Cette étroitesse, ce corps fin et léger, sentir son dard alors qu'elle caressait le vendre de la belle femme, voir aussi bien la douleur et le plaisir qu'avait cette dernière à monter et descendre sur son vit, Oliana ne pouvait être que ravit. Le plaisir était même plus plaisant, car c'était la première femme qu'elle pouvait culbuter, en dehors du centre de dressage, et donc les mêmes esclaves et formatrices/formateurs depuis quelque années. Écarteler ce petit bout de femme, détendre ses parois rectales et ses boyaux, remonter le long de ces derniers, déformer le ventre de femme, ronronner de puissance et de plaisir. Bon dieu que c'était bon.
Bien qu'elle aidait sa maîtresse rentrer son vit en elle, Oliana le fessait de manière douce, assistant plus qu'autre chose sa maîtresse, léger coup de bassin et petit mouvement de ce dernier, pour facilité ses déplacements le long de son dard, ignorant les discusions entre ses maîtresses, bien trop accaparer par sa mission. Mais rapidement, Oliana, dans la logique où elle n'avait pas reçu d'ordre l'interdisant de culbuter sa maîtresse, mit ses deux paluches sur les fesses de la vampire, les tenant fermement entre ses doigts, les écartant, et commença à prendre de la vitesse dans ses coups et à mettre plus de force, jusqu'à provoquer des claquements audibles, ses couilles claquant contre les fesses de la délicieuse femme, tout en l'accompagnant dans ses mouvements. Entreprenante, elle bougeait son bassin au rythme de sa maîtresse, la culbutant avec plaisir, soufflant puissamment à chaque coups de boutoir, son sourire enjôleur et ravie, son regard affamé et plein de vices. Mais encore, bien que puissant, elle ne mettant pas toute sa force, la position n'était pas des plus pratiques, mais elle s'en rapprocher assez.
Oliana, comme obnubiler par le visage de sa maîtresse, ne remarqua la présence du petit cousin de son pieu. Sa maîtresse, elle-même membré en des proportions plus raisonnable, bandait dur, son sexe tremblant et se ballottant au rythme des coups et des mouvements, petite danse obscène, mais néanmoins charmante pour des personnes comme elles. Durant quelque minutes qui suivirent, ce ne fut que succès ion de claquement et de gémissement, de souffle et de ronronnements. Ce fut non loin de la fin du temps impartie, que la femme finit par jouir, lâchant des jets de foutres, arrosant Oliana, tachant sa poitrine, son ventre et un peu son visage, de délicate tache blanche et crémeuse, son crie délicieux, résonant dans les oreilles de Oliana. Cette dernière ne tarda pas à suivre, donnant un dernier coup, avant de délivrer quelque jets de foutre, avec puissance et quantité, chaude à souhait et crémeuse comme on l'aime, lachant un crie de plaisir. Elle n'avait pas tout lâcher, ayant encore de la réserve, mais son endurance et son assurance sembler remisse en cause, mais Oliana n'était pas le moins du monde fatiguer d'un iota et bien trop excité et enivré par le plaisir pour résister à l'envie de l'extase de l'orgasme.
-Miiaaarroowww !! Émit Oliana, ronronnant ensuite.
La vampire vint s'affaler contre Oliana, malgré la verge massive et toujours aussi dure planter en elle, Oliana s'amusant à contracter son bassin, soulevant légèrement la délicieuse femme avec sa trique, alors qu'elle utilisa les obus de la néko comme oreiller, posant sa tête sur son propres sperme qu'elle avait libérer, de même que sur le ventre de Oliana. Cette dernière, s'amusa à lécher et à avaler le sperme sur sa joue, sa poitrine et son ventre, tandis que sa maîtresse bécotait ses seins. Elle finit par se redresser, en même temps que Oliana finit de lécher tout le sperme qu'elle récoltait avec ses doigts, et entreprit de se relever pour retirer l'imposant barreau de chair. Mais elle eu du mal à la quitter, Oliana le voyant bien, les sensations devaient être bien plaisante à garder cette bite en soi. Mais après avoir fais quelque cercle avec son bassin, remuant la verge en elle, fessant gémir Oliana, elle finit par céder et se retira donc. La verge tangua un peu, avant de se remettre droite et dur, insatiable.
« Ouah ... Quelle bite, si je peux me permettre ! » -Nya~ ! Vous pouvez tout vous permettre maîtresse. Répondit Oliana.
Elle s’apprêta à se relever, les dix minutes étant sans doute passer, mais la délicieuse créature entreprit de fermer la porte à clés, la seule voix d’accès, et de jeter la clés au loin, se perdant vers le fond de la pièce.
