Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Mjoll la démone

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mardi 08 juillet 2014, 08:46:02

Fiction des aventures de Katerine Dvordoubinski un de mes dc se passant dans le monde de Eldar Scroll V Skyrim.

Jour 1 :

Je me réveille dans une charrette… je suis attachée au poignet par une corde bien solide. Autour de moi et mise à part le conducteur en armure lourde il y’a trois autres prisonniers. Quand je me tourne davantage afin d’observer l’environnement je remarque qu’en vérité c’est un convois… Un convoi de plusieurs damnés prêts pour la mise a mort. Je me fiche de ce que disent les autres prisonnier entre eux je cherche surtout un plan pour me sortir du pétrin dans laquelle je suis. Les gardes qui nous transportent sont lourdement armée… une fuite me serait préjudiciable. Il me faut attendre pour le moment. Nous arrivons à Helgen, un petit village de pierre entourée par des solides murailles. Ainsi vais-je mourir dans un lieu si éloignée de mon chez moi.

Je m’approche du Billot… Même le faite de dire que je suis Katrine Dvordoubinsky ne change rien à ma situation. Pour une fois que mon nom m’offre le même destin qu’un troufion de paysan…. Aaarrh… Ils viennent de couper la tête d’un des autres prisonniers, sa tête se dirige dans un panier d’osier servant jadis à la récolte des fraises. Ça va être mon tour, je me penche je souris à la mort qui pose sa main froide sur mon épaule. D’un coup ! Un dragon surgit de nulle part bravant le ciel d’un bleu marin pour instaurer l’enfer sur nos têtes. Je suis saine et sauve, je cours hors du billot pour m’abriter avec quelques malheureux dans une tour de garde. Après quelques cabrioles, je parviens à sauter sur le toit d’une ancienne taverne puis à sortir dans la coure secondaire de Helgen. Sans le savoir je suis un impériaux mais dès que l’occasion se propose je me décide de suivre un sombrage. Je n’ai pas oubliée que les impériaux voulaient ma tête et pour le coup j’aurais la leurs !

Me voilà dans les sous terrain de Helgen, à fuir une ville qui m’est étrangère comme un rat. Je parviens dans ses tunnels sombre à éliminer quelques impériaux. Mes premiers d’une longue série, je le pense fortement. Vers la fin du tunnel je parviens à tuer un ours à l’arc, se dernier faisait office de gardien de la sortie il fait maintenant office de couverture pour la nuit. Nous sommes enfin sortie, je suis un homme charmant du nom de Ralof. J’espère vraiment pouvoir avoir une aventure avec lui, je vais lui apprendre à devenir un homme un vrai. Je remarque qu’il observe mon derrière se trémousser au grès des pavés de la route. Une attaque de loup, ses pauvres bêtes se sont habituées au goût de la chaire humaine à cause des nombreuses guerres dans le pays…. Par chance mon Ralof me sauve du péril en faisant barrière avec ses muscles d’acier.

Nous arrivons à Rivebois, un chouette village qui ne demande que d’être en paix. Ralof décide de me présenter à sa sœur Gerdur son beau frère Hod et son neveu Frodnar. C’est un rapide, il veut déjà me faire connaître sa belle famille et il semblerait qu’ils m’apprécient beaucoup. Ma belle famille m’invite à souper et à dormir aussi longtemps que je le souhaite. Hum quel bon repas avec ma belle famille, je ne regrette absolument pas je pense rester quelques jours à Rivebois.

Jour 2 :

J’ai passée une très bonne nuit, je regrette seulement que Ralof ne m’ai point rejointe dans le lit. Peut-être a-t-il peur que ça aille trop vite. Je décide d’aller vendre les équipements que j’ai récupérés la veille lors de la fuite de Helgen. Malheureusement je tombe en pleine engueulade entre le vendeur et sa fille. J’ai l’air de déranger, je reste donc muette pendant quelques secondes. Après coup il me propose de l’aider à retrouver une griffe doré, chose que j’accepte non sans crainte de devoir affronter plusieurs bandits. Je me retrouve donc à grimper le tertre des chutes tourmentées à la recherche du dit objet.

En chemin, je rencontre une tour remplie de bandit. Trois personnes pour être exacte. Je découvre le premier appuyé sur un arbre guettant le moindre adversaire, je parviens à lui tirer une flèche dans le cœur ce qui l’envois directement dans l’autre monde.  Le suivant meurt d’une façon similaire, le dernier en revanche part dans un combat glorieux aux armes de fer. Une fois la zone parfaitement nettoyée je décide de continuer ma route jusqu’au Tertre. Je découvre une petite résistance devant le Tertre mais rien de bien méchant. Les bandits au nombre de quatre partent pour l’autre monde en moins de temps que les précédents. J’éprouve actuellement une certaine fierté en mes compétences dans l’art du duel.

Ça fait maintenant 4 heures que je suis partit de Rivebois, je m’autorise un petit repas dans le tertre tout en bûchant sur une énigme que je ne parviens à résoudre qu’une fois le fromage arrivé. J’avance toujours dans le Tertre en quête de cette fameuse griffe, je m’en voudrait d’échouer. J’entre dans une salle bien différente des précédentes. Des toiles d’araignées couvre les murs et le plafond, je ne sais pas si il y’a plusieurs araignées de petite taille ou une seule de taille énorme. Cette histoire m’inquiète au plus haut point et je ne sais si j’aimerais la réponse. Oh mon dieu ! C’est horrible…  c’est une immense araignées qui surgit du plafond et qui se jette sur moi comme un chien se jette sur os. Je n’ai le temps que de sortir mes lames pour pouvoir l’attaquer ou du moins avoir une chance. Je parviens à la vaincre non sans peine… Je suis presque mourante tant les blessures que j’ai sont conséquente.  Une fois le combat terminé je remarque qu’un homme gigote dans une des toiles. Je m’approche pour m’enquérir de son histoire et pour possiblement avoir des remerciements.  Rien, pas le moindre remerciement, ni la moindre piécette et en plus il à une odeur ignoble sur lui, l’odeur du mensonge. Je décide de le libérer à contre-cœur… C’est une grave erreur que de faire confiance à quelqu’un comme lui.  A peine à t’il posé le pas sur le sol que le voila entrain de courir comme un lapin devant un chasseur.  Je sors instinctivement mon arc et j’abrège la honte qu’il met sur ses ancêtres. J’ai enfin la griffe mais le cœur me dit de continuer dans le Tertre.

