Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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One Shot / Re : Discipliner l'héritière. - Asmodée
« le: samedi 04 février 2023, 05:32:04 »
A voir la quantité de contrebande qu’il avait saisi, James se doutait bien que Harper Williams n’avait pas dépassé ses démons. Elle vivait à leurs côtés, soumise à leurs chuchotements, pour peu qu’elle n’y ait déjà cédé à nouveau. Quoi qu’il en soit, le risque de consommations prohibées avait été réduit à néant pour l’instant, et James comptait bien faire en sorte que rien d’interdit n’entre plus ici.

Sa mission serait peut-être compliquée. Il s’en doutait. Déjà, l’attitude princière de la belle héritière annonçait des difficultés pour s’imposer comme son tuteur. Elle tirait beaucoup parti de son physique et de ce qu’il pouvait provoquer chez les hommes, il le devinait. Ses choix et son hygiène de vie récente l’avaient peut-être gâchée dans une certaine mesure, elle n’en était pas moins extrêmement belle et toujours promise à d’excellentes dispositions, si elle voulait bien laisser ses caprices toxicomaniaques au vestiaire de l’adolescence.
Mais plutôt que de prendre outrage de sa remarque sur sa tenue, James sourit et hocha la tête.

« Fort bien, Miss Williams. »

Si elle exigeait un certain standing dans ses appartements et son entourage, il en serait ainsi. James avait plus d’une corde à son arc qu’elle devait encore découvrir.
Ce qui fut moins bien reçu du nouveau tuteur était la bousculade surprise et sa chute dans l’eau, tout habillé, son téléphone, son portefeuille et ses cigarettes en poches. Pris de court, James bascula sans un bruit et fut plus occupé à éviter un plat sur le dos qu’autre chose, et il eut à peine le temps de sortir la tête de l’eau, l’air désemparé comme toute personne immergée par surprise, pour entendre son injonction formelle.

L’héritière disparut et James, piteux, sortit de l’eau en dégoulinant comme un cabot. Il se secoua, mais se résolut vite à devoir dégouliner pour un moment sans espoir de pouvoir se sécher convenablement. L’air sombre, il plongea la main dans sa poche pour sentir un paquet de cigarettes trempé et rempli de bouillie de tabac gonflé sous ses doigts. Il grogna.

Très bien, Harper. Si c’est la guerre que tu veux…

Il quitta les lieux avec autant de dignité que possible, laissant derrière lui une traînée d’eau et un concert de bruits spongieux. Il aurait probablement été en droit de déprimer à ce stade, mais son esprit était orienté vers la résolution des problèmes et il avait une série d’idées en tête pour résoudre ce nœud gordien.
A la manière d’Alexandre le Grand, il le trancherait tout simplement.

* * *

Le soir venu, Harper se préparait à recevoir ses amis. A ce stade, elle avait certainement fait comme tout junkie se retenant de céder à la tentation en s’y exposant, cherchant dans ses cachettes ce qu’elle y avait caché, pour n’y constater que leur absence. Elle pouvait sûrement se rassurer par la venue de ses camarades et leur capacité à la réapprovisionner en contrebande tentante, mais cette source de réconfort viendrait bientôt à se tarir, elle aussi.
Car, comme les invités sonnaient à sa porte et qu’elle se précipitait pour leur ouvrir, alors qu’elle les accueillait un à un avec bises et embrassades fortes en piaillements et exclamations exagérées, elle ne faisait pas attention à ses angles morts. Et dans son dos s’éleva bientôt une voix maintenant connue.

« Bonsoir messieurs. Bonsoir mesdames. »

Les amis s’arrêtèrent pour dévisager l’homme leur ayant adressé la parole. James se tenait droit dans le passage, ses cheveux décolorés recoiffés, vêtu cette fois d’un costume de qualité certainement retouché sur-mesure sur place par un des petits tailleurs hors de prix affectionnés par les traders et avocats de Wall Street. La silhouette détrempée et déconfite en costume bon marché avait disparu pour correspondre aux directives de Harper, mais le sourire malicieux de l’homme n’annonçait rien de bon, ce qui se confirma lorsqu’il reprit la parole.

« Mr Williams m’a chargé de la santé et de la sécurité de sa fille. Veuillez vider vos pocher et vous préparer pour une fouille au corps, je vous prie. »

Parmi les amis de Harper, il y avait un grand dadais, le menton carré et la bouche arquée dans une éternelle moue de mépris, qui le dévisagea de la tête aux pieds avant de s’avancer d’un air dédaigneux. Il pointa son doigt vers lui, se prépara à l’envoyer bouler, mais James jeta sur lui un regard qui l’arrêta et s’exprima d’un ton si ferme qu’il le poussa au repli.

