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Messages - Sophiana Caldo

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Ville-Etat de Nexus / Re : The Witch and The Tiger [Sophiana]
« le: lundi 22 octobre 2018, 14:16:49 »
Je suis surprise de cette révélation, ma fille ne m'a pas tout raconter sur ce qui s'est passé avec cette prof. Elle m'avait seulement dit qu'elle avait violé une de ses consœurs sur son propre bureau, devant ses yeux, et qu'elle n'avait que regarder la scène. Au vu de ce qu'elle me dit et les gestes, je ne peux que penser l'inverse.

Je me lèche les lèvres en voyant son teint et ses cheveux qui changent d'un coup, mais surtout son tour de poitrine qui grossit, la rendant plus provocante. Ma droite enchaîne les claques sur ses grosses mamelles, les faisant rebondir sur mes coups tandis que la main d'Omiji vient me branler la verge sans que je ne lui demande. Je la laisse découvrir la grosse trique sous ma robe pour finir nue et bandant dans ses mains, qui se retrouvent à astiquer soixante centimètres de chair dur et brûlant.

Cependant, malgré les dires qu'elle m'a dit, une chose me titille dans cette ambiance de Luxure. Comment a-t-elle su que je voulais l'engrosser, la faire devenir l'une des mères de ma descendance ? Le pire, c'est qu'elle me le dit en m'appelant déjà "Maîtresse".

Dis donc, tu m'as l'air bien au courant de mon projet pour toi. Ne serait ce pas ma f.... Owh ! Mmmmmmh !

À peine le temps de parler que m'a prit vient se piéger d'elle-même dans ma toile, m'ayant déshabillé pour libérer mes formes généreuses et ma verge de soixante centimètres avant de me l'a goutté avec une langue bien perverse. Des frissons et des soupirs d'aises s'emparent de moi, pointant mes gros tétons tandis qu'Omiji vient poser mes mains sur son crâne. J'ai beau être dominante, il est vrai que j'apprécie quand mes chiennes se montrent créatives.

Je ne refuse donc pas cette invitation, mais je ne laisse qu'une main pour enrouler et agripper fermement sa longue chevelure corbeau. Dans mon autre main, je fais apparaître une caméra, mettant à filmer Omiji en train de me sucer la trique comme elle le peux, poussant quelques fins gémissements à cette fellation.

Alors, mademoiselle Omiji, as-tu quelques choses à dire pour tes élèves, telle la grosse putain que vous êtes ?

Je retire mon sexe de sa gueule baveuse pour la laisser parler, la filmant pendant que je la frotte contre son visage. Ceux qui regarderont la vidéo, pourront voir une vue du dessus sur Omiji avec une grosse paire de seins de chaque côté et une bite qui lui caresse la face.

Cependant, je ne peux m'empêcher de me montrer sadique pendant qu'elle parle à la caméra et la coupe pour enfoncer ma verge jusque dans sa gorge, faisant des violents aller et retour en gorge profonde. Je l'étouffe dû à ça, mais c'est tellement jouissif de voir un visage ce décomposé par une envie sexuelle et le manque d'air.

Je finis par me retirer, d'un coup, la laissant parler à nouveau. Ma bite dégouline de bave sur le visage de la revenante.

Que disais-tu ? Je crois qu'ils n'ont pas bien entendus tellement que tu aimes la bite de ta maîtresse.

Je pousse un rire sadique, mais je ne m'arrête pas là. D'un coup, deux de mes mains démoniaques viennent lui saisir le cul pour le pétrir alors qu'une troisième vient enfoncer un poing dedans. Sans plus attendre, elle commence à se faire fister l'arrière-train allégrement, mon poing la ramonant sans aucune pitié.

Une vision parfaite pour les élèves qui regarderont ça. Leur professeur nue, suçant une bite et soumise, tout en se faisant déboité le cul.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Exposition médicale [Sophiana Caldo]
« le: mardi 16 octobre 2018, 05:35:55 »
Les paroles trash d'Alice, dans ses gémissements, me donnent un frisson monstre d'envie pervers, me faisant lâcher un profond grognement d'extase. Je me lèche les lèvres et tape un dernier coup, brutal, dans son utérus, claquant bien mes hanches contre son bassin, comme un puissant fouet.

Oh ! Je vois que tu es une bien grosse salope toi... et de ce que je sens, tu en as déjà eu pas mal dans ta chatte tout inondée.

Pour l'occasion, je fais gonfler mon chibre dans son intérieur, élargissant les parois internes de la blondinette et créant une belle bosse à son ventre. Je suis surprise qu'elle soit aussi large pour une adolescente, mais juste un peu, vu qu'elle est à Mishima, rien n'est bien étonnant, au final.

Pour bien la mettre en rut, je prends le temps de mordiller ses mamelons, les giflant de la main libre, l'autre gardant prise sur la gorge de ma nouvelle victime. Je prends mon temps, patientant pour que ses supplications deviennent bien sales et pervers, remuant ma trique loger dans sa chatte, de bas en haut.

Une fois ses supplications aussi salaces que je le veux, je me redresse, laissant de la bave sur ses seins rougis par mes claques et viens lui tenir les hanches à deux mains, fermement, plantant mes griffes dans sa chair. Alice n'a plus à faire à la directrice d'un hôpital hautement renommé, mais à la démone vile et perverse qui baise une de ses proies.

Tu as bien besoin d'une éducation maternelle digne de ce nom, de mon crû. Tu m'en diras des nouvelles, traînée.

