Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: jeudi 14 mars 2024, 12:47:24 »- Merci maître. Je suis "votre" petite putain.
Mais bientôt le sourire s'estompe de son visage en entendant les instructions de l'homme. Aussi plaisant soit-il de faire plaisir à un homme qui sait apprécier les efforts qu'elle fait, le fait qu'il lui demande de frôler l'asphyxie pour son bon plaisir ne provoque qu'un enthousiasme mitigé de sa part. Imaginer qu'elle puisse se concentrer sur son plaisir tout en ayant la gorge prise d'assaut lui parait bien difficile.
Mais elle n'a pas le choix. Elle répond donc.
- Je ferai comme vous commandez, maître ...
Du bout des doigts, elle essuie la salive qui coule le long de son menton et descend la main jusqu'à rejoindre sa fente qu'elle lubrifie ainsi. Elle se penche en avant de nouveau, reprend sa position pour happer de nouveau le membre dressé de son maître et reprendre l'oeuvre qu'elle avait entamée. Et alors qu'elle reprend ses va et viens, lèvres fermées autour du chibre, elle ferme les yeux. Aiguillée par l'impératif qu'elle a de provoquer son plaisir, la jeune femme invoque dans sa mémoire les images et les souvenirs les plus pervers dont elle est capable.
Elle se revoit agenouillée dans le presbytère, jeune fidèle fervente, en train de recevoir les enseignements de la part de l'homme de foi, le bon père Yves. Elle se revoit prise entre deux bardes après une représentation dans la taverne, utilisée avec rudesse par les deux hommes trop heureux de pouvoir profiter de la naïve admiration qu'elle ressentait pour eux. Elle se souvient des soldats orcs qui un jour ont visité leur village, de leurs membres énormes et de leur endurance phénoménale. Elle se souvient des mystérieux étrangers à qui elle a parfois fait les honneurs de la couche ainsi que de la bête dans les bois à qui elle s'est un jour offerte pour invoquer sa protection sur le village ... Toute une vie de débauche et de perversions cumulées qui provoquent en elle des frissons sur lesquels elle se laisse porter, alors qu'elle caresse avec une frénésie croissante le bouton de plaisir qui se cache au détour de son intimité. Elle tremble, gémit alors qu'elle se caresse, semble progresser sur la voie de son plaisir ... mais hélas la qualité son œuvre envers son maître s'en ressent.
Effrayée qu'elle est à l'idée de désobéir, la voilà qui néglige sa tâche et doit à plusieurs reprises être rappelée à l'ordre par l'homme. Elle suce, fait de son mieux, suffoque même parfois, essaye de se corriger quand elle se fait réprimander ... mais il faut se rendre à l'évidence, la capacité de Marguerite à exceller en même temps dans les deux choses qu'on lui demande connait rapidement ses limites.