« Je ne crois pas m’être ouvert aux questions, Mr Baxter. » Il connaissait son nom. Que savait-il d’autre ? « Dorénavant, pour le bien-être de Miss Williams, telle sera la procédure. Rappelez-vous qui paye ce penthouse, messieurs-dames. »

Et cette dernière sentence était plus adressée à Harper qu’aux autres.
Comment les choses allaient-elles tourner à présent ? Baxter allait-il chercher à affirmer sa position d’alpha pathétique ? Ou Harper allait-elle piquer une crise princière ?

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Le Palais Infernal / Re : Damn You're A Sexy Bitch | Izável
« le: samedi 04 février 2023, 05:31:12 »
« Aaaah Jizzie-chérie... »

Au fil de l’Histoire, Asmodée avait réussi plus d’un coup d’éclat. De la soumission de Lilith et ses succubes et la corruption d’Eve, au Hollywood System et au porno gratuit, son empreinte tachait les pages du passé et du présent de son influence stupreuse. Izavel faisait partie de ces coups d’éclat pour lesquels Asmodée entretenait une affection toute particulière. Elle le renvoyait aux grands tourments et aux turbulences que ses parties de jambes en l’air et la libération de la sexualité d’une seule femme avaient provoqué en son temps. Sa déchéance, sa réincarnation démoniaque à son service, la marque qui l’asservissait éternellement à son Cercle et à sa personne étaient le meilleur power trip qui soit.
Tout simplement, comme elle était renvoyée à ses plus grands émois en sa présence, lui-même adorait les revivre avec elle et la revisiter encore et encore, toujours avec la même fougue et la même malice.

Il n’était pas bien difficile de satisfaire la succube princière : tant qu’elle râlait, elle n’en avait pas assez. Elle ne râlait que pour réclamer l’attention qu’elle pensait lui être due, et le Prince était là uniquement pour la combler.
Pour le moment, elle ne râlait pas, mais cela viendrait sans doute. Elle devait faire avec le vertige de son retour, avec les émotions et les sensations que sa présence lui faisaient ressentir. Il avait redirigé sur lui la Source de la Luxure afin que le Cercle se soumette à son règne, car il n’y avait pas d’énergie rose plus pure et plus puissante que celle qu’il pouvait dégager. C’était comme la came : on pouvait se persuader que la coupée suffisait, mais on était toujours prêt à tout lâcher pour de la pure.

Dire qu’Asmodée en profitait était peu dire. Il se régalait de la voir vaciller sous l’effet des électrisantes invocations qui la dévêtissaient, la caressaient avec obscénité, l’emplissait sans mesure, accrochée à sa hampe, son visage collé à son aine. Quand elle vient le reprendre en bouche, effarouchée par le mandrin spectral qui la ruait énergiquement, il l’attrapa par les cornes comme par des poignées et il émit un ricanement amusé en la tirant contre lui, lui fourrant son sexe jusqu’à la garde, la laissant reculer pour reprendre son souffle mais l’empêchant de s’échapper, toujours bien arrimé à ses cornes.
Il joua du bassin, rua dans sa bouche et sa gorge de plus en plus vite pendant que, de l’autre côté, l’invocation suivait en rythme et en énergie, l’enfonçant par les deux côtés en cœur, l’écrasant entre deux forces viriles pendant que les mains fantomatiques ne cessaient de la torturer, malaxant ses seins, titillant ses mamelons, tenant ses hanches, attrapant ses chevilles pour la garder ouverte, frottant son clitoris gonflé.
Il finit par la délivrer, sortant de sa bouche pour que les couinements et les cris qu’elle étouffait pudiquement autour de sa queue résonnent librement par-dessus l’agitation générale de sa soirée orgiaque, dont ils étaient devenus la principale attraction. Et il l’attrapa par le menton pour lever ses yeux dans les siens. L’autre main passa dans les cheveux de la succube, la cajolant un instant, avec tendresse, comme pour la récompenser, la remercier de consentir à son martyr.

« Tu sais que je t’aime, ma Jizzie. Je ne te garde pas au palais pour rien. Tu seras toujours une de mes salopes préférées. D’ailleurs, il te manque quelque chose, non ? »

Il sourit en montrant ses dents et, d’une pensée, un deuxième membre spectral apparut derrière elle, et deux mains vinrent écarter ses fesses pour qu’il s’y faufile et y pénètre sa petite étoile plissée, lentement mais sans la moindre hésitation.