À peine le temps de finir ma phrase, mon bassin reprend automatiquement du service, mais pas comme avant, je ne le fais plus en deux phases. Je me mets à la bourriner brutalement, gardant une allure frénétique sans difficulté, claquant mes couilles contre son cul blanc, les fouettant allégrements. On pourrait dire que c'est une partie de jambes en l'air simplement violente, mais cela est bien plus, je la baise si brutalement que, même, la table, sur laquelle elle est, bouge aussi rapidement que les coups de bites que je lui offre.

Plus les secondes défilent, plus mes vas et viens y vont de plus en plus fort, ne laissant aucun répit à la princesse salope. Je me lâche entiérement, à présent, la pillonant de toute mes forces sans pause, poussant de râles et grognements bestiaux de plaisir, agissant comme une bête assoiffée de baise.

Heureusement que personne ne nous voit, car cela risquerait de partir en orgie tellement que je suis excitée. Deux de mes mains démoniaques remplacent les vraies pour tenir les hanches d'Alice, laissant mes mains libres pour que je me pétrisse fortement les gros seins.

Cependant, la princesse est encore moins épargnée, ses seins se faisant choper par deux autres mains invisibles pour les pétrir et tirer sur les tétons gonflés de l'adolescente, sans aucune douceur. Mes yeux, bien qu'ils soient excités, reste figés sur la débauche d'une étudiante, qui en prend pour son grade, dégageant le masque d'innocence qu'elle me montrait, auparavant. Je la matte avec une dominance et une perversion digne d'une princesse démone de Luxure, me léchant d'avantage les lèvres. Terriblement assoiffée par la mouille qui ruissele sur mes couilles et mes cuisses, les éclaboussures chaudes que je reçois sur mon ventre et poitrine.

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Ville-Etat de Nexus / Re : The Witch and The Tiger [Sophiana]
« le: lundi 15 octobre 2018, 15:28:59 »
Cela est parfait, elle a su déceler mon coté démoniaque rien qu'en me touchant. On se rapproche de la vérité sur ces rumeurs, mais une simple sensibilité aux surnaturels peut très bien sentir ce type d'aura. Il me faut plus de preuve que cela.

Je me retourne sur Omiji dés qu'elle me dit que je peux abandonner ce numéro et qu'elle a compris ce que je suis. Des paroles qui ne tombent pas dans l'oreille d'un sourd et mon regard change directement, devenant plus charmeur et dominant, ma voix plus sensuelle qu'innocente.

Oh, je vois que tu n'es pas une novice dans ce genre de situation, chère Omiji.

Je pousse un fin rire tout en me déplaçant autour d'elle, comme un prédateur qui a piégé sa proie, glissant le bout de mes doigts sur le haut de la poitrine de celle-ci. Je finis par m'arrêter derrière elle, mes hanches collées à son postérieur, ma main droite lui caressant les joues et la gauche lui saisissant sa longue chevelure corbeau pour tirer sa tête en arrière, la forçant à m'offrir son cou.

J'ai entendu beaucoup de choses étranges sur toi. Beaucoup de noirceur que tu dissimulerais de tous.

Je lui sens le cou, pendant que ma main droite ouvre lentement son kimono pour dévoiler ses seins laiteux afin d'en gifler un, alors que ma langue percute sa gorge pour le lécher et remonter à son oreille sensuellement, que je mordiller avant de susurrer.

Montre moi ton vrai visage, Omiji. Montre moi à quoi tu ressembles, ta vraie nature, et pas celle que tu dévoiles à tes élèves, qui ne se doutes même pas de la créature qui les punit. Ils doivent certainement penser à... des choses violentes pour se venger de leur catin de professeur.

Je ne peux m'empêcher de ricaner, en y pensant, songeant à ceux qui rêverai d'être à ma place. Je remarque que la Kuchisake commence à être bien exciter de ce traitement que je lui offre, claquant ses seins de ma paume à chacune de ses réponses, lui tenant toujours les cheveux.

Je veux voir si ma fille a eu raison à ton sujet, si elle a bien senti cette aura de frayeur que tu tentes de dissimuler si bien. Tu te souviens ? Ma fille, une avec les cheveux roses qui baisait une de tes consœurs, la violait sur ton bureau avec sa grosse queue.

Ma fille ne va pas dans la dentelle, c'est sûr, tenant de moi pour ça. Elle voulait surtout savoir comment réagirais Omiji à ce moment-là et, cela a été très bénéfique, sinon je ne serai pas là.

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Ville-Etat de Nexus / Re : The Witch and The Tiger [Sophiana]
« le: samedi 13 octobre 2018, 15:25:08 »
Cela faisait quelques jours que je surveille cette professeur au teint pâle, ayant entendu pas mal de rumeurs sur elle. Une nécromancienne d'après ce que j'ai entendue dire, mais pas que, elle montre plus des signes d'une Kuchisake-onna, les célèbres morts-vivants, tueurs en série si on ne fait pas ce qu'il faut pour les échapper.

Une bien grotesque façon de les considérer. La plupart sont isolés, loin des populations, pourtant, il y en a en ville. Plus souvent ramener contre leur gré ou ils traquent quelqu'un.

Cependant, Omiji est bien différente, cela doit faire des centaines d'années qu'elle vit parmi les humains et personne ne l'a jamais remarqué. Ils sont vraiment stupides ces humains, surtout que son accoutrement prouve bien qu'elle n'est pas de notre époque, mais le féodal. Enfin, elle est plutôt solitaire et cela m'avantage énormément, il me sera sûrement facile de la faire devenir une de mes femelles. À voir ce qui risque de se passer, je vais m'amuser dans tous les cas.

