Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Voir les derniers messages - Asmodeus

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Voir les derniers messages

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Messages - Asmodeus

Pages: [1] 2 3 ... 16
1
One Shot / Angel With The Scabbed Wings
« le: dimanche 09 juillet 2023, 06:39:53 »
Asmodée et ses agents avaient toujours organisé des cabales secrètes destinées à répandre leur influence et leur pouvoir derrière des portes anonymes ou insoupçonnées. Depuis des années, l’une de ces cabales était un club d’enseignants et chercheurs dans les domaines des Arts, des Humanités et des Sciences aux réunions desquelles il participait à travers l’enveloppe possédée du directeur d’une université.
L’homme était son obligé et son serviteur depuis plus d’une décennie maintenant et il usait son influence et son pouvoir pour avancer des projets et des programmes participant à agiter les débats sociaux et à fragiliser les conventions. L’anomie était un système que les maîtres des Enfers auraient adoré voir se développer sur Terre.
La dernière réunion était ce soir et une nouvelle aspirante allait être approchée pour accéder à l’arrière-salle secrète du club, où les dévotions lubriques en l’honneur d’Asmodée avaient lieu pour le nourrir et réclamer sa bénédiction –une malédiction, en vérité, mais ils y trouvaient leur profit–. Car derrière la salle au buffet bien garni et aux discussions très techniques se cachait un autre visage du club –cette cabale démoniaque à laquelle Asmodée avait déjà rompu tant de grands esprits ici–.
Le plan était un peu risqué. La jeune enseignante en question n’avait pas été proprement approchée et préparée, mais Asmodée tenait à sa présence et à sa corruption rapide, car il avait senti quelque chose de spécial en elle. Il avait vite compris, en la sentant par le biais du possédé, qu’elle n’était pas la simple humaine qu’elle prétendait être, mais un jeune ange fragile et incertain. Et le Prince de la Luxure adorait s’attaquer aux Anges.
Alors, la soirée lancée et la belle bien arrivée, il s’était glissé dans la tête du grand blond élégant, enfermant sa conscience dans un coin de son esprit, le rendant spectateur impuissant –et ravi– de sa propre existence pour les temps à venir. Il pouvait maintenant bien la voir alors qu’il reprenait possession de l’enveloppe mortelle et fragile, et il se régala d’avance de sa beauté si généreusement féminine. Dissimulé derrière la barrière charnelle qui le protégeait autant qu’elle le limitait en cachant plus facilement son aura et sa trace magique, il n’hésita pas à l’approcher et la salua avec un sourire réservé, restant, pour le moment, dans la peau du directeur d’université.

« C’est un vrai plaisir de vous voir parmi nous, » l’accueillit-il en lui attrapant la main avec douceur. « Avez-vous fait bonne route ? Notre modeste réception vous plait-elle? »

Il se courba tout en levant la main à ses lèvres, gardant ses yeux dans les siens. Il pouvait sentir sa toilette et son parfum –et la légère vibration angélique de son être–. Son sourire s’élargit légèrement comme il se redressait.

2
L'Enfer / Re : Échanges magiques contre ?? - Asmodeus -
« le: dimanche 09 juillet 2023, 06:19:49 »
Maxine était venue pour avoir des réponses et Asmodée allait l’aider –si elle allait dans son sens–. Elle avait ce qu’il fallait pour être prometteuse, il le sentait très bien, mais pour l’instant elle faisait surtout l’effet d’une petite vierge timide. Le Prince Démon gloussa en la voyant si mal à l’aise au-dessus de la fête orgiaque menée juste au pied du trône, mais il la respectait et il la laissa s’asseoir sur son genou.
Dès qu’elle eut posé ses fesses rebondies sur lui, il glissa sa main dans son dos et l’attrapa par la hanche pour la tirer doucement plus près, l’amenant du genou vers sa cuisse jusqu’à ce qu’elle soit contre lui, ses jambes pressées contre l’entrejambe du pantalon ample dont elle avait déjà pu apercevoir le contenu. Il ne la colla pas à lui mais il lui faisait bien comprendre qu’il préférait une certaine promiscuité. Mais il voyait et sentait bien que son aura prégnante faisait son effet, surtout depuis qu’ils se touchaient. Il plantait ses yeux noirs aux pupilles d’un rose profond dans le sien et sourit encore en montrant les dents.

« Apprendre plus, c’est très vague, ma jolie ! » Il gloussa et les démons proches ricanèrent avec amusement. « Mais laisse-moi deviner… »

Il plissa les yeux comme s’il lisait dans son esprit. Évidemment, il ne lisait pas dans son esprit. En fait, ça lui était impossible. Par contre, son lien étroit avec la source de la Luxure lui permettait de capter ses désirs et ses ambitions. Il savait ainsi assez bien ce pour quoi elle était venue, mais il aimait parfois jouer le voyant –ça intimidait souvent les novices–.

« Tu veux du pouvoir… Tu veux apprendre la magie rose et l’utiliser à ton bénéfice. »

Il éclata de rire.

« Oh, Maxine ! Je suis désolé, mais il n’y a rien que je puisse t’apprendre. »

Il laissa flotter la révélation un instant pour lui donner le temps de s’interroger et de songer qu’elle avait fait ce chemin pour rien, qu’il ne comptait pas lui révéler ses secrets. Mais il finit par lui claquer doucement une fesse de la main en gloussant malicieusement.