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Prélude / Re : A l'aventure, Phiren ! [Terminé] [Anéa]
« le: samedi 04 février 2023, 00:07:04 »
Quel bel esprit ! Et quel nom ! Bienvenue ! :D

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Prélude / Re : Sakura Kobayashi, Le lapinou ou le loup ?
« le: vendredi 20 janvier 2023, 05:44:56 »
On ne bouscule pas ! :D

Bienvenue à toi ! :-*

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Prélude / Re : Le canard qui devint un cygne noir [Anéa]
« le: jeudi 19 janvier 2023, 05:17:53 »
Le mec est passé de bouboule à maître du crossfit en 2 ans. C'est officiellement ma nouvelle idole. ;D

Bon retour ! :D

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Prélude / Re : America, we love you.
« le: jeudi 19 janvier 2023, 05:15:13 »
Ici, tu peux tomber sur du meilleur (comme mon alter-ego Masa, si si je te jure) comme du pire (comme moi, ou Ryo par exemple ;D ). Amuse-toi bien ! :D

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One Shot / Re : Discipliner l'héritière. - Asmodée
« le: jeudi 19 janvier 2023, 05:00:22 »
« Ma Harper... Je n'ai jamais pu la traiter comme les autres. Elle a toujours eu tout ce qu'elle voulait. Elle n'en fait qu'à sa tête. Je voulais qu'elle ait une vie libre, vous voyez ? »

Face à Williams Jr, la longue silhouette immobile ne disait rien, ne réagissait pas. Seule, parfois, la lueur du bout de sa cigarette diffusait une faible lueur rouge autour des traits de son visage. Sa main montait la prendre à bout de doigts, faisait tomber les cendres dans le cendrier à côté de lui, et remontait pour la ramener à sa bouche avant de redescendre encore.
L'avocat se froissait les mains à force de s'angoisser à reconnaître ses erreurs, mais il ne devrait pas. L'erreur était humaine, et l'homme qu'il avait engagé était là pour en réparer les conséquences.
Le vieil homme finit par se reprendre, mais avec un peu trop de promptitude pour être sûr de lui.

« On vous a recommandé parce que vous êtes une sorte de spécialiste pour gérer ce genre de cas... difficile. Mais je ne vous demande qu'une seule chose : ne la blessez pas ! Ça prendra le temps et l'argent qu'il faudra mais je veux qu'elle apprenne à respecter ses devoirs et à honorer son rang. »

Après un énième voyage de sa cigarette, la silhouette finit enfin par parler, d'une voix chaude et d'un ton charmeur :

« Mr Williams, croyez bien que la bonne santé de votre chère Harper sera ma priorité. Quant à la rendre docile, ne vous inquiétez pas pour ça : elle le sera. »



L'été caniculaire battait son plein sur la côte est des États-Unis et ceux qui en avaient les moyens se prélassaient sous leurs climatiseurs et dans leurs piscines tandis que le commun des mortels se mourait sous les ventaliteurs bon marché entre deux sorties collés comme des sardines à la piscine de leur quartier.
Évidemment, Harper Williams était du premier ordre et le penthouse payé par papa disposait de tout le confort moderne. Le nouvel agent chargé de sa surveillance et de sa discipline avait reçu les accès et y entra sans s'annoncer, prenant le temps d'examiner les lieux, fouillant discrètement ça et là et s'emparant de toute la contrebande qu'il pouvait trouver avant de finir par trouver la dilettante, sans surprise, en train d'entretenir son gainage et son bronzage dans la piscine de l'immense terrasse.

Il s'avança vers le bord sans un mot, se révélant enfin à sa vue. Il ne payait pas nécessairement de mine, avec sa stature fine cachant un physique d'alpinisme, son costume noir de prêt-à-porter et ses cheveux presque blancs. Apparemment jeune, mais sans âge précis, l'air modeste mais d'allure assurée, il se présenta avec un léger sourire. Il ne s'attendait pas à être bien reçu mais il donnait une chance à la blonde, fort jolie au demeurant, d'engager leur relation de façon positive. Quoi que son ton annonce, il y répondrait, mais il ne se montrerait pas dur sans justification.

« Miss Williams! Bonjour! Je suis James, votre nouveau... précepteur. C'est un plaisir de vous rencontrer. »

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One Shot / Re : Modèle masculin. - Asmodeus
« le: jeudi 19 janvier 2023, 04:59:55 »
Comme Chiyo lui demandait de s'asseoir sur le lit, de se mettre à l'aise, Kango prit une profonde inspiration, et la relâcha doucement. Ca y est, c'était le moment où tout commençait. Il se sentait complètement hors de son élément et dans la semoule, et il se demandait ce que la dessinatrice pouvait vouloir et comment elle s'imaginait un homme assis à l'aise sur un lit. Devait-il juste se mettre en tailleur face à elle ou... ?
Il décida d'ignorer toutes ses interrogations et de passer à l'action. Au départ, il s'installa de façon un peu gauche, mais garder une position inconfortable sur le matelas douillet était simplement impossible. Il dut rapidement se détendre, se laissant aller légèrement en arrière en prenant appui sur une de ses mains, laissant une jambe s'étendre, redressant l'autre, posant son bras libre sur le genou levé.
Le voilà installé de façon agréable, mais quasiment sensuelle. Il fallait dire que la température de la chambre était agréable, mais n'invitait pas à trop se refermer.

