Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Dalton Brothers Kidnap Local Banker's Daughter Calpurnia Tanner!
« Dernier message par Jack Marston le samedi 06 décembre 2025, 00:08:17 »


Pour les besoins du récit, les profils des frères Dalton ont été ajustés, et Bill, qui n’a jamais maraudé avec eux, a été joint au groupe.


Robert, Gratton, William et Emmett Dalton. Bob, Grat, Bill et… Emmett Dalton. Les frères Dalton. Les fameux braqueurs et bandits de grands chemins.

C’étaient des fils de bonne famille chrétienne d’Oklahoma, et la partie connue d’une fratrie de quatorze enfants, dont trois avaient déjà été rappelés par le Seigneur. Un d’entre eux, Frank, James Franklin Dalton, avait même été U.S Marshall et tué dans une opération de police.
Bob avait même suivi ses traces ! Mais, désabusé par la corruption, l’injustice, l’inéquité du système et la retenue de sa paye, celui-là s’était rendu avec Emmett au Nouveau-Mexique pour y tenter une nouvelle vie.
C’est là-bas qu’avec d’autres gars, ils ont commis leur premier larcin, contre une bande de Chinois les ayant plumé à un jeu truqué. A partir de là, leur réputation était faite, et ces types venus d’ailleurs s’étaient vus placardés tous les délits et crimes du coin sans procès. A partir de là, ils ne pouvaient plus revenir à la vie civile.
Bob et Emmett avaient fui dans les montagnes, avec l’aide des fermiers et ranchers compatissants des environs. Arrêté dans leur ville natale pour avoir été associé aux crimes qu’on leur avait collé, leur frère Grat s’est évadé pour les rejoindre en cavale, tandis que Bill, lui aussi, avait appris la prime mise sur sa tête et les avait imité.

A 28 ans, Grat, à droite sur l’image, est de loin l’aîné de la bande, mais il n’en est pas le chef, faisant plutôt office d’autorité morale. C’est Bob, celui de gauche, le plus téméraire, qui, du haut de ses 22 ans et grâce à son charme, obtient des filles du coin les informations nécessaires aux braquages qu’ils sont bien forcés de commettre pour vivre à présent. Emmett, à côté de Grat, à 18 ans tout juste, est le cadet et le suiveur, tandis que le dernier, Bill, 24 ans, est l’enfant du milieu, et l’arbitre entre ses frères.
Évidemment, parler de moralité les concernant était assez osé. Élevés à la dure dans une société très violente, victimes de l’injustice et de l’arbitraire, ce sont des fruits sauvages de l’Ouest sauvage, des bêtes plus que des hommes, réduits à l’état de subsistance élémentaire et prenant tout ce qu’ils peuvent prendre à la gorge de l’État, de la société et de leurs semblables. Quant à leurs manières, il les ont largement perdues pour devenir les vandales assassins que l’on dépeint partout.

Au moment du récit, les Dalton ont décidé de se rapprocher de leur terre natale, et de remonter la Piste de Santa Fe en direction du Kansas via le Colorado. C’est dans une petite bourgade sans avenir se trouvant sur leur chemin, comme il en fleurissait à cette époque, étape de pionniers, de cowboys et de fermiers grincheux, que se déroule notre histoire.
La petite banque locale de Lucius M. Tanner, orgueilleux fils de banquier du Massachusetts venu ici profiter de la conquête de l’Ouest, était un endroit tranquille. Les diligences venaient y déposer les fonds des gens voyageant dans leur direction, et les gens venaient déposer ce qu’ils parvenaient à garder de leurs maigres salaires. Chaque semaine, il y avait de gros dépôts, mais personne n’était vraiment inquiet. Il y avait deux gardes armés, un ancien cowboy boiteux et bourru et un vétéran de la guerre de Sécession, et le coffre était un des meilleurs de la région, et seules trois personnes en connaissaient le code : Lucius Tanner, évidemment ; sa femme Boetia, qui tenait le comptoir ; et leur fille chérie, Calpurnia Tanner, fleur sublime du désert et principale attraction de ce coin perdu de désert de buissons épineux et de puritains anxieux.

Enfin, il n’était pas vrai que seules trois personnes connaissaient ce code. Mr Tanner avait ses habitudes au saloon, mais il cachait surtout sa liaison avec une fille de joie nommée Andrea Plower. Celle-ci avait récemment reçu la visite de Bob et, en échange d’une part, elle lui avait tout craché sur l’homme, y compris sur sa banque et ses petits secrets ; dont le code du coffre.
C’est ainsi que les Dalton, qui campaient non loin, avaient eu l’idée de se faire un peu de beurre en braquant la banque de Tanner. Ils allaient s’y prendre le jour du passage de la diligence, juste après le dépôt, pour que personne n’ait le temps de venir retirer, mais juste assez longtemps après pour que les convoyeurs de fonds aient, eux, eu le temps de filer assez loin pour ne pas entendre les coups de feu.
Car il y aurait des coups de feu. Les Dalton savaient que, pour faire bouger les gens, il fallait leur faire peur, et qu’il fallait donc frapper fort.