Il est 3 heures de l’après midi, voilà un moment que je suis dans le Tertre… Mais je dois continuer. Je rencontre enfin un Daugr, créature immonde ni morte ni vivante qui ne mérite que d’être exterminé jusqu’au dernier. Dieu m’est témoin j’ai essayée de marchander avec des créatures comme ça en vain. Ça n’a que l’aspect belliqueux dans le crâne et bien puisque je ne puis faire autre chose que faire la guerre avec eux autant la gagner. Il doit être 4 heures quand je quitte le Tertre pour m’enfoncer dans une série de caverne souterraine, j’espère que toute cette quête ne va pas être vaine. L’heure tourne vite… Il est approximativement 5 heures, je découvre que la griffe est en faite une clé. J’approche du but bien que je ne sache encore qu’es que c’est. Enfin ! Je découvre une pierre de dragon, il va faire bien accroché au salon de  Ralof. Je peux dé lors rapporter la griffe au marchand et aller me coucher.

Jour 3 :

Je me suis levée au aurore, le matin est plutôt frais mais ensoleillé c’est agréable. Ralof n’est pas venu me rejoindre cette nuit. Je commence à croire qu’il n’aime pas ma présence. Je vais commencer mon voyage pour Blancherive comme me l’a demandée ma belle sœur. Sur place je préviendrais le Jarl de l’attaque du dragon. La route pour blancherive est toute pavée de pierre bien blanche ce qui empêche toute personne de se perdre. Sur la route je croise un Elan et un Lapin mon repas du soir est déjà au menu.
Plus tard sur cette même route je surprend des bandits attaquer une tour de Blancherive. Je fonce les aider et bien que je n’ai aucun remerciement à la clé j’épargne aussi leurs vies. En remontant le long du chemin de blancherive je parviens  même à trouver le camp de bandit et à les éliminer sans trop de peine. Une nouvelle fois je me félicite de mes compétences guerrières.

Il est midi quand j’arrive aux portes de Blancherive, qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir que la ville maintient ses portes clause. En tout cas fier de ma persuasion et sans doute de mon charme féminin je parviens à pénétrer dans l’enceinte de la ville. Une fois dans la ville je commence à discuter avec Adrianne Avenicci, une charmante dame qui m’apprend l’art du tannage et qui devient par la force des choses une très bonne amie. Adrianne m’offre une magnifique tenue en cuir que je prends bien soin d’améliorer pour la rendre bien confortable. On va dire entre nous, adaptée à ma poitrine de princesse.

Il est 3 heures de l’après midi quand je rentre enfin dan la chatellerie de Blancherive. Je remarque alors qu’une elfe sombre, sans doute l’huscarl du Jarl s’approche de moi en tenant fermement son épée. Je suis certaine que si je n’avais pas donnée la raison de ma présence elle me l’aurait mise dans le crâne. Je parviens à donner mon message au Jarl par la suite. Le Jarl me récompense avec une armure de son forgeron royal… j’aurais préférée quelque chose de sonnant et trébuchant mais on ne peut pas tout avoir. Suite à ça le Jarl m’envoie voir son premier larbin le druide Farengar qui voudrait récupérer la pierre de dragon que je voulais offrir à mon Ralof…. Je cède  quand je voie la tristesse dans ses yeux… Je ne voulais pas être la cause de sa dépression et de son possible suicide. Je trouverais un autre cadeau à mon Ralof.

Lorsque je réclame ma récompense j’ai le malheur de découvrir que je dois aller abattre du dragon… Je n’ai pas que ça à faire mais bon je m’en voudrais de finir dans les geôles de Blancherive pour avoir refusée un ordre du chef.  Je me précipite avec Irileth vers la porte de la ville, il y’a deux heures elle voulait me mettre son épée dans le visage et maintenant je dois protéger son cul et elle le miens… ça va vite dans cette époque de barbare. Après deux heures de bataille, le dragon Mirmulnir tombe d’une de mes flèches qui l’atteint dans le creux d’une écaille. Je passe pour l’héroïne du jour dommage que Irileth par sa jalousie casse toute cette effusion de compliment. Décidément je déteste cette femme…  Elle me confie la mission de raconter notre victoire au Jarl Balgruf mais je repousse cette mission à demain car il est déjà 10 heures du soir et que je suis fatiguée.

« Modifié: mardi 08 juillet 2014, 10:58:51 par Mjoll la démone »

Mjoll la démone

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Re : Fiction

Réponse 1 vendredi 11 juillet 2014, 22:11:03

Jour 4 :

J’ai passée la nuit dans la taverne de la jument pavoisée. Une taverne assez sympathique et très jovial, les troubadours m’ont réveillée et les hurlements d’un certain Idolaf Guerrier né aussi…. Je me souviens encore de sa phrase fétiche… -«  Grise toison ou Guerrier né » Je chercher toujours la réponse a cette question. Quoi qu’il en soit j’ai décidée d’aller remettre l’information de victoire au Jarl de Bancherive pour repartir immédiatement après à Rivebois pour retrouver mon tendre amour.
Malheureusement ça ne se passe pas ainsi, le Jarl m’envois donner l’information de victoire a des « moines » vivant en haut de la plus haute montagne de Skyrim. Je devrais lui dire que je ne suis pas sa chienne. En revanche une fois cet ordre donné il me nomme Thane de Blancherive et m’offre Lydia ma nouvelle Huscarl. Elle semble gentille et attentionnée bien que sa manie de toujours me suivre m’agace. Je me demande si ça ne cache pas quelque chose derrière.