Chiyo brisa le silence en décidant d'aborder la question du sport. Kango tomba des nues où il s'était intérieurement perdu, jeta un regard interrogateur à la dessinatrice, puis se ressaisit et baissa le regard sur lui-même avec un sourire. Souligner avec amusement qu'elle avait remarqué aurait été un peu présomptueux : il n'hésitait pas à l'afficher et n'avait pas la carrure du type vaguement sportif du lycée, c'était certain.

"En fait, j'étais rondouillard quand j'étais petit. J'ai voulu changer ça, perdre mon surpoids. En chemin, le sport est devenu un élément important de ma vie et j'ai continué, tout simplement. Maintenant que j'ai cette stature, c'est vrai que ce serait bien de percer, d'autant que j'ai pas vraiment les meilleurs résultats scolaires, mais le sport, ça reste juste mon truc."

Elle l'invitait à prendre totalement son aise et, après une hésitation, Kango se laissa aller sur son coude. Il avait relevé les yeux vers elle et il remarquait la chaleur commencer à l'atteindre. Elle rougissait. Il était vrai que, même pour lui qui était nu, la température était un poil élevée, mais plutôt que de baisser l'un ou l'autre la température ils restaient là, plongés chacun dans sa tâche.
Le modèle ne voulait pas trop bouger pour ne pas gâcher les efforts de la dessinatrice, mais elle aurait bien pu se lever ; et la surprise fut donc grande quand la chemise de Chiyo s'ouvrit bouton après bouton sur une ligne de peau dénudée légèrement rougie et sur la jointure de son soutien-gorge. Il fit les yeux ronds mais se contint sans pour autant pouvoir s'empêcher de détailler ce qu'il pouvait voir du buste de la belle.
Si ses cheveux châtain et ses yeux verts n'étaient pas des indices suffisants, il pouvait déjà dire que la dessinatrice n'avait pas le type tout à fait japonais ; même pas tout à fait asiatique, en fait. Il pouvait deviner une ossature et une composition différente avec le peu qu'il voyait pourtant.
Il décida de relancer le dialogue là-dessus :

"On doit souvent te poser la question, mais tu as un parent étranger au moins, non ? C'est pas... Je trouve juste... Tu as des traits... très beaux."

Il se pinça les lèvres en se maudissant de déraper comme ça sur un sujet aussi simple et préféra filer sur autre chose :

"Je suis ton compte depuis un moment, tu sais. Je suis fan de ton style et ça me fait vraiment plaisir de te servir de modèle. A dire vrai je suis..." Son regard glissa sur sa silhouette. "Je suis intimidé."

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Le Palais Infernal / Re : Damn You're A Sexy Bitch | Izável
« le: jeudi 19 janvier 2023, 04:59:33 »
Izavel pouvait râler, protester, gigoter, Asmodée ne la laisserait pas filer. C'est que le prince savait très bien ce qui plaisait à la princesse. Elle avait toujours eu ce même soucis, celui qui l'avait fait sombrer et l'avait enchaînée à ce Cercle, à sa couche, à ses volontés. Elle adorait le pouvoir et, quand elle n'était pas la plus puissante là où elle se trouvait, elle adorait plaire à celui qui le détenait. C'était ainsi qu'Asmodée jouait avec elle à chaque fois, la ramenant à lui éperdument et pour l'éternité, à chaque fois : il la voulait et c'était exactement ce qu'elle voulait qu'il montre.

La manière dont elle usait de sa queue pour manipuler l'invocation phallique en direction de son orifice éternellement virginal, qu'importaient les orgies et les membres qu'elle y recevait, annonçait en tout cas la couleur et les envies de la succube. Elle pouvait râler, protester, gigoter, mais elle n'aimait rien plus qu'être sa reine, ne serait-ce que pour un moment.
Et lui exprimait son désir de la faire reine par la masse qui se raidissait et prenait dans l'ampleur dans son pantalon, atteignant rapidement ce calibre que la belle adorait et affectionnait tout particulièrement. Elle avait juste à s'en rappeler pour qu'il se métamorphose sous ses doigts à l'intérieur de l'écrin de tissu.