Après une heure d'attente supplémentaire, je viens devant la porte d'Omiji, toquant trois fois à celle-ci. Qu'est-ce qu'on y peut ? Je ne peux m'empêcher d'insulter la sainte-trinité quand je le peux. Pour le moment, je ne montre aucun signe que je suis une démone et quand elle ouvre la porte, je lui offre un sourire joviale.

Bonsoir, madame. Excusez-moi de vous déranger, mais je suis perdue et ne sait pas où dormir cette nuit...

Je fais une bouille déçue et triste, jouant le rôle de la pauvre jeune femme qui a peur de rester seule dans les rues sombres de Seikusu. Cependant, je ne peux m'empêcher de regarder la poitrine que la tenue féodal offre à Omiji, calant dessus quelques bref secondes avant de me reprendre.

Vraiment, je suis désolée de vous demander cela. Je sais qu'on ne se connaît pas, mais je vous ai vue vous balader dans le noir, sans peur, donc je me suis dit que...

Bordel, je n'aime vraiment pas jouer le rôle de la jeune pucelle apeurée. Mais autant que je puisse en savoir plus sur elle avant de faire quoi que ce soit de démoniaque.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Prétendante prétentieuse [Sophiana]
« le: mardi 02 octobre 2018, 14:24:28 »
Ces explications sur son pouvoir m'éveillent de plus ample l'intérêt que j'ai pour cette chienne prétentieuse. La faire devenir une des mères porteuses de mon héritage sera extrêment bénéfique pour ça et son corps sera souillée à jamais avec moi. Peut-être est elle vraiment digne d'être ma chienne personnelle, une futur succube ?

Ma main libre lui saisit la tête pour lui faire gober une de mes couilles, je montre clairement des signes de plaisir qui monte à grande vitesse en moi. Il est vrai que cette catin sait se servir de sa grande gueule et je ne cache même pas qu'elle réussit à me satisfaire pour le moment. Je ferme, d'ailleurs, mes yeux pour profiter de cette sensation divinement agréable, soupirant allégrement d'aise sous le regard pervers de la chienne en rut.

Mmmmmh... Je sens bien que tes entraînements forcés... mmmmmh... t'ont bien servi, sale pute.

D'un coup, deux de mes mains démoniaques viennent lui choper la croupe, les claquant brutalement, pour les écartés et les pétrir tandis que la blonde sentira un énorme poing invisible se poser contre son trou étroit. Il pousse très légèrement, au début, puis s'enfonce sèchement dans son gros cul, la fistant brutalement dans des aller-retour véloces, tournant voilement dedans à chaque seconde.

Folie pure, oui, mais pas sans intérêt. C'est bien de dire qu'elle veut une maîtresse qui sache l'a torturée correctement, mais si on ne tient pas le rythme de mes envies sexuelles dépravées, cela sera inutile que j'y porte un intérêt. Être ma putain et pondeuse n'est pas de tout repos, il y en avait très peu qui avait ce mérite-là ou qui y survivait, tout simplement.

Cependant, un détail me saute aux yeux et me fit grogner légèrement.

Dit moi, tu me dis avoir été violée, mais tu me semble fort serrée. En plus, ta chatte dégage une odeur de vierge. M'aurais-tu mentie ?

Je lui prends les cheveux pour les tirer et me faire regarder droit dans les yeux, mes yeux devenant froids à son égard en pensant qu'elle m'ait menti. Son cul, cependant, continue de subir les assauts de mon poing furieux, trifouillant son intestin à grande vitesse, sans lui laisser de répit tandis que son visage se fait frotter par ma monstrueuse trique.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Prétendante prétentieuse [Sophiana]
« le: dimanche 30 septembre 2018, 21:40:56 »
Tout ceci est parfait, non seulement, elle a un corps digne de moi, mais elle est tout aussi docile que masochiste, sans compter qu'elle peut se soigner toute seule, comme une grande. Je me demande ce qu'elle a d'autres comme surprises.

Voilà, ça c'est une bonne chienne à sa maîtresse.Tu as le droit à une récompense.

Je lui agrippe les cheveux fermement d'une main pour lui relever la tête sèchement tandis que mon autre main lâche le fouet et lui attrape la mâchoire afin de lui ouvrir grand la gueule, crachant dedans à plusieurs reprises avant que je ne la gifle, afin qu'elle reprenne son travail.

Un long soupire d'aise s'échappe de ma fine bouche pour exprimer le bien-être que me procure la langue de ma chienne, tout en lui tenant les cheveux, comme si je la tenais en laisse. Mon regard se perd sur le cul qu'elle possède, venant le gifler à plusieurs reprises, ainsi que la flaque de mouille qui se créer abondamment sur le sol.

Les images tournent dans ma tête à une allure folle, j'étais déjà excitée de base, mais là, c'est le comble. L'imaginer me sucer dans la rue alors que je la tiens en laisse, l'humilier en publique, tout ça ne fait qu'accroître mes envies de la tringler brutalement.

Allez, maintenant, lave moi les pieds avec ta chatte et essuye moi les jambes avec tes gros seins, grosse salope.

Pendant qu'elle se place, je plonge mon index dans sa bouche pour la faire sucer, lui posant une question avant toute chose.