Les quatre hommes étaient connus. Ils ne pouvaient pas juste se poster dans la rue en repérage. Ils étaient donc postés sur un promontoire proche, et Plower devait les avertir du départ de la diligence avec un signal convenu d’avance. Ils avaient attendu et avaient vu la fumée poussiéreuse laissée par la diligence à son approche. Un moment plus tard, un drap rouge avait été agité à une fenêtre, et ils avaient vu se redresser la poussière sur le passage de la diligence en sens inverse.
Il était temps d’y aller. Armés jusqu’aux dents et déterminés, ils montèrent leurs chevaux et descendirent droit vers la bourgade isolée et tranquille, prêts à faire parler la poudre, la rage et la colère, et à repartir bien plus riches qu’ils étaient arrivés.
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le vendredi 05 décembre 2025, 19:47:51 »
Encore une fois, le vampire et la gorgone s'unirent. Cette fois, sans la protection de la capote qui, malgré les avancées technologiques dans le domaine, ne parvenaient pas encore tout à fait à simuler la sensation d'un coït à nu, le vampire eut un râle de plaisir irrépressible. La chaleur de sa partenaire l'envahissait complètement, imprégnant sa peau et se répandant dans le reste de son corps, et il pouvait sentir chaque centimètre de cette intimité chaude et humide passer sur son gland sensible. Il ne put s'empêcher de penser à l'ironie de sa situation s'il devait, plus tard, se guérir lui-même d'une addiction à cette jeune femme, plutôt que l'inverse.

L'aisance avec laquelle elle était passée de cette personne timide et réservée de leur premier ébat à cette femme pleine d'assurance et naturellement sensuelle l'avait surpris, bien sûr, mais elle ne semblait pas manquer d'une certaine éducation, ni d'imagination, malgré ses réticences, donc il se garda bien de laisser paraître cette surprise sur son visage, se contentant plutôt d'observer le sien, la façon dont elle fermait les yeux, un instant, alors qu'elle laissait son membre progresser en elle, le mordillement de sa lèvre inférieure quand elle les rouvrit pour plonger de nouveau son regard vers le sien, le sourire tendre qui dessina ses lèvres avant qu'elle revienne plus près pour embrasser son coup.

Cypress rechercha la proximité, et donc Hadrian la sentait à tout moment contre lui. Ses bras entourèrent les reins de la gorgone et, sans imposer le rythme, il suivit ce mouvement sensuel des reins, tout en la gardant contre lui, sentant contre son torse ces mamelles aux tétons durs, ce frottage de la peau chaude contre la sienne, toujours fraîche. Elle murmura son nom, avec une voix si douce, si délicieuse, qu'il sentait encore ces instincts humains, ces instincts d'homme, qui reprenaient le dessus, et donc il raffermit sa prise sur elle, tout en suivant toujours son mouvement, et en venant à la charge par-dessous, venant à sa rencontre alors qu'elle s'abaissait sur lui. Il croyait vouloir la voir prendre son plaisir elle-même, mais de l'entendre prononcer son nom avec cette note tentatrice, c'était plus.

Après un moment, elle lui prit la main, et il ramena son regard sur ses expressions. Le plaisir et l'extase qu'il y voyait lui donna l'impression de gonfler encore un peu en elle, une impression qui pouvait tout aussi bien être vraie, car il sentait les parois de la jeune femme se resserrer sur lui il suivit son geste, et sentit la perle sensible, gorgée de sang, contre sa paume.

Et il coopéra. De la paume de sa main, il pressa le clitoris de la gorgone. Il la fit rouler sur sa paume, puis la stimula de ses doigts, le petit organe devenant pour un bon moment l'objet de l'intégralité de son attention. Elle se crispait davantage contre lui, et il savait qu'elle ne tarderait pas, donc il décida de la récompenser pour avoir exaucé sa requête. Il glissa sa main libre sur la croupe de Cypress et, tout en lui pétrissant la fesse, il prit les devants, alors qu'elle ralentissait pour retarder son propre orgasme, et il la souleva avec lui, plaquant le dos de la belle contre le carrelage chaud de la douche, et il reprit le geste de plus belle. Alors qu'elle s'élevait aux nuages, son corps subissait les assauts passionnés de son amant, qui ne la laissa même pas reprendre ses esprits.

Il profitait de ce moment où les sens d'une femme était à leur paroxysme, plaquant ses lèvres contre son cou, et juste au moment où elle reprenait enfin contrôle d'elle-même, il la laissa retomber sur ses pieds. D'un geste, il la retourna contre le mur, plaquant son torse contre son dos, glissant ses mains dans les siennes et les plaquant également au carrelage, tout en faisant claquer ses hanches contre les fesses rebondies de cette belle gorgone, ignorant complètement les serpents qui se déplaçaient sur sa tête pour lui faire de la place. Dans cette position, le membre du vampire heurtait régulièrement les tréfonds de la jeune femme, pressant contre son col utérin, stimulant le cadran nord de son intimité sans merci, et tout cela, malgré cette absence de merci, il conservait une tendresse pour elle, lui offrant ses lèvres, ses baisers, ses caresses sans retenues ni réserve.

Ses mains remontèrent les bras, puis vinrent se poser sur ses seins, qu'il pétrit fermement et tendrement, les protégeant du carrelage, et il l'attira contre lui, l'écartant un peu du mur.

"Je n'ai pas envie d'arrêter," avoua-t-il au creux de l'oreille de la gorgone. "Ce sera vous qui devra le faire, Cypress…"

Il savait que c'était injuste de mettre la responsabilité sur ses frêles épaules, elle qui n'était qu'une débutante dans les plaisirs de la chair, mais c'était également ses moments. C'était sa première fois, et il voulait qu'elle se sente en contrôle, qu'elle décide, même si ces décisions étaient embuées par le plaisir.

