Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Bando

Pages: 1 [2] 3 4 ... 10
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Prélude / Re : Femme au foyer Lubrique - TENSHI KAZAMA - (100%)
« le: jeudi 21 mars 2024, 17:48:17 »
Oh... Hum.

Bienvenue  ::)

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Le parc et son sous-bois / Re : Buffet à volonté ? (PV Anastasya)
« le: jeudi 24 août 2023, 21:51:56 »
Que l’on soit timide ou pas, il fallait reconnaître qu’il y avait quelque chose de très excitant à entendre une femme nous dire ainsi qu’elle adorait notre queue. Ça l’était encore plus venant de la part d’une poupée comme celle-ci, dotée de seins comme si peu en étaient dotées. De véritables pares-chocs bien ronds et lourds, devant peser chacun au moins quelques kilos…

Pour un type comme moi, qui raffolait et fantasmait depuis toujours sur pareils nichons, c’était là le traquenard parfait.

Obnubilé par ces deux gigantesques obus, j’oubliais presque que je faisais là appel aux services d’une prostituée pour la toute première fois de ma vie, et rares étaient les inquiétudes qui m’habitaient encore… Comme la pute qu’elle était, je m’attendais presque à l’entendre vouer un véritable culte à ma bite, à l’entendre me dire tout un tas de choses salaces pour m’inciter à la baiser plus et plus encore, de sorte à me soutirer le maximum de blé… et à vrai dire, je commençais même à espérer qu’elle le fasse.

Vous n’avez certainement pas idée de comment il peut être difficile de trouver une femme prête, ou capable de tout, lorsque l’on est outillé comme je le suis. Le faire étant déjà parfois compliqué, alors tenter quelques fantaisies… je ne vous en parle pas.

Alors se dire que peut-être que, si j’y mets le montant nécessaire, cette véritable bombe fera tout ce que je veux de mon sexe… je serais presque tenté de dire que c’est une aubaine !

La matant en cachant au mieux ma honte, j’observe bouche-bée son déhanché, lorsqu’elle vient à se débarrasser de ses bas pour me laisser reluquer le petit string qui marque son énorme cul.

« Ok… waw. »

L’instant dure trop peu longtemps. À peine ai-je l’impression d’avoir eu le temps de mater comme il faut que la belle inconnue revient aussitôt à la charge. J’écarte bien les jambes, qu’elle reprenne une place confortable, et replace un temps ma tête au creux de ses seins.

Mais après avoir vu un truc pareil… je ne peux m’en empêcher. Glissant mes gros doigts sur ses belles fesses nues, je m’y agrippe bien en sentant qu’elle installe entre elles mon gros chibre, et me courbe un peu vers l’avant pour voir ça. Putain… son cul est si gros que refermer ses fesses sur un mandrin large d’une bonne dizaine de centimètres ne lui est même pas difficile. De telles mensurations… c’est hors compet !

« Ha-haaaan… oooh… »

Dans un profond soupir d’extase, je retombe vers l’arrière pour m’installer confortablement au creux du canapé lorsque je sens ses mains serrer ses deux grosses fesses pour bien les refermer autour de mon sexe. Doucement elle ondule, monte puis descend… son cul me serre si bien que j’ai déjà la sensation d’être en elle. Difficile d’hésiter à l’idée de la baiser après un truc pareil… Elle m’en donne tellement envie.

Comme un affamé, mes lèvres se scellent au large mamelon qu’elle me tend et presse tout contre ma bouche. Je tords, mordille et suce goulûment tout ce qu’il m’est donné sans rechigner… gourmand. Mes mains viennent prendre la place des siennes sur son postérieur et je le presse, tandis qu’elle n’a de cesse de se limer la raie.

D’un doigt bien trop aventureux, j’écarte la ficelle de son dessous et entreprends de continuer, au creux de sa raie nue. Je lime lentement, tapote de mes doigts pour faire claquer son cul puis… sans même que je n’y prête vraiment attention, voilà que je la fait sauter sur mes genoux, enfonçant par à-coups ces quarante centimètres de viande entre ses fesses.

« MMH MmmMmmMmmmmMmmMmMMMMMh… »

Hésitant toutefois encore à l’idée d’aller trop loin, je gardais pour moi ma folle envie d’aller l’enculer à quatre pattes sur le carrelage de la cuisine. L queue mille fois trop raide… j’osais toutefois ouvrir les hostilités d’une toute autre façon.

« Haa… haaa… est-ce que… est-ce que je peux te demander une bonne fellation ? Sans… capote… s’il n’y a pas un supplément hors de prix pour ça. »

À dire vrai, même le triple XL me mettait mal à l’aise… alors supplément ou pas, il faudra bien se faire une raison.

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Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: mercredi 23 août 2023, 16:53:56 »
Quelle délicieuse sensation que celle-ci !
Moi qui n’avais rien prévu d’autre de mon après-midi qu’un peu de repos bien mérité, au beau milieu du grand lac de la ville, me voilà les doigts enfoncés dans les grosses fesses d’une parfaite inconnue, le pantalon sur les chevilles et ma queue ridiculement grosse enfournée à demi dans sa petite chatte trempée.

À ce compte-là, il fallait reconnaître comme il était étrange qu’une femme aussi encline à sauter sur le premier venu, comme cela avait été mon cas, puisse être aussi étroite. Avais-je réussi à l’enfiler sur une bonne quinzaine de centimètres que je peinais désormais à faire le moindre mouvement supplémentaire.

Autant avait-elle beau gémir fort et ruisseler comme une véritable fontaine, autant mes mains qui poussaient sur ses fesses ne semblaient m’être d’aucun véritable secours.

« Hhhnnn… haa »

Malgré tout, malgré cette légère frustration qui me mettait sens dessus dessous, bourrer ainsi son petit sexe me comblait déjà d’extase et de plaisir. Son étroitesse me comprimant si fort, j’étais aux anges, ainsi enveloppé au creux de son petit nid douillet. Elle n’était pas en reste non plus, et cela n’attisait qu’encore plus l’ardent désir qui s’était emparé de mon bas-ventre.

Me mordant les lèvres face au spectacle de son corps bien fait, ondulant tout contre le mien, je me laissa faire sans peine et me délecta même de la sentir m’agripper soudain si fort. M’empoignant comme une désespérée, elle se tordit d’un coup, comme prise d’une transe des plus intenses, et je compris que le seul fait d’avoir pu la pénétrer jusqu’ici avait suffi à la faire jouir. Quel pied… sans vouloir me jeter de fleurs, je devais toutefois m’avouer bienheureux de savoir qu’à elle seule, ma queue lui faisait un tel effet.

Ainsi je ne doutais déjà plus que, avec un peu de bonne volonté, il ne me serait pas des plus difficiles de la rendre complètement folle. Son comportement profondément aguicheur m’ayant pas mal allumé, j’étais devenu bien curieux à l’idée de voir jusqu’où la luxure la mènerait.

Attendant quelques secondes à peine, qu’elle se remette un peu de ses émotions, je vins la regarder droit dans les yeux, légèrement amusé par sa réflexion. Ainsi donc cet orgasme soudain ne lui avait pas suffi ? Tant mieux pour moi… Après tout, j’avais, moi aussi, bien envie de me vider les couilles. Ç’aurait été horrible qu’elle se barre avant même de m’avoir laissé lui donner le moindre « vrai » coup de queue.

« Tu es bien sûre de toi ? »

Lui adressant un fin sourire plein de jeu et de défi, j’agrippais un peu plus fort ses deux grosses fesses moelleuses et m’arquait à peine vers l’avant pour doucement la faire toucher sol. Rampant presque au-dessus d’elle, sans jamais quitter son doux écrin, je l’allongeais au centre de la barque, les jambes bien écartées, et m’installais confortablement juste au-dessus, la queue bien enfoncée entre ses cuisses.

« Tout ce qu’il y a à faire… c’est d’enfoncer ce gros machiiin-nngggh… »

Une main remontant lentement contre sa fesse, je venais attraper l’une des jolies gambettes de l’inconnue pour la lever bien haut et écarter plus encore ses cuisses. Forçant de tout mon poids, les fesses serrées, je laissais mon énorme engin mener la danse, et bataillait pour l’imposer plus loin encore dans sa toute petite chatte.

À petits coups, millimètre par millimètre, je forçais le passage et bourrais l’énorme chibre tout chaud en elle. Le bas de son ventre commença à se déformer peu à peu, comme marqué d’une épaisse bosse sur son dessus, et je compris dans un profond soupir que nous avions fait la moitié du chemin. Presque vingt centimètres de viande trempée attendait encore son tour à l’extérieur, et commençait à s’impatienter…

« HMMMF!!! »

D’un long, très long mouvement, je me mis à reculer mon bassin. Centimètre après centimètres, j’extirpais tout doucement ma queue de son corps, pour lui laisser le temps d’en profiter pleinement… avant de revenir à la charge d’un coup sec, pour grappiller un tout petit peu de place en plus entre ses cuisses.

« HAN ! »

Desserrant l’étreinte de ma main, je laissais sa jambe reposer à sa place un instant. Ne pouvant rester ainsi, seulement à moitié en elle, j’ondulais doucement, à la recherche d’une idée… d’une position confortable, me permettant de la labourer comme elle me l’avait demandé… « comme jamais ».

« Tourne-toi. Allonge-toi sur le ventre et laisse-moi faire… si tu m’offres ton cul, je te promets de bien m’en occuper. »

Trop obnubilé par l’envie de faire claquer mes couilles contre ses deux énormes fesses, je ne m’étais même pas rendu compte que mon bassin n’avait su résister à l’envie. Tout seul, le voilà qui bougeait lentement, d’avant en arrière, pour offrir à la jeune femme de premiers mais énormes va-et-vient.

