Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Marguerite Clairbois

Pages: 1 [2] 3 4 ... 9
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Place publique / Re : Bouc émissaire
« le: jeudi 21 mars 2024, 18:45:35 »
Evidemment ... Marguerite aurait pu se douter que les choses finiraient ainsi. Le luron s'échauffe tant que bientôt le voilà de nouveau dressé et très demandeur de poursuivre ses découvertes. Marguerite tente bien de l'ignorer, de le repousser lentement du coude, de faire mine de dormir. Dans son état d'épuisement elle pourrait presque y arriver.

Presque ...

C'est là toute la différence. La jeune femme soupire, tourne vers son invité un regard à la fois épuisé et suppliant. Elle même, en dépit de tous les attouchements et tentatives de rapprochement engagée par le mâle, elle ne semble pas une seconde émoustillée. Elle est tout simplement trop fatiguée pour ça. A moins que de par son attitude puérile, son instinct féminin ne considère pas l'intrus comme un "homme". Ni l'esprit ni le corps ne semblent vouloir qu'il y ait relation plus poussée.

- Vous m'laiss'rez donc pas en paix ? Vous n'pouvez point vous palucher vous même comme j'vous l'ai appris ... ?

Elle se roule en boule, ramenant ses jambes contre elle tout en maintenant serré le gros édredon qu'elle étreint. Elle menace d'une voix ensommeillée.

- J'vous lancerai un sortilège si vous n'me laissez pas dormir ...

Elle manque cruellement de conviction, elle doit le sentir. C'est pourquoi elle rajoute la menace la plus terrible qui lui vient en tête.

- Vos couilles gonfleront tant qu'elles éclateront comme des vessies de porc trop gonflées ... et les rats viendront s'en repaître. 



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Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: jeudi 21 mars 2024, 18:33:08 »
Marguerite avait oeuvré avec diligence et sans oser protester. Elle avait docilement répété, de peur de s'attirer de nouveau les foudres de l'homme qui la posssède.

- J'ferai tout c'que vous m'direz, maître.


Elle avait donc branlé avec désespoir et énergie cette verge prise dans l'étau de ses chairs. Tant et tant que le moment attendu finit par arriver. Après quelques contractions annonciatrices, l'homme se détache d'elle soudain. Marguerite s'était attendue à ce qu'il choisisse de se soulager sur son corps ou dans sa bouche. Elle s'était apprêtée à ouvrir la bouche, serrer ses seins. Mais à son plus grand dépit, c'est vers le sol qu'il dirige son membre et qu'en quelques giclées, il se vide en direction de l'écuelle au sol. Elle peine à masquer la grimace de dépit qui plisse ses lèvres à ce moment là. Elle lève un regard incrédule vers son maître avant de baisser les yeux après avoir brièvement croisé le sien et écouté ses consignes.

- Oui maître ...

Souffle t'elle, comprenant ce qu'il lui demande implicitement. Celle qui était agenouillée s'approche ainsi à quatre pattes de l'écuelle avec une lenteur calculée. Pensant deviner les intentions de l'homme et son désir de profiter d'un spectacle, elle fait le tour de l'écuelle de manière à lui faire face. Il ne peut ainsi manquer la manière dont elle se penche en avant et vient recueillir du bout de la langue la semence dispersées. Le goût salé du fluide masculin ne la surprend pas, pas plus qu'elle ne la dégoute réellement ... Sa seule contrariété est qu'il ait jugé nécessaire de la rabaisser ainsi car, de son humble avis, ses seins auraient fait un bien meilleur écrin pour recevoir la blanche manne.

De plusieurs coups de langues, elle nettoie le bord de l'écuelle, ne manquant pas d'occasionnellement relever le regard vers lui, jaugeant d'un oeil incertain la réaction qu'il pourra avoir. Ce n'est qu'une fois le récipient de métal vaguement nettoyé du fluide blanchâtre qu'elle se penche ensuite sur le parquet et donne des coups de langues plus longs, plus appuyés. Mais l'exercice est plus difficile qu'on peut l'imaginer. La surface est plane, lisse. Il est difficile de laper correctement ce qu'il lui demande de nettoyer. Contrainte d'innover pour tenter de trouver des solutions, la jeune paysanne finit par coller ses lèvres sur le bois verni, elle finit par coller ses lèvres à même le bois vernis et à procéder par aspiration. Une technique plus efficace semble t'il car elle finit par s'immobiliser, agenouillée devant lui et la tête basse.

