perdre dans les ruelles et les chemins peu éclairé, comme cherchant le danger, elle savait qu'une personne l'inviterait, il suffisait juste d'avoir de la patience. Elle était tout à fait prête à tuer en échange d'un endroit où dormir et se repaître.