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Les alentours de la ville / Re : Trêve hivernale (PV Shikimurami Nagata)
« le: dimanche 20 août 2023, 19:45:07 »
Quiconque pénètrerait à cet instant dans cette petite chambre à peine éclairée croirait surprendre deux amants en plein préliminaires, ou bien au tournage d’un porno, au vu de cette somme de mensurations hors-normes qui s’affairaient à se frotter les unes aux autres…

Mais quiconque serait arrivé jusqu’ici aurait sans doute été poussé par un élan certain de voyeurisme puisqu’il était vrai que, plus les minutes passaient, de plus en plus de bruit venait à résonner depuis cette petite chambrée.

Mon corps rendu brûlant par le spectacle improvisé de ces deux gigantesques seins nus pointant sous mes yeux, j’avouais sans peine ne plus vraiment savoir où j’en étais. Quand bien même mon hôte et moi étions sous l’emprise d’une force extérieure à notre volonté, il fallait bien croire que leurs manigances avaient su faire poindre en moi un désir qui m’était propre.

Mise comme à ma merci par les esprits malins qui hantaient la demeure, la belle tenancière de l’hôtel s’affolait nue, tout contre ma peau, et sa chaleur, comme le son cristallin de ses profonds gémissements ne cessaient d’attiser comme un brasier furieux jusqu’au plus profond de mes entrailles. Sans doute qu’une vie de labeur difficile et quotidien avait su raffermir ces muscles à l’apparence tendre, la belle demoiselle Nagata, en plus d’avoir été plus que gâtée par la nature, disposait de courbes à en faire rougir plus d’un.

Ainsi, à laisser ma peau frictionner contre pareille volupté, il m’en était chaque seconde plus difficile, de savoir si mes doigts cherchaient encore à lui porter secours, ou bien s’ils n’étaient plus que mus par l’envie de la toucher… et de lui faire du bien.

Las de ne trouver nulle part l’objet de sa torture, peut-être avais-je bel et bien fini par me laisser aller. Après tout, elle haletait. À chacun des doigts que je glissais en elle, ses soupirs semblaient plus forts et plus intenses. Le bruit de ses pieds glissant sur le parquet me faisant me retourner, j’apercevais même comme ses cuisses s’écartaient plus grands, tandis qu’elle humidifiait la paume de ma main de son tout petit sexe.

Oui… tout comme je n’avais pu me retenir de frotter mon énorme engin à demi-mou à ses doigts, je crois bien que mes sens avaient fini par me faire défaut. Je mourais d’envie de la toucher et savoir son corps en demande m’avait fait franchir cette ligne. Ayant abandonné contre ma volonté elle-même, je n’étais désormais plus qu’en train de la doigter fiévreusement, bien trop désireux d’être celui qui la fera jouir.

« Mmm-mmh ! »

Pris d’un sursaut, je m’arrête subitement durant un bref instant. Mes fesses se serrent sous la surprise, avant que celle-ci ne vienne laisser place à des sensations disons plus… plaisantes, quand les jolis doigts fins de l’hôtelière se referment vigoureusement autour de mon chibre.

D’abord surprise, comme je le suis, je la sens vite plus « curieuse », alors que ses doigts roulent contre mes veines palpitantes. Ses deux petites mains montent et descendent en douceur, et sa bouche s’ouvre soudain plus grand, lorsqu’elle gémit. Je retiens silencieusement mes frissons comme je retiens ces soupirs d’aise qui me gagnent. Je ne fais alors plus qu’observer, tandis que le ton de sa voix monte, tout comme sa bouche s’ouvre désormais si grand, qu’elle pourrait y loger l’énorme gland qui la surplombe, quelques centimètres au-dessus d’elle.

A-t-elle seulement deviné ce qu’elle a dans les mains ?
La question venant évidemment se poser, j’en viens tout aussi bien à me demander si cela veut dire que ses… « caresses » sont voulues, et si celles-ci sont alors une sorte de « rétribution », pour celles que je lui procure moi-même, en pénétrant de mes doigts son petit jardin de femme.

Avions-nous consenti, sans nous le dire, à nous donner mutuellement du plaisir ?

Je n’osais formuler cette question à voix haute, tant j’avais peur que cela mette fin à la course de ses petits doigts sur ma queue, qui devait apprécier fortement, tant elle trouvait encore le moyen de se raidir encore. Toutefois, il m’apparut une autre évidence, après quelques secondes à profiter ainsi : nos corps nus se mêlant chaudement, les fantômes du domaine semblaient nous foutre la paix.

S’ils étaient à l’origine de tout cela et que, nous voyant faire, ceux-ci ne nous contraignaient plus à rien d’autre, alors, serait-il à penser qu’ils voudraient nous voir coucher ensemble ? Était-ce donc là leur souhait ? Leur but ?

Cette seule idée traversant mon esprit, je me pris à mordiller mes lèvres plus fort, en imaginant la grosse lune de ma partenaire de fortune, que j’avais pu toucher plus tôt dans la soirée. Rien que d’y penser… Hm !
Il n’aurait pas été mentir que de dire que mademoiselle Nagata avait un gros cul. Un cul… énorme même, rond et bien ferme, tout blanc, sans doute dû à un cruel manque de soleil. Sans doute était-elle pudique, et pas du genre à le montrer à tout le monde. Ou bien n’avait-elle simplement pas le temps d’aller bronzer où que ce soit.

Qu’importe son bronzage de toute façon, puisque, la question qui vint me tarauder la seconde suivante vint vite effacer tout le reste. Dans cette immense bâtisse, en ce lieu si reculé… peut-être se sentait-elle même seule. C’est du moins ce que commençait à me faire penser l’amplitude si profonde de ses gémissements, à chaque fois que mes doigts remuaient en crochet dans sa chatte. Elle était si étroite, mais vibrait si fort… peut-être n’avait-elle connu aucun homme depuis longtemps. Peut-être que… et si…

Et si c’était la raison pour laquelle les esprits de la maison nous avaient réunis ?

Cette idée bien ancrée dans ma tête, j’arrêtais soudain tout. Enfin, pas si soudainement. Doucement, je ralentissais, puis retirais mes doigts, en ne regardant plus qu’elle, qui me branlait au-dessus de sa bouche.

« oooh… j-je... je suis désolé, vous me rendez... dur. Je ne peux pas le contrôler. Les... esprits. Est-ce que… est-ce que vous savez ce qu’ils veulent ? »

Observant la pièce dans tous ses recoins, comme pour espérer trouver leur trace, je m’arrêtais sur le futon disposé non loin, quand l’entêtant bruit de vibrations émanant de son sexe vint soudain s’arrêter.

Mes doigts effleurant ses fesses, je vins tracer du bout de mon index le profond sillon de sa raie, tout en remontant. Ne glissant que deux doigts en elle, je récupérais sans mal le petit œuf vibrant, qui sembla s’être déplacé tout seul, comme s’il avait assez servi comme ça.

« Ça y est ! »

Le reposant sur le parquet, trempé, je revenais ensuite à la regarder elle. Me sentant de nouveau libre de mes mouvements, je n’osa cependant pas bouger, préférant profiter encore un peu de cette branlette improvisée, au moins tant qu’elle pouvait encore m’être prodiguée.

La regardant intensément, je me courbais un peu et ramenais mes deux mains vers l’avant. Les faisant glisser tout en douceur le long de ses bras, le long de ses épaules, j’en montais lentement l’une d’elle jusqu’à la commissure de ses lèvres, puis plus haut. La deuxième s’arrêta à hauteur de son buste, mais je ne pus me résoudre à attraper son sein, quand bien même j’en mourais d’envie. La laissant posée tout contre le haut de son bras, je parcourais lentement son omoplate et ne pressait que mon coude à sa large mamelle.

Doucement, de ma main gauche, j’attrapais entre mes doigts l’étoffe qui lui recouvrait les yeux, pour tenter de l’en débarrasser.

« Est-ce que… vous pensez pouvoir bouger jusqu’au futon ? »

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: vendredi 19 mai 2023, 02:17:36 »
Je ne savais trop quoi penser du fait que certaines de mes questions restèrent un temps sans réponses. Tout comme moi, Roxane était à bout de souffle, après une bonne heure passée à forniquer comme des bêtes, sans jamais ralentir la cadence… aussi bien mis-je cela sur le compte de sa fatigue, comme je mis mes questions sur celui de mon excitation, ayant atteinte de sacrés sommets, il fallait le dire.

Il fallait même l’avouer, je me trouvais un peu déçu lorsqu’elle finit par changer d’avis, pour me rappeler que deux autres femmes attendaient bien sagement leur tour après elle.

Me tenant devant elle, les muscles tendus et bandés à l’extrême, je massais lentement ma queue trempée juste au-dessus de sa bouche pulpeuse et grande ouverte. Quand bien même je sentais imminentes ces vagues de plaisir qui m’assaillaient, je serrais fort de mes gros doigts et faisais de mon mieux pour me contenir, pour ne pas aller trop vite… je voulais que ça dure.

« oooh… Mmmff… Roxane… »

Mes deux mains fermées en anneau autour de ce gigantesque mandrin, j’allais et venais lentement, longuement, formais de petits plis sur ma peau en couvrant, puis redécouvrant cet énorme gland qui palpitait juste sous le nez de la plantureuse rousse. Les jambes écartées, je prenais mon temps… le plus de temps possible, du moins, agitant mon sexe dans un sens puis dans l’autre.

« On n’est pas obligés… pour le restau. O-on… ooh… on peut juste… tu vois. De temps en temps. »

Cette phrase enfin lâchée, quand bien même il m’avait été difficile d’articuler, je lâchais enfin la pression pour me laisser aller plus vivement. Pressant le bout de ma grosse queue, je venais à le poser sur la langue bien pendue de la jeune femme, avant de m’astiquer plus furieusement à l’aide de ma seconde main.