Alors que Je  m’apprête à quitter Blancherive vers les coups de  11 heures le matin, des guerriers rougegarde m’interpellent, ils cherchent une femme de leurs peuples. Je ne connais pas cette personne mais si jamais je découvre quelque chose j’enquêterais car cette histoire m’interpelle.
J’arrive à 2 heures de l’après midi à Rivebois, le temps jadis clément devient maussade. Lorsque que je parviens devant la porte de mon tendre époux je suis humide comme le lac avoisinant. Je suis si heureuse de le revoir mais ça ne semble pas réciproque. Il est froid et distant, Hod mon beau frère finit par me mettre à la porte de chez lui, me menaçant de prévenir les gardes si je restais. Je fond en larme et me dirige vers la sortie. Comment a-t-il pu me faire ça !? Je le déteste tant… J’avais des sentiments pour lui… 

Je me dirige vers l’auberge de Rivebois… Je dois oublier tout ça. Je décide de me commander 3 pichets de vin et une chambre ou je m’enfermerai avec Lydia.  Je commence à boire… Un verre puis deux… je pleure toujours, les bras de Lydia m’entourent fortement. Je suis contente de l’avoir avec moi, c’est comme une amie finalement. On picole ensemble, on lève nos verres à notre rencontre et à la mort du salopard de Ralof. Finalement après deux pichets on s’embrasse d’un baisé furtif. Je le savais ! Je le savais qu’elle été lesbienne. Qu’importe je suis trop saoul pour lui dire non… c’est sa chance.

On s’embrasse toujours, petit à petit elle détache les sangles de mon armure de cuir. Je me retrouve nue rapidement, elle se dévêt devant moi  et je l’observe en buvant mon vin. Elle est plutôt belle sans son armure lourde qui la rend trop masculin. Elle s’approche de moi, se frotte à mon corps. Elle vient mordiller mes seins et je la laisse faire. Je ne déteste pas et quand bien même je suis trop saoul pour la repousser. Je pointe rapidement, elle me fait de l’effet cette guerrière je n’aurais jamais crus. Je l’écarte pour pouvoir m’allonger sur elle, je viens doucement lui caresser l’entrejambe. Elle rougit, elle aime ça et ça me fait plaisir de lui faire. Je la doigte, elle me doigte, je mouille, elle mouille. Nous sommes en parfaite communion pour le plaisir. Elle descend jusque mon sexe, elle vient laper mon plaisir et je lui caresse les cheveux pour l’inciter à le faire. Je prends un autre verre de vin et c’est la dernière chose que je me souviens.

Jour 5 :

Je me réveille, complètement nue, Lydia est allongée à demi sur moi, elle est aussi nue que moi. Je me réveille sans prendre la peine de lui parler. Je ne veux pas avoir une relation sentimentale avec elle… Elle m’a quand même fait l’amour pendant que j’étais saoul et dans un état de tristesse effroyable. Néanmoins c’est une bonne amie et ça va rester ainsi. Je m’habille et sort de la taverne de Rivebois. Là un elfe noir me parle d’un certain Sven qui courtise Camilla… Mais je m’en fiche complètement, comment pourrais-je régler un problème d’amour alors que moi-même je suis dans une galère pas possible ? Je décide néanmoins de parler à la petite Camilla, elle doit savoir que ses deux amants sont des salauds qui ne cherche qu’à médire l’un sur l’autre. Malheureusement je dois faire un choix, je ne veux pas de sa solitude, je décide d’en parler à l’elfe qui me remercie de façon sonnant et trébuchant.

Il faut maintenant que je retourne à Blancherive, je n’ai plus rien à faire à Rivebois si ce n’est versé des lames sur la trahison qu’on m’a faite. Je me vengerais à un moment ou à un autre. Je dois enquête sur la rougegarde désormais. Ça me changera les esprits. Alors que j’avance sur les routes de Blancherive, un assassin tente de m’assassiner… Je parviens dieu merci à l’éliminer. En fouillant son cadavre encore chaud et parsemé de coup de lame je remarque que j’ai un contrat sur ma tête. Une certaine Astrid de Rivebois… Sans doute une amie de mon ex-compagnon… Ainsi m’en veut-il tant que ça ? Je fond en larme en lisant ses mots qui me déchire davantage le cœur mais je dois continuer ma route pour Blancherive et arriver à destination avant la nuit.

Il est midi, je décide de faire un petit repas sur le bord de la route menant à Blancherive. Je remarque que Lydia ne cesse d’observer ma poitrine et mes fesses… Elle est vraiment accroc cette femme. J’arrive au cœur de Blancherive à 1 heure, Je décide de parler à Adrianne de mes aventures à Rivebois. Pour me consoler elle me prend dans ses bras et m’offre un café. Une fois terminée je décide d’aller à la taverne de la ville. Elle porte le nom de la Jument pavoisée… Mais une fois à l’intérieur je découvre la fameuse rougegarde que les guerriers recherche. Mon enquête va finalement commencer.

La jeune femme m’invite à monter à l’étage de la taverne. Je la suis en n’ayant aucune crainte par rapport à cette frêle femme. A vrai dire j’ai rigolée en la voyant sortir un couteau à fromage et Lydia aussi. Je lui demande de se calmer et de m’expliquer la situation ce qu’elle ne tarde pas à faire. Je suis indignée de savoir que tous ses hommes veulent la tuer pour une affaire politique à la con. Je vais donc l’aider de mon mieux. Avant de partir pour la prison et trouver l’information de l’endroit du camp des Alik’r je décide de prendre un verre. Une certaine Uthgerd me propose alors un duel à main nue chose que j’accepte. Pas de chance pour elle j’ai envie de frapper. Un coup dans le ventre, un autre dans la mâchoire, la réplique arrive. C’est un bon duel que je remporte non sans perdre une molaire. Sacré Uthgerd.

En sortant de la taverne, je découvre une vielle femme se faire insulter par deux guerriers. J’attends que la joute verbale se termine et je vais parler à Fralia. Je l’accompagne jusque chez elle au grand damne de Avulstein son fils. Je parviens néanmoins à le convaincre de me laisser l’aider. Je décide de repousser au lendemain toutes ses missions car la fatigue me gagne.

Mjoll la démone

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Re : Fiction

Réponse 2 mardi 15 juillet 2014, 07:53:16

Jour 6 et  7

Il est 9 heures du matin quand je décide d’aller faire un petit tour à la prison de Blancherive. En effet je dois m’entretenir avec un prisonnier Alik’r au sujet de la rougegarde de la veille. Celui-ci m’indique au prix de 100 pièce d’or l’emplacement de Kematu le chef des Alik’r la personne qui est à l’heure actuel ma cible numéro un. J’emprunte donc  avec Lydia mon amante d’un soir et amie le chemin jusque la grotte ou se cache Kematu. Sur le chemin nous nous arrêtons à un fort en ruine afin de le nettoyer de la vermine qui se cache dedans. Depuis maintenant plusieurs semaines le fort est le QG de plusieurs bandit qui sème la mort sur leurs passages. Une tâche relativement simple qu’on boucle lorsque les coups de 2 heures approche. La quiétude des paysans est alors retrouvée. Nous pouvons désormais reprendre la route vers Kematu route qu’on va mettre une heure à parcourir. 

