Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Takezo O. Mamoru

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Les alentours de la ville / La chevauchée fantastique (PV Lumna)
« le: dimanche 22 janvier 2023, 23:47:29 »
14h. Le bus rentre à l’hôtel par des vieux chemins de montagne. C’est interminable…

J’avais passé l’étape des demi-finales sans grand mal finalement, mais n’avais réussi à calmer mes ardeurs depuis ce soir-là, y a quelques jours. De jour comme de nuit, mes pensées n’avaient eu de cesse de dériver. J’y pensais constamment.

Lumna. Cette grande et plantureuse blonde, son corps, ses formes… son sourire. Ses cris. Ses cris…
Ce moment passé en sa compagnie, ce soir où, semblant de rien, elle m’avait arrachée ma virginité pour m’ouvrir les portes d’un monde… tout fait de chair, de rebonds, de caresses et d’intense orga-… bien-être. D’intense bien-être. Tout ça m’avait occupé l’esprit à chaque instant, m’avait fait baisser ma garde dans les mauvais moments, ce qui m’avait bien sûr valu les remontrances de mon entraîneur.

Passant le plus clair de mes journées avec une érection monumentale, j’avais dû me cacher aux toilettes plusieurs fois par jour durant la compétition. J’avais beau me vider presque toute la nuit durant, tout cela ne servait à rien tant revoir ne serait-ce que des cheveux blonds me ramenaient irrémédiablement à tout ça. Le soir, je sortais en douce et errais jusque tard dans les parties communes de l’hôtel en espérant la recroiser… retrouver la douceur de ses cuisses pour m’y blottir jusqu’à épuisement. Mais, au bout de cinq jours… rien. Pas le moindre signe ni la moindre nouvelle. Nous nous étions quittés comme ça, si vite…
Si seulement je lui avais donné le numéro de ma chambre ou… qu’elle m’avait donné le sien.

J’aurais passé mes nuits à lui faire l’amour, à lui faire… tout ce qu’elle veut. Fatigué, je l’aurais sûrement été et en aurait payé les frais mais… raaaah, ç’aurait été si bien !

Heureusement pour moi, aujourd’hui n’avait été qu’une demi-journée de compétition, du fait des intempéries à venir, annoncées à la météo plus tôt ce matin. J’allais pouvoir me reposer. Dormir un peu ou… penser à elle, seul dans ma petite chambre. J’allais au moins avoir l’occasion de souffler. Du fait de mon classement actuel, je savais déjà que mon entraîneur me ficherait la paix et ça… c’était pour le mieux.

Le bus s’était enfin garé et… je m’étais endormi.
Tout le monde était déjà descendu et il avait fallu l’intervention de mon professeur pour que je sorte de mon sommeil profond. Agacé, il m’avait répété ce qu’il avait déjà dit aux autres, à savoir que nous avions quartier libre pour la journée, en attendant qu’on en sache plus quant à la météo. Il était inquiet à l’idée que nous restions bloqués là et que la compétition finisse par être reportée, mais, quant à moi… je devais avouer que pour la première fois de ma vie, le judo n’était en rien ma priorité.

Le remerciant de ses bons soins, je descendais, mon sac sur le dos. Je repassais par ces sources chaudes, l’air pensif, et rentrais vite me mettre au chaud. Je contournais l’accueil et l’accès direct vers nos chambres, préférant faire un détour par un second couloir pour éviter l’attroupement formé par mes camarades.

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Les alentours de la ville / Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)
« le: samedi 14 janvier 2023, 15:24:24 »
Nu au beau milieu du couloir, mes mains s’activent sur mon corps sans que la moindre once de honte ne vienne m’effleurer. Persuadé d’être seul, invisible aux yeux de Mariko et ne me doutant aucunement qu’elle ait pu se rendre compte de quoique ce soit, je m’astique furieusement. Ma peau me tire et déjà, mon érection est totale. La vue de ces courbes folles me ravit tout comme elle m’obsède…
Il fallait le dire : Mariko, c’était quand même quelque chose.