Les yeux rivés sur son joli minois, sur ces courbes sulfureuses qu’elle continuait de caresser comme une nymphe en manque, je lâchais ma première prise pour passer une main délicate dans sa belle crinière et l’incitais à rester bien en place. Tapotant sa belle langue rose à grands coups de ce gland trop gros pour n’importe quelle bouche sinon la sienne, j’y frottais l’entrée de mon urètre, râlant plus chaudement alors que je sentais les premiers spasmes m’envahir.

« MMmmmh… MMOUIII… OUIIII ! OOOooOOoOooOOOOOOH »

Mes doigts venant enserrer ses cheveux, sans forcer de peur de lui faire du mal, je serrais de mes autres doigts sur le bout de mon sexe pour le diriger sur sa langue tendue. Palpitant et bouillant, c’est tout mon être qui manque de défaillir lorsque le canal de mon urètre s’ouvre grand pour lâcher la purée dans un râle intense.

Un jet incroyablement long et d’une épaisseur inédite, bouillant, jaillit soudain pour lui remplir la bouche. Le temps ne lui est même pas laissé d’avaler qu’un second survient aussitôt, plus intense encore…

« Ooh… oh… Oooohhaaaaaan… »

Je semble alors perdre tout contrôle, tandis que seul mon plaisir en vient à guider mes gestes. Ma queue gigote, tremble et remue dans un sens, puis dans un autre, alors que se multiplient les salves de plaisir intense qui crépissent le visage de la belle. Les puissants assauts de foutre n’en finissent pas, l’aspergent et l’inondent même, jusqu’à ce que sa face toute entière ne soit plus visible qu’au travers un masque épais et blanchâtre. J’en ai jusque dans les mains, il y en a dans ses cheveux tant il semble en couler de partout…

À peine reprends-je mon souffle, quand les vannes finissent enfin par se fermer, que je ne peux plus qu’éprouver un certain plaisir à la voir ainsi, tandis que d’épaisses gouttes tombent de son menton, jusqu’à ses seins, pour les recouvrir de ma semence comme par nappes… J’aurais presque envie de recommencer… Je bande encore tellement en la voyant comme ça.

« Haaa… haaa… eh ben. Wouaw. C’était… »

Je me ravise, préférant me taire avant de lâcher un simple truc comme « génial », ou qu’en sais-je.

« Pfiou… ok. Viens, fais-moi juste signe quand tu voudras remettre ça, ok ? Et puis… si… t’as envie d’essayer. Hm ? »

Lui lançant un regard amusé, mais surtout plus coquin qu’autre chose, je tendais ma main à Roxane pour l’aider à se relever, avant de l’entraîner avec moi, jusque dans le salon, où nos deux belles amies avaient su se trouver quelque bonne occupation.

M’arrêtant face au canapé, la main de Roxane toujours au chaud au creux de la mienne, je m’amusais un temps, en regardant Helen et Lily gémir, chaque seconde plus fort, tandis que leurs cuisses grandes écartées bougeaient dans un rythme endiablé. L’œil curieux, je détaillais du regard le corps si joliment sculpté de ma seconde inconnue de la soirée, admirais son petit pubis épilé, qui remuait vivement… remontais jusqu’à son joli ventre plat, ses larges hanches… et jusqu’à ses deux énormes seins, rebondissant lourdement mais pourtant si vite à chacun de ses mouvements.

Le sourire aux lèvres, bien trop excité par cette soirée merveilleuse, j’adressais un regard approbateur à Helen en me mordillant les lèvres, avant de poser une main douce, mais pleine de sperme, sur l’épaule de Lily, qui ne m’avait pas encore vue.

La laissant ralentir, se faire à ma présence avant que nos regards ne se croisent enfin, je barbouillais son sein du bout de mes doigts chauds, faisant glisser en cercle mon index pour tracer le contour de ses larges et belles aréoles, avant de le malaxer tout entier, envieux.

« Hello there… on va s’amuser dans la chambre ? »

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: jeudi 13 avril 2023, 21:07:30 »
Les minutes défilaient sans que je ne les voie passer.
L’écho produit par le son de nos bassins qui n’avaient de cesse de s’entrechoquer, comme celui de ses orgasmes répétés, avait rameuté bien des curieux, comme des outrés qui hurlaient au scandale ou bien qui cachaient leurs yeux, mais je n’en avais que faire.

Mes ébats avec la sulfureuse Roxane duraient, duraient et duraient encore que j’avais pourtant l’impression que cela ne faisait que commencer. Véritable machine de sexe, l’affamée gaulée comme un mannequin semblait ne savoir rien faire d’autre qu’en redemander… et j’adorais ça. Quand bien même sa grosse lune s’était rougie sous mes puissants et mécaniques coups de trique, jamais elle ne semblait ni flancher, ni même perdre sa voix, donnant même au quartier un véritable récital d’opéra qu’ils n’étaient pas près d’oublier.

Je ne pouvais être sûr que ce soit tout à fait ce qu’Helen avait prévu au programme en planifiant un plan à quatre pour ce soir, mais je n’y pouvais cependant rien : j’étais tombé raide dingue de notre belle invitée. À peine l’avais-je rencontrée que sa simple vue m’avait tout bonnement coupé le souffle. Son côté très, très entreprenant, ne m’avait pas déplu non plus, il fallait l’avouer. Tout comme ses… « talents », ne m’avaient pas déplus non plus. Des trois jeunes femmes, j’avais pu ressentir, rien qu’en la regardant faire, qu’elle était celle qui ne me suçait pas uniquement pour me faire du bien, mais vraiment parce qu’elle se régalait à m’avoir dans sa bouche.

Roxane avait très envie de ma bite, quand bien même nous ne nous connaissions pas, et je trouvais cela foutrement torride.

Mais déjà avais-je dû passer pas moins de quarante minutes à la prendre par derrière sur le balcon que cela ne me suffisait toujours pas. Son insatiable envie de moi n’avait d’égale que ma gigantesque envie de la baiser encore, jusqu’à l’épuisement. Helen n’aurait invitée qu’elle en me disant qu’elle voulait me voir prendre du bon temps avec son amie que j’aurais pu continuer même après qu’elle soit partie se coucher. C’était d’ailleurs ce qui me faisait le plus envie, là maintenant.

Mes coups d’œil vers l’intérieur, en direction des deux autres jeunes amies se donnant du plaisir m’excitaient aussi énormément mais, quand bien même je savais que viendrait leur tour à un moment donné, je ne pouvais m’empêcher de revenir à Roxane, à son cul si gros que je démontais si fort. Elle était si bonne, sa chatte si accueillante… Ses cris paraissaient si doux à mon oreille que mon corps ne m’en réclamait que plus. C’était plus fort que moi, puissamment physique et animal, je ne pouvais me retirer d’elle.

À la regarder comme à l’entendre, je ne pouvais non plus faiblir. Raide et bien trop excité que j’étais, ma plantureuse amante me faisait bander comme un taureau. Cet énorme chibre dans lequel le sang peinait parfois à affluer, de par sa taille hors-normes, n’avait avec elle aucun mal à rester dur comme de la pierre.
Quand bien même venais-je de lâcher la purée en elle, en une quantité astronomique et démentielle, le gros tuyau qui la limait si profondément restait parfaitement opérationnel et d’attaque pour quelques autres saillies à venir.

Le souffle toutefois court, je ralentissais mes coups de butoir pour ne plus lui donner que de petits et courts coups de rein, ne sortant qu’à peine de son sexe pour retourner me loger tout au fond la seconde d’après. J’écoutais la belle reine gémir, me confortant dans ce pied que je prenais rien qu’à la faire couiner.

Le rouge aux joues, à bout de souffle, je soutenais ce regard qu’elle me lançait, continuant ces petits balancements de hanches, m’amusant à les faire rebondir sur le moelleux de sa belle paire de fesses dodues.

Je me mordais les lèvres en souriant légèrement, en l’entendant mentionner ma « queue ». J’adorais ça, savoir… qu’elle adorait ça. J’avais aimé lui donner du plaisir et, pour ne pas changer, je désirais lui en donner encore.

Lâchant sa large croupe, je me faisais cette fois plus doux, alors que je me penchais pour attraper ses cheveux en un une longue et douce queue de cheval. La tirant doucement à moi, j’embrassais son cou, puis profitais qu’elle se tourne légèrement pour m’en aller quérir sa bouche. Je me mis à l’embrasser doucement, puis vins entrouvrir ses lèvres avec ma langue, pour aller y chercher la sienne.

« Hm hmm… »

Collé à elle dans cette étreinte langoureuse, je profitais de cet instant plus passionné et sensuel pour glisser ma seconde main contre son ventre. Lentement, je remontais, passais entre ses seins merveilleux, sans oublier de les pétrir un peu, pour finir par effleurer sa gorge blanche.

Ne stoppant pas mes courts va-et-vient, je venais maintenant les ponctuer de quelques rotations et ondulations, frottant mes couilles encore pleines à son cul, alors que je la ramonais bien jusqu’au fond… très lentement. Encore bien trop sensible après l’orgasme que je venais d’avoir, j’eus même peur de jouir encore, sur l’instant.

« Haaaa… haaaaa… »

Tentant de reprendre mon souffle, je me faisais plus doux et silencieux quand je me mis à chuchoter au creux de son oreille.

« Toute la nuit si tu veux… mais… à une condition. »

Ma main gauche redescendant lentement, j’effleurais l’un de ses énormes seins pour de nouveau faire glisser mes doigts sur son ventre, sur ses hanches nues et encore bien délicates, malgré la quantité de foutre qui les avait éclaboussés.

« Viens dîner avec moi un soir… cette semaine. »

C’était un peu dur à dire et, quelque part, j’avais un peu peur qu’elle me trouve trop cavalier à l’idée de l’inviter à se revoir, en tête à tête, après cette partouze… et sans Helen… Mais elle devait pourtant le remarquer aussi, j’en étais convaincu après l’avoir entendue jouir autant de fois : nous deux, ça collait bien.