Il glissa une main entre les cuisses de la jeune femme, abandonnant son sein droit, et vint nouveau stimuler sa perle d'amour. Un geste cruel, un geste qui l'empêcherait peut-être même d'objecter, mais elle semblait apprécier ce genre de stimulation, et il avait bien l'intention d'y donner toute l'attention qu'elle méritait.
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Ville-Etat de Nexus / Re : Bienvenue à Loudpard, école de sorcellerie
« Dernier message par Zorro Wolfen le vendredi 05 décembre 2025, 19:01:25 »
La poitrine et la gorge comprimées par un étau magique qui les écrasait, Zorro sentait le souffle lui manquer, et d'inquiétant papillons noirs commençaient à voleter dans son champ de vision.
Par le passé, dans son monde, il aurait pu sans sortir seul, il lui aurait suffit de se téléporter pour échapper à la force invisible qui l'immobilisait. Cela avait toujours fonctionné. Mais pour une raison qu'il ignorait, depuis qu'il était arrivé sur ces terres, son pouvoir se refusait à lui. Même si …

L'apparition de Yukka, sortie en trombe de la salle d'eau, lui sauva probablement la vie. La pression cessa, aussi brutalement qu'elle avait commençait, et le mercenaire tomba lourdement à genoux, penché en avant et massant d'une main sa gorge douloureuse, tâchant de reprendre son souffle pendant que la nunaat et l'elfe s'expliquaient avec vigueur, ce dernier manifestement peu enclin à présenter les excuses que la femme exigeait.
Il finit cependant par obéir, sous l'œil inquisiteur de sa protégée.
Encore incapable de parler sans avoir l'impression d'avoir du gravier dans la gorge, Zorro lui répondit d'un geste de la main, souhaitant signifier qu'il n'y avait pas d'offense, qu'il comprenait les raisons du mage, mais déjà l'attention de celui-ci était revenue vers la guerrière à la peau bleuté, remarquant avec une panique toute paternelle le sang qui coulait de son épaule.

~~~~~~~~~~~~~~~~ ¤ ~~~~~~~~~~~~~~~~

Quelques minutes plus tard, Zorro, Yukka et Miuggrayd se trouvaient dans l'infirmerie de Lenwë, la nuunat assise sur un lit confortable.
La pièce était bien différente de certains hôpitaux que Zorro avait eu le malheur de visiter et surtout du dernier qu'il avait vu ; un hôpital de guerre où l'on tentait de soigner les nombreux soldats blessés au cours de la lutte contre le tyran.
Ici, pas de blessés agonisants, de membres amputés, de sang souillant le sol, pas de malades allongés dans des draps maculés d'humeurs nauséabondes, les uns sur les autres tant la place manquait.
Au contraire même. La pièce était vaste, lumineuse, propre, et les lits étaient séparés par des paravents qui permettaient aux patients de jouir d'un peu d'intimité. Une odeur saine flottait dans l'air, des bouquets aux fenêtres égayant les lieux tout autant que le faisait les nombreuses fioles colorées posées sur des étagères le long des murs.

Durant le bref trajet qui les avait menés jusqu'ici, Yukka avait fait un bref résumé des derniers évènements à Miuggrayd tandis que Zorro les suivait en silence. Il n'avait plus mal à la gorge, ni aux genoux, et n'avait nul besoin de soins, mais il ne se sentait pas de rester bêtement dans la chambre de la femme, d'autant qu'il ne connaissait pas du tout les lieux. En outre, il n'était pas certain que Yukka aurait particulièrement apprécié, ni son "père". Curieusement, peut-être encore moins son père.

Elle en était arrivée à la fin de l'affrontement contre les esclavagistes, un résumé bien trop bref au goût de Zorro qui aimait un peu trop se perdre en circonvolutions quand il racontait une histoire, lorsqu'une femme débarqua dans la salle, ses talons claquant rapidement sur le sol de pierre.
Elle s'arrêta le petit groupe, ses yeux aussi pâles que ses cheveux blancs jugeant, scannant rapidement chaque personne avec une intensité qui donna à Zorro l'impression qu'elle pouvait littéralement voir en eux puis, sans ménagement, elle fit sortir le mercenaire et l'elfe de la salle avant de retourner s'occuper de Yukka et de tirer le paravent sur elles.

Zorro et Miuggrayd restés seuls, un silence gênant s'installa entre les deux, que le mercenaire se décida à briser.

-Du coup, je présume que tu aimerais connaître la suite de l'histoire ?

Le demi-elfe guetta l'assentiment du pur-sang avant de poursuivre.

-Bon donc … l'éclat de magie de Yukka marqua la fin de l'affrontement. Des pieux de glace jaillirent du sol, empalant promptement tous les bandits qui n'avaient pas encore péri sous sa lame, détruisant au passage une bonne partie des tentes et autres structures. Moi-même je manquais de finir embroché, mais que ce soit par chance ou grâce au talent de Yukka, je fus épargné. Malheureusement elle avait trop puisé dans ses réserves et elle s'évanouit. Je la rattrapais juste avant qu'elle ne heurte rudement le sol.

Il raconta ensuite comment il avait trainé la nuunat hors du campement ravagé, trouvé un abri et l'avait soigné de son mieux dans les jours qui avaient suivis. Il ne s'attarda pas plus que nécessaire sur les soins, se contentant de décrire les blessures subis au cas où la description serait utile, et passa totalement sous silence le fait qu'il avait dû déshabiller la femme pour bander ses plaies et la nettoyer sommairement.
Dans son récit, Yukka venait de se réveiller quand la véritable Yukka, en chair et en os, sortit à son tour de l'infirmerie, fraichement bandée, accompagnée de l'infirmière.

-Normalement il n'y a plus de risques, mais prend encore le contenu de cette fiole, trois fois par jours pendant les repas, pendant trois quatre jours. Je ne sais pas qui t'a soigné avant, mais je présume que vu les circonstances, c'était à peu près correct.

