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Messages - Sylvanas Coursevent

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Le Palais Infernal / L'Âme du Démon [Pv Malk]
« le: dimanche 13 janvier 2019, 18:17:40 »
---Remparts de Lune d'Argent---

Du haut de la forteresse imprenable de la capitale Haute Elfe, la Générale des Forestiers regarde progresser la longue colonne de fumée provoquée par l'avancée de l'envahisseur.

La horde mutante et démoniaque marche sur les forêts d'Argent en brûlant et pillant tout sur son passage. Heureusement, Sylvanas ne leur a pas laissé l'occasion de tuer et de violer. Toute la population civile c'est retranché dans la capitale, là où cette misérable petite armée maléfique ne pourra pas pénétrer.

La générale ne comprend pas cette attaque. Certe le Démon qui a orchestré cette invasion dispose d'une belle petite armée, mais rien de suffisant pour prendre la capitale où détruire le royaume. Si ces étranges créatures mi orc mi démon prennent d'assaut le rempart, elles seront taillé en pièce avant qu'une seule d entre elles ai mis le pied dessus. Alors pourquoi ? Se répète t'elle en scrutant la fumée.

- Générale. Le dernier rapport de la progression de l'ennemi.

Lui dit une de ses éclaireurs en lui tendant un rouleau de parchemin. Sylvanas la remercie d'un simple hochement de tête, la ranger reste alors au garde à vous en attendant les ordres de sa supérieure.
La Générale des Forestiers commence à lire le rapport. Soudain, elle blêmi,  comme si les mots inscrits sur le papier lavaient frappé au cœur.
Une expression de colère et d'incrédulité se peint sur son visage aux traits parfait alors qu'elle balai tour a tour l'horizon d'où se dégage la fumé, et le rapport qu'elle est en train de lire.

- C'était pour ça... les pourritures ! Rangers ! Aux armes !

Crit elle en direction de la caserne où se reposent ses troupes. Inquiète, l' éclaireur qui se tenait devant elle en perd son protocole et lui demande:

- Dame Coursevent ! Je veux dire... Générale ! Que ce passe t'il ? On ne reste plus dans la capitale ?

Sylvanas se rue vers l'armurerie pour récupérer un stock de flèches et deux lames courbes. Quand elle est enfin équipé pour la bataille elle se retourne enfin vers sa soldate apeuré et lui dit d'un ton paniqué.

- La Flèche Coursevent ! Mon domaine ! Ma maison... ma famille ! Ils se dirigent là-bas ! C'est pour ça qu'ils ne progressaient pas vers la capitale ! Aux armes ! Nous partons !

Cette révélation frappe la jeune éclaireur presque autant que sa Générale. La Flèche des Coursevent est le plus bel édifice elfique jamais bâti par son peuple, et c'est la que réside le frère et les deux sœurs de Sylvanas. Sachant cela, l elfe décide de ne pas dissuader sa supérieure de foncer là-bas tête baissée. Même si à ses yeux, cela ressemble à un piège, un piège énorme dans le but de faire sortir Sylvanas de la sécurité des remparts...

---La Flèche Coursevent---

Sur la route menant à la flèche, Sylvanas et ses forestiers sont sans cesse confronté à des rangs d hybrides répugnants qui se jettent inlassablement sur leurs armes et sous leurs flèches. Les orcs démons tombent par dizaine, par centaine même, quand les elfes ne perdent pas le moindre soldat. Mais tous cela n'est qu'un stratagème pour faire perdre du temps, Sylvanas le sait et enrage.  Chaque monstre qu'elle massacre sur le chemin de son domaine lui fait perdre un temps précieux que les démons mettent à profit pour attaquer sa maison.

Quand elle arrive enfin au pied de la Flèche, la bataille est presque terminée. La grande porte à été enfoncée, ses défenseurs massacré jusqu'aux derniers. Sur le sol, le gros de l'armée démoniaque git au sol. De la fumée s'échappe des fenêtres de chaque étages jusqu'en haut de la tour où des bruits de lutte continue de déchirer le silence de la nuit.

Sylvanas pour un cris de guerre et prend un petit groupe de guerrier avec elle pour pénétrer dans la flèche et en purger les forces maléfiques. Poussé par la peur de perdre ses proches et la colère, elle monte étage après étage, massacrant chaque démon sur sa route, maudissant le temps que chacune de ses victimes lui fait perdre.

Elle est si absorbée par le combat pour sauver sa famille qu'elle n'en entend pas la trompe de ralliement de ses propres troupes, resté en contre bas et qui se font attacher par une nouvelle légion de démons hybrides, venu les prendre en embuscade. Elle n'entend pas la trompe sonner la retraite quand trop de ses soldats se sont fait massacrer. Elle ne réaliste pas qu'au bout d'un moment, il n'y a plus qu'elle, ces troupes ont fuit le piège et le massacre pour la laisser seul avec une poignée de soldat.

Quand elle parvient enfin au dernier étage de la tour, Sylvanas, seule survivante de son commando, assiste à une scène qui lui glace le sang et fige son cœur. La porte magique protégeant les chambres à été enfoncée elle aussi et les démons sont entré à l'intérieur ! De l'autre côté une créature, à la fois repoussante et irrésistiblement attirante l'attend, entourée de sa garde démoniaque personnelle. Sylvanas reconnaît sa nature, c'est une succube de l'enfer et à ses pieds, désormais enchaînés et à sa merci, se trouvent son frère et ses deux sœurs...

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- Soit la bienvenue chez toi Générale Coursevent. Cela fait un moment que nous t'attendions ta petite famille et moi.

Dit la démone en posant nonchalamment son pied nu sur la poitrine de son petit frère Efran qui détourne le regard, les yeux emplis de dégoût et de désir.

- Ne le touche pas sale pute !  

Hurle Sylvanas en encochant une flèche et en visant le cœur noir de la démone. À ce geste un des garde du corps démoniaque saisi une des sœurs de Sylvanas par les cheveux et pointe une lame rouillé  sur sa gorge. Un autre pose simplement une main sur la nuque de son autre sœur, montrant qu'il peut la lui briser d'un simple geste. En voyant cela, les mains de Sylvanas se mettent à trembler...

- Quel langage dans une si noble bouche, et quel feu... je comprend maintenant pourquoi mon Seigneur et Maître à tans envie de t'avoir...

Répond la démone en souriant, parfaitement consciente que jamais la Générale ne décochera cette flèche. Elle reprend.

-Tu as de la chance Générale, le maître ne veux que toi. Et comme je n'ai pas envie que tu me perce le cœur... enfin de cette façon... je te propose un marché. Tu dépose les armes, tu te laisse faire et je libère ton frère et tes sœurs.

Sylvanas tremble de plus belle, elle hésite, elle se questionne, au point que plusieurs minutes d'un silence de plomb s'installe. Au bout d'un moment la succube pour un soupire d'ennui et fait un signe de tête à ses gardes du corps.

- Tiens je m'ennuie tout à coup. Esclaves ! Tuez les...

- Non ! Non... c'est... bon... j'accepte...

Abdique finalement Sylvanas en laissant tomber son arc à terre.

- Je me rend. Ne leur faite pas de mal.

Ajoute t'elle en dégainant ses deux sabres pour les jeter au sol en signe de rédition.

- C'est très bien. Tu as pris la bonne décision.