Quels autres pouvoirs as-tu, sale nymphomane ?

J'emmene sa gueule jusqu'à mes couilles, lui crachant au visage au passage, avant qu'elle ne réponde. D'ailleurs, une fois arrivée à hauteur de mes bourses, je frotte ma monstrueuse verge sur son visage de chienne en rut, la biflant violemment à plusieurs reprises.

Tu as le droit qu'a mes couilles, pour le moment, donc pendant que tu lave mes pieds et essuye mes cuisses, occupe toi de mes grosses couilles tout en me racontant tout ce que tu as connu comme expérience.

Pour le moment, je me fais plus douce, la voyant aussi obéissante, elle a bien le droit d'avoir quelques petites récompenses. J'attrape même mon fouet pour lui marteler la croupe ronde avec, la fouettant à sang à chaque coup.

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]
« le: dimanche 30 septembre 2018, 20:50:44 »
Après avoir laissé Miya dans sa maison, punition mais aussi pour sa sécurité dont je mets plusieurs sceaux de protection pour que personne ne rentre ou sorte sans mon autorisation, je me dirige directement vers les docks de Seikusu. Je connais un peu les lieux et je sais parfaitement où se trouve les bordels, je dois juste chercher celui qui est nouveau parmi eux.

En déambulant dans les docks, observant les gens avec attention, je finis par arrivée dans le quartier où se trouve majoritairement les bordels. En une fraction de seconde, je repère celui qui est le moins accueillant et le plus discret parmi tout ceux qui s'y trouve, y allant directement pour voir de plus prés.

Je vois aussi qu'il y a un garde devant la grille, semblant être la seule entrée restreint du lieu. Bon, il est temps que je prouve ce qu'est la manipulation féminine. Je baisse le décolleté de ma robe, laissant un sein à l'air libre et l'autre à moitié, me mettant à tituber fortement tout m'appuyant au mur pour me diriger vers lui, les joues rouges.

Alors qu'il tente de m'arrêter, je fais mine de rien et le percute d'un coup, simulant d'avoir trébuché avec mes talons hauts. Ma lourde poitrine collé contre son torse et mes mains tenant ses hanches, une vue parfaite pour un mâle quelqu'il soit.

Par-Pardon... *hic*...monsieur... je.. on m'a dit... qu'il y avait un hotel ici, fait pour moi... *hic* J'y suis ?

J'ai, bien évidemment, fait en sorte que mes oreilles et ma queue de chat soient visible. Si je ne me trompe pas, il me fera rentrer surtout une hybride aussi facile a capturé.

Je redresse ma tête vers lui pour lui offrir un sourire de charmeuse, tout en m'accrochant à lui pour ne pas tomber. Voyant que ses yeux dérivent largement sur mon sein nu, j'appuye sur mon talon pour le casser, tombant sur un peu plus pour que mon sein soit collé à son membre.

Je.. vrai.. *hic*...vraiment désolée... il faut que je repose.. savez vous... m-me mené à une des chambre de cette hôtel ?

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Centre-ville de Seikusu / Re : Prétendante prétentieuse [Sophiana]
« le: dimanche 30 septembre 2018, 19:26:49 »
L'odeur et la quantité de cyprine d'Elizabeth me rendent d'avantage chaudes, me donnant envie de la violer comme la faible qu'elle est, mais autant s'amuser avant.

L'arrogance de la jeune femme me fait sourire, un frisson de prédation me parcourant la peau lentement. Je comprend mieux pourquoi Myoko n'a pas su la dominer et s'est fait jeter à la place, la provocation que dégage cette femelle me montre quand même qu'elle cherche à être dominée par des femmes de valeur à ses yeux.

Dis donc, c'est que tu en as du répondant. Crois-tu vraiment que je me déplacerai, en première, pour une petite pute qui mouille après une insulte alors que je préfère les grosses salopes brisées par mes soins ?

Je ricane sournoisement, fouettant à nouveau son sein avec assez de force pour la faire saigner, avant de sortir de l'ombre pour lui montrer à qui elle a affaire. Pour le coup, je suis venue sous ma forme démoniaque, mes grandes ailes noires repliées dans mon dos tandis que ma nudité est bien apparente, la trique pulsante d'envie envers cette femelle.

Hey bien, tu ne t'attendais pas à voir une démone comme maîtresse ? Voyons, les chiennes dans ton genre sont pour les enfers, tu devrais le savoir vu comment cela te plaît que je te fouette.

À peine je finis ma phrase qu'une de mes mains démoniaques vient saisir la chevelure blonde de la femme avant de la tirer brutalement pour la foutre au sol, couchée devant mes pieds. Un rire surgit de ma bouche en la voyant et je surenchéris en abattant ma main droite violemment sur son cul relevée avant de me redresser.

Quand ta maîtresse parle, c'est à quatre pattes en train de me laver les jambes, compris, grosse putain ?

Je fouette le sol, juste à côté de sa tête pour l'effrayer, la regardant de haut avec des yeux de prédatrices. J'aurais déjà pu la soumettre avec mon aura, mais c'est tellement plus plaisant de la malmener ainsi et l'éduquer comme il le faut. Rien qu'en relevant les yeux, elle pourra voir ma bite veineuse qui semble pulser d'envie de fourrer ses moindres trous à spermes.

Lave alors, sombre pute. Montre toi digne, ne serait ce que pour ma présence auprès de toi.

