Mais... j'ai des boobz !!! [PV Ikki]

Mon miroir était encore bloqué dans un vide-grenier. Ce m'énerve ! Depuis des siècles, je passe de main en main, sans être capable de garder un maître ou une maîtresse indéfiniment. Bon, certain, je m'en serai même bien passé, mais là, ça devient vexant. À croire que je ne leur suffis pas : certains trouvent une "femme" qui ne leur ressemble pas. Franchement, faire l'amour à quelqu'un qui nous ressemble, c'est quand même plus excitant, non ? Ça me vexe profondément. Résultat, je finis offert à un gros lard moche et puant une fois sur deux. Autant vous dire que je reste dans mon miroir quand cela arrive.

Cette fois, j'ai passé plusieurs mois à regarder un gros danser devant mon miroir pour s'admirer. L'horreur. Heureusement, il s'est vite décidé à me revendre pour en tirer un bon prix. J'ai vraiment hâte de tomber sur quelque d'autre. Finalement, après un long moment d'attente où ne passait devant que des couples, un joli garçon passa devant. Enfin ! Mais il ne s'arrête pas. Non, reviens beau gosse !! Vite, attirer son attention. Il va tourner la tête par là, ils le font tous. Comment lui donner l'envie de m'acheter ? Oh, j'ai une idée !

Concentre-toi, ma grande. Heureusement que dans le monde du miroir, le temps passe plus lentement. J'ai le temps de visualiser ma transformation : apparaître quelques secondes en femme, pas plus. Son corps est svelte, plutôt bien foutu. On réduit les abdominaux et on augmente la poitrine. Il a un t-shirt bien serré, ça va faire ressortir la poitrine volumineuse que je lui donne. C'est parfait ! On va aussi réduire la taille du t-shirt, faire apparaître mon ventre. Des cheveux longs et des yeux de biche pour la forme. Mais... mais il possède un pouvoir ? Je n'ai pas le temps d'en savoir plus, mais si j'ai raison, je pourrai bien m'amuser avec son corps ! Allez, regarde ! Dès qu'il tournera la tête, redevenir un homme. Il doit avoir l'impression d'avoir vu une femme dans la glace. Maintenant, tourne-toi vers le miroir à ta gauche ! Aller, achète-moi, pitié, je n'en peux plus de rester avec ce gros lard.

Ah putain de merde. Bah quoi vous n’avez jamais eut envie de rester au pieu toute la journée tellement que z’avez la flemme de faire quelque chose à peine levé ? Bah moi si aujourd’hui… Et vous savez pourquoi ? Parce que votre empereur doit aller faire les courses comme un mec des plus banals. J’ai une tronche à être banal ? Et ben non. Mais problème j’ai pas envie de crever de faim et j’ai envie de nouilles. Bon bah… Je change de calbute, fous un tee-shirt et un jean à l’arrache et go au marché en plein air. Ouais le truc où des mecs banals ainsi que des petites vieilles se baladent tous les jours. Je sais pas pourquoi mais il semblerait que je les attire ces fichus vieux. Et peu importe la période de ma divine vie ou l’endroit où je suis hein. A croire que le japon se spécialise dans le lâché de vieux dans le pays. J’sais bien qu’on est un des pays avec l’espérance de vie la plus haute… Mais quand même quoi. J’aurais préféré des jeunes femmes bien boobées style top model pour magazine de cul ou perso de manga fanservice ecchi.

Donc je sors et là,… Vas-y que je trace comme un fou à travers la ville ! Vas-y que je laisse un sillon de vent pas possible sur mon passage, et matte sous la jupe des filles au passage ! Et vas-y que je ressens cette sensation de vitesse et de puissance non-comparable avec tout les plus gros délires grosbillesque ! Vas-y que je fais tout ça pendant… Cinq secondes. Oui ben j’essaie de rendre un truc banal plus passionnant hein. Bref, j’arrive et là… Whoa ! Rien du tout. Bon j’espère que le type qui vend des mangas d’occaz’ sera là. Ben ouais j’ai pas envie d’être venu pour repartir la queue entre les jambes. C’pas pour dire mais ça le fait pas pour un mec aussi coolissime que ma divine personne. Bon allez y’a quoi… Un vendeur de légume, un bric à brac chelou, une vieille qui vend des trucs que je veux même pas savoir ce que ça fais et d’autres conneries plus loin. Bon au moins y’a de quoi faire le plein de ramen. Je paye, me retourne et… :

- Ho putain c’est quoi ce délire !?