Mes yeux curieux reviennent sans cesse à elle, se permettant des regards de plus en plus insistants. Je mate sans honte celle qui, comme une grande soeur -une vraie cette fois-, s’était toujours montrée douce et patiente, gentille avec moi. Mon corps s’embrase de lui-même et les images se multiplient, venant ajouter à celles que ma rétine imprime bien d’autres clichés de notre passé commun. Je la revois bronzer seins nus, profiter d’un moment sans mes sœurs pour me demander d’étaler de la crème solaire sur son dos… Je repense à tous ces sourires qu’elle m’avait rendus, en prétextant pourtant auprès de mes sœurs qu’à aucun moment elle n’avait vu comme je la regardais.
Quelle fille incroyable.

Mes gestes ralentissent à ces pensées, se font plus longs, plus langoureux. Je n’sais pas si je pouvais encore appeler ça comme ça maintenant mais, je sais encore que, et ce pendant bien longtemps, j’avais été éperdument amoureux d’elle. Je m’étais toujours senti mal dès lors que mes sœurs venaient à me charrier en me parlant d’un mec ou d’un autre, avec lequel elle sortait. Jamais ces deux pestes n’avaient manqué de me descendre ou de me rappeler comme jamais de la vie quelqu’un -et encore moins quelqu’un comme elle- ne s’intéresserait à un tocard comme moi.
De ce fait, si tant est que je fantasmais beaucoup sur elle, jamais n’avais-je pourtant osé trop l’imaginer s’adonner au plaisir, de peur que mon imagination me fasse voir des hommes qui ne seraient pas moi. J’avais bien trop peur de l’effe que ça me ferait.

Mais là, c’était différent.
De faibles gémissements filtraient par-delà la porte. Sa voix était aussi douce que d’habitude, chaude, mais semblait déjà se casser sous l’effet d’un petit autre chose qui me rendais curieux. Ne pouvant supporter l’idée de manquer quoique ce soit, je m’étais penché un peu plus pour la voir, pour la regarder. Je n’osais imaginer là encore à quoi elle pouvait bien penser… Mais quelle image : Mariko se faisait du bien, chez moi.

Les cuisses grandes écartées et tendues dans ma direction, elle entrouvre son sexe parfaitement épilé. Elle y fait disparaître un doigt, puis un autre… et encore un autre, qui ne semble avoir aucun mal à écarter ses chairs trempées pour s’infiltrer. La seule vue de ce spectacle m’émeus, mais m’intimide aussi. Elle a l’air si chaude, si étroite, mais pourtant si accueillante…

Je me regarde, foutu comme je suis. Mes yeux louchent sur cette longue trique, d’une épaisseur comparable à celle d’un avant-bras veineux et musclé. Je la regarde de nouveau… transposant sur sa main l’image de mon sexe démesuré, m’imaginant la pénétrer tout en me demandant surtout s’il me serait possible d’entrer.

Me regardant de nouveau, excité mais perplexe, presque déçu à l’idée ne jamais pouvoir entrer nulle part, je ne remarque rien de ses faits et gestes. Je me sens seulement perdre l’équilibre, d’un coup d’un seul, quand la porte vient s’ouvrir en grand.
Mes yeux s’écarquillent et je me fige sur place, tétanisé, la queue entre les mains.

Une Mariko toute souriante m’accueille et me tire vivement par le poignet. Mon manque d’équilibre ne me laisse opposer aucune résistance. Avant que je ne me rendes compte de quoique ce soit, la plantureuse blonde a refermée la porte derrière moi, à clé, et je me tiens tout penaud devant elle, nu. Cela dit… elle l’est aussi.

Alors qu’elle ne se cache pas devant moi, mes yeux ne savent plus sur quoi se poser. Elle est à poil, juste là. Ses deux énormes seins ballotent sous mes yeux. Elle me regarde, je fais de même. Ses doigts retournent aussitôt s’agiter en elle.

« o-Oh. Qu’est-ce que tu…»

Debout l’air bête, au beau milieu de la toute petite salle de bain, me voilà perdu, ne sachant que faire. Mariko se masturbe, nue, devant moi. Ses yeux louchent sur mon sexe tandis qu’elle m’ordonne de continuer. Est-ce que ça l’excite ?
J’ai… du mal à avaler ma salive.

Tout ce que je sais, c’est que je bande comme un taré.

