Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Bando

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Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: jeudi 10 novembre 2022, 16:55:34 »
Sacrée coquine, cette Vexxie.
Moi qui avais douté de ses intentions me concernant pendant un moment, il était désormais clair, comme de l’eau de roche, qu’elle n’avait rien d’autre pour seul objectif que de tirer sur le premier gros noeud qu’elle trouverait sur son chemin… La chance, c’est sur moi que cette jolie petite chatte était tombée cet après-midi.

Il n’avait pas fallu que je le lui répète deux fois pour que la jeune femme ne revienne s’attaquer férocement à mon pantalon. Les yeux brillants, presque luisants de lubricité, sa toute petite main froide était passée sous le tissu, sous celui de mon boxer aussi, pour attraper l’énorme engin qui s’y cachait, tout raide. Elle tira ma grosse bite de là sans attendre, me tirant au passage un grand soupir de soulagement… bordel comme j’étais étriqué là-dedans.

« Haaa… »

Rougissant plus encore, quelque peu gêné de par ma position face à cette parfaite inconnue, je ne pus toutefois qu’essayer de me laisser aller. Ne comptant finalement pas tant la « voir », Vexxie s’était mise à me branler tout doucement, de ses deux petites mains qui ne parvenaient même pas à m’entourer pleinement. C’était tellement agréable que je ne dis rien, ondulant légèrement des hanches pour rester debout bien droit sur notre petite embarcation. Ma queue coulissait longuement entre ses doigts, ma peau se tirant d’elle-même pour que mon gland finisse à découvert, gigotant sous son petit nez. Ni une ni deux là encore, la petite salope ouvrait grand, très grand, langue tendue, pour m’enfourner dans sa bouche si chaude. Une main douce dans ses cheveux, j’accompagnais avec plaisir les lents mouvements de cette fellation surprise, fermant les yeux pour en profiter le plus possible.

« Mmmh… oh. Oh oui… oui… oui… oh juste là. »

Trop à fond dans mon délire, je faillis presque râler lorsque ma queue quitta sa bouche un bref instant. M’obligeant à me rasseoir, j’obéis sans comprendre vraiment, avant qu’elle ne revienne à la charge tout aussi vite. Mon veston s’écartait sur ses petites épaules, et ses deux énormes seins venaient à me palper à leur tour, m’offrant un écrin si doux et moelleux… si lourd…
Ce qui dépassait de moi reposait entre ses mains actives… le reste terminant entre ses lèvres charnues et gourmandes, me bavant dessus avec bruit et indécence.

La bouche grande ouverte, je tentais de me retenir, la regardant droit dans les yeux. Arrivé à saturation, je ne pouvais désormais plus tout contenir… mes mains vinrent se poser sur ses seins et je me mis bien vite à les pétrir férocement, les serrant très fort contre mon sexe alors que mes hanches se mettaient à bouger d’elles-mêmes pour la baiser.

« Haaa… ça me va très bien… si on baise. »

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: jeudi 10 novembre 2022, 01:08:41 »
Quel merveilleux voyage que le mien, entre les pulpeuses lèvres de la belle Helen… C’est qu’elle apprenait vite. Très vite. À force d’essai, et surtout d’envie, il ne lui avait pas fallu bien longtemps pour s’y faire et maîtriser la chose, quand il s’agissait d’engloutir dans sa petite bouche ce gland aussi gros qu’un poing. Ses joues s’en déformaient grossièrement, comme le faisait sa gorge, puis elle aspirait… lapait…
En parfaite reine qu’elle était, j’avais eu droit à ma ration quotidienne de fellation ces dernières semaines, le temps qu’elle se… « fasse la main ». Peut-être avions nous passée la barre des trois ou quatre fois par jour, même… J’avais dû lui offrir pas moins d’une cinquantaine d’éjaculations faciales en l’espace de quelques semaines à peine, mais elle n’avait cependant jamais reculé devant l’effort. Bien au contraire.

La belle m’avait compris telle que je croyais la comprendre et avait déjà su trouver en moi mes points sensibles, les meilleures manières de me faire jouir… ou de m’en empêcher, pour que mon extase n’en soit que décuplée…

Et cette pipe en guise de dessert ne dérogeait pas à la règle. Ses mains bougeaient, tout en lenteur, tandis que sa bouche m’aspirait longuement, dans d’indécents et gras bruits de succion. Elle ne me quittait pas des yeux, sachant déjà ô combien le fait de la mater me faire ça me rendait fou… Quelques secondes à peine et je bandais déjà comme un âne à l’idée de retourner cette divine créature sur son propre canapé, quitte à refaire l’intégralité de sa déco au rythme d’ébats effrénés et intenses.

Mais la sonnette retentit, puis l’annonce survint… pour me ravir, comme je n’avais sans doute jamais dû être ravi auparavant, et ce malgré mon évidente surprise.

Ça sonnait encore, mais elle ne bougeait pas, jouant de mon énorme gland en sa bouche brûlante pour me taquiner encore un peu. Elle me léchouillait avec gourmandise pour m’exciter davantage et toujours plus… comme si elle cherchait à me rendre plus dur et gros encore, alors que ma verge se dressait déjà telle une tour énorme… un troisième avant-bras épais et musclé, palpitant sur pas loin de quarante centimètres en tout et pour tout…

Mais, très de taquinerie, la belle finit par se lever, libérant au passage ma grosse queue, qui resta là à reposer en de larges rebonds, telle une canne à pêche prête à ferrer de gros… très gros poissons, formant une belle courbe en arc-de-cercle.

Je n’eus pas à attendre longtemps, heureusement pour moi… dans mon état… Il n’empêche que je me figea presque, me redressant d’un bond dans mon siège. Autant, tout cela était excitant, autant, il y avait de quoi avouer que cette situation m’intimidait un peu. Helen n’avait pas menti, ses deux amies étaient de vraies bombes…
Putain ce qu’elles étaient bonnes !!!
Mes mains se crispèrent, serrant avec force le cuir du canapé, tandis que je les vis s’approcher toutes les deux, toutes sourires tandis qu’un peu honteux, j’avais envie de cacher cette queue énorme sur laquelle elles louchaient sans honte. Leur petit cri de surprise ne dura qu’un bref instant et très vite, je pus sentir leur jugement, comme leur envie dévorante peser sur moi… devenu totalement objet de leurs fantasmes.