J’ai pas rêvé là !? Attends j’ai pas rêvé !? Y’a quelques secondes de ça ce fichu miroir affichais moi en femme et maintenant encore moi !? Putain c’est la cuite de la veille qui est encore en effet ou bien…  Nan ça doit être autre chose. J’ai vu une Ikki boobée et franchement bandante là y’a pas un instant. Je veux ce miroir. Putain je le veux. La mamie à moitié borgne qui vient de se faire arnaquer par la tronche de bite qu’est le vendeur va dégager. Attends… Il s’passe quoi si je regarde de près ? Rien bon… En plus j’ai une idée pour pas payer en toute honnêteté. Je me relève et regarde le mec avec des petits yeux de pervers cliché qu’on voit dans des manga/animes/images de cul en guise de pervers violeur de mes couilles. Non pas de mes couilles finalement… :

- Hey. J’ai pas rêvé où t’as arnaqué une vieille là ? Tu veux que j’appelle les flics ?

Yeah ! Baston verbale. Ah ça m’avait manqué ce truc. Bon autant vous dire qu’il a pas mis longtemps à se faire battre à plate couture par ma divine élocution. Beau gosse dans l’Âme, vous croyez quoi hein ? Bon en gros, osef de la vieille et je repars avec un truc de mon choix… mais il veut tout SAUF le miroir. Il me pète les burnes ce gros con. Tu veux jouer au plus fin ? Bah j’fais genre d’appeler les flics. Ho comme c’est chelou. Maintenant le miroir m’appartient. Bon… Allez je le prends et ça roule ! Bon okay il est un peu encombrant avec les boites de ramens et son emballage, mais je gère quand même. Je mets juste plus de temps à avancer c’tout. Breeeeeef… J’ouvre la porte et pose négligemment les ramens sur la table pour vite installer le miroir dans la chambre, et tant qu’à faire me mater :

- Pouah mais que je suis classe putain. Ça devrait limite être condamné par une loi intersidérale d’être aussi cool bordel

Oui bon… Montre-moi en version boobz. Allez !

Il m'avait vu ! Oh oui, il s'approche maintenant ! Il a remarqué l'étrange reflet au féminin qu'il y a dans ce miroir. Il s'approcha et regarda de plus près, les yeux ahuris. Il est mignon, surtout avec ces yeux surpris. J'ai hâte de lui faire encore plus de surprises. Et ce petit malin, il n'a même pas eu à m'acheter : apparemment, le gros qui me possédait avait tenté d'arnaquer une petite vieille sur un bibelot sans valeur. Avec une éloquence frôlant l'impertinence, il remit en place l'homme et réussis à faire obtenir à la femme d'autres objets ayant plus de valeurs. Et finalement, lorsque son tour arriva, il demanda mon miroir. Le moche ne voulait pas me céder, normal, je valais cher, très cher. Ce n'était pas un miroir au hasard.

Mais le garçon avait plus d'un tour dans son sac : il décida de bluffer. il sortit son appareil de communication et tapota dessus. J'eus l'occasion de m'en servir de ces "portables". C'est un système ingénieux. Il fit semblant d'appeler les autorités, ce qui suffit largement pour convaincre son interlocuteur de lui laisser mon miroir. Avec une certaine fierté, il me prit sous un de ses bras de m'amena jusqu'à sa demeure. Il m'amena directement dans la chambre où il posa mon miroir avant de s'admirer. Je fis un immense sourire alors qu'il se flattait tout seul devant la glace. Il m'amusait, mais je sentis son impatience de me voir ressortir. Je pris le contrôle du reflet à nouveau, cette fois-ci de manière plus prononcée.

Je rechangeai mon apparence, en ajoutant les modifications à partir des hanches jusqu'aux pieds : il fallait être plus féminine que jamais à présent. Rapidement, je devins femme, copie de cet homme en négatif. Je me tournai entièrement vers lui en souriant. Je me mis à flotter au sein du reflet de parlait au garçon :

« Ce qui devrait être condamné, c'est de laisser ce corps caché par des vêtements. Et je ne parle pas que pour toi. »

Je lui fis un sourire charmant, penchant mon buste en avant pour dévoiler un décolleté très très avantageux, malgré le t-shirt serré. Je me mis également la tête en bas, parlant tranquillement avec sa voix s'il n'avait pas mué.