Me tournant un instant vers l’arrière, j’attendis sa réponse en guettant du coin de l’œil le joli ballet de cuisses et de sexes trempés auquel s’adonnaient Helen et Lily depuis un bon moment déjà, sur le canapé. Je me léchais les lèvres en les regardant, nues et si bien faites, et répondais à cela en quelques petits coups de bassin plus secs, que je donnais à Roxane.

Revenant à elle, je nous décollais un peu pour mater encore le cul de la rouquine. D’un doigt de cette main qui ne tenait pas ses cheveux, je traçais du bout de l’ongle le petit sillon dans son dos… avant de venir dessiner celui de la raie de ses fesses. De ma grosse paluche, je venais la pétrir avec envie, écartant son cul pour observer son tout petit trou, encore bien trop serré à mon goût.

« J’ai envie d’essayer d’te la rentrer dans le cul, Roxane… »

Malaxant bien sa fesse un moment, je me remis, mais toujours très lentement afin de la faire languir, à faire de plus amples mouvements en elle, glissant hors de son sexe dizaine de centimètres par dizaine de centimètres, pour vite mieux les lui remettre, faisant coulisser ma queue bien en douceur, cela facilité bien sûr par tous ces fluides qui ne cessaient de couler entre ses cuisses.

« Que dirais-tu de… retourner dans le salon ? J’ai envie qu’Helen nous regarde, pendant que tu te fais enculer par son mec pendant des heures… »

Revenant placer ma main sur son sein, je ramène de nouveau à moi ma merveilleuse amante pour me lover tout contre elle, dévorant son cou de mes chauds baisers.

« Helen a beau être coquine, comme tu dis… elle la trouve trop grosse pour… ça. »

En même temps, il fallait la comprendre -et j’avais toujours compris les femmes pour ça, quand même-, l’idée même de se faire pénétrer par un sexe aussi gros et presque aussi long que celui d’un cheval était effrayante, sinon véritablement terrifiante…

À peine quelques autres coups de bassin et je sentais comme je n’allais plus pouvoir tenir bien longtemps. Ma queue se souvenait encore trop bien du plaisir ressenti quelques minutes plus tôt, en cet électrisant orgasme qui m’avait frappé. Proche de jouir encore, je sortais doucement de la chatte de Roxane, la bite en main. Lâchant ses beaux cheveux pour l’inciter à se tourner vers moi, je faisais lentement rouler les énormes veines de mon sexe entre mes doigts.

« Mais avant ça… aaa-ah… j’aimerais faire ça sur ton visage… Oooh… »

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: dimanche 09 avril 2023, 21:21:06 »
Debout face à la baie vitrée, le pantalon tombé aux chevilles, j’expire soudainement fort, râlant d’aise et de bien-être alors que je viens tout juste de flanquer un gros morceau de l’énorme pénis dressé entre mes cuisses, dans le tout petit sexe, d’un coup violemment élargi, de la somptueuse Roxane.

La vue est formidable. Ses deux énormes seins s’écrasent contre la vitre tandis qu’elle s’est penchée bien bas pour m’offrir une vue imprenable sur son cul, pourtant si large et rond, mais qui paraît ridiculement petit en comparaison de l’énorme chibre qui s’y est enfoncé.
Le gigantesque rondin s’est frayé d’un coup sec un bon passage jusqu’au premier tiers de sa longueur et je me dresse dès lors sur la pointe des pieds pour m’enfoncer un peu plus, écrasant la rouquine de tout mon poids contre cette fenêtre, à travers laquelle on peut déjà voir que quelques lumières se sont allumées.

Les regards de quelques voisins curieux se tournent déjà dans notre direction. Enfin, dans celle de Roxane, à poil, qui gigote et gémit bruyamment en gobant entre ses cuisses pas moins de vingt-cinq bons centimètres de bite.

« Haaaaa… »

Longuement, j’expire à nouveau, me retirant doucement pour mieux la pénétrer encore par la suite.
Mes grosses mains agrippent le cul fantastique de Roxane, le caressent. Je fais doucement le tour de ses rondeurs et me tourne en direction d’Helen et Lily, nues, un grand sourire aux lèvres. Je fixe Helen droit dans les yeux, tout en m’enfonçant plus encore dans la chatte de son amie. J’attrape ses hanches, accompagne ses mouvements et lui balance quelques petits coups de reins en retour. Mon dieu ce qu’elle est bonne…

Quand je me retourne à nouveau sur la belle rousse, c’est finalement pour la plaquer plus encore contre la paroi de verre, m’enfonçant avec rudesse dans son sexe ruisselant pour y imposer encore cinq bons centimètres de cette queue dont elle semblait tant raffoler.

« Mmmmh… j’adore ça. Hhaa… aah… haannn… j’en reviens pas qu’elle t’ait invitée pour que j’te baise… mmmMmmMMMH ! »

La main sur la poignée de la baie vitrée, je fais doucement coulisser la porte pour que nous puissions sortir. Ne desserrant à aucun moment ma sulfureuse étreinte, j’accompagne Roxane jusqu’au balcon, sans me retirer, de sorte à ce qu’elle garde cette fantastique et très excitante position.

Installés sur une petite table, appuyée à la rambarde, face aux voisins, de plus en plus nombreux à leurs fenêtres, je démarre les hostilités, venant d’un coup à asséner à la belle de grands et violents coups de butoir, martelant son derrière de vifs coups de bassin, semblables à ceux d’un animal en rut.

Me mettant à labourer avec force sa petite chatte, je râle à chaque seconde plus fort, ne me retenant ni me privant de quoique ce soit. Le plaisir monte à chaque coup, mais c’est bien trop bon pour que je ralentisse. Il n’y a dès lors plus aucune passion, juste d’énormes coups de queue durement mis. Je la secoue comme un prunier, mon gland la martelant jusque dans le fond, imprimant ses exagérés contours et proportions bien en elle.

Je lui donne une fessée, puis une autre sans interrompre ma saillie.

Le gigantesque pénis qui la ravage se gonfle encore, palpite. Comme une brute, raidi soudainement, j’enfonce d’un coup violent mon sexe tout entier en elle. Ces quarante énormes centimètres palpitent encore, comme le font mes bourses… Et sans prévenir, je gicle en elle.

« AAAAAAH… AAAaaaaaaah… aaaaaaah »

Un énorme et premier jet de ma brûlante semence se répand vite en elle, me tirant un râle puissant, que je ne cherche même pas à contenir. Puis un autre, et encore un autre… Les vannes ainsi ouvertes peinent à se refermer et l’épaisse crème vient vite déborder, s’écoulant en une absurde quantité de son petit sexe trempé et rougi par les assauts.

Mais, encore bien dur, bien trop excité par ce cul formidable, je me remets à la besogner, matant les filles, un peu plus loin, du coin de l’œil, me mordant les lèvres…

« Haaa… désolé… pas de capote à ma taille… »

23
Rendu curieux à l’idée de savoir où la folle envie de bite de ma belle inconnue allait la mener, elle qui semblait déterminée à se faire démonter, qu’importe par qui, se foutant à poil dans la première tente venue, j’avais je le pensais, poussé le curseur du vice un peu loin en me décidant à tester ses limites.

Je devais quand même avouer que cela me plaisait bien de voir comme mes mots, tout comme les petits jeux de ma langue, semblaient l’exciter. La jolie rouquine s’agitait férocement tout en écartant les cuisses bien grand, venait à ne plus contenir le moindre gémissement tandis que je dévorais son sexe avec gourmandise, pourléchant son joli cul bombé que je m’étais bien décidé à farcir toute la nuit.

Mais jamais n’aurais-je cru qu’elle m’aurait pris au mot, alors que, s’allongeant sur moi pour me chevaucher un peu, se déhanchant furieusement pour frotter mon érection à ses petites lèvres trempées par ma faute, un sourire carnassier s’était soudain dessiné sur son visage, affichant clairement son intention de jouer le jeu jusqu’au bout…

M’indiquant notre prochain de rendez-vous, elle s’était relevée d’un coup d’un seul pour disparaître et me laisser là, en plan, frustré avec cette gigantesque érection pour seule compagnie. Je regardais son cul balancer avec indécence tandis qu’elle gagnait l’espace près du feu où tous les jeunes hommes avec qui nous avions fait la fête ce soir avaient dressés leurs tentes. Affichant un sourire plus qu’amusé, je l’écoutais minauder d’ici, alors qu’elle s’était glissée totalement à poil dans une première d’entre elle, faisant balancer ses deux énormes loches comme deux grosses pastèques qu’elle affichait en vitrine pour appâter le client d’un buffet à volonté -le buffet de ce soir étant clairement son cul-.

Sur la béquille, j’avais fini par me relever, rejoignant ma tente pour me remettre quelques vêtements sur le dos avant de gagner son van garé plus loin, priant pour qu’elle ne tarde pas trop. J’avais faim d’elle, moi aussi.

Attirée par ce gros cul qu’elle balançait indécemment, nue, de sa démarche aguicheuse et chaloupée, comme par ses faux airs innocents et par le reste de ses courbes à tomber, la petite troupe de jeunes hommes n’avait pas tardé à se joindre à la rouquine, prête à la suivre partout où elle irait. N’osant même pas lui demander si elle était nudiste, ou quoique ce soit, tous avaient plus ou moins fait semblant de rien, espérant peut-être, sans se l’avouer, qu’une bonne baise serait à la clé pour un chanceux parmi eux, en guise de récompense… sans se douter un seul instant qu’il n’y avait aucun coup de main à donner, juste quelques grands coups de bites pour la faire râler de plaisir autant qu’il lui serait possible de le faire… et aussi longtemps.