Dit la démone en la dévorant des yeux et en se léchant les lèvres. Trois démons s'approchent de Sylvanas et l' encadrent, des menottes d'acier entre les mains.

- Esclaves, occupez vous de Dame Sylvanas Coursevent, mais ne la touchez pas ! Le maître la veux vierge et intact !

La succube décrit un grand arc de cercle de la main, juste derrière elle. Un portail magique apparaît. Elle saisie Efran, le petit frère de Sylvanas et le relève. Elle le saisie par le collier d'esclave qu'elle lui a mis et l'entraîne avec elle dans le portail démoniaque en disant:

- J'ai faim, je vais commencer avec toi... Esclaves soldats, attachez ma nouvelle invitée et emmenez ses sœurs avec nous.

En entendant ces mots et en voyant la succube disparaître dans le portail avec son frère, Sylvanas hurle de rage. Elle se baisse en avant pour se saisir de ses sabres, mais la main lourde et puissante d'un des garde du corps s'abat à l'arrière de son crâne.

Sylvanas s'effondre, les dernières chausse qu'elle entend avant de sombrer  sont les cris et les supplique de ses soeurs que l'on emmène...

---Appartements privés de la Lieutenante Trisha, Forteresse de Malk, Quelque part dans les strates infernales---

Des bruits... des gémissements... des cris... la voix de son frère... il est en train de crier... Effran cris... un vent chaud sur sa peau nue... complètement nue... sauf... sauf... le froid... le froid de l'acier, l'acier qui enserre ses chevilles... ses poignets... des gémissements... encore... la voix d'Effran... encore...

Stimulée par ces différentes sensations, par la voix de son frère qui pousse de longues plaintes tantôt de douleur, tantôt, étrangement... de plaisir Sylvanas reprend peu à peu ses esprits, elle émerge du brouillard noir de l'inconscience avec difficulté. Elle lutte pour ouvrir les yeux, mais ses paupières semblent peser des tonnes.

-Alé mon beau... oui.. oui... comme ça... encore une fois pour ta maîtresse...

Cette voix, c'est la voix de la démone qui l'a trompée et trahis, qui lui a menti. Elle entend son frère gémir encore, de plus en plus fort, il respire de plus en plus vite, soudain, il pousse un long râle de plaisir.

-Ouiiii... c'est bien... Trisha est fière de toi esclave huhuhu...

En entendant ces mots, Sylvanas à un sursaut de conscience et ouvre enfin les yeux, pour les écarquiller immédiatement d'horreur à la vue de la scène qui se déroule sous ses yeux. Son frère est totalement nu, ses beaux cheveux longs ont été coupés pour lui donner un air plus humain qu'elfique, un anneau de métal passé dans sa bouche l’empêche de retenir ses cris et ses gémissements. Il est allongé sur un simple tabouret en bois, trop petit pour son dos puissant, ce qui casse son corps en deux et l'oblige à laisser tomber sa tête dans le vide. Ses bras et ses jambes sont liés ensemble sous le tabouret dans cette position douloureuse.

Le regard impuissant et pétrifié d'horreur de Sylvanas se porte immédiatement sur le sexe de son petit frère. La démone à lié ses bourses et la base de son membre avec une courroie en cuir qui lui écrase les couilles et la hampe viril, ce qui les a fait gonfler de manière disproportionné et fait saillir les veines de sa bite. Confortablement accoudée sur le torse d'Effran, la démone tourne son regard dans la direction de sa prisonnière tout en continuant de masturber vigoureusement la queue du jeune homme.

- Il était temps que tu te réveille, ma chérie... je tenais absolument à te remercier de m'avoir offert cette superbe grosse bête de sexe...

Sylvanas voudrait hurler, mais une boule obstrue ses lèvres et l’empêche de le faire. Elle voudrait se jeter sur la démone, mais elle est enchaînée, nue, debout, les bras et les jambes écartés par de puissantes chaines. Elle ne peut que regarder impuissante le spectacle du viol de son frère. La démone presse la queue de son frère entre ses doigts agiles, elle la lubrifie avec sa salive vénéneuse qui le fait bander toujours plus fort. Sa main monte et descend encore et encore jusqu'à ce que le bel haut elfe finisse par convulser et gémir de nouveau. Gênée, Sylvanas rougit en voyant le sperme de son frère souiller la main de la succube alors qu'il jouit.

- Ton frère est un véritable sexe machine tu savais ça ? Il m'a baisé jour et nuit, sans s'arrêter pendant deux jours et regarde ! Il est toujours aussi dur et ferme!

Elle finit sa phrase au moment où le gland du prisonnier convulse une fois encore pour expulser une nouvelle rasade de sperme.

- Tu as vu ça ? Il continue à cracher son huile, encore et encore, une véritable usine...

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Quand Effran cesse enfin de jouir, elle le délaisse et se rapproche de Sylvanas. Elle se campe devant elle et essuie nonchalamment le sperme du haut elfe sur le visage et les seins de cette dernière qui grogne sous son bâillon et tente de lui donner des coups de pieds. Mais les chaines tiennent bon.

- Pourquoi tans de colère Générale ? Ton frère adore ce que je lui fait et, a force, tu sais, il ne pourra plus se passer de moi huhu.

Sylvanas essai à nouveau de frapper la démone, les chaines crissent mais ne bougent pas d'un millimètre.

- Tu sais que tu as beaucoup de chance ? Le Maître te veux intacte... vierge... immaculée... alors je ne peut pas m'occuper de toi maintenant...

Elle s'approche et lui chuchote à l'oreille:

- Mais ne t'inquiet pas... je suis sur qu'il te prêtera à un moment ou à un autre... Ce jour la nous ferons une nouvelle petite séance, ton frère, toi, et... tes sœurs huhuhu

Sylvanas la regarde, un éclair de terreur traverse son regard. La démone les a bien emmenée par le portail... et elle les détiens quelque part, ici...

- N'ai pas peur, je vais bien m'occuper d'elles. Le Maître me les a confié, je vais donc les garder pour moi jusqu'à ce qu'il me les réclame. Je pense qu'il voudra aussi jouer avec les trois sœurs en même temps huhuhu...

Deux autres succubes entrent dans la pièce, elles portent dans leurs bras les pièces d'armure de Sylvanas. Trisha leur fait signe d'approcher, sans un mot elles viennent vêtir la Générale de son armure. La Haute Elfe remarque que ces succubes ont eu les ailes et la queue coupées, un étrange masque couvert de rune leur cache les yeux et semble les plonger dans un état d'hébétude et de servilité. Une fois qu'elles ont terminé, Sylvanas découvre avec horreur que les artificiers démoniaques ont enlevé la majeur partie des plaques de son armure pour qu'elle ressemble à une tenue pornographique.

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Trisha se rapproche de Sylvanas et lui rabat la capuche sur la tête.

- Voila, comme cela tu ressemblera plus à la Générale que tu étais huhu.

Puis elle détache les chaines qui la retiennent à la pièce et les lui attache dans le dos. Les chaines qui retenait ses chevilles sont désormais attaché entre elles pour obliger la superbe Haute Elfe de faire de petits pas pour marcher.

- Bien, tu es prête a etre présenté au Maitre...

Trisha lui retire le bâillon boule, Sylvanas lui crache au visage et hurle.

- Va au diable Démone ! Effran ! Je vais revenir te sauver ! Toi ! Et nos sœurs ! Ne lui cède pas ! Courage ! je vais venir vous sauver !!