Face à elle, je ne sais plus vraiment où me mettre. Mon regard dévie, se perd sur le carrelage de la douche alors que, maintenant en face d’elle, je n’ose plus la regarder, bien trop gêné.
Mon dos prenant appui sur cette porte qu’elle a pris soin de bien refermer, je viens tendre le bas de mon corps dans sa direction, les muscles de mon abdomen durement contractés.

« Mariko… »

Les doigts de l’une de mes mains viennent enserrer de nouveau la base de ma hampe, sans en faire ne serait-ce que la moitié d’un tour. Très lentement je m’active, me masse. Tout doucement je monte, puis redescend. Je couvre mon gland de son capuchon de peau, puis le redécouvre en redescendant, faisant scintiller sous ces yeux cette protubérance épaisse comme un poing serré.

« Comme ça ? »

J’ai… honte qu’elle me voit ainsi. J’ai peur qu’elle s’offusque ou se choque de par ma taille. J’ai peur de la décevoir, qu’elle me repousse. Je ne supporterais pas l’idée qu’elle ne revienne plus jamais à la maison à cause d’un truc pareil.

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Les alentours de la ville / Re : Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)
« le: vendredi 06 janvier 2023, 12:13:35 »
Bien rassuré à l’idée que la salle de bain ne soit occupée, ni par l’une de mes sœurs, ni par l’un de mes parents -si ce n’est par les deux, l’angoisse-, je me tourne un très bref instant sur ma gauche, puis sur ma droite. Dans l’entrée, au bout du couloir, ne restent que deux paires de chaussures : la mienne, la sienne.

Si je ne suis finalement pas tout seul, j’en suis désormais plus que certain, ne restent ici que Mariko et moi, sans doute réveillés plus tard que les autres qui, comme à leur habitude, étaient tous partis faire leur vie sans nous adresser le moindre au revoir.

Plus que jamais poussé par la curiosité comme par l’envie, je tiens la poignée de porte d’une main ferme pour m’assurer qu’elle ne bouge plus. Penché vers l’avant, l’œil à peine glissé dans l’entrebâillement, je détaille la scène du regard : les vêtements de la jolie blonde jonchent le carrelage ça et là, au même titre que sa lingerie fine qu’elle ne semble pas avoir pris la peine de ranger soigneusement. La pièce est déjà couverte d’un voile brumeux, mais celui-ci reste bien assez léger pour que je puisse distinguer sans mal chaque contour de la jolie blonde qui se tient debout, au fond de la petite pièce, dans cette douche sans vitre aucune.

Les yeux grands ouverts, je déglutis, un peu difficilement.

Humectant mes lèvres comme si je salivais devant un met à la fois délicat et copieux, je concentrais mes efforts et mes yeux sur elle, faisant déjà danser frénétiquement mes yeux gourmands sur chaque rondeur de ses courbes. Ses doigts savonneux s’attardent longuement, lentement sur ses deux énormes seins, frottent, forment de petits cercles… ils roulent, s’écrasent et s’aplatissent, puis retombent avec lourdeur, rebondissent, légèrement couverts de toute cette mousse que l’eau vient vite faire disparaître.

Je soupire à la vue de leurs petites pointes rosées. Je détaille et contemple la forme délicate de ces mamelons que je reconnaîtrais entre mille -en même temps, ce n’était pas comme si j’avais vu d’autre paire de seins de ma vie, pour de vrai je veux dire-…

Je n’y prête même pas vraiment attention que ma main libre s’est déjà portée contre ma verge, fièrement dressée tout contre la porte. Bien trop emporté dans ce délire que m’offrent de telles visions, je ne remarque même pas comme je cogne et fais bouger la porte au gré de mes premiers va-et-vient. Tel un forcené, je découvre la pointe épaisse de mon sexe et m’astique déjà avec rage, mes yeux suivant le parcours tracé par la mousse sur le corps de Mariko.

Mes yeux glissent furtivement contre son ventre mais finissent bien trop vite leur course entre ses cuisses.
Bien sûr, j’avais déjà plus ou moins eu l’occasion d’admirer ses fesses tant je l’avais toujours vu préférer s’encombrer du moins de tissus possible lorsqu’il s’agissait de maillot de bain seulement… jamais ô grand jamais ne l’avais-je vu nue. Jamais n’avais-je pu voir, tel que je le voyais maintenant, son petit sexe de femme. Cette fente, ces… « lèvres ». Tout ça, c’était une grande première.