« Je ne peux rien t’apprendre car il n’y a rien à apprendre ! Ce n’est pas une science, c’est un flux, une force que nous créons et dont nous nous imprégnons tous à divers degrés. » Il étendait l’autre main vers la foule entremêlée pendant qu’il ne quittait pas ses fesses. « Le seul moyen de maîtriser cet… art… est de le vivre. Et je pense que je peux t’apprendre quelque chose de ce côté, oui. »

La main libre glissa doucement vers son cou et le bout de ses doigts glissa le long en descendant jusqu’à son décolleté. Il l’attrapa du gras de ses dernières phalanges et tira dessus sans mal pour l’étirer et découvrir une bonne partie de la peau de son buste et de la fente de ses seins, dans laquelle il plongea son regard sans gêne en se mordillant la lèvre inférieure.

« Je vais te dire, ma toute belle : si tu me promets sans mentir de te dévouer à explorer les arcanes de mon domaine, je suis prêt à t’essayer et à te donner une réponse rapide. »

3
Centre-ville de Seikusu / Re : Descente au 7e Abîme | Wisteria
« le: samedi 08 juillet 2023, 07:33:34 »
Asmodée n’avait pas spécialement besoin de demander. Il connaissait bien le vice profond et scabreux de Wisteria. Il savait quels rêves décadents et orgiaques nourrissaient ses fantasmes à peine voilés qui la distrayaient constamment en classe. Elle voyait les gars de l’équipe de baseball dans un coin du couloir et elle se mettait tout de suite à s’imaginer en train de se faire prendre en tournante au bout de la rangée de casiers. Elle en mouillait et en salivait immédiatement. C’était une pure catin, complètement dérangée. C’était bien pour ça qu’il était venu la chercher.
Comme pour valider cet intérêt, le choc passé, elle fit de son mieux pour accompagner le rythme des deux mâles la prenant à l’unisson, écrasant son sexe et son postérieur contre leurs aines en percutant sa peau aux leurs dans un long gémissement. Ils buttaient sans ménagement en la faisant claquer bruyamment et se retiraient pour revenir à la charge. A chaque coup, le trio devenait plus téméraire et le rythme et la puissance s’amplifiaient. Wis pouvait bien repousser ses limites : si elle sentait une douleur ou avait peur de la sécheresse, tout le présperme démoniaque qu’elle absorbait par ses muqueuses allaient l’en empêcher. Et si les membres en elle lui paraissaient de plus en plus gros et présents, ce n’était pas qu’une impression, et là aussi ses fluides aidaient. Ils l’ouvraient, la dilataient, repoussaient les limites de son corps de plus en plus en même temps qu’Asmodée les repoussaient de sa simple sécrétion.
Qu’elle attende seulement le premier coup de foutre…
En attendant, la cabale démoniaque qui observait alentour, invisible, s’amusait à observer. Il aurait déjà été difficile de dire si le chalet avait existé dans un plan normal d’existence, mais à présent ils en étaient bien partis. Dehors, tout était noir, et ce n’était pas que la nuit. Plongés dans un néant transplanaire, ils étaient poreux aux visites des esprits malicieux qui venaient profiter du spectacle.
Finalement, le grand noir qui prenait le cul de Wis finit par l’attraper par les cheveux. Brisant son contact visuel avec son Maître et lui cambrant le dos, il la dressa en haut du dossier et elle put découvrir une autre silhouette masculine. La lumière était presque inexistante et elle ne pouvait voir qu’un torse aux muscles saillants la dominer sous un visage indiscernable. Ensuite, c’est une belle queue bien veinée et raide qui passa sous ses yeux avant que le gland vienne passer entre ses lèvres. Il s’enfonça en glissant sur sa langue et la longueur de la queue épaisse s’imposa à elle en irrumant à chaque fois un peu plus en elle, forçant sa gorge de plus en plus en la faisant baver sur le chibre imposant tandis que les deux amants initiaux la ruaient sauvagement.
Asmodée suivit son excitation, l’amena à un nouvel orgasme explosif avant de libérer sa propre jouissance. Un flot de sperme abondant éclata puissamment au fond de sa chatte en la remplissant et une vague de chaleur, d’excitation et de jouissance orgasmique la baigna en une seconde, si violente qu’elle n’entendit même pas le cri qu’elle poussa tandis que les démons se libéraient ensemble dans chacun de ses orifices.



« Réveille-toi, ma jolie catin ! »

Quand Wis ouvrit les yeux, elle était restreinte. Debout, penchée en avant, elle était nue et soumise au pilori, la tête et les poignets bloqués. Asmodée était en squat sous elle, nu lui aussi, et il lui sourit avec un mélange de candeur et de malice en venant flatter sa joue d’une caresse brûlante, qui tourna vite à une exploration de ses lèvres du pouce. Elle ne se sentait pas fourbue ou sale. Pour tout dire, elle pouvait se sentir plus en forme que jamais, et absolument trempée sans pouvoir s’en empêcher.

« Tu t’en sors très bien. Vois-tu, je suis venu te tester et t’initier à mon monde, mon Cercle. Tu es un prodige qui s’ignore et j’ai envie de voir jusqu’où la belle Wisteria peut sombrer. »

Comme il prononçait ces mots, elle put sentir des mains glisser sur sa croupe. Incapable de voir ce qui se passait, elle sentit juste une verge épaisse la pénétrer et l’emplir et commencer à la culbuter sans ménagement. Asmodée la regardait droit dans les yeux sans changer d’expression. Seul son sourire s’élargit encore, et se fit plus malicieux encore.

