Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Euh... t'es qui toi ? Et qu'est ce que tu fiche chez moi ?! ( Vine )

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Lydia

Créature

« Hhhmmmmm, c'était fabuleux... »

Soupirais-je, haletante, étendue sur mon lit. Et je n'exagérais pas ! Je restais encore allongée, peu après que mes invités soient partis, fixant le plafond d'un regard distrait. J'étais fatiguée, c'est vrai, mais il n'y avait vraiment pas de quoi en rougir, les trois esclaves terranides que j'avais fais venir, de beaux mâles musclés aussi doués que bien membrés, en avaient vu de toutes les couleurs et étaient repartis bien plus épuisés que je ne l'étais ! Il faut dire aussi que je ne les ai pas ménagé pendant ces quatre heures de sexe, vigoureux et intense, et que trois grosses queues n'ont finalement pas été de trop pour me combler. Hmm, c'est vrai que j'ai été particulièrement gourmande ce soir... enfin, je veux dire, j'ai TOUJOURS un appétit dévorant, bien sûr, mais certains jours plus que d'autre, hihi ! ~

Bien que les esclaves étaient entrainés à avoir une endurance à toute épreuve, j'étais parvenu à les faire jouir à de nombreuses reprises, aussi bien en moi que sur moi, pour mon plus grand plaisir ♡. J'ai même eu le droit à trois éjaculations simultanées, pendant que je masturbais vigoureusement deux d'entre eux et que le troisième me prenait violemment par derrière. Haaan, c'était si bon de sentir leurs verges vibrer entre mes doigts et leurs puissantes giclées de semence chaude atterrir sur ma peau, me remplir le cul... Je me caressai doucement le téton, mon doigt glissant sur le liquide séminal, que je portais ensuite à mes lèvres et suçais avec une envie perverse. Bon, c'était bien beau tout ça mais il faudra bien que je me lève à un moment ou un autre ! J'étais toute souillée de leur liquide blanc encore chaud, et aussi agréable que cela puisse être, une bonne douche s'imposait !

Je me glissais donc en dehors de mon lit, et m'en alla d'abord ouvrir la fenêtre. Même si on avait baisé comme des bêtes, c'était pas une raison pour que ça sente le fauve ! J'étais encore nue, éclairée par la lune et son cortège d'étoiles, et un vent frais s'engouffra dans la pièce. Ce qui ne me posait pas de soucis, mon organisme était -heureusement !- suffisamment résistant pour m'éviter de tomber bêtement malade. Je me dirigeais ensuite vers la salle de bain, et plongea impatiemment sous le jet d'eau chaud, m'y prélassant de longues minutes, avant de me savonner plus méticuleusement en sifflotant un petit air. Une fois propre et pimpante, je m'apprêtais à sortir quand mon regard se posa par hasard sur mon sextoy que je laissais sur le rebord de la baignoire en cas de besoin. Je me dis qu'après la folle soirée que je venais de passer ce ne serait pas raisonnable de poursuivre... avant de me faire une remarque fort pertinente : depuis quand suis-je quelqu'un de raisonnable ?

Et puis, j'ai quand même bien le droit de me faire du bien, non ?! En tout cas j'étais clairement trop excitée pour pouvoir me contenter de petites caresses superficielles. Je pris l'objet phallique et me mis à l'aise en m'allongeant dans la baignoire, avant de l'enfoncer directement entre mes cuisses !

« Haaan... »

Je lâchais un doux gémissement de plaisir tant j'aimais cette sensation... Écartant presque naturellement les jambes de part et d'autre de la baignoire, j'entamais de petits et puissants va-et-vient, variant l'inclinaison du sextoy pour mieux se frotter à la zone la plus sensible de mon petit jardin. Mmmmh, dieu que ça me faisait un bien fou... Je fermais les yeux et continuais à me masturber, ne tardant pas à accompagner rapidement mes pénétrations par l'excitant massage du petit jet d'eau contre mon clitoris, décuplant mes sensations. Han oui, c'était tellement bon ! Je me trémoussais sur moi même, et soupirais longuement, en proie à de délicieuses vagues de plaisir, ma main de plus en plus incontrôlable s'accélérait d'elle même à mesure que la tension montait et que mon excitation croissait, mon sextoy glissant de plus en plus vivement dans mon insatiable intimité, me soutirant frissons et gémissements...
Kit by Theorem ©

Vine

Invité

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Un manoir, c'est fait pour être cambriolé, non ? Dans l'esprit de Vine, c'était en tout cas le cas. Il avait repéré la bâtisse comme de nombreuses autres dans le coin, mais il ne pouvait pas toutes les visiter en une seule nuit. Deux nuits auparavant, il s'était introduit dans l'une des demeures voisines, repartant avec un bon paquet d'argent. Cette fois, c'était le tour de cette maison. Il avait attendu que la nuit soit bien noire avant de sortir. Inutile de patienter des heures devant le manoir dans le froid, sauf s'il souhaitait s'enrhumer.