Mon coeur battant déjà en moi tel un tambour, je me laissais emporter, lâchant toute prise sur la poignée de porte afin que mes deux mains ne soient désormais affectées qu’à mon seul plaisir. Je ne fais même pas attention aux petits mouvements de la porte, ni aux sons que je contiens au mieux, mais que je ne peux m’empêcher de produire, convaincu que le son de toute cette eau qui coule devrait bien sûr les couvrir.

« O-ooooh… haa-aaaaan… moui… ouiiii… »

L’ininterrompu mouvement, de haut en bas, de bas en haut et légèrement rotatif de l’un de mes poignet battant la mesure, je cogne par mégarde la porte qui s’entrouvre un peu plus, la rendant toute tremblante. Contre elle je cogne encore… et encore…

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Les alentours de la ville / Ne dis jamais ça à personne (PV Siraye)
« le: vendredi 06 janvier 2023, 00:01:58 »
Dix heures trente.
On est samedi et tout est calme.

Sans avoir besoin du moindre réveil, je m’extirpe moi-même de mes songes au gré de ces bruits environnants auxquels je peine encore à m’habituer : le chantier d’à côté, le passage constant et incessant des voitures jusqu’au bout de notre petite rue…

Le regard un peu vide, sans doute encore perdu entre deux mondes, je fixe longtemps le plafond, à la recherche d’un rien, d’un rien du tout.

Étrangement, ça ne sent rien. Rien comme d’habitude en tout cas. Avant, il était coutume qu’on prenne le petit-déjeuner tous ensemble. Papa, Maman, Oko, Tomie et moi. Hors périodes de fêtes, c’est le seul jour où nous arrivions encore à nous attabler tous ensemble, entre mes cours, mes entraînements, mes compétitions… les champs de Papa, les castings et autres entretiens passés par les filles et pour lesquelles Maman prenait un temps fou, prête à les accompagner la journée durant, même si cela voulait dire passer 4h de sa journée dans les transports en commun.
Mais ce matin, rien. Même pas une odeur de café.

Peut-être suis-je désormais trop grand pour ça ?
C’est peut-être ce qu’ils se disent, ouais.

Ah, non. J’avais oublié.
Mes parents en parlaient hier soir : pour je ne sais quelle raison -à vrai dire je ne m’en souviens tout simplement plus, ou alors je n’ai pas écouté-, ma mère avait décidé d’accompagner mon père en ville pour faire le tour des marchés. Il souhaitait voir ce qu’étaient devenus ses produits, maintenant qu’une grande entreprise avait repris les rênes de son exploitation pour tout exporter jusqu’ici, dans la métropole. Je crois qu’il était… curieux. Peut-être un peu inquiet. Qui sait, il serait bien capable de faire machine arrière. On repartirait à la campagne et… tout redeviendrait comme avant.

Les filles, elles… je sais plus. Elles avaient invité Mariko à la maison donc.. j’imagine que, maintenant qu’on vit en ville, elles ont décidé de l’emmener faire un tour. Je veux dire, faire les boutiques. Comme toujours.

Mariko.
Ça faisait longtemps que je n’l’avais pas vue. Enfin, c’est pas comme si je l’avais vraiment vue, hein. Rentré tard de l’entraînement, comme tous les vendredis, j’étais juste passé dire bonsoir en passant par le salon et était aussitôt allé me coucher. Elle avait levé la main pour me saluer, mais c’est tout. Au moins, contrairement à mes sœurs, elle n’avait pas fait semblant de ne pas me voir, elle.
J’avais buggé un instant, un peu surpris de la voir alors que ni Oko ni Tomie ne m’avaient prévenu de sa visite. Si j’avais su j’aurais… je sais pas… fait un effort ?

Ou bien j’me serai pas montré du tout de la soirée.