Son regard pâle croisa celui de l'hybride, qui hocha la tête juste avant que son estomac ne pousse un borborygme peu discret. Zorro retint un pouffement de rire en se mordant les lèvres.

-Tiens, à croire que le mot "repas" vient de réveiller mon ventre. Ca tombe bien, c'est là que tu voulais me trainer ensuite Yukka, non ?

Puis plus discrètement, alors qu'ils reprenaient leur marche vers la salle à manger, Miuggrayd devant, il glissa à l'oreille de la femme _ ou à son épaule étant donné leur différence de taille.

-Je ne devrais peut-être pas te le dire, mais ta tenue te sied à merveille

Et il accéléra légèrement le pas pour éviter toutes représailles. Son compliment était sincère, nullement une tentative de séduction, mais il n'avait nulle envie de risquer de se prendre un coup dans les côtes !
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le vendredi 05 décembre 2025, 13:24:42 »
L'immortelle sorcière vaudou ne redescendit pas vraiment de son orgasme alors que son partenaire s'employait à continuer de lui dilater la rondelle. Chaque nouveau coup de rein délivrait de nouveaux petits électrochocs, irradiant depuis ses nerfs abusés, inondant son cerveau d'endorphine.

Ce n'est que lorsque la large main du mafieux quitta sa crinière pour se caler sous son menton, lui relevant la tête pour offrir ses traits défaits par l'extase à l'objectif de la caméra. Ses prunelles, déjà brun sombre en temps normal, étaient complètement noires, l'iris mangé par la pupille dilatée au maximum. Il ne lui manquait que des petites cornes recourbées et un long, souple appendice caudale pour ressembler à une succube.

Céleste ne se fit pas prier pour venir sucer le pouce qui venait de se glisser entre ses lèvres, arrondissant ses lèvres pulpeuses autour pour l'aspirer, sa langue jouant contre la pulpe et l'ongle de ce doigt inquisiteur. Pour couronner le tout, pour rendre la vidéo absolument indécente, la brune aux boucles emmêlées gémissait langoureusement tandis qu'elle s'affairait à baver contre l'articulation du pouce qui ressortait d'entre ses lippes.

Les mouvements languides du colosse étaient dosés juste comme il fallait pour laisser la sorcière redescendre de son pic de plaisir, juste assez lascifs et indolents pour qu'elle soit avide du moment où il reprendrait son burinage en règle. Elle ne fait que peu attentions aux jeunes femmes. Mais son regard accroche parfois celui de la petite vendeuse qui filme sous tous les angles tout en ayant une main glissée contre sa fleur détrempée. Elle est consciente de la présence des deux autres à leurs côtés, vaguement, dans le sens où elle ressent chaque tressautement de la queue du mafieux qui coulisse voluptueusement dans ses entrailles.

Enfin, la brune sent son amant repartir en trombe, continuant de ravager férocement son anus écartelé. Et les gémissements lascifs se changent de nouveaux en petits cris affamés, en soupirs de délices, tandis que ses reins répondent coup pour coup, cognant leurs bassins brutalement. Le claquement de l'aine masculine contre son cul arrogamment bombé résonne dans la pièce. Et, une nouvelle fois, Randal réussit à ramener la belle au bord du précipice de l'extase. Avant de finalement l'en pousser d'un autre coup de bassin. Le film amateur ne manquera pas de piment, avec ce nouvel orgasme. La blonde parvient à filmer le moment où la sorcière perd pieds, ses yeux roulant dans leurs orbites, tandis que son esprit était bien incapable de la moindre pensée un tant soit peu sophistiquée.

Les prochaines paroles du colosse sont entendues sans être pleinement assimilées, alors que Céleste peine à rester consciente, à revenir sur terre. Elle finit cependant par en saisir le sens, et un sourire salace étire ses lippes toujours entrouvertes alors que son dos est ramené contre le torse puissant de son amant.

« Oooh, tu me gâtes, Sugar… On pourrait… Mmmh… Penser que l'on fête mon anniversaire… »

À présent assise sur les cuisses -et le chibre toujours vigoureux- du mafieux, la sorcière est bien contente qu'il l'aide à venir s’empaler sur sa trique. Elle tremble, la pauvre, son corps encore sous le coup des deux orgasmes presque à répétition. C'est donc sur des jambes flageolantes, ses mains venant s'agripper aux cuisses de son amant entre les siennes pour se maintenir, que Céleste s'active à venir se dilater l'anneau sur l'épais mandrin de Randal.

La blonde s'est déplacée pour venir les filmer de face, captant toute l'obscénité de la scène avec l'objectif. Elle zoom parfois sur l'intimité ruisselante, gorgée de cyprine, de l’immortelle, sur son anus étiré peut-être aux limites du possible, avant de revenir sur son visage défait par l’extase, filmant aussi bien l'expression du colosse que sa queue veineuse qui pourfend sa cible.

Quand les deux autres prennent place, la blonde filme également la façon dont le mafieux apprécie la généreuse, l'opulente poitrine de Shana. Elle enregistre la manière dont la seconde vient se mettre à quatre pattes, le cul tendu, presque en rampant pour venir aspirer les bourses remplies de l'homme. Elle s'approche même pour capturer la manière dont sa langue lape la cyprine qui goutte, qui ruisselle, depuis le con de la sorcière.

« C'est hot, putain…, hallucine la vendeuse alors que la rouquine décide de repousser les limites de la sorcière en venant donner un coup de langue sur cette petite chatte dégoulinante. Tu joues avec le feu… Prévient-elle, redoutant de voir la cruelle immortelle émerger du torrent d'extase où elle est plongée. Mmh, tu as de la chance qu'elle ne soit plus vraiment consciente de qui fait quoi, commente-t-elle finalement tandis que la seule réaction de Céleste est de rejeter la tête en arrière, contre l'épaule de Randal, en gémissant de plus belle. »