« Certaines de mes filles peuvent y passer la journée. Je ne t’en demanderai pas tant, nous avons un planning chargé, mais… Laisse-toi aller, laisse-moi sentir ce que tu sens. Tu en veux encore plus, pas vrai ? »

La verge palpita en elle et éjacula au fond de son vagin avant de se retirer prestement. La présence disparut, mais une autre arriva, annoncée par aucun toucher, juste par une longue verge crochue s’emparant de son orifice.

4
One Shot / Re : Le manoir hanté de Furry Hotaku
« le: samedi 08 juillet 2023, 07:05:28 »
Si Pete avait toujours des doutes sur sa situation, sur ce fantôme et sur toute cette aventure, il n’avait en revanche aucune pensée pour ce qu’il était en train de faire. Une fois que la belle s’était retrouvée avec lui dans le bain, une fois qu’elle avait commencé à le branler avec ses petites mains froides, c’était foutu. Maintenant qu’elle était chaude et qu’il était bien plongé en elle, il n’y avait plus de retour possible. Il avait écarté ses jambes autant que la petite baignoire ancienne le lui permettait pour qu’elle s’empale bien proprement sur son pieu et elle n’avait pas perdu une minute pour commencer à le limer en gémissant doucement.
Mais Victoria y allait lentement, un peu timidement, à la victorienne sans doute. Elle prenait son temps et Pete avait une envie de plus en plus ardente de sa petite chatte. Il gémissait de plaisir lui aussi, doucement, mais il finit aussi par souffler du nez, de frustration.
Ses mains, qui avaient maintenu la belle près de lui et avaient suivi ses mouvements jusque là, bougèrent encore. Il attrapa son petit cul ferme à pleines mains et s’y cramponna avant de se mettre à tirer dessus, dans un sens puis dans l’autre. Plus fort, plus vite. L’eau se mit à remuer tandis qu’il poussait la belle à adopter la cadence et, lorsqu’elle eut fini par le faire, il se laissa aller en arrière et, les yeux fermés, il gémit longuement en la sentant le limer de manière bien plus franche.

"Ah ouais Vicky ! Continue comme ça poupée !"

Il en était aux petits noms maintenant. Il ne lui fallait pas grand-chose. Maintenant qu’elle avait commencé à grimper sa bite, elle était à lui dans sa tête. Mais ça, ça viendrait plus tard sur la table. Il rouvrit les yeux pour croiser son regard et ramena ses mains à elle, lui attrapant les seins et les massant en cadence un instant avant de les redescendre jusqu’à sa taille.
L’attrapant de chaque côté au-dessus des hanches, il entrouvrit la bouche et ahana de plaisir en la dirigeant encore une fois, la poussant et la tirant à lui avec toute l’énergie que l’eau contraignante voulait bien lui laisser imposer à son corps. L’eau clapota de plus en plus fort et se mit à faire des vagues et à déborder à flots alors qu’il gémissait plus fort, son plaisir bien servi grimpant bien vite à son point culminant.

"Ah ! Suis la rythme ! T’arrêtes pas, je t’interdis ! Vicky ! Putain… Baise-moi !"

5
One Shot / Re : Entrainement intensif -Feat. Asmodeus
« le: samedi 08 juillet 2023, 06:53:08 »
La petite brune avait fait tout ce qu’elle pouvait –littéralement–. Il lui était clairement devenue délicat même de tenir debout. Marcher seule était évidemment exclu. Brock la considéra un instant, pensif et un peu coupable de l’avoir poussée si loin. Il voulait bien l’aider, mais il était déjà allé loin en la portant jusqu’aux vestiaires. Il pourrait y avoir un signalement, une plainte… Elle était adulte mais l’école se ferait un devoir de le détruire.
En soupirant d’embarras, il finit par lui faire signe de ne pas bouger.

"Je vais chercher quelqu’un. Ne bouge pas !"

Comme si elle l’avait pu ! Il s’absenta des vestiaires et partit faire le tour du gymnase à la recherche du groupe de gymnastique. Le responsable de ce groupe était une femme et elle serait certainement disposée à aider Maddie à se doucher et se remettre sur pieds pendant qu’il surveillait les répétitions de ses élèves.
Mais comme il tournait en rond sans les trouver, et tentait même sa chance dehors, son espoir se délita, jusqu’à ce qu’il se rappelle d’une chose en se claquant le front. La compétition ! La grande épreuve nationale de gymnastique était demain et elles étaient toutes parties en bus hier soir. Il n’y avait pas cours aujourd’hui !
Brock râla d’embarras et tourna une dernière fois dans le gymnase en tentant quelques appels. Pas de réponse.
Lorsqu’il finit par revenir aux vestiaires, évidemment, la cheerleader en devenir n’avait pas bougé. Il la dévisagea en faisant la grimace, mais il réalisait bien où était son devoir. Revenant vers elle, il se pencha pour l’aider à enlever ses baskets, puis la prit sous les bras et sous les genoux et la souleva du banc comme si elle ne pesait rien.

"Je vais devoir m’occuper de toi. Attention : interdiction que ça sorte d’ici ! C’est notre secret. D’accord, Maddie ?"

