Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Grayle le pérégrin le lundi 08 décembre 2025, 22:47:12 »
Hum, avec la forme centaure, la beuverie près du lac me semble le scénario le plus censé, il y a de quoi faire des choses amusantes !

Sous forme de licore, j'imaginais une séance de dressage.

Ou alors, Maeilera coincée dans un piège (collant et magique) la vidant de toute énergie et la coinçant sous sa forme. Et le seul moyen pour Grayle de l'en libérer serait de la recharger avec un liquide vital, mais hélas, sa bouche n'est pas accessible...  :kappa:

on peut en parler sur le discord si tu veux !
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le lundi 08 décembre 2025, 22:38:35 »
Et il ne se retint pas plus longtemps. Alors que la jeune femme se cambrait dans ses bras, et qu'il la sentait de nouveau resserrer les parois de son intimité sur sa hampe, comme pour le retenir, le vampire ne fit qu'un seule râle, la serrant plus fort pour la maintenir contre lui alors qu'il pressait son sexe dans les plus profonds recoins de la jeune femme et déversait en elle tout cet orgasme contenu et retenu depuis déjà plusieurs minutes. Il ne la libéra pas, et malgré la fatigue qui semblait la prendre, il ne la suivit pas dans ce soudain relâchement qui accompagnait normalement l'orgasme.

Il resta en elle quelques secondes, pantelant contre elle – une preuve de fatigue avec laquelle qu'il n'était plus vraiment familier, notons-le, car n'ayant pas besoin de respirer en temps normal–, son sexe pulsant encore ses quelques derniers tressaillements de plaisir. La sentant perdre pied, il l'entoura de ses bras autour de son abdomen, et se laissa choir avec elle sur le banc, l'asseyant sur ses cuisses, la libérant enfin des tortures du jet d'eau. Il manipula de nouveau les boutons de contrôle, et le jet s'arrêta, laissant simplement la douche se déverser sur le corps de l'étudiante, attirant doucement la tête de celle-ci contre son torse pour qu'elle puisse se remettre de l'expérience, et il la conserva dans cette position pour qu'elle puisse se reposer.

"C'était…"

Il dut réfléchir aux bons termes pour décrire ce qu'ils venaient de vivre, ou du moins ce qu'elle venait de lui offrir. Il ne voulait être ni trop formel, ni trop décontracté dans ses mots, et il tourna plusieurs formules dans son esprit avant d'opter pour quelque chose de plutôt simple;

"C'était sublime."

C'était le mot le plus proche de ce qu'il voulait exprimer.

Quelques secondes plus tard et son sexe dégonfla enfin, s'éjectant de l'intimité de la gorgone avec un dernier soubresaut, comme pour signaler la fin de cette expérience intense pour Cypress, chose qu'il avait l'impression qu'elle avait apprécié. Il attendit encore de bonnes minutes pour que tout ce qu'il avait laissé en elle fasse son chemin, et avec les petits soins d'un amant attentionné, il agrippa un linge propre et du savon pour la nettoyer, évitant de stimuler son clitoris qui, selon ses gémissements de tantôt, ne pouvait pas en prendre plus.

Il ferma alors le robinet de la douche et souleva délicatement la pauvre fatiguée dans ses bras, la portant hors de la douche, avant d'agripper un peignoir laissé à côté de la douche et l'envelopper dedans avec dextérité. Une fois bien enveloppée, et ne sachant pas que faire d'une tête avec des serpents, il agrippa simplement une serviette et la posa dessus, sans frotter. Après avoir passé un peignoir à son tour, il l'emmena hors de la salle de bain, vers le lit dans sa chambre, et la posa dessus, sans vraiment faire attention à l'humidité qui allait imprégner le matelas.