Trisha lèche la salive de Sylvanas qui coule sur ses lèvres et entraine sa prisonnière vers la salle du trône de Malk...

- Epargne tes hurlements et ta salive, Esclave, tu vas en avoir besoin pour notre Seigneur à toutes...

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Prison Eternum / Re : The Cell
« le: jeudi 24 août 2017, 17:18:38 »
Sylvanas regarde l'infirmière s'approcher en hurlant sous son baillon et en secouant la tête sur sa table de travail. Les attaches grincent, le métal de sa structure teinte mais il tient bon, malgré tout ses efforts, la jeune reine ne parvient pas à serrer les cuisses. Prisonnière de ses étriers, elle ne peut qu'assister impuissante et révolté au spectacle de cette femme-abération qui se blottit entre ses jambes et empoigne ses hanches de ses doigts tièdes et humides.

Pendant une seconde qui s'étend à l'infinie, Sylvanas regarde les yeux mouillés de larme l'énorme engin de plaisir, taché d’ichor, se présenter devant sa vulve pour en écarter les lèvres. Puis, dans un borborygme sifflant, l'infirmière donne un puissant coup de rein, et transperce la reine esclave jusqu'à ce que leur vulves s'entrechoc.

- MMMMMmmmmmm !

Le Hurlement de douleur de la prisonnière traverse le cuir de son bâillon boule et s'allonge en un long gémissement de plaisir alors qu'elle se cambre en arrière, comme une cavalière désarçonnée par une violente ruade de son étalon. Les sensations décuplées par la pression abominable qu'exerce sa vessie sur son vagin et son clitoris la font instantanément chavirer dans l'orgasme sans qu'elle ne puisse rien faire pour résister.

Une onde de plaisir sexuelle lui déchire l'âme en même temps que la queue écarte les parroies contractés et écrasées de son vagin pour venir cogner de son gland factis contre la porte oubliée et inutile de son utérus.

Au moment où elle jouie, Sylvanas pense enfin qu'elle va être libérée de ce mal-être insupportable crée par le liquide noir profondément enfoui dans sa chaire et qui ne demande qu'à sortir. Mais à sa grande surprise, l'effet inverse se produit. Un orgasme d'une telle violence l'aurait normalement faite éjaculer comme une véritable femme fontaine, hors son canal est totalement obstrué et rempli par la colle et la substance mutagène. Ainsi, au lieux de se soulager de son fluide de plaisir, elle ne fait qu'ajouter à la pression qui broie déjà son corps et ses récepteurs nerveux sexuels.

Horrifiée par cette découverte, elle ouvre de grands yeux perdus et se met à fixer le plafond d'un air fou pendant que le Docteur Strang recommence à s'insinuer dans sa tête en lui parlant encore et encore et encore...

- Mmmmm !

Gémit elle de nouveau quand l'infirmière se remet elle même de son propre orgasme et ressort d'un coup sec de la prisonnière. L'esprit perturbé de Sylvanas sait qu'elle va recommencer, elle sait qu'elle va revenir en elle et la faire jouir de nouveau, et qu'à nouveau sa nervosité et son besoin grandiront, et grandiront, en grandirons jusqu'à ce qu'elle en devienne totalement folle, puis ce que la mort lui est interdite. Elle a peur, peur de souffrir toujours plus, de perdre l'esprit, de redevenir une esclave stupide et servile. Le bon docteur lui parle d'une voix si charismatique et autoritaire, elle s'accroche à cette voix pour oublier, pour ne pas penser, ne pas avoir peur.

- MMMM !

L'infirmière s'enfonce en elle et la fait se cambrer alors qu'un nouvel orgasme la déchire. Mais elle ne peut pas éjaculer, elle ne peut pas se vider, la pression monte encore. Elle se met à trembler de tout son corps à mesure que la nervosité sexuelle la consume, elle n'entend plus que la voix du bon docteur maintenant. Elle est perdue dans cette clarté artificielle brûlante, fixant de ses yeux ronds et exorbités la lumière blanche de la lampe d'opération, le monde autour d'elle n'existe plus, il ne reste plus que son sexe, l'infirmière qui la viole, et la voix du docteur qui l'hypnotise.

Alors que le pire semble être atteint pour la prisonnière, l'infirmière commence à accélérer la cadence de ses aller-retour. Elle entre et sort plus vite, plus fort, sans jamais parvenir à détendre ou dégager la chaire du vagin de Sylvanas, toujours écrasée par le poids de sa vessie.

Détruite par des orgasmes incontrôlables et destructeurs qui lui provoquent toujours plus de frustration et de tension sexuelle, le corps tout entier de l'elfe se tend à l'extrème et ses tremblement se transforment coup de rein après coup de rein en véritables convulsions.

Au bout d'un moment, s'en est trop et Sylvanas craque purement et simplement sous la pression. Ses yeux se révulsent au point de ne voir que le bas de ses iris et elle se met à baver et cracher une écume blanche par les interstices de son bâillon pendant qu'elle roule du bassin comme une folle dans l'espoir de se libérer de sa mouille accumulée derrière le bouchon.

L'infirmière ressort alors le long pénis artificiel de la vulve de la captive en pleine crise Epilepsie et s'empare d'une seringue pleine de calmant pour arrêter le massacre. Le Docteur Strang retient sa mains et lui fait lâcher l'objet salvateur, seul salut de la prisonnière.

Calmement, il continue de parler de sa voix douce et profonde à Sylvanas dont la crise et les convulsions s'intensifient. Au point culminant de la folie, au paroxisme de l'explosion nerveuse, alors que son cerveau bout dans son crâne et lui arrache des pans entiers de sa personnalité, la reine elfe se crispe soudain toute entière et parvient à cracher son baillon d'entre ses lèvres pour ouvrir grand la bouche et laisser sa langue pendre pour pousser un hurlement de folie et de plaisir pur.

- RAAAAAAAAAAAAA !!!!!

A la fin de son cris, elle se relâche très légèrement pour se rallonger contre le lit, tout son corps reste tendu à l'extrême, elle fixe la lumière d'un regard fou en respirant profondément et avec lenteur.

- C'est un premier résultat satisfaisant. Nous allons pouvoir procéder à la seconde étape de votre conditionnement maintenant que vos désirs sexuels sont réveillés et votre volonté amoindrie. Infirmière, appliquer un bouchon chirurgical sur son urètre, je veux que le liquide mutagène reste plusieurs jours dans son organisme pour provoquer un changement définitif. Voyez vous Madame Coursevent, la thérapie chimique va relancer votre cycle hormonal et le bouleverser totalement pour créer un sentiment d'insatisfaction sexuelle permanente. Ajouté à la pression importante qu'exerce votre vessie sur votre clitoris, nous devrions observer un retour rapide et définitif à des pulsions correspondant à votre catégorie social.

Dit le Docteur Strang à la nouvelle esclave sexuelle elfe, totalement réceptive et concentrée sur sa voix.  Il regarde faire l'abomination et se délecte d'entendre Sylvanas gémir au simple contact du baume collant sur son petit orifice urinaire.

- Bien, maintenant nous allons procéder à votre isolement total, aucune autre stimulation autre que sexuelle pendant une durée indéterminée. Nous vous en ferons sortir quand la thérapie aura porté ses fruits sur votre comportement.  Infirmière, procédez...