« Hummmm… wow. Bonsoir. »

Les premiers mots qui sortirent de la parfaite petite bouche de la plantureuse rouquine me mirent tout de suite l’eau à la bouche tandis que j’hésitais déjà à mater son décolleté si profond et provoquant… Mais à peine eus-je le temps de penser un truc du style « oh mais oui putain… bouffe-moi la bite quand tu veux »… que cette fameuse Roxane s’était empressée de se jeter à côté de moi, s’appuyant sans aucune pudeur tout contre mon corps pour venir attraper ma verge. Son poignet reposant contre mes bourses, sa main ferme et déterminée m’attrapait la base du sexe pour une première palpation en règle. Inutile de croire qu’elle en ferait le tour, même ses deux mains n’y seraient pas arrivées. Et pourtant, elle serrait fort, d’une main experte, tout en cherchant à capter mon regard de ses yeux perçants. À peine rentrée, elle était encore gelée et je ne pus m’empêcher de lâcher un « Oh » de surprise… mais… ce n’était pas si désagréable que ça.

La jolie petite blonde, Lily, vint s’installer sur ma droite avec plus de douceur. Toutefois, sous cette timidité apparente, je devinais bien qu’il devait se cacher autre chose… dans la mesure où cette dernière petite coquine aux seins tout aussi bien mis en valeur dans sa robe échancrée, avait acceptée de se joindre à deux de ses amies pour qu’ensemble, elles se fassent fourrer par la plus grosse bite qu’elles avaient en stock, comme d’autres seraient allées passer un après-midi manucure…

Helen repassant entre mes cuisses, je ne pus contenir un profond soupir de plaisir alors que mes yeux se posaient tout juste sur la petite blonde.

« HaaAAaa… oh. En-chanté… »

Sa main se posant doucement sur ma cuisse, je retins doucement son regard et posa ma propre main sur la sienne. Elle aussi était si froide…
Me tournant encore, j’en vins à revenir admirer ma belle amie baver sur ma queue si fièrement dressée… Sans rien dire, je me mordais très fortement les lèvres en plongeant mon regard dans le sien, comme pour la remercier du fond du coeur pour ce cadeau que je n’étais pas prêt d’oublier…

La main de la jolie rousse, Roxane, se mettant à s’activer très lentement autour de ma grosse queue, je finis par revenir à elle. Constatant qu’elle ne m’avait absolument pas lâché du regard.
Troublante qu’elle était, je ne pus empêcher un nouveau gémissement, alors qu’elle l’empoignant plus fort. Imaginant bien des choses à travers son regard malicieux et pervers, je ne pus que me demander quelles étaient les règles à ce petit jeu qu’Helen orchestrait… Rêvant d’un seul coup d’œil, après une seule caresse, d’envoyer valdinguer les meubles pour attraper la belle Roxane dans un coin, je me demandais bien là où allaient être fixées les limites.

N’était-ce qu’un jeu ? Ou bien allais-je bel et bien pouvoir baiser ces merveilleuses nymphes sous les yeux de celle qui partageait déjà mon lit ? Si c’était le cas, alors il m’apparaissait déjà très clairement que pour rien au monde je ne laisserait filer une telle occasion… je boirai des litres et des litres de café s’il le faut, avalerait même quelques petites pilules pour la toute première fois s’il le fallait, mais… si l’occasion se présentait à moi, je ne m’arrêterai pas avant d’avoir fait déborder ma semence de chaque trou de chacune de ces magnifiques jeunes femmes…

Dévorant Roxane des yeux, je me laissais porter par sa poigne glaciale et ferme avant de fermer complètement les yeux, sentant la langue aventureuse d’Helen bouffer mon gland… les deux énormes seins de LIly gigoter contre mon bras…

« Mmmh… oh ouiii… Oh ooOOooH… »

M’agrippant encore une fois au cuir du large meuble, je me laissais fondre complètement…

« Alors… qu’est-ce qu’on a prévu ? »

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: mardi 08 novembre 2022, 12:39:05 »
Un sourire légèrement taquin au coin des lèvres, je me laissais faire sans mal dès lorsque je compris ce qui m’attendait pour le dessert. Je me redressais un peu et levais les fesses l’espace d’une petite seconde à peine pour laisser la jolie Helen me débarrasser d’un coup de mon pantalon, comme de mon boxer.

Mon sexe, encore au repos, retombait avec lourdeur entre mes cuisses, dans un léger rebond allait de gauche à droite, puis vice versa. Mon regard se perdant au travers de son profond décolleté, je comprenais déjà, au détail de ses dessous de dentelle, qu’elle avait déjà prévu toute cette petite soirée, se mettant sur son 31 pour le plus grand plaisir de mes yeux…

Sans attendre une seconde, elle glissait ses doigts tout contre ma peau pour enserrer mon sexe. Voir comme elle le regardait m’excitait au plus au point… je la savais fascinée par ma bite et… je crois que ça jouait un sacré rôle dans la relation qu’on entretenait. J’avais parfois la sensation d’être un objet à ses yeux mais, je devais bien avouer que, vu nos parties de jambes en l’air quotidiennes, c’était loin, très loin de me déranger. Je la baisais partout, et si fort… il était clair que je prenais mon pied à chaque seconde en sa compagnie.

Je lui rendis avec affection son tendre baiser, avant de la regarder revenir entre mes jambes grandes écartées, me satisfaisant sans mal de ce début très doux de branlette, si lent et sensuel…

« Hm hm ? »

Pimenter nos ébats ? Cela ne faisait que quelques semaines à peine que nous couchions ensemble mais déjà elle voulait aller plus loin ? Sans trop savoir où la belle Helen voulait en venir, je devais m’avouer bien curieux, toujours friand de nos petites expériences à tous les deux…
Toutefois, je ne m’attendais pas à ça…

« Ooooh… »

Décalottant mon gland avec grand soin et douceur, je sentis très vite sa petite langue me chatouiller, si gourmande… Je me raidissais doucement, tout doucement.
Mes sourcils s’arquèrent d’étonnement, mais je ne pus m’empêcher de sourire très largement, heureux, mais un peu étonné, à me demander s’il s’agissait d’une proposition sérieuse ou d’un possible test de fidélité… ou qu’en sais-je. Elle voulait me partager avec ses copines ? Sérieux ?