« Ne crains rien, Tastuki, je ne te veux pas de mal. Au contraire, je souhaite être ton ami, et plus encore. Ce corps dont tu es si fier, j'ai le même au féminin. Tu pourras faire plus encore que l'admirer : tu pourras le toucher, le caresser, le flatter au plaisir. Plus que tu n'aurais jamais rêvé. »

Je me remis à l'endroit et posait ma main sur le miroir, ajoutant :

« Mais pour cela, tu dois me faire sortir de mon miroir. Prends ma main et fais-moi venir dans ton monde. Alors, tu pourras t'amuser avec ce corps autant que tu veux. »

Ho putain ça y est ! Cette fois je rêve pas bordel. Mon divin reflet change encore pour redevenir le même, mais avec des boobz. J’compte pas le cul d’enfer parce que j’peux pas trop voir le mien mais… Ch’ui sûr qu’il est aussi bien gaulé voire mieux. En version mec certes mais bien gaulé quand même. Sérieux, le mec qui dit que j’ai pas de bol là je lui fait bouffer ses couilles sans vinaigrette.  Je m’étais déjà imaginé avec une belle paire de boobz comme ça parce que j’en avais envie, mais  je pensais pas que m’avoir sous les yeux serait encore plus trippant. Ben ouais que je suis étonné quoi. Attends, c’est comme si t’était tranquille en train de te raser devant la glace et que ton reflet t’engueule parce que t’était moins moche avec ta barbiche de trois jours. Ho attends … Il a parlé !? Mon reflet à parlé !? Putain et en penchant la magnifique paire devant mes yeux de beau gosse… Wahou ! Donc faut que je… Ho wait :

- Attends attends…. Temps mort là. Ça fait un peu beaucoup de truc à avaler en un coup là. Même pour moi

Ouais bon. Je remets le blouson en place toussa… Histoire de faire plus présentable quoi. Puis je reprends un air plus sérieux. J’essaye de pas trop mater les boobz, même si bon ma nature fait que je ne peux pas m’empêcher de regarder ce qui est beau et bien roulé, car ça me parait aussi gros que suspect quand même. Ce qui se passe pas les boobz hein. Ouais parce que si j’résume, elle me dit de lui prendre la main en me promettant monts et merveilles ? Ça me rappelle plus un banquier qu’un reflet de ma divine personne ça. ‘Fin bref, faut que j’en aie le cœur net parce que là, je vais pas me triturer la nouille pendant trois plombes à savoir si je peux faire confiance ou non à mon reflet, même si franchement je vois pas où serait l’arnaque à la base… :

- Avant de te sortir ce là, j’aimerais avoir un minimum de preuve quoi. Ouais parce que c’est cool tout ce que tu me chante là, mais j’ai pas envie de rester de l’autre coté ou d’avoir genre des clauses en petit en bas du contrat quoi

Puis je rematte… Oui bon je vais pas me répéter. Je crève d’envie de la faire sortir de là mais si c’est pour me faire avoir après, c’pas cool quoi. Surtout que si c’est vraiment moi au féminin derrière, ça devrait être pas dur de dire que ma divine personne ne peut pas s’abaisser à trahir quelqu’un quoi.

J'étais certaine qu'il me laisserait sortir aussitôt qu'il m'a vu dans cette tenue, mais il fallait croire que ça ne serait pas aussi facile. D'habitude, les gens avaient deux réactions : soit ils me tiraient hors de là, soit ils me cachaient par peur. Mais lui, après quelques instants à regarder mon décolleté, interrompit la magie du moment en prétextant que ça faisait beaucoup. J'étais surprise, tellement que je reculai doucement, avant de me remettre sur mes pieds, cessant de flotter dans le miroir. Je l'observais, incrédule, remettre sa blouse en place en essayant de ne pas trop fixer mes seins, alors qu'on voyait clairement qu'il appréciait le spectacle.

Il me demanda alors des preuves que rien ne lui arriverait. J'ouvris les yeux en grand, totalement abassourdie par cette annonce. Je croisais les bras en le fixant avec mécontentement : mon gaillard, cela faisait quelque temps que je n’étais pas sortie, alors je n'allais pas laisser un peureux m'empêcher de prendre l'air hors du miroir. Je lui dis, avec un ton laissant entendre ma vexation :

« Ça, c'est la meilleure. Je t'offre l'occasion de t'amuser avec ton double féminin et tout ce que tu trouves à dire, c'est que tu as peur de te faire bouffer par mon miroir ? Je pensai vraiment que tu avais plus que jugeote que ça. »

Je me tournai vers lui et remonta le t-shirt en lui dévoilant ma poitrine à nue. Bien entendu, je n'avais pas soutien-gorge, puisqu'il n'en portait pas. Mes deux seins bien formés à la hauteur de son visage, je lui laissai apprécier la vue en ajoutant :

« Regarde donc : où est l'arnaque ? C'est mon intérêt de sortir ! Tu as regardé le gaillard qui possédait mon miroir ? Cela fait cinq ans, cinq longues années qu'il m'avait en sa possession ! Tu penses sérieusement que j'avais envie de sortir si c'était pour devoir me taper un péquenaud pareil ? »

Je cachais la marchandise en posant mes bras sur mes hanches, l'air provocateur, les lèvres légèrement rentrées avec cette expression d'agacement sur le visage. Je continuais :