Il faisait donc sombre, et drappé dans sa cape grise, il n'était pas bien visible, surtout en sautant de toit en toit. Ce fut seulement lorsqu'il arriva dans la dernière avenue qu'il descendit dans la rue. Personne dans la rue, à part trois badauds qui partaient un peu plus loin. Vine était loin de se douter que ces trois esclaves venaient de trousser la maitresse de maison de la demeure qu'il comptait cambrioler. Il aperçevait à l'étage un peu de lumière provenant de deux pièces. Le plus sage aurait été d'attendre que les occupants s'endorment, mais Vine n'en avait cure. Il pouvait se montrer discret. Et si un noble finissait tout de même par le repérer, il était prêt à prendre sa vie s'il le fallait.

Mais tuer n'êtant pas sa passion, il choisit tout de même une fenêtre non éclairée. A l'aide d'une pièce de monnaie qu'il jeta au sol, il usa de ses pouvoirs pour appliquer une force sur la pièce qui le projeta en l'air, en direction de la fenêtre. Ouvrir cette dernière se révéla un jeu d'enfant. Sans un bruit, il atterrit sur le parquet d'une chambre vraissemblablement inoccupée. La porte était fermée et la salle plongée dans le noir. Il n'eut pas besoin de plus de deux minutes pour en faire le tour et en conclure que cette pièce n'avait rien à lui apporter. Si les occupants des lieux cachaient de l'argent, ce n'était pas ici.

La porte ne fut pas plus compliquée à ouvrir que la fenêtre et pour cause : elle n'était pas verrouillée. Les gonds ne grincèrent pas, il avait usé d'acier pour cela, brûlant un peu de ce métal en lui afin de soulever à peine la porte et l'empêcher de grincer. Un rapide coup d'oeil au couloir lui apprit que ce dernier était vide. Il brûla alors un peu d'étain afin d'augmenter ses sens et ... Une femme était en train de gémir. Difficile de définir où exactement, mais probablement d'une des deux pièces où il y avait de la lumière. Etait-elle seule ? Il continuait à écouter, mais il ne captait rien d'autre ... Si, un bruit d'eau. Elle était surement dans un bain. Et il avait beau tendre l'oreille, il n'y avait aucun bruit masculin. Elle était seule, en train de se toucher dans son bain. Rien qu'à l'idée de l'imaginer, de la visualiser, il bandait. Il n'avait aucune idée de ce à quoi elle pouvait ressembler mais c'était toute la beauté de la chose, il pouvait l'imaginer telle qu'il la voulait.

Néanmoins, il se sentait quelque peu coupable de désirer une noble de la sorte. Cette engeance ne méritait pas ça, de son point de vue. Alors pourquoi ressentait-il ça ? Son odorat surdéveloppé également le renseignait partiellement. Il reignait dans la demeure une odeur de sexe omniprésente. Il décida de sortir de sa cachette tout de même. Ce qu'il allait faire ? Il n'en avait pas la moindre idée. Improviser, probablement. Les gémissements s'intensifiaient, et il localisait à présent sans peine la pièce d'où ils provenaient. En passant devant la chambre, il put voir le lit maculé de foutre et la fenêtre ouverte. Y avait-il eut une partouze ici ? Peut-être, il ne pouvait être catégorique. Il arrivait enfin en vue de la salle d'eau, et eut une vue imprenable sur une belle demoiselle, occupée dans sa baignoire à fourrer sauvagement sa chatte à grand renfort de sextoy. Elle avait les yeux clos, et lui des idées lubriques à la voir et l'entendre. Sans un bruit, ses pieds avancèrent sur le carrelage jusqu'à ce qu'il se retrouve à côté de la baignoire. C'est alors que sa main vint caresser le sein libre d'une légère pression.

Vous savez que c'est dangereux de dormir avec la fenêtre ouverte ? N'importe qui peut entrer ...

On entendait de la malice dans ses paroles. Et pour ce qui est de dormir, elle semblait en être bien loin.