Le cadran affichait déjà six heures du matin; lui qui prévoyait sortir et faire comprendre à ses ennemis qu'ils avaient fait une grave erreur en s'opposant à lui devait maintenant repousser ses plans à la nuit prochaine. Maintenant qu'il constatait l'heure, il se rendit compte que la fatigue qui accompagnait le lever du soleil faisait "battre" son cœur jusqu'à ses tympans. Le sommeil d'un vampire n'avait rien d'élégant, car laissant celui-ci dans un état de mort presque complet (et donc un peu perturbant pour ces belles gens), il s'empressa de bien couvrir la jeune femme, la gratifiant d'un dernier baiser sur la joue avant de s'en départir, comme à regret. Il tituba vers le salon, puis vers la deuxième chambre du grand appartement, et se laissa choir sur le lit. Mécaniquement, la porte de la chambre se verrouilla à double tour, pour protéger son résident, et Cypress ne le verra plus jusqu'à la nuit suivante… si elle venait à s'éveiller avant lui.

Il n'atteignit même pas le lit quand son cœur s'arrêta complètement, et il tomba au sol, comme un pantin auquel nous aurions coupé les fils. Il cessa de respirer. Et bientôt, il devint raide comme la mort.
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Cypress Thornwood le lundi 08 décembre 2025, 21:45:13 »
Cypress était servie, pour cette première nuit où elle se livrait corps et âme à un homme. Hadrian était attentif, doux quand il le fallait, passionné à chaque instant… Elle n'aurait pas pu rêver mieux si elle s'était autorisée à le faire.

Les sons de leurs ébats et de la douche étaient presque couverts par ceux qu'elle émettait. Des soupirs, des gémissements, des sifflements, des cris de jouissance qui quittaient sa gorge et faisait s'exercer ses cordes vocales comme jamais auparavant. Il parvenait à lui tirer des sons dont elle ne se serait pas cru capable, des aigües et des graves, entre soprano et alto. L'étudiante n'avait plus conscience de rien si ce n'était que du corps du vampire, sa queue et ses mains, qui cognait contre le sien.

Et puis la pression des jets de la douche, venant du sol, s'appliquant directement contre sa perle.

« Ooooh, exhala la gorgone, surprise, haletante, mais définitivement réceptive. Quel déli-iii-ce ! »

L'une de ses mains se détacha du mur pour venir se presser contre celle qui s’était glissée contre son abdomen, comme pour remercier son amant de cette jouissive attention. La pression qui s'ajoutait à l'équation ne tarderait pas à la faire de nouveau admirer les étoiles du septième ciel. Aussi, quand il prévint qu'il arrivait au bout de son endurance, entre deux baisers, elle ne put que répondre par un cri étranglé tandis qu'elle franchissait une fois de plus la ligne d'arrivée.

Tout son corps se verrouilla pendant de longues secondes tandis qu'elle n'aurait plus su comment elle s'appelait si on le lui avait demandé. Ses chairs emprisonnaient le sexe mâle dans ses profondeurs ardentes alors que les vagues de plaisir surgissaient et s'échouaient contre son esprit hébété. La pression de ses parois intimes contre la hampe qui coulissait en elles le défiait presque d'égaler la puissance de cet orgasme qu'il lui offrait.

« Hadriaaaan, miaula-t-elle enfin tandis que ses jambes se dérobèrent sous elle. Oooh, Hadrian… Au nom de… La matrice d'Echidna… Ne vous… retenez plus… Je vous en conjures… »

Peut-être bien que Cypress avait surestimé sa propre endurance. Elle avait l'impression que toutes ses forces l'avaient désertée, ne laissant que les langues de plaisir continuer d'électriser chaque nerfs de son corps. Elle était vidée, incapable de trouver appui sur ses jambes, ne tenant que par la protection du vampire et le mur contre lequel elle s'appuyait plus que de raison.