« Mmmmh… oooh oui… oui comme ça… Hm. Vraiment ? T-tu… pour de vrai ? »

Ma queue se faisant un peu plus dure encore, rien qu’à l’idée de m’imaginer partagé entre trois merveilleux canons (il n’y avait qu’à voir comme Helen était sexy pour imaginer ce qu’elle entendait par « canons »…), je soupirais un peu plus fort, mes doigts se serrant doucement tout contre le canapé sur lequel je trônais tel un roi.

« Toutes les trois ? Oooh… eh bien, si elles sont d’accord pour que l’on… ouais. Carrément. »

Me laissant fondre en ce plaisir naissant, l’une de mes mains venait passer dans ses jolies mèches de cheveux, la gratifiant d’une douce caresse… Oh mon dieu. Elle ne pouvait pas savoir comme si, si elle était sérieuse, elle ferait de moi le plus heureux des hommes cette nuit.

La sonnette retentit soudainement et je tournais aussitôt la tête vers l’entrée, avant d’en revenir à Helen, le bout de ma queue, gros comme un poing, toujours bien enfourné dans sa petite bouche gourmande et salivante.

Mon sourire s’agrandit encore et je ne pus retenir un petit rictus, surpris mais appréciant bien trop cette surprise.

« Tu les as déjà appelées, c’est ça ? T’avais tout prévu ? »

Fermant un instant les yeux, je me laissais retomber bien confortablement tout contre le cuir du canapé, profitant de ces divines caresses encore une toute petite seconde, avant que les choses ne changent du tout au tout… après tout, avec de parfaites inconnues… ça avait de quoi être quelque peu intimidant.

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Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: mardi 08 novembre 2022, 01:06:34 »
Au moins, sa réponse à ma question avait mis les choses au clair. Et ce sans la moindre hésitation. Nue comme un ver, ou presque, la plantureuse Vexxie me proposait de… baiser. À condition que, là maintenant, au beau milieu de ce lac vide de toute vie, je lui montre ma… queue… purement et simplement. En même temps me direz-vous, il faut bien commencer quelque part.

Ces mots, un peu crus mais surtout inattendus, me firent frémir. Quoiqu’ils me donnèrent un peu d’aplomb comme ils me mirent un peu de baume au cœur. Au moins, je savais désormais où j’allais, avec cette bien étrange mais très belle inconnue. Vu comme elle me plaisait et vu l’effet qu’elle me faisait… ce n’est pas non plus comme si j’allais refuser ses avances.

À travers le tissu tendu, ses mains trituraient, palpaient et malaxaient mon sexe avec de plus en plus d’insistance, le faisant croître bien aisément. Tant et si bien qu’au bout de quelques secondes à peine, plus rien ne pendouillait… ma verge se faisait plus grosse encore, tendue en un bel arc de cercle se courbant vers le haut. Ne manquait plus qu’à me défaire de mes vêtements et à en décalotter la pointe pour me rendre prêt à l’action…

Même si je me contenais au possible, je ne pouvais retenir quelques premiers soupirs un peu chauds au contact de ses petites mains aventureuses. À la voir gigoter comme ça, il était clair que mon esprit s’embrumait un peu et que, plus le temps passait, plus l’envie qu’elle me branle me dévorait. Me mordillant de nouveau les lèvres, les yeux posés sur mon vêtement, je la regardais le tirer avec difficulté vers le bas. Elle avait beau s’échiner, rien n’y faisait et… visiblement, elle avait besoin d’un petit coup de main pour ça.

« Ok. Va pour ma queue… »

Un petit sourire encore un peu gêné à son intention et, à sa demande je me levais. Faisant de mon mieux pour tenir debout sur la petite barque qui oscillait d’un côté puis de l’autre, je lui faisais face de toute ma hauteur, le pantalon à peine baissé, le pubis et la base de mon sexe à l’air. Je tentais aussi de baisser mon pantalon, juste comme ça, mais rien n’y faisait.

« Je crois que ça ne va pas marcher comme ça. »

Fièrement dressée, ma queue s’élevait devant elle, jusqu’au dessus de sa tête, en ce chapiteau toujours plus impressionnant. À vrai dire, je ne la voyais même plus.

« Hum… tu veux la sortir ? »

Aussi timide que pouvait paraître cette semi-proposition, la vérité était que je mourais d’envie de sentir ses doigts sur moi.

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One Shot / T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: lundi 07 novembre 2022, 15:45:55 »
Cela faisait quoi, dix jours, peut-être deux semaines que nous nous voyions tous les deux maintenant, Helen et moi ? À vrai dire, je ne saurais même pas dire comment les choses s’étaient faites pour que l’on en arrive là. On s’était rencontrés comme ça, par hasard, dans un café… on s’était plu visiblement et… voilà. Une chose en entraînant une autre, la belle aux soyeux cheveux châtains et moi, avions continué à nous voir et… depuis, c’était presque chaque jour.

Entreprenante, cet étonnant bout de femme n’avait clairement pas froid aux yeux et, il fallait bien le dire, j’aimais ça. C’est fou le bien que cela pouvait faire, de pouvoir s’extirper de son quotidien, comme ça, au creux des bras comme des reins d’une partenaire à l’écoute… et très friande d’expériences en tout genre.

On se retrouvait l’après-midi ou le soir, après le boulot ou pendant une pause. Dans un coin, juste comme ça, ou à l’hôtel… ou bien chez moi, comme le week-end dernier. Tout le week-end… Autant dire qu’elle était devenue une sorte de soupape pour moi, comme j’en étais sans doute une pour elle. Notre attrait était purement physique à la base… et elle l’était sans doute encore, seulement… c’est vrai qu’on s’entendait bien.

Mais aujourd’hui, histoire de changer un peu -et c’était elle qui l’avait proposé-, nous allions sortir, nous voir ailleurs, passer une bonne soirée et apprendre à nous connaître un peu plus qu’entre les plis de nos draps. Et… au final, ça n’avait pas été une mauvaise idée… du tout.