Lors de l’exploration de la grotte et l’extermination des bandits je remarque que Lydia ne m’assiste pas beaucoup. Dans un combat opposant ma personne contre deux bandits elle se cache dix ou vingt mètre en arrière. Finalement lors d’une embuscade des alik’r je remarque qu’elle laisse les autres personnes m’attaquer sans broncher. Je parviens néanmoins à survivre et à tuer Kematu par la même occasion. Mais c’est trop tard le mal est fait concernant Lydia. La nuit va tomber, je me laisse cette période pour réfléchir quant à ma décision pour cette ex amie. Le jour se lève, le soleil brille à l’extérieur mais e cache dans de lourd nuage noir dans mon cœur. Je m’approche de Lydia et lui dit à contre-cœur qu’il est temps pour nous de nous séparer. Sans un mots elle rebrousse chemin en direction de Blancherive. Je la regarde rentrer chez elle et je décide de faire de même. Du moins je me dirige vers la taverne de Blancherive afin d’informer la rougegarde que sont adversaire n’est plus qu’une poussière du passé.
Il est maintenant 1 heure de la seconde journée, je pense effectuer la quête que la vieille dame ma confiée. Je dois donc pénétrer dans la maison des Guerrier-né. Je décide d’attendre la nuit pour effectuer mon méfait. Il est 11 heures quand je pénétrer dans la dite maison. Tout se passe bien, je parviens à retrouver la preuve que le fils de la vieille est bien vivante mais alors que je me dirige vers la sortit je tombe nez à nez avec une femme qui me demande de la laissé afin qu’elle ai un peu plus d’intimité. Je l’observe, elle me fait un sourire et me passe un couteau sous la gorge. Je ne sais quoi faire. Elle commence à me peloter et je parviens enfin à sourire. Je lui fais baisser sa lame et nous partons pour une folle nuit d’amour. Vers 3 heures du matin je décide de mettre fin à notre relation, elle m’embrasse et me laisse partir pour la taverne afin que je loue une chambre.

Mjoll la démone

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Re : Fiction

Réponse 3 mercredi 16 juillet 2014, 05:34:28

Jour 8
J’informe la vieille dame que son fils est en vie. Elle me remercie mais son frère Avulstein me demande de l’aider à participer à un assaut pour le libérer. Malheureusement l’endroit est à plusieurs jours de marche et je crains de me faire tuer avant d’arriver au bout du périple. Je décide donc de me diriger vers Aventus Aretino un jeune garçon habitant vendeaume qui a besoin d’aide. En chemin je me permets le droit de voler un cheval à un groupe de bandit. Ce qui entre nous n’est pas un vole. En chemin je rencontre un fou… un fou qui a besoin d’aide. Je parviens à convaincre le paysan du coin de l’aide en échange de quelques pièces d’or. Certes lors de l’aide de Cicéron j’ai perdu mon cheval mais je pense que ça en vaux la peine. Sur le chemin je m’arrête à une grotte ou siège d’étrange animal fait de branche d’arbre et de magie. Malheureusement je suis trop faible pour abattre le chef des créatures. Je reviendrais je le jure sur le saint dieu. A la sortie de la caverne je tombe nez à nez contre 3 bandits bien coriace. J’ai peinée à les tuer mais j’ai réussie. Quand je fouille les corps je trouve une note… Une note de Farengar Feu-Secret qui désire ma mort plus que tout. Je suis attristée par la nouvelle. Pour la deuxième fois on m’envois des assassins et pour la deuxième fois je manque de trépasser. S’en est trop je dois contrôler les assassins pour cesser tout ça.  Il se fait tard et je ne parviens toujours pas à atteindre Veandeaume je décide donc de m’arrêter à une taverne. Je discute un peu avec le tavernier avant d’aller dormir. Celui-ci m’indique qu’il a un client orque très étrange ou plutôt pas sauvage selon ses termes. Ça m’intéresse je vais lui parler dès l’aube.

Jour 9 :

Je me réveille très tôt dans cette taverne au milieu de nulle part.  Mon premier objectif est clairement de trouver l’orque et de lui parler. Je le cherche dans une grotte prêt de la dite taverne en vain. Néanmoins je trouve autre chose, des morts vivant à foison. Je les renvois dans leur monde natal et redonne la quiétude aux habitants locaux. Néanmoins quand je sors de la grotte je suis triste de ne pas avoir trouvée l’orque. Je vais donc dans un tertre non loin afin de voir si il est présent en vain une fois encore. Je décide néanmoins d’aider un groupe de chercheur de trésors on sait jamais ça pourrait être intéressant. Finalement au bout de l’exploration on découvre que le lézard est un traître et qu’il n’agit que pour son intérêt. Je glisse ma lame le long de son cou et console Salma. Maintenant il est temps pour nous de nous séparer. Je récupère lors de cette exploration une dague et un arc orque du bon matériel c’est toujours bon à prendre.  Il se fait tard et je décide de rejoindre la taverne afin d’aller dormir.

Jour 10 :

Je me réveille dans la fameuse taverne. Je me rend compte que la personne qui est toujours saoul à une épée plus qu’intéressante. Une lame… par tout les saints une lame, je me précipite et je le tue. Certes c’est mal mais bon la cause justifie les moyens. Je dois désormais me rendre à Vendeaume. J’arrive dans cette ville au alentour de 1 heure de l’après midi. C’est un dragon de glace qui m’attend à Veandeaume. Par chance nous étions plusieurs à l’harceler et c’est par la force du nombre que nous l’avons tué. Une fois dans le cœur de la ville de Veandeaume je parle avec une elfe noir qui se fait maltraiter par des nordiques. Je me promets d’aller voir le bougre plus tard.