Asmodée se lécha les lèvres en soupirant de plaisir comme ses doigts atteignaient le collier d'or et la levaient jusqu'à ses lèvres. Il l'embrassa avec une fougue presque agressive tandis que le membre spectral, chaud et électrisant, s'insinuait en elle en imitant les coups de reins qu'un être invisible et intangible aurait pu donner pour l'animer, la pénétrant coup par coup en l'ouvrant sans retenue.
Il brisa leur baiser avec le même sourire carnassier et croisa son regard avec un feu particulier. Elle connaissait bien sûr ce regard qui lui promettait une fête démesurée en son honneur, mais qui plaçait aussi Izavel sur le menu.

"Et tu es une garce, Jizzie ! Mais tu as de la chance d'être aussi bonne."

Les doigts pris dans le collier tirèrent vers le bas, la conduisant inexorablement le long de son buste vers une cible qui ne laissait pas de mystère sur sa nature. Ses mains passèrent dans ses cheveux, l'amenèrent à sa taille sans douceur pendant que le membre magique, lui, continuait de la ruer sans être perturbé.
Le pantalon du prince avait disparu de son corps, comme le reste de ses habits, en un clignement d'yeux, et son membre bondit sous le nez de la succube avant de se faire diriger entre ses lèvres d'un petit pas en avant du démon.

"Tu aimes ouvrir ta gueule, alors ouvre grand maintenant !"

Il n'était pas non plus totalement cruel. Même s'il n'avait rien à gagner à en user, il la baigna d'une vague de Luxure intense tandis que d'autres invocations fleurissaient autour d'elle, mains fantomatiques qui vinrent la déshabiller en caressant son corps avec une lubricité absolue.

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Spoiler: "Elspeth & Kinnel" (cliquer pour montrer/cacher)

Kandasmosée profitait avec plaisir du jaillissement lubrique de l'idole tout en assistant à la scène de loin, occupé dans un coin de son être corrompu, à la merci des flux de la Tentation.
Il assistait en temps réel à l'éclosion d'une fleur féconde en Saïki, une fleur qui aurait besoin de soins pour s'ouvrir entièrement mais qui serait d'une beauté rare. Son bulbe rose brillait tout en se nourrissant de toute la luxure qui l'entourait. Bientôt, la fleur diffuserait sa propre source de Luxure et Saïki ne serait plus jamais la même.
Encore un peu plus, une pichenette.

Comme Tama prenait possession de la catin submergée, littéralement et figurativement, Kanda se redressa sur le canapé, s'y levant, le visage de la belle trouvant le chemin de son aine tant par son désir que par celui du brutal garde du corps.
Tama ferait un excellent serviteur pour Saïki. Elle aurait besoin d'un compagnon de confiance prêt à la défendre ou à la briser d'un simple ordre.

Il passa ses mains sur ses joues, s'y cramponna, poussa en elle, enfonçant sa queue en rythme en haletant jusqu'à ce que Tama, dépassé par son plaisir, se libère bien vite pour s'écrouler sur elle. À son insu, il avait donné tout ce qu'il renfermait de puissance rose en lui, nourrissant le bulbe magique en elle qui s'apprêtait, maintenant, à donner naissance à sa fleur, à concrétiser le début de sa déchéance.
Il sortit sa queue de sa bouche et se branla devant elle, la laissant se frotter à son membre, le taquiner du bout de la langue, ouvrir la bouche dans l'attente de sa becquée.

"Ta vie sera changée à jamais, Saïki. Demain, tu seras plus énergique, créative et puissante que tu l'as jamais été. Et tu seras toujours capable de séduire pour obtenir ce que tu veux. Célébrité mondiale, gloire, richesses au-delà de tes espérances... Tout sera à toi si tu te voues au plaisir et à la Luxure. Alors, dis-moi, ma grosse cochonne : est-ce que tu m'adoreras comme ton dieu et maître ?"

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One Shot / Re : Le manoir hanté de Furry Hotaku
« le: samedi 24 décembre 2022, 05:06:35 »
Pete suivit donc la maid spectrale jusqu'à la salle de bains, ne la lâchant pas du regard tout du long. Il se faisait remarquer à quel point le fantôme pouvait avoir l'air réel. C'était comme si elle était véritablement là, en chair et en os.
En même temps, Pete n'avait jamais vu de fantôme. Il n'avait jamais cru à l'occulte. Il en avait toujours rigolé. Mince ! Tous ces gens qui vendaient des infestations fantomatiques étaient peut-être pleins de bullshit, l'un n'empêchait pas l'autre. Mais Pete était face à une rencontre inédite, inexplicable et inexpliquée.
Il n'allait pas cracher sur sa chance ! Il avait gagné le manoir hanté, après tout.