Un petit restaurant rien qu’à deux, une promenade au clair de lune… la soirée avait même été romantique. Bien sûr invité pour un dernier verre, nous avions fini par atterrir chez elle. C’était bien la première fois que ça arrivait, d’ailleurs. J’en découvrais un peu plus à son propos, sur ses passions…
Son appartement n’était pas très grand, mais plutôt cosy et très bien placé. Son salon était parfaitement exposé et comprenait de très nombreuses baies vitrées. Certaines nous offrant là sans doute l’une des meilleures vues de la ville… Ç’aurait été parfait s’il n’y avait pas tant de vis-à-vis. J’imaginais qu’elle devait tirer les rideaux souvent, sans quoi tout le monde la verrait…

Enfin bref. Nous avions tous les deux passé une très bonne soirée je crois, mais, vue la tournure que celle-ci prenait… je comprenais qu’elle était encore bien loin de se terminer. Et, comme à chaque fois que l’on se voyait, elle ne risquait que de devenir plus agréable encore.

Ça, je le compris après ce dernier verre, sur son canapé, lorsqu’Helen vint écarter mes jambes en grand pour se glisser à genoux entre elle, un air très gourmand luisant dans ses yeux. Le sourire aux lèvres je l’admirais, très impatient à l’idée de savoir ce qu’elle me réservait tandis qu’elle nouait ses longs cheveux.

« Oh ? Ok… ça me va… Ici ? »

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Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: lundi 07 novembre 2022, 15:16:10 »
Le dos bien droit, tendu comme un piquet, j’essayais de bouger le moins possible, légèrement décontenancé par cette bien trop étrange situation. Les manches de ma chemise remontées, je profitais sans un mot du contact de ma peau nue contre celle de ses deux énormes seins qui comprimaient mon bras avec lourdeur mais douceur. Le rouge aux joues, je fuyais ces regards insistants qu’elle me lançait, la main plaquée sur mon entrejambe pour tenter de masquer mon excitation naissante… L’épais et long symbole de mon désir, encore un peu mou, s’en voyait plaqué contre ma cuisse… je priais pour qu’elle ne le remarque pas.

Je fus quand même surpris (comme si je ne l’étais pas assez) par sa réponse à ma question, que par deux fois j’avais dû répéter. Pas besoin d’aller sur la rive ? Mais alors… je fais quoi, moi, avec cette fille à moitié à poil sur ma barque, au beau milieu de l’après-midi ?
Me retournant légèrement vers elle, je reprenais, un peu étonné.

« C’est très bien pour… ? »

Le regard visiblement ailleurs, elle avait lâché mon bras d’un coup pour poser sa main directement… sur ma cuisse… enfin, sur mon…
Pris d’un grand frisson alors qu’elle en avait poussée ma main pour attraper mon sexe, je m’étais de nouveau raidis, le dos plus droit encore.

« Oh. »

Sans que je n’ai la moindre seconde pour me remettre de cette émotion soudaine, la jeune fille s’était aussitôt glissée à genoux entre mes jambes, grandes ouvertes. Déglutissant difficilement, je revenais à la regarder, presque totalement nue, comme ça…
Il ne m’en fallut pas plus pour que ma verge n’en devienne un peu plus raide elle aussi. Ses deux mains se posaient, au travers de mon vêtement, sur ma si longue colonne de chair, la palpant avec une curiosité que l’on pouvait aisément lire sur son petit visage fin.
La situation m’échappant encore et toujours plus, je me cramponnais au banc, incapable de savoir ce qu’il me fallait faire ou répondre.

Esquivant son regard, je me raccrochais à ses deux jolis seins qui se balançaient de droite à gauche, sans interruption, ayant tout de même un peu de mal à soutenir tous ces regards qu’elle me jetait.

« Sérieusement ? T-tu es sûre de… »

Dans quelle situation m’étais-je encore fourré ? Et… qu’allait-il se passer si je me laissais faire ? Était-ce un piège, ou… ?

Alors que ses deux petites mains me palpaient sans jamais pouvoir faire le tour de ma queue, voilà que je commençais à me mordiller les lèvres doucement… un peu trop excité sans doute.

« Et… je… j’veux dire, est-ce que tu es en train de me proposer de… tu vois ? »

Bandant toujours plus fort à chaque seconde qui passait, voilà que je me dressais fièrement, tendu tel un magnifique chapiteau. Le bas de mon pantalon se relevait de lui-même tandis que son tissu tentait encore de faire prisonnier ces presque quarante centimètres qui ne demandaient qu’à être libérés…

« Tu peux… tu peux la voir, si tu veux. »

Toujours un peu crispé à mon banc, je n’en faisais rien. Au moins ainsi pourrais-je me contenter du peu de plaisir de la laisser ouvrir ma braguette. Vu comme le chapiteau était dressé là dessous, elle devra batailler un peu et n’aura sans doute pas d’autre choix que d’y enrouler ses petits doigts pour la sortir. Voilà au moins une sensation qui ne sera pas pour me déplaire tant ça commence à tirer, sous ce tissu…

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Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: vendredi 04 novembre 2022, 13:47:08 »
« Eh bien… ça va. »

La jeune inconnue m’avait pris des mains mon veston, sans aucune forme de procès, avant de m’offrir un spectacle des plus inattendus. Je fus cette fois incapable de détourner le regard tandis qu’elle retirait tour à tour le peu de tissu couvrant son corps.

Deux énormes seins, parfaitement ronds et dodus vinrent s’extirper de son haut, se balançant nonchalamment sous l’effet de leur poids, tandis que leur propriétaire venait se courber pour se défaire de sa toute petite culotte. Sans attente aucune, je découvrais cette petite chatte, semblant terminer ce portrait si parfait… ces hanches un peu larges dessinant l’arrondi parfait de fesses tout aussi rondes et dodues… mais fermes.
Je papillonnais un peu des yeux, entre émerveillement et surprise, une fois encore.

« Oh… wow, hum… ok. »

Aussitôt dit, aussitôt fait. La jeune… « Vexxie » avait passé mon veston autour de ses épaules et m’avait rejoint pour se coller à moi. Toute sourire qu’elle était, elle attrapa mon bras bien rapidement et le serra tout contre elle, l’enfonçant peu à peu au creux de son opulente et délicieuse poitrine.

J’eus encore un peu de mal à articuler, tant tout ceci était des plus inattendus. Mon bras s’enfonçant au contact de sa peau encore si froide -je devais en paraître bouillant, à côté- je pus me sentir rapidement pleinement accueilli entre ses seins, ma main collant vite à son ventre… si près de ce qu’il y avait là, entre ses cuisses ouvertes sans honte.