Je crois bien qu’elle savait tout. Que j’la matais en secret depuis que j’avais 10 ou 11 ans et qu’elle devait en avoir 15 ou 16… que j’avais volé un de ses strings une fois où elle était venue dormir à la maison… ou bien que je l’avais prise en photo il y a quelques années, quand elle était venue avec nous passer des vacances au bord de la mer.
Alors que ma mère les avait forcées à m’emmener avec elle à la plage, mes sœurs m’avait laisser planter là, comme un con à faire des châteaux de sable sous mon parasol. Elles étaient parties se baigner tous les trois, bien loin… mais au bout de quelques heures, j’avais tenté de les rejoindre avant de me raviser en tombant nez à nez avec Mariko qui bronzait les seins à l’air.

Les filles m’avaient hurlé dessus et j’étais parti en courant, une trique d’enfer entre les jambes alors que j’en étais déjà sûr, même en comparant ça avec ce que j’avais vu en photo, j’avais jamais rien vu d’aussi gros. Penaud et une bonne trace de gifle sur la tronche -Merci Tomie-, j’étais reparti en courant. Mais trop curieux sans doute… pour appeler ça comme ça, je m’étais pointé de nouveau, plus discrètement cette fois, avec le vieil appareil numérique de Papa.
Des photos des gros seins de Mariko… qu’est-ce que j’en avais prises.

J’me demande bien où elles sont maintenant. Sans doute pas loin. Si quelqu’un était tombé dessus, je le saurais.

« Hmmmmpf »

Pas de petit-déj, dommage.
Mais putain OUAIS ! Personne à la maison !!! Avec une mère femme au foyer, est-ce que vous vous rendez compte comme c’est rare ?
J’ai la maison pour moi tout seul pour au moins quelques heures, l’occasion de faire ce que je veux, sans que personne me dise quoique ce soit. Je peux… utiliser le grand écran du salon pour regarder des animés… ou même un porno ! Je fais ce que je veux. L’éclate totale.

D’un coup plus motivé et déterminé, je me lève d’un bond, un grand sourire aux lèvres. Gêné par ma sempiternelle demi molle du matin, je n’ai plus aucune honte à l’idée de me débarrasser de mon caleçon en plein milieu du couloir et le fais donc… en sifflotant.

Sans m’alerter de rien, bien trop heureux, je pousse et entrouvre la porte de la salle de bain avant même de me rendre compte de ce petit truc qui aurait dû me mettre la puce à l’oreille, ce seul bruit dans la maison.

La douche était en route, nigaud.

D’un geste vif je me recule mais… alors que mes yeux se lèvent en direction de la grande douche à l’italienne, ils s’écarquillent lentement. La main fermement tenue sur la poignée de porte, je comprends et ne peux m’empêcher de ne pas refermer la porte complètement. Ces cheveux blonds…

Ce n’est pas Oko. Encore moins Tomie… C’est Mariko.

Mes yeux se baissent doucement. Tout doucement.
Ils ont… grossi, encore… mais oui. Ce sont bien les siens, j’en mettrai ma main à couper.

50
Le coin du chalant / Y a match ou pas ?
« le: mardi 03 janvier 2023, 20:38:34 »
Hello hello toutes et tous !
Encore une fois, bonne année  :-*

Oui oui oui, meilleurs vœux, tout ça tout ça… Mais on n’est carrément pas là pour ça, alors, entrons vite dans le vif du sujet : voici quelques premières trames que j’imaginais jouer avec notre jeune Takezo. À vrai dire, il peut très bien s’agir d’OS, ça me va très bien.

La liste s’étoffera sans doute avec le temps, nous verrons bien.
En attendant, si quelque chose vous tente dans cette liste, n’hésitez pas à venir en discuter !

« Indice 38. » (réservé) :
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

« Pomper c’est tromper ? » (pris & renommé)
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

« Ne dis jamais ça à personne. » (pris) :
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Au plaisir !


51
Prélude / Re : Hajime ! [Vanéalidé !]
« le: mardi 03 janvier 2023, 15:47:09 »
Faut-il encore vouloir appeler ça du courage  ???

