Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Messages - Souta et Janus

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Nos deux regards sont plongés l'un dans l'autre alors qu'elle se penche tout en appuyant son corps sur l'accoudoir du sofa qui doit être légèrement collant à cause de la transpiration pour me demander si j'en ai eu assez.

- Nan, je pourrais continuer encore des heures ce soir.

Il ne lui faut pas longtemps pour venir déposer une léchouille sur ma queue malgré son état. Peut-être que j'ai attendu trop longtemps pour lui proposer de me pomper et nettoyer ma bite avec sa bouche ? Ou, au contraire, lui laisser reprendre ses esprits et décider de s'y mettre par elle-même lui offrira une occasion de se lâcher.

Quand elle me tire de mon fauteuil pour aller en direction de la salle de bain je ne prononce pas un seul mot et me laisse emporter par Kara.

Changement de décor signifie aussi changement d'ambiance dans ce cas précis. Cette fois c'est elle qui mène la danse et je me laisse faire comme un puceau qui suivrait les consignes d'une femme plus âgée qui compte lui montrer toutes les bases des préliminaires.
Ses mains se baladent sur mon corps une nouvelle fois pendant que l'eau se réchauffe pour arriver à la température désirée par ma guide du moment.

Quand elle me pousse des deux mains sous l'eau brûlante, nous nous observons tous les deux sans en perdre une miette. Même si j'avoue que j'ai le meilleur rôle car je peux l'observer retirer ses habits. On a beau être loin d'un strip lascif, cela reste agréable pour les yeux.

Les rôles sont clairement inversés. Kara s'amuse à jouer avec sa bouche sur mes jambes comme je l'avais fait plus tôt avec mes mains sur ses cuisses quand je l'empêchais de jouer correctement. Ma seule envie est de continuer à monter pour venir s'occuper de ma queue. Je ne pense qu'à ça alors qu'elle prend clairement plaisir à me faire attendre. La garce. Et le pire c'est que je le mérite.

Quand elle remonte avec sa langue une première fois pour se prendre l'eau au visage je ne dis rien et lève juste le bras pour tourner légèrement le pommeau afin de dévier le jet de quelques centimètres et lui laisser le champ libre.

Je me contente de la regarder sans agir de la moindre manière pour le moment. En tout cas chaque coup de langue me fait soupirer et je ne retiens aucun son pour lui montrer à quel point j'apprécie et savoure ce qu'elle commence à faire avec brio.

- Depuis notre passage dans la bagnole je crevais d'envie de recommencer.

Je me baisse alors en me penchant légèrement en avant pour remettre ses cheveux en place et retourne dos contre le carrelage de la douche froid vu que l'eau ne tombe pas encore dessus. Le mur glacé et sa langue douce associée à l'eau chaude offre une combinaison dangereuse.

- Je te laisse faire, ma grosse queue est toute à toi.

La seconde qui suit laisse échapper un énorme et long soupir de plaisir d'entre mes lèvres. Putain ce que c'est bon. Certains mecs aiment pas se faire sucer. Tout se qu'ils voient c'est une chatte et un truc à enfoncer dedans comme des brutes. Alors qu'il faut savoir varier les plaisirs dans la vie. Et une fille qui sait vous tailler une pipe ne court pas les rues.

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La suite de notre échange est à l'image de sa fin : douce et calme. La fenêtre ouverte dans la cuisine laisse entrer et circuler une brise fraiche et des plus agréables sur nos peaux brûlantes dans le salon. Collés l'un contre l'autre, je peux sentir son coeur battre à cent à l'heure et se poitrine bouger au rythme de sa respiration.

- Qui a parlé de dormir ?

C'est vrai quoi, je ne me souviens pas avoir soumis cette drôle d'idée à un quelconque moment. Dans le pire des cas elle restait jouer un peu à la console autour d'un repas et serait rentrée chez elle en taxi. Et dans le meilleur, j'allais la tenir éveillée jusqu'au petit matin.

- C'est maintenant que tu t'en rends compte ?

Tout en gardant Kara sur moi, je tente de faire bouger le sofa de quelques centimètres en remuant les hanches comme je peux. Là, ça y est ! Un des pieds de la table basse est à portée. Avec mon pied je parviens à rapprocher celle-ci petit à petit et il ne me reste plus qu'à me penchant en gardant un bras autour de la taille de Kara pour chopper une bière.

Je l'ouvre immédiatement et englouti les trois quart de son contenu avant de lui offrir le reste. Mes lèvres repartent de plus belle sur les siennes qui sont moins lisses qu'à son arrivée. Les efforts et autres dépenses d'énergie sont passées par là. Deux doigts viennent alors se glisser dans son dos pour venir caresser ses fesses douces à la peau légèrement rugueuse avec la sueur. Jusqu'à se loger dans la fissure de ce bel abricot mûr sans chercher à aller plus loin. Juste pour jouer un peu.

On reste alors collés comme ça l'un contre l'autre pendant plusieurs minutes. Mes mains toujours aussi baladeuses viennent se nicher sur ses cuisses par-dessus sa chair de poule causée par le changement de température dû au vent frais, sur sa poitrine de manière délicate, dans son cou, sur sa joue pour faire remonter son visage.

- Maintenant que j'y pense, je commence à avoir la dalle aussi.

Sur un nouveau baiser baveux et langoureux, je pose une main sur l'épaules de Kara afin qu'elle se redresse et se retourne pour finir à son tour affalée le dos sur le canapé. Je me relève non sans difficulté le temps d'un moment. Rester coincé sur le sofa à remuer les hanches comme un possédé va me demander de bouger et marcher un peu pour récupérer ma mobilité.

J'attrape le téléphone fixe vers le mur et commande trois pizzas avec boissons et glaces en demandant à ce que je sois pas livré avant une bonne demie heure minimum. Le tout payé en ligne avec mon numéro de carte pour être tranquille quand le livreur passera nous ramener notre commande.

En me retournant je jette un oeil au sofa sur lequel se trouve Kara. Outre la petite flaque de sperme sur le coussin, on peut presque voir ma silhouette à force d'avoir suer par sa faute. J'enlève mon haut pour m'aérer la peau et profiter de la brise et je m'affale sur un des fauteuils à côté du sien.

- La bouffe arrive.

Je la regarde droit dans les yeux au départ en lui précisant ça. Puis mes yeux se tournent vers moi, au niveau de ma queue toujours couverte de sperme et désormais en demie molle après cette pause nécessaire.

- Mais si t'es trop pressée, tu peux venir t'occuper la bouche.

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Le quartier de la Toussaint / Re : Un mois pour tout arranger (PV |-| Chloé)
« le: lundi 28 décembre 2020, 16:14:41 »
Si j'ai enchaîné les choses rapidement jusque là c'était pour pas lui laisser le temps de se rétracter en plus de me venger légèrement. Mais Chloé semble être une pure salope qui ne doit plus avoir grand chose à expérimenter au niveau du cul. Dans les deux sens du terme.