Tous la suivaient de près, les huit garçons ne manquant aucune occasion de la mater sous tous les angles, faisant semblant de rien lorsqu’elle se tournait pour les regarder de son air charmeur et sympathique, mais ne pouvant s’empêcher de jaser entre eux en lui trouvant déjà de petits surnoms bien salaces, tandis qu’ils étaient déjà tous fous d’elle. Tous faisaient des efforts et tentaient plus ou moins bien de se le cacher les uns les autres, mais il était clair que, quand bien même ils se donnaient du mal… il était impossible de ne pas remarquer comme tous bandaient durs, comme de véritables fous furieux.

Les profils de chacun variant et étant bien différents les uns des autres, cela n’était pas forcément des plus flagrants pour tous, mais il n’y avait qu’à voir ce grand black d’au moins deux mètres qui lui collait au train, premier de la file, à regarder son cul comme hypnotisé. À voir l’énorme chapiteau qui s’était dressé sous son short de bain, il ne tenait plus. Et… à voir comme le tissu ne suffisait pas à contenir la bête… il était clair qu’il en avait une très grosse. Comme un véritable loup affamé, il avait fait sembler d’aller mettre une main au cul de la petite inconnue mais, arrêté par ses amis, il s’était ravisé.

Accoudé contre la porte du van, à attendre depuis une bonne vingtaine de minutes au moins, je m’étais figé de surprise en les voyant tous la suivre comme de bons petits chiens. Leurs regards avaient dévié de honte lorsqu’ils m’avaient aperçu et j’eus failli pouffer d’un grand rire franc. J’ignorais ce qu’elle avait bien pu leur dire, mais à la voir se dandiner de la sorte, totalement à poil… je me doutais bien ô comme ses arguments avaient dû être convaincants. Ma bouche se fendant d’un large sourire, je la regardais approcher, mon sang ne faisant déjà qu’un tour quand je pus enfin me remettre à mater ses formes généreuses, sa petite chatte si bien épilée qu’elle m’avait donné grande envie de remplir.

Profitant avec amusement de ce petit spectacle auquel elle s’adonnait, je restais pendu à ses lèvres, bien curieux de ce qu’elle allait pouvoir dire à cette petite meute, gagnée par l’incompréhension la plus totale. Il fallait les comprendre…

M’approchant un peu du capot, je la regardais faire, jusqu’à ce qu’enfin elle se penche en avant, écrasant ses deux obus sur le véhicule, pour tendre ses grosses fesses rebondies aux jeunes hommes, qui n’étaient encore pas tous bien sûrs de comprendre… à l’exception du premier de la file, qui n’hésita plus à s’approcher lui aussi. Là où les autres ne cessaient de se regarder les uns les autres, incrédules, murmurant à coups de « de quoi », « sérieux ? », « elle veut qu’on fasse quoi, du coup ? »…

S’avançant, le premier se pourlécha les lèvres, très sûr de lui. Posant ses grosses mains en une grande claque sur les fesses de la rouquine, il se mit à les pétrir, à les caresser puis à les fesser comme pour regarder comme celles-ci rebondissaient bien.

Tirant vite sur l’élastique de son short de bain, il en sortit un long et gros mandrin bien tendu, qu’il fit battre sur le cul de la jeune femme, tout excité qu’il était.

Médusés, les autres s’approchèrent finalement eux aussi, faisant rapidement fi de leur incrédulité pour encercler le petit capot. Ne semblant pas réticents à l’idée de se partager cette somptueuse créature, les mains baladeuses des huit garçons vinrent presque se battre pour gagner un peu de terrain. Glissant, frottant et pressant partout, il se mirent à frotter son gros cul, à caresser longuement ses cheveux, à glisser leurs doigts dans sa bouche… deux d’entre eux virent glisser sur la surface du capot pour agripper ses seins.

Pris dans leur truc, l’un d’entre eux glissa sans ménagement la porte de son petit sexe à l’aide de ses doigts et un autre fit de même de son second petit trou. L’un s’ajouta au premier d’entre eux, et, bien vite, ils furent trois à frapper ses fesses de leurs érections bien vives, donnant là un véritable orchestre de percussions.

24
Tout sourire du fait de ce réveil délicieux, bien que survenu au beau milieu de la nuit, je m’étais perdu quelques secondes à peine, à regarder cet immense feu illuminant la nuit que davantage de merveilleuses sensations me ramenèrent à la réalité. Je me pris à penser qu’à l’inverse d’un autre, j’avais eu beaucoup de chance ce soir.

La somptueuse rousse qui s’était dérobée à lui trônant là, nue et cuisses grandes écartées, m’avait ramené à elle du bout de son pied, l’écrasant doucement et longuement contre mes énormes bourses enflées avant de lui faire détailler ma verge avec douceur.
Les yeux de nouveau rivés sur elle, je la regardais caresser mon gland, tourner autour avec délicatesse, avant de se raviser pour se repositionner. Ses deux gros seins ballants touchant presque le sol de la petite toile, elle s’approcha sans se faire prier le moindre instant, négligeant à moitié mon invitation pour ne s’arrêter qu’à l’entrée même de la tente et pour venir mettre l’une de mes couilles dans sa bouche. Presque furieusement, elle la recracha pour revenir la lécher aussitôt, puis offrait le même traitement à sa jumelle de toujours.

À genoux un très bref instant plus tard, la belle se reculait, le regard pétillant, presque avide. Sa bouche s’ouvrit grand et elle fit pendre longuement sa jolie petite langue rose, qu’elle vint presser au bout de ma queue, lapant chaudement tout ce qui pouvait bien déjà sortir de ma bite. La bouche fermement serrée, j’empêchais au possible le moindre son de s’échapper, m’agrippant déjà de mes deux mains au sommet de la tente.

« Hmmmpf… ha. Ha oui… ouiii… là, comme ça. »

Puis ses mains se joignirent à la cadence de sa langue. Les yeux vers le ciel étoilé, je respirais fort, à plein poumons en me délectant du fait de me faire branler de la sorte, là, comme ça. De quelques petits mouvements de bassin, je venais jouer à mon tour, malicieusement, collant mon sexe tout contre son nez, puis contre son front, ses joues, jouant à la faire tourner dans l’autre sens que celui pris par sa langue. À la voir faire, je trouvais une source d’excitation folle en le fait de voir comme elle semblait prendre son pied à déguster ma bite. Joueur, je m’en amusais donc follement, ne cessant de la taquiner en la lui offrant toute entière, ne manquant pas une occasion de la lui coller en plein visage.

« Mmmh, ouiiii… haan oui, alors il est bon ? »

Ce qui survint ensuite fut la goutte d’eau.
Je compris vite lorsque je la vis changer de position, mais ne m’attendais toutefois pas à prendre mon pied aussi vite. Son cul énorme disparut de mon champ de vision quand sa belle propriétaire vint à se mettre à genoux devant moi, ses deux melons si ronds et mûrs entre les mains. Fourrant ma bite entre ses seins, celle qui m’avait promis que je n’aurais peut-être bientôt plus le droit de les toucher me les offrit pourtant comme sur un plateau pour me donner là le parfait avant-goût de leur incroyable douceur. Ses deux nibards se pressant lourdement à la rencontre de ma verge, la jeune femme m’offrit ici le fourreau parfait pour nos préliminaires. Le bout de sa langue vint à son tour s’agiter de nouveau férocement tout contre mon gland et mes mains, elles, ne vinrent enserrer que plus fort la toile de tente.

« Pu-tain. »

Trépignant d’envie alors que ses caresses venaient déjà à me faire perdre tout moyen, je tapais du pied nerveusement dans le sable chaud, le souffle rendu plus difficile. Cherchant à fuir mon propre plaisir pour ne pas perdre notre pari si simplement, je fuyais également son regard de braise pour observer ça et là, mes yeux fuyant en direction du feu de joie, puis de ces tentes disséminées ça et là, à côté de celui-ci.
Il me fallait gagner un peu de temps, ne pas me laisser aller aussi vite, quand bien même cela faisait un bien fou.

« Haaaa… »

Me mordant les lèvres avec force, j’extirpais en vitesse ma bite de sa prodigieuse paire de seins, me contraignant pour l’instant à une folle et débordante frustration. L’attrapant aussitôt par la main, je l’invitais à me rejoindre dehors, toute nue, et l’attirais avec moi en direction du feu. Nous plaçant côte à côte, je la collais à moi, une main ancrée fermement à son cul que je prenais plaisir à retrouver.

« Et si on allait continuer ça là-bas ? Un soixante-neuf sur le sable, à côté du feu. »

Mon envie se faisant plus pressante à chaque pas que nous faisions, mes mains venaient à s’enfoncer plus encore dans sa chair, pétrissant ses fesses larges et rebondies avant d’effleurer son tout petit trou du bout d’un doigt, tournant autour, le titillant un peu, avant que ma main entière ne vienne finalement s’enfoncer entre ses cuisses trempées, à la rencontre de sa vulve que j’entrouvrais aussi vite.

Arrivé à destination, je me positionnais à genoux près du feu, à mon tour, sans pour autant cesser les petits mouvements entamés par chacun des doigts de ma main si occupée. La gardant debout, face à moi, je plaçais une seconde main contre l’intérieur de sa cuisse et poussait de sorte à ce qu’elle l’écarte d’elle-même, me positionnant presque en dessous.

« Tu sais… »

Arrêtant tout, mes deux mains vinrent glisser contre l’intérieur de ses cuisses, vers l’extérieur. Lentement je montais, glissant sur ses hanches, attrapant ses fesses, puis montais encore tout contre son ventre.

« J’ai peut-être un autre jeu pour toi. »

Mes yeux se levant pour retrouver les siens, mes mains redescendaient quant à elle vers son aine, l’effleuraient lentement…
De mes pouces, j’écartais ses petites lèvres intimes, et vint donner un premier coup de langue à cette petite chatte trempée.