La rouquine en profite, alternant entre les joyaux viriles et cette fleur qui ne demandait qu’à être butinée. La vendeuse, amusée et excitée, colle une fessée retentissante contre la croupe offerte de son amie. Elle vient ensuite, sans cesser de filmer, glisser quelques doigts inquisiteur dans la petite chatte tout aussi gorgée d'envie, déclenchant des gémissements qui s'échouent contre les bourses de Randal et les lèvres intimes de l'immortelle.

Avec toutes ces stimulations, il n'est donc pas étonnant que Céleste atteigne une troisième fois le septième ciel, giclant presque son plaisir contre le visage de la rouquine affairée. Qui n'en perd pas une goutte.
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« Grmblmblmbmlmgrm… C’est pas vrai… ! »

Franz était d’un naturel calme. Quand on avait l’éternité devant soi, on avait tendance à prendre les choses avec légèreté et recul. Ses projets étaient, pour la plupart, le genre de grands programmes au long cours qui ne serait de toute manière jamais appliqué aujourd’hui ; du moins, pas sur Terre ! Le capitalisme, c’était quand même un sacré truc…

Mais, des fois, ses projets étaient un peu plus sensibles, temporellement parlant. C’était le cas de celui-là, censé lutter contre une nouvelle maladie juste découverte, mais qui risquait de tuer toute une variété de plantes dans les prochaines décennies si quelque chose n’était pas fait rapidement. Les mortels voyaient ça avec intérêt, mais sans réaliser forcément la gravité de la situation. Franz, lui, comprenait bien que la situation était critique, et il n’avait pas perdu de temps pour chercher toutes les données sur ce parasite invasif et agressif. Si ces pantes mouraient, on pourrait aussi bien commencer à creuser des fosses, parce qu’entre elles et les abeilles, et le reste…

Bref, il était en pétard, il était stressé, et il n’aimait pas ça. Ah ! Il regrettait parfois l’époque où tout le monde fumait partout ! Maintenant, il lui fallait sortir, et il s’exécuta en jetant rageusement sa sucette, victime collatérale de son anxiété, pour filer dans les couloirs de l’aile des professeurs et pousser une issue de secours vigoureusement. Il la cala avec un bout de parpaing, comme d’accoutumée, et alluma la clope qu’il avait déjà au bec dans un soupir consterné.

Il fit les cent pas quelques minutes avant de se détendre enfin, et de ressortir ses notes, s’asseyant par terre, dos contre la paroi de l’escalier de secours en béton, une main dans ses cheveux blancs en pétard tandis qu’il examinait ses écrits de l’autre, tirant sur la cigarette à ses lèvres sur un rythme machinal et tranquille. Il ne trouvait pas le problème. Il n’arrivait pas à comprendre quelque chose. Ou bien, il prenait le problème à l’envers. Est-ce qu’il devait tout recommencer ?

« Évidemment qu’il faut tout recommencer ! Je fais de la merde ! Putain ! C’est pas vrai ! Espèce de… papier de… de merde ! »

Il le jeta rageusement par-dessus la balustrade, soupirant, se grattant la tête nerveusement, et réalisa que sa cigarette était finie. Il souffla, se releva et alla jeter un œil par-dessus la balustrade, avisant le tas de papier froissé en boule avec dégoût avant d’aller écraser son mégot dans la boîte qu’il avait posé là à cette fin, et de s’en retourner à ses travaux. Il avait vingt minutes avant son prochain cours. Il devait revoir ces données. Il ratait quelque chose…

En même temps , il avait raté la présence de la nouvelle professeure, Séliane Noctelume, qui, elle, n’avait rien manqué de son esclandre, de ses étalages publics et de son air renfrogné. Et il était loin de se douter que sa perspective pourrait bien le débloquer.
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One Shot / Re : La guerre sans nom [Pv.]
« Dernier message par EVHive le vendredi 05 décembre 2025, 06:13:21 »
Tekhos faisait face à un problème de taille avec l’infiltration de l’EVHive. Pourtant, le sujet n’avait toujours pas été rendu public. Le risque de panique était très clair, et le nombre limité d’unités et la réaction rapide des forces armées avaient aidé à garder les faits sous silence. En règle générale, seuls quelques morts étaient à déplorer et l’affaire était assez facile à étouffer. Au pire, on mettait les disparitions sur le dos d’un mâle jaloux  ; classique.. Le pire avait été une fête nocturne entre jeunes qui avait tourné au carnage. Cette fois-là, il avait fallu prétendre à une erreur humaine et à l’incendie tragique et involontaire de la villa infestée.

Mais les cas se multipliaient. Des questions commençaient à se soulever et les militaires envoyées pour répondre à toute suspicion commençaient à craquer. Et ce n’était pas que le manque de sommeil, qu’il soit dû au rythme des interventions ou à ce qu’elles voyaient. Certaines étaient clairement épuisées mentalement, traumatisées, victimes de stress post-traumatique. On songeait à envoyer des engagées moins expérimentées, mais le risque était grand. Récemment, la fréquence des infestations avait baissé, mais, en l’absence de destruction d’une EVA contaminée, les spéculations allaient bon ton, et on se doutait, en haut lieu, qu’elles commençaient à se disperser. Si le problème dépassait Tekhos, les matriarches ne parviendraient pas à surveiller la planète entière, et encore moins au-delà. Elles risquaient de se faire déborder par le nombre si des ruches se développaient ailleurs, dans les bourgs et villages moins développés et défendus de Terra.