Son regard était insistant tandis qu’il l’amenait aux douches. Il ne plaisantait pas : c’était dangereux pour lui comme pour elle. On pourrait ruiner sa vie, mais aussi la persécuter pour ça. Si on apprenait qu’il l’avait aidée à se doucher, les rumeurs salaces circuleraient bien vite.
Évidemment, comme il la reposait doucement, la laissant s’appuyer au mur avant d’hésiter à la déshabiller, il ignorait bien quelles circonstances allaient suivre et comme les rumeurs potentielles se révéleraient fondées –et sans doute bien mièvres–. La petite brune était, quand même, vraiment jolie. On aurait pu la trouver baisable. Et lui ? S’il tombait seulement son t-shirt, impossible qu’elle ait la force de résister aux hormones déjà prêtes à prendre feu.

6
Centre-ville de Seikusu / Re : Démons & Nyoras [Pv. Asmodeus]
« le: vendredi 07 juillet 2023, 05:44:12 »

Trinh "Coralie"

Trinh était dans la merde. Elle s’en rendait bien compte. Et ce n’étaient pas les Nyoras qui l’inquiétaient vraiment, même si elle ignorait de quoi les créatures étaient capables. Jusque là, elles avaient toujours été dorlotées et bien disposées à sa connaissance. La situation actuelle était un peu inédite et elle redoutait ce qu’elle pourrait révéler de leurs capacités. Elles connaissaient Terra et savaient que des succubes indigènes y vivaient, rejets anciens des Enfers. Peut-être qu’elle pourrait leur faire croire ça ? Elle était jeune. Stupide. Inexpérimentée. Elle pourrait jouer là-dessus ? En tout cas, stupide, elle l’était bien ! Dans quel pétrin s’était-elle mise ?
Les Nyoras voulaient une réponse qu’elle ne pouvait pas leur donner. C’était vraiment la merde !

« Je… Je peux pas rendre, non. J’ai essayé de m’arranger avec… enfin… C’est… Haaa… »

Perdue dans son incertitude, Coralie prit sa tête entre ses mains. Une tension montait en elle, rapidement. Une tension croissante et viscérale. Elle sentait qu’Il arrivait. Il avait senti le problème, ou Il se l’était fait souffler, et, maintenant, Il arrivait. Elle était vraiment dans la mouise !

Un crépitement se fit entendre sur un des murs nus de la pièce dans laquelle se trouvaient Aya, Yor et leur mystérieuse captive. D’un coup, un cercle se déploya. Il semblait fait de flammes et de fumées mais il n’émettait ni chaleur ni n’avait d’odeur. Il semblait simplement exsuder d’une aura bien particulière. C’était comme la sensation qu’on aurait eu après avoir mangé trop de gingembre –en plus intense et sans les brûlures d’estomac–.
Puis, du cercle apparurent rapidement deux chiens dogues noirs, visiblement dressés et disciplinés, mais à l’allure redoutable. Au bout de leurs laisses, une main pâle précéda la silhouette longue et fine d’un homme sans âge, aux traits jeunes mais aux cheveux blancs, qui trouva immédiatement Coralie du regard pour la fusiller des yeux, la mâchoire serrée.
Le portail infernal se referma derrière le nouvel arrivant et le silence se fit. Mais l’aura était toujours là, plus prégnante encore. Elle venait de Lui qui, ignorant les Nyoras initialement, laissa ses chiens se poster devant la fautive et grogner avant de s’adresser à elle d’un ton froid et cassant.

« Tu ne pouvais pas juste te comporter décemment. Il fallait que tu mettes tout le monde en danger avec tes… frasques ! »

Les Démons avaient peu de règles, et les règles étaient certes faites pour être enfreintes ; mais causer un risque potentiel pour les siens était un problème qui exigeait une intervention rapide et exemplaire.
S’il n’y avait eu Yor et Aya, l’inconnu aurait déjà lâché ses chiens, mais il les fit attendre, tournant son regard, puis son visage vers elles, ses iris d'un rouge sombre, presque de la couleur du sang, les dévisageant tour à tour.

« Veuillez pardonner mon intrusion, mesdames, mais cette brebis galeuse est à moi. J’en suis responsable et je vous suis donc redevable. » Il lâcha les laisses, mais les chiens ne bougèrent pas un poil. « J’ai cru entendre que vous aviez une victime ? »

7
Prélude / Re : Le bâtard oublié [Meowlidé]
« le: dimanche 25 juin 2023, 13:29:04 »
Déchéance, évolution... Sois pas si dure avec les Anges ! ;D

8
Prélude / Re : Le bâtard oublié [Meowlidé]
« le: samedi 24 juin 2023, 06:56:15 »
Quelqu'un a fait des bêtises ici ! ::)

Le dévisage anxieusement à la recherche d'une éventuelle familiarité.

Hey ! On est là pour faire des bêtises ! Bienvenue ! Et amuse-toi bien surtout ! ;D

9
Centre-ville de Seikusu / Re : Démons & Nyoras [Pv. Asmodeus]
« le: mercredi 14 juin 2023, 06:12:38 »

Trinh "Coralie"


« Merde ! Merde merde merde ! Ah ! Merde ! »