Alors qu'elle redresse la tête, une grosse goûte de pré-sperme lui tombe sur le coin des lèvres. Je ne lui laisse pas le temps de dire quoi que ce soit, ma main libre venant la gifler sans douceur avant de lui saisir les cheveux pour plaquer ses lèvres contre ma cuisse.

Lave tout de suite et tu prendras soin de te masturber comme une pucelle en manque.

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]
« le: dimanche 30 septembre 2018, 18:31:17 »
Un large sourire décor mon visage quand je voit ce que fait Miya, comprenant qu'elle n'a rien compris à ce que je lui ai dit. J'aurais pu trouver ça amusant, mais quand ma petite soeur adoptive se met à m'ignorer pour s'occuper uniquement de la tomboy, je débande en un coup, mais les regardant avec un large sourire sans rien montrer de plus. D'ailleurs, Miya peut même sentir que je ne dégage plus du tout de phéromones et même ma poitrine ne pointe plus.

Qui est la plus dominante ? C'est celle qui sait punir quand il le faut.

Autant que j'aime narguer et rendre accroc mes partenaires, autant je n'aime pas qu'on gâche mes travaux surtout que, au moment où Miya a jouée la lesbienne, la tomboy a perdue l'envie de se faire fourrer et est redevenue elle-même.

Je me léve d'un coup sec, faisant tomber Miya et la lesbienne sur elle, la regardant avec une neutralité absolue, inquiétant pour un visage angélique comme le mien. Une fumée mauve m'enveloppe avant de disparaitre subitement pour que je sois sous une forme Neko, portant une robe noir moulante.

Joue bien, j'ai ta mére a récupérée.

Même ma voix est froide alors que je fixe une Miya qui est déboussolée par mon changement soudain d'humeur. Au passage, je fais tomber les trois nouvelles furry dans un portail pour qu'elles soient enfermées quelque part avant de tourner les talons pour aller vers la sortie. Mauvaise perdante ? Non, loin de là, mais je ne supporte pas qu'on remette en cause mon travail et ma dominance. Si Miya veut faire ça, ce sera sans moi et, là, je lui fait clairement comprendre.

Surtout que, au final, elle se comporte plus comme une simple femme avec des envies plutot que celle qui les imposes à ses soumis, les faisant subir ça. De plus, j'en fais partie de ces dominantes la, qui joue sur tout pour manipulée les envies de leur victimes afin qu'elles craquent et deviennent folles de ce qu'elles sont ne pas censé aimer.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Prétendante prétentieuse [Sophiana]
« le: dimanche 30 septembre 2018, 17:23:33 »
Cela faisait plusieur que Myoki devait me prouver sa valeur pour devenir une prétendante en tant que gérante d'un club BDSM, que je compte construire en ville secrètement. Bien sûr, je ne confie pas ce genre de responsabilité à n'importe qui et surtout pas à une soumise de première ordre.

Ses instructions furent simples : trouver et dresser une femelle pour qu'elle devienne une mère porteuse de mon héritage. Enfin, simple en apparence, car elle devait dresser une femelle spéciale qui n'a pas de gène bénin et un corps digne de ma présence pour en faire une succube parfaite.

Malheureusement pour elle, un échec cuisant s'est fait savoir et ma déception assez grande. Elle qui me montrait une telle volonté, obéissance et fierté, la voila entrain de supplier mon pardon d'avoir été si faible et s'être fait refouler comme une vulgaire chienne pauvre.

Son manque d'entraînement dans la domination, et être aussi pressée d'avoir des responsabilité pour me faire honneur, l'ont conduit à ma déception ainsi qu'à la punition qu'elle subit en ce moment même. Je ne m'attendais pas, non plus, à ce qu'elle réussisse du premier coup, mais à se faire jeter de la sorte... Était la mauvaise surprise qu'elle n'aurait pas dû me ramener.

Myoki... si tu savais comme je suis peinée que tu ai échouée aussi lamentablement. Lui dis-je, étant accroupie, complétement nue devant elle.

Mai... Maitresse... pi-pitié, pardonnez moi... de mon échec impa... HAAAAN ! HAAAAAN !

Alors qu'elle tente de me parler correctement, le chien de Luxure se met à aller et venir dans sa chatte à une vitesse meurtrière pour les mortels, la bourrant comme une vulgaire femelle. Ce que je n'ai pas dit, c'est que la punition de Myoki est de devenir une des femelles des chiens de Luxures, dont j'en possède une vingtaine, et donc, cela fait plus de deux heures qu'elle se faisait prendre, en levrette, par ces bêtes de baise brute.

Deux heures à se faire labourer l'utérus et remplis dans une tournante bestiale. Dire que la vision me déplaît serait mentir, moi qui suis pratiquante de ce genre de partouze, et c'est pour cela que je branle deux de mes chiens vigoureusement pendant que je parle à leur nouvelle pondeuse, les faisant juter sur mes cuisses et son visage en extase et dégoût, son ventre bien rond de foutre virile.

Tu aurais pu éviter ça avant de revenir comme une vulgaire conne. Tu aurais pu la ramener et être qu'une simple succube à mon service qui à une nouvelle congénère. Mais, au final, tu es devenue la putain de mes chiens, devant se faire engrosser en continue et jusqu'à la fin des temps.

De là, elle pousse un hurlement de plaisir brutale, jouissant son orgasme à même le sol tout comme les trois clébards l'arrose de sperme avant de se retirer pour laisser la place à d'autres.