Plus tard dans la ville j’apprend que le forgeron recherche une épée mystique appartenant à une reine ancienne. Je le note dans un coin de ma tête car il est vrai qu’une telle arme pourrait être utile en ma possession. Plus tard dans l’après-midi je vais voir le fameux garçon. Il est semble peinée par une certaine Grelod la douce et me demande de la tuer. Je verrais sur place ce qu’elle a de si particulière. Enfin je me dirige vers le palais de Ulfric Sombrage afin d’entrer dans la rébellion. Chose qui ne va pas s’avérer aisée. Néanmoins il se fait tard et je reprendrais tout ça demain.
« Modifié: mercredi 16 juillet 2014, 06:19:56 par Mjoll la démone »

Mjoll la démone

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Re : Fiction

Réponse 4 vendredi 18 juillet 2014, 01:20:50

Jour 11

L’aube s’approche doucement. Les rayons du soleil traverse la vitre sale et vienne me frapper le visage. Je me réveille petit à petit. Je me redresse et m’assoie sur le bord du lit. J’ai encore pas mal de chose à faire aujourd’hui et plus tôt je partirais plus tôt je finirais. Je m’habit et mange un morceau de pain offert par la taverne de Veandeaume. Une fois prête je sors dans le froid hivernal de la région. Je me dirige vers Faillaise afin de connaître la situation avec la fameuse Grelod la douce. Je sors de la ville des sombrages et longe un chemin bordant la rivière et des fermettes.

Le soleil indique 9 heures, j’observe au loin et remarque une maison en ruine et un ou plusieurs cadavres de paysans gisant sur le sol. Je me précipite vers la dite habitation et commence à massacrer les bandits un à un. Mes deux lames rougissent avec le sang des adversaires, j’essuie mes armes et reprend ma route vers la dite Faillaise. Je remarque au loin sur le chemin une vieille tour abandonnée. Je m’approche par curiosité et découvre qu’il y’a absolument rien. Je reprend la route vers Faillaise malheureusement après 30 minutes de marche je commence à être frigorifiée. Le vent est glacial et la neige abondante. Je fais demi-tour pour ne pas perdre un ou deux orteils.

Je reprend une autre route attenant à celle que j’avais auparavant et alors que je grimpe en haut d’une colline j’arrive dans un camp assez glauque. Il est pratiquement 11 heures du matin et le jour est aussi noir que la nuit. Je pense que je suis tombée dans un campement de sorcier ou autre truc malsain.  J’approche d’une tante ou se trouve un autel d’enchantement. Ce qui me permet d’enchanter mon cimeterre Tinuviel et mon épée des lames Malk. Plus tard en grimpant sur le sommet de la colline je trouve un autel de sacrifice de Boethia. J’ai des frissons dans le dos rien que de penser aux nombreux morts qui sont mort sous cet autel. Je décide néanmoins de fuir ou plutôt d’emprunter une autre chemin vers Faillaise.

Sur le chemin, approximativement vers 14 heures je découvre un orc. Celui-ci demande une mort glorieuse. Ainsi soit-il j’accepte sa requête et lors d’un combat des plus nobles je le terrasse. Paix à son âme. Je reprend ensuite le chemin vers la ville tant espérée. Une heure plus tard je m’arrête vers un temple du nom de Mzuft. Malheureusement je n’ai pas aucune clé pour ouvrir l’intérieur du temple et je continue ma route initiale. Vers 16 heures je m’approche d’une tour d’observation de Faillaise. Celle-ci est en ruine et les gardes ne sont plus que des poussières du passé. Je leurs offres une prière et une fois encore je reprend ma route vers le lieu tant convoité. Je traverse un petit village du nom de Pierre-de-Skor. Je ne découvre rien d’intéressant dans le village sauf peut-être un fort plein de bandit à la sortit de celui-ci. Je commence à nettoyer le fort comme à mon habitude mais la nuit tombe et je décide de m’enfermer dans une cellule du fort pour passer la nuit et reprend le nettoyage le lendemain.

Jour 12 :

Je me réveille à 9 heures dans cette froide et humide cellule du fort. Je sais maintenant ce que ça fait de dormir dans un lieue pareille. Par chance je suis là de mon propre chef. Je visite ensuite les différents couloir et les différentes pièces du fort afin d’exterminer tout les bandits restant chose que je fais très rapidement. Je reprends ensuite la route vers Faillaise. Le soleil brille et aucun nuage ne tâche le ciel. Clairement les dernières heures de trajet vont être plus digne d’une promenade que d’une escapade.

J’arrive à Midi devant les portes de faillaise. Je me fais clairement stopper par le garde. Soit disant je dois payer pour entrer en ville. Quand bien même j’ai les moyens je ne vais pas lui donner se plaisir. Je décide de l’intimider chose qui réussie puisqu’il me fait entrer sans payer la moindre piécette. J’avance enfin sur les rues pavées de la ville. Sans le vouloir j’écoute une conversation entre une magnifique rousse et un minot. Je décide de parler à la splendide femme dans un premier temps. Elle me dit s’appeler Mjöll  et recherche son épée Sinistrale, je note l’information dans ma tête. Une fois que j’ai pris congé de la jeune femme je me fais interloquer par un homme. Je comprend par le ton acerbe et mauvais de la personne qu’elle fait partit de la guilde des voleurs. Je l’écoute sans l’écouter c’est pas dans mon intérêt de côtoyer des personnes comme ça. Une fois tranquille je traverse le pont pour aller vers l’orphelinat. Seulement mon oreille traîne encore ou elle ne devrait pas et je surprend une femme menacer un homme. Celle-ci part vers la taverne et j’arrive enfin à parler à Shadr le palefrenier. Il m’informe de son histoire et je décide de l’aide. Mon bon cœur va me perdre je vous le promet. Je vais voir rapidement Saphir et l’informe que si elle ne laisse pas Shadr tranquille je lui brise le crâne. Ça fonctionne elle blanchit et me demande de lui transmettre ses excuses ainsi que la fin de sa dette. Je reprend enfin la route de l’orphelinat Honorem.

Une fois à l’intérieur j’observe les agissement de la fameuse Grelod. Cette dernière est en effet une femme perfide. Ce n’est ni bon pour les enfants ni bon pour la ville. Je sers les poings, je prend mon arc orc et je lui décoche une flèche dans la tête. Mon travail est terminée je sors aussi rapidement que je suis entrée. Je me dirige ensuite vers la sortie de la ville ou j’informe Shadr que sa dette est terminée.