Trinh avait encore abusé. La jeune succube pensait avoir trouvé la planque idéale pour démarrer sa vie de petite démone suceuse de vie sur les chapeaux de roue, tirant une belle quantité d’énergie vitale des nombreuses victimes venant assouvir leurs vices au club des Nyoras. Ces transformistes empaffées n’avaient pas repéré la croqueuse d’âmes derrière les traits doux de Coralie quand elle avait débarqué chez elles.
Coralie avait un sacré succès, en vérité, avec sa beauté plutôt commune, mais son style chic, son physique qui criait avec peine vingt ans et le regard de braise avec lequel elle conduisait les hommes à leurs pires pensées avant même de leur parler. En peu de temps, elle avait vu et pris un paquet de queues et dégusté son lot d’abricots. Elle s’éclatait et se laissait vivre sans peine. Elle perdait de vue l’essentiel, ceci dit : sa couverture et sa sécurité.
Ce n’était pas la première fois qu’elle y allait trop fort, et, cette fois, elle sentait que les Nyoras ne pourraient plus détourner le regard. Elle avait tenté d’appeler un incube avec lequel elle avait eu l’habitude de s’envoyer en l’air pour le fun dans ses jeunes siècles, espérant qu’il pourrait rendre à la cliente un peu de couleurs, mais en vain. Les choses ne fonctionnaient pas comme ça et le Démon lui avait partagé son inquiétude avant de s’éclipser de nouveau –et il ne s’inquiétait pas que pour les Nyoras–.

Coralie avait hésité à sortir de la chambre, craignant l’accueil des matrones des lieux, réfléchissant à ses options. Trop jeune, elle ne pouvait pas se déplacer d’ici aux Enfers. Il lui fallait une conjuration ou un portail et, sans assurance de l’un, elle devait se mettre en quête de l’autre. Il fallait qu’elle parte d’ici.
Sa décision prise, elle était sortie et avait senti les regards braqués sur elle –Yor et Aya, les pires !–. Elle avait tracé jusqu’aux vestiaires et, rendue seule, avait essayé de se transformer pour brouiller les pistes. Mais elle était inexpérimentée et stressée. Elle n’arrivait pas à se changer et, avant même de pouvoir espérer duper les Nyoras en changeant de visage, elle avait été prise.
Rassemblant tout ce qu’elle pouvait de malice et de confiance, Coralie put afficher une expression surprise et confuse à la rude interpellation dont elle faisait l’objet. Elles avaient l’air très, très en colère. Elle marchait sur des œufs et elle en avait conscience, pourtant, la charge d’Aya se heurta à un froncement de sourcils contrarié et à un retroussement de nez fâché.

« Mais ça va pas ?! Vous dites que je porte quoi, au juste ? C’est dégueulasse de m’accuser de ça ! J’ai passé tous vos tests et je suis une de vos meilleures gagneuses ! »

Elle opposait au ton renfrogné des Nyoras le sien, faisant barrage au mur d’accusations. Mais sa résolution était bien plus fragile qu’elle pouvait bien le laisser penser. Les Démons étaient doués pour paraître et faire croire des choses, mais le mensonge était une chose des plus difficiles pour eux, paradoxalement. Encore inexpérimentée, celle-ci ignorait si elle pouvait se sortir de cette galère, et elle esquissa des mimiques qui trahirent malgré elle sa culpabilité.
Son angoisse éclatait comme une balise de détresse –une balise dont on captait déjà le signal en Enfer–.

« Et puis, quoi, euh, hein ? » Elle croisa les bras et s’appuya sur une jambe avec l’air le plus digne qu’elle pouvait encore afficher. « Si c’est comme ça, vous bilez pas, hein, je me barre ! Je vais pas supporter ça quand même ! »

Elle aurait presque pu être convaincante. Si seulement elle n’avait pas été si dubitative de ses propres chances ! Aya et Yor pouvaient clairement voir que quelque chose était louche chez elle et elles avaient de bonnes raisons d’enquêter, ne serait-ce que pour s’assurer que leur cliente malade pouvait être guérie.

10
L'Enfer / Re : Échanges magiques contre ?? - Asmodeus -
« le: samedi 10 juin 2023, 04:13:56 »
La soudaine apparition de Maxine Price aux Enfers n’était pas passée inaperçue. Entre son potentiel magique fort intéressant et son intérêt fort intéressé, elle formait une combinaison d’intérêts bien trop succulente pour être ignorée par les engeances démoniaques.
Fut un temps où des champions des Cercles se seraient présentés pour réclamer la propriété de la sorcière aux yeux d’or, mais les temps avaient changé et un arbitre avait immédiatement été titillé et avait tout stoppé pour se matérialiser près d’elle. Et, comme Maxine découvrait les Enfers, elle vit un petit homme à l’air charmeur, mais guère séduisant, apparaître devant elle dans un nuage explosif de cendres vite éteintes.


« Bienv’nue en Enfeeer ! »

Il y a fort fort longtemps, Farquaad avait été puni pour avoir été une immonde déception. Après avoir bâti un royaume fort fort puissant et visé une union avec une princesse d’un sang ancien et puissant du royaume de Fort-Fort-Lointain, il avait été supplanté et rossé par un troll des marais dégoûtant et désintéressé. Pour avoir été un piètre dirigeant fort peu porté sur la paperasse, il avait été condamné à réglé celle des Enfers.
Paradoxalement, ses vices avaient fait de lui un bon arbitre dans les conflits infernaux…

Aujourd’hui, il se trouvait face à un cas très simple : trancher le sort de Maxine Price. Et, après un coup d’œil sourcilleux à la belle, son regard s’attardant sous sa jupe patineuse et sur le relief de sa poitrine généreuse –dont l’ampleur projetait une ombre sur son visage rendu rougeaud par leur vue–.