« Eh bien… enchanté. Tu peux m’appeler Bando. »

Un léger sourire, un peu gêné, à son intention et, je tentais de détourner les yeux, juste un peu, tandis que je commençais à sentir cette épaisse demi-molle qui déformait mon pantalon large, jusqu’à mon genou gauche… qui semblait étonnamment enflé.

« Donc… la rive ? »

38
Ô comme je priais pour que cette nuit dure à jamais.

Mon corps offert à la grande rouquine de mes fantasmes tout comme elle me donnait tout du sien, je me réchauffais à ses longues et chaudes caresses, frissonnais et soupirais au doux contact de ses lèvres tandis qu’elle baisait longuement tout de ma nudité.

Mes grandes mains pressaient son large cul comme de la guimauve, et, en quelques petits mouvements de balancier, je me m’amusais à astiquer mes bourses contre sa jolie petite chatte toute entrouverte, les trempant et les faisant reluire du fait de sa brûlante excitation… Je la regardais se masturber sans jamais m’en cacher, dévorais des yeux chacune de ses mimiques alors qu’elle me faisait don de ses profonds soupirs de chaleur… je m’excitais, me réchauffais un peu plus chaque seconde. Puis ses hanches se mirent à danser. Son cul se mit à onduler sous mes doigts et sa chatte vint s’ouvrir davantage tout contre la base épaisse de ma queue. Je l’observais se tordre tout en entrouvrant ma bouche de manière similaire… un profond soupir que je ne pouvais masquer. Ô comme j’avais envie de la prendre. Son petit sexe appelait au mien, l’avait gorgé de tant de désir… à l’en faire palpiter chaudement…
Je t’en supplie, ma belle inconnue, mets-toi à quatre pattes. Laisse-moi marteler à grands coups de reins jusqu’au plus profond de ton être, laisse-moi répandre en toi jusqu’à la dernière goutte de ma semence.

Son étreinte brûlante vint se resserrer. Le chaud de son souffle parcourant ma peau pour me procurer plus de sensations… Et ses lèvres vinrent se sceller aux miennes. Son baiser se teintant d’une envie au moins égale à celle qu’elle me faisait ressentir, je ne pouvais faire autrement que de lui rendre la pareille, ouvrant mes lèvres pour glisser ma langue envieuse tout contre la sienne, l’aspirant presque tant je nourrissais l’immense envie de la dévorer toute crue.

Puis, elle s’écarta. La chaleur de ses énormes seins dodus quitta celle de mon torse et je pus la sentir s’agiter. La lumière se fit plus… propice… au torride masque revêtu par cette douce nuit, et ses hanches se remirent à danser. Son cul s’écarta un peu contre mes couilles pleines et ondula quelques secondes. Son poids tiraillait la base de mon sexe, tirant plus encore sur mon frein pour décalotter comme jamais son énorme sommet pulsant.

« Haaan… »

Ses lèvres curieuses ne tardèrent pas à retrouver mon torse et, très vite, je compris le sort qui m’était réservé. Moi qui pensais me faire branler jusqu’à ce que je vienne recouvrir son visage aux traits de poupée, si fin, d’un masque tout fait de mon épais sirop… je ne pus me sentir que plus comblé encore.

« Oh oui… tes seins sont merveilleux… »

Ceux-ci revinrent frôler ma bite et la firent danser encore de par leur poids. Ils étaient si doux, si chauds… si lourds. Ç’aurait été un supplice de ne pas en jouir davantage. Et pourtant ils me quittèrent.
Mon regard, fiévreux, s’ancra longuement au sien quand tout fut clair. Elle me sourit et enroula quelques-uns de ses doigts fins autour de ma queue et, sans lâcher mon regard, elle me soumit au plus doux des supplices. Ses lèvres charnues vinrent se sceller en un doux petit bruit contre mon gland, me tirant un « oh » profond… puis elle ouvrit grand, très grand pour l’enfoncer dans sa bouche.

Mes doigts se serrèrent avec vigueur aux draps, au petit « plop » que j’entendis et quand je pus enfin sentir le bout de ma bite reposer contre sa langue envieuse.

« OOOH ! »

Concentré très égoïstement sur ce nouveau flot de sensations enivrantes, je fermais les yeux à demi, matant sans honte ce cul énorme qu’elle balançait nonchalamment… à la voir se mouvoir, je compris qu’elle se creusait, se penchait… puis, je sentis. Ses deux gigantesques mamelles vinrent englober mon énorme bite et, aussitôt, elle vint les presser pour leur offrir la plus douce des prisons. Si chaude, si moelleuse…

J’eus l’impression de voir flou quand enfin je vins retrouver son regard. Elle semblait se délecter de mon plaisir et… c’est fou comme cela ne faisait que m’exciter encore plus. La vue de cette somptueuse branlette espagnole, sa petite langue qui venait pourlécher ma bite… et, toutes ces sensations. Mon gland palpitait puissamment à chacun de ses assauts et j’en vis vite à me dire qu’il ne me faudrait que peu de temps pour atteindre l’extase dans un tel écrin, dans une telle position.

Lentement alors, je vins à forcer sur les muscles du bas de mon corps afin d’onduler moi aussi, de haut en bas. Au rythme de ses propres mouvements, je me mettais alors à ramoner son énorme et délicieuse poitrine. Ma main lâchait l’une de ses solides prises et j’attrapais l’un de ses obus pour le malaxer, triturant sa pointe avec envie… tout en accélérant les mouvements de mon bassin.

« MMMmmMMh… oh… oh… ooohhaaaaaaaan… han… HAAAN… »

Ô que c’était bon. Divin. Ses seins étaient juste… parfaits.
Mes yeux ne retournèrent qu’un très bref instant à ses fesses, mais je ne pus m’empêcher de lui dire ceci, tant à leur vue… je le pensais.

« Haaa… je vais te baiser… si fort… »

M’arquant vers l’avant, ma seconde main venait retrouver la première et je m’installais désormais assis face à la belle, les jambes grandes écartées. Mes mains près des siennes, j’attrapais ses formidables seins pour m’en servir plus encore, les baisant à grands coups de queue… la tordant dans tous les sens pour mon plus grand plaisir…
Et je savais. Je savais que, très vite, si je ne m’arrêtais pas, son formidable buste ne tarderait pas à se voir tout enduit de mon épais sirop… en de si gros jets qu’on n’y verrait plus la moindre once de peau.