Dans un moment de paix, plus ou moins, Myoko, rouge comme une tomate et la langue pendant tellement qu'elle est loin, lâche quelques mots qui me fait sourire grandement.

Chambre... rituel... pour vous....'vec elle... Mai... Maitresse..

Enfin une bonne nouvelle de sa part, elle a pris le temps d'installer le rituel qui m'invoque pour que je puisse venir les rejoindre. On peut dire que, là, si c'est vrai, je vais...

Mh ? Tu dis donc vrai... Tu as installé le rituel, Brave femelle. Mais c'est trop tard pour que je te pardonne.

Comment je sais qu'elle dit vrai ? Car mon corps se parcourt de frissons charnel et que ma chatte, peu excitée depuis le début, mouille toute seule en subissant des caresses inconnues. Très pratique ces rituels, tant qu'elle reste dans le cercle tracée, je peux sentir tout ce que cette femme, celle qui a jetée Myoko, se fait ou subit. Elle m'a l'air très chaude, d'ailleurs.

Sans plus de bavardage, je me lève et sort de la cours des chiens pour me retrouver seule dans le couloir. Curiosité, je me laisse submergé par une brûme mauvâtre et fini par être dans le coin le plus sombre de l'endroit où se trouve ma prochaine esclave à bites.

Mais, à peine, j'arrive que la vision que j'ai de celle-ci me fait saliver d'avance et bander en un rien de temps, ma trique atteignant ses soixante centimètres. Une telle paire de nichons et ces gémissements me rendent déjà bien perverse, je peux dire que Myoko a très bien choisi sa victime.

Je ne peux qu'être chaudement contente et follement excitée pour ça, mais je reste dans le noir pour le moment, laissant cette blonde à la poitrine monstrueuse se faire du bien avant d'intervenir.

Alors que la jeune femme va atteindre l'orgasme, je finis par prendre la parole, toujours cachée dans le noir de la pièce.

Alors, c'est donc toi qui as dégagé ma subordonnée ? Pourtant, tu m'as l'air en manque de sexe pour être dans un tel état.

Je laisse un petit rire moqueur m'échapper avant de me lécher les lèvres, jouant sur le faite qu'elle ne me voit pas pour que cela soit plus diversifiant et cela m'amuse de voir le choque dans les regards quand on voit ma véritable apparence.

Allons, ne t'arrête pas en si bon chemin, toi, qui as osé envoyer chier la messagére de ton nouvel avenir.

Alors qu'elle ne peut voir que mes yeux, en amende, turquoise, je fais apparaître discrètement un long fouet en cuir dans ma main droite, venant l'abattre sur le gros téton gauche de la salope en chaleur. Le bruit du fouet fait un claquement qui résonne dans toute la pièce et vibrer ce gros nichon à l'air appétissant.

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L'Enfer / Re : Union infernale [Sophiana Caldo]
« le: jeudi 27 septembre 2018, 14:36:58 »
La demande de ma fille me fit largement sourire, en dépit de mes hurlements intenses de plaisir de me faire défoncer le fondement. Tout comme je le savais, la trique de notre fille est énorme, tenant de nous pour ça surtout. Vu ma position, il est difficile de venir lui gober la pine tellement que je remue dans tous les sens, martelé par les coups puissants d'Onyxian, qui semble plus que ravie de retrouver nos ébats.

Joueuse, je serre mon anus d'un coup, prenant sur moi, et viens percuter brutalement les hanches de la princesse infernale, sentant son gland se loger loin dans mes entrailles. J'aime lui faire ce coup-là, la prendre par surprise pour qu'elle jouisse tout d'un coup, ce qui arriva vu tout le flot de foutre qui se déverse en moi, mais gardant une masse très dure en moi.

Sachant parfaitement qu'Onyx' va se venger de ce coup-là, je profite du répit pour lécher onctueusement le sexe de ma fille, ma langue parcourant tout le tronc jusqu'à la base pour revenir sur le dôme de chair. Je le sucotte fortement, regardant Masshéi droit dans les yeux, perversité et plaisir se voyant sur mon visage tandis que je tremble comme une feuille, sentant mon fessier remplis à rabord.

Tu as tellement... bon goût, ma chérie... Une bite si délicieuse.

Je descends lentement mes lèvres sur la hampe pulsante de la jeune succube, glissant ma langue baveuse sur tout le long pour atteindre ses bourses. En prenant une dans la bouche pour le sucer avec toute mon expertise, tirant dessus en même temps et secouant la tête.

Les gémissements de Masshei me font frissonner, elle a une voix faite pour charmer les oreilles avec ses gémissements. Cependant, je ne compte pas m'attarder sur les testicules de celle-ci et viens poser mes lèvres sur son gland, commençant à l'enfoncer lentement dans ma bouche succulente. C'est alors que je ressens un des plus puissants coups de bassin qu'Onyxian ne m'a jamais porté, me forçant à avaler toute la hampe de notre fille, mes mains s'accrochant aux seins de celle-ci tandis que je déglutis sur son gland loger dans ma gorge.

Mes yeux se révulsent, la verge dans mon cul me labourant le fondement pire que d'habitude, à un tel point dont je jouis sur le sol, causant une flaque de sperme qui souille mes genoux. Je ne peux même pas crier, hurler, juste des gémissements et couinement inappropriés pour de tels coups de bassin.

HMMM-HMMMMM !