« Mwâ, Farquaad, suis chargé de vous guider vers votre destination finale. Puis-je m’enquérir de la raison de votre visite, Mademoiselle… Price ? »

La quête de la sorcière était claire et, une fois le bref énoncé donné, l’arbitre fit des yeux ronds et rougit de plus belle.

« Oui, oui, bien sûr, vous voulez voir Asmodée, Roi de la Luxure, Prince de la Tentation, Surintendant des Enfers et Patron des maisons de jeu. Oui, oui… Évidemment… »

Le petit bonhomme fit la moue et considéra le genre de paiement qu’il pourrait se permettre de réclamer en retour, mais il fut prit d’un frisson soudain tandis qu’un esprit puissant et vicieux pénétrait ses pensées et le dissuadait de la moindre incartade.

« Évidemment ! » finit-il par s’exclamer. « Veuillez ne pas bouger ! »

Avec un sourire contrit, Farquaad vint se placer à côté de la belle jeune femme et attrapa sa jupe. De l’autre main, il claqua des doigts et…
Le Palais Infernal apparut sous leurs yeux –ou plutôt apparurent-ils au pied de l’immense forteresse infernale–. Sept ailes formaient ce vaste bastion du péché et chacune était dédiée à un Cercle. Farquaad les avait téléporté directement face à l’entrée secondaire menant directement au Cercle de la Luxure. L’énorme porte ouverte était la gueule d’une immense sculpture, la gueule grande ouverte d’une succube dont la langue, longue et lascive, formait l’escalier permettant d’y grimper. Des lumières étincelantes, aux tons rouges et roses, et de la fumée en sortaient. Des démons et des êtres aux multiples apparences montaient et descendaient cette langue pour rejoindre où quitter les lieux. Et de la bouche sortait le timbre sourd et entêtant de basses clairement poussées bien au-delà des limites imposées par les agences de santé sur Terre.

« Vous voilà rendue, » annonça Farquaad en tendant la main vers l’entrée. « Vous n’aurez guère de mal à le trouver. Ne m’en voulez pas, mais je ne m’attarde pas. J’ai… de la paperasse qui m’attend… Bonne sauterie ! »

Et le petit homme disparut dans un nuage de braises crépitantes.

La porte donnait sur un long couloir, haut et large. Des colonnes coupaient l’espace et des statues trônaient un peu partout. Leurs positions étaient très suggestives quand elles ne représentaient pas tout bonnement un couple en pleine action –ou un groupe entrelacé–. Entre la fumée et les lumières crues, ombres et volutes rendaient l’identification des autres personnes ou de leurs agissements quasiment impossible. Et même si Maxine avait voulu les identifier, elle pouvait sentir quelque chose la faire chauffer, l’embraser lentement de l’intérieur, une sensation de chaleur envoûtante qui faisait pointer ses seins et gonfler son bouton de chair et se diffusait dans son ventre. Ses pensées se tournaient progressivement vers un seul impératif : arriver au bout du couloir, là d’où originait cette aura vicieuse qui la séduisait.
En arrivant à destination, la lumière des projecteurs venait maintenant de partout et les ombres disparaissaient presque, les silhouettes devenant des contours de couleurs vives animées en stop-motion, qui dansaient, s’enlaçaient et se sautaient dessus au rythme d’une musique électronique lourde, puissante et fantasque. Les odeurs ne faisaient qu’amplifier les effets toujours plus forts de l’aura lubrique qui affectait Maxine, par leurs origines suggestives : parfum, sueur saturée de phéromones, foutre et cyprine. Qui avait déjà été dans un after déluré reconnaissait les signes d’une excitation débridée s’assouvissant sans retenue.
La sorcière, doucement, fendait la foule et les groupes car, au bout de l’énorme salle, au sommet d’un autre escalier se trouvait un trône. Et, sur ce trône, entouré de silhouettes sensuelles et bien affairées, se trouvait un être spécial. Au fond d’elle, Maxine savait qu’elle avait trouvé la Source et l’objet de ses recherches. Adossé nonchalamment sur un trône de métaux précieux et de gemmes matelassé copieusement, jambes écartées, Asmodée poussait un râle de plaisir tandis qu’une succube ravie récoltait dans sa bouche la récompense à son labeur acharné. Elle massa sa hampe de chair raide en suçant son gland jusqu’à ce que la sève se tarisse et que la verge se replie, et elle se releva en s’essuyant le coin des lèvres, souriante, avant de redescendre, croisant le regard de Maxine sans la moindre gène sur son chemin.
Le maître des lieux soupira gaiement en se redressant et en rangeant rapidement son braquemart dans un pantalon qui se referma seul. Il baissa doucement le regard vers la salle et vit Maxine approcher, et il croisa son regard en penchant la tête sur le côté, curieux. La sorcière put sentir quelque chose dans sa tête juste avant que l’Ange Déchu ne sourie malicieusement.

« Salut, Maxine ! » la salua-t-il négligemment, mais amicalement. « Viens donc t’asseoir ! Tu as à me parler, non ? »

Il tapait son genou.