« C'est pas pour rien si j'ai attiré ton attention : sortir lorsqu'un beau gosse comme toi attend de l'autre côté, c'est clairement du plaisir. Tu n’as pas envie de me croire ? Soit ! Mais si tu ne me sors pas de là aujourd'hui, je te garantis que tu auras loupé ta chance, mon petit père. Tu n'auras pas deux fois cette chance, alors si tu veux la louper juste parce que tu as les boules, tant pis pour toi ! »

Je le regardai, l'air accusateur, attendant sa décision. En deux secondes, je pouvais lui rendre son reflet d'origine et partir. Ça me ferait vraiment mal, surtout que j'avais un corps de rêve et un beau gosse de l'autre côté, mais je n’avais pas envie de perdre mon temps avec un trouillard ! Non, mais !

D’où t’es surprise ? Ch’ui pas un pigeon des villes Qu’on encule comme un sauvage. J’l’ai dit que je crevais d’envie de te faire sortir de là. Mais problème ça sens l’arnaque quand même un peu quoi. J’aurais pas envie de genre lui tend ma sublime et ô combien agréablement pratique, bah oui parce qu’il faut dire les choses telle qu’elles le sont, faut pas déconner non plus, et finalement me faire tirer dans un monde qui n’est pas le mien. Ou alors que ça fasse comme dans les mangas où on se fait couilloner en sortant une créature hyper dangereuse sans le savoir. Et me faire tuer par quelque chose de trop puisant pour moi, ça bouleverserai l’équilibre du monde, voire même de l’univers tout entier, que ma divine vie disparaisse. Le blasphème ultime quoi. Et en plus elle ose me faire la morale ? A moi ? Non mais pour qui elle !? :

- Hey ho ! On se calme le miroir. Je sais pas comment ça se passe dans ton monde mais ici on voit pas tout les jours quelque chose de surnaturel se passer sous nos yeux

Bon quitte à ce que le miroir réfléchisse mon corps que même Apollon jalouserais si j’aurais la certitude sur son existence, je le fait aussi. Bon okay je l’ai vexée et elle n’a pas l’air méchant. Elle est aussi restée coincée dans ce putain de cadre et verre depuis un sacré moment selon elle. Son discourt tiens la route toussa… Ouais donc elle doit dire la vérité c’est obligé. Puis détail ultime, elle a une belle paire de boobz quoi. Bon okay j’arrête de faire briller mon intelligence hors norme pour le moment, sinon je vais faire des jaloux. Reprenant plus mon air de beau gosse interstellaire, je la regarde. Avoir une nana aussi bien gaulée à service ça serait le pied. Bon elle a un caractère de merde mais bon, tout le monde n’est pas comme moi :

- Allez j’vais te sortir de là. Par contre si tu ose engueuler ma divine personne encore une fois alors que j’cherche juste à blablater t’es pas prête de me revoir. Les têtes de mules ça va un moment quoi

Puis je croise les bras. On va voir si elle va continuer à faire la fière longtemps si elle veut tant sortir que ça de son monde. Faut dire qu’en même temps, qui ne voudrait pas passer tout son temps de vie avec moi hein ? Ah que c’est dur d’être quelqu’un de tellement cool qu’on ne désire plus que moi. Comment ça j’ai l’air rêveur !?

Forcement que je suis surprise. Et bien entendu que je suis vexée ! Depuis le temps que je veux sortir, je trouve quelqu'un d'agréable à copier, lui offre une vision de rêve, et tout ce qu'il me dit, c'est qu'il est inquiet de ce que ça petite personne ne pouvait bien subir en me libérant. Bref, je reste ainsi, les bras sur mes hanches, le regardant droit dans les yeux, alors qu'il semblait surpris de cette attitude aussi soudaine que révoltée. Une fois cette surprise passée, il me reprit en m'affirmant qu'il ne voyait pas souvent ce genre de chose. Il pensait vraiment m'avoir avec cette réponse ? Il était capable de jouer avec l'air et il venait me parlait de "surnaturel" comme cela ?

J'attendis un instant, pendant lequel il réfléchissait à me faire sortir ou non de cet endroit. De toute évidence, il était à se demander s'il allait vraiment me faire sortir ou non, à peser le pour et le contre. Après qu'il ait une nouvelle fois observée ma poitrine avantageuse, il se décida à me faire sortir. Il me fit comprendre que si je l'engueulais encore une fois alors qu'il voulait juste discuter, il me laisserait tomber. J'acquiesçai doucement en reprenant mon sourire de départ :

« Marché conclu, Tatsuki. Je te l'ais dis, je veux juste sortir. Une fois dehors, je peux te garantir que je serai une tout autre personne. »