Le regard toujours fixe, Sylvanas écoute le bon docteur et se laisse faire. Elle sent qu'on lui enlève les bouts de vêtements qu'il lui restait et qu'on lui enfile une sorte de tunique complète, faite dans une matière plastique extensible qui coupe chaque partie de sa peau de sa sensation de toucher.

On lui passe un anneau dans la bouche pour la maintenir grande ouverte, elle laisse pendre sa langue entre ses lèvres comme une chienne en chaleur. Puis on lui passe une cagoule qui épouse la forme de ses traits et la prive alors de la vue et de l' ouïe. Sylvanas passe de la lumière aux ténèbres réconfortantes et son esprit brûlé contemple le néant de son existence. Alors qu'elle se croyais tranquille, la voix du bon docteur résonne de nouveau dans sa tête par de petit écouteurs glissées au fond de ses oreilles:

- Nous allons pouvoir continuer la thérapie à loisir pendant les jours à venir sans qu'il ne soit nécessaire de nous voir, vous pourrez ainsi vous concentrer sur mes conseils pendant les longues heures où je vous entretiendrez sur votre rôle, votre identité véritable, et vos devoirs...

Totalement désemparée, la reine brisée ne peut qu'écouter en soupirant avant de hocher la tête machinalement. Satisfait, le docteur Strang fait signe à ses infirmières de raccompagner la patiente vers les cellules.

--- Aux cellules ---

Une violente décharge élèctrique traverse les murs de la cellule de Marius et le corps du colosse, une des plus brutale qu'on lui ai jamais administré depuis qu'il est enchaîné ici. Des gardent arrivent et s'assurent qu'il est bien désarçonné et incapacité avant d'ouvrir sa cellule.

Le docteur maléfique arrive alors devant les barreau, suivit par son cortège d'infirmières, poussant dans un crissement de roulette la table de travail avec laquelle il avaient enmené la Princesse terrifiée. Marius comprend alors pourquoi sa belle compagne de cellule avait si peur. Détachée et tendue sur l'acier de la civière,  repose le corps sculptural d'une jeune femme, sans doute la princesse elfe dont le corps et le visage sont désormais masqués par une tunique d'isolement.

Attention contenu explicite:

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

- Mon cher Chevalier Blanc...

Dit le docteur alors que les infirmière font entrer la table dans sa cellule et font glisser le corps de la jeune femme à quelques mètres du gladiateur.

- Vue que vous sembliez inquiet pour votre camarade de détention et soucieux de sa santé, je vous invite à participer à sa guérison.

Les infirmières ressortent et les barreau de sa cage se redressent.

- Mademoiselle Coursevent est actuellement déconnecté de ses sensations inutiles dans le but de se concentrer sur ses besoins biologiques essentiels. Elle ne vous entend pas, ne vous vois pas, ne vous sent pas, et n'a aucun moyen de savoir ou elle est et avec qui.

Le Docteur passe une sorte de clef magnétique entre les bareaux.

- Je vous offre une clef qui vous permettra d’accéder, de dévoiler et de profiter librement de son entre-cuisse et de ses seins. Je vous déconseil de tenter de lui enlever quoi que ce soit d'autre, vous provoqueriez des blessures douloureuses et irréversibles à la patiente. Si la tache ne vous convient pas et que vous ne voulez pas soulager Mademoiselle Coursevent de ses souffrances, je chargerais la garde de le faire.

Un rire de satisfaction libidineux parcours l'assemblée de brutes pendant que le docteur tourne les talons et quitte les lieux. Quelques minutes plus tard, Marius se retrouve seul avec Sylvanas...


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Prison Eternum / Re : The Cell
« le: mercredi 16 août 2017, 20:19:47 »
La voix du docteur résonne à ses oreilles et pénètre son esprit, sa voix calme et grave, son intonation étrangement rassurante lui donne envie de l'écouter. Qui peut il bien être se demande t'elle ? Comment ses mots peuvent ils l'affecter à ce point ? Ce visage humain cache t'il celui d'un seigneurs de l'effroi ? Un de ces être dont le pouvoir est de tromper et de manipuler les esprits par leur langue mielleuse et venimeuse ?
C'est une possibilité, ils avaient toujours voulu la rallier à leur cause pour affronter son créateur.

Alors que le plaisir afflux en elle, Sylvanas à soudain peur pour son esprit, pour sa stabilité mentale, elle sent que si ils continuent à la stimuler et à lui parler ainsi, elle va perdre pied et replonger dans la folie de la servitude. Elle ferme les yeux et hurle sous son bâillon dans l'espoir que la puissance de sa voix en percera le cuir et les pourfendra de sa fureur. Mais rien d'autre n'échappe de sa gorge qu'une longue plainte de supplice alors que le god imbibé d’ichor ressort lentement de sa vulve revenue à la vie.

Elle ouvre les yeux, surprise et rassurée de sentir son supplice s'arrêter, mais le spectacle auquel elle assiste entre ses deux cuisses dressées et écartés empli son cœur de dégoût et de terreur. Une des infirmières au visage déformé, dont les articulations craquent dans ses mouvements saccadés et nerveux, enfile une ceinture à laquelle elle à attachée l'étrange god couvert de sa bave noire.

A nouveau, la jeune reine se débat dans sa camisole de force et fait grincer les barreaux de la table d'opération à laquelle elle est sanglée. Elle regarde la pitoyable créature pousser ces étranges soupirs et gémissements en avançant vers elle avec cette démarche étrangement cassé et irrégulière, son sexe recouvert par le répugnant objet devenu vivant. Les yeux écarquillés par la peur, elle secoue la tête de droite à gauche tans son corps et son esprit disent "NON !" au destin qui lui est promis.

- NNNNNNN ! NNNNNN !

Continue t'elle de crier en se débattant quand la neurs démoniaque arrive entre ses jambes et lui empoigne les cuisses de ses doigts blancs comme de la craie. De si près, Sylvanas peut voir sa chaire, les détails répugnants de son corps et de son visage. Qu'es elle ? Une morte vivante ? Une démone ? Une simple femme à qui l'on à infligé innommables transformations et tortures ? Es ce ça le résultat de la "thérapie par le sexe" de ce "bon" docteur ?

- M !

Crie t'elle, au moment où le viée corrompu s'enfonce d'un coup sec en elle jusqu'à cogner la porte de son utérus. Elle cesse soudain de se débattre tans son corps se tend sous le choc et la sensation de déchirement qu'elle ressent, l'étrange créature vient de lui labourer le vagin si profondément qu'elle en à le souffle coupé. Les yeux presque exorbités par la surprise et la douleur, elle regarde, impuissante, sa belle petite vulve, fine et délicate, se faire écarter et éventrer par l'énorme tronc d'arbre palpitant.

Profitant de cet instant de flottement, où le corps de sa patiente est pétrifiée par la pénétration, le Docteur et l'autre infirmière lui posent divers capteurs sur les tempes, le front, les seins, le ventre, le torse et les cuisses. Derrière lui, un moniteur se met à afficher divers tracés le renseignant sur l'état de Sylvanas pendant que plusieurs scanners lui révèlent en temps réel l'intérieur du corps et de la tête de celle-ci.

- Fascinant… Vos tétons se tendent, votre respiration s’approfondit, votre rythme cardiaque s’accélère… Les morts peuvent donc ressentir du plaisir. Autant dire que je vais adorer vous initier vraiment au sexe, Madame Sylvanas. Ce sera votre traitement, votre guérison pour pouvoir mener une vie normale, et vous faire oublier tous vos délires, comme quoi vous seriez une Reine, et toutes ces choses fantaisistes. Vous n’êtes rien de plus qu’un esprit tourmenté que je vais guérir comme il se doit… Car tel est mon rôle.