Pantelante, la brunette n'avait plus conscience des serpents qui se tenaient toujours à l'écart par crainte d’être entre les deux amants pour qui seul l'autre comptait, en cet instant. Elle tressaillait encore sous le jet qui continuaient de torturer délicieusement son bourgeon sur-stimulé. Les yeux fermés, elle ne pouvait qu'espérer que son amant n'était pas aussi exténué, aussi rincé, aussi vidé d'énergie qu'elle l’était. Parce qu'elle se voyait déjà céder aux sirènes de Morphée sur le sol de cette douche diablement bien équipée.
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Le coin du chalant / Re : Maeilera - Chaland de rp ~
« Dernier message par Maeilera le lundi 08 décembre 2025, 20:59:46 »
Comme les chevaux, les licornes savent nager ~ et cette licorne sait prendre forme humanoide, donc elle peut meme faire la brasse lol
Grayle - ça serait avec plaisir, tu as une idée de rp ?
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Catalina Taylor le lundi 08 décembre 2025, 19:00:19 »
Surfant sur les vagues de plaisir qui la ravagent, Calamity ne sait plus où donner de la tête, tirant légèrement sur les chibres de nouveau raides qu’elle tient pour venir les inciter à se frotter contre sa poitrine. Elle n'écoute que d'une oreille, ne comprenant pas forcément ce qui se dit avec l'esprit autant sollicité par son orgasme, mais comprend très vite quand Tank lui ordonne de venir se mettre à genoux par terre après s'être retiré d'elle. Lui occasionnant par la même occasion un geignement plaintif de ne plus se sentir aussi remplie.

A genoux, assise sur ses talons, la belle ne voit rien de ce qui se passe mais ressent l'approche des deux jeunes. Gémissant sourdement, elle redresse le buste pour mettre en valeur ses seins pointant avec arrogance, et ses mains viennent aider les inconnus à caler leurs chibres contre son visage. Elle pousse même le vice jusqu’à ouvrir la bouche et laper les couilles qui se présentent parfois, ou bien un gland près de ses lèvres, rendant les photos prises encore plus érotiques.

Quand ils s'écartent finalement, laissant des traînées de sperme et de liquide séminal maculant ses joues, Présage peut sentir que c'est le colosse qui se présente ensuite à sa bouche déjà ouverte pour l'accueillir. Avec moult gémissements assourdis par la queue qui coulisse rapidement entre ses lèvres, la jeune héroïne ne se prive pas pour saliver abondamment, lubrifiant le sexe qui goûte sa cyprine.

Ses mains, laissées désœuvrées, viennent alors frotter son bourgeon tandis que Tank la pousse à reculer la tête jusqu’à ce qu'elle soit bloquée par l'assise du banc derrière elle. Et si, jusque là, il ne touchait qu’à peine sa glotte, la profondeur changea rapidement. C'est une Calamity ravie qui accueillait le reste de la trique bandée au plus profond de sa gorge, , bavant toujours plus sans que ce ne soit cette fois volontaire. Elle se tortillait également, frottant frénétiquement sa perle, alors qu'il venait cogner avec ferveur contre les parois cannelées de sa trachée.

La blonde ne veut pas le laisser se retirer de ses lèvres alors qu'ils étaient si bien partis, et ses lèvres se resserrent sur le manche qui recule, tentant de le contrer en l'aspirant toujours plus. Il n'est pas faux de constater que la belle est insatiable, une fois lancée. Un petit soupir plaintif suivit le « pop » du gland qui s'échappait de ses lèvres, et Présage avait adopté une moue boudeuse.

Qui s'effaça rapidement quand son amant retira la cape qui couvrait son visage et la reprit contre lui, sur sa queue veineuse toujours dressée.

« Oooh, Tank, soupira-t-elle contre son oreille. Qu’est-ce que j'aime ce que tu me fais faire ! »

Regardant autour d'elle pour se rappeler où ils étaient, la belle ondula ses reins en s'accrochant aux larges épaules de son amant et lui susurra les prochaines instructions pour se rendre à son appartement.

« La prochaine à droite. Mmmh… Au stop à gauche. Aaah, oui… La deuxième à gauche. Oooh… A droite encore une fois. Mmmh, Tank… Ah, on y est.

Descendant finalement de son perchoir, après avoir gratifié Tank de quelques minutes de twerk contre lui, sur sa queue, la blonde tape le digicode afin d'ouvrir la porte d'entrée, laissant le colosse voir qu'il s'agissait de 04567.