Il est 3 heures de l’après-midi, je décide de recruter un magicien mercenaire. Je ne sais pas pourquoi…. Peut-être par envie d’être moins seule. Cette fois vue la laideur de la personne je suis absolument certaine de ne pas coucher avec lui et de ne pas être déçu si je dois l’abandonner ou si il doit mourir.

Une fois sortit de Faillaise un dragon vient m’attaquer. Par chance et avec l’aide des paysans et des gardent alentours je parvient à éliminer la menace. Je récupère comme à mon habitude les os et la peau de dragon. Je ne sais pas pourquoi mais je sens que ça va m’être utile à un moment ou un autre.  Le soir tard je m’arrête dans l’exploration d’une mine dite mine de Mistral. Je m’arrête à la sortie de la mine sortie gardée par un dragon que j’exécute de la manière la plus froide possible. 

Jour 13 :
Je me lève dans le petit cabanon sur le pic du Mistral là ou la veille un dragon régnait. Je ne cache pas ma fierté quand je mets un pied sur le crâne du dragon et l’autre à terre en vainqueur. Mon subalterne soupire et va pisser. Il ne comprend pas la force qu’on à de tuer un dragon. Qu’importe il est temps pour moi de retourner à Veandeaume pour remettre ma quête au jeune Aretino. Le voyage est plutôt un voyage de plaisance qu’un voyage périlleux. En effet sauf la température il n’ya aucun danger. Au bout d’un moment j’observe un donjon sortir des forêts alentours comme un nez sur le visage. Je me dirige donc vers le donjon en question. Je m’arrête à 20 mètres de la grande porte et observe un peu les environs. Je regarde un bandit sur la haute tour. Je sors mon arc et je lui décoche une flèche dans la tête. Il est mort mais les autres sont au courant il est temps d’entrer dans la mêlé général. Je fonce dans le tas et massacre sans vergogne les marauds. J’entre ensuite dans la tour principale et je tombe nez à nez sur un innocent. Il c’est infiltré pour soit disant sauver sa femme. Je décide de l’aider dans cette quête. J’avance donc dans le donjon pour rosser les multiples ennemies qui siègent ici.  Une fois dans la plus haute tour du donjon je parviens à retrouver la femme du fermier… Enfin en quelque sorte il se trouve que celle-ci soit la chef des bandits. Ça me peine mais je décide de ne pas la tuer et de mentir à son homme. Une fois fais je décide de repartir en direction de Veandeaume.

Je traverse une sorte de marécage quand je rencontre un énième dragon que je parvient par chance une nouvelle fois à éliminer. Ainsi soit-il je deviens donc une chasseuse de dragon et cela afin de faire retrouver la quiétude au peuple de Skyrim. Je décide de continuer ma route vers Veandeau. Je parviens aux portes de la ville au soir et je me dirige directement vers la taverne.

« Modifié: vendredi 18 juillet 2014, 03:28:10 par Mjoll la démone »

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Réponse 5 vendredi 18 juillet 2014, 05:32:07

Jour 14 , 15 et 16

Je me réveille à 10 heures dans la taverne de Veandeaume, ce n’est ni le soleil ni la tavernière qui me lève mais bien le bruit de deux gros rats qui se battent en duel au pied de mon lit. Je ronchonne et tape brutalement du pied pour les faire fuirent chose qui fonctionne à merveille. Je décide d’aller voir le petit Aretino pour le prévenir que Grelod la douce est morte. Il est ravie d’apprendre ça et m’offre un de ses trophées de famille. Je suis heureuse d’avoir fait une bonne action et j’espère franchement ne plus avoir à faire ça au cours de ma longue vie. J’ai désormais beaucoup d’objet sur moi que je ne peut pas vendre ou jeter. Je décide donc de vendre une armure ou deux et de me diriger vers Blancherive. Je me souviens que le second du Jarl m’a dit que je pouvais acheter une propriété pour seulement 5 000 pièces. Ainsi soit-il je décide donc de me rendre sur place. Je met pas longtemps à rejoindre la capital. A moins de cent mètres des murailles de la ville.  Un garde m’interpelle en me demandant de m’arrêter. Se dernier décide de m’arrêter ou de payer une amende de 1 000 pièces. Je me demande pourquoi un garde de Blancherive me demande ça, c’est vrai je n’ai jamais causé aucun trouble dans la ville. Bien au contraire… Il me suçait même les pieds il y’a moins d’une semaine.

Je décide de fuir en centre ville. Il est tard et avec un peu de chance je pourrais éviter les gardes de Blancherive. Par miracle ou plutôt par un fait étrange, les gardes ne posent aucun problème. Il me parle comme si de rien n’était. Je décide de dormir et de voir ensuite ce qu’il en est.

Le lendemain, je me dirige vers le château du Jarl Balgruf. Je parle au second et achète enfin ma première propriété en ville. Je suis maintenant une citadine et propriétaire terrien. Par contre je regrette d’avoir payée 5 000 pièce pour un taudis. Remarque si je faisais payer un loyer à toutes les araignées et les rats qui cohabitent avec moi je serais riche en moins d’un mois.  Je suis néanmoins épuisée, ça fait plusieurs semaines que je cours partout… Je décide d’aller voir adrianne avant de faire la sieste et possiblement de voir les nouvelles armures. En soit il existe maintenant des armures dite elfique qui sont de très bonne manufacture. Je prend néanmoins congé pour parler à un messager qui me demande. Il me transmet une lettre d’un parfait inconnu avec l’indication «  Nous savons tout ». Je soupire et jette cette menace en carton dans le feu de la forge d’adrianne. Je suis fatiguée alors je décide de faire une sieste dans mon nouveau chez-soi.

Je me réveille dans une cabane abandonnée, l’endroit et lugubre et j’ai un sacré mal de tête. Une femme posée au dessus d’une armoire me parle. J’apprends qu’il s’agit d’un membre de la confrérie noir, la fameuse guilde d’assassin. Elle me demande de tuer une personne parmi trois autre… Je soupire et de colère j’élimine les trois après tout je sais qu’au fond de moi ils sont tous coupable de quelques choses. Elle me félicite et me donne rendez-vous dans le fief des assassins pour possiblement m’intégrer.

