Trouvaille ? [Pv]

Sarkesh n'aimait pas les villes, pas parce qu'elles n'offraient pas de divertissement, pas parce qu'elles n'offraient pa de protections suffiantes ou autres, mais être engoncé dans du béton, enserré, étouffé, à quoi cela pouvait-il bien rimer au juste?une pseudo sécurité entre chaque coupe gorge ? Il n'en savait rien, il savait juste qu'il était du genre à vouloir les fuir, mais parfois, comme aujourd'hui, une halte s'imposait dans une ville, histoire de refaire le stock de médicaments pour les médikiners, et accessoirement, parce qu'il avait un peu de marchandise à y vendre et à y récupérer, certaines personnes ici avaient des talents magiques assez intéressants… il eut un léger sourire avant de finalement ramener sa capuche sur sa chevelure pour mettre son visage dans l'ombre alors qu'il fouillait les ruelles à la recherche de quelque chose d'intéressant… il y avait quelqu'un de magique ici… quelqu'un avec des dons intéressants…. Il eut un léger sourire avant de finalement tourner dans une nouvelle ruelle, puis une autre…

Par deux fois on tenta de lui dérober une bourse... par deux fois, il y eut un bras de brisé, ou un poignet, enfin qu'importe, par trois fois on lui mit un couteau sous la gorge… et par trois fois, le couteau finit dans la gorge de quelqu'un d'autre… ; et qui pouvait y dire quoique ce soit ? Il eut un petit sourire… les bas quartiers étaient parfaitement mal famés. Il eut un petit sourire avant de finalement se décider à trouver quelque chose d'intéressant…

Une jeune femme était allongée, au sol, dans une cour mal pavée, elle était exposée à la vue de tous et de toutes, nue, intégralement, ses cuisses étaient suffisamment écartées pour vir un joli filet de sang en couler. Il sourit et s'approcha… il s'approcha assez prêt pour qu'il puisse constater que même si c'était faiblement, son coeur battait et elle rspirait… plus encore, il percevait une certaine form e de don… il la retourna sur le dos. Elle était jolie même si elle était crasseuse et quand il regarda ses pupilles elles étaient voilés… une aveugle…. Il faudrait sans doute lui trouver un bandeau, histoire qu'elle ne soit pas trop mal à l'aise… non, histoire qu'elle ne mette pas trop mal à l'aise…

« Allez ma fille, viens avec moi ! »

Elle était belle. Elle ferait un réceptacle de choix… il la porta  sur son épaule jusqu'au chariot qui attendait plus loin et l’enferma dans la cage ave les autre et l'indiqua au médecin… il l'examine avant qu'ils ne partent. Ils en avaient encore plusieurs heures. Qu’il l'emmène dans sa chambre à l'auberge, qu'il vérifie qu'elle allait bien, il reviendrait avant e partir. Que l'on ùette un garde en faction, cela pouvait servir.

Il ne revint à l'auberge qu'à la nuit tombée. Il partirait le lendemain matin. ON lui dit qu'on avait déjà monté son repas dans sa chambre, aussi monta-t-il sans attendre. IL enra dans la chambre et en profita pour regarder l'état de la jeune femme, elle était assise dans son lit et mangeait quelque chose… un bol d'une bouillie…

« Bonsoir. »

Cela faisait bien une demi-heure que Zuë tentait de s’échapper à travers les ruelles. Mais elle était tellement paniquée qu’elle avait du mal à suivre ses sens. Elle tomba à maintes reprises, se faisant bousculer, marcher dessus, frapper et pousser par de nombreux passants agacés. Mais c’était bien plus supportable que de retourner d’où elle venait.

Cela faisait quelques jours que son ancienne propriétaire l’avait revendue à un homme riche des beaux quartiers aux tendances sadomasochistes. La jeune femme ne s’attendait pas à vivre heureuse ou à être épargnée mais pas de passer si près de la mort.
L’homme était fou à lier. Il ne lui laissait aucun répit, la violant à répétition sans jamais la nourrir ni la soigner. Il la battait et lui faisait subir les pires horreurs afin de contenter son appétit insatiable. Et il n’était jamais content. Zuë avait fini par oser s’échapper lors d’une de ses rares absences.
Et maintenant elle courrait comme elle pouvait dans les rues. Elle savait qu’il avait été prévenu et qu’il la pourchassait. Il l’aurait déjà fait depuis bien longtemps mais il devait prendre son pied à la regarder courir comme ça pour tenter de lui échapper.