« 6éme étage. Avec ascenseur. Et à cette heure-ci, soit les voisins sont en soirée, soit ils dorment. Il ne devrait y avoir personne pour nous déranger si on retient un peu l'ascenseur…, sourit-elle, taquine. »

Après l’ascenseur, le numéro de la porte de son appart était le 33. Juste en face des portes de l'ascenseur. Et elle laissait toujours sa porte déverrouillée, ne craignant pas vraiment de se faire dévaliser sans que son instinct le sente.
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Le quartier de la Toussaint / Re : Ride the white horse [Pv. CORA]
« Dernier message par Ryo le lundi 08 décembre 2025, 17:32:53 »
“Tiens putain! Prends ça!!”

Le coup de reins de Ryo propulsa le corps de Cora vers le haut. Il la baisait comme un animal sauvage s’acharne sur sa proie.

Cela faisait une demie heure qu’ils étaient arrivés à l’appartement de l’américaine et ils avaient déjà entassé le peu d’affaires qu’elle avait dans l’entrée. Pour l’essentiel, il s’agissait de fringues, et les rares autres trucs à prendre étaient rangés dans un carton que Ryo avait récupéré sur un autre palier. L’endroit était petit et le flic y semblait immense. Il avait regardé son petit cul préféré s’affairer et entre sa paire de fesses se dandinant et ses loches ballotant à chaque mouvement, il avait subitement eu envie de la niquer. Le cuir râpeux avait rejoint celui de Cora sur la canapé et il avait coincé sa petite salope contre une fenêtre donnant sur une cour, avec un vis à vis.

Et là, il la tringlait comme un soudard. Cora avait son jean et sa culotte sur les chevilles et son top était relevé au dessus de ses nibards. Il la verrouillait sévère et elle avait la gueule contre la vitre, sa joue y marquant de la même manière que ses seins aplatis. Ryo lui tenait les bras dans le dos, d’une seule main, et de l’autre, s’ancrait à sa tignasse.

“Bordel de merde! J’adore quand tu te comportes comme une chienne.”

Il la déboitait et s queue foutait un sacré boxon dans le vagin trempé de la nympho. Au début, ça avait été brutal, il avait voulu l’enculer mais s’était foiré par deux fois. Elle était sèche et lui, trop pressé. Alors, d’un coup, il avait fléchi les jambes, avancé le bassin et était remonté violemment en la transperçant. il avait gueulé presque aussi fort qu’elle et pensait s’être déchiré le frein. Mais non, ça avait tenu et là, il la défonçait. le premier connard qui regardait par sa fenêtre pouvait les voir s’envoyer en l’air.

Cora l’avait chauffé ... sans rien faire. Elle avait juste été elle-même et cela avait suffit. le flic avait été pris de pulsions qui lui avaient tordues le bide et le feu de son regard avait fait écho à la manière dont il avait attrapé Cora.

Sa poigne se fit plus dure, elle en garderait des marques. Ses ruades frénétiques et désordonnées ne laissaient pas une seconde de répit à Cora.

“Encaisse! Ouais bordel encaisse! t’es faite pour te faire sautée comme une pute.”

Il plombait un fourreau brûlant et totalement trempée. Il aurait foutu sa bite dans un chaudron de soupe sur le feu que cela aurait été la même chose.
Cora n’était pas shootée et morflait. Ça, c’était le pied. Ils en avaient parlé sur le chemin de l’aller. Il avait joué le jeu et était allé dans son sens. Ouais ... pas trop, un peu les soirs de sortie ou les weekend peinards. S’agirait pas de la griller au boulot et qu’elle finisse en taule. La législation sur les stups était raide au Japon...

“Pu ...”

Il gicla en elle et si Cora était réceptive, elle comprendrait qu’il venait de lui remplir l’utérus. A voir pour les résultats ...
Mai ce n’est pas pour autant qu’il cessa et si elle ferait l’erreur de se foutre à genoux, il la ferait dégueuler à lui bourrer la gueule.
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Centre-ville de Seikusu / Re : [Cypress Thornwood] That Beautiful Monster
« Dernier message par Hadrian Kensley le lundi 08 décembre 2025, 07:45:32 »
Elle chantait encore son nom, avec une note harmonieuse comme elle savait le faire. Ses lèvres étaient entreouvertes pour laisser passer des séries de gémissements presque sans fin, une mélodie qui envahissait complètement la salle de bain, couvrant presque le son de l'eau qui déferlaient sur eux. Il pouvait presque goûter sur sa peau le plaisir qu'elle ressentait sous la forme des perles de sueur qui, sous les gouttes d'eau de la douche, disparaissait à leurs pieds aussitôt étaient-elles apparues. Elle lui demanda, presque ordonna, qu'il poursuive, qu'il ne s'arrête pas un seul moment, et son endurance sembla presque même encourager le vampire, qui en oublia alors qu'il avait affaire à une amatrice dans le domaine.