Lydia

Créature

Re : Euh... t'es qui toi ? Et qu'est ce que tu fiche chez moi ?! ( Vine )

Réponse 2 mercredi 18 décembre 2013, 14:37:34

« Aaaaah... aaaaah... mmmmhhh !! »

Je gémissais de plus belle, subjuguée par les vagues de plaisirs qui m'envahissaient, toutes plus intenses les unes que les autres. Dirigée par mes soins, mon godemiché poursuivait son oeuvre, me pénétrant sans relâche, coulissant aisément dans ma chatte que l'eau et ma cyprine avait abondamment lubrifiée. Prise de spasme, en particulier lorsqu'il se frottait avec plus d'insistance contre mon point G et m'électrisait d'un plaisir aussi bref qu'intense, mes muscles vaginaux se contractaient parfois autour, décuplant les sensations de ses pénétrations.

« Haaaaan... »

C'était si bon ! J'écartais mes jambes sans aucune gêne, comme une pute aguicherait son client, et accélérais mes mouvements, m'arrachant des gémissements de plus en plus expressif du plaisir que je prenais ! Je croisais parfois les jambes, resserrant mes cuisses, ma chatte devenant alors plus étroite et se comprimant autour de mon délicieux jouet, que je sentais alors parfaitement se fourrer en moi, et glisser lentement dans cet étau humide et serré, avant d'écarter à nouveau les jambes et de reprendre mes pénétrations de plus belle.

Je fermais les yeux et ne pensais plus à rien, à rien d'autre qu'aux sensations de pur plaisir qui m'envahissait. Je profitais pleinement de ce moment des plus agréables, et me laissais aller librement à mes envies... J'étais absolument loin de me douter que je n'étais plus toute seule dans la pièce, jusqu'à ce que je sente quelque chose se poser sur ma poitrine. Je n'y prêtais pas attention de prime abord, la sensation était légère et je me disais que ce devait être une petite hallucination. Après tout, avoir deux mains supplémentaires qui me masseraient les seins en cet instant aurait été vraiment apprécié ! L'espace d'un bref instant, je m'imaginais deux mains puissantes venir se presser avec insistance contre mes seins, les pétrir avec force, tout en pinçant à moitié mes tétons rosés devenus durs et érigés... jusqu'à ce qu'une voix ne me tire de mes pensées perverses.

« Vous savez que c'est dangereux de dormir avec la fenêtre ouverte ? N'importe qui peut entrer ... »

Quo-QUOI ?! QUI ÉTAIT-CE !? Revenue à la raison, je fis rapidement volte-face et écarta vivement la main qui me pelotait effectivement le sein d'un revers de ma propre main, qui tenait encore le pommeau de douche, arrosant abondamment l'intrus par la même occasion. Mais c'était là le dernier de mes soucis. Bien fait ! Je n'avais pas non plus pris la peine de me soustraire à sa vue, j'étais certes nue mais surement pas pudique, même surprise au beau milieu d'une excitante session de masturbation. Je tenais d'ailleurs le godemiché qui m'avait si bien servi, sorti de mon intimité et encore luisant de mes fluides intimes.

« Qui es-tu ? Et qu'est ce que tu fiche chez moi ?! C'est une propriété privée ici ! T'as pas l'impression de déranger ?! Et puis d'abord j'étais pas en train de dormir !! »

Je lâchais mes mots d'un ton irritée, fusillant l'intrus du regard, pointant à chaque invective le godemiché que je tenais dans sa direction. Il y avait manifestement quelque chose de louche dans la manière dont il était vêtu, et dont il avait pris soin de draper son visage afin d'éviter d'être reconnu. La possibilité qu'il se soit introduit chez moi sans mon consentement pour me vouloir du mal n'était donc clairement pas à exclure. Je restais donc prudente, mais lui laissais néanmoins l'occasion de s'exprimer. Peut-être avait-il quelque chose de convaincant à dire après tout ? Parce que là, pour avoir osé me déranger dans un moment pareil, il avait intérêt à avoir une sacrément bonne excuse !
Kit by Theorem ©

Vine

Invité

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Re : Euh... t'es qui toi ? Et qu'est ce que tu fiche chez moi ?! ( Vine )

Réponse 3 mercredi 18 décembre 2013, 16:06:15

La question se posait légitimement. Avait-il bien fait de s'approcher et de peloter ainsi la jeune femme ? Si Vine écoutait sa raison, il dirait que non. Danger, variance et risques superflus, voilà tout ce qui ressortaient de ce diagnostic. Si par contre il se fiait à ce qu'il avait sous la main, c'était tout à fait différent. Le sein était doux et agréable, le têton dur au creu de sa paume. Et la façon qu'elle avait de se toucher ... Tout en elle transpirait la luxure et le sexe. Elle savait y faire et ne ménageait pas sa peine. Gardait-elle ça pour elle, lorsqu'elle se trouvait seule le soir dans son manoir ? Vine pouvait déjà conclure que non vu l'état dans lequel était le lit qu'il avait vu auparavant. Elle aimait le sexe voilà tout, et probablement au delà de ce qu'autorisait la norme. Etait-ce un mal ? Pas aux yeux du jeune homme.