Désemparée par la douleur de l'empalement, cherchant un quelconque moyen de réconfort, la jeune femme se met à boire les paroles du docteurs, si son esprit et son intelligence comprennent parfaitement qu'il ne faut pas écouter les mensonges qu'il dit, son subconscient torturé et aux abois s'épanche sur sa voix décontractante.

En consultant le moniteur, Strang découvre toute les subtilité du corps de l'elfe plantureuse. Il comprend alors qu'il ne s'agit pas vraiment d'une morte vivante au sens propre du terme. Elle a visiblement été tuée, mais ses fonctions vitales ont été réactivées immédiatement après par une magie puissante qui a préservé toutes ses terminaisons nerveuses. En revanche, le corps de la jeune femme est désormais affranchie des nécessite vitales. Elle n'a plus besoin de manger, boire ou dormir pour survivre, mais en ressent néanmoins le besoin. Les actes, même sexuels qui tueraient normalement un être vivant, ne la tuerait pas, mais elle sentirait toutefois tout leurs effets. A cette conclusions, d’innombrables idées de traitements naissent dans l'esprit du Docteur. Que ne peut il pas faire à quelqu'un qui ne peut pas mourir mais ressent tout ce qu'on lui fait ?

* Soupirs et borborygmes de neurs*

- M !

Perdu dans ses plans et ses nouvelles idées de torture, Strang avait presque oublié ce qui était en train de ce passer à coté du moniteur de contrôle. Toute à sa délectation, la tête de l'infirmière tremble et vibre au point d'en devenir flou alors qu'elle sort du corps de Sylvanas d'un coup sec, créant chez la prisonnière une nouvelle sensation de déchirement, d'écorchement intérieur.

Elle pousse à nouveau ses bruits étranges en donnant un nouveau coup de rein rapide et sec entre les jambes de la belle. A nouveau, Sylvanas pousse un cris de douleur pure en se regardant lentement détruire le sexe.

Le docteur fronce les sourcils, cela ne fonctionne pas. La douleur seule ne brisera pas l'esprit de la prisonnière, elle est bien trop familiarisée à cette sensation. Pour la vaincre et la soigner, il doit parvenir à lui faire perdre l'esprit en mêlant souffrance et orgasme, pour que sa raison chavire.

- Infirmière. Nous allons trop vite, elle n'est pas encore prête à apprécier votre brutalité, il faut la préparer à vous recevoir.

Dit il en faisant signe à la neurs au god ceinture de s'éloigner. Quand elle ressort, Sylvanas pousse un long soupir de soulagement et se détend un petit peu pour reprendre son souffle.  Le docteur se tourne alors vers l'autre infirmière.

- Apportez moi de la résine chirurgicale ainsi qu'une sonde urinaire.

A ces mots, Sylvanas revient à elle et regarde le médecin d'un air interrogateur et accusateur. Pendant ce temps la, la servante maléfique rapproche une sorte d'étrange tube de colle avec une longue pipette et une petite sonde en plastique.

- Voyez vous Mademoiselle Coursevent, le clitoris est un organe complexe et fabuleux. Contrairement à ce que pense une grande majorité de personnes, il ne se compose pas que de la petite pointe de chaire que vous voyez dépasser de vos lèvres. Il entoure en fait vos muscles vaginaux, descend vers votre anus et remonte le long de votre vessie. C'est pour cela que les orgasmes sont toujours si étranges et fort quand vous faite l'amour la vessie pleine.

Dit il calmement, les mains croisés dans le dos pendant qu'il fait le tour de la table pour venir se camper à son tour entre les jambes de la prisonnière qui à recommencée à se débattre. Une fois accroupie devant elle, l'infirmière prend le petit tube en plastique, soulève sa coute jupe, et le lubrifie en soupirant, sur son étrange vulve, elle aussi déformée et malsaine.

Elle lui tans l'objet devenu noir à son tour et écarte les lèvres martirisées de la belle banshee pour cherche le minuscule petit trou de son urètre. Quand il le trouve, il presse d'abord doucement le bout conique de la sonde contre le diaphragme pour le lubrifier et le sensibiliser.

- MM ?! Nnnnn... nnn...

Gémit Sylvanas, surprise de sentir ses sensations sexuelles se réveiller elles aussi à cet endroit là.

- Détendez vous Mademoiselle Coursevent, prenez une grande inspiration et tout ira bien, tentez de compter jusqu'à dix...

Terrorisée, la belle petite elfe ligoté se raccroche à la voix réconfortante du docteur et commence à compter machinalement...

Un... deux...

- MMM !

Hurle t'elle en sursautant alors qu'elle sent l'objet forcer son petit muscle urinaire et remonter le long de son canal. Morte des années plus tôt, elle n'avais jamais plus eu besoin de se soulager, et lentement, il s'était soudé. La petite tête en plastique, lubrifié de ce produit qui reveille ses nerfs se fraye lentement un passage dans ce tuyau abandonné avant de franchir finalement la porte de sa vessie. Sylvanas sent son extrémité frotter les parois contractés de cet organe abandonné.

- Bien nous sommes à l'intérieur. Je suis très fier de vous ma chère, c'est un premier pas vers votre guérison, après cette étape, le plaisir vous viendra plus... naturellement... non... plus souvent, je dirais même très fréquemment. Infirmière ? Vous pouvez y aller...

Il s'écarte et Sylvanas voit la neurs étrange et maléfique se dresser devant elle. Sous ses yeux horrifiée, elle la voit prendre l'extrémité qui dépasse de son sexe entre ses doigts étrangement manucurés, et l'enfoncer dans sa propre vulve en poussant de nouveaux soupirs.

- nn...

Gémit de nouveau l'elfe en recommençant à agiter la tête de droite à gauche...

- NNNNNNN !!

Hurle t'elle soudain en bondissant entre ses liens alors qu'un flot d'ichor noir commence à déferler dans le tuyau qui relit son ventre, au sexe impie de la créature. Elle se débat comme une diablesse mais ne parvient pas à se libérer, et en quelques secondes, elle commence à sentir le liquide chaud et gluant emplir sa cavité. Sans surprise, sa chaire, corrompue par la substance étrange qui coule de ces femmes maudites lui fait de nouveau ressentir ses sensations, ses désirs, et ses besoin d'être vivant.

- Bien, c'est très bien ma chère... continuez...

Dit le docteur en passant une main sous l'uniforme de la neurs pour lui ploter les seins. Comme stimulée par ce contact, la créature s'agite et pousse ses petits cris étrange, Sylvanas sent que le liquide s'écoule de plus en plus vite elle et commence à la remplir. En quelques instants, elle ressent de nouveau l'envie d'uriner, mais le calvaire ne s'arrête pas la.

- Mmmmm ! MMMM !

Gémit elle en direction des deux soignants maléfiques en plein ébat, mais ceux ci semble ne pas s’intéresser à elle, et sa vessie continue de grossir, une bosse commence à se former en dessous de son nombril, les yeux grands ouvert, elle le regarde gonfler encore et encore.

