La petite devait être surprise mais contente de l'action que je lui présentais. Surprise car peu d'animal devait avoir pris les devant à ma manière et contente car ça signifiait que nous allions jouer, malgré les différences évidente entre espèces. Sous cette forme, je ne pouvait pas la contenter avec mes jouets, ou avec ma magie, les seuls moyens que j'avais pour elle était ma langue et mon unique queue.
- Toi tu as l'air d'être une petite perverse ! Notre Seigneur aime beaucoup les salopes, offrons lui une belle offrande.
le Seigneur ? Elle semblait parler du même que ce prêtre ... Mais était il réellement celui là ? Si c'était le cas, le ''Père'' m'avait caché pas mal de petit jeux amusants. Elle se déplace, je me retire afin de ne pas la gêner, et enfoncée dans sa robe, ça devait probablement être le cas. Elle se couche sur le dos, et après quelques mouvements pour se mettre en position confortable sur le sol, elle relève sa robe et écarte les cuisses, le laissant le champ libre.
Quel dommage de ne pas être un mâle en ce moment, je me ferais plaisir puisqu'elle semble le vouloir, mais à défaut je me contenterais de ce que j'ai... Je la taquine un peu avant, je la chatouille de mes fines vibrisses, je colle ma truffe contre son aine à l'air libre, je respire par saccade au dessus de son clitoris, je faisait en sorte de lui faire ressentir quelque chose qui remue depuis le fond des entrailles, une sensation perçue quand on se lance face à l'inconnu.
Bien entendu, je résistais à l'envie d'attaquer directement, chaque odeur des différentes personnes que son entrejambe gardait était une raison additionnelle de la lécher. Je finis toutefois par céder, après m'être laissé désirer un petit moment. Je voulais la stimuler, et je pense avoir réussi mon coup. Je finis par lui laper l'entrejambe, une première fois, je reste une seconde à savourer le goût sur ma langue avant de recommencer, encore et encore. Laper une partie aussi odorante était un plaisir pour n'importe quel canidé, et c'en fut un même pour moi, je tente toutefois d'innover un peu, en essayant par moment d'écarter les lèvres intimes à coup de mâchoires – de mâchoires, oui, pas de morsures, j'ouvrais la gueule pour essayer d'écarter ses grandes lèvres – pour tenter d'enfoncer ma langue à l'intérieur. Chose pratiquement impossible avec la fine langue que je possédait en tant que renarde.
Petit à petit, les odeurs perdaient en intensité, en effet, à force de la lécher, d'une les odeurs étaient nettoyée, de deux, ma propre odeur masquait le reste. Je finis par cesser de lui lécher l'entrecuisse libre et je m'intéresse à d'autre partie de son corps, à commencer par ce qu'il y avait plus près, soit ses fesses. Je pouvais sentir qu'elle n'avait que peu utilisé son derrière comparé au reste. Je ne m'empêche pas cependant de lui lécher vaguement les fesses et entre, sans aller plus loin. Je relève la face, et remonte le corps de la petite, emportant au passage la robe si elle comptais me gêner. Une fois arrivé à ses seins, la petite, qui jouais jusqu'alors avec, retire ses mains pour voir ce que je comptais faire.
Comme pour son entrecuisse, je joue un peu en la taquinant de mes vibrisses et de la respiration saccadée propre à l'animal que je suis. Je finis par lui lécher le sein, par large zone, d'abord du bas du sein, pour remonter par les cotés avant de finalement goûter le centre. Si les odeurs étaient moins intéressantes que sur son aine, elle n'étaient pas à négliger non plus. En parlant de son aine, il ne fallait pas croire que comme je l'avais délaissé avec ma langue je l'avais forcément oublié, j’étais plus petite qu'elle sous cette forme, et c'était un avantage certain, car ma queue pouvait alors la caresser sans problème. Enfin, sans problème, si. Mon unique queue n'était ni aussi souple ni aussi longue que sous ma forme hybride, et j'en possédait beaucoup moins, mais je pouvais compter sur cette rigidité pour surprendre un peu la petite qui ne devait probablement pas s'attendre à ça.
De face, je marque le sein de mes dents en ouvrant la gueule tout en continuant les léchouilles. Je ne voulais pas la mordre, juste montrer que ma gueule avait des dents, et les faire passer sur ses seins. Sans vraiment avoir forcé, une petite trace rouge était visible sur le sein de la petite, c'est ce genre de marque que pourrait te laisser ton chien, s'il met la patte sur ton bras et qu'il est particulièrement maladroit, ce genre de marque disparaît dans les dix minutes qui suivent. Entre temps, la sensibilité sur l'endroit même de la marque est légèrement accrue. Après avoir léché divers endroit sur ses deux seins, ma queue sens un peu de fraîcheur au niveau de l'entrejambe. En évitant de la blesser, je me retourne à 180°, ma gueule se retrouve à nouveau sur l'entrejambe de la petite, et ma propre entrejambe se retrouve non loin des sens de la petite.
Ce n'était pas particulièrement intentionnel de ma part, mais du point de vue de la petite, cela pourrait être une occasion de me faire plaisir, ou de me féliciter en me caressant. Sachant que si elle prend la première option, j'aurais une réaction involontaire qui sera de relever la patte arrière, ce qui pourrait lui griffer (on parle de coup de griffe de canidés, donc des marques rouges et non des griffes de chats qui te blessent au point de faire saigner) les seins.