« 10 minutes, ce n’est pas assez ! Les gens comme nous, on prend notre temps, surtout vu le prix de cette grande. Donc ... Oliana et moi, on va te prendre de toutes nos forces, et te faire jouir comme jamais tu n’as joui. Comme ça, tu auras une belle idée de la bête, car moi ... Je suis déjà conquise ! » Oliana fit les gros yeux, surprise, mais elle ne fut pas choquer, prenant cela avec plaisir et se soumettant à cette demande, car après tout, c'était les maîtresses du moment, elle se devait d’obéir ! Elle s’exécuta donc, quand la femme lui demanda de ce mettre debout et de ce préparer à prendre l'autre belle femme, tout aussi délicieuse, en sandwich. Elle se plaça derrière elle, pouvant facilement mettre ses seins sur sa tête, mais elle se contenta de la soulever délicatement, la prenant par le haut des cuisses, lui assurant une bonne stabilité, et elle la leva comme une plume, en même qu'elle fléchit un peu ses jambes, pour placer sa trique contre sa rondelle. C'était ce que voulait sa maîtresse après tout. Elle avait prit la place arrière car, c'était plus simple pour la culbuter et plus pratique pour sa maîtresse à ses yeux, et puis elle voulait laisser le couple en face à face. Sa trique était couverte d'un peu de sperme et d'huile, permettrant une bonne pénétration, avant d'écarter ses fesses avec ses doigts et de commençait à pousser.
-Rassurez vous, je serais délicate. Souffla Oliana.
Avec délicatesse, elle empala la femme, sans brusquerie, forçant doucement, laissant le temps à la femme de s'habituer à la pénétration et pour lui provoquer le moins de douleur possible. Douce et longue, il fallut plus d'une minute pour que Oliana puise enfoncer entièrement sa trique dans le fondement de la femme, lui déformant à son tour le ventre, un bosse visible. Empaler ainsi, avec la différence de taille, la pauvre femme ne pouvait même pas toucher le sol avec ses pieds, mais pour autant, Oliana ne la lâcher pas, évitant ainsi que la femme ne soit entraîner par son poids vers le sol et encore plus empaler sur le pieux de chair. S'assurant que sa maîtresse soit à la bonne hauteur pour le sandwich, Oliana attendit l'ordre fatidique.
-Quand vous voulez maîtresse ! Ronronna Oliana.
_-_-_-_-_-_-_-_-_ ! Miaou ! _-_-_-_-_-_-_-_-_
Peu de temps avant, alors que les clients discutent entre eux de Oliana ou d'autre chose, le directeur discuter avec certain esclavagiste et gros bonnet, sur les raisons de la création d'Oliana, à savoir une envie commune entre plusieurs personnes, pour renouveler un peu le genre et innover, tester divers produits pour améliorer les performances des esclaves et tester un nouveau moyen pour briser l'esprit des terranides, et ce qu'elle pourrait apporter sur le marcher.
-Dites moi très cher : pensez vous que dix minutes suffiront ? S'enquit un homme au près du directeur.
-Je pense que oui, une simple mise en bouche. Et puis nous n'avont pas toute la journée ! Nous en auront au moins pour deux heures ! Le temps que chaque personne passe ! Au faite, les marchandises sont là ? Demanda le directeur à l'adresse de George.
-Affirmatif, nous débuterons les enchères dans quelque instant. Mais cela ne risque pas d'éclipser la raison principale ? Répondit l’intéresser.
-Oh non, et puis il faut bien faire patienter les clients. D'ailleurs, je crois qu'il est temps pour le prochain passage.
George alla vers la porte de la salle, et voulue actionner la poignet, qui refusa de bouger. Un ange passa, avant qu'il ne recommence, nerveusement, sous les regards insistants et impatients des femmes, et hommes, voulant tester Oliana. Il tambourina la porte, mais rien ni fait, personne ne vint l'ouvrir.
-Euh... hem, veuillez m'excuser un instant. Annonça George, qui repartie vers le directeur.
Monsieur, je crains que le couple Warren ait... fermer la porte à clés.-Pourquoi j'ai le sentiment que je devais m'attendre à quelque chose de ce genre là ? Répondit le directeur
Bon, allez voir si on n'a pas un double des clés, sinon nous laisserons le même temps à chaque groupe.-Ça risque d'être affreusement long ! Clamat George.
-Mais ça pourrait nous être utiles au final. Ajouta t-il, l'air mystérieux.
Fais par de ceci aux clients : Oliana vaudra le temps attendue et que les premières a passer, ont voulue profiter plus longtemps d'elle. Vous aurez droit au même temps qu'elles passerons avec Oliana et que personne ne le regrettera ! Ça devrait suffire.-Bien.-De quoi parlions-nous messieurs ? Lança le directeur en se retournant vers les personnes avec qui il discuter.