- J'ai terminé, maître

Dit elle d'une voix légèrement tremblante. Elle a le secret espoir que l'homme, à présent vidé et lassé de son jeu, ne se lasse de la tourmenter et la laisserait enfin un petit peu en paix. Le temps au moins qu'elle puisse prendre la mesure de la triste condition dans laquelle elle est tombée.
 

18
Prélude / Re : Femme au foyer Lubrique - TENSHI KAZAMA - (100%)
« le: jeudi 21 mars 2024, 15:03:51 »
Bienvenue à toi !

La fiche est vraiment belle, oui  ;D

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- J'connais du monde dans la région !

Se défend la jeune paysanne, presque offensée qu'on lui pose cette question.

- Les gens pens'raient quoi ? Ils diraient bien des choses !

Bien des choses vraies, sans doutes. C'est bien là le problème. Marguerite a déjà une petite réputation dans le coin qui est loin, trèèèès loin d'être immaculée. Se faire surprendre par un chalant du coin en pleine nature, à quatre pattes en train d'être culbutée par une femme qui n'en est pas totalement une, ca risquerait d'empirer encore les choses pour elle.

Ainsi, il n'y a pas besoin de lui dire à deux fois quand sa sauveuse agréé à son idée.

-Super, vous l'regretterez pas !

Claironne t'elle, tout en déposer un rapide baiser sur les lèvres de la femme et en s'éloignant par petits bas bondissants en direction des bois.

Il n'y a objectivement pas très loin à aller. Rapidement, la densité des fougères et la pénombre du sous bois jouent leur rôle. Le sol, en pente légèrement douce, est couverte d'un doux humus et de pierres rondes et moussues. Les arbres à l'écorce veloutée forment un rideau naturel qui leur promet une grande tranquillité.

Au milieu de tous ces décors, Marguerite n'a donc que l'embarras du choix. Elle jette sa robe de côté, se retrouvant sans honte dans le plus simple appareil. Elle trépigne d'impatience en attendant que sa sauveuse, nue également, la rejoigne. La vue de son amante provoque chez elle un sourire d'envie, son regard ne pouvait s'empêcher de rester fixé sur la virilitée raidie qui darde dans sa direction.

- C'est une chance incroyable qu'vous ayez ça ... Jamais d'ma vie j'en ai vu d'telle !


Une chance incroyable pour qui ? Pour Marguerite c'est certain. Et pour sa sauveuse sûrement aussi ! Sans davantage de préambules Marguerite se positionne. Elle se met à quatre pattes, genoux et mains posées sur une pierre moussue et ronde, croupe tournée en direction de la presque-inconnue. Lui montrer sans un mot lui avait t'elle demandé et c'est ainsi qu'elle s'exécute. L'invitation ne saurait être plus claire !

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Dans la salle commune du Dragon Saoul, les dizaines de jeunes filles (et peut être quelques messieurs ?) yeux brillants d'admiration et esprits en ébullition, sont loin de se douter de ce qui se trame dans la loge des Astral Boys en ce moment même. Tous s'imaginaient probablement que les deux artistes sont en train de débattre de l'univers, de composer des ballades romantiques ou peut-être même de méditer sur les mystères de la création artistique. Dans certain sens c'est peut être ce qu'ils font. A leur manière. Alors qu'ils culbutent sans vergogne l'accorte servante venue s'assurer que tous leurs besoins seraient comblés.

Allongée sur leur lit alors que tous deux prennent grand soin de s'occuper de son cas, Marguerite se dit en cet instant qu'elle est probablement la fille la plus chanceuse de cette fille, si ce n'est de tout le pays. Ainsi, jambes écartées sans pudeur, laisse t'elle Yokai se redresser et s'allonger au dessus d'elle. Le changement de position la pousse à sortir (avec regret) la virilité de Han de sa bouche et à continuer de doucement le satisfaire avec sa main pendant que de son côté Yokai positionne son membre raidi à l'entrée de son intimidé et de l'y pousser d'un coup de rein sec et décidé. Sans surprise, il ne rencontre aucune résistance. Les douces faveurs dont il avait comblé la servante l'avaient plus que préparée à cette entrée. La jeune femme avait soupiré d'aise avant d'accompagner les va et viens experts de l'homme de mouvements du bassin, trouvant sans peine un rythme apte à accompagner l'union charnelle.