Enfin… amatrice…

Lorsqu'elle se pencha devant lui, les bras contre le mur, le dos arqué, pressant ses fesses contre son bassin pour le faire reculer, et lui demanda de la prendre plus fort encore, il ne sût vraiment s'il aurait même pu la considérer comme telle. Et donc, il se concentra juste sur elle, sur ses désirs qui, de toute façon, mènerait à son propre plaisir. Les mains d'Hadrian se posèrent sur les hanches pleines de la gorgone, ses ongles de nacre se déformant subtilement pour éviter d'entailler cette peau sensible, fragile et exquise.

Il continua donc, inlassablement, de pistonner sa belle amie, d'abord en lui tenant les hanches à deux mains, puis s'appuyant d'une main contre le mur pour s'éviter de se le prendre en pleine tête. Plus elle gémissait, et plus longtemps encore continua-t-il son ouvrage, inlassablement, jusqu'à ce qu'une idée lui vienne en tête.

Un peu plus tôt, il lui semblait que la jeune femme avait eu une espèce de petit gémissement quand le jet au sol s'était activé, et pas simplement de surprise. Il jeta rapidement un coup d'œil au sol, et ajusta très légèrement la position de la jeune femme pour l'aligner au-dessus du jet, et du pied lui écarta les jambes de quelques centimètres de plus, avant de se pencher sur elle et de poser un baiser sur son épaule.

"Pardon," souffla-t-il à l'oreille de Cypress.

Il ne s'excusait pas vraiment; il n'y avait aucune sincérité dans ce mot, mais il crut que cela n'était que politesse de lui présenter des excuses alors que sa main posée au mur ne touche la télécommande de la douche, et qu'il presse deux boutons. L'instant d'après, un son de moteur émana du mur et une petite vibration se fit de nouveau sentir du sol, et en moins de deux secondes, le jet du sol expulsa contre l'intimité de la jeune femme une eau à forte pression. Le chaud liquide, concentré en un trait continu, frappa directement entre les cuisses de la jeune femme, et martela sans pitié son bourgeon d'amour.

Et alors que l'eau sous pression stimulait encore plus qu'il n'aurait pu le faire à la main ce petit bout de chair gorgé de sang, le vampire augmenta encore la vitesse de ses coups de rein, stimulant encore plus cette pauvre femme dont la féminité devenait un geyser de sensations. Et si ses jambes venaient à se dérober, nulle crainte, car la main d'Hadrian avait quitté sa hanche pour venir se poser contre son abdomen, lui offrant son support.

Bientôt, le vampire dût cependant se rendre à l'évidence; il ne tiendrait pas plus longtemps, parce que non comptant d'être stimulé par un coït intense, les vibrations du jet d'eau qui frappait contre l'intimité de Cypress se répandaient également en elle, et le vampire tenait déjà aux derniers fils de sa raison, alors que le plaisir grimpait encore d'une case. Et encore d'une.

Il se pencha sur elle et, instinctivement, son emprise se resserra, alors qu'il posait ses lèvres contre les siennes.

"Je ne tiens plus… Ma douce Cypress…" dit-il entre deux baisers, pressant son bassin contre les fesses de la jeune femme.
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Le soleil est haut, éclatant, brutal.

Les façades de béton clair et de verre poli, typiques du campus japonais, renvoient une lumière si nette qu’elle en devient presque coupante. Les escaliers métalliques extérieurs, fixés contre l’aile des professeurs, brillent comme des lames chauffées par le jour.

Au milieu de cette clarté uniforme, Séliane Noctelume se déplace, et quelque chose, imperceptible aux yeux humains, s’infléchit autour d’elle.