Elle gonfle jusqu'à ce que Sylvanas ai l'impression que sa vessie va littéralement éclater, prisonier et sous pression, l'ichor remonte vers ses reins et les enflamme pour créer de nouvelles envie de sexe chez la Reine noire. Mais pire que tout, à ce stade de gonflement, elle comprend ce que le docteur lui disait, elle sent son clitoris comprimé de toute pare, qui se met à hurler de désir, comme si l'orgasme pouvait la délivrer...

- C'est bon, ça suffira.

Dit finalement Strang en voyant la belle bosse que Sylvanas arbore maintenant entre son nombril et son aine. L'infirmière se retire, le docteur tire délicatement sur le tuyau qui commence à sortir de la vaissie pleine à craquer de sa prisonnière. Quand la petite tête commence à serpenter dans son tuyau, il prend le tube de résine et le branche sur la pipette.

- Vous avez atteint un niveau de gonflement et de sensation sexuelle qui tuerais n importe quelle femme normale, mais vous n'êtes techniquement plus vivante, vous ne pouvez donc pas mourir. De ce fait, il n'y a aucune contre-indication médicale à vous laisser comme ça, aussi longtemps que nécessaire...

Et sur ces mots il commence à sceller l'urètre de sa patiente avec cette puissante colle chirurgicale, qui colabe et fusionne avec sa chaire pour former un ciment imperméable. Une fois terminé, le petit muscle urinaire se referme sur le petit bouchon grisâtre qui disparaît entre les plis rose de son sexe.
Sylvanas est au supplice, elle à envie de pisser, ou de mourir, mais ne peut pas, son coeur s'emballe tellement qu'elle en respire aussi fort qu'un animal, ignorant à quel point cela la rend plus désirable encore. Totalement prostrée, elle regarde la bosse énorme qui orne désormais ses hanches.

- Bien, nous allons pouvoir reprendre Infirmière. Mademoiselle Coursevent, je sais que vous trouvez ce traitement difficile mais croyez moi, vous allez en apprécier les effets d'ici quelques instants.

Il lève un doigt sous les yeux de la prisonnière, et le presse délibérément juste au dessus de son pubis, là ou sa peau est si dilaté qu'elle en parait plus claire.

- MMM !!!

Hurle L'elfe en bondissant sur son siège alors que sa vulve toute entière se couvre de sueur. La douleur et l'excitation sont si intenses qu'elle à en a presque eu une syncope, son esprit à chaviré le temps de ce contact, avant de reprendre ses droits une fois le doigt enlevé.

- Bien, vous voyez ? maintenant imaginez ce que vous allez ressentir en étant de nouveau pénétrée comme tout à l'heure... Infirmière ? Donnez lui son traitement...

D'un geste sec, la neurs maléfique redresse le phalus sur ses hanches en tirant sur la sangle de son god-ceinture. Avant d'approcher de nouveau entre ses cuisses de sa démarche saccadée





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Prison Eternum / Re : The Cell
« le: vendredi 11 août 2017, 12:43:39 »
- Calmez-vous ! Si je dois vous protéger, je ne vous tuerais pas ! Restez calme ! J’ignore pourquoi ils reviennent, c’est très inhabituel...

- Vous ne comprenez pas ! Il le faudra... il le faudra... non...

S’interrompt t'elle en voyant l’ascenseur s'ouvrir et les deux étranges infirmières pousser une table chirurgicale couvertes de sangles de maintien.

- N... Non ! N'avancez pas ! Restez où vous êtes !

Cris t'elle en reculant en rampant au fond de sa cellule capitonnée. Le crissement de ses liens de cuir laissent deviner aux spectateurs toute la force qu'elle utilise vainement pour détacher ses bras de son dos.

- Ah, vous voilà ! J’espère que vous vous plaisez au sein de notre établissement, Madame Coursevent.

- Je suis la Reine Banshee Sylvanas Coursevent mysérable cloporte et tu vas Aggll !

Hurle t'elle alors qu'un courant électrique traverse collier de chienne. Elle se tortille quelques instants sur le sol avant de s'immobiliser contre le mur du fond, adossée, les jambes écartés. La violence de ses convulsions à fait jaillir un de ses seins de sa fine armure de cuir déchiqueté.

Le hurlement du gladiateur la fait revenir à elle.

- Laissez le en dehors de ça ! il n'a rien à voir la dedans !

Le docteur ignore purement et simplement la jeune femme et dit:

- Vous devez être son chevalier servant, vous... Pour votre information, je suis... Son psychiatre.

"Son psychiatre !?" Se dit elle en le regardant, tans surprise qu'effrayée, se demandant ce qu'il va bien pouvoir lui faire.

- Docteur Hugo Strange. Je sens que vous et moi allons passer d’excellents moments, Madame Sylvanas...

La prisonnière en frissonne d'avance. Elle connait ce genre de sous entendu graveleux mais se doute que cette table d'opération n'est pas la pour rien et qu'il sous entend bien plus qu'un simple viol...

Les deux infirmière s'approchent de sa cellule et en ouvrent les barreaux, Rachele se pelotonne dans un coin, ses pieds glissant sur le rembourrage.

- Non ! Ne... n'approchez pas ! Si vous approchez je vous tue !

Elle prend une grande inspiration s'apprête à pousser le plus puissant hurlement de banshee qu'elle ai jamais fait. Le Docteur la regarde en souriant.

- Oui... bien entendu... le hurlement mortel de la banshee... faite donc cela... tuez moi... tuez mes infirmières... et au passage vous tuerez aussi votre chevalier blanc...

Sylvanas recrache l'air accumulé dans ses poumons et ferme la bouche, surprise de la logique et de l'ingéniosité du Docteur. Il a raison, si elle pousse ce hurlement, tout les êtres vivants qui l'entendront mourrons, et curieusement, elle ne veux pas tuer son étrange voisin de cellule.

Elle regarde alors les deux femmes au visage déformé ouvrir sa cage et y entrer avec leur table. Elles l'encadrent de chaque côté et la soulèvent pour l'installer dessus.

- Nan...

Elles lui attachent d'abord les jambes, puis lui détache les bras, l'un après l'autre, s'assurant ainsi de toujours avoir plus de force que la jeune Reine le temps de les lui sangler le long du corps. Une fois parfaitement bien sanglée à la table, elle commencent à la déshabiller entièrement. Sylvanas rougit et pousse un petit cris de refus.

- Non ! Vous n'avez pas le droit je Agll MMMM ! mmmm ! mmmm...

L'une d'entre elle vient de lui ouvrir la bouche et de lui enfoncer un bâillon plug qui emplie sa bouche toute entière.

- Bien, ainsi vous ne serez pas tenté d'utiliser votre vilain cris en attendant que nous nous débarrassions du problème.

La belle elfe en est réduite à gémir et à s’étouffer d'horreur en voyant son corps sculptural se dévoiler pièce après pièce au regard de tous. A chaque fois qu'un bout d'armure lui est enlevé, une petite électrode stimulante la remplace, la belle se met alors à transpirer et à gémir, le corps agité de petits soubresauts.

Attention contenu explicite
(Pas de piercing au tétons pour Sylvanas)
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

C'est ainsi que Marius voit pour la première fois la Reine entièrement nue et vulnérable. Quand la table d'opération ou elle est sanglée passe devant lui, elle lui lance un regard empli de terreur.

- Excusez moi cher Monsieur, nous allons de voir vous laisser seul pour quelques heures. Rassurez vous nous ramènerons votre voisine de cellule dès que nous aurons commencé sa thérapie de choc, elle n'en sera que plus avenante après vous verrez.