52
Prélude / Re : Hajime ! [Vanéalidé !]
« le: mardi 03 janvier 2023, 15:39:31 »
Merci merci merci !

Un peu seulement  :D ?
C'est sans doute terrifiant même  ::)

Très bonne année ~

53
Prélude / Re : Hajime !
« le: vendredi 30 décembre 2022, 17:44:23 »
Merci  ;D

Hahahahahaha... Aaah, les mystères de la génétique... :')
(pauvre Takezo qui là encore, n'aura su se trouver un ami)

54
Prélude / Re : Hajime !
« le: vendredi 30 décembre 2022, 16:48:29 »
Merci bien o/

55
Prélude / Hajime ! [Vanéalidé !]
« le: vendredi 30 décembre 2022, 16:12:16 »
Identité : Takezo, Otomo Mamoru
Âge : 18 ans, m’dame !
Sexe (& sexualité): Hum… heu… Je dois baisser mon… ? Nan ? Ah ! Eh ben, je n’ai jamais… hétéro ! Oui oui oui… 100% hétéro Ma-Madame (nous y reviendrons sans doute plus tard, c’est un garçon) !
Race : Ben… humain. C’est quoi cette question ?

Physique :
18 ans à peine et pourtant… 1m92 pour 103kg de muscles. Vous voyez l’tableau ?

C’est une évidence, Takezo est un mastodonte, une véritable force de la nature. Difficile de croire, au premier coup d’œil, qu’il n’est encore qu’au lycée. Ces muscles saillants, cette mâchoire épaisse et carrée, cet air sérieux, concerné, qu’il arbore presque tout le temps… Il pourrait dire à qui veut l’entendre qu’il a 30 ans que personne ne le contredirait.
À ceci près bien sûr, qu’il n’a toujours pas l’air de savoir quoi faire de ses courts cheveux bruns, bien trop souvent ébouriffés, mal coiffés. Au moins voilà qui lui donne l’air d’avoir son âge, quoique d’autres appelleront ça de la négligence pure et simple. 

Outre cette apparente virilité, il faut bien lui reconnaître ceci : il est plutôt beau garçon. Ses traits sont étonnamment fins et joliment faits. Si seulement il ne passait pas le plus clair de son temps à froncer ses épais sourcils, il nous gratifierait peut-être de l’éclat profond et lucide de ses deux petits yeux verts ?

Faut dire que se mettre à son avantage n’est pas son fort. Si tant est que tout puisse lui aller, du moment que ce soit choisi dans la bonne taille, on ne peut dire de Takezo qu’il ait un goût prononcé pour la mode. On ne peut pas dire qu’il du ait goût tout court, d’ailleurs.
Des t-shirts simples, sans motif aucun, mais souvent usés, voire tachés, qu’il accompagne tout aussi régulièrement de jeans troués. Il lui arrive même de porter des salopettes… Paraît-il que sa famille n’a pas beaucoup de moyens mais tout de même… il pourrait faire un effort, vous ne pensez pas ?

Heureusement, l’uniforme de l’école fait illusion. Ou presque. C’est pas comme s’il était foutu de savoir nouer correctement sa cravate, cet idiot.

A contrario, et aussi étonnant que ça puisse paraître, ses kimonos et judogis sont quant à eux toujours impeccables, tant il semble mettre du coeur à l’ouvrage à l’idée de les conserver le plus longtemps possible. Tiré à quatre épingles dès lorsqu’il franchit le tatami, il pourrait presque passer pour un autre homme, aussi méthodique que confiant.

Je me dois toutefois de vous prévenir dès maintenant que cette confiance n’est qu’apparence, du moins en partie. Bien trop travaillé par ses hormones, la quiétude du dojo n’empêche en rien son coeur de s’emballer en la présence de quelque membre que ce soit de la gente féminine. Quant à la raison pour laquelle il refuse catégoriquement de se joindre à une fille, même lors de l’entraînement… je ne vous donnerais qu’un indice : 38.


Caractère :

Réservé & discret.
Discret ou distrait ? Les deux.

Comment dire ça ? Encore bien trop impressionné par le tumulte de cette grande ville à laquelle il n’est pas encore accoutumé, disons que Takezo passe encore, auprès de ses camarades, pour un bouseux, pour un gamin de la campagne qui ne connaît rien à rien, et dont les capacités intellectuelles sont plus que limitées.
À dire vrai, ce n’est ni vrai, ni tout à fait faux.