Alors, tout le monde était à cran. Quand le signal radar avait été perdu, Strepkova avait réagi à l’instinct, comprenant pertinemment ce qui arrivait. Ces saletés avaient encore frappé, et elle devait se sentir si impuissante  ! Elle ne savait pas si les unités venaient par ici ou non, mais elle ne pouvait se permettre de négliger tout scénario. Ces entraînements en orbite et sur les lunes et astéroïdes voisins étaient censés être sûrs, mais une part d’elle sentait bien que personne n’était à l’abri, nulle part.

Les secondes s’égrenèrent, silencieuses, tendues. Les cadettes faisaient de leur mieux, mais, derrière leur façade professionnelle, la situation les angoissait au plus haut point. Des mouvements saccadés de certains méchas trahissaient des tremblements nerveux.

Puis, elles le virent approcher.

Quelques instants plus tôt, le transport Horny Jerry avait décollé du territoire de Tekhos avec pour mission de ravitailler un laboratoire de recherche en orbite ultrahaute. Ils ignoraient qu’à leur cargaison s’étaient ajoutées trois unités de l’EVHive, et que celles-ci n’appréciaient pas spécialement de s’éloigner de leurs congénères. Elles étaient vite devenues agressives, se dévoilant pour tailler en pièces le petit équipage civil totalement désarmé. Heureusement, ce genre de basse besogne était laissée aux hommes, aussi n’y avait-il eu aucun risque d’insémination. Mais l’appareil, à la dérive et en pleine accélération, avait évidemment continué sur sa course. Une minute plus tôt, il avait percuté le satellite de radiodétection transmettant à l’unité de Strepkova, lui donnant l’alerte et, à présent, voilà l’engin, un appareil de taille moyenne, qui fonçait droit vers elles.

La silhouette grossit rapidement. Très rapidement. De plus en plus rapidement. A ce genre de vitesses, les réactions doivent être instantanées. Le major se dégagea en entraînant une cadette avec elle, sommant les autres d’agir, mais Izumi et Kai ne parvinrent pas à s’éloigner assez vite pour être épargnées par le crash, un blast brutal et un nuage de poussière et de débris métalliques et minéraux les engloutissant tandis qu’Aki y échappait de peu avec son instructrice.

Le choc était évident, pour tout le monde, mais Strepkova savait bien qu’elle devait absolument retrouver les deux disparues et faire l’état de leurs méchas. Dans le vide spatial, une faille critique imposerait certaines décisions urgentes. Et, si elle manquait d’une seule paire de bras… Elle ne savait même pas encore à quoi s’attendre.

Les unités, elles, avaient évidemment souffert du crash, mais leur constitution adamantine leur permit de supporter le choc sans trop de latence. Elles se mirent immédiatement en action. Elles aussi devaient faire un état des lieux. Elles devaient rejoindre les leurs, mais aussi comprendre où elles se trouvaient et estimer le niveau de menace. Forçant une porte blindée sans mal, elles se dispersèrent autour de l’épave en se servant du nuage de poussière qui persistait sans gravité pour le faire retomber rapidement.

Très vite, une d’elles tomba sur quelque chose d’intéressant et toutes prirent connaissance de la même chose, l’examinant ensemble comme si elles y étaient toutes  : c’était un mécha tekhan, une version d’entraînement. Il y avait un groupe de cadettes ici. Mises en alerte, celle qui avait trouvé le mécha se mit à la recherche d’une faille, d’un mécanisme d’ouverture, et testa sa capacité à déplacer l’engin plus près de l’épave, tandis que les autres se plaçaient à couvert non loin pour épier toute approche.
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Base Spatiale / Re : Je te trouverai aux confins de l'univers [Jack Marston]
« Dernier message par Jack Marston le vendredi 05 décembre 2025, 04:59:17 »
Si Jack n’avait pas osé, initialement, aller aussi loin qu’il pouvait aimer le faire, la retenue lui passait de plus en plus rapidement. Sans constater de résistance ou de refus du côté d’Anéa, il avait commencé à s’adonner avec plus d’entrain et de joie à leur exercice, et il fut surpris de sentir soudain une nouvelle sensation, à l’un de ses retours. Il connaissait cette sensation, elle était causée par un certain type de piercing lingual, mais l’Ange n’en portait pas auparavant. Ou ne l’avait-il pas remarqué ? Non, il s’amusait avec elle depuis trop longtemps. Il aurait pu le remarquer en lui parlant et, dans tous les cas, il la remplissait bien et l’aurait déjà senti sur sa langue. C’était…

La sensation avait disparu alors même qu’elle commençait à faire son effet. Légèrement frustré et un peu désemparé, le chasseur de primes s’était légèrement calmé, s’était extirpé de sa gorge pour l’épargner un instant, la laisser inspirer, lui donner le temps, à elle, de se remettre et, à lui, de laisser passer ses drôles d’impressions. Avait-elle fait quelque chose, ou s’imaginait-il des trucs ? Il était bien sûr d’avoir senti quelque chose de nouveau pendant un instant, cela dit. Ça ne pouvait pas être son imagination.

Anéa, elle, n’avait clairement pas de grand débat à mener avec elle-même. Le regard arctique qu’elle releva vers lui en disait long sur ses pensées et les lui transmettait avec clarté, le ramenant au présent, et à ses désirs. Il revint à ses yeux d’un bleu glacé, à ce visage rosi par l’excitation et par l’afflux de sang. Les Anges étaient si semblables à lui, et aux Humains en général… Il se demandait s’il en existait de semblables à d’autres espèces, ou si ce n’était qu’une spécificité humaine ? Il n’avait jamais demandé à des aliens. C’était une question vraiment bizarre à poser, aussi. S’il recroisait ce prêcheur globulien, sur la base, peut-être ?