Ce n’est pas une ombre. Ce n’est pas une magie. C’est une présence nocturne, douce mais distincte, comme un écho de lune oublié en plein midi.

Pour les mortels, elle reste simplement élégante, un peu trop calme peut-être.
Mais pour toute créature non humaine, sensible aux nuances que le jour efface, son aura s’étend comme un reflet de nuit sur l’eau en plein soleil.

La lumière autour d’elle semble légèrement moins agressive. Les contours du monde se font un souffle plus feutré. La chaleur du béton lui-même semble hésiter à la toucher.

Son papillon translucide, lui aussi, révèle alors une nature différente : sous le soleil, la lumière passe à travers lui, mais pour un œil non humain, elle se plie légèrement, comme sous l’influence d’une lueur lunaire invisible.

Elle tient un sac de papier rempli de figues entre son buste et le creux de son bras gauche, un autre fruit dans la main droite.

La pulpe sombre qu’elle goûte ne reflète pas le soleil : elle l’absorbe, comme un murmure de crépuscule dans un monde trop brillant.

Elle avance.

Un bruit sec éclate soudain : frt...ploc... et une boule de papier roule jusqu’à ses pieds.

Elle relève les yeux, et son regard se pose sur la balustrade du troisième étage, où un professeur aux cheveux blancs en bataille lutte avec ses notes, sa colère et sa fatigue. Sa frustration crépite dans l’air comme de petites étincelles.

Pour un humain, la scène est banale. Pour un non humain, la rencontre entre la nervosité électrique de cet homme et la présence discrètement nocturne de Séliane crée un contraste presque audible.

Elle se penche. Le sac bascule, trois figues roulent.

Et alors, juste un instant, à peine un souffle, sa présence semble atténuer la lumière du soleil autour d’elle. Un minuscule repli de jour. Une respiration nocturne. Rien de visible… mais tout à fait sensible pour ceux qui disposent de sens plus vastes.

Le papillon, lui, descend lentement, ses ailes iridescentes laissant une traînée si ténue qu’elle n’existe pas pour les humains, juste un tremblement subtil dans l’air, comme un frisson de nuit.

La fée royale se faisant passer pour une humaine ramasse d’abord les figues, puis la boule de papier.

La manière dont elle déplie la feuille est silencieuse, lente, presque liturgique. Quelques mots. Une maladie végétale. Une urgence. Une peur.

La feuille semble soudain perdre sa nervosité dans ses mains, comme si, là encore, son aura nocturne laissait retomber la colère dont elle était imprégnée.

Elle referme la page. Lève le visage.

Le soleil frappe son profil… mais refuse d’en ternir la douceur. Autour d’elle, pour des yeux non humains, sa silhouette est cerclée d’une lueur subtile, pas lumineuse, mais ombrée, comme si une nuit discrète persistait tout autour d’elle malgré le jour.

La jeune femme s’avance. Trois pas. À l’endroit exact où, si l’homme se penche, il ne pourra manquer sa présence, même si une part de lui aura peut-être l’impression de la "remarquer" avant de la voir.

Sa voix s’élève alors, douce mais portée par une résonance calme :
"Monsieur…"

Un souffle. Une note suspendue, étrange, comme si le son avait une ombre.

La professeure lève la feuille.
"Je pense que vous cherchiez ceci."

Le papillon se stabilise à côté d’elle, ses ailes renvoyant une lueur pâle qu’aucune lumière solaire ne devrait produire. Une trace de nuit dans le plein midi.

Et dans cette cour brûlante, bordée de béton et d’acier, Séliane Noctelume est la seule chose qui semble appartenir au crépuscule.
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One Shot / Re : Je l'aurais un jour, je l'aurais... (PV avec CT)
« Dernier message par Randal Dragunov le dimanche 07 décembre 2025, 23:17:21 »
Demander aux deux geeks de s'activer semble efficace car ils obéissent rapidement à ma demande. Enfin bon, soyons francs, c'est surtout qu'ils n'en pouvaient plus à force d'entendre en femme couiner comme une chatte en chaleur en leur tenant le manche. En dehors de leurs esprits loufoques, cela n'a dû arriver que dans les vidéos pornos qu'ils ont trouvés sur internet. Vivre ce genre de situation vous changer un homme. D'ailleurs ils me font bien rire en me demandant si on fait ce genre de sexcapades souvent.