- Oui ! Oui, encore, plus vite ! Plus fort !

Les lèvres de Marguerite rencontrent celles de Yokai et ils échangent un baiser profond et passionné, interrompus seulement par les gémissements poussés par la belle et par les goulées d'air saccadées qu'elle doit prendre entre deux cris.

Han assiste à la scène, son membre colossal branlé avec expertise par la jeune femme. Peut-être se réjouit t'il de voir son ami lui préparer le terrain et profiter ainsi de la belle, mais est il du genre à se contenter d'un rôle de spectateur ? Il va falloir que d'une manière ou d'une autre, Yokai libère un peu de place et partage un petit peu la demoiselle qui semble vouloir s'offrir sans distinction à l'un comme à l'autre !

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Place publique / Re : Bouc émissaire
« le: mardi 19 mars 2024, 18:58:13 »

Marguerite assiste aux supplications, argumentations et insistances de l'homme avec un sourire doux. Ca ne fait naturellement pas flancher sa résolution mais elle comprend pourquoi l'homme semble si malheureux. Et elle compatit.

- Si v'voulez profitez d'tout ça chaque jour, vous aurez qu'à vous trouver une gentille fille ...

Une très patiente surtout.

- ... une dans l'village d'qui vous aurez pas mis le bazar et envers qui vous vous s'rez pas montré trop déplaisant. En faisant un peu d'effort vous y arriverez.


C'est un doux mensonge ... en l'état, personne ne voudrait d'un tel énergumène, certainement pas s'il est recherché et sans le sous. Mais l'espoir fait vivre et qui sait, peut être qu'en cherchant à s'améliorer l'homme parviendrait à réaliser l'impossible ... ?

Son dernier mot est ainsi qu'ils doivent aller se coucher. Marguerite peut aisément justifier cela.

- J'suis épuisée. J'ai marché d'main, j'dois réellement prend' un peu d'repos ...

Et tant pis pour le bazar laissé dans sa chaumière. Bassine, vêtements mouillés, choses dérangées. Elle ne range que le minimum de choses avant de se glisser dans sa paillasse qui est suffisamment grande pour deux. Elle reste nue, comme promis et ne semble même pas surprise qu'il vienne se coller à elle et la palpe sans vergogne. La vérité c'est qu'elle est tellement fatiguée qu'elle doute même que se faire peloter l'empêcherait dormir. Dos tourné à lui, elle le laisse passer un bras autour de sa taille et lui agripper un sein.

- Soyez sage ... essayez d'dormir un peu.

Tente t'elle de plaider, alors qu'elle saisit la main de l'homme et la laisse pressée contre son sein, une manière de lui dire "vous pouvez la laisser là mais arrêtez donc de bouger". Elle tente de fermer les yeux, tête posée sur l'oreiller bourré de plumes et essaye de trouver le sommeil, assomée par une journée à la fois longue et harassante. Mais est-ce que l'énergumène derrière elle sera à même de la laisser tranquille ? Elle avait espéré l'avoir suffisament fatigué tantôt, pourtant ! Les hommes tombent comme des mouches une fois "l'oeuvre" accomplie d'habitude ...

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Les mains de Marguerite se faufilent à travers le tissu jusqu'à se poser sur la belle peau ambrée de l'homme qu'elle se met à caresser avec douceur. Il faut encore un peu de patience, de baisers et de touchers délicats pour que les deux tourtereaux finissent à égalité, allongés dans les bras l'un de l'autre et dénudés jusqu'à la ceinture. Marguerite avait supplié Daraen de rester, emportée par la passion du moment et sans en imaginer les conséquences une seule seconde. Lui avait mis un peu plus de temps à réfléchir avant de l'inciter à rester. Est-ce qu'il s'agit d'une décision raisonnable ? Certainement pas. Qu'en restera t'il dans une heure lorsque les flammes de la passion auront consumé leur ardeur et laissé des braises fumantes ... ? Nul ne peut le dire.

Mais sur le moment, cette promesse est un souffle d'air qui attise une flamme déjà bien vive.