Il se retrouva dans la fameuse salle de bains. Elle était ancienne, c'était certain, mais tout était bien entretenu et les constructeurs de l'époque n'avaient pas lésiné sur les moyens à l'époque. Ça devait être le nec plus ultra en son temps !
Rapidement, la réalisation lui vint qu'il allait se baigner et donc retirer le dernier vêtement qu'il avait gardé, son boxer clinquant. Il n'était pas du genre à avoir peur d'un peu de nudité entre adultes consentants, c'était même essentiel quand on cherchait à lancer une partouze à L.A. Mais c'était sa première fois devant un fantôme et, d'ailleurs, comme il se désapait et mettait le boxer dans le panier, passant près de la fille au sourire timide, il s'assura d'un détail :

"Et euh... T'étais bien majeure quand t'es morte, hein ?"

Qui le saurait, demandez-vous ? Et bien, lui le saurait. Elle pouvait avoir 100 ans, restait un malaise à l'idée de bander sur un corps de mineure. L'image, tout ça...

Il fila quand même dans l'eau qui coulait et siffla au contact du chaud avant de se détendre.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Descente au 7e Abîme | Wisteria
« le: samedi 10 décembre 2022, 03:33:41 »
Il était facile d'imaginer que, depuis les éons qu'il se vouait au plaisir charnel et à la corruption des âmes sensibles à son appel, Asmodée serait lassé par les touchers les plus simples. Pourtant, il n'en était rien. En ses quartiers du Palais Infernal, chaque instant de repos était voué à la lascivité. Il l'admirait, l'entretenait, l'exploitait, la vivait. La lubricité inondait son être. Il était ainsi fait et s'imaginer ne plus vivre dans le plaisir honnête et intense du sexe serait comme s'imaginer arrêter de respirer pour lui.
Sans doute ses pouvoirs mourraient-ils s'il devait en être autrement.

Alors, oui, la main et la bouche de la jeune humaine le comblèrent. S'il pouvait contrôler son corps jusqu'à sa forme et ses mécanismes physiologiques, il ne pouvait s'empêcher de s'abandonner aux attentions d'un être généreux et sa verge raidit furieusement sur sa langue tandis qu'elle le suçait avidement.
Les caresses de sa langue les succions de sa bouche le comblaient au-delà de leurs sons obscènes et de leur simple contact. L'archidémon répondait à l'expression de son vice par un effet de réciprocité vertueuse qui intensifiait le plaisir, les sensations et la motivation de l'humaine qui lui rendait la pareille à son tour.
Les premières coulées de son présperme sur le bout de sa langue rose firent pétiller la tête de Wisteria qui se sentit sûrement partir sur un nuage où plus rien n'existait sinon l'odeur enivrante de son amant et sa masse trempée par sa salive.

Avec son repositionnement, il était moins évident pour Asmodée de palper ses énormes seins, alors il se fit finalement plus impératif, amenant sa main dans les cheveux de la belle, derrière sa tête, accompagnant ses mouvements et les guidant à la fois. Pousser... Tirer... Pousser... Tirer... Pousser... Il battait la cadence de son ouvrage en l'incitant à donner toujours plus.
Ses fluides perlaient de son sexe au fond de sa bouche en la noyant dans l'expérience de cette fellation.
Dehors, les arbres continuaient de défiler, fantomatiques, étrangers à ses sens. Où étaient-ils ? Etaient-ils encore à Seikusu ? Etaient-ils encore au Japon ? Sur Terre ? Quelle importance ?

"Je t'interdis de faiblir !"

La harangue n'avait guère d'utilité. Elle ne faiblirait pas. L'influence démoniaque chassait lassitude, douleurs et distractions. Bientôt, elle se sentirait mieux que jamais une fois la première dose de l'élixir de puissance insoupçonné aurait touché son corps. Fatigue, douleur et inhibitions n'auraient pas de place lors de ce sabbat orgiaque.
Asmodée grogna de plaisir comme ses reins tremblaient de l'apogée de son désir. La jouissance le gagnait en frissonnant jusqu'à son aine et jusqu'à sa verge, qui pulsa en rythme et de plus en plus fort à chaque descente de Wisteria jusqu'à ce qu'un râle sonore, accompagné d'une impérieuse poussée de sa main vers le bas, lui commandent de s'arrêter et de garder son membre en silence.
Il délivra en elle de puissants jets de sa semence aux pouvoirs surnaturels. En contact avec les muqueuses de ses orifices, ils étaient immédiatement et idéalement reçus, donnant tous leurs effets bénéfiques. Elle put se sentir baignée d'une énergie nouvelle, lavée de sa fatigue et des reliquats de l'ennui de sa journée de cours. Plus que tout, une explosion bouleversa ses pensées au fond de son esprit et fit de la place pour une seule motivation et une seule idée : Lui, encore.

"Juste à temps, petite catin vorace !"