Etait-elle seulement un Ange ? On les lui avait décrit comme des êtres vertueux, chastes et pieux. Rien à voir avec cette créature sublime qui se doigtait presque à genoux devant lui et suçotait ses doigts sous ses doigts avec appétit, lui lançant un frisson à travers l’échine, tendant son érection dans une palpitation, lui donnant envie d’y revenir. Comme une transmission de pensée, elle se retournait et, se pavanant à quatre pattes sur le canapé, elle se pencha en avant, la croupe dressée, gigotante, réclamant une attention qu’elle ne tarderait pas à avoir.

Il l’avait suivie de près, subjugué par le désir et par son petit jeu. Dès qu’elle se fut arrêtée, une main large aux doigts épais glissa sur sa croupe, et Jack poussa la majeur dans sa fente, la pénétrant sans la moindre tendresse ; non pas qu’elle semble en vouloir, tant elle était mouillée et détendue, prête à recevoir plus encore. L’annulaire suivit donc, et il caressa ses chairs intimes et chaudes un instant jusqu’à trouver un point sensible. Lorsqu’il la sentit pousser sur le bout de ses doigts, il insista là, et se mit à la doigter frénétiquement, accélérant de plus en plus le rythme en ne quittant pas ce point, la faisant rapidement piailler de plaisir tandis qu’il la tenait en place de l’autre main posée sur ses reins.

Il arrêta vite son manège, la laissa reprendre un souffle, et claqua ses fesses d’albâtre, une fois chacune, dans un claquement sec qui les fit rougir instantanément. Mais il n’en avait pas fini non plus. Il grimpa enfin sur le canapé à son tour, mais d’un pied seulement. Il se plaça derrière elle, bien campé, bien dressé, et tendit le bras en se penchant en avant, saisissant ses cheveux en une grosse poignée, la cambrant en tirant légèrement mais fermement tandis que son vît épais venait prendre la place délaissée par ses doigts taquins. Il poussa sans mal et sans se contenir, prenant très rapidement sa place en elle, poussant en la remplissant pleinement jusqu’à atteindre son fond, la tendant jusqu’à presser son aine contre elle. Il la laissa sentir sa présence et sa poigne, ne bougeant pas, la laissant palpiter et gigoter autour de lui avant d’entamer son jeu de bassin, lentement, d’abord , puis, de plus en plus vite, en claquant fort, il s’en donna à cœur joie sans plus lui donner le temps de souffler, trop bien à sa place, trop bon dans ce rôle, et bien décider à jouir d’elle.
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Blabla / Re : Mon voisin du dessus
« Dernier message par Shion le jeudi 04 décembre 2025, 22:36:20 »
Connaissant Anéa selon les livres, je dirais à mon VDD de préparer son fion et d'accepter l'offre de son VDD...
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le jeudi 04 décembre 2025, 20:10:00 »
La première phrase qui traverse mon esprit est "Cool, ça marche" en entendant sa réponse. Et malgré cela mon corps s'arrête une fraction de seconde quand je vais pour attraper sa main pour l'aider à se relever. Aucun macho ne réagirait de cette façon. Si ? Il faut que je trouve une solution de repli rapidement car j'ai déjà initié le mouvement. Réfléchir, réfléchir, réfléchir ! Non, pas réfléchir. Agir ! Oui, c'est bien ça d'agir de manière instinctive.


- Vaudrait mieux, sinon je t'abandonne en pleine rue comme tu l'as fait avec moi les autres fois. Et tu devras craindre autre chose que les flics.


La main libérée de la menotte va chercher la sienne et tire son corps si léger contre le mien. Sa poitrine s'écrase au passage sur mon torse musclé en même temps que son parfum assiège mes narines. A terme je vais la porter comme elle me l'a demandé. Mais pas tout de suite car je dois continuer d'imposer ma façon de penser et de faire jusqu'au bout. Pour se faire, ma main encore un peu endolorie au niveau du poignet se glisse entre ses cuisses et écarte ses lèvres intimes à l'aide de quatre doigts. Ce simple geste fait tomber au sol tout le sperme qui en coulait petit à petit jusque là. A l'instar de ma queue, j'initie un doigtage en règle en mélangeant et frottant le reste de mes fluides encore en elle contre ses parois sensibles.


- Laisse tout sortir. Ma bite prendra le relai pour le reste du trajet jusqu'au moment où je déciderai de revenir te remplir. Tout dépendra de mon envie.


Avec l'aide d'un bras placé dans son dos pour l'aider à rester debout en équilibre, je poursuis ma visite exploratrice. Rarement j'ai pu les enfoncer dans une chatte aussi brûlante et humide que la sienne. On dirait presque qu'elle tente de les aspirer quand je tente de les retirer pour mieux y retourner. Même ma paume entre dans le jeu en se frottant contre son bouton en prenant soin de ne pas aller jusqu'à la faire jouir. Son orgasme aussi dépendra de mon bon vouloir.


- Bon, on a perdu assez de temps ici.


Le son humide produit par la sortie de mes doigts m'excite terriblement et il suffit de regarder ma queue remuer de haut en bas pour le constater. Sans perdre de temps inutilement, ma main sale et partiellement couverte de cyprine et de foutre se pose sous une des cuisses de la blonde pour lever son corps et venir le faire s'empaler sur ma queue. Là où est sa place légitime. Cette soirée risque d'être longue, intense et complètement folle.

En l'espace de quelques instant nous nous retrouvons hors du tunnel et aux abords de la ville. Ce coin là je le connais. Inutile donc de lui demander exactement où elle veut m'emmener. Je me contente de ses premières indications un peu vagues en pensant être tranquille. L'endroit idéal pour faire une pause.


- Descends et pose une jambe sur ce banc que je te prenne en levrette. C'est la position préférée des chiennes après tout.