Electrisée par ces mots autant que par le traitement particulier que  Daraen a apporté à un endroit très sensible chez elle, Marguerite saisit le beau visage de son amant et presse ses lèvres aux siennes, partageant avec lui un baiser profond et passionné. Elle frisonne, se tortille sous lui, mue par l'irrépressible besoin de goûter à l'envie qui les dévore tous deux. Leurs lèvres se séparent. Elle tombe allongée sur le dos et ne peut empêcher ses mains de suivre le sentier tracé par le ventre plat de l'homme jusqu'à arriver à son entrejambe qu'elle se met à caresser avec l'espoir de pouvoir y sentir toute la vigueur qu'elle lui inspire.

- J'ai tellement envie de vous.

Elle s'échauffe vite et bientôt la douceur infinie de Daraen semble ne plus lui suffire. Cuisses ouvertes, jambes prêtes à se refermer autour des hanches de son partenaire, Marguerite se cambre. Sa posture est idéale pour qu'il puisse admirer ou toucher la généreuse courbure de sa poitrine. Marguerite en a conscience et en joue. Elle remonte ses mains jusqu'à sa poitrine et presse ses seins l'un contre l'autre alors qu'elle lève vers lui un regard de pure provocation.

Si ses yeux pouvaient parler ils diraient "qu'allez vous me faire ?" , comme s'ils mettaient au défi le doux amant de lâcher bride à ses envies les plus immédiates..

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Place publique / Re : Bouc émissaire
« le: dimanche 17 mars 2024, 11:24:39 »

Le moment attendu arrive. Marguerite ralentit le rythme de ses va et viens, accompagnant l'extase de l'homme sans chercher à la brusquer ni à violenter le membre qui, elle le sait, deviendra sensible à l'excès une fois la vague du plaisir passée. La chaude semence lui éclabousse le ventre et coule en longues trainées blanches qui, pour certaines, se perdent dans la délicate toison pubienne qui surplombe sa propre intimité. La pression avait été telle que les giclées les plus puissantes avaient même su frôler sa poitrine, un exploit qu'elle salue d'un rire léger, loin d'être moqueur.

- Mon pauvre, vous aviez l'air tell'ment sous pression ... je n'ose imaginer d'puis combien d'temps qu'vous en aviez b'soin.

Loin d'être incommodée par le liquide blanchâtre qui la macule, elle se saisit d'un linge humide d'avoir été utilisé pour le bain et entreprend de se frotter avec en toute simplicité.

C'était sans compter sur l'élan soudain d'Eugene qui se jette presque littéralement à ses pieds pour la supplier de le garder avec elle. La surprise la déstabilise un bref moment mais elle finit par avoir un rire indulgent alors qu'elle baisse le regard vers l'homme à ses pieds. Le geste est touchant, mais hélas il ignore que ce n'est pas le premier à tenter cette manœuvre pour obtenir les faveurs définitives de la belle. Nombre de jeunes hommes l'ont demandée en mariage, immédiatement après avoir bénéficié de ses faveurs. Marguerite, amoureuse de sa liberté malgré les moults désagréments que ca peut lui causer, les a toujours éconduits. Vous comprendrez vite pourquoi, dans la balance, la demande du brave Eugene ne pèse pas bien lourd.

Ferme mais point cruelle, Marguerite sourit avec douceur à l'homme,, elle vient gentiment déposer un baiser sur sa joue avant de lui tenir le visage entre les mains et lui expliquer.

- Vous partirez demain matin ...

Elle se rend compte à ce moment qu'elle ne connait même pas son prénom. Elle est incapable de finir sa phrase autrement que par

- ... monsieur.

Elle poursuit.

- Vous êtes en danger de mort dans ce village. Vous partirez demain matin caché dans ma charrette.

Evidemment la déception doit être grande pour le pauvre homme. Elle la jeune femme qui (en dépit de ce que vous pouvez penser) a un coeur d'or. Aussi décide t'elle d'offrir un tout petit lot de consolation en proposant.

- Nous allons dormir. Si vous le désirez, je vous fait une place à côté de moi ... Pour vous, je n'me rhabillerai pas. 

Dormir à côté d'une femme nue, ce n'est pas l'assurance d'une nuit très paisible mais au moins s'agira t'il sûrement d'une nuit mémorable pour lui.