Avec un sourire énigmatique, il la relâcha et la laissa retrouver conscience de leurs environs.
La voiture s'était arrêtée. Autour d'eux, la forêt, un chemin mystérieux, baignés dans le noir. Devant eux, éclairée par les phares, la façade d'un chalet typique et anonyme, bien entretenu. Sa résidence, ou un endroit où il amenait ses conquêtes ramassées au bord de la route ? Le mystère resterait entier pour Wisteria comme Asmodée sortait déjà de la voiture, le contact retiré, les phares éteints.
Il se dirigea vers la porte d'entrée en faisant tinter des clés au bout de ses doigts. Il ne lui ordonna pas de le suivre mais une voix, toujours, la poussait à rester près de lui.

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One Shot / Re : Le manoir hanté de Furry Hotaku
« le: samedi 10 décembre 2022, 03:33:13 »
Sidéré, Pete ne savait trop quelle attitude adopter face à cette soudaine apparition. Prudent, peut-être trop, il ne se résolvait pas à croire aux fantômes, mais le doute était désormais permis. Il y avait là trop de faits curieux et de points discordants pour qu'il rejette totalement la présence d'un esprit dans le manoir.
Les présentations, au moins, restaient faciles et lui permirent de se détendre un petit peu face à l'attitude prévenante et agréable de l'inconnue ; Victoria, disait-elle s'appeler, encore une curiosité.

"Victoria... Salut... J'm'appelle Pete."

Il restait sur ses gardes, mais elles baissaient rapidement face aux gestes de la maid aux yeux rouges et aux cheveux cendrés. Ranger ses affaires, lui donner des courbettes... Il n'y avait là rien de menaçant. Doucement, il se détendait, mais il attendait toujours une surprise, et la confirmation de la nature fantomatique de Victoria lui mit un coup. Les yeux ronds, il se retint de crier au fantôme mais, au fond de sa tête, les pensées, les interrogations et les scénarios allaient dans tous les sens, brisant tout sens et annihilant tout contact au réel pour un bref instant.

"Fantôme... Soubrette... Salle de bains..." répétait-il, entre autres, doucement, sans autre forme de réaction.

Il fallait qu'il se calme. Pete inspira et expira profondément, plusieurs fois, comme son ex XxMary_GxX lui avait appris pour se détendre. Inspire... Expire... Inspire... Fffooouuu... Chasse les mauvaises ondes... No pensée...
Il rouvrit les yeux pour revenir à la réalité. Le fantôme, Victoria, était toujours là, prête à exaucer ses moindres souhaits apparemment. Elle ne l'avait pas attaqué, n'avait pas l'air de cacher de couteau de boucher ou quoi que ce soit...
Il fallait qu'il fasse le point ! Il avait reçu ce manoir à la loterie. On lui avait dit qu'il était hanté, il n'en avait rien cru, et, sur le coup, il lui semblait que les gens voulaient lui faire peur. Mais essayaient-ils juste de lui expliquer le pourquoi du comment ? Les Japonais étaient bizarres, ce n'était pas impossible. Peut-être le fantôme faisait-il partie du prix ? C'était pour ça que ce vieux manoir hybride hors de prix, avec les taxes et la facture d'énergies qui devaient venir avec, étaient considérés comme un cadeau ?

Victoria était-elle le véritable jackpot ?!
L'Américain la toisait sans rien dire un instant, mais il se détendit à mesure que ses réflexions, simplistes et égocentriques, le rassuraient et le mettaient au centre d'un grand concours de circonstances devant l'encenser des mille et une joies du service de la maid fantomatique.
Par un habile tour de passe-passe pseudo-intellectuel, il se retrouvait vernis et méritait de l'être.

"D'accord. En fait t'es là pour garder le manoir propre et faire c'que j'veux, c'est bien ça ?"

Il osa se rapprocher pour l'observer de plus près. La jeune maid victorienne ne cachait pas grand chose de sa plastique avantageuse et Pete se sentait un peu comme le protagoniste masculin d'un porno à gros budget avec une jeune prodige à découvrir.

"Tout c'que j'veux, c'est bien c'que t'as dit ?"

C'est bien ce qu'elle avait dit.

"Alors du coup, vas-y, montre-moi la salle de bains. C'est vrai qu'j'ai bien besoin d'un bain et... d'un coup d'main, tu vois."

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One Shot / Re : Entrainement intensif -Feat. Asmodeus
« le: samedi 10 décembre 2022, 03:32:42 »
Dans l'esprit de Brock subsistait un doute. Il doutait franchement que la petite brune puisse progresser suffisamment pour une prestation impeccable d'ici leur première représentation officielle ; mais il n'avait guère le choix. Il avait déjà tourné et retourné la question dans sa tête et il devait tout simplement lui donner une chance ; une chance honnête. Pour ça, il devait essayer de l'entraîner au maximum pour qu'elle puisse être prête le jour J. Au fond de lui, son âme professorale voulait qu'elle fasse des prouesses et en mette plein la vue aux autres d'ici un mois ou deux, mais un certain pragmatisme l'empêchait de se réjouir d'avance.