J'attrape le tube de vaseline en rigolant légèrement pour lui lâcher dans la foulée tout en faisant couler son contenu sur trois de mes doigts.

- Ouais, j'ai besoin de toi ce soir. Et capable de marcher droit.

Je tâte tranquillement et doucement le terrain. Ma pensée était bien la bonne, cette nana a pas le cul d'une débutante. Un sacré nombre de bites a dû passer par là avant. Et probablement pas l'une après l'autre. Si elle venait à m'annoncer que deux mecs étaient trop pressés au point de venir croiser le sabre dans son fondement, j'en serais pas surpris.

Les nanas sexy et délurées ça manque pas à Seikusu. Mais celles comme Chloé qui se prennent en selfie après un facial massif elles sont beaucoup plus rares.

Les trois doigts reprennent alors leur route pour son gros cul pendant que mon pouce s'amuse à titiller sa chatte qui m'a l'air humide. Vu qu'elle est désormais sur le dos après son changement de position je peux venir jouer avec un de ses énormes seins à l'aide de ma main libre.

La voir avec le visage encore marqué de mon sperme m'excite terriblement et je pars enfiler un quatrième doigt dans son cul. Sans forcer. Je dilate son trou tranquillement pour le préparer à ma bite.

Le traitement préliminaire dure plusieurs minutes car je préfère ne pas me baser uniquement sur la vaseline. Même si ça facilite la sodomie, s'en prendre une grosse sans préparation pourra faire des dégâts.

- Entre mon sperme, ta salive, la vaseline et mes doigts qui t'ont bien écarté ça va le faire.

Je me rapproche de son trou bien ouvert, la bite à la main, pour coller mon gland gluant et couvert de sperme. J'entame la première poussée en la fixant, un grand sourire aux lèvres.

- T'en es pas à ta première grosse bite.

La poussée se poursuit et mon gland finit par entrer sans trop de difficulté. Le doigtage en règle semble montrer des résultats. Un long soupire tout en expirant de la bouche accompagne le reste de la poussée alors que ma queue continue de disparaître dans son rectum qui est en train de m'écraser jusqu'à m'en faire mal.

Arrivé à la moitié je ressors pour reprendre lentement et voir si ça passe plus facilement au second essai. Ce qui est pas forcément le cas. Ca rentre, ouais, mais la résistance est toujours là.
Je me retire alors et je pose ma queue juste devant son visage quand elle tournera la tête sur le côté pour lui demander.

- Crache dessus !

J'attends quelques secondes et je retourne à ma place initiale avec une queue qui pèse une tonne à cause de toute cette salive. Puis, sans attendre, je repars de plus belle. J'ignore si elle a eu le temps de se décontracter entre temps, si c'est le résultat à retardement de mes doigts, sa salive ou alors une somme de tout ça. Mais j'arrive à glisser bien plus facilement dans son cul.

- La vue te plaît ?

Je me mets alors à l'enculer sur un rythme qui augmente rapidement en me contentant de lui foutre ma queue épaisse jusqu'à la moitié. On verra un autre soir pour une vraie enculade.
Faudrait pas gâcher tout le plaisir dès le premier soir.

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Même avec toute l'endurance du monde, il faut parfois faire des pauses durant un marathon sexuel. Ou alors posséder des facultés spéciales comme certains mercenaires. Dans le milieu des activités illégales on rencontre de tout. Les espèces exotiques ne sont d'ailleurs pas toujours d'origines animales. Je me souviens avoir vu un fois lors d'un spectacle, durant lequel j'escortais une cliente, deux femmes se faire plaisir sur une scène. La première était parfaitement humaine. Alors que l'autre... était en mesure de transformer certaines parties de son corps en tentacules et s'en servait pour lui faire perdre la tête devant une foule adoratrice.

Je me demande pourquoi je repense à ça maintenant. Toujours est-il que mon endurance a bien été drainée jusque là et que je vais devoir me soulager en elle une première fois pour marquer le temps d'une pause bien méritée de chaque côté.

Quand je sens sa main se poser sur la mienne il me parait évident qu'elle veut partir à la recherche d'un autre orgasme. Sauf que je prends la chose tout autrement en sentant que ses doigts fins n'avaient finalement pas terminés leur course.

Désormais plus relâché et plus du tout dans la retenue au niveau de mon orgasme je me mets à sourire tout en continuant de frotter la partie inférieure nue de mon corps sur le cuir du sofa tout en lui lâchant une petite remarque cochonne.

- Moi aussi j'ai envie de te remplir. Et ça va... pas tarder.

Je repars de plus belle mais à un rythme moins élevé qu'avant. Mes gestes se concentrent sur ma main qui malmène sans arrête son clitoris et l'autre qui profite de la douceur de sa poitrine. Chaque pénétration se veut alors plus sensuelle, plus profonde, jusqu'à sentir chaque centimètre venir se loger en elle pour que ses parois douces et humides les caressent à la perfection. Epousant chacune de ses formes et protubérances comme ses veines pulsantes qui l'alimente en sang.

La sueur perle en quantité de plus en plus grande sur mon front. Mon haut me colle à la peau et me démange légèrement au niveau du torse. Surtout quand il se replie tout seul à cause de nos mouvements respectifs. Mais la sensation de vouloir exploser en elle compense largement tout le reste. Ma bite commence même à me faire mal à force de retenir ma jouissance.
Chez un homme les choses ne sont pas toujours roses quand on tire sur la corde. Et là je force un peu trop. Au point de sentir une petite douleur aller et venir.

Dans un dernier élan alors que je sens qu'il ne me reste plus que quelques secondes avant de me soulager, je tire Kara vers moi pour l'empêcher d'aller où que ce soit. Je me laisse aller sur le sofa et enfonce mon dos dans le coussin arrière avec le poids de ma torride partenaire. Nos deux corps se retrouvent dans une position qui limite considérablement ses gestes vu que ses pieds ne sont à bonne distance du sol.

- Putain !

La seconde qui suit voit ma tige écarter ses parfois pour laisser la sperme remonter et jaillir de mon gland pour reprendre la belle et perverse Kara de l'intérieur. Mes doigts martyrisant son petit clito gonflé sans lui laisser une seconde de répit. Ecrasant son sein avec la poigne ferme de mon autre main. Le tout en soulevant les hanches pour que ma bite se loge aussi profondément que possible en elle.

Le premier jet dure deux à trois secondes quand un second arrive, accompagné d'un soupire de plaisir qui termine dans son oreille. Du sperme gélatineux vient se coller à ses parois déjà humides et gluantes alors que mes mains se font cette fois plus douces et mes gestes attentionnés. Je frotte son bas ventre doucement et sa poitrine avec tendresse alors que ma queue continue de se déverser de façon généreuse pour les quinze secondes qui suivent.