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Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: samedi 29 octobre 2022, 23:57:25 »
L’embarcation virant d’un bord, puis d’un autre, je crus un instant sur le point de chavirer. Ma clope tombait à l’eau et je m’en trouvais vite l’air bête alors que mes yeux s’écarquillèrent d’eux-mêmes.
De petites mains étaient sorties de l’eau, agrippant le rebord de la petite barque et soudain, avec une étrange grâce, voilà qu’une jeune femme tout aussi originale montait à son bord…

Je m’étais rassis tandis que l’embarcation avait regagné son calme, incrédule face à cette nouvelle venue et face à son allure… pour le moins déconcertante.
Bien sûr, pour avoir pu visiter d’autres mondes que celui-ci, je ne pus me dire étonné ou effrayé -ce qui aurait été le cas si l’envahisseur avait mesuré 2 ou 3m et avait eu la peau verte-, toutefois, je resta un instant bouche-bée tandis que je découvrais mon étrange invitée. Regardant un instant ces deux oreilles qui trônaient au sommet de sa tête, j’en vins vite à cette longue queue toute recouverte de fourrure qu’elle se mit à essorer, tel un chat sorti du bain…

« Hum… »

Mais, par-delà cette surprise première, je ne pus m’empêcher de constater comme, trempée qu’elle était, le peu de vêtement qui la recouvrait lui collait désormais à la peau. Mes yeux dérivèrent vite ailleurs pour ne pas trop insister là-dessus, mais, il fallait le dire… son haut ne laissait déjà plus grande place à l’imagination, tant sa poitrine opulente, vraisemblablement nue là-dessous, se dessinait à merveille sous le tissu gorgé d’eau. À quatre pattes qu’elle était, j’eus presque l’impression de tout voir, en l’espace d’une seconde ou deux seulement. Les yeux ailleurs, je fis vite semblant de rien, avant qu’elle ne s’adresse enfin à moi. Bien trop surpris, je ne su vraiment comment réagir, d’ailleurs… En même temps, que fait-on dans un cas pareil ?

« Hum… bonjour. »

De nouveau tourné dans sa direction, j’essayais alors de fixer mes yeux aux siens, histoire de ne pas risquer d’aller perdre mon regard ailleurs. Si j’étais étonné des circonstances de cette rencontre, elle ne le semblait pas le moins du monde.

« Est-ce que… ça va ? »

Cherchant un instant sur le petit banc sur lequel je m’étais assis, j’attrapais mon veston pour le lui tendre.

« Tenez, vous devez mourir de froid… vous voulez que je vous ramène sur la rive ? »

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Le parc et son sous-bois / Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: jeudi 27 octobre 2022, 20:31:19 »
   C’est agréable l’automne, calme. L’air est frais, mais pas encore froid. Les arbres se colorent, mais ne sont pas encore mis à nu par les quelques bourrasques qui agitent l’idyllique paysage qu’est le nôtre, quelque part, presque au centre de cet immense lac qui trône, presque au centre lui aussi, au sein du parc boisé de Seikusu.

Voilà un autre de ces jours durant lesquels je me permets de flâner un peu, préférant remettre à demain la somme considérable de travail qu’il me reste encore à fournir en vue d’une très prochaine publication. À vue d’œil, je dirais qu’il doit être un peu plus de midi… à vrai dire j’en sais rien. Et je m’en fiche, bien trop confortablement installé sur la petite barque de bois que j’avais louée pour la journée. Un de mes habituels carnets à la main, j’observe le ciel sans trop penser, allongé, à regarder le ciel encore assez clément pour que je m’autorise à rester ainsi encore un peu. Comme un enfant, je me prends à compter les nuages, à leur trouver des formes et des significations bien souvent idiotes, m’écartant de toute pensée rationnelle pour préférer m’accorder le droit de rêver un peu. Pas d’ordinateur cette fois, pas le moindre téléphone… pas la moindre sonnerie qui soit pour me déranger, donc. La cigarette au bec, je me laisse porter, ne guettant que très rarement par-dessus bord pour m’assurer de ne pas non plus dériver ou approcher terre trop tôt.

Dans la lune encore une fois, j’inspire et expire à intervalle régulier, préférant fuir, encore une fois, ce morne quotidien que tant d’autres -et je les plaint-, eux, éprouvent.

La tête appuyée sur un bord de ma petite embarcation, je dresse un temps mon carnet dans lequel je griffonne, esquissant quelques autres de ces formes qui ne veulent rien dire, ni rien représenter vraiment. Là encore, mes pensées ne me mènent nulle part, m’accordant un répit dont j’avais bien besoin.

Un grand soupir et je me redresse, avant que je ne me relève presque d’un bond alors qu’une sensation de choc ne vienne perturber cette bien trop savoureuse quiétude. La petite barque manque de chavirer sans que je ne comprenne pourquoi, me laissant dans la surprise la plus totale.

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Blabla / Re : J'offre mon corps à....dix
« le: lundi 24 octobre 2022, 17:35:04 »
Et de n’oeuf !

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Peut-être tout cela n’était-il dû qu’à la magie de nos rêveries, de fantasmes secrets et les plus fous seulement… j’eus en ce seul instant la sensation de ne jamais avoir eu aussi chaud, tant je brûlais de désir. Je sentais comme le regard de la jeune femme pesait sur moi tandis que je me défaisais de mes vêtements un à un… Ces soupirs, ces petites caresses et ces quelques compliments me mettaient le rouge aux joues alors que j’obéissais un peu nerveusement.
Une main fermement posée tout contre la pointe de ma verge, je la décalottais doucement pour offrir à ses yeux le spectacle de mon énorme gland palpitant d’envie rien que pour elle.