« Si on fait beaucoup de bruit toi et moi… ça réveillerait peut-être ton copain, là-bas. »

Un sourire narquois, et je léchais encore. Une fois. Deux fois, en enfonçant cette fois plus encore mon visage contre son sexe.

« Ça te dirait d’aller le chercher ? »

Mon nez s’enfonçant lentement au creux de ses lèvres intimes, je me barbouillais avec passion de son chaud nectar parfumé. Plus lentement, mais plus intensément encore, je lapais et mes mains remontaient doucement. Tout doucement. Mes grandes mains attrapaient ses seins pour les pétrir eux aussi, pinçant leur petites pointes dressées si durement.

« Deux grosses bombes chantilly à vider sur tes melons. Dans ta bouche. »

Plus grossièrement, j’accélérais la cadence dictée par ma langue curieuse comme pour me bâfrer de sa chatte, soufflant et soupirant dessus encore… et encore.

« Tu t’assiérais sur moi pour me chevaucher autant que tu veux, dictant ton propre plaisir, ta propre loi pendant qu’il s’occuperait de ton cul. Puis… l’inverse, si tu veux m’y sentir et nous faire jouer à celui qui te fera hurler le plus fort. Toute la nuit. »

Insistant sur elle de mes doigts comme de ma langue, sans perdre une miette de ses coquines réactions, je bouffais, broutais sans hésiter sa fleur délicate, l’une de mes mains se perdant en route pour se coller encore une fois à son délicieux postérieur. Sans tourner autour du pot plus longtemps, j’enfonçais une première phalange de mon index dans son cul, puis une seconde, avant d’y mettre mon doigt entier que je mis à faire gigoter de haut en bas.

« Ils étaient une dizaine à se battre pour t’avoir ce soir. Pourquoi ne pas tous les réveiller, même ? Si tu vas les chercher comme ça, aucun d’entre eux ne te dira non… Imagine-toi être le centre de l’attention. Toute seule au milieu d’une partouze. Tu m’as pour toute la nuit, et tu dévalises toute la cave à cigares. Une dizaine de mecs au garde à vous, prêts à vider leurs grosses lances à incendies sur toi, les uns après les autres, tous en même temps… prêts à entrer à plusieurs en toi, à faire la queue pour profiter de tes gros melons, à te faire crier jusqu’au matin. »

Lâchant finalement son deuxième sein, mon autre main retrouva son sexe pour en pénétrer la chair. Le pouce traçant de petits ronds à la recherche de son bouton de plaisir, l’index et le majeur entrant en elle avec aisance pour remuer doucement, en canon avec ce majeur qui s’occupait déjà d’elle ailleurs.

« Alors ? Tu vas les chercher ? Je te regarde… une dizaine d’inconnus rien que pour toi, sans doute tous enchantés de faire la connaissance de ton joli p’tit cul… faisant la queue pour te prendre à tour de rôle ?  »

Un grand sourire aux lèvres, je lançais cela avec un grand naturel. Pourtant je devais l’admettre, je ne savais pas où ni comment j’étais allé dénicher cette idée, quand on sait que jamais de ma vie je n’avais fait un truc pareil.

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One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: dimanche 18 décembre 2022, 14:32:51 »
Comment diable savoir où donner de la tête ?
La vue de ces trois jeunes femmes en petite tenue m’avait donné bien trop chaud alors que, tandis que je venais à peine de les rencontrer, celles-ci s’étaient d’elles-mêmes livrées à me tailler la meilleure pipe de ma vie. Autant vous dire que je n’aurais pas fait long feu si je ne m’étais pas extirpé de leurs jolies petites bouches baveuses pour espérer reprendre un peu le dessus.

Rassemblant un peu mes esprits, je profitais de ce maigre répit pour reprendre mon souffle également, adressant un nouveau sourire à Helen, puis à la jolie Lily, qui n’avait pas quitté sa confortable place.

« Mmmh… t’en fais pas, je ne compte oublier personne. »

Un dernier mais tendre baiser à Helen, puis je me penchais un peu vers la petite blonde qu’elle rejoignait, approchant doucement mes lèvres de celles de notre timide petite nymphomane. Glissant ma langue contre la sienne, notre baiser se fit vite bien plus passionné que ce à quoi j’aurais pu m’attendre…

« Personne. »

À peine m’étais-je reculé pour mettre fin à ce délicieux baiser que je pus admirer mes trois partenaires d’une nuit se dévêtir les unes les autres. Helen extirpa de leur écrin les deux énormes seins de Lily et cette dernière lui rendit aussitôt la pareille en la déshabillant lentement, sous mon regard déjà émerveillé.
Roxane quittait quant à elle l’intérieur de mes cuisses et fit de même, sans plus attendre. Ancrant son regard joueur et malicieux au mien, elle se mit à me faire languir doucement, tout doucement en faisant rouler son bassin. Faisant sauter son merveilleux body de dentelle, elle découvrit une paire de seins gigantesque, ronde mais ferme… Puis elle se tourna sans arrêter pour autant de me guetter du coin de l’œil. Se baissant tout aussi lentement, elle finit par se défaire de ses bas mais conserva ses collants. À quelques centimètres de moi à peine, baissée vers l’avant, la plantureuse rousse découvrait et me tendait un cul énorme, dont les sulfureuses mensurations jureraient presque avec celles de sa petite taille de guêpe.

Profitant de ce merveilleux instant pour toutes les mater sans honte, je me débarrassais en hâte de ma chemise, puis de ce pantalon qui tombait encore à mes chevilles avant de m’avancer un peu.
Je ne pris même pas le temps de dire quoique ce soit. Mes mains baladeuses vinrent se poser, avides, sur le cul fantastique de Roxane. Attrapant ses fesses pour les entrouvrir en hâte, j’y enfonçais un visage ravi comme pour la dévorer, pourléchant ses deux orifices sans une once de retenue, tel un affamé.

Écartant du bout de mes doigts son petit sexe, j’enfournais ma langue en elle, la faisant gigoter au rythme si excitant des gémissements poussés par les filles juste à côté.

Quand ç’en fut assez, après quelques courtes minutes, je me leva d’un bond pour attraper la jolie rousse par les mains. L’attirant avec moi à travers l’appartement, nous quittions doucement le salon, en multipliant ces regards coquins que nous nous jetions l’un à l’autre. La plaquant contre tous les murs possibles, contre la table de la salle à manger, puis contre le plan de travail de la cuisine, je m’attaquais à elle en quelques baisers passionnés, la serrait tout contre moi pour bouffer ses deux énormes seins, avant d’enfin la retourner contre la fenêtre de la pièce de vie. Rouvrant ces rideaux qu’Helen avait fermés pour que l’on reste discrets, je m’assurais alors que tout le monde puisse me voir enfiler cette merveilleuse créature.

L’incitant à se pencher en avant contre la vitre, je me penchais sur elle, les doigts agrippés à sa merveilleuse poitrine comme s’il m’était désormais devenu impossible de m’en défaire. Les lèvres tout contre son oreille, je murmurais, tandis que mon gland, gros comme un poing, s’agitait doucement contre ses lèvres intimes.

« Tu les aime bien grosses, c’est ça ? »

Sans plus attendre, je m’enfonçais en elle d’un coup sec.

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Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: mardi 13 décembre 2022, 20:50:53 »
Armée d’un sourire plus envieux et malicieux que jamais, il n’avait pas fallu bien longtemps pour que la jeune Vexxie s’arrête subitement, extirpant ma bite de sa bouche dans un bruit si sonore que j’eus l’impression qu’il y avait de l’écho. Après ces dernières secondes passées à me faire aspirer si fort, mon souffle en resta court et difficile un instant, encore crispé par l’effet délicieux de ce polissage en règle. La belle avait bavé partout, tout au long de ma verge si durement dressée. Tant et si bien qu’à la lueur du jour, on aurait dit qu’elle luisait.

« Aaah… haaaa… »

Attrapant ma main sans peine, la belle inconnue du lac se laissait guider et écartait grand les jambes, l’une après l’autre, pour m’enjamber et s’asseoir, sur moi, face à moi. Les mains posées sur mes épaules encore vêtues, elle s’agrippait, écartait grand et se laissait retomber doucement, tout doucement.

En une seconde à peine, je pus voir et sentir mon énorme gland disparaître en ses chaudes lèvres intimes. Elle mouillait tant, débordait tant, même, qu’il me parut incroyablement simple de fourrer ma queue en elle. Elle se crispa toutefois bien vite, lorsque mon chibre vint très lentement écarter les parois brûlantes de son petit sexe, sur à peine quelques autres centimètres. Une douzaine peut-être ? Autant dire que nous n’en étions là qu’à un tiers de l’essai.

« Mmmh. »

Me mordillant de nouveau les lèvres, je ne pus retenir quelques souries en la voyant s’agripper de plus belle en retenant au mieux de profonds gémissements. Quel plaisir de voir comme mon seul sexe lui faisait un bien fou.
De mes mains, j’écartais encore un peu le veston trônant sur ses épaules et vint déposer quelques petits baisers sur son ventre nu, puis sur ses deux énormes seins tout en la regardant, amusé.

« Tellement ? »

Happant la pointe d’un de ses seins dans ma bouche, je m’exécutais sans plus de patience et passait ses tétons au crible de ma langue, les mordillant, les léchouillant tendrement, alors que mes mains, quant à elles, venaient à se poser sur son joli et gros cul si charnu pour lui fournir un bon appui, l’aidant et la guidant dans son exploration, pour quelques centimètres encore.