Le trop plein commence même à ressortir et dégouliner. Une sorte de gélatine blanche coule très lentement le long de ma tige pour finir par s'accumuler autour de mes couilles qui siègent sur le coussin du sofa et sur l'intérieur de mes cuisses.

Ma respiration est si compliquée, ses cheveux collés sur une partie de mon visage et mon épaule, avec son corps qui se fait soulever par ma poitrine à chaque inspiration, que je termine par respirer avec la bouche désormais. Je laisse plusieurs secondes passer en ressentant la chaleur torride de sa peau sur la mienne, nos corps emboités l'un dans l'autre.

- Et cette fois ? T'as eu le temps de jouir ? Car la soirée commence à peine.

Les idées ne manquent pas pour le reste de la nuit. Mais chaque chose en son temps.

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Kara est tellement excitée qu'elle continue d'enchaîner les initiatives avant que je m'en occupe. J'attendais de me trouver dans une bonne position pour passer à l'étape suivante. Mais elle est clairement pressée de son côté.
Du doigt je joue légèrement avec son clito gonflé et sensible pendant plusieurs seconde alors que je la pilonne brutalement avec ma bite qui est désormais chez elle dans sa chatte brûlante. Mais je décide de revoir la partition un court moment. Mon doigt humidifié par sa mouille qui coule partout se colle à mon index pour filer droit dans sa bouche légèrement ouverte.

- Avec... plaisir !

Les deux mots sont entrecoupés d'un coup de rein hyper brutal dans lequel je mets toute mon énergie. Mes doigts viennent alors se coller et se frotter à sa langue tout en récupérant un maximum de salive au passage lorsqu'ils trainent jusqu'à son menton en repartant. Je peux même sentir son souffle brûlant s'écraser dessus.
Puis les voilà rapidement revenir sur son clitoris. Avec un petit changement de position. Mon autre main vient la saisir à la gorge pendant que je reste dans son dos. Mon pubis claque et s'écrase sur son cul à chaque coup de rein pendant que je la force à se redresser un peu.

Ma main libre se glisse dans ses cheveux pour la forcer à pencher la tête sur le côté. Je me mets alors à embrasser son cou au début en calmant le rythme des pénétrations. Puis je colle mes dents sur sa peau douce mais couverte de sueur salée pour les faire descendre en les plantant juste ce qu'il faut dans sa peau. Les allez et venues en elle se font plus lente mais aussi profondes que possible. Le but est de lui procurer des sensations en haut et en bas.
Associer les deux à pleine vitesse est presque impossible car chaque coup de rein la fait partir en avant. Je mélange les rythmes, les cadences, les coups plus ou moins profonds, mais sans jamais lâcher son clitoris. Le tout jusqu'à sentir sa chatte se contracter et m'écraser la bite.

Et pourtant je ne m'arrête pas en si bon chemin.
Au bout de cinq minutes de jeu, je repose ma main sur sa gorge et la tire vers moi pour la mettre debout, dos à moi, ma queue logée au fond de cette prison de chair chaude et visqueuse. D'un coup de pied bien placé je repousse le sofa plus loin et j'emmène Kara à se retrouver à genoux sur le tapis, la tête dans un coussin qui vient de tomber. Une énième claque vient s'abattre sur son cul qui va finir par y voir apparaitre la marque de ma main.

- Relève ton cul !

Une main sur sa tête et l'autre sur sa hanche, je repars de plus belle avec ma bite épaisse et toujours aussi demandeuse de caresses pour la baiser sans aucune retenue. C'est ce qu'elle semble vouloir et aimer ce soir. Alors je vais pas la décevoir.
Les gémissements animales qui s'échappent d'entre mes lèvres se font de plus en plus réguliers au fil des minutes qui passent alors que le son de nos chairs qui claquent l'une contre l'autre deviennent les seules bruits que mes oreilles peuvent encore capter.
Il me faut plusieurs secondes pour y parvenir, mais je parviens à balayer ses cheveux trempées qui se collent à son visage dont une joue reste collée au coussin. Je lui tends alors ma langue pour chercher la sienne et l'embrasser de manière baveuse et complètement désordonnée. Nos salives finissent même par rapidement faire changer la couleur du tissu de ce coussin.

La veille je m'étais laissé aller à jouir sans chercher à me retenir. Ce soir ce sera différent, je vais la faire jouir encore et encore avant. Donc quand je sens son corps se contracter et sa chatte me presser la bite comme un vieux torchon trempé je change une troisième fois de position.
Je la soulève après m'être penché sur elle en la tenant par les jambes avec toujours mon torse collé à son dos. Puis je pose mon cul sur le sofa avec elle sur moi et je me mets à remuer les hanches pour soulever son corps et le faire rebondir sur le mien.

Une main revient harceler son clitoris comme lors de la première position, tandis que l'autre joue avec un de ses seins et le téton qui l'accompagne.

- Je crois que je vais te baiser jusqu'au petit matin.

Et pas besoin de gage pour me pousser à le faire.

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Après m'être pris quelques gifles de sa part je m'étais fait une idée de la force de Kara. Pourtant la vendeuse avait encore de la ressource vu la pression que sa petite main vient exercer sur mon sexe là-dessous. A croire qu'elle y met tout ce qu'elle a.

- Kuuuuuh !

Tout en la laissant faire vu que je ne peux pas l'arrêter dans cette position, je me remets à l'embrasser à pleine bouche tout en la forçant à reculer pour se redresser. Voir se relever. La main de nouveau sous sa culotte pour la doigter avec trois doigts.
La vache, ceux-ci se font littéralement aspirer au moindre mouvement. Moi qui cherche à la maintenir en état, je crois que ce n'est même plus nécessaire là.

Je la fais se retourner et la pousse en direction du sofa afin qu'elle se retrouve face au nouveau morceau de mobilier. Un genou sur un des coussins et les mains au niveau du dossier.

Avec ses fringues à moitié arrachées et son état d'excitation je ne sais même pas par où commencer. Son haut d'où ressortent ses gros seins qui n'ont plus nulle part où se cacher et sa jupe remontée dont la culotte doit la collée avec tout ce qui en coule.
Ma main droite revient foutre une claque sur son cul. Puis une seconde. Le bruit de la paume qui claque sur sa peau résonne dans toute la pièce en allant au-dessus de la musique du jeu vidéo qui tourne toujours à l'écran.