Ils entraînent la jeune elfe à la peau bleuté dans les salles d'opération privée réservées à leurs cellules. En tendant l'oreille depuis sa prison, une ouïe bien exercée peut entendre ce qui s'y passe.

Le docteur enfile de longs gants blancs de travail. Avant de passer le pas de la porte, il se retourne et dit à Marius.

- Surprenant vous ne trouvez pas ? Qu'elle ai préféré vous épargner plutôt que de me tuer... d'une certaine manière, on peut dire qu'elle s'est sacrifiée pour vous sauver la vie ?

Sur ces mots il entre et laisse volontairement la porte entre-ouverte pour qu'une partie du bruit filtre toujours vers les cellules.

- Bien Madame Coursevant il semblerait que vous souffriez de délire de persécution, de mégalomanie, de paranoïa et de frigidité. Heureusement nous disposons ici de tout le matériel nécessaire pour vous libérer de vos souffrances.

Autour de la table, les infirmières disposent toute sortes d'objets sexuels,  d'intervention chirurgicale ou gynécologique. Diverses seringues et flacons emplis de diverses substances, ainsi que d'étranges objets qui ressemblent à des runes magiques ou des cristaux de diverses couleurs.

- Au cours de nos séances nous feront taire cette vilaine petite voix dans votre tête qui vous fait voir des ennemis partout. Nous vous aiderons à accepter votre véritable nature et votre statut d'esclave sexuelle. Entre mes mains vous deviendrez une nymphomane heureuse et accomplie. Infirmière ?
 Veillez mettre notre invité à l'aise pendant que je me prépare.


Le Docteur commence à rassembler sur son établi les objets qu'il compte utiliser. L'infirmière à laquelle il s'est adressé pousse un glapissement étrange et incompréhensible suivi d'un soupir de satisfaction. Sous le regard médusé de Sylvanas, elle s empare d'un god en bois long et épais et le monte vers sa "bouche", ou plutôt l'étrange trou qui se forme entre ses chaires déformées pour engloutir l"objet.

Gémissant et soupirant de cette manière toujours étrange et sensuelle, l'infirmière démoniaque fait de long va et viens dans son orifice pour le couvrir d'un étrange fluide noir, gluant et cireux comme de la cyprine. Les yeux de la banshee s'écarquillent d'effroi en voyant la fibre du bois du god commencer à se boursoufler en buvant l'étrange liquide. Sa teinte vire en un beige "peau" et se couvre de plaques de diverses couleurs répugnantes à mesure que l'objet grossi et se met à palpiter comme un énorme verre de terre, un parasite.

Satisfaite, l'infirmière le tans à Sylvanas et le présente sous ses yeux pour qu'elle puisse bien admirer son travail.

Attention contenu explicite:
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
[/spoiler]

La belle prisonnière se tortille entre ses liens. Elle toise l'objet avec horreur et dégoût en gémissant des "non" de plus en plus fort à mesure que l'infirmière laisse glisser la "chose" le long de son corps, vers ses cuisses.

- Nnnnn... nnnnn... NNNNNN !!!

L'infirmière vient de placer le god parasite juste à l'entrée de ses lèvres, Sylvanas gémit si fort que même Marius depuis sa cellule peut l'entendre distinctement. Elle sent sa texture poisseuse salir l'entrée de sa délicate petite vulve qui n'a pas connu le plaisir depuis qu'elle c'est libérée et est devenue Reine.

Elle le fait jouer un petit peu à l'entrée jusqu'à ce que Sylvanas sente avec dégoût la cyprine noire et suppurante du bâton commencer à imbiber sa propre chatte et réveiller en elle un désir sexuel révoltant et répugnant. L'infirmière glapie à nouveau et soupire de plaisir en commençant à le lui enfoncer. La chaire affamée de son vagin se met à boire l'étrange substance, ses lèvres se mettent à gonfler et se couvrir de petites veines tans le sang afflu vers ses organes de plaisir. Horrifiée, elle sent même son petit clitoris se réveiller et pointer vers la surface.

Partagée entre plaisir, dégoût et souffrance, les gémissements de Sylvanas deviennent plus profond et féminins. Ils enflent en intensité jusqu'à ce que son voisin de cellule puisse tous les entendre filtrer derrière la porte.

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Prison Eternum / Re : The Cell
« le: dimanche 06 août 2017, 19:03:47 »
Sylvanas écoute le mastodonte ashnardien lui parler du travail à la mine, elle dodeline lentement de la tête de droite à gauche en un "non" silencieux pour lui faire clairement comprendre que ce n'est pas ce que ceux qui l'on enfermé ici comptent lui faire.

Les sorciers des Trois Couronnes qui l'on capturé ainsi que l'administrateur de la prison savent parfaitement qui elle est et de quoi elle est capable. En une seule nuit, elle est parvenue a envahir un région toute entière des terres sauvages. Lui libérer les mains pour la faire travailler à la pioche dans les profondeurs de la mine serait déjà du suicide, car elle pourrait s'en servir pour formuler et dessiner runes et incantations. Tout les cadavres alors éparpillés dans les galeries, dans les charniers, et dans la morgue de la prison Eternium se relèveraient alors pour libérer leur Reine. Ce qu'elle crain en revanche, c'est que les tortionnaires de l'endroit disposent de moyen de saper et détruire la volonté nécessaire à ces actions...

En réalité, Sylvanas est déjà surprise de ne pas avoir été baillonnée. Son simple cris de Banshee étant capable de tuer presque toute créature vivante pourvue de l'ouïe. Sans compter que la langue libre, il ne lui manque plus que ses mains pour lancer un sort. Mais elle comprend vite la raison de ceci en devinant l'épaisseur des murs de sa prison. Hurler maintenant ne ferait que tuer son imposant voisin de cellule et cela serait fort dommage au vue de son utilité.

Quand il lui raconte son propre récit et lui parle des gardes qui l'attendaient pour lui faire payer sa fuite, elle s'agite et tire nerveuse à nouveau sur les liens qui ligotent ses poignets dans son dos. Mais ne parvient qu'a se donner plus en spectacle dans un crissement de cuir et un tintement de chaines.

- Vous croyez qu'ils vont attendre que je tente de m'enfuir avant de me faire ça ?!

Crit elle derrière les barreaux de sa cage. Énervée de voir que le gladiateur ne comprend toujours pas pourquoi une femme aussi belle qu'elle a été emmenée ici et entravée de cette façon. Ce n'est certainement pas simplement pour faire des trous dans le sol...

Mais le colosse Ashnardien reste imperturbable et continue son récit jusqu'au moment où il lui propose son marché...

Au moment où le mot "baiser" quitte ses lèvres, Sylvanas ouvre des yeux ronds comme des soucoupes, totalement désarçonnée par cette demande. Depuis qu'elle a été assassinée puis relevée, personne ne lui a jamais fait comprendre qu'elle pouvait être belle ou attirante. A ses yeux, cela faisait jusqu'à maintenant partie des joies du passé et des souvenirs. Depuis sa capture dans les foret de Silvermoon, ses relations intimes et sentimentales s'étaient résumées à de violentes bataille de soumission et de domination qu'elle perdait tout le temps, à des violes incessants et douloureux, à des rituels de magie rose dans le seul but de lui voler son apparence de guerrière pour lui donner celle d'une bimbo, d'une pute...