Un peu gêné tout de même par ce petit jeu auquel je n’étais pas encore bien habitué, je ne m’arrêtais pas pour autant, massant lentement mon sexe sur toute sa longueur tandis que, face à moi, la belle de mes rêves se reculait un peu, pour que je la regarde toute entière. Comme par enchantement, son corps se découvrait peu à peu sous mes yeux brillants d’envie et de curiosité. Ébahi et bien trop excité, je découvrais alors enfin son petit sexe déjà si trempé qui trônait au sommet de ses longues et parfaites jambes… Elle se tournait un peu et je pus sentir comme de nouvelles et soudaines palpitations purent faire lourdement tressauter mon sexe alors que j’apercevais un peu toute la rondeur de son divin postérieur. Un cul… large et rebondi, formidablement taillé et dont la seule vue suffisait à m’exciter plus encore. Je me crus bientôt sur le point d’exploser alors qu’elle s’affairait, non sans difficulté, à finir de se mettre à nu. Redécouvrant les plus beaux et les plus gros seins qu’il m’ait été donné de voir, je ne pus faire autrement que de m’astiquer un peu plus fermement. Un peu timide toujours, je n’en demeurais pas moins dévoré par l’envie quant à ce qui était de cette divine créature…

Me laissant aller à sa demande, je venais prendre place sur le confortable matelas qu’elle me désignait. Le souffle déjà un peu court, je ne la quittais pas des yeux, attendant avec grande impatience qu’elle me rejoigne. Et ce fut rapidement fait. Parfaite qu’elle était, elle se courba vite tout contre moi. Alors que ces deux énormes mamelles revinrent à m’approcher, il me fallut me retenir comme jamais pour ne pas lui sauter dessus… je n’en fis rien puisque… bien vite je les sentis, gigantesques et lourds, qui venait effleurer et caresser mon vît. Le regard vissé au sien, je ne pus contenir un profond soupir, témoignant d’ô combien j’étais sensible à la douceur de ces zones exquises de son anatomie.

« H-haa.. oooooh… oh… mmmh. »

Sans bouger d’un pouce, je la fixais tandis qu’elle prenait place tout contre mon corps. Ces somptueuses courbes nues venaient chatouiller longuement ma peau, puis la presser plus lourdement tandis qu’elle venait enfin à s’asseoir. Fiévreux, je me pinçais les lèvres alors que je sentais son cul énorme contre mes bourses si pleines… sur lesquelles venaient se répandre à chaque seconde toujours un peu plus de sa petite rosée. Ses magnifiques seins ballotaient encore et, connaissant mon affection pour eux, la belle reprit ma main pour que je m’en retourne les caresser. J’en palpais un tout en le dévorant du regard et venais coller ma queue tout contre son petit ventre. De quelques petits tours de poignet, je venais faire tapoter mon gland contre ses belles mamelles, rêvant déjà de les couvrir d’huile pour m’y réfugier jusqu’à l’extase…

« Toi aussi tu es… tellement belle. »

Ses gémissements ne me comblèrent que plus encore de bonheur. L’entendre couiner me rendait fou tandis que je m’exécutais, me masturbant sous ses beaux yeux comme elle-même le faisait si bien sous les miens.

Venant pincer doucement la pointe rose de son sein, je forçais un peu pour me dresser et le porter à ma bouche un instant. Prenant vite appui sur mes deux mains, mises en arrière pour ne pas tomber, je me courbais un peu pour aller quérir son cou gracieux. Y déposant un baiser, je ne pus me contenter de ce seul acte quelque peu romantique et commença alors à faire gigoter mon bassin. Lentement, je frottais mon sexe contre son ventre, forçait en me surélevant pour faire glisser mes bourses contre sa petite fente… contre cette main qui la caressait.
Mes yeux revinrent trouver les siens et, pour ne pas perdre appui, je vins me saisir de son cul, y ancrant fermement mes doigts.

« Est-ce que… tu aimerais la prendre ? »

Repartant vite à la conquête de son cou, je me pressais à elle pour me glisser jusqu’à son oreille. Ma deuxième main venait se joindre à la première et, les jambes grande écartées, voilà que je m’agrippais à son fessier.

« Je suis tout à toi… si tant est que tu sois mienne aussi cette nuit. »

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Vous nous quittez déjà ? / Re : Le Voyage ne s'arrête jamais
« le: mercredi 05 octobre 2022, 02:19:03 »
Une image vaut mille mots, mais Kõya a déjà trop bien usé de cela (genre cette séquence d'Edgerunners, quoi)...

Bon vent à toi ! En espérant vivement qu'il te ramène à nous  ;)

D'expérience, ça va ça vient. L'écriture est quelque chose que l'on ne contrôle pas, ou pas vraiment (faux, quand on en fait sa profession, il s'agit de se forcer au jour le jour, haha).
J'ose espérer, comme le soulignait Anéa, qu'il ne s'agisse que d'envie plus que d'autre chose... qui que tu sois.

Bref bref bref... si l'envie te revient un jour, eh bah viens. Je pense qu'ici, les gens seront toujours prêts à t'accueillir. Et c'est en cela que ce forum est beau... et chouette  :D

Une fois encore : bon vent... et reviens faire profiter les autres de ta plume quand cela te chantera, il y aura toujours du monde pour te lire ~

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Centre-ville de Seikusu / Re : La grande découverte. * Bando *
« le: dimanche 02 octobre 2022, 22:47:21 »
Bien évidemment prise au dépourvu, l’étrange jeune fille avait lâché aussitôt l’objet de sa convoitise pour se retourner d’un bond. Je devinais aisément la panique et la confusion dans son regard comme dans ses gestes tandis qu’elle semblait peiner à s’expliquer.
Je levais mes mains pour tenter de la rassurer, mais rien n’y faisait… elle ne semblait rien comprendre à ce que je tentais de lui dire. Elle balançait à mes pieds un morceau de mon batteur et semblait apeurée du traitement que je pourrais bien lui réserver.

« Ça va, ça va… Ce n’est rien. »

En fait, je n’avais surtout aucune idée de ce que je devais faire. Sa très jolie paire de seins ballotait dans un sens puis dans l’autre au gré de ses gesticulations et ce petit mouvement de balancier avait aussitôt fait de m’hypnotiser. Je remarquais, avec surprise, que malgré la surprise, la jeune femme ne tentait aucunement de se couvrir ou de masquer quelconque partie de son corps. Je la détaillais du regard et malgré ça, elle ne semblait aucunement s’offusquer.

« Je… je ne vais pas te faire de mal. »

Doucement, je m’approchais, tendant la main dans sa direction.

« Viens. Je vais ranger et… tu vas t’asseoir là, d’accord ? »

Je pointais du doigt l’une des chaises entourant l’îlot central de la cuisine, celle face aux couverts que j’avais déjà installés, prêt à manger.