Mais assez joué. Mes doigts partent sur ma ceinture et la débouclent en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Je me rapproche alors d'elle pour glisser la main gauche entre ses cuisses et commence à faire frotter deux doigts sur sa fente par-dessus sa culotte pendant que je lève chaque jambe afin de virer mon jean que j'envoie voler plus loin.
Puis j'en fais de même avec mon boxer qui offre sa liberté à une bite dans tous ses états. Le prépuce déjà rétracté laisse place à un gland violacé et collant avec les quelques gouttes de pré-sperme qui se mettent à fuir de celui-ci. Le tout trônant au bout d'une tige veineuse et pulsante qui se balance de haut en bas comme la queue d'un toutou prêt à s'amuser comme un fou.

Désormais les deux mains libres, j'arrache un nouveau bout de tissu : sa culotte. J'aurais pu la lui enlever en un clin d'oeil. Mais pas le temps. Non, la chaleur qui m'envahit est trop forte. La seule chose qui pourra me calmer c'est...

- Cette chatte bien trempée !

Je me rapproche de nouveau d'elle avec deux doigts qui prennent sa température une dernière fois. Ca me fera un lubrifiant naturel parfait. D'une main ferme je me saisis de ma queue à sa base et commence à frotter sa hampe veineuse et tremblante contre ses lèvres intimes pour la couvrir de mouille.
L'autre main attrape un de ses gros seins pour le malaxer sans aucune forme de douceur ou de tendresse.
Je me penche alors une dernière fois mon visage de son oreille pour lui glisser.

- La levrette c'est parfait pour baiser une petite chienne en manque.

La main qui tenait se sein l'écrase, le presse comme un citron pour le relâcher aussi vite qu'il s'était attaqué à lui pour refoutre une fessée à Kara. C'est le signal d'une autre attaque plus bas. Sur un dernier retrait de mes hanches je positionne mon gland humide à l'entrée de sa chatte et pousse en force pour écarter ses parois serrées.

- Putain !

L'entrée est aussi résistante et étroite que la veille. Mais ma queue épaisse repousse tous les obstacles qui se trouvent sur son passage. Une main sur son cul et l'autre sur sa hanche pour commencer afin de la maintenir en place. Voir la pousser un peu en avant si ça finit par coincer.

Les râles et autres grognements de plaisir s'échappent de ma bouche au fur et à mesure qu'un centimètre supplémentaire s'enfonce dans ses chairs sensibles. Je sens tous les muscles de mon corps se contracter.
Lorsque les derniers centimètres entrent enfin, mes doigts s'enfoncent davantage dans sa peau alors que je soupire de longues secondes.

- Pfooouuuuu !

La manœuvre inverse me prend aussi plusieurs secondes. Mais contrairement à hier, je sens moins de résistance lorsque je m'enfonce en elle pour la seconde fois. Son corps commence à m'accepter et s'adapter à moi.
Il me faut pas plus de trente secondes pour instaurer une cadence régulière et rapide alors que je lime littéralement sa petite chatte en manque.

- T'attendais que ça depuis le début, avoue ! Je parie que t'en as rêvée toute la nuit hier. Sentir ma grosse bite remplir ta petite chatte étroite.

Tout en parlant avec une respiration lourde et compliquée, j'accélère davantage le rythme de cette levrette brutale.

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Je m'attendais à ce que la soirée finisse plus ou moins de cette façon après ce qui est arrivé hier. Parce qu'elle avait beau tenter de me faire croire le contraire, Kara avait prise son pied dans ce parc. Ce n'est pas pour frimer ou mettre en avant ma façon de faire. La chose s'est simplement produite.

En tout cas l'ordre est lancé et je ne compte pas me défiler. Bien au contraire, la nuit s'annonce folle. Un rictus nerveux m'est même arraché quand elle s'attaque à ma lèvre lorsqu'elle prend les devants en se collant à moi pour m'embrasser sans aucune retenue. La passion et l'envie pourraient prendre être visibles dans ses gestes. Qu'elle est loin la petite vendeuse hésitante.
Avec ses bras autour de ma nuque le message est clair : je n'irai nulle part.

- Les désirs de madame sont des ordres.

Mes mains se posent sur ses cuisses un bref instant pour faire remonter sa jupe au maximum et faire du coup ressortir ce cul bien rebondit. Le fait d'avoir été pris par surprise me force à respirer de façon moins sereine. En associant ça a mon état d'excitation qui grimpe assez rapidement et on obtient un mélange bien salace.
De la main droite je viens foutre une claque sur sa fesse gauche tout en empoignant les deux afin de faire remonter et coller son corps aux formes si généreuses sur le mien.

Sa grosse poitrine est la seule barrière naturelle qui éloigne nos corps l'un de l'autre. Pourtant je peux sentir cette dernière s'écraser contre mon torse. Même déjà comprimée sous son haut et sa veste.
Il fait une chaleur pas possible sur ce sofa. Entre son souffle brûlant quand nos lèvres se séparent quelques secondes pour que l'on puisse respirer, le mélange de nos deux salives chaudes qui coule sur moi, sa peau brûlante quand nos corps se touchent ou encore la friction du tissu de nos habits.

Tout en gardant une main enfoncée dans la chair tendre de son cul, je dirige l'autre sous sa culotte pour constater qu'elle commence déjà à mouiller. Pas de perte de temps inutile pour la chauffer ce soir. Ce n'est clairement pas nécessaire vu qu'elle sait ce dont son corps à besoin.

Mes lèvres échangent un dernier baiser avec les siennes pour plonger et jouer avec son cou au goût salé à cause de la transpiration. Cela me permet de vérifier les zones sensibles de son corps que j'aurais pu négliger la première fois tout en m'ouvrant un meilleur angle qui me permet de glisser trois doigts dans sa fente chaude et humide.

En la repoussant légèrement pour que son dos se redresse, j'attrape un de ses poignets avec la main qui jouait jusque là avec ses fesses pour la glisse sous mon boxer sans chercher à ouvrir mon jean.

- Tu la sens durcir entre tes doigts ? Garde la main dessus jusqu'à ce que je bande complètement pendant que tu repenses à toutes ces sensations d'hier.

Je la lâche aussi tôt pour poser les deux mains sur sa veste et son haut que j'arrache d'un coup pour me saisir de ses seins à pleines mains. Ses deux obus à la peau si douces et élastiques se font presser légèrement pressés l'un contre l'autre pour que leur mamelons se retrouvent collés.
Et là je fonce dessus bouche la première pour les sucer. Les deux petites pointent sensibles rencontrent mes dents dans la foulée.

Jouer avec la poitrine d'une femme m'excite beaucoup car cela les fait souvent gémir de manière assez audible. Dans d'autres situations il s'agit aussi d'un excellent moyen de les plonger dans l'ambiance. Sauf que Kara n'en a pas forcément besoin là. Non, je veux juste que ses gémissements et autres couinements qui résonnent dans mes oreilles fassent remuer ma queue sous mes fringues pour qu'elle sente tout ce qui se passe avec sa main.