11
Bienvenue à toi !

12
One Shot / Re : Le manoir hanté de Furry Hotaku
« le: samedi 27 mai 2023, 05:29:58 »
La petite maid victorienne fantomatique était peut-être venue d’une époque où les mœurs étaient plus resserrées qu’aujourd’hui, mais elle ne se laissa pas impressionner par le devoir qui lui était donné. Pete fut agréablement surpris de sa réponse, mais aussi du doigté avec lequel elle s’exécuta, et de l’application qu’elle mit à remplir sa mission. Il ne put pas la voir virer pivoine sur le moment, mais il la sentait bouger et voyait bien ses efforts. Il soupira, gémit doucement en raidissant dans sa main, en chauffant à son contact –ou était-ce elle qui se réchauffait ?–.
Lorsqu’elle se déplaça pour trouver un moyen de venir se glisser devant lui, il recula pour s’adosser au fond de la baignoire et la laissa s’installer comme elle pouvait à califourchon sur lui. Maintenant, il pouvait voir les couleurs qu’elle avait gagné et, oui, ses mains étaient presque chaudes maintenant qu’elle touchait sa joue. Il la scrutait avec curiosité quand il fut ramené au moment présent par le baiser, puis par une petite menotte impérieuse posant sa main sur un de ses beaux seins bien pleins. L’Américain ne se fit pas prier et serra sa prise, le malaxa en caressant son aréole et son téton du pouce.
Il gémissait derechef face à son application et à la conquête de ce corps pâle mais délicieux. Elle revint l’embrasser et il la rejoignit cette fois, mais pas seulement. De sa main libre, il attrapa sa taille et l’attira à lui. Il vint la coller à lui mais, surtout, il colla leurs ventres l’un à l’autre, la forçant à abandonner sa masturbation –mais telle n’était plus l’envie du jeune propriétaire–.

"Viens… Viens là… "

Il l’attira encore un peu contre lui. Cette fois, il la tirait vers le bas, vers l’épieu de chair brûlant qu’elle avait si bien dressé à ses ordres et qui se pressait maintenant contre ses lèvres intimes, les écarta. Son gland n’eut aucun mal à trouver son chemin et à entrer en elle, ouvrant l’entrée de son vagin et s’y glissant, bientôt suivi par le manche comme Pete continuait d’attirer la défunte Anglaise à lui en gémissant, sifflant son plaisir et son envie en se serrant contre elle, en la serrant contre lui, et en dédiant ses deux mains à la tirer à lui et à la faire descendre le long de chaque centimètre de son chibre raide et palpitant.
Elle était brûlante, elle aussi.

"Allez, lâche-toi, je le sens bien que t’adores ça bébé !"

13
Les contrées du Chaos / Re : La menace inconnue | Neyla
« le: samedi 27 mai 2023, 05:16:18 »
La princesse ne lutta pas : elle était complètement défaite par l’excitation dans laquelle elle baignait, et elle se jeta même sur lui avec envie, leurs corps se trouvant dans un saut avide et son bas-ventre plaquant sa verge palpitante contre le sien. Elle chercha à le déshabiller totalement et s’il aurait pu s’en débarrasser d’un clin d’œil, il la laissa faire, la retenant, se contentant d’altérer le vêtement pour qu’il soit plus simple à retirer. Certes chaste, elle n’eut aucun mal à réaliser son désir et à se retrouver nue contre le corps tout aussi dénudé de son nouvel époux, cette ordure surnaturelle qui venait de se l’approprier par malice et par duperie. Mais qu’elle aimait ça ! Elle en témoignait sur le bois massif de la grande table royale, incapable de toute retenue même malgré la présence de ses parents. Et Asmodée sentait que sa sensibilité magique ne la rendait pas plus résistante à son influence –bien au contraire, le contact semblait produire un effet décuplé–.
C’était parfait.
Glissant ses mains le long des cuisses de la belle, il alla jusqu’à ses fesses et les agrippa en la remontant sur lui, son sexe retombant et se faufilant sous elle, venant se frotter au gré des mouvements de son bassin à sa vulve et entre ses lèvres intimes, recueillant sa cyprine et s’en enduisant en produisant des sons humides à chaque frottis.

« Tu le sens ? » lui murmura-t-il. « Ce désir brûlant en toi, mais pas seulement. Tous ces types guindés et obséquieux autour de cette table, on leur fait envie. Tu le sens, n’est-ce pas ? »

Il posa son front sur le sien et croisa son regard avec un sourire narquois s’ouvrant dans un ricanement.

« Viens, ma femme ! Donnons-leur ce qu’ils veulent voir. »

Tout en prononçant ces mots, il l’avait doucement relâchée et l’avait laissée redescendre contre lui, sa queue, dressée comme un épieu sous elle, l’ouvrant et la pénétrant sans la moindre résistance. Il se plongea dans son écrin chaud en continuant de ricaner et la serra contre lui lorsqu’elle fut arrivée à sa garde, retenue par son aine dure sur laquelle il commença à la faire claquer, donnant des coups de reins pour la faire sautiller le long du manche trempé par son plaisir avant de la laisser retomber sans retenue contre lui. Et sa verge s’adapta à son anatomie, l’emplissant totalement et épousant son vagin pour produire les effets les plus forts possibles, en plus de l’infusion de désir et d’excitation permanente que son contact et le présperme corrompu coulant en elle désormais produisait déjà.
Il amplifia ses mouvements, les accéléra. Il la fit bientôt sauter sur lui dans des claquements de chairs mouillées et le bruit des gémissements, des cris de plaisir de la princesse héritière d’Ariath, réduite à l’état de chienne en chaleur. Autour de la table, les hommes ne rataient pas une miette et étaient frappés par chaque ondine échappant de l’union impie se déroulant sous leurs yeux. Leur propre désir augmentait en permanence. Certains ne pouvaient plus se retenir et glissaient les mains dans leurs pantalons pour caresser des verges raides et humides de présperme.
A ce stade, Asmodée s’arrêta, serra la princesse contre lui et retrouva son front. Il la laissa reprendre un peu son souffle.