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Les contrées du Chaos / Re : Voyage imprévu [Marguerite, Shamir & Daraen]
« le: dimanche 17 mars 2024, 11:06:55 »
La mention de la volonté de Marguerite de recevoir une fessée aura fait glousser cette dernière. Sans chercher à ni confirmer, ni infirmer l'affirmation, elle se sera contentée de lui jetter un coup d'oeil espiègle sans mot dire. En déduise ce qu'il voudra ! Peut-être aura t'il l'occasion de s'en rappeler ...

Car après cela, la scène avait continué jusqu'au point que vous connaissez. Deux corps, enlacés dans la pénombre et l'intimité d'une chambre de conte de fée. Marguerite pressant son corps avide contre celui de Daraen et l'appelant de tous ses voeux à ne pas s'arrêter à un simple baiser.

L'histoire aurait été bien triste s'il avait choisi un honnête et chaste retrait, estimant (avec raison) que son devoir de majordome avait été plus que rempli. Mais par bonheur, le digne et beau Daraen ne fait l'affront de pousser le professionnalisme jusqu'à son paroxysme. Aussi attiré par la jeune femme qu'elle peut l'être par la lui, il fait preuve d'audace et de folie. Il l'enlace. L'embrasse. Ose toucher son corps qu'elle est prête à lui offrir sans pudeur ni hésitation.

Il ne faut pas longtemps pour que la main de Daraen prenne celle de la jeune femme et l'entraine avec douceur vers le si beau lit qui occupe le centre de la pièce.  A peine sont ils assis côte à côte que leurs lèvres se trouvent de nouveau et se joignent en un baiser empreint de fougue. Yeux fermés, Marguerite s'abandonne à ce contact. Tremblant presque à chaque caresse, elle presse son corps contre le Gérant et laisse échapper des soupirs d'envie entre leurs lèvres mêlées. Le contact est bref, presque sauvage car bien vite les baisers de Daraen descendent. De la pointe du menton jusqu'au col entrouvert de la jeune femme, il n'y a qu'un tout petit espace que Daraen comble le temps d'un baiser. Lorsque Daraen loge son visage dans le creux de son cou, Marguerite retient difficilement un frisson de plaisir. Sa main délicate vient caresser les cheveux de l'homme qui l'embrasse. L'odeur qui émane de lui, aux notes ambrées et exotiques, lui font littéralement tourner la tête.
Les baisers autour de son cou continuent de la faire frissonner et c'est assez naturellement qu'elle fini par tourner son visage, offrant le lobe de son oreille en pature à l'homme. Un endroit qui, il le découvrira vite, aura des effets qu'on jurera être magique sur la jeune femme.

- Oh oui Daraen.

Soupire t'elle d'une voix transportée. Les mains de l'homme s'aventurent. Elles partent à l'assaut du corps gracile de la jeune femme et se faufilent sous les étoffes exquises. La jeune femme accompagne le mouvement, caressant de sa main libre le bras et le torse de l'homme. Elle l'assiste parfois en écartant du chemin un pan de tissu pour l'aider à révéler ses courbes charmantes.

Dans cet instant de pure intimité, elle se sent plus vivante que jamais, prête à se laisser emporter par les flots tumultueux du désir. Avec une voix à peine audible, elle murmure.

- Daraen... je... j'ne veux plus jamais partir d'ici.

Un souhait évidement idiot, égoïste. Le genre de chose qu'on profère sur l'émotion du moment, sans y réfléchir. Pour des tas de raisons les deux savent que ce n'est pas une bonne idée. Mais dans la passion du moment, alors que les corps et les âmes se mettent à nu, la raison est souvent laissée au vestiaire. Estimant peut être que se retrouver être la seule dénudée ainsi, la jeune femme commence à promener sa main sur le torse de l'homme. Elle cherche à tâtons, avec douceur, à ouvrir les boutons et ouvertures qu'elle parviendra à trouver. Elle voudrait, non pas arracher sauvagement les vêtements, mais insérer sa main et elle aussi pouvoir entrer avec la peau ambrée de son amant qu'elle rêve de pouvoir caresser et goûter à son tour.

Lentement, elle se laisse basculer sur le dos, entrainant avec elle l'amant attentionné.

25
Place publique / Re : Bouc émissaire
« le: samedi 16 mars 2024, 23:07:44 »

Un sourire de gentille ironie ourle les lèvres de la paysanne alors qu'elle receuille au creux de l'oreille la confession de l'homme en pleine extase.

-J'avais pas voulu vous contrarier vous savez.