- Justement, on voulait tenter un truc nouveau ce soir. Et ça semble lui plaire.


Ses gestes confirment la chose car elle se tend comme un piquet sur un énième coup de bite de ma part. Me voilà à souffler comme un sanglier à cause de la pression exercée par sa chatte sur mon membre durant les secondes qui suivent. Un spectacle qui ne laisse pas ses camarades de jeu du moment de marbre. Ils sont tous fous et ne savent plus où donner de la tête les secondes qui suivent.


- Vous avez raison, c'est un moment important. Il faut marquer le coup et garder un souvenir. Sortez vos téléphones.


Pendant qu'ils s'exécutent j'en profite pour remettre quelques coups de reins à la blonde qui tremble encore au bout de ma bite. Et quand elle commence à redescendre un peu, je me retire très lentement. Ce n'est qu'une fois le membre à l'air que les ados réalisent ce qu'elle se prenait depuis le début. En même temps tout est imposant chez moi. C'est ainsi que la nature m'a fait et je ne peux rien y changer.


- Descends et mets-toi à genoux. Oui, comme ça, par terre. C'est là qu'est ta place après tout.


La commande exécutée, je me tourne vers les deux jeunes qui s'étaient reculés un bref instant pour leur dire de venir la rejoindre en se mettant chacun d'un côté d'elle. Toute cette situation semble émoustiller la belle blonde qui se retrouve bouche et menton dévoilée et dont seul la moitié supérieur de son visage est masquée. Ainsi que l'opulente et indécente poitrine déborde de son costume maltraité.


- Quant à vous deux, collez vos queues contre son visage par-dessus sa cape. Et prenez autant de selfies que vous voulez.


Cette proposition ne tombe dans dans l'oreille de sourds vu la vitesse avec laquelle ils se précipitent pour prendre ce qui va être le tournant de leur adolescence. Au début ils viennent s'écraser contre elle en prenant soin d'éviter de se frotter contre les restes de sperme de l'autre. Plusieurs clichés sont donc mal cadrés ou flous. Mais ils finissent par parvenir à leurs fins en levant chacun un bras. On peut voir leurs visages, leurs bites sales et une femme agenouillée entre eux à moitié à poil.

Histoire de leur offrir un petit bonus, je m'approche d'eux avec la trique toujours dressée et qui forme un angle droit avec le reste de mon corps. Mon gland se présente bien vite aux lèvres de la blonde alors que les jeunots reculent de quelques pas. L'un d'eux décide de filmer cette fois mais je l'arrête.


- Tututut ! Tu peux prendre d'autres photos si tu veux, mais pas de vidéo. Après, peut-être que tu verras en apparaître sur le net à l'avenir.


Il sera pas difficile pour les personnes qui verront un jour toutes les photos prisent ce soir là d'en déduire que la femme qui apparaît dessus est une seule et même personne. Au début je me contente d'enfoncer qu'un tiers de ma bite pour la faire baver copieusement dessus à un rythme rapide. Mais très rapidement je me mets dans l'idée de la faire reculer jusqu'à ce que sa nuque vienne se coincer contre le banc. De là, je pose mes mains sur le dessus du mobilier urbain pour m'offrir un angle en diagonale pour mieux visiter sa gorge.
Des sons humides et de respirations compliqués se font entendre. Un autre spectacle qui ravit les jeunes qui en profitent le temps que ça durera car mon uniquement but est de les amuser avant de m'arrêter au bout de 2-3 minutes.


- Bon, faut qu'on y aille. Je veux pas rameuter tout le quartier en la faisant hurler.


Faire quitter ma queue à cette ventouse qui lui sert de bouche n'est pas simple au premier abord. Le *pop* qui suit me fait frissonner et je ne perds pas mon temps pour la faire reprendre sa position initiale une fois les intrus partis car elle sera plus à l'aise sans la cape sur sa face. Sans parler de l'odeur de sperme qui doit l'imprégner.

