Quel merveilleux voyage que le mien, entre les pulpeuses lèvres de la belle Helen… C’est qu’elle apprenait vite. Très vite. À force d’essai, et surtout d’envie, il ne lui avait pas fallu bien longtemps pour s’y faire et maîtriser la chose, quand il s’agissait d’engloutir dans sa petite bouche ce gland aussi gros qu’un poing. Ses joues s’en déformaient grossièrement, comme le faisait sa gorge, puis elle aspirait… lapait…
En parfaite reine qu’elle était, j’avais eu droit à ma ration quotidienne de fellation ces dernières semaines, le temps qu’elle se… « fasse la main ». Peut-être avions nous passée la barre des trois ou quatre fois par jour, même… J’avais dû lui offrir pas moins d’une cinquantaine d’éjaculations faciales en l’espace de quelques semaines à peine, mais elle n’avait cependant jamais reculé devant l’effort. Bien au contraire.
La belle m’avait compris telle que je croyais la comprendre et avait déjà su trouver en moi mes points sensibles, les meilleures manières de me faire jouir… ou de m’en empêcher, pour que mon extase n’en soit que décuplée…
Et cette pipe en guise de dessert ne dérogeait pas à la règle. Ses mains bougeaient, tout en lenteur, tandis que sa bouche m’aspirait longuement, dans d’indécents et gras bruits de succion. Elle ne me quittait pas des yeux, sachant déjà ô combien le fait de la mater me faire ça me rendait fou… Quelques secondes à peine et je bandais déjà comme un âne à l’idée de retourner cette divine créature sur son propre canapé, quitte à refaire l’intégralité de sa déco au rythme d’ébats effrénés et intenses.
Mais la sonnette retentit, puis l’annonce survint… pour me ravir, comme je n’avais sans doute jamais dû être ravi auparavant, et ce malgré mon évidente surprise.
Ça sonnait encore, mais elle ne bougeait pas, jouant de mon énorme gland en sa bouche brûlante pour me taquiner encore un peu. Elle me léchouillait avec gourmandise pour m’exciter davantage et toujours plus… comme si elle cherchait à me rendre plus dur et gros encore, alors que ma verge se dressait déjà telle une tour énorme… un troisième avant-bras épais et musclé, palpitant sur pas loin de quarante centimètres en tout et pour tout…
Mais, très de taquinerie, la belle finit par se lever, libérant au passage ma grosse queue, qui resta là à reposer en de larges rebonds, telle une canne à pêche prête à ferrer de gros… très gros poissons, formant une belle courbe en arc-de-cercle.
Je n’eus pas à attendre longtemps, heureusement pour moi… dans mon état… Il n’empêche que je me figea presque, me redressant d’un bond dans mon siège. Autant, tout cela était excitant, autant, il y avait de quoi avouer que cette situation m’intimidait un peu. Helen n’avait pas menti, ses deux amies étaient de vraies bombes…
Putain ce qu’elles étaient bonnes !!!
Mes mains se crispèrent, serrant avec force le cuir du canapé, tandis que je les vis s’approcher toutes les deux, toutes sourires tandis qu’un peu honteux, j’avais envie de cacher cette queue énorme sur laquelle elles louchaient sans honte. Leur petit cri de surprise ne dura qu’un bref instant et très vite, je pus sentir leur jugement, comme leur envie dévorante peser sur moi… devenu totalement objet de leurs fantasmes.
« Hummmm… wow. Bonsoir. »
Les premiers mots qui sortirent de la parfaite petite bouche de la plantureuse rouquine me mirent tout de suite l’eau à la bouche tandis que j’hésitais déjà à mater son décolleté si profond et provoquant… Mais à peine eus-je le temps de penser un truc du style « oh mais oui putain… bouffe-moi la bite quand tu veux »… que cette fameuse Roxane s’était empressée de se jeter à côté de moi, s’appuyant sans aucune pudeur tout contre mon corps pour venir attraper ma verge. Son poignet reposant contre mes bourses, sa main ferme et déterminée m’attrapait la base du sexe pour une première palpation en règle. Inutile de croire qu’elle en ferait le tour, même ses deux mains n’y seraient pas arrivées. Et pourtant, elle serrait fort, d’une main experte, tout en cherchant à capter mon regard de ses yeux perçants. À peine rentrée, elle était encore gelée et je ne pus m’empêcher de lâcher un « Oh » de surprise… mais… ce n’était pas si désagréable que ça.
La jolie petite blonde, Lily, vint s’installer sur ma droite avec plus de douceur. Toutefois, sous cette timidité apparente, je devinais bien qu’il devait se cacher autre chose… dans la mesure où cette dernière petite coquine aux seins tout aussi bien mis en valeur dans sa robe échancrée, avait acceptée de se joindre à deux de ses amies pour qu’ensemble, elles se fassent fourrer par la plus grosse bite qu’elles avaient en stock, comme d’autres seraient allées passer un après-midi manucure…
Helen repassant entre mes cuisses, je ne pus contenir un profond soupir de plaisir alors que mes yeux se posaient tout juste sur la petite blonde.
« HaaAAaa… oh. En-chanté… »
Sa main se posant doucement sur ma cuisse, je retins doucement son regard et posa ma propre main sur la sienne. Elle aussi était si froide…
Me tournant encore, j’en vins à revenir admirer ma belle amie baver sur ma queue si fièrement dressée… Sans rien dire, je me mordais très fortement les lèvres en plongeant mon regard dans le sien, comme pour la remercier du fond du coeur pour ce cadeau que je n’étais pas prêt d’oublier…
La main de la jolie rousse, Roxane, se mettant à s’activer très lentement autour de ma grosse queue, je finis par revenir à elle. Constatant qu’elle ne m’avait absolument pas lâché du regard.
Troublante qu’elle était, je ne pus empêcher un nouveau gémissement, alors qu’elle l’empoignant plus fort. Imaginant bien des choses à travers son regard malicieux et pervers, je ne pus que me demander quelles étaient les règles à ce petit jeu qu’Helen orchestrait… Rêvant d’un seul coup d’œil, après une seule caresse, d’envoyer valdinguer les meubles pour attraper la belle Roxane dans un coin, je me demandais bien là où allaient être fixées les limites.
N’était-ce qu’un jeu ? Ou bien allais-je bel et bien pouvoir baiser ces merveilleuses nymphes sous les yeux de celle qui partageait déjà mon lit ? Si c’était le cas, alors il m’apparaissait déjà très clairement que pour rien au monde je ne laisserait filer une telle occasion… je boirai des litres et des litres de café s’il le faut, avalerait même quelques petites pilules pour la toute première fois s’il le fallait, mais… si l’occasion se présentait à moi, je ne m’arrêterai pas avant d’avoir fait déborder ma semence de chaque trou de chacune de ces magnifiques jeunes femmes…
Dévorant Roxane des yeux, je me laissais porter par sa poigne glaciale et ferme avant de fermer complètement les yeux, sentant la langue aventureuse d’Helen bouffer mon gland… les deux énormes seins de LIly gigoter contre mon bras…
« Mmmh… oh ouiii… Oh ooOOooH… »
M’agrippant encore une fois au cuir du large meuble, je me laissais fondre complètement…
« Alors… qu’est-ce qu’on a prévu ? »