Mes lèvres se scellent de plus en plus sur la verge de Masshei, qui d'un coup, sert mes cheveux et entame de lent vas et viens dans ma gorge, me forçant à garder la pine dedans. Enfin, enfin, elle décide de faire comme nous et être sa première victime d'une fellation forcée, me remplit de joie.

Mes mains, par réflexe, serrent leur prise et se mettent à malaxer les melons de chair de la succube, les pétrissant et pinçant leurs pointes pour mieux les sensibiliser. C'est surtout pour exciter notre fille et faire d'elle, une parfaite baiseuse de bouche.

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Dictature d'Ashnard / Re : Une grande famille [Sophiana Caldo]
« le: dimanche 23 septembre 2018, 15:37:40 »
Moi qui aime les expériences inédites, je peux dire que c'est une première pour moi. Cette fellation slimesque est, tout simplement, divine, me faisant gémir sensuellement contre la démone. Ma main sur son sein lui massant doucement et calant sa pointe entre mes doigts pour le pincer à ce même rythme. L'autre lui mettant une légère claque sur la fesse avant de la masser tout aussi tendrement, mes ronronnements ne s'arrêtant pas d'amplifier sous le plaisir de cette fleur qui me suce avec une intensité peut descriptible.

Et que... pourrais-tu faire... avec ma... mmmmh.. grosse bite ?

J'avance ma tête vers la gorge de Luxuria et lèche lentement la peau tendre de celle-ci, venant le mordiller peu après pour y mettre quelques suçons sensuels. Cette fièvre de plaisir ne cesse de grimper en moi, pour la première fois, je ne sais même pas comment tout cela va finir, sachant que je ne contrôle aucun de mes gestes. D'ailleurs, ma main finit par se glisser entre les fesses de mon amante, dont mon majeur vient se loger doucement dans son rectum, plongeant profondément en elle pour aller et venir sensuellement.

Au final, ma tête descend toute seule sur le sein libre de l'homoncule, s'accaparant l'auréole pour le sucer et le mâchouiller délicatement, la langue fouettant la pointe délicieuse pour jouer avec. Les gémissements de celle-ci n'aident en rien au contrôle de mes gestes, à un tel point que je sens que je ne vais pas tarder à jouir dans cette fleur si étrange et trés perverse à la fois.

C'est que j'aime bien, en ce mo... Haaan !

Je me cambre un instant, lâchant un fort gémissement quand je commence à jouir dans la fleur suceuse, m'accrochant au sein de l'homoncule tout en me déhanchant sensuellement contre celle-ci. Elle peut même sentir que mes éjaculations sont conséquentes tout comme abondante, mon doigt se mettant à accélérer ses vas et viens d'un coup dans son rectum.

Sha... accepte les retards pour cause sexuelle ?

Je souris, amusée et soufflante d'avoir jouis autant, mais ma trique reste toujours aussi dur. Je viens m'accaparer dans la bouche de Luxuria pour l'embrasser langoureusement, nos langues et salives venant se mélanger à nouveau. Ma question semble idiote, mais vu les circonstances, on ne peut que comprendre ce que cela veut dire.

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Les alentours de la ville / Re : Feu d'artifices à Stonehenge (PV Sophiana Caldo)
« le: dimanche 23 septembre 2018, 15:36:13 »
Je pousse un long soupire d'ennui quand il se mit à parler, écoutant à peine ses paroles, simulant même de m'endormir debout. Cependant, je remarque qu'il a le même comportement des dieux, à me croire si peu intelligente ou même naïve au point où il tente de détourner mon intention avec son pouvoir.

En gros, tu ne veux pas m'aider à le trouver ? Je vois...

En une fraction de seconde, la nouvelle venue se fait saisir le visage par une de mes mains démoniaque et encastrée dans le mur proche d'elle, d'une puissance telle que même le sol en tremble. Le corps inerte de l'autre se faisant instantanément ramener à mes pieds.

Je crois que je vais devoir être plus persuasif, tu ne crois pas ? Surtout que, au final, vous vous croyez tout aussi supérieur aux autres. Tellement que, en ce moment même, j'ai le droit de vie ou de mort sur ton ami.

Je me léche les lèvres et ouvrit lentement les yeux pour le regarder directement, avant de voir la femme que j'ai encastrée dans le mur. Lachant un sourire malsain en la voyant, avant de glousser grandement, décidant de m'amuser avec elle aprés lui avoir regler son compte.

Si tu t'enfuis, je le tue. Si elle s'enfuit, je le tue aussi. A moins que tu sois trop froussard pour accepter les rêgles du jeu. Je pourrais comprendre, vous êtes tellement grande-gueule, vous, les dieux.

Je fais craquer ma nuque et soulève le futur cadavre par la gorge, avec une de mes mains démoniaques, comme une vulgaire poupée de chiffon. Alors qu'ils réfléchissent, je souris de toutes mes dents et envoye deux poings à côté de la tête d'Astrée, creusant deux trous dans la pierre, ce qui aurait pu être mortel si je l'avais touché de plein fouet.

Pour te répondre, je ne suis qu'une simple succube en recherche de plaisir sexuel intense. Dis-je avec un grand sourire plein de mensonges.

Je ne compte pas dévoiler tout directement, je ne suis pas comme vos "ennemis", à vous dire qui je suis et comment me battre... Ce ne serait pas marrant.