Je suis enfin libéré de la cabane de l’assassin. Je me rend compte par rapport à la carte que  je ne suis pas loin de Aubétoile. Je pourrais passer dans cette ville afin de rendre une lettre au chef de la fameuse ville. Alors que je m’approche de Aubétoile je croise un voleur qui tente de me rançonner… Alors que je refuse il décide de m’attaquer. Grave erreur, je l’élimine et ça grâce au  mercenaire que j’ai payé il y’a un moment. Finalement le voleur ne se portait pas mal, effectivement il possède un équipement elfique, armure plus gantelet que je voulais auparavant.

Je me dirige ensuite vers Aubétoile et là un garde vient tenter de m’arrêter. Je me rend compte que c’est eux qui veulent ma peau. Je décide donc de fuir cette ville, en effet je ne veux pas aller en prison pour un crime que je n’ai pas commis, car bon je n’étais jamais venue dans la contré d’Aubétoile et ainsi payer 1 000 pour un crime auquel je suis innocente je ne le désire pas. Je décide de fuir mais malheureusement mon mercenaire élimine le garde qui tente de me tuer. Certes il fait sont boulot mais le con m’augmente ma dette de 2 000… Qu’importe je décide de fuir et de ne plus jamais revenir dans cette contrée. Dans ma fuite je me fais harceler par un groupe de bandit, en plus des gardes de la ville… je pense que ça fait trop je décide de fuir davantage. Après quelques minutes et 18 personnes à mon cul je remarque qu’il y’a aussi un dragon… Alors que la nuit commence à tomber et en plus d’avoir une dizaine de personne, un dragon j’ai désormais un géant… Je prie le ciel de me laisser vivre. Je suis essoufflée, la nuit est déjà présente, j’ai de moins en moins d’adversaire à mon cul… J’approche enfin de Blancherive, je suis sauvée.

J’entre dans la ville, laissant les gardes s’occuper des bandits et du dragon…. Je n’ai pas le courage de les affronter. Il se fait tard  et je plonge dans mon lit.

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Re : Fiction

Réponse 6 mardi 22 juillet 2014, 22:02:39

Jour 17 :

J’ouvre un œil, puis l’autre. Il est 8 heures et je me trouve dans mon lit, dans ma maison à Blancherive. Il est vrai que je devrais dormir plus souvent dans ma maison… C’est gratuit et ce n’est pas plus moche qu’une chambre de taverne. De plus, j’ai Lydia qui surveille mes affaires et surtout ma propre personne. Il est vrai que malgré ce que j’ai dis quelques jours auparavant… elle fait bien son travail de Huscarl. Puis je la comprends, elle n’a pas le choix que de me suivre et de me supporter. Si c’était moi je me mettrais une flèche dans la tête.  Je descends dans la pièce principale de ma maison… Je devrais dire de mon taudis. Il fait aussi sombre que c’est sale dans cette maison. Vivement que je puisse investir dans des travaux.

Je sors de chez moi et je me dirige vers le Haut Hrothgar afin d’aller parler aux grisebarbe. Je n’ai eu droit qu’à des ouïe dire concernant ses personnes. C’est vrai que je stress à ne pas savoir ce qu’il va en être exactement. Marcurio, mon mercenaire tente par tous les moyens de me faire calmer. Il utilise même des sorts de toute sorte sur ma personne. Le bougre… un de ses sorts me donne des boutons au bras. Je lui pose directement mon poing sur le coin du visage et il s’excuse en me remettant ma peau de bébé.


Plus tard dan la matinée on décide de s’arrêter dans une grotte non loin de blancherive. Marcurio m’informe qu’il s’agit de la grotte de Mornhiver. Un nom assez glauque de mon humble avis. On pénètre dans cette grotte et on remarque le sol jonche de cadavre diverse. L’odeur est horrible mais il faut tenir pour savoir la cause du massacre. La réponse ne tarde pas à venir. 2 Trolls surgissent de derrière un rocher, sans doute un couple. Je sors Malk saber et Tinuviel afin d’entrer en combat. Un combat bien rude mais heureusement nous sortons victorieux. Nous pouvons dans ce combat autant mettre la gloire sur Marcurio que sur moi-même. Car il est un sorcier très puissant, j’en ai eu la preuve quand une de ses attaques à envoyé un Troll voler contre un mur en contrebas de la grotte.

Une fois l’exploration de cette dite grotte on décide de reprendre notre route vers le lieu initial. Une heure de marche plus tard on remarque un petit Autel sur le flanc gauche de la route. J’escalade pour savoir ce qu’il en est. Qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir un nécromancien… Je l’élimine et ma curiosité prend le dessus. Je récupère ses notes et j’apprends un peu sur le domaine. Le lieu en question est propice à cet art. La pierre de Rituel me permet d’invoquer tous les morts m’entourant… Il faut que j’essaie ça très rapidement.

Nous n’avons néanmoins pas le temps de m’attarder. Je décide de continuer ma route vers le mont Hrothgar. Il est midi, le soleil est bien haut et on s’arrête au camp des sombrages afin de déjeuner. Ça sent extrêmes bon. Il y’a un gros cochon qui cuit à la broche… c’est certain on va déjeuner ici. Les sombrages m’encouragent même à prendre un de leurs chevaux pour continuer ma route ce que ‘j’accepte avec plaisir. Il y’a pas à dire… ils sont gentil les sombrages. J’avance tranquillement sur un petit sentier. Petit à petit le décors change et je me retrouve au fond d’une faille enneigée. Bien que le décor est magnifique, il ne serait pas étonnant de trouver des corps enfuis sous la neige. J’arrive de l’autre côté de la passe, là  ou attend un Troll. J’en ai déjà tuée ça ne va être qu’un nom de plus sur une liste longue.

On reprend notre route, on traverse un village qui est pour le moment sans intérêt et on commence à monter les 4 000 marches pour accéder au sommet du Mont Hrothgar. Il commence à se faire tard, j’espère que les grisesbarde on le sens de l’hospitalité. J’entre par la grande porte du domaine des grisesbardes. Sans même me demander si j’ai fais bon voyage il m’assène de connaissance sur une nouvelle langue. Bon… Je pensais qu’une fois le cour de langue fait j’aurais droit à un bon lit et un bon repas et bien non… La tempête hurlait dehors et les grisesbarbe voulait qu’ont fassent le trajet de nuit… Je gueule et je décide avec mon mercenaire de passer la nuit sur le sol de l’accueil. Ça me reste en travers de la gorge tout ça. 