Puis il finit par en avoir marre de ce petit jeu. Il accélérât le pas et lui tomba dessus. Il lui attrapa les cheveux et la frappa au visage avant de lui arracher son bandeau des yeux. Son bandeau ! Après plusieurs coup de pieds dans les côtes il la redressa, la paqua contre un mur et la viola sauvagement au milieu de tous, en hurlant qu’il était le meilleure, que rien ne lui échappait, qu’il était le seul maître ici et qu’il n’autorisait pas la désobéissance et l’infidélité de ses esclaves. Zuë servit d’exemple malgré elle. Après plusieurs minutes qui lui semblèrent des heures, l’homme la laissa retomber à terre et lui urina dessus en de grands éclats de rire avant de repartir sans se retourner, la laissant à son sort.

Zuë avait déjà perdue connaissance…

Quelques heures plus tard, elle reprit peu à peu ses esprits. Lorsqu’elle reprit un peu de conscience, elle se redressa vivement, paniquée. Elle ne reconnut pas l’endroit et eu peur d’avoir été ramenée à son maître. Mais une présence féminine tenta de la rassurer. Ses intentions étaient bonnes. Elle était elle-même esclave et on lui avait ordonné de la laver, la vêtir un peu pus convenablement et de la nourrir. Elle lui expliqua qu’elle avait été ramassée dans la rue et amener ici par un homme. En revanche elle ne pouvait donner son identité.

Zuë ne posa aucune question. Tout son corps lui faisait mal. Elle sentit quelques bandages autour de sa poitrine, signe qu’elle reçut quelques soins. A l’aide de Zumi (la jeune esclave qui l’accompagnait) elle put faire un brin de toilette. On lui passa une toge très légère afin qu’elle puisse cacher sa nudité. Ses vieilles fripes étaient immettables. On lui servit ensuite un bol et on lui intima de manger. Puis on la laissa seule.
Zuë n’avait pas l’habitude qu’on prenne soin d’elle. Mais de temps en temps certaines personnes la prenaient en pitié. C’était surement le cas des propriétaires de cette auberge.

Elle commença à manger et à se poser des questions sur la personne qui l’avait emmené ici, lorsqu’elle entendit des pas se rapprocher et la porte de la chambre s’ouvrir. Zuë s’attendait à sentir l’odeur de charbon que la petite esclave laissait dans son sillage mais il n’en fut rien. Cette odeur était plus musquée. Un homme visiblement, qu’elle ne reconnut pas. Il la salua. Zuë tâtonna et réussi à poser le bol sur le côté du lit. Elle se redressa, sur le qui-vive, prête à s’enfuir à nouveau s’il le fallait… et resta silencieuse, gardant ses sens en éveil.

Sarkesh regarda la jeune femme qui s'était un peu redressée dans le lit pour manger… elle était bien maigre trouvait-il, ete elle était en piteux état quand il l'avait retrouvée, mainetant, qu'ele reprenne des forces. Par contre, si Sarkesh aimait beaucoup de choses, il y avait bien quelque chose qu'il ne tolérait pas : l'absence de politesse. Elle venait de poser son bol à côté du lit, mnquant de peu de le renverser et maintenant, quoi ? UN bonjour et merci peut être ? Non ! Juste une tension…

« Quand ne se connaît pas on se présente, c'est usage… et je crois qu'un bonjou ou un merci ne serait pas de trop… je t'ai trouvé et je t'ai faite soignée ici, dans l'auberge où je loge dans le lit qui est mien… un remerciement aurait été la moindre choses. »

Le ton n'était pas mauvais, juste un peu abrupt.Il n'aimait vraiment pas l'impolitesse… Il regarda le femelle aveugle apparemment, si on comprenait el rôle de son bandeau et il s'assit au bord du lit près d'elle, en silence, retant silencieux et sentant cette violente tension dans l'air qui témoignait de celle de la jeune femme… il la regarda, curieux. Il sourit et lui prit la main au sein de la sienne pour la serrer dans la sienne, pour la rassurer.

« Détends toi, tues en sécurité ici… tant que j'y suis du moins, je pars demain, alors repose toi ce soir et nous aviserons sur que faire de toi pour demain, d'accord ? »

C'était purement rhétorique, certes, mais il n'empêchait pas qu'elle avait attisé une forme de curiosité, curiosité qui était attisée par elle… alors il voulait des réponses. IL lacha sa main et glissa la sienne sur sa joue avec douceur, comme pour la rsssurer.

« Alors comme ça tu es aveugle ? C'et triste et en même teps heureux, je suppose… la grande question, c'est plutôt qui es-tu ? Parles-moi de toi… je veux en savoir un peu plus… mais comme c'est normal que je commence. Je suis le seigneur sarr'kesh. Je suis un négociant itinérant. Je voyage beaucoup, et je suis juste là pour refaire mon stock de vivres... »

Et accessoirement trouver des personnes avec un don… et elle ne faisait partie si il comprenait ce qu'i sentait chez elle en fait…

« A ton tour ! »