Je posai ma main sur le miroir, attendant qu'il me la prenne. Une fois qu'il me sortit de la glace, je sentis mon esprit changer, devenir plus docile et plus simple. Une fois le pied posé sur le sol de sa chambre, je soupirai délicatement, rougissant un peu en le regardant J'ouvre un petit peu mon décolleté, sans vraiment faire attention à la gêne que cela pourrait inspirer, prenant une profonde inspiration. Ses vêtements étaient si serrés, à présent, je me sentais très à l'étroit à l'intérieur. Ce n'était pas agréable. Je le regardai avant de lui dire :

« Merci, Tatsuki. Je te promets de ne plus te causer de problème, à partir de maintenant. Tu aurais des vêtements plus... larges ? J'ai un peu de mal avec cette poitrine. Elle est vraiment imposante. »

Ma voix était légèrement plus claire qu'à l'ordinaire, le genre voix de petite princesse délicate et douce qu'on pouvait entendre dans certains dessins animés. J'ouvris complètement le haut, dévoilant une partie de mes seins, sans le faire complètement. Mon corps semblait être fait pour être séduisant, pour autant, j'étais comme surprise de cette beauté et de cette sensualité. Je ne me sentai pas capable de dire exactement ce que je ressentais alors, mais tout ce que je pouvais dire, c'était que je souhaitais savoir ce qu'on pensait de moi. J'étais mieux ainsi, je le regardai avec un petit sourire discret sur le visage.

« À moins que tu ais prévu autre chose pour moi, qui nécessiterai que je retire ces parures ? »

Une chose était sûre : j'avais gardé mon goût pour le contact charnel. Surtout face à lui. Aller savoir, mais le regarder m'attirait plus encore qu'avant. Comme si je souhaitais avoir son corps plutôt que le mien.

Bon okay, elle semble s’être calmée la pin-up avec les beaux boobz. D’ailleurs question toute conne vu que c’est nouveau pour moi. Ouais parce que bon, j’ai beau être le mec ultime euh,… J’sais pas trop comment caractériser la miss devant moi en fait. C’est une humaine, une créature, un objet… J’pencherais bien pour la der mais bon, ça serait pas cool de dire à une nana que c’est une chose. Et je suis juste le mec le plus cool de l’univers alors que je vais pas la faire chier avec une question qui pourrait la faire passer pour une grosse sous-merde. Même si faut admettre qu’à coté de moi on brille pas des masse quoi. ‘Fin bref, donc je dois prendre sa main à travers le miroir ? Putain bah quand faut y aller… Allez je fous ma divine mimine sur le truc, bizarre d’ailleurs comme texture maintenant que j’rentre un peu dedans, lui prends sa main et tire d’un coup pour la faire sortir. Pas trop fort hein j’ai pas envie qu’elle se bousille à peine sortie quoi. 

Merci qui hein ? Merci MOI ah ah ah. Ben ouais j’ai du bol d’être aussi sympa quand même, mais les autre aussi hein ! Surtout les autres d’ailleurs puisque moi j’ai l’habitude quoi. Même si bon des fois que j’avoue m’éblouir devant un miroir normal tellement ch’ui coolissime à mort. C’pas ma faute si je suis un prédestiné quoi. Bref bref… Elle fait tout pour me foutre une gaule d’enfer la moi au féminin. Bon j’avoue qu’avoir la trique en me matant version fille est une chose normale sachant qu’en mec c’est pas loin. Mais bon ch’ui pas gay. J’préfère largement la poitrine pas loin de moi plutôt que ma bite quand même. Hein quoi ? Elle veut des fringues plus larges ? Puis elle me demande si ça serait pas mieux qu’elle soit à poil de façon tendancieuse :

- Des fringues larges j’dois avoir ça en stock. Même si j’doute qu’avec des boobz pareil mes tee-shirt t’irons tranquille. Après pour le reste…

J’en profite un peu pour foutre mes superbes mains sur chacun des roploplos de la miss, histoire de tâter du terrain et me faire une idée de son tour de boobz. Et au passage tripoter agréablement cette paire qui aurait dût être la mienne si j’étais né avec une paire de seins quoi. A vu de doigts, je dirais un petit 93… Non attends c’est plus ferme donc plus 96 dans l’absolu. Ouais donc aucun de mes tee-shirts ne sera assez large et souple pour cette beauté de la nature que sont les boobz quoi. J’garde mes mains dessus pour le moment. Ça me plait comme dimension et texture même si bon, y’a un peu de fringues dessus quant-même.

- Ouais bon. Un peu trop de poitrine pour mes fringues comme je disais. Pis c’pas comme si se balader à poil ou presque avec ma divine présence à coté me gênait. ‘Fin surtout si l’on doit faire certaines "activités" quoi.
 