Jour 18 :

Je me réveil sur le sol froid du temple des grises-barbes… j’ai un mal de dos impressionnant et je suis gelée jusqu’au os. J’éternue.. je crois bien que j’ai chopée la mort. Je décide de m’en aller rapidement du temple des grises-barbes. Je pousse même un moine avant de sortir et de claquer la porte. Je pense qu’ils ont comprit que je n’étais pas de bonne humeur. Pour la peine je décide avec mon mercenaire de tuer du maraud avant de rentrer. 

Je descend le long de la pente afin d’apercevoir l’entrée du cap Celestal. C’est parfait pour mes nerfs. J’entre et finalement je suis assez déçu sauf quelques fantômes il y’a rien… Finalement ça m’a mis encore plus les nerfs qu’autre chose. Qu’importe je vais donc marcher le long du chemin en espérant qu’un bandit vienne m’interpeller pour me rançonner. Si ça arrive je lui enfonce mon pommeau d’épée dans la gorge. Il est 3 heures de l’après-midi quand je parviens à rejoindre le camp des sombrages d’Epervine. Je me rend compte que je ne suis pas loin de Helgen… Je me demande comment c’est sur place. J’arrive dans la fameuse ville une heure plus tard et par chance il y’a des bandits. Je n’attend même pas mon sorcier, je fonce dans le tas sans précaution.  Résultat j’extermine tout les renégats sans une once de pitié. Même une jeune femme qui c’est rendu et que j’ai décapitée de la façon la plus froide possible.

Je suis calmée.. Je reprend donc ma route avec pour objectif d’atteindre le fief de la confrérie noir qui se trouve plus loin sur le chemin. Entretemps je visite la grotte du griseau ou j’extermine avec beauté une dizaine de loup et ça uniquement avec un arc. Il commence à se faire tard néanmoins je suis en pleine vadrouille je décide de passer la nuit dans un passage plus loin, celui d’Osfroid.

« Modifié: mardi 22 juillet 2014, 22:19:17 par Mjoll la démone »

Mjoll la démone

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Re : Fiction

Réponse 7 mercredi 23 juillet 2014, 02:04:43

Jour 19 :

Je me réveille dans le passage d’Osfroid. Un passage bien plus accueillant que le temple des Grisebarbes. Je m’étire et me frotte le visage comme pratiquement chaque matin. J’observe ensuite la grotte que je n’ai pas eu le temps d’explorer la veille. Il est temps de nous lancer à l’aventure du lieu. Une aventure bien reposante bien qu’au cœur de la grotte se trouve un ours troglodyte. Un ours à la broche conviendrait mieux à la pauvre bête. Je reprend le chemin jusqu’au passage des anciens ou avec l’aide de mon mercenaire je combat un dragon. Un de plus à noter à la liste des espèces en voie de disparition. Une fois le dragon éliminé je reprend ma route vers la guilde des assassins. Je m’arrête néanmoins prêt du village d’Epervine ou un orc vulgaire vient m’agresser. Je lui fait comprendre par le fer qu’il a tord.

Je ne m’attarde pas trop à Epervine mais déjà j’apprends que le forgeron recherche un chien. Je l’aiderais à le retrouver un de ses jours. Il est 4 heures quand je m’arrête au Cairn de Halldir, un endroit pour le moins étrange et pourtant sympathique. En entrant le charme s’évapore sur une source de lumière d’un bleu pur entourée par plusieurs cadavre. Le moment idéal pour tester mon nouveau pouvoir de nécromancie. Finalement je me retrouve à visiter le Cairn avec 3 morts, mon mercenaire et moi. Une fine équipe qui n’hésite pas à tailler dans le vif du sujet. Finalement on trouve la cause de cette lumière, un magicien qui n’est plus que poussière. Néanmoins la visite du Cairn m’a prit toute la journée et je décide de dormir dans la première pièce du Cairn et de repartir demain.

Jour 20 :

Il est approximativement 8 heures quand je me lève dans le Cairn. Il est temps pour moi et mon mercenaire de reprendre la route vers la guilde des voleurs. En chemin je croise la route d’un paysan. Le pauvre n’est plus qu’un habitant de la rue. Un dragon à détruit sa maison…  Je comprends ça et je lui offre quelques pièces. Ça ne va pas l’aider à vivre mais au moins il est assuré de manger pour se soir. Plus loin sur la route je trouve l’entré de la guilde des assassins. Je demande à mon mercenaire d’attendre ici même. J’entre dans l’habitation et parle à la chef des assassins Astrid. Elle me connaît bien plus que la rencontre dans la cabane. C’est vrai… j’ai deux de ses membres qui se sont cassé les dents à vouloir me tuer. Néanmoins elle m’accepte avec plaisir et m’offre ainsi la tenue des assassins, tenue que je revêt devant elle. C’est quand même une voyeuse vue comment elle m’observe.

Après cela je vais récupérer des missions d’assassinat. Finalement je bascule dans le côté sombre de la vie. Il est 3 heures quand je quitte la confrérie noire pour reprendre le chemin de Blancherive. Je m’arrête cependant dans une grotte en retrait sur le chemin. La grotte du Bouffi est un endroit magnifique ou la verdure est aussi bien présente a l’extérieur qu’à l’intérieur. Il y’a des tigres à dent de sabre qui gardent se lieue féerique. Enfin qui gardait. Je m’autorise une pause dans se paradis. Je me dévêt de mon armure sibyllin pour me prélasser le plus nue possible dans une petite fontaine au cœur de la grotte. C’est bon et agréable de pouvoir se prélasser ainsi. Marcurio est tout gêné par ma nudité et préfère étudier davantage les plantes. Peut-être est-il un peu homosexuel sur les bords. Au bout de plusieurs minute je sors de l’eau et je me r’habit doucement. Je me dois de visiter davantage cette grotte du bouffi et j’ai raison de le faire. En retrait de la grotte se trouve un autel des lames et je retrouve une épée des lames. Une deuxième qui vient compléter ma collection. Il est 5 heures quand je décide de partir de la grotte et de rallier blancherive le plus rapidement possible.


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