Elle n'en croit pas un mot. Elle sait que les hommes sont capables de dire absolument tout et n'importe quoi quand ils sont dans cette condition. C'est la preuve (s'il en avait encore besoin) que dans le secret de chaque foyer, ce sont les femmes qui tirent les ficelles dans le dos de leurs hommes. C'est ainsi d'un ton à la fois sceptique et amusée qu'elle répond du bout des lèvres.

- C'est cela oui.

Elle n'en intensifie que davantage ses caresses. Elle avait maintenant saisi la hampe dressée et appliquée sur elle un ample et régulier mouvement de va et vien, le laissant profiter à volonté de la chaleur du corps qu'elle écrase contre le sien. Une deuxième main vient en douceur se glisser en coupe sous les bourses à la fois précieuses et délicates. Marguerite les caresse, consciente de leur fragilité et de leur sensibilité.
Les mains d'Eugene parcourent maintenant librement son corps, tâtant la rondeur de ses fesses, se crispant parfois lorsque les caresses de Marguerite se font plus prononcées. L'homme, selon toute logique, ne devrait plus tarder à connaître le paroxysme de cette expérience. Une éventualité à laquelle Marguerite est préparée. Nue, elle estime ne craindre aucune éclaboussure. Rien de ce que pourrait lui faire son visiteur ne demandera plus qu'un coup d'eau pour partir.

Au comble d'un plaisir qu'il semble découvrir pour la première fois, l'homme est aussi bavard qu'à l'accoutumée, bien que cette fois, ses élucubrations fassent sourire voire rire la campagnarde quand celui ci la compare à une sorcière.

- Allons bon ! Si c'est c'la toutes les femmes sont sorcières.

Répond t'elle avec amusement.

- Si cela était maléfique, j'peux vous assurer qu'le bon Père Yves y aurait trouvé à redire depuis longtemps.

Le brave ecclésiaste est probablement l'homme le plus à même d'être juge en la matière ! Elle lui prodigue ce genre de traitement bien régulièrement.

- J'en déduis qu'ca vous plait ... ? Retenez bien ce qu'je vous fait car après c'soir, il faudra qu'vous vous occupez d'ca tout seul.

26
Comme si le geste concluait un pacte entre eux, la main de Yokai se referme sur le cou de Marguerite et y imprime suffisamment de force . Elle sent une forme de chaleur lui monter au visage, causée tant par la stimulation experte de Han sur son intimité dévoilée que par la situation en elle même. Dominée, soumise au désir de ses deux homme, sa mobilité et sa respiration subtilement restreintes par l'infime strangulation dont elle fait l'objet. Elle se mord la lèvre inférieure et laissent s'échapper plusieurs soupirs et gémissements.

- J'aime c'que vous m'faites ...

Dit elle, regardant Yokai droit dans les yeux. La paysanne ne se sent que trop heureuse de s'abandonner ainsi au bon vouloir des deux hommes. Elle éprouve même une forme de reconnaissance qu'ils lui pardonnent sa triste maladresse de tantôt ! Le toucher de Han, plus léger et subtil que sa carrure pourrait laisser paraître de prime abord, se révèle être divin et l'amène bien vite dans un état d'excitation où plus rien d'autre ne compte à ses yeux que ces mains posées sur elles et la présence dominatrice de ces deux hommes décidés à prendre d'elle exactement ce qu'ils désirent.

Ainsi finit elle par être amenée jusqu'au lit, rapidement rejointe par les deux hommes qui se sont allégés de leurs vêtements également. Allongée sur le dos, selon leurs instructions, elle semble surprise quand Yokai se penche vers elle avec l'intention de lui rendre des hommages qu'elle ne pensait pas mériter. Immédiatement, la jeune fille gémit, se tortille et agrippe les draps alors que cuisses ouvertes, la langue experte du démon s'attaquait à son intimité. Elle gémit, soupire, se cabre, ferme un instant les yeux pour gérer l'afflux de plaisir qui monte en elle. Et lorsque soudain Yokai s'interrompt pour livrer une brève instruction à son ami, Marguerite rouvre les yeux et les écarquille en voyant la taille de l'engin dressé juste devant elle. Elle ne peut retenir une exclamation.

- Woaw ! Vous êtes si ...

Elle lève son regard vers le sien et lui dit avec des yeux brillants.

- ... imposant !