S’il est incroyablement gentil, aimable et serviable auprès des adultes et petits vieux de son quartier, qui l’adorent déjà tous, il en est autrement auprès des gamins de son âge. Et là, ce n’est pas tant la faute de ces foutus petits bourgeois gâtés, mais bien des gamins en général, dès lorsque l’on doit aborder le sujet de la « différence ».
Du fait de son physique hors-norme et précoce, notre bonhomme est toujours passé aux yeux des autres pour « un grand dadais », pour une sorte de géant qui n’a rien d’autre pour lui que ses muscles en béton armé. Avec le temps, difficile pour lui de ne pas y croire, de ne pas se laisser convaincre qu’il n’est que ça, que cette étiquette que tous lui ont collée.

Du fait d’années de moqueries et de brimades en tout genre, Takezo s’est donc reclus un peu sur lui-même. À ceux et celles qu’il côtoie tous les jours, il ne parle pas beaucoup, passe de ce fait pour un idiot… et se reclus davantage. Il n’est pourtant pas bête ! Mais il est à croire qu’il en est devenu un timide maladif, seulement capable d’exprimer ce qu’il est qu’au travers du sport, dans lequel il se donne à fond, dans le respect des traditions comme dans celui des autres, de toutes ces valeurs prônées par la pratique de ces arts martiaux qu’il affectionne tant.

Avec une cote de popularité si mauvaise et des difficultés à aller vers autrui, vous comprendrez donc que le jeune homme n’est pas du genre à se faire des amis facilement… et encore moins à fréquenter des filles !
Si la chose le travaille beaucoup, impossible pour lui d’imaginer qu’il puisse lui arriver quoique ce soit tant il bloque dès qu’une fille lui adresse la parole. Puisque c’est souvent pour se moquer de lui, ce n’est peut-être pas une mauvaise chose après tout… De ce côté là, Takezo ne peut que rêver et fantasmer, non pas que cela lui suffise. Amateur de porno sinon grand fan du genre, il est même un masturbateur chronique avéré, collectionnant photos et vidéos devant lesquelles il passe la majeure partie de ses nuits, quitte à se creuser de larges cernes sous les yeux… et ce depuis le tout début de sa puberté précoce…

Histoire :

Fils d’un petit couple d’agriculteurs, Takezo Otomo Mamoru est né au début du siècle sur une toute petite île de l’archipel nippon, au beau milieu d’un village ne comptant que peu d’habitants, et dans lequel, il faut le dire, il n’y a rien à faire.

Dernier né d’une fratrie comptant déjà deux petites filles, Tomie et Oko, ses aînées, Takezo fut un véritable soulagement pour son père vieillissant, désespérant à l’idée de n’avoir aucun homme pour reprendre les rênes de son exploitation après lui. N’entendez cependant pas par là que le jeune garçon fut choyé par ce dernier, mais entendez plutôt l’inverse.

Mis au travail dès son plus jeune âge, le garçonnet arpenta les champs toute son enfance durant, comme bien d’autres garçons et filles autour de lui. Scolarisé dans l’école la plus proche, qu’il rejoignait bien souvent à pied, il était déjà de ceux dont on se moquait bien, de ceux que l’on collait au fond de la classe, comme de la cour de récré, car on ne voulait lui adresser la parole. Les vêtements pleins de terre, l’air trop bête d’après les autres… Pour les autres enfants c’était très simple, Takezo était nul. Un gros nul.

Et cela, ses deux grandes sœurs, à qui leur mère inculquait des traditions vieillottes à propos de la bonne tenue de la maison, ne le contredirent jamais.

Déjà moqué à la campagne comme à la ville, les choses ne s’arrangèrent pas avec le temps pour notre petit Takezo. Déjà mis au ban de cette micro-société, les choses empirèrent même lorsque sa puberté vint à commencer. Et il n’avait alors que 9 ans.
Plus grand et plus costaud que les autres, le gamin, que le travail à la ferme avait déjà bien assez renforcé, commença à se démarquer plus encore de ses pairs, de tous ces autres gamins de son âge à qui il ne ressemblait plus. Si son père y vit là un miracle du seigneur, une aide bienvenue dans sa tâche harassante, il n’en était aucunement de même, une fois n’est pas coutume, pour tous ces enfants qui le mirent à le craindre, comme pour ses deux aînées qui ne tardèrent pas à le taquiner, si tôt qu’elles eurent compris comme son corps avait changé.