Et voila qu'un homme, un incroyable représentant de cette gente mâle et puissante qui plus est, la ramène en deux mots à sa nature profonde, à son type, à son sexe. Pendant quelques secondes, Sylvanas redevient la belle jeune femme qu'elle était avant la III ème guerre. Forte à la guerre mais sensible par le coeur. Elle détourne le regard et rougit légèrement, ce qui ramène de la couleur sur son visage bleuté et pâle et fait disparaître ses cernes ainsi que la lueur inquiétante dans ses yeux.

- A... Arrêtez de vous moquer de moi... Vos plaisanteries ne me touchent pas...

Ment-elle maladroitement. Un grincement lointain se fait entendre, Sylvanas reconnait le bruit de l’ascenseur qui descend vers leur prison. La descente est longue, très longue, mais la belle prisonnière sait que leur temps lui est désormais compté... ils viennent pour elle... et elle a peur.

- Ecoutez !

Dit elle en se traînant contre les barreaux de la porte de sa cage pour fixer son voisin de cellule de ses yeux terrifiés.

- D'accord, je vous accorderais votre baiser, je vous libérerais, je vous donnerais tout ce que vous voudrez mais promettez moi de m'aider, même si je ne peu plus vous le demander... Je... je ne sais pas ce qu'ils vont me faire... je ne sais pas dans quel état je serais ensuite... Mais par pitié, aidez moi... et... si vous voyez que je ne suis plus... plus là... si il vous reste un soupçon d'humanité, alors tuez moi...

Le grincement se rapproche lentement de leur niveau. Combien de temps leur reste t'il pour parler ? Dix minutes ? Vingt ? Trente ? La Banshee l'ignore, mais à mesure que le temps passe, sa nervosité et sa peur deviennent de plus en plus palpable alors qu'elle imagine tout les supplices qu'ils ont pu échafauder pour la soumettre.

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Prison Eternum / Re : The Cell
« le: mardi 01 août 2017, 19:11:00 »
-Quoi ? Déjà ? Je suis si repoussant que ça ?

Les yeux de Sylvanas se plissent en de fines fentes d'ou perle une lueur malveillante. De toute évidence, et malgré le regard qu'elle à jeté à son physique avantageux, elle ne semble pas prête à échanger des plaisanteries.

-Vous, les elfes, vous ne savez pas rire. C’est un fait, c’est vrai. J’ai été avec bien des elfes, j’en ai jamais vu un seul rire, parole d’homme !

Marius voit poindre sur le visage de Sylvanas un sourire triste et fade, celui d'un esprit nostalgique qui se plonge dans un passé heureux et lointain. Oui, la belle se souvient avoir rit, il y a tans d'années, avec ses sœurs et son petit frère, au milieux des merveilleuses forêts d'or et d'argent du domaine Windrunner.

-Mais, Princesse, je suis au regret de vous apporter de mauvaises nouvelles. Ici, à Eternum, il ne suffit pas de claquer des doigts pour sortir. 

Le regard de la belle ne change pas, à ceci près que le gladiateur peut y voir poindre une étincelle de détresse et de peur. Mais que peut-elle bien redouter de pire qu'être emprisonnée ici ? Pourrait on se demander...

La réponse est pourtant simple, il n'y a qu'à voir sa beauté angélique et mystérieuse, ses formes généreuses, ses courbes athlétiques et sculpturales pour deviner qu'elle est l'objet de nombreuses convoitises. Ajouter à cela son sang royal, son orgueil de guerrière et le privilège qu'il peut y avoir à posséder un tel trophée, et il devient évident que nombre de Seigneurs de Terra et d’ailler doivent vouloir profiter de ses charmes et « l'exposer » dans leur vitrine.

Enfermée derrière ces barreaux de titane, à genoux et les bras reliés l'un à l'autre dans le dos pour exposer sa poitrine, elle ressemble à un merveilleux plat de résistance attendant que les puissants de ce monde viennent s'en repaître.

-Il y a forcement un moyen... par les dieux je dois trouver un moyen...

Murmure t'elle le visage baissé pour cacher son désarroi et ses craintes.

-La Prison Eternum est le nec plus ultra de Terra en matière carcérale. C’est un véritable puits. Tout en bas, il y a des mines qui s’enfoncent dans les profondeurs. C’est le seul moyen de sortir d’ici... Mais personne n’a jamais réussi à sortir de l’autre côté. Les mines donnent lieu à un profond labyrinthe piégé et rempli de monstres. Il n’est d’ailleurs pas rare que nous, simples prisonniers, dussions fuir dans les cellules quand il y a des invasions de monstres nécrophages. 

Quand Marius commence à faire son exposé, la Reine Banshee passe du précipice aux abysses du désespoirs, parfois ramenée à flot par une étincelle, une infime lueur, une chance d'en réchapper.

-Les mines ? Pourquoi pas ? Au pire, je me ferais tuer et dévorer par une de ces créatures... ce sera toujours mieux que ce qui m'arrivera si je reste ici...

Murmure t'elle. Mais le gladiateur reprend et douche un peu plus son espoir.

-On se dit tous qu’on va y arriver, nous... Qu’on va trouver la sortie. Alors, je ne sais pas... Peut-être que certains la trouvent vraiment... Mais, à chaque fois, les gardes ramènent leurs cadavres. Enfin, les gardes... Plutôt des tueurs cybernétiques meurtriers, qui, lors de leurs patrouilles dans les galeries souterraines, abattent à vue les fuyards, ou récupèrent ce qu’il reste de leurs cadavres. Certains ont tenté de fuir en contournant les dispositifs de sécurité, pour fuir par le haut, plutôt que de se perdre dans les labyrinthes, au milieu de graveirs, noctules, fosses piégées, couloirs empoisonnés, et tueurs robotiques... Mais eux aussi n’ont pas réussi. 

Sylvanas fait doucement « non » de la tête. Passer par au dessus n'est pas la solution pour elle. Car elle sait très bien que l'administrateur de la prison fera tout pour la capturer sans la tuer, et vue le dispositif que lui décrit le prisonnier, il y parviendra sans peine...

-Et, honnêtement, j’ai pas vu depuis des années un aussi joli minois que le vôtre, alors... J’voudrais pas que vous fassiez une connerie dès que vous serez libres. Ou alors... Pas avant que je n’arrive à vous faire rire. Et quelque chose me dit que je vais avoir du mal à vous arracher un sourire.

La belle à la peau bleuté redresse la tête et assassine de nouveau son voisin de cellule du regard. Comment peut il se montrer aussi désinvolte avec elle ? Ne comprend t'il pas ce qu'elle risque ? Son propre esprit de mâle, déjà captivée par sa beauté, ne s'imagine t'il pas tout ce qu'il pourrait lui faire si il disposait de la clef de sa cellule ?

-Comment pouvez vous vous intéresser à ma beauté ou au fait de me faire rire quand vous et moi sommes enchaînes comme des bêtes dans ce trou ? Ils vous torturent, je l'ai entendu, mais ce n'est rien à côté de ce qu'ils vont me faire quand...

Sylvanas ravale sa salive et ferme les yeux pour chasser les images horribles de ce que le Roi Liche lui à fait avant et après sa mort.

-Ecoutez... Je me moque du danger que ça représente, il faut absolument que vous m'aidiez. S'il vous plais, indiquez moi comment atteindre les mines, ou au moins dans quelles régions elles débouchent que j