Tellement massif qu'il lui tarde de sentir cet épieu de chair en elle. Mais avant cela, elle entendait cette fois donner à Han toutes les raisons de se satisfaire. Elle vient poser une main délicate sur la hampe du membre, à côté de celle de Han et guide sans hésitation son extrémité vers ses lèvres. Elle lèche d'abord le bout du gland à plusieurs reprises, donne plusieurs coups de langues experts sur la tige avant d'ouvrir la bouche et d'accepter en elle le membre si épais. Ce n'est pas une mince affaire que de faire place à un si colossal engin mais elle y arrive avec brio ! Pas une fois ses dents n'effleureront la partie la plus sensible de Han alors qu'elle entame des va et viens avec sa bouche, aidée par sa main mais quelque peu limitée dans l'amplitude des mouvements qu'elle peut avoir dans cette position. Son autre main descend le long de sa poitrine, caresse un court instant ses tétons dressés avant de redescendre jusqu'à son entrejambe où peut être Yokai avait repris ses offices. Elle caresse un court instant son clitoris délicieusement stimulé avant de perdre sa main dans les cheveux du démon où elle s'accrochera, les serrant bien involontairement à chaque sursaut de plaisir qu'il provoquera en elle.

27
Les contrées du Chaos / Re : Un paiement de dette [Pv]
« le: samedi 16 mars 2024, 00:47:48 »
Les réprimandes pleuvent devant l'incapacité de la jeune fille à atteindre le niveau exigé par le maître. Elles la meurtrissent autant que ses menaces proférées et la giffle qu'il lui assène finalement. Larmes aux yeux, elle porte la main à sa joue sans songer un seul instant à se défendre ou à protester.

- Je suis désolée, maître

Plaide t'elle en vain, dans l'espoir d'amadouer le propriétaire mécontent. Le coup qu'elle reçoit sur l'entrejambe la fait glapir et sursauter. Rouge d'humiliation, elle répond quand celui ci la menace de l'offrir à d'autres hommes.

- Je ne veux servir que vous, maître !

Est-ce son plaidoyer qui semble sincère ? Est-ce que ce sont ses larmes ? Le maître finit par lui donner une chance de se rattraper en lui ordonnant d'utiliser sa poitrine pour le faire jouir. Une instruction à laquelle Marguerite se hâte d'obtempérer, presque avec reconnaissance. Elle se jette à genoux devant lui et utilise ses mains pour emprisonner le sexe de sa voluptueuse poitrine. Elle entame avec espoir des mouvement de va et viens, facilités par la salive qui continuait de maculer le membre dressé. Elle y met de l'énergie pour satisfaire l'homme, montant et descendant son buste en rythme grâce à des impulsions données sur ses genoux. Elle s'interrompt parfois, une seconde à peine afin de lubrifier d'une nouvelle dose de salive l'écrin chaleureux dans lequel se trouve le membre raidi.

Elle œuvre tant et tant, avec une frénésie née de la crainte de la punition. Pareil traitement serait considéré comme divin par beaucoup d'hommes, mais suffira t'il à satisfaire son maître si exigeant ... ? Parviendra t'elle à l'amener suffisamment près de l'orgasme pour au moins l'adoucir un peu ?

28

Marguerite avait souri et même ri devant les sous entendus de Daraen après sa question. Elle demande avec air d'adorable candeur.

- J'serai si triste d'vous obliger à me punir, monssieur Daraen.

Elle caresse son bras avec douceur alors qu'ils montent les escaliers.

- Vous avez si bon coeur. J'suis sûre que ca vous ferait plus mal qu'à moi ...

Elle le regarde du coin de l'oeil, une étincelle d'espièglerie au fond du regard. 

- Ai-je tort ? Reveriez vous d'abattre votre main sur mon pauvre corps frêle ... ?

Ils avancent ainsi tous les deux en bavardant et à travers et les escaliers de l'établissement de luxe. Marguerite parait radieuse. Son coeur bat la chamade à l'anticipation de ce qui est sur le point d'arriver. Mais loin de lui faire perdre ses moyens, la situation la rend au contraire ... extatique ! 

Ils atteignent enfin la chambre isolée. Elle répond à la galanterie de Daraen en mimant une délicate révérence.

- Merci mon bon monsieur !