La pointe de mes cheveux effleure sa poitrine et viennent parfois s'écraser sur mon front quand je joue plus avec un sein que l'autre maintenant que j'ai recraché de façon volontairement vulgaire ses deux tétons couverts de ma salive. Je m'amuse à alterner entre l'un et l'autre. Traiter le premier de façon agressive en le pinçant ou le mordant tout en caressant ou léchant tendrement l'autre offre une sortie de double traitement opposé amusant et excitant.

Ceci dit, les minutes passent et je suis bientôt en état de m'occuper d'elle directement.

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Ouais, j'en faisais des caisses pour plaisanter. Mais c'est rien à côté d'elle quand elle vient remuer le couteau dans la plaie en se posant devant moi. Quand elle parle de mes autres qualités je me mets à rire en relevant la tête. Nos visages sont sacrément proches l'un de l'autre. Au point de pouvoir sentir son haleine et sentir son souffle chaud sur ma peau.

Un immense sourire sur le visage je me dis que ça va... que ça doit se payer.

- Ah ouais, tu veux la jouer comme ça ?

Je l'attrape par le poignet pour la faire se relever à mi-hauteur pour ensuite la faire tourner sur elle même afin qu'elle recule ensuite pour atterrir sur mes genoux. On va pimenter la prochaine partie et on verra si elle s'en sortira aussi bien que ça, madame la gameuse.

- Je vais te filer un handicap pour la prochaine partie. On verra si ce sera aussi facile.

Contrairement aux précédentes elle se retrouve seule face à trois joueurs et devra finir dans les deux premiers. Donc interdit d'être dans les deux premiers joueurs à se faire expédier hors de la plateforme de combat.

De mon côté je ne bouge pas, les bras allongé et posés sur le sofa tout en la gardant sur mes genoux. J'attends le moment propice pour la déranger. La partie démarre, chaque joueur commence tranquillement en s'envoyant des attaques de loin.

Alors qu'elle tente de prendre les devants, mes mains se posent alors sur ses cuisses pour remonter en emportant sa jupe avec elles dans le mouvement.

- Aaaah, on reste concentrée sur la partie !

D'abord sur la surface extérieure de ses jambes, je change rapidement de côté pour venir voir si l'intérieur est tout aussi sensible. Ce qui me semble être le cas vu sa façon de gigoter. Elle a du mal à rester sur place. Mais faut voir si c'est de ma faute ou celle du jeu étant donné que les parties précédentes déjà elle ne se retenait pas de jaillir du sofa pour gueuler sur l'écran.

La partie avance et un premier joueur fini par se faire éliminer. Il n'en reste plus qu'un pour que Kara remporte son défi. Ce qui me pousse, logiquement, à augmenter la difficulté. Sinon c'est pas drôle.

- Tu t'en sors bien. Heureusement que je sais pas me servir de mes dix doigts, sinon t'aurais déjà perdu.

Ma main droite reste en bas et s'approche dangereusement de sa culotte en lui caressant l'intérieur de la cuisse doucement. La gauche, elle, remonte le long de ses hanches par-dessus ses fringues pour venir se poser juste en-dessous de sa grosse poitrine. Sans se poser dessus. Non, je préfère jouer avec l'idée que cela pourrait se produire à tout instant. Que cette possibilité lui trotte dans l'esprit durant sa partie. Du bout des doigts j'effleure sa culotte. Le dos de mon autre main, elle, se frotte à ses imposantes jumelles pendant que je caresse le haut de son ventre.

- Ca y est presque, ouais...

La remarque est clairement à double sens. Et au final... Kara parvient à dégager un second joueur et même à remporter la partie. Eh ben, à croire que ça l'a boosté au lieu de la déstabiliser. J'avoue ma défaite. La seconde d'affilée. Je retire mes mains doucement en lui annonçant doucement à l'oreille.

- T'as encore gagné. A toi de me refiler deux gages. Sauf si tu préfères m'en refiler un plus gros.

504
A cette nouvelle demande des plus étrange je ne trouve qu'une seule réponse.

- J'avais dis "dans les limites du raisonnable" pourtant. T'étais prévenue, alors viens pas te plaindre après.
Tu peux mettre de la musique avec ton téléphone, non ?


Après une minute ou deux à chercher comment lancer une chanson rétro avec les paroles à côté je me lève au milieu du salon. Du tibia je repousse légèrement la table basse pour ne pas renverser ce qui est dessus en plus d'un des fauteuils.
Mais les préparatifs ne sont pas terminés, oh non. J'attrape ma bière et la descend d'une traite pour reposer la bouteille vite aussi rapidement que je l'ai récupéré.

La musique démarre enfin et je me lance :
♫ Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer ♫
♫ Et la Terre peut bien s'écrouler ♫
♫ Peu m'importe si tu m'aimes ♫
♫ Je me fous du monde entier ♫


La chanson dure trois longues minutes durant lesquelles je ne me défile pas. Chaque syllabe sort de la mauvaise manière. Je chante horriblement faux et ce n'est pas volontaire une seule seconde.

Au milieu de mon interprétation je pose un pied sur le fauteuil en levant une main en l'air, comme pour implorer le ciel. Elle voulait la totale, non ? Sans fleur à portée de main pour jouer au casanova, j'improvise et ramasse une bouteille de bière pour me tourner ensuite d'un geste fluide et doux vers Kara pour me retrouver sur les deux genoux face à elle.

♫ Nous aurons pour nous l'éternité ♫
♫ Dans le bleu de toute l'immensité ♫
♫ Dans le ciel, plus de problème ♫
♫ Mon amour, crois-tu qu'on s'aime? ♫
♫ Dieu réunit ceux qui s'aiment ♫


Je lui tend la bouteille du bout des bras en prolongeant volontairement la dernière phrase de la chanson avant de lui saisir la main droite et de la baiser comme dans les films.

- Je t'avais prévenue. Alors inutile de m'envoyer la facture si t'as perdu l'audition ce soir.

Sans attendre plus longtemps je me prends une autre bière et la descend d'une traite pour la faire claquer légèrement sur la table basse en annonçant que cette fois je vais gagner. Ce qui... n'arrive pas. J'étais super motivé, remonté, prêt à tout faire péter sur mon passage. Ce que j'avais pas prévu c'est que mon adversaire esquive mon attaque et que je tombe tout seul hors du décor sans avoir faire quoi que ce soit.
La tête baissé, complètement dégoûté par cette partie pourrie je soupire en souriant.

- Bon, j'ai perdu, encore.

505
Prélude / Re : Etyhs, Mère Kitsune Bienveillante
« le: jeudi 24 décembre 2020, 18:32:26 »
Tout bienvenu à toi !  ;)

506
- Ouep, une bonne grosse gifle.