Cela ne l'empêcherait pas de faire son travail. Et comme Maddie se montrait des plus enthousiastes, il démarra sans tarder en lui expliquant rapidement ce qu'ils allaient faire.

"D'accord. Je pars du principe que tu es déjà chaude après la chorégraphie. Je vais t'entraîner d'après la méthode Pilates pour renforcer tes muscles profonds, te donner plus de tonus. Ensuite, on te détendra et on travaillera ton équilibre lui-même avec un peu de yoga. Prête ?"

Prête ou pas, il y allait.
Une fois au milieu d'un espace de tapis dégagé, il lui montra les exercices qu'elle allait devoir répéter.
Il resta sur des exercices de base, mais efficaces : au sol sur le dos d'abord, double leg stretch puis lower and lift pour travailler son tronc abdominal. Il passa sur le ventre pour un exercice du nageur.

"Il faut rentrer le ventre et tendre au maximum tout du long. Dix répétitions pour les deux premiers, trente pour le troisième. Tous ces exercices ensemble forment une série. Tu répéteras les séries en suivant la cadence. On commencera gentiment, avec trois séries et un temps de pause avant les trois suivantes. D'accord ?"

Il avait sorti son téléphone et lancé un chronomètre. Il tapa dans ses mains.

"Allez ! Au sol ! On commence !"

Il ne la lâcha pas et lui fit répéter les cycles deux fois, trois fois, quatre fois. Il la poussa au maximum, lui criant dessus pour lui interdire d'abandonner ou de se relâcher, même lorsqu'elle grognait, suait à grosses gouttes et tremblait et menaçait de s'écrouler.
Il ne s'arrêta que lorsqu'il vit qu'elle ne pourrait plus faire un cycle de plus, et le clap de fin de ses mains résonna dans le gymnase vide comme une libération. Mais il n'était pas conciliant non plus : il comptait bien la faire bosser ; ou lui faire déclarer forfait.

"On s'endort pas ! Debout ! Marche un peu, respire. Comment tu te sens ?"

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One Shot / Re : Modèle masculin. - Asmodeus
« le: vendredi 02 décembre 2022, 00:55:21 »
Il la découvrit d'abord de dos, occupée à trier et préparer ses affaires. Kango marqua une pause, frappé par ce qu'il voyait. Il avait imaginé beaucoup de possibilités sur l'apparence de Chiyo, mais il ne s'attendait pas à tomber sur une fille à la silhouette de mannequin occidental. Est-ce qu'elle avait du sang étranger ? C'était pas impossible, il y en avait eu pas mal après la guerre et il y avait eu de plus en plus d'étrangers depuis.
Lorsqu'elle se retourne, la supposition se confirme. Ses grands yeux vert le frappèrent et la clarté de ses cheveux châtain ressortit encore un peu plus à son regard. Elle était pour le moins peu commune. Elle était rudement belle. Kango douta qu'elle ait eu le moindre mal à avoir les mecs qu'elle voulait dans sa vie et il regretta d'avoir douté de ses intentions, même brièvement, pendant leur échange de la veille.

Elle aussi semble troublée de le voir en vrai, finalement. Et, pour chasser leurs troubles et éviter de créer de la gêne, l'un comme l'autre préférèrent se mettre au travail, Kango attrapant les croquis, sur la commode à côté de lui, dès qu'elle l'y invita.
Il parcourut les feuilles noircies au fusain et au crayon avec le sourire, levant parfois les sourcils en soufflant un gloussement retenu face au style de ce qu'elle avait déjà préparé. C'était plutôt bien pensé. Ca rendrait sacrément bien !
Il ne savait pas comment il allait pouvoir l'aider, comment poser, mais il l'aiderait du mieux qu'il pouvait, même pour le sujet épineux de l'érection.
En parlant d'érection...
Il tomba sur les croquis de la veille, plus frénétiques, plus vivants. Son corps et son sexe mis en scène dans une exhibition obscène, mais aussi mis à l'action avec des personnages que Kango reconnaissait comme des créations précédentes de Chiyo.

Il avait la gorge sèche en reposant tout ça, et les yeux ronds et fixes. Il ne savait pas s'il était intimidé ou excité, il se sentait tout chose. Dans quoi s'embarquait-il ? Il ne le savait pas. Il avait autant envie de se rhabiller que de se vouer à réaliser la vision de l'artiste.

"C'est... chouette ! On commence ? Je dois faire quoi ?"

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