« Laisse-toi aller… Tu peux jouir si tu veux. »

Pressant sur son cul comme pour resserrer l’étreinte de sa petite chatte sur ma queue si dure, je jouais avec joie de ses belles fesses qu’il m’était enfin donné de tripoter. Je les massais un instant, l’aidait à s’empaler un peu plus loin encore… mais cela ne me suffit bien sûr pas.
L’un de mes doigts baladeurs glissant de sa raie jusqu’à ses lèvres si grandes ouvertes, je le trempais d’assez de sa mouille pour le lubrifier comme il le fallait, avant de m’approcher de son second orifice laissé libre. Tournant de longues secondes autour de sa petite rose comme pour jouer, je finis par y enfoncer tout doucement mon doigt, lentement, avant d’entamer quelques petits va-et-vient en elles, tandis que ma queue, elle, ne faisait plus que coulisser très, très lentement, dans sa merveilleuse entreprise de forage.

« Ça te plaît ? »

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Le parc et son sous-bois / Re : Danse sous les feuilles (PV Yolanda)
« le: dimanche 11 décembre 2022, 19:05:31 »
« Oh, vous n’me dérangez pas du tout. »

Aussitôt m’avait-elle réveillé que la charmante professeure semblait sur le point de s’en aller, tout comme elle était venue, telle une apparition soudaine.
Mais… bon, si la solitude avait du bon, il me fallait bien avouer qu’avoir un peu de compagnie aussi. Puis, quand bien même je ne me permettais pas non plus de la dévisager, il fallait toutefois le dire, elle était un régal pour les yeux.

Sa voix, ce petit accent venu de je ne sais où, ses manières et son petit rire d’apparence aimable et innocent… Aussi bien s’excusait-elle, aussi bien je ne pouvais lui tenir rigueur de rien. C’était un fait, elle n’était pas de mauvaise compagnie. Je ne voyais pas d’objection à ce qu’elle reste un peu, histoire de discuter cinq minutes, au moins.

Un petit sourire amusé se dessinant sur mes lèvres, je tirais une nouvelle bouffée et ne manquait pas de rire à mon tour des remarques qu’elle avait pu faire.

« Vous pouvez rester un peu si vous voulez, ils peuvent bien attendre encore un peu leur maîtresse, j’imagine. »

Oui, allez savoir pourquoi, à voir ce rayonnant bout de femme, je n’avais pu l’imaginer autrement qu’auprès de jeunes enfants. Un joli soleil pour leurs vies, délicate et aimante et… faisant sans doute tourner la tête de tous les jeunes papas célibataires…
Mon imagination ne put toutefois faire plus de chemin tant je constatais avec une légère déception comme notre belle maîtresse des écoles était prête à partir.

Le temps d’un petit geste de la main pour la saluer amicalement et… elle me tombait dessus, tête (ou presque) la première. J’eus à peine le temps de lever les bras, prêt à la retenir, qu’elle chavirait pour m’écraser de tout son poids. Retenu fermement sur un bras, j’avais réussi l’exploit de ne pas m’écrouler non plus, mais m’en trouvais vite écrasé, le nez niché tout contre son décolleté.

« Hmmmpf ! »

Se confondant en excuses, la jeune femme s’agitait inlassablement, sans me laisser une seconde pour bouger. Gigotant d’un côté, puis de l’autre, je pus la sentir remuer, passer entre mes jambes tandis qu’elle tentait de prendre appui sur l’une d’elles.
Le visage blotti entre ses seins, je n’osais même plus faire le moindre mouvement, de peur de la gêner davantage. Le contact d’un peu de sa peau, comme celui de ces petites billes roses contre mes lèvres me firent comprendre aisément qu’elle ne portait absolument rien sous cet énorme bustier. Gigantesques et… si lourds, si doux et chauds, ses seins étaient… -devaient être- incroyablement beaux. Un bonnet F ? Au moins. Peut-être plus ?

M’arquant vers l’arrière pour me dégager de son buste, aussi confortable soit-il, je reprenais mon souffle, rouge et confus que j’étais.
Sa main vint se poser sur mon autre cuisse et, rapidement encore, j’en vins à rougir davantage, levant les yeux pour tenter d’accéder aux siens, au-delà de ce dantesque décolleté.
Je sentis comme sa main se baladait, d’avant en arrière, tout contre l’énorme hampe qu’elle avait pu trouver reposant contre ma cuisse et, la sentant faire ainsi, je ne pus me résoudre à croire qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’elle était en train de faire. Sa main montait, descendait et malaxait comme s’il s’agissait là de préliminaires cachés… Il était impossible qu’elle ne sache pas qu’elle tenait ma bite entre ses doigts.

Sa robe ayant légèrement remonté dans sa chute, je pus entrevoir ses cuisses, le début de contour de l’une de ses fesses, qui ondulait contre ma jambe alors qu’elle se tortillait… la ficelle d’un dessous très, très léger, marquant sa hanche découverte.

« Hum… At-attendez. Pas là… »

Ma main libre se posant sur la sienne, je l’attrapais et la déplaçais jusqu’au sol, entre les brins d’herbe.
Si je pouvais comprendre qu’elle soit laissée aller, sans doute surprise, je préférais éviter tout malentendu qui soit, mais restais prêt à lui venir en aide.

Me reculant assez pour enfin pouvoir la voir, je la regardais de longues secondes, le souffle déjà court.

« Ça va ? »

Me penchant d’un côté pour voir cette fameuse cheville endolorie, près de sa cuisse nue, j’observais ce pied qu’elle laissait reposer contre ma jambe, tentant de faire au mieux pour ne pas regarder comme d’ici, son string dessinait le galbe d’un fessier énorme et sacrément rebondi. 

« Vous voulez que je regarde ? »

28
Le corps tordu dans tous les sens sous l’effet du plaisir et de la chaleur ambiante, je ne pouvais désormais plus que fondre tandis que les rêves de mes dernières nuits prenaient enfin vie.

Lové tout contre son corps, je ne résistais plus à l’envie ni au désir, laissant tout simplement mes instincts primaires prendre le dessus tandis que chacune de mes pensées s’évaporaient en cette fièvre qui gagnait chaque parcelle de mon corps. Malaxant sa poitrine entre mes doigts délicats mais vigoureux, je râlais de plaisir, de bonheur presque, en sentant ces deux énormes mamelons chatouiller mon engin, en sentant ses tétons ripper, s’écraser et tourner tout contre mon gland avant qu’il ne gagne sa douce et chaude langue tendue.

M’emportant au gré de sa douceur et de ses mots, comme de chacun de ses gémissements qui ne se faisaient désormais que de plus en plus sonores alors que je jouais amoureusement de son corps, je me laissais aller. Dès la première apparition de cette formidable nymphe dans mes songes, j’étais pour ainsi dire tombé amoureux de ses seins… je les avais choyés, caressés et dévorés à outrance… Je n’avais jamais rien vu d’aussi beau. Autant vous dire que les avoir en main pour m’y loger de la sorte relevait du fantasme assouvi, pur symbole d’une extase absolue, encore à venir mais… qui ne tarderait plus.

Mes yeux dans les siens, je me perdais délibérément, et de mon propre chef, parmi ces vagues de chaleur et de plaisir qui s’accaparaient de ma chair, s’accompagnant de soupirs toujours plus intenses et plus rauques. Mes yeux glissant en direction de son buste, j’accélérais la cadence, ondulant et faisant sautiller mon bassin à grands coups pour prendre ses seins comme s’il s’agissait là de cet énorme fessier ferme et rebondi qu’elle me laissait entrevoir en le balançant de son air désireux et félin.

« OOOOH ! Oh ! Haaaan… Oh tu es si… mmmh… ils sont si gros… si bons… OoOoooH… »

En effet ils l’étaient. Jamais un homme n’avait dû en voir de semblables. Si ronds et si fermes. Voilà un parfait écrin dont il était sûr que je ne pourrais oublier, ni me passer, tant la sensation de manque me ravagerait à coup sûr, après l’avoir tant éprouvé. Leur gigantisme en faisait un parfait réceptacle pour mon corps et, leur poids… m’écrasait en une telle pression… cela relevait de l’inconcevable, de… la magie, pure et simple.

« H   aaah… t-tes… tes seins sont merveilleux… mmh oui, plus fort… PLUS FORT ! »

Me débattant tel un beau diable, chacun des muscles de mon abdomen venait à se contracter pour me permettre de jouir pleinement de ces divines caresses. Mon chibre coulissait aisément, cognait sa chair chaude et si douce, rampait en elle d’une telle force…

Je ralentis toutefois en sentant ses doigts glisser pour attraper mes bourses si lourdes. Je la laissais en profiter, soupirant d’envie au contact de ses doigts… Elle devait me sentir trembler, alors que je n’en pouvais déjà plus.

« Hhmmmpf »

Me mordant fermement les lèvres, j’extirpais d’une main l’énorme colonne de chair hors de son merveilleux écrin. De ma main, tout aussi ferme, je venais la secouer tout contre son corps, tapotant ses deux merveilles de toute la longueur de ma queue, en n’omettant pas quelque soudain va-et-vient du bout de mes doigts.
C’en était fini de moi.

« A-aaaah… AAAAH… mmmh Oui, oui ! »

Le gland pressé tout contre l’espace séparant le sommet de ses deux merveilleux seins, je me libérais sans aucune autre forme de procès. Les doigts entortillés, serrés contre mon gland comme pour s’y activer, les vannes venaient d’un coup à s’ouvrir et je me déversais sur elle.
Un premier jet soudain vint recouvrir cette zone de son buste de mon épais sirop, coulant abondamment au creux de sa poitrine. Puis vint le second, plus épais encore… débordant sur ses seins…

« OOOh oh… ooooh… MMMH OUI ! RAaaaah. »

Les yeux presque révulsés, emporté dans ce formidable élan de plaisir outrancier, je m’astiquais furieusement et l’inondais encore, encore… C’était si bon que, l’espace d’un instant, me vint à l’esprit que dès à présent, je pourrais mourir heureux.