Je l'encourage à y aller franco. Les fois précédentes elle avait agis par instinct, rage, voir envie. Mettre un coup est généralement plus simple et efficace quand le geste n'est pas traiter trop longtemps par le cerveau. L'anticipation peut nuire à son efficacité.
Ce qui finit par arriver ici...

- Ah ah, t'es pas censée te faire mal.

Assez rapidement elle va pour retenter sa chance sans me demander mon avis. Il y a pas à dire, je suis en train de former une sériale gifleuse. Je vois son geste partir et je l'évite à la dernière seconde pour remplacer ma tête par ma main dans laquelle elle frappe comme un high five.

- Faut pas abuser des bonnes choses. J'avais dis une gifle, pas deux.
T'aurais sûrement d'autres occasions plus tard. Même ce soir. On sait jamais.


J'attrape la manette et la lui lance pour voir si elle va la rattraper par réflexe tout en rigolant. On a une longue soirée devant nous et laissons celle-ci reprendre son court dans la rigolade.

Nouvelle partie, nouveau personnage et... nouvelle défaite. Le combat a par contre duré bien plus longtemps que prévu. Je suis parvenu à mourir en second pour m'offrir la troisième place devant un FortnikeBouleRoyale à qui j'ai même pu placer une attaque ou deux.
Je ne dois mon salut qu'au second inconnu qui s'est chargé de bien l'allumer vu que Kara ne semble pas intéressée le moins du monde à me venir en aide.
La fourbe, elle veut profiter de son avantage et me refiler un tas de gages ce soir. Ce qui n'est pas volé après les deux derniers jours durant lesquels j'ai mené la danse.

Je dépose ma manette sur la table basse et baisse la tête face à Kara après m'être tourné vers elle.

- Je m'incline. Tu peux me demander ce que tu veux. Enfin, dans les limites du raisonnable.
Et pas de seconde gifle, histoire de pas imposer deux fois de suite le même gag, sinon c'est pas drôle.


Reste à voir ce qu'elle aura en tête cette fois.

507
En lui posant la question je m'attendais à une connerie liée à son boulot. D'une nature moins grave en tout cas. Genre s'être gourée sur une commande en entrant 2000 au lieu de 20. Mais là... Putain, elle a pris cher. Pas étonnant qu'elle ait autant de mal à se lâcher et qu'elle flippe pour un rien. Va y avoir du boulot. Beaucoup de boulot.

On me dit souvent que je suis un peu trop cash, con, incapable de comprendre ce qui m'entoure. Que ce soit en causant quand il faut pas, en rigolant quand il faut pas, en... Bref, de faire un truc quand il faut pas. La majeure du temps quand on est en groupe. Là on est deux, donc c'est plus simple.

Je me contente de la regarder sans rien dire en buvant ma bière tranquillement. La fin du cours, mais lourd, récit arrivé je me contente de répondre.

- Pathétique ? Nan, c'est pas le mot que j'aurais choisi.

Mais je m'arrête là. Des conneries lourdes à porter on en fait tous. Songer à se foutre en l'air durant une période difficile également. Dans mon cas j'étais plus jeune qu'elle. Se retrouver à la rue quand t'es encore gamin avec tous ces tordus qui cherchent à profiter de tes faiblesses peut te pousser à commettre les pires saloperies qui soient.
La peur peut te sauver dans certaines situations lorsqu'elle est maîtrisée. Ou alors devenir la cause de ta perte quand elle domine chacun de tes gestes.

Quand elle va pour me poser une nouvelle question sur mes activités je l'arrête en rigolant doucement. Principalement pour détendre l'atmosphère.

- Tututut ! Il y a des règles. Faut gagner pour avoir le droit de demander.

Et c'est quasiment aussitôt annoncé que je me fais éclater par un certain d4rK_Sas7Ke. J'ignore si Kara voulait prendre les choses en main pour s'assurer de gagner et obtenir une réponse. Mais le destin à décidé que j'aurais pas le choix. Me suis pris un combos de 50 coups dans la gueule sans pouvoir réagir. Et ma manette n'avait aucun problème de batterie ou de boutons.

- Ah ouais, 50 coups quoi.

Tout en gardant la manette en main je laisse Kara finir la partie pour répondre à sa question. Même si elle l'a posée avant de gagner, on peut pas changer un gage. C'est la règle. Une règle cachée, qui n'existe pas, mais qu'on respecte quand même. Parce que !

Mon regard est un peu fuyant et un sourire nerveux se dessine sur mon visage quand je prononce la seconde phrase de ma réponse.

- Pour commencer, non, j'ai encore tué personne à ce jour. Pas directement en tout cas. Pas de mes mains si c'est ce que t'entends par là. Je fais pas non plus dans la dissimulation de cadavres. Ca c'est le boulot des nettoyeurs. Comme pour les scènes de crimes, mais pour les criminels.

Je prends un air plus sérieux en la fixant droit dans les yeux.

- J'ai fait un paquet de trucs dont j'suis pas fier et pour lesquels je pourrais sûrement jamais me rattraper. Ca vient sûrement de mes gênes. Parait que certains comportements peuvent être transmis par les parents si on en croit les scientifiques.

La dernière phrase est accompagnée d'un regard froid, presque haineux. Le fait de repenser à ma mère fait remonter pas mal de choses qui me dérangent. Kara n'est pas du tout responsable de ça. Déjà parce que j'ai lancé le sujet le premier. Et ensuite parce que la seule responsable est celle qui m'a forcé à finir dans les rues.

- C'est clair que j'suis ni un homme d'affaire, ni un sportif, ni un artiste. Ce que je fais est pas toujours légal et je me retrouve presque toujours dans des situations merdiques. Mais t'as rien à craindre de moi si c'est ça le problème.
Tu peux le vérifier en me collant une baffe. On est plus à un près maintenant. Ah ah !


Cette fois je termine ma phrase en me marrant sincèrement.

508
Ah oui, les applis. Ces machins carrés sur les écrans de smartphone qui font tout et n'importe quoi. En l’occurrence ça peut être utile ici. Un programme qui permet de commander et payer rapidement sans passer deux heures au téléphone car la personne à l'autre bout du fil n'entend rien à cause du bordel en cuisine est pratique. Mais celle qui reproduit le bruit d'un pet comme me l'ont montré les gosses plus tôt, j'ai des doutes. Ca semble con mais faut le programme le truc. Que ça demande une heure ou une journée, j'suis pas convaincu du truc.

Quand elle me demande si je veux un truc précis en m'indiquant qu'elle optait pour du thaï je me contente d'un rapide "C'est toi la patronne." en terminant de remettre les coussins en place sur les fauteuils.
En me redressant je me retrouve nez à nez avec l'écran de son portable qui affiche une carte et visiblement l'endroit où se trouve le livreur en temps réel.

- C'est aussi flippant que pratique la technologique. En tout cas t'as l'air de gérer.