Tout ne pouvant être complètement noir, cette fulgurante transformation physique lui permit toutefois de se trouver un avantage et pas des moindres : sa force.
Plus grand et plus fort que tous autour de lui, Takezo trouva un temps un certain réconfort au sein du dojo dans lequel il pratiquait quotidiennement le judo. En ce lieu, plus personne n’osait se moquer de lui et il ne fallut pas longtemps avant que ses professeurs ne décident de le surclasser, de peur qu’il n’abime trop ces jeunes ados dont il faisait déjà le double du poids.

Le judo fut donc son seul exutoire, pour ainsi dire. Et ça, c’est encore le cas maintenant. Voilà sans doute pourquoi le garçon de 13 ans à peine décida de s’y consacrer corps et âme. Plus qu’à la pratique de ses devoirs en tout cas…

Quelques autres années passèrent.
Un coup du destin venait de frapper à la porte de la famille Mamoru et, sans prévenir, le patriarche avait vendu ses terres à une florissante entreprise agroalimentaire. Ayant tout bonnement abandonné l’idée de refiler à son idiot de fils, qui avait déjà redoublé deux fois sa seconde, les rênes de son tout petit empire, celui-ci avait préféré investir dans l’avenir de ses deux grandes filles, qui se voyaient déjà toutes deux stars du grand écran.

Catapultée dans la grande ville de Seikusu, la petite famille s’installait dans un quartier résidentiel et le père dépensait sans compter pour pourvoir aux besoins et caprices de ses filles chéries, ne gardant qu’un tout petit quelque chose pour lui, pour lui et pour sa femme seulement, dans l’espoir de couler ensemble leurs paisibles vieux jours.

Seulement aidé dans son dossier par ses nombreuses médailles gagnées ça et là en province, à travers tout le pays, Takezo put rejoindre un bon lycée, assez bien réputé. Mais pour lui ici… tout était encore si grand, si nouveau !

Et pourtant, où qu’on soit, il y a des choses qui ne changent pas.
Le regard des autres surtout. Même ici, dans cette ville réputée pour être si cosmopolite, Takezo venait encore à souffrir de la considération et du jugement des autres. Il se fit quelques amis au bout d’un mois ou deux, oui… mais peut-on seulement appeler ça des amis ? Une petite bande de nerds que leurs hormones travaillaient bien trop, qui allaient espionner les vestiaires des filles quand l’heure n’était pas à leur classe d’astronomie. Une bande qui… entre nous, n’avait sans doute vu en Takezo qu’un protecteur bienvenu, et qui pourrait bien leur servir, en représailles à toutes ces fois où eux-mêmes avaient été moqués.

Se découvrant une passion pour tous ces animés qu’il n’avait jamais pu entrevoir du fin fond de sa petite campagne, Takezo s’était vite mis à penser qu’il avait beaucoup à apprendre à leur contact. Les calendriers et autres magazines pour adultes trouvèrent vite leurs remplaçants dès lorsqu’il découvrit l’existence du haut débit internet et, rapidement, il se mit à imiter ses compères, collectionnant plus de vidéos et d’images qu’il n’aurait jamais pu en stocker physiquement dans sa toute petite chambre.

Son désir ne fit ainsi qu’accroître, tout fait d’images et de préjugés sur la sexualité, mais les moqueries étant les mêmes partout, comment espérer trouver quelqu’un avec qui… pratiquer ?

Toutefois, ces centaines, ces milliers d’heures même, passées sur tel ou tel site le rassurèrent au moins un peu. S’il pensait n’avoir que le sport pour seule chance dans la vie, l’industrie des films pour adultes pourrait tout aussi bien en être une autre. Lui qui s’était toujours senti gêné par ses mensurations totalement disproportionnées avait finalement découvert qu’il n’était en rien un cas isolé. Certes, ses proportions lui donnaient là encore un avantage sur tous ces acteurs qu’il avait pu voir défiler, seulement il en était désormais persuadé : ça peut rentrer.


Autre :

Je ne pense pas !
Mais euh… je veux bien répondre aux questions. S’il y en a.

Comment avez-vous connu le forum ?
C’est un DC. Mais de qui ? Haha !

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