Il semblait que la voix de Vine faisait "tilt" dans la tête de l'inconnue. Elle se tournait subitement, s'arrachant aux mains de l'homme ... Et l'aspergeant à l'aide du pommeau de douche. C'était malin, il se trouvait trempé et recula d'un pas, mais le mal était déjà fait. Ce n'était pas l'effet escompté, elle avait tout stopper d'un coup. Il lui avait coupé l'envie, c'est ça ? Elle se défendait d'une manière véhémente, assenant ses questions comme des coups que l'on porterait à un ennemi. Non vraisemblablement, elle n'était pas contente de le trouver ici. En même temps, cela se comprend complètement. Qui aime trouver un inconnu chez lui, alors qu'on ne le désirait pas ?

Je ne peux malheureusement pas répondre à toutes tes questions ...

Vine se relève, le pantalon ruisselant d'eau. Elle était amusante à secouer son godemichet comme ça, le pointant de son gland assassin. Ca cassait un peu le côté énervé et sérieux de la jeune femme. D'un geste fluide, l'homme ôtait sa cape de ses épaules afin de l'abandonner au sol. Il arborait à présent un maillot de corps à manches longues d'un gris sombre, et donc un pantalon noir humide. L'air assuré, il toisait la jeune femme toujours recroquevillée dans son bain et sur la défensive.

Le nom, tu ne l'auras pas. Je n'ai pas eu l'impression de déranger vu le soupir que tu as poussé lorsque j'ai pressé ton sein. Et je suis ici pour cambrioler cette demeure.

Il jouait franc jeu sur toute la ligne, hormis son nom bien entendu. Avec sa cape en moins, on devinait le haut de son visage, mais un foulard cachait toujours sa machoire inférieure. Il entreprit de le défaire lentement et de l'abandonner à son tour sur le sol humide de la salle d'eau. Où allait-il s'arrêter ? Pas là visiblement, il attrapait le bas de son maillot de corps et l'enlevait d'un geste vif. Son torse musculeux apparaissait aux yeux de l'inconnue, et il ne semblait pas s'en formaliser plus que ça. Ses mains revenaient à ses hanches et tirèrent sur le tissu pour baisser d'un coup son pantalon avec son caleçon. Il était nu à présent, et ne cherchait pas à cacher sa verge tendue par le désir. Toujours à deux pas de la baignoire, il reprenait la parole comme si de rien n'était.

Je ne peux pas repartir avec mes vêtements trempés à présent. Ainsi, je vais te laisser décidé de l'issue de ma visite nocturne.

L'esprit de Vine était en ébullition. Tel un équilibriste sur la corde raide, il savait qu'à tout moment elle pouvait crier, se rebiffer, voir user de compétences dont il ne se doutait pas. Il n'était pas dépourvu de talents lui non plus, mais jusqu'ici le risque l'emportait sur la prudence. Deux pas suffirent à combler la distance avec la baignoire. Large et grande, il y avait de la place et il enjamba le rebord pour plonger un premier pied dans l'eau. Le mouvement eut pour effet de proposer intégralement l'anatomie de l'homme à la belle : la verge dure était d'une taille conséquente, tout comme ses bourses balottant au rythme de ses mouvements. Il finit d'entrer dans la baignoire dans le côté opposé à la jeune femme, puis s'accroupit lentement. Elle avait tout loisir de fuir, comme de lui sauter dessus. En étendant les jambes, il pouvait frôler de ses pieds le corps de la demoiselle craintive. Elle devait le prendre pour un fou d'agir de la sorte. Probablement trop confiant en lui, il préférait penser qu'il avait raison de prendre les devants.

Je peux rester sur mon idée première : Je t'assome et te ligotte, je vole tout ce que je trouve de valeurs dans la demeure, et je disparait au petit matin. Ou alors je ne vole que ta virginité. Enfin, ce qu'il en reste.

Il ornait ses paroles d'un sourire sardonique. Apprécierait-elle l'humour de l'homme ? Il l'avait tutoyé tout du long, comme une personne que l'on connait de longue date. Mais vu leurs tenues respectives, ils avaient dépassé les règles de bienséance.


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