Je me doute que le mec est suivi par un programme de son propre chef. Une question de sécurité pour lui et le client. Du moins c'est de cette façon qu'ils doivent vendre la chose auprès de leurs employés durant les entretiens. Ce qui est pas faux dans l'absolu. Sans pour autant être entièrement vrai.
Je termine le rangement en réunissant les manettes qui étaient posés un pu partout pour les déposer à leur tour sur la table basse.
Tout me semble bon pour passer une bonne soirée. Tranquille et relaxe.

Je rejoins alors le sofa pour "poser un cul" comme disait un petit vieux que je connaissais. Cette expression a toujours été amusante et étrange à la fois. Et c'est là que Kara engage la conversation.

- Après ce qui s'est passé hier... Ouais, comme un bébé. Faut dire que tu m'as bien fatigué.

La phrase sort tout naturellement avec un petit sourire sincère. Faut dire que je l'imaginais pas comme ça au fond. Dans un coin de ma tête je me dis que j'y suis allé un peu fort. Et dans un autre qu'elle s'est aussi lâchée, du moins en partie. Comme les gifles par exemple. Libérer son côté animal de temps est une excellente chose.

- Et toi, le boulot ? Vu tes fringues t'es venue directement ici.

La soirée commence tranquillement avec une conversation assez banale. Le tout est de la faire se sentir à l'aise. Quand on est de repos on veut s'amuser, passer de bon moment, ne pas se prendre la tête pour quoi que ce soit. Et je compte bien faire ça ce soir.

Quand le livreur arrive je me lève et pars lui ouvrir, récupérer la commande et le payer.

- Euh... La commande est déjà payée monsieur.
- Ah bon ?
- Oui, via l'application.
- Ce sera ton pourboire alors.
- Merci, vous êtes très généreux. N'hésitez pas si vous avez besoin de quelque chose.


Je me saisis des sacs et les dépose sur la table passe en repoussant légèrement les manettes. Puis je file dans la cuisine afin de rapporter deux packs de six qui se trouvaient dans le frigo.

- T'en fais pas, il en reste encore pas mal d'où elle viennent.

Pour le moment j'ai pas très faim. La faute aux saloperies que je me suis enfilé dans l'aprem avec les gosses. De toute façon on est là pour un moment et je peux bien manger plus tard. C'est à ça que servent les micro-ondes.

A la place j'attrape une manette qui n'est... pas celle qui permet de contrôler le jeu. J'en change et la seconde ne fonctionne pas plus. Heureusement je passe moins pour un con avec la troisième.

- J'ai juste regardé les enfants jouer t'à l'heure. Mais je connais les touches... en gros.

Avec un mal évident je parviens à revenir à l'écran de départ. De là je me trompe ou deux fois dans les menus en cherchant à lancer une partie à quatre en ligne. Nous deux et deux inconnus. Mais en mode chacun pour soi.

- On pourrait ajouter un jeu au jeu. Genre, celui qui meurt en premier aura un gage décidé par l'autre. Surtout que tu pars avec un gros avantage vu que c'est ma première partie.

Enfin, en théorie. Même si elle arrivera probablement à se servir de moi comme paillasson 9 fois sur 10, je veux au moins tester un truc.
Pour cette partie je choisis un espèce d'alien rose tout petit et rond. Il a pas l'air super fort, mais de toute façon je cherche pas à gagner car j'y arriverai pas.
Non, j'ai aucune chance de finir vainqueur de ce combat.

Et... J'avais raison. Je termine 3ème. Sauf que Kara s'est faite avoir avant moi. A défaut de balancer des coups j'ai opté pour la célèbre technique du lâche. A force de fuir en permanence les autres joueurs en eu marre et se sont ligués sur Kara qui semblait chercher à m'avoir. Ils l'ont salement prise en traître pour me dégommer dans la foulée.
A moi donc d'imposer le premier gage. Je me retourne alors dans sa direction avec un immense sourire aux lèvres. Le genre à te faire bien flipper car tu vas t'attendre à un truc tordu sorti de nulle part.

- Bon, j'ai un peu triché. Alors au lieu d'un gage j'vais te demander plutôt... Raconte-moi la plus grosse connerie que t'as faite.

Cool et relax, comme j'l'avais dit. C'est juste une question à la con. Rien de bien méchant dans le fond.

509
En me levant ce matin un drôle d'état que je croyais appartenir à un lointain passé revient me déranger : celui provoqué par les courbatures. Il n'en faut pas beaucoup pour qu'elles reviennent à la charge ces saloperies. Un passage à vide aux niveau des entraînements sur quelques jours associé à un stress trop important et prolongé des muscles ne font pas des chocapic. Non, ça vous fait chier. Et accessoirement mal si celles-ci sont importantes.

La séance de reprise est donc plus légère et je me contente d'une petite heure de course et d'étirements pour filer ensuite sous la douche. En chemin je tombe sur Lucius et tout le reste de sa famille qui part à l'école. On croirait presque voir un maman canard avec ses petit qui suivent en file indienne avec une démarche des plus singulières.

- Tiens, t'es pas avec ta copine ?
- Non, je m'entraîne toujours seul, tu le sais.
- Ca veut dire que c'est toujours mort ?
- Pour t'entraîner ?
- Ouais !
- Dans quelques années ptète.
- Allez, sois cool !
- J'suis cool. D'ailleurs tu devrais passer cet aprem si t'as pas cours, tu vas en voir des trucs cools.
- Ah ouais ? Même si j'viens avec tout le monde ?
- Ouais, venez tous.


Après deux ou trois autres échanges assez bref, tout le monde reprend son chemin. Faut pas qu'ils arrivent en retard à l'école et moi j'ai un entraînement à boucler. Même si ce quartier est pourri et dangereux on peut s'y sentir chez soi.

En fin de compte je suis resté dehors quasiment une heure et demie. Un bon décrassage en règle comme on dit dans le milieu du sport. Se retrouver seul permet de se vider la tête, se vider le corps en transpirant et en se concentrant sur sa propre respiration tout du long. Ca m'a même fait penser à la veille. Mon but était de pousser Kara à se lâcher. Mais ça se trouve j'ai été trop cash ? Je devrais sans doute changer de stratégie.

De retour à l'appart je tente de filer à la douche... sans me cogner aux meubles. Va me falloir plusieurs jours pour m'habituer vu que suis passé d'une pièce vide où le moindre son résonnait à un endroit complètement meublé. Au moins j'aurais aucune excuse pour ne pas laisser trainer mes saletés au sol maintenant.

|------|

Au milieu de l'après-midi Lucius passe comme prévu avec toute la marmaille. On peut voir immédiatement leurs yeux s'illuminer et pratiquement sauter de leurs orbites en voyant le nombre de cartons de consoles et jeux qui sont entassés les uns sur les autres à côté du meuble télé dans lequel se trouve un écran hyper def de K. Enfin, un truc du genre. J'ai rien capté au charabia du vendeur. J'ai juste vu que l'image était bonne et ça me suffisait largement.