« Je vais faire à manger pour toi, tu veux ? »

Impossible de ne pas la regarder. Ces deux énormes seins, ces hanches larges… ce cul d’enfer… hmmm. Merde. L’énorme saucisse qui pendait entre mes jambes passait parfois faire quelques apparitions par delà les plis de ma serviette sans que je ne m’en rende vraiment compte. Heureusement pour moi, je ne bandais pas non plus, mais… je devais bien avouer ressentir un petit quelque chose à la voir comme ça…

Me baissant pour me mettre à sa hauteur, ma main venait très lentement se poser sur sa joue. J’essuyais du bout du doigt tout ce yaourt qu’elle s’était mise partout.

Avant de me faire des idées, je reprenais, le doigt toujours tendu vers elle.

« Est-ce que… tu veux que j’aille te chercher des vêtements ? »

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Centre-ville de Seikusu / Re : La grande découverte. * Bando *
« le: vendredi 23 septembre 2022, 20:30:16 »
Qui dit fin d’une semaine harassante dit : repos.
Non ? Bon, ok, pour certains, cela veut dire sortir faire la fête mais… très peu pour moi. Pas cette semaine en tout cas. Puis ce n’est toujours pas dans mes habitudes premières.
C’est samedi et à cette période de l’année, il commence à faire froid dehors… autant rester bien au chaud chez soi. Quelque part ça m’arrange.

Rentré pas trop tard, la tête un peu dans les nuages à tenter tant bien que mal d’en extirper la pression du moment. Je sers les dents, hésite à m’arrêter prendre un verre quelque part pour faire passer le tout mais… non.  Ni une ni deux, je m’étais décidé à rentrer chez moi le plus vite possible. Mes affaires balancées nonchalamment dans le salon, je me dépêchais d’aller me préparer un petit quelque chose dans la cuisine. N’étant pas mauvais mais sans être un cordon bleu bien sûr, j’optais pour tes tagliatelles à… je vous le donne en mille… à la carbonara. Bien sûr. Ce n’était pas bien compliqué. Un peu de musique, un verre de scotch sans glaçons et… hop, voilà que je retrouvais un peu de couleur et de joie. Je commençais enfin à me détendre.

Tout en chantonnant, quelque peu guilleret, je me trémoussais au rythme de la musique à travers la maison, le temps que les pâtes cuisent. Mes vêtements volaient un à un dans la pièce et je me dirigeais alors, nu comme un verre et le sexe balançant fièrement entre mes jambes, jusqu’au niveau de mes genoux -ou presque-, jusque dans la salle de bain. L’eau d’une bonne douche chaude se mettant aussitôt à couler, je laissais mon verre de whisky reposer sur le lavabo et me glissais bien vite sous l’eau. Quelques courtes minutes passées à délasser les quelques zones tendues et douloureuses de mon corps n’allaient pas me faire de mal après tout… Et doucement je fermais les yeux.

J’oublie et je me focalise… sur… rien. Rien si ce n’est… tous ces bruits que j’entends. Aurais-je oublié les pâtes ?! Déjà ? Non… bien sûr que non. Du plastique, des cartons que l’on jette ça et là. J’en étais désormais sûr, ça venait d’ici. Un cambriolage peut-être ?

Peu rassuré tout de même, j’arrêtais l’eau et me hissais hors de la douche, tentant de faire le moins de bruit possible en cette maison qui semblait accueillir un invité indésirable. J’attrapais une courte serviette blanche que j’enroulais autour de ma taille, ne masquant que le nécessaire comme il faut… plus ou moins puis, tout aussi doucement, je regagnais le centre de la maison. J’aurais bien aimé appeler la police mais, il y avait fort à parier pour que mon téléphone soit encore dans la cuisine. Évidemment.

Le pas léger, je m’approchais en retournant à la cuisine, marchant entre les boîtes et sachets ouverts à moitié qui jonchaient le sol, comme bien d’autres choses. Les bruits ne semblaient cesser et je pus même me dire un instant qu’il aurait pu tout aussi bien s’agir d’un animal… Genre un raton-laveur. Ça ça aurait été amusant.

Doucement, tout doucement je m’approchais jusqu’à la porte du frigo grande ouverte, où semblait se nicher un affamé ou un gourmand plutôt que quelqu’un venu me dévaliser. Ou bien me faire la peau. D’un grand pas, j’avançais encore pour faire face au réfrigérateur.
Wow.

Tétanisé par la peur à l’idée de confronter mon invité, ce durant un court instant, j’avais fini par m’arrêter pour des raisons bien… autres, bien trop surpris par ce que j’avais sous les yeux. À demi éclairé par la lumière émanant de la porte, je distinguais ce que jamais je ne me serais attendu à voir là. Entre tous ces paquets de nourriture entamés : deux énormes fesses, dodues et musclées… deux énormes fesses à l’allure douce, rebondie et délicate, qui reposaient sur le carrelage froid de la pièce. Un gros cul un peu bronzé, magnifique et le mot est faible, qui se dandinait là. Deux seins gigantesques mais fermes, de cette même teinte tropicale, qui ballotaient lourdement de gauche à droite tandis que, leur jeune propriétaire qui ne m’avait pas remarquée, continuait de s’affairer à son bien étrange festin.

Déglutissant longuement, je reculais lentement, me demandant encore quoi faire tandis que la surprise et toutes ces « émotions » m’avaient déjà flanqué une sacrée demi-molle, forçant le serpent tapit entre mes jambes à se glisser par-delà ma serviette.

« H-hum… »

Qui donc pouvait bien être cette jeune femme ? Une sans-abri ? Ou… peut-être lui était-il arrivé quelque chose ?
Cherchant des yeux quelque chose, un je ne sais quoi qui me donnerait une solution, je reculais jusqu’à retrouver les plaques de ma cuisine. J’arrêtais l’eau dans laquelle les pâtes avaient dû cuire comme il fallait sinon plus et me décidais à tenter une approche… sympathique ?

« Est-ce que… je peux vous aider ? »

Regardant un instant ailleurs, mes yeux retrouvèrent bien vite de l’intérêt pour les courbes divines de la belle qui me faisait face.

« Vous avez besoin d’un toit ou… ? Si vous voulez, j’étais en train de faire à manger. »

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