Elle pénètre ainsi dans la pièce dont le luxe, toujours aussi intimidant à ses yeux, est éclipsé par la présence de Daraen qui entre à sa suite. Elle lui fait face alors qu'il referme le verrou. Le moment de vérité approche, elle en a la conviction. Elle en a la conviction.  La pièce est emplie d'une intimité palpable, les murs semblant résonner du désir qui brûle entre eux. Elle lève un regard brillant d'anticipation vers Daraen alors qu'il s'approche d'elle puis se penche en avant avec une lenteur calculée. Une vague de chaleur l'envahit et enflamme son visage alors qu'elle sont son souffle sur elle. Et enfin leurs lèvres se rencontrent dans un baiser doux et passionné. Le contact fait naître un tourbillon d'émotions en elle. Marguerite se laisse emporter par la sensation.

Elle se serre davantage contre lui et entrouvre les lèvres, transformant le chaste contact en un baiser profond et enflammé.

Elle sent la main de Daraen glisser sur son visage et se perd dans cette caresse, tournant son beau visage pour épouser la paume de l'homme qui l'embrasse. Les mains de Marguerite se posent sur la poitrine de Daraen, d'abord timides. Et à mesure que le baiser gagne en intensité et que leurs corps commencent à s'enflammer, ses mains caressent ses flancs, puis remontent jusqu'à son dos où elles pressent avec force les omoplates, incitant l'homme à prendre possession d'elle encore davantage. Lorsqu'ils se séparent enfin, Marguerite lève vers le gérant un regard étincelant où plus aucune trace d'hésitation n'existe. Son visage est rouge, quelques mèches de sa coiffure se sont défaites et tombent devant son visage. Son cœur bat la chamade dans sa poitrine qui se soulève et se rabaisse au rythme d'une respiration qui s'est grandement accélérée.

-Wow...  murmure-t-elle d'une voix à peine audible C'était... incroyable.

Elle se mordille la lèvre inférieure, incapable de masquer le sourire radieux qui illumine son visage. Dans ce moment intime, elle se sent plus courageuse que jamais. Au point d'oser suggérer, d'une voix qui laisse assez peu de doute sur le coeur de ses désirs.

- Et si ... j'avais l'audace d'vous demander plus que ce baiser, maintenant que j'ai commencé à goûter à vous, Daraen ... ?

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Prélude / Re : Manea Haruka
« le: jeudi 14 mars 2024, 17:31:17 »
Rebienvenue :)

J'espère que tu t'amuseras avec ce personnage !

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Derrière les mots empoulés et son expression réservée, Marguerite entends une vérité : Il lui propose de monter dans une chambre ! C'est donc ainsi que les hommes qui ont véritablement du savoir vivre font pour signifier à leurs conquêtes qu'il est temps que les choses se poursuivent plus sérieusement ?

Point de "Je vais te faire grimper au rideau poupée" ni de "ramènes ton petit cul par ici, j'ai un petit cadeau à te donner" dans la bouche du gentilhomme. Il parvient même à échapper même au cliché du "dernier verre" utilisé comme pretexte partout dans ce monde et dans d'autres.

Rayonnante, Marguerite trépigne de joie et se relève d'un petit bond enthousiaste.

- J'vous suivrais où qu'vous decidiez de m'emmener, Daraen !

 Elle s'accroche au bras du gérant qui doit peiner à garder contenance devant les sourires pas si discrets qu'affichent les employées qui "par hasard" assistent de loin à la scène. Ca murmure, ca se pousse du coude mais détourne vite le regard lorsque les yeux du patron passent par hasard sur elles. Malgré son envie de sauter au cou de Daraen, la jeune paysanne se refreine et tient sagement à ses côtés. Elle fait son possible pour ne pas l'embarrasser et est prête désormais à le suivre d'un pas allègre et sautillant.

Mais une idée en amenant une autre, une question vient à l'esprit de Marguerite alors que de loin elle aperçoit Celica en train de pouffer. Un étrange sourire apparait sur le coin de ses lèvres et elle demande à voix basse et avec une candeur feinte.

- Dites moi Daraen ... vous avez menacé Celica d'la punir tout à l'heure ...

Et au vu de l'échange qu'ils avaient eu tous les deux, juste avant, Marguerite imagine sans peine le genre de châtiment corporel dont ils parlaient. Elle marque une courte pause alors que son oeil brille d'une lueur subtilement espiègle.

- Est-ce que c'est quelque chose qu'vous faites souvent ... ?


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