« C’est génial, n’est-ce pas ? C’est le genre d’exultation qu’on fête, et qui dit fête dit partage, pas vrai ? »

Il eut un sourire malicieux et reposa Neyla au sol, caressant sa joue avant de claquer une de ses fesses et de lui attraper l’épaule pour la retourner, lui faisant faire face à l’assemblée qui s’était déjà levée de ses sièges.

« Messires, » clama-t-il, « avancez donc ! La princesse-héritière d’Ariath tient à tous vous remercier pour vos bons services et votre présence en ce jour ! »

Il pouvait sentir le roi et la reine derrière eux, outragés mais tiraillés entre leur effroi et leurs propres désirs. A défaut de pouvoir se résoudre à désirer leur fille, ils avaient bien de la peine à se retenir de se jeter l’un sur l’autre, là, sur le trône sacré d’Ariath tout juste reconquis.
Qu’ils regardent s’ils préféraient ! Le Déchu posa une main sur sa hanche et poussa derrière sa tête de l’autre, la faisant se pencher en avant. Il faufila son gland entre ses lèvres trempées et refit son chemin en elle, la pénétrant sans cérémonie ni retenue, claquant ses fesses de son aine et son bouton d’amour des bourses se balançant.
Les membres du conseil royal avaient commencé à grimper sur la table, débarrassés de leurs pantalons, verges apprêtées, incertains mais poussés par un besoin inextinguible de satisfaire ce désir coupable les taraudant. Asmodée attrapa les longs cheveux noirs, les enroula autour de son poignet, tira sa tête en arrière tout en recommençant à la baiser en claquant sa croupe avec appétit.

« Ouvre ta bouche, ma princesse ! »

Le premier arrivait déjà et il glissa sa queue entre les lèvres à peine entrouvertes et entre les dents blanches pour commencer à la baiser à son tour par ce côté, toute hésitation s’envolant pour céder la place à un enthousiasme extatique à maltraiter ce minois si joli et si secrètement désiré.

14
Le Palais Infernal / Re : Le casse impossible | Feyre
« le: samedi 27 mai 2023, 04:42:32 »
La Suédoise réagissait merveilleusement bien à ses intentions et à l’aura baignant les lieux, et Asmodée se sentait attiré par les vagues de désir échappant de l’Humaine, poussé par les forces de la Luxure à la satisfaire et à la marquer de son passage. Mais il avait quelques questions avant, et il écouta sa réponse avec attention.
Ce commanditaire savait pour l’origine de la rose, mais elle n’en savait pas plus. Ce Machiro en saurait peut-être plus. Machiro –il fallait éviter qu’il se fasse trucider, si ce n’était pas déjà le cas–. Le Déchu envoya une commande en se concentrant une seconde et un Démon proche arrêta ce qu’il faisait, dans un couloir adjacent, pour se mettre à la recherche du voleur susnommé.
Et sur ces mots, Feyre venait de perdre tout intérêt stratégique. Si elle n’en savait pas plus, son interrogatoire n’était plus nécessaire et son utilité se limitait à ce qu’elle pouvait encore offrir. Parce qu’elle avait collaboré, même à son insu, Asmodée était prêt à envisager de la laisser partir. Mais il y avait ces pulsions insatisfaites à considérer, auparavant. Il travaillait l’Humaine depuis qu’elle avait commencé à le suivre et encore plus depuis qu’ils s’étaient installés là, mais elle se montrait encore méfiante et incertaine. C’était compréhensible, et il allait travailler sur ce détail.
Ça ne serait pas bien compliqué, après tout.

« Je vois. Ne t’inquiètes pas, ce n’est plus ton problème maintenant, » lui assura-t-il pour la rassurer.

Dans l’état dans lequel elle était, lui donner un droit de retrait suffirait probablement à lui faire lâcher cette affaire de rose. Et pour ce qui était de son inquiétude…

« Tu préférerais sortir ? » lui demanda-t-il avec un sourire amusé. « Pas d’inquiétude : nous serons tranquilles, ici. C’est un lieu reculé et jamais utilisé. »

C’était évidemment faux. Ils étaient au calme parce qu’ainsi le voulait-il. Personne n’entrerait à moins qu’il le décide. Il les avait bien installés en retrait pour renforcer la crédibilité de leur jeu de cache-cache aux yeux de la Suédoise, mais, pour le reste, tout le monde au palais pouvait savoir qu’ils étaient là. En ce moment-même, elle brillait comme un phare, son excitation la rendant identifiable comme une balise.
Mais Asmodée voulait se la garder, au moins pour le moment. Il la trouvait jolie, sa voleuse impromptue, et il posa sa flûte de champagne avant de se rapprocher d’elle, venant s’installer tout près et se tourner dans sa direction, descendant vers elle, se pressant contre elle, conduisant une main large, ferme et confiante sur son ventre et glisser sur sa taille et son flanc tandis que son visage plongeait dans son cou et que ses lèvres embrassaient sa peau brûlante.

« Je te sens tendue. Laisse-toi aller, ça te fera du bien ! »

15
Prélude / Re : La survivante à la dérive [Meowlidée]
« le: mercredi 17 mai 2023, 00:49:15 »
Bienvenue fugitive, miss-en-exil ! :D
On te souhaite de chouettes aventures par minous !

Pages: [1] 2 3 ... 16