J’ai rien sous-entendu ! Ch’ui trop génial de toute façon pour qu’on comprenne ce que je veux. Puis là avec le machin dans le pantalon près à exploser la braguette bah… Si elle a bien observé elle ne pourra pas se tromper sur mes intentions Ô combien nobles. Allez j’retire un peu mes mains pour pas trop m’avancer quand même :

- Ah au fait. C’quoi ton nom ? Parce que si t’es moi en fille, tu dois pas avoir le même que moi

Heureuse de pouvoir être à l'air libre, je regarde Tatsuki me regarde de haut en bas, appréciant son attention sur mon corps. Je mets en valeur ma poitrine en croisant mes bras en dessous des deux globes volumineux. Il s'attardait dessus, répondant à ma demande en précisant qu'il ne savait pas s'il en avait pour moi. Puis, soudainement, il posa ses mains sur mes seins, me faisant pousser un léger "Kya" agréablement surprise de ce contact. Il les tâtait, me faisant rougir de sourire en même temps que j'observai ces deux mains tâter de ma chaire avec une certaine satisfaction. Sans retirer se mains, il reprit sa réponse, allant dans mon sens en m'expliquant qu'il serait mieux que je reste nu s'il fallait qu'on "s'amuse" par la suite.

Il retira finalement sa main, alors que je pouvais constater une bosse dans son pantalon. Alors qu'il me demandait mon nom, je me mis aussitôt à genou devant lui, tâtant de la bosse au travers du pantalon :

« Penses-tu qu'un nom me soit réellement utile actuellement ? Il y a semble-t-il bien plus urgent à s'occuper, tu ne crois pas ? »

J'ouvris doucement la braguette de son pantalon, ouvrit le bouton et extrayait la colonne de chaire de sa prison, dévoilant un sexe plutôt impressionnant. Je n'étais bien entendu pas surprise, sachant par avance à quoi m'attendre. Je souris doucement en prenant le sexe dans ma main en le regardant et commençant de légers mouvements de va-et-vient avec sa main.

« Mais si tu tiens à me donner un nom, tu peux m'appeler Hime. Les gens à travers les âges m'ont nommé Dopplehime, mais je préfère la seconde partie seulement. »

Je regardais ensuite le sexe de Tatsuki en souriant et ricanant doucement, continuant à le masturber. J'entrepris de le décalotter et approchai mes lèvres du gland pour l'embrasser du bout des lèvres.

« Vraiment, j'espère que cela ne te dérange pas que je me mette au travail. Quelque temps sans contact charnel pour tomber sur quelqu'un d'aussi séduisant que toi, je résiste difficilement. »

Je pris alors le bout du gland dans ma bouche, prenant le temps de savourer le bout de ce sexe, glissant mes lèvres pour l'en sortir tout en le suçant. Puis, lorsqu'il se trouvait tout juste sur mes lèvres, je le pris plus loin en bouche, poussant un gémissement de plaisir en sentant la colonne de chaire glisser sur ma langue. Je fis des mouvements de va-et-vient, jouant de ma langue sur le sexe bien dur dans ma bouche, continuant à masser la base de la chose avec ma main. Quittant le sexe avec un soupire, je me léchai les lèvres et lui dis, en le regardant :

« Ca fait tellement longtemps, j'ai l'impression que je vais devenir folle si je n'ai pas vite cette chose en moi. »

Un peu cru, mais honnête, au moins. Je repris ma fellation, tentant d'aller au plus loin, me coupant parfois le souffle en prenant l'objet en entier dans ma bouche. J'espérai qu'il apprécie ce que je lui faisais.

Et ben putain, elle est rapide la miss du miroir ! A peine je retire mes mains sur ses seins et que je lui demande comment elle s’appelle qu’elle m’ouvre la braguette du froc. Non mais sérieux j’ai l’impression d’être dans un hentaï là. Ou dans un forum RPG hentaï où les gens passent à l’action au bout de trois post quoi… Bon okay je ne suis pas un perso de forum… Tiens j’ai l’oreille qui siffle, et je ne vais pas sur ces machins là. J’ai beaucoup plus à faire avec ces dames et ma console. Sans compter l’autre timbré de patron moustachu avec l’accent du Kansaï qui essaie de me tuer au boulot parce que ch’ui pas un dieu des ramens. Hey. Ch’ui pas le dieu des ramens, mais l’empereur de cet univers. Pigé ? Bref bref,… Là j’me contente de croiser mes bras en la regardant faire tranquillement. Ah bah tiens elle me donne son nom :