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Centre-ville de Seikusu / Re : Exposition médicale [Sophiana Caldo]
« le: dimanche 23 septembre 2018, 15:35:04 »
À peine arrivée à cette aire de repos déserte, Alice m'embrasse avec une fougue indescriptible et la chaleur qu'elle dégage me fait bien comprendre qu'elle veut aller bien plus loin que de simples caresses. On peut dire que cette aire est encore un joli coup du sort, pile au bon moment tandis que nous sommes toutes deux aussi chaudes que de la lave, ma trique est dressée à son maximum.

Pendant le baiser que l'on partage, ma main lui saisit la gorge tandis que l'autre lui chope une fesse dans un claquement sonore qui ne fait que m'exciter d'avantage. Les paroles qu'elle lâche juste me fait directement sourire et me lécher les lèvres, descendant de la moto tout en la tenant dans mes bras, mes poignes toujours sur les mêmes prises.

Ne t'inquiète pas, je compte bien te baiser comme il se doit. Alice.

La main sur sa gorge se resserre un peu plus, celle sur son cul la surélève un peu pour que son intimité trempée soit offerte à ma queue pulsante de désir. De là, je l'empale lentement sur mon tronc de chair, lui faisant sentir les trente premier centimètre qui s'enfonce très lentement en elle. Je profite et m'abreuve de ses gémissements qui amplifie à chaque centimètre qui la pénètre sans blocage, poussant quelques soupirs d'aise tellement que sa chatte est délicieuse confortable.

Je m'arrête un instant pour l'embrasser langoureusement, sentant ses jambes m'enlacer et serrer fortement mes hanches, nos langues venant danser et se câliner entre eux. J'attends patiemment que ses muscles se détendent pour pouvoir la prendre par surprise, sans bouge. Ce qui arrive après quelques minutes à s'embrasser et se peloter mutuellement, son vagin se décontracte d'un coup et, comme prévu, pile à ce moment, j'enfonce brutalement le restant de ma verge dans sa grotte trempée, fourrant directement son utérus pour la faire crier et déformé son ventre.

Un frisson me parcourt quand j'entends son cri de plaisir retentir dans l'air de repos, m'excitant encore plus et faisant grossir ma queue directement en elle, touchant tout ses nerfs de plaisir. Je la plaque aussitôt sur la table, gardant ses fesses dans le vide pour bien les maintenir, mes ongles pénétrant sa chair.

Tu vas très vite comprendre pourquoi mes amantes reviennent comme des chiennes en chaleur prés de moi..

Un sourire pervers se dessine sur ma face rouge de plaisir alors que j'entame de lent retour, mais de puissant allées dans sa chatte écartelée, claquant mes hanches contre son bassin, mon gland tapant dans le fond de l'utérus de la blonde en chaleur. Je me penche pour venir lui sucer les seins, à tour de rôle, les mordant légèrement pour mieux les titiller.

Je remonte ma langue le long de la peau de la blondinette, me régalant de ses couinements et petits à chaque coup de bite que je lui mets, sentant les ongles de celle-ci se planter dans mon dos alors que j'arrive à son oreille.

Supplie-moi, Alice. Supplie de te briser sur cette table. Tu préféras avec un surnom, peut-être ?

J'use de ma voix sensuelle, continuant de la frustrée de ne pas y aller sauvagement en elle, directement. Je fais même exprès de gémir dans le creux de son oreille pour que ses paroles sortent avant sa pensée.

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Les terres sauvages / Re : Une congénère atypique [Pv Sophiana]
« le: lundi 17 septembre 2018, 21:12:47 »
 Le ton qu'emploi Miya me fit mordre les lèvres d'envie, rien qu'en ressentant cette jalousie de ma sœur, j'imagine déjà qu'elle va faire en sorte d'être plus dominante que cette lesbienne, se montrer meilleur au lit que les trois.

A ce compte, je pense pouvoir m'amuser comme jamais et réussir a rendre Miya plus qu'accro à moi. C'est pour cela que ma langue se balade sur le cou de la lesbienne, mon regard pervers plongé dans celui de ma sœur et mes mains pelotant le cul de la tomboy.

Justement, celle-ci se met à gémir langoureusement sur moi, le dos plaqué contre la poitrine de Miya. Elle semble encore dégoûté, mais seulement sur son visage, mon sang agissant comme un aphrodisiaque sur elle, une drogue de soumission qui la fait se déhanché sensuellement sur moi et contre ma sœur.

Dit moi, ma chère petite sœur, serais tu jalouse que tu ne sois pas entrain de gémir sur moi... à gémir et a profité de mes caresses ?

Toujours en la fixant, je penche la tomboy sur moi, lui mettant la tête dans le creux de mon cou et lui murmure quelque chose. Chose qu'on peut comprendre vite car, dès cet instant, elle tourne la tête pour me mordre le cou a sang, me faisant pousser un cri de plaisirs. Mes mains lui agrippant les fesses dans un claquement sourd, un gros craquement se faisant entendre au niveau de mon shorty tellement que je bande sur le coup. Ma bosse tapant sèchement sur l'intimité de ma sœur, pulsante d'envie tandis que je gémis a chauqe gorgée de sang que la tomboy boit.

Mmmmmh... Miya n'ose pas montrée qui est la dominante vis a vis des trois autres ? Han !

Je pousse un puissant couinement, sentant deux violentes mains me saisir les seins et les pétrir sans douceur, pointant mes mamelles pour qu'elle puisse les pincer ainsi que tirer dessus.

Je réplique directement en lui claquant le cul violemment, venant lui mettre mon index dans son petit, la doigtant rapidement. Elle semble tres bien aimée vu quelle se dehanche dans tout les sens.

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