Cette fois, direction son appartement.
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Les alentours de la ville / Re : It's as much fun to scare as to be scared (Céleste Trahan)
« Dernier message par Céleste Trahan le dimanche 07 décembre 2025, 20:42:57 »
Céleste, toujours aux prises avec les lames de fond de plaisir qui ravagent son corps, ne redescendait pas vraiment de son orgasme. Elle était incapable de dire qui faisait quoi, elle pouvait juste profiter de la langue qui fouillait sa féminité abondement trempée, de la queue qui fourrageait son cul avec férocité, de la main qui maltraitait délicieusement un sein au téton rigide…

Vaguement, elle entendit la jouissance de Shana. Elle ne s’en étonna pas. Les doigts du mafieux sont tellement bons… Rien que d’y penser, des souvenirs défilaient dans sa tête. Et ça ne l’aidait certainement pas à reprendre pieds avec la réalité.

« Okay, okay. Pousse-toi ma belle, j’prends la place ! Va donc voir s’il peut te faire jouir plus vite que moi avec ses doigts ! S’écria la vendeuse blonde après avoir posé le téléphone pour qu’il filme la scène, et Shana en train de se remettre en arrière-plan. »

Elle se mit à genoux devant le couple emboîté ensuite, ses mains caressant les cuisses de la sorcière et celles du malfrat, avant de pencher la tête pour donner un grand coup de langue qui commença contre les bourses sur-sollicitées et qui se termina contre les lèvres gorgées de nectar de la belle immortelle. Puis elle se mit au travail, alternant également entre les deux. Aspirant les couilles de Randal, elle glissa deux de ses doigts manucurés dans la fente ouverte qui s’offrait à elle. Elle n’avait pas pu en profiter, plus tôt, Céleste ayant refusé son toucher féminin. Mais maintenant que la brune n’était plus en état de savoir qui s’occupait d’elle…

Son autre main venait palper tour à tour les boules qu’elle délaissait ou le fessier musclé qui ravageait sa compagne. La scène était tellement excitante que la blonde sentait sa culotte détrempée laisser passer son nectar qui coulait le long de ses cuisses fuselées. Elle comptait bien profiter de sa position pour récolter autant le foutre que la cyprine et elle s’y consacrait tout entière pour sentir les bourses du colosses se contracter quand il se libérerait enfin une nouvelle fois.

La rouquine, impatiente de se retrouver dans l’état de Shana, n’avait pas perdu de temps pour venir s’installer à côté de Randal. Dans son empressement, elle avait attrapé la main du mafieux pour la coller contre sa petite chatte ruisselante. Pour se fourrer ces gros doigts et les sentir étirer ses parois intimes, cogner contre chaque point sensible que recelait sa fleur. Comme Shana, elle avait libéré toute son opulente poitrine pour qu’il s’en occupe également, la lui collant presque sous le nez alors qu’elle commençait déjà à gémir, à se trémousser sur sa main.

« Ha, putain, ouais ! Vas-y plus fort mon grand ! S’écriait-elle alors que toute l’excitation de la situation se changeait en un tourbillon de désir qui inondait son être. »

Et Shana, toujours hagarde, observait le tout depuis le canapé où elle était affalée. Les jambes tremblantes, elle n’osait pas se relever tout de suite. Mais ses mains jouaient avec sa poitrine malmenée, caressant la marque des dents du mafieux sur sa chair pâle, tressaillant à chaque effleurement alors que les élancements de plaisir revenaient à la charge.

« Sugar… Supplia soudain l’immortelle, le corps arqué autant contre les doigts qui la fouillaient que contre le chibre qui s’y fourrait. Remplis-moi… Fais-moi tienne… Aaah, marques-moi comme… Mmmh… Ta propriété… Balbutia-t-elle dans son oreille alors que sa tête reposait sur l’épaule du colosse. »

Ses propres mains étaient occupées à maltraiter son autre sein et à griffer le dos de Randal, ou ce qu’elle pouvait en atteindre, s’agrippant parfois à ses cheveux.
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