- Hime hein ? Okay ça marche

Boarf après tout, ce n’est qu’un nom et pas un titre. Puis là on s’en branle vu la situation, sans mauvais jeux de mots pervers qui de toute façon… Ouais bon, ça me fait soupirer cette petite branlette qu’elle me fait là même si bon, elle n’a pas mon niveau ultime avec tout ce que j’ai appris avec des techniques ancestrales de masturbations apprises et découvertes par moi-même. Ch’ui pas un vieil ermite tout fripé et pervers qui passe son temps à jouer les faibles pour voir sous les jupes des filles. Déjà ch’ui pas vieux, et de deux, j’ai mon pouvoir pour soulever les jupes sans être vus nan mais ho ! Bref… Elle fait un bisou dessus mon divin zboub ce qui le fait réagir. A croire qu’il est vivant ce con :

- Vas-y t’inquiète. J’peux comprendre que mon charisme infini et ma beauté physique exemplaire brise toutes tes résistances… Euh

Ouais okay pas le temps de finir qu’elle attaquait déjà une pipe douce et tranquille comme un putain de fleuve qui te casse les couilles avec son bruit d’eau de merde en permanence dans les oreilles. Hmmm si ça continue d’ailleurs, le truc va passer en gorge profonde tellement j’bande là. J’me d’mande d’ailleurs si j’pourrais pas m’en servir de batte de baise-ball et faire des home-run en courant à poil autour des bases là. Elle est douée mais pas possible la Hime là, c’est un truc de ouf ! J’ai même pas fait gaffe à ce qu’elle a dit après. Elle parlait de chose ou… M’enfin on s’en tape. Cette petite bouche est un vrai paradis aussi doux que mon plumard, en plus humide car j’ai jamais eut la connerie de pisser dedans faut pas déconner, et "hot" quoi :

- Bordel si tu continue comme ça… Je vais passer pour un faible…

Je respire de façon cadencé là, abusé ! Je risque refaire sa peinture à ce rythme !

Il parle beaucoup, mais cela m'amuse énormément. Surtout qu'il semble perdre ses moyens lorsque je commence à m'occuper de son sexe. Ma fellation durait un petit moment déjà, lorsqu'il me dit qu'il allait passer pour un faible. Il fallait avouer qu'en des siècles, j'avais appris comment utiliser ma bouche pour faire plaisir à mes partenaires, apprenant parfois à l'aide d'autres femmes plus experte en la matière. C'était un plaisir réel de jouer ainsi avec les hommes, de les avoir être mes mains tout en les gardant être mes lèvres. Je détachais ma bouche de ses lèvres, avant de me lever en ouvrant totalement mon blouson.

« Cela serait triste que cela se finisse sans que tu ais profiter de ce que je t'ai fait reluquer si longtemps. »

Ma grande poitrine bien ferme se trouvait à hauteur de son torse. Je posai ma main sur son torse et le poussai pour le faire tomber dans le lit, puis enlevai mon blouson qui allait me gêner, mais pas mon T-shirt que je soulevai au dessus de ma poitrine. Je m'agenouillais devant ses jambes et me plaçais de manière à avoir son burin entre mes seins, le sourire aux lèvres :

« Tu ne vas pas regretter de m'avoir fait sortir, Tatsuki, comme promis. Tu vas me dire ce que tu penses de ça. »

Avec un petit rire coquin, je serrai le membre entre mes deux monts de plaisir et entamaient des mouvements de va-et-vient. Son sexe, bien lubrifié avec ma salive, glissait tranquillement, installé dans ma poitrine, alors que je le regardais avec ce sourire coquin que je préservai malgré mes transformations. La transformation avait des désavantages certains, le premier étant de changer de personnalité, parfois une personnalité déplaisante ou en contradiction ma personnalité dans le miroir. Mais heureusement, le fond ne change pas, mon amour pour le contact charnel ne me quitte à aucune de mes transformations.

Pendant que le bout du gland disparaissait dans mes seins avant de réapparaître de manière rythmique, je laissai ma langue s'amusait à titiller l'entrée de l'urètre à chaque fois qu'il passait à sa portée. Je ricanai en regardant Ikki, tout en imaginant la sensation qu'il pouvait ressentir. J'avais déjà ressenti cette sensation lorsque j'étais un homme, mais à chaque fois, la sensation changeait en fonction du sexe que j'avais. Je me dis que c'était pareil pour les autres hommes. Je me pinçai un peu la lèvre en gardant mon sourire, mes yeux regardant le visage du beau garçon que j'avais entre les seins.