On ne va pas rester ici trop longtemps. Tout ce que je veux c'est souffler et réfléchir à ce que pourrais lui faire faire cette nuit, même si j'ai déjà pas mal d'options qui me trottent en tête. Se retrouver dehors, en pleine ville, est beaucoup plus excitant que de baiser dans un tunnel isolé. Ici il y a ce frisson d'être découvert.

D'ailleurs, je suis a peine retourné dans sa chatte une minute que je peux entendre deux vois s'approcher de nous. A leur dégaine et leur façon de parler il s'agit de deux geeks. Des ados d'à peine la vingtaine qui ne réalisent ce qui se passe devant eux qu'une fois à 5 mètres de nous.
Juste avant qu'ils lèvent la tête vers nous j'arrache la cape de la nympho et la pose sur sa tête pour servir de masque improvisé.


- Alors les jeunes, c'est pas une heure pour sortir. Mais ce soir... c'est votre jour de chance.


Au début les deux jeunes se regardent en tournant la tête de chaque côté pour tenter de repérer une caméra cachée quelque part alors qu'il n'en est rien. Puis ils fixent avec envie les seins et le cul de la belle blonde qui remuent au rythme de mes coups de rein car je ne vais pas m'arrêter pour eux. Cela semble même exciter ma partenaire.


- Si vous lui présentez vos queue, elle vous branlera avec plaisir.


Le bémol c'est qu'ils pourront uniquement lui éjaculer dessus ou sur la cape qui protège son visage. Après, ça reste déjà une expérience unique qu'ils pourront raconter à tous leurs amis plus tard car ça n'arrivera jamais deux fois dans leur vie.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le jeudi 04 décembre 2025, 19:25:10 »
Si, en temps normal, c’est Présage qui mène la danse, la situation est toute autre ce soir. Et la blondinette n’est absolument pas contre ce changement. Elle adore sentir la poigne solide de Tank contre son corps, alors qu’il serre son cul si fort qu’elle en aura probablement un bleu le lendemain. Elle se complaît dans cette attitude dominante qu’il a adopté. Chacun de ses mots la laisse tremblante, soupirante, alors qu’il ne cesse de venir marquer son passage dans sa petite chatte trempée. Elle ne peut que murmurer, gémir, soupirer… Crier son nom. Comme une ode à sa virilité. A la manière dont il cogne aux portes de son utérus à chaque coup de rein.

Calamity n’a presque plus de souffle pour démontrer son enthousiasme. Heureusement, voilà qu’elle le sent se ficher profondément en elle. Encore. Et encore. Et elle ressent chaque tressautement de son chibre qui tapisse son intérieur de ce foutre épais, gluant, qu’elle a goûté précédemment. Ses ongles griffent ses épaules, sur le costume qu’il porte encore, tandis qu’elle sent un autre orgasme -moins puissant- faire s’étrangler un cri dans sa gorge. Apparemment, rien que le fait de le sentir la remplir suffit à ce que l’extase dévaste ses sens.

« Fiou, marmonne-t-elle en essayant de reprendre ses esprits alors qu’il s’était finalement retiré, laissant des coulées de fluide sirupeux descendre le long de ses cuisses rougies. Te détacher, mmh ? »

Elle sourit, adossée au mur alors que ses jambes ont du mal à retrouver leur stabilité. Elle peut toujours sentir sa chaleur qui se propage à son corps alors qu’il reste à proximité. Son regard clair reste attiré par le chibre qui luit dans la faible luminosité des lieux. Elle ne l’en détache que lorsqu’il attrape son menton pour la forcer à lever la tête vers lui. Un frémissement la fait se tortiller contre le mur alors qu’il ne perd pas cette attitude autoritaire. Elle en perd presque le souffle, ses lèvres s’entrouvrant d’elle-même tandis que le sens de ses paroles est enfin compris par son esprit prompt à la distraction.

« Oh, si tu insistes… Lâche-t-elle finalement dans un soupir, un sourire amusé luttant pour ne pas se montrer sur ses lippes rougies. »

Son corps, cela dit, trahissait le trouble qui l’agitait alors qu’elle se sentait incapable de lui refuser quoi que ce soit dès lors qu’il lui parlait de la sorte, qu’il la dirigeait de cette manière. Sans que ses prunelles bleues ne quittent celles du malfrat, Calamity glissa une main légère à sa ceinture pour en retirer les clés des menottes. A tâtons, elle chercha la serrure des petits bracelets d’argent pour y insérer la clé. Après un clic signifiant l’ouverture, elle tira sur la paire de menottes pour libérer le poignet de son amant les raccrochant à sa ceinture.

« Je veux bien t’emmener chez moi, mais tu me portes ! S’exclame-t-elle finalement en retrouvant un peu de ses esprits. »

Un sourire salace étira cette fois franchement ses lippes tandis qu’elle levait les bras pour qu’il la prenne contre lui, contre son torse, afin qu’elle noue ses chevilles dans son dos et revienne s’embrocher sur sa queue pour toute la durée du trajet. Rien n’empêchait, en effet, de lier l’utile à l’agréable.

« J’te guiderais, t’en fais pas, rassura-t-elle avec un clin d’œil. »

S’il acceptait, si effectivement il consentait à la prendre dans ses bras pour qu’elle puisse profiter de son chibre pendant qu’il marchait, elle le guiderait. Elle lui ferait prendre les ruelles où l’on ne croise jamais personne. Elle lui ferait prendre des raccourcis, jusqu’à finalement arriver en vue de l’immeuble dans lequel elle avait un petit appartement de quatre pièces. Elle lui donnerait le code de la porte d’entrée, et le numéro de l’étage. Ainsi que le numéro de son appartement. Elle lui dirait absolument tout ce qu’il devait savoir pour finalement pénétrer dans son intimité, figurativement parlant. Elle ne craignait pas que ça lui retombe dessus sans qu’elle ne le voit venir, après tout. Et elle se demandait même si, connaissant son adresse, il ne s’arrêterait pas « à l’improviste », de temps à autres, pour venir la remplir comme elle aimait si bien.
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