29
Le parc et son sous-bois / Re : Vagues au lac (PV Vexanna)
« le: dimanche 04 décembre 2022, 21:05:56 »
Il n’y a pas à dire, quelle meilleure joie que celle de terminer sa petite balade en barque par une petite pipe, divinement taillée par une belle inconnue qui ne demandait que ça ?
Allez savoir. Quoiqu’il en soit, moi, je me contenterais bien de jouir de l’instant présent.

Les mains passées sous la chemise grand ouverte que portait Vexxie, je tripotais avec joie ses deux merveilleux obus, dont elle se servait pour astiquer mon sexe. Mes mains envieuses les détaillaient, les comprimait et les écrasait fort contre ma queue, mais n’en oubliaient pas quelques autres délicatesses pour autant… Partant vite à la recherche de ses mamelons rosés, j’en traçais doucement le contour du bout des doigts, tandis que mon bassin faisait le reste du travail. Je baisais ses deux gros seins avec passion, ondulant en eux comme s’il s’agissait de son cul, les ramonais de toute ma longueur jusqu’à presser mes bourses tout contre eux. Jouant de cette position, je m’en amusais un peu, faisant quelques feintes pour faire « semblant » de manquer sa petite bouche si grande ouverte. Je comblais parfois sa langue de mon énorme gland, puis déviais la fois d’après, pour venir le tapoter contre son nez… ses joues… Quelle branlette formidable.

Puis, je vins pincer les pointes délicates mais dressées de ses seins, enroulant mes doigts autour pour jouer aussi avec. Hmmm…
Perdu dans mon propre plaisir un petit instant, sa phrase me sortit pourtant de mes pensées, alors qu’elle revenait gober mon chibre avec un air avide, comme si elle s’était dit que, cette fois, elle ne le raterait pas.

« Haaaan… »

Ralentissant les gestes de mon bassin, je m’arrêtais un bref moment, ne me servant plus que de ses seins, les attrapant pour les tordre presque, pour les enrouler, les palper et les secouer contre ma bite si tendue…
Me mordant les lèvres sans même m’en rendre compte, je penchais la tête pour regarder là, plus bas… entre ses petites cuisses qui gigotaient déjà. Quelle belle petite chatte.
Si nous avions été dans un cartoon, peut-être me serais-je mis à baver.

« Mmh… eh bien… »

Pas assez. Jamais assez. Mais, à vrai dire, autant je m’étais tût, que j’aurais espéré qu’une femme d’une… autre espèce, m’apprenne qu’elle était aussi faite différemment, et qu’il n’y aurait à ce titre aucun problème à ce qu’autant de centimètres viennent défiler entre ses cuisses. Mais, son doute confirma un peu la chose… il n’en était rien. Ou bien ne le savait-elle pas ? Je chassais vite cette idée de mon esprit, bien que m’imaginer la lui mettre toute entière me faisait incroyablement bander.

La regardant droit dans les yeux, légèrement soupirant, je finis par lâcher se délicieuse poitrine, lui tendant aussitôt la main pour l’inviter à se relever.

« Tourne-toi et viens t’asseoir dessus, j’ai très envie de le savoir. »

30
One Shot / Re : T’as vraiment de supers amies (PV Wisteria Monroe)
« le: dimanche 04 décembre 2022, 03:09:16 »
Ce soir, je me serais autoproclamé homme le plus heureux du monde que je n’aurais sans doute pas été si loin de la vérité…

Tandis que mon gland formait d’énormes bosses sur les joues de la si belle et douce Helen qui me prodiguait sans s’arrêter ses merveilleuses caresses buccales, aucune de ses très belles amies semblaient prêtes à rester sur le banc de touche. Il n’avait visiblement pas fallu longtemps pour que la température grimpe et, sans que je ne puisse réagir ou empêcher quoique ce soit, le reste du petit trio partait à mon assaut. Fermement, les yeux rivés dans les miens alors que je parvenais déjà plus à la quitter du regard, la jolie rousse me branlait à vitesse grand V, adressant à mon encontre un sourire des plus joueurs… comme si elle adorait cela. La petite blonde, Lily, qui d’abord s’était faite toute discrète, n’était pas en reste non plus… avec douceur, sa main avait attrapé la mienne et, tout aussi doucement, elle l’avait enclavée au creux de ses deux énormes et merveilleux seins… tout contre ce décolleté, en lequel elle me faisait entrer.

Ma bouche s’entrouvrir un peu de surprise, en constatant à quel point ceux-ci étaient gros, si comprimés sous sa jolie petite robe rose. Guidé par ses petits doigts, j’en attrapais un, si doux, si chaud… je le malaxais avec plaisir et envie, me laissant bien évidemment aller à ce petit jeu. Puis je passais au second tout en la regardant. Sans rien dire. Au regard que je lui lançais, et… à cette façon que j’avais de jouer avec, elle devait tout de même comprendre ô combien ils me plaisaient… et à quel point j’avais envie de jouer avec… encore un peu.

Mais tout d’un coup, tout s’arrêta. Figé un bref instant, je les regardait se lever, l’une après l’autre. Nos deux belles invités laissaient tomber leurs petites robes au sol, pour le plus grand plaisir de mes yeux… J’étais comme… hypnotisé, à la vue de ces courbes, de ces dessous affriolants, semblant masquer… plus ou moins… tous les trésors les plus délicieux qui soient, et qui m’ait été donné de voir. Déglutissant difficilement encore, j’en restais bouche bée… la queue raide comme jamais.

« Oh. Wow… juste… wow… »

Les trois coquines rirent ensemble, sans doute déjà bien amusées par le début de cette soirée, comme par ma réaction.
Il n’y eut d’un coup comme plus une seconde à perdre. Les deux nymphes aux corps de rêves écartèrent davantage mes cuisses et se laissèrent tomber à genoux entre mes jambes. Mes yeux se fermèrent un bref instant, le temps d’un frisson, tandis que je sentis leurs mains se poser sur ma peau brûlante… et, à peine les rouvris-je, que je pus me délecter du meilleur spectacle de ma vie.

« Ooooh ! »

Leurs langues bien pendues vinrent se joindre en un formidable ballet à celui orchestré par Helen. De part en part, je pus sentir comme mon sexe se trouvait assailli d’un côté comme de l’autre, littéralement bouffé par toutes les trois.
Tour à tour, elles échangeaient leurs places et se passaient ma bite, la couvrant de salive, de rouge à lèvre… la trempant dans leurs petites bouches si chaudes en marmonnant avec entrain…

« Putain oui… oooh… Haaan… han… c’que c’est boooon… »

Roxane, ayant repris les rênes, ma queue bien en main, la guidait d’une bouche à l’autre en regardant faire ses amies, qui elles, ne me quittaient pas des yeux. J’eus l’impression d’enfler encore plus, tant j’étais excité de faire ça avec une autre femme lorsque Lily se mit à me sucer… mais qu’est-ce que ce fut lorsque vint le tour de la belle rousse ?
Jouant chacune de leurs charmes merveilleux, les belles parvenaient bien vite à me tirer des râles toujours plus intenses, que je masquais au possible… mais, quand je les vis, ainsi, s’adonner à un petit jeu de gorges profondes… je ne pus me retenir. Crispé dans mon siège, je subissais les assauts, me contenant du mieux dont j’étais capable… Mais Roxane, elle…

« Haaa… haaaaaaaaaan… Haa ouuii… oui… oh putain oui… Oui… comme ça… doucement… »

Jamais je n’avais vu, ni ressenti un truc pareil. Les cheveux tenus en arrière, je voyais la tête de la jeune femme s’abaisser, s’abaisser… et s’abaisser encore…
Ne se retenant pas pour gémir et ne retenant non plus aucun de ces bruits de succion si salaces qu’elle faisait en m’avalant, Roxane me gobait… encore… et encore. Puis doucement, elle remonta.

« Haaaaaaaaa… »

Je ne pus retenir ma main et la posa ainsi dans sa douce et flamboyante chevelure, comme pour la guider, tandis qu’elle extirpait ma bite de sa bouche pour se remettre à la lécher comme personne. Elle me dévorait des yeux et s’amusait avec ma queue comme une désespérée… ça me rendait fou. À voir la trace de rouge à lèvres qu’elle avait laissée sur ma hampe, elle avait dû me faire entrer dans sa gorge sur pas moins d’une trentaine de centimètres… Quand même.

Le souffle court, je fixais des yeux cette somptueuse femme semblant tout droit sortie d’un autre monde. Elle bavait sur mon sexe comme s’il s’agissait là du plus délicieux des mets. C’était… c’était… beaucoup trop excitant pour mon palpitant, qui tambourinait en hâte dans ma poitrine.

Me détachant un bref instant de ses magnifiques yeux, j’adressais un regard qui devait sans doute en dire long à Helen. Je ne dis rien, mais… mon dieu, comme je l’aimais pour me permettre de profiter d’un tel instant. Lui tendant la main pour qu’elle s’approche, je lui glissa un :

« Embrasse-moi. »

Ainsi, je revins sceller mes lèvres aux siennes, dévorant avec passion sa belle petite bouche, alors que la proximité nous permettait quelques nouveaux petits murmures, rien qu’entre nous.
Bien sûr, la trêve fut de courte durée, ses amies reprenant vite sa place pour me tailler cette fantastique pipe.

« Haa… mmmmh… Est-ce que tu veux… »

D’un petit mouvement de tête, je lui désignais Roxane qui ne m’avait pas lâché du regard. Je regardais encore comme ma bite disparaissait dans sa gorge avant d’en revenir à Helen.

« Haaaaan… oui… oh, elle est… trop… Hm. J’ai trop envie de la baiser. Là, maintenant, contre la fenêtre. »

Embrassant de nouveau la jolie brune, je passais mes mains sur ses petites joues, soupirant chaudement tout mon plaisir contre son cou.

« J’veux que tu me regardes lui donner ce qu’elle veut. J’en meurs d’envie… Il faut que j’la baise. »

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