« Ne te retiens pas, surtout. Laissez-toi aller, je n'attends que cela ! »

Ho enculé de putain de saloperie de bordel de merde que c’est bon. Moi qui ai une inexplicable malchance avec les nanas pour les emmener au plumard, là j'crois que je rattrape un sacré retard. Putain sans déconner, j'ai l'impression d'avoir mon divin machin dans un aspirateur avec des bords en coussins de velours humide. Le truc qui coûte genre une paire de couille sur Ebay s'tu vois le truc. J'pourrais rester des plombes comme ça juste en me faisait sucer... Mais euh, elle arrête là ? Mais genre quoi ! Bon okay avec sa voix et mots bien bandant j'avoue que ch'ui pas prêt de faire un plat mais bon... Ah ! Putain j'crois que j’hallucine là. Hey elle va me faire une... 'Fin le truc que font font les mam'zelles bien par-choquée dans les film de cul. J'sais pas si à force de prendre de la fumette à Monster Hunter mais j'ai l'impression d'être dans un putain de paradis là. Sérieux il me manque juste de la bière et de la bonne zik !

Ho putain ! Oui j'sais que j'le dis beaucoup là... Mais ho putain quoi ! J'avais pas bandé aussi dur depuis le jour où j'ai surpris ma tutrice aux big boobz se faire scier juste après avoir buté le boss final de Tekken 3 sur un perfect quoi. J'm'entends faire des "ouf" de bien être là. Allongé peinard sur le... Euh depuis quand ch'ui allongé d'ailleurs moi ? Bref on s'en branle. 'Fin moi j'me fais branler même si c'est pareil. Bref euh là j'sens que je vais pas tenir très longtemps si ça continue comme ça. Elle a une de ces techniques bordel de merde... Sérieux même moi l'empereur ultime de cet univers j'avoue passer pour un noob spammeur de Hadoken là.  Putain en plus, la Hime là me chauffe en disant que que je peux me relâcher et... Et merde !!! :

- Pouah... Putain que c'était bon.

Ouais bon un peu bref et pas très original comme paroles après avoir balancée ma purée. Vu comme on est installés, elle a dut en prendre plein la gueule et dans le sens dégueulasse du terme. Ouais parce que bon... C'pas trop mon trip ultime de refaire la carrosserie des nanas avec ma peinture. Au choix, j'préfère me faire siphonner mon réservoir de beau-gosse tunné à mort ou faire le plein d'essence à la mamz'elle plutôt que ça. Ça fait pas très classe comme arrivée au drapeau à damier quoi.

Putain elle m'a mit un de ces coup là ! Oui je sais j'ai encore dit "putain". Mais que voulez-vous ? Ch'ui un vrai mec moi ! Alors je dis plus souvent c'mot que "barbituriques" ou encore "mononucléose". C'est déjà un exploit que j'arrive à me rappeler de ces mots qui servent à rien... Bref, j'crois que j'vais arrêter de faire semblant de reprendre mon souffle là. Allez on se redresse un peu et on regarde fièrement la Hime dans les yeux. Ou plutôt les boobz tiens :

- Bon à moi de taffer un peu. Tu va goûter à la sauce Ikki tu vas voir !

Ouais 'fin ça c'est déjà fait dans un sens. Le grand poète queuh jeuh suis-euh va vous montrer comment on honore une mam'zelle avec de beaux arguments. Tout d’abord, on lui attrape les boobz bien fermement. Genre vous mettez votre life en jeu, comme un pari d''Ecaflip, m'voyez ? Vous tripotez bien allègrement puis vous lui roulez une... Ouais non pas ça. J'ai pas trop envie de me retrouver avec du sperme plein la gueule. Ch'ui pas comme ça moi. Après z 'allez m'dire un truc du genre « Ouais mais bon c'est le tiens quoi. Y'as un moment intime entre lui et toi donc c'pas grave mec ! ». Ouais bah c'pas parce que c'est à moi que j'vais lécher allègrement. J'veux dire, vous boufferiez votre propre merde vous ? Ben là c'pareil, à part que je chie par par le zgeg moi. Et heureusement d'ailleurs.

Bref, après avoir fait ça, j'retourne la situation pour la foutre sur le dos et moi dessus. Comment ça j'ai l'air con à croiser les bras comme ça, en faisant tout fier ? Z'avez jamais vu de mec comme moi bander fièrement leur arc pour tirer une nana ? Et en plus ils sont vulgaire. Bon l'empereur du monde passe sa main exaltée, sans la marque car ch'ui pas un épéiste de Fire emblem perso, sous le pantalon, là où il faut insérer sa clé avant d'entrer. Ma clé, c'est mes doigt bénis par tout les dieux en personnes et capable de rendre heureuse n'importe quelle fille ! Ça marche aussi sur les manettes et les consoles. Y'as que le nombre de bites qui change. Donc comme j'disais, j'passe la main dans le froc et je commence à chercher le bouton d'évacuation d'urgence. Et dieu, pas moi vu que je suis largement supérieur à cette pathétique créature, sais qu'il en a besoin ce foutu bouton. Ouais en gros lui masse le clito' quoi :

- Qu'est-ce que tu dis de ça Hime hein ?

Technique Ikki Super Sayen Infinity number six billion twenty-five !!!