- T'as trouvé ça où ? C'est tombé d'un camion ?
- Nan, ça vient de la boutique ***.
- Sérieux, j'ai jamais vu autant de jeux.
- Justement, je compte sur toi pour installer un truc. Ce que tu veux. Et après vous pourrez jouer.
- N'importe laquelle ?
- Ouais.
- Alors attends...


De toute ma vie je ne crois pas les avoir vu travailler ensemble aussi rapidement et sans se gueuler dessus. Faut croire qu'avoir un but commun permet de voir des miracles se produire. Jusqu'à.... ce que la dispute des manettes arrive. On ne peut jouer qu'à quatre on dirait. Et vu qu'ils sont six...

- Okay, okay, on se calme. Il y n aura quatre qui jouent et les deux premiers qui perdent passent leur manette.
- Ouais, il a raison.
- Mais Lucius il pert jamais !
- Ca c'est votre problème.


Deux ou trois heures passent dans la joie et la bonne humeur. Jeux vidéos, sodas, gateaux et bonbons. Le paradis des ados visiblement. Il en faut peu pour les contenter en même temps.
Sauf que toutes les bonnes choses ont une fin. Je les renvoie donc logiquement chez eux dans les plaintes et les pleurs pour les deux plus petits. De toute façon ils savent qu'ils peuvent passer quand ils veulent du moment que j'suis dispo.
De toute manière ils ont pas le choix. Même dans les écoles publiques des quartiers populaires il y a des devoirs. Et leurs parents ne se tuent pas à la tâche pour élever des cancres.

Je profite de cette brève période de calme pour ranger, nettoyer en attendant Kara qui arrive plus vite que prévu. Pile à la seconde où je termine. Quel timing, digne d'une série télé.
Je fonce lui ouvrir en la saluant rapidement pour retourner rapidement mettre deux meubles à leur place.

- Salut ! Vas-y, rentre ! J'viens de finir de ranger. Mets tes affaires où tu veux.

Ca doit lui changer d'il y a deux jours. Et au moins, cette fois, elle est pas tombée en entrant. Enfin, je crois. Les meubles à leur place je pars dans la cuisine récupérer deux bières et je lui en tends une directement en déposant la seconde sur la table basse.

- Soirée bouffe et jeux vidéos, ça te va ? Par contre j'suis un... Comment il a dit déjà ? Un moob ?

La console est restée allumée sur un jeu où quatre bonhommes se tapent sur la gueule pour s'éjecter de plusieurs plateformes. Parait que c'est à la mode et qu'on comprend vite comment ça marche. En théorie, car avec moi c'est pas gagné.

- D'ailleurs, si tu veux commander un truc, le téléphone est là.

510
Centre-ville de Seikusu / Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)
« le: mercredi 23 décembre 2020, 22:02:30 »
Lorsqu'elle me déclare ne pas avoir eu d'orgasme je me remets à sourire. Vraiment ? Dans son état actuel ? Après toutes les fois où j'ai senti que ma bite se faisait écraser par une pince hydraulique ? A d'autres. Mais je ne vais pas jouer son jeu. Oh que non, une idée plus amusante me vient à l'esprit et je vais la lui dévoiler dans quelques instants.

- Vraiment ? Aucun orgasme ? Pas même un petit ? Mince alors...

Ma queue, toujours dure et pulsante dans sa chatte qui baigne dans nos deux liquides, se remue pour touiller ce cocktail crémeux et pervers. L'étalant sur ses parois qui semblent plus sensibles qu'elle veut me le faire croire vu les expressions de son visage.

Je fais durer le jeu quelques secondes avant de la soulever assez haut pour que nos corps se séparent enfin. Mais pas complètement. Enfin, dans un sens. En la soulevant au de mes mains je garde sa chatte dégoulinante au-dessus du sol pour voir s'y former une petite flaque pâteuse et blanchâtre.

Une fois l'objectif atteint je dépose Kara au sol un peu plus loin en lui présentant la bête. Le gland qui empeste un puissant parfum de sperme se retrouve pile sous son nez.

- Quand on termine son dessert il faut nettoyer sa cuillère, non ?

Je m'avance un peu plus pour coller mon bout sur ses lèvres afin qu'elle me nettoie complètement la queue et les couilles qui sont aussi sales après tout ce qui a coulé dessus. Alors que ma queue entre doucement entre ses lèvres je pose ma main sur sa tête sans prévenir et la bloque où elle est.
Mon regard est fixe, au loin, comme à la recherche de quelque chose. La chose dure plusieurs longues secondes.

- Oups, j'ai cru voir quelqu'un arriver. Mais c'était juste un piaf.

Je relâche alors la pression sur son crâne et l'observe recracher ma bite désormais couverte de salive. Mais il en reste un peu, alors je l'encourage à continuer une petite minute pour ensuite lui présenter ms gros testicules encore bien chargés malgré ce qui vient de sortir entre ses cuisses plus tôt.
Mais il ne faut pas avoir les yeux plus gros que le ventre.

- C'est bon, ça devrait faire l'affaire.

Je l'interrompt alors et fais deux pas en arrière pour ranger mon attirail sous mon boxer dont le tissu me colle immédiatement. Vivement que je rentre prendre une douche sinon ça va renifler là-dessous. Puis je repars en avant dans la direction de Kara pour lui tendre la main afin qu'elle arrive à se relever et se plaquer contre un arbre à quelques centimètres de nous si besoin.
Elle a beau dire je vois bien que ses jambes flagellent. A ce rythme je suis parti pour la porter jusqu'à la bagnole. Ce que je fais assez rapidement sans lui demander son avis.

- Désolé, j'aurais bien voulu continuer jusqu'à te faire jouir. Mais la promesse était de t'offrir un petit dessert. Et tu me connais, j'aime pas forcer les choses.
Après, j'suis libre demain. Pourquoi tu passerai pas ? On pourrait essayer les consoles et... Je me rattraperai pour aujourd'hui.


Pour dire vrai, y mettre un terme ici me permet d'un côté de la pousser à revenir me voir car je sais qu'au fond d'elle l'envie de poursuivre et de recommence est présente. Tandis que de l'autre je vais arriver en retard chez moi. Enfin, je suis déjà en retard à en juger par l'horloge du parc.

On retourne alors à la voiture. Elle dans mes bras, soulevée comme une princesse alors que je viens de la ramoner comme un bête il y a encore même pas dix minutes. Je prends juste soin de récupérer une serviette sur la banquette arrière pour l'installer sur le siège passager. Parce qu'avec tout ce que je lui ai mis il y a des chances que ça continue de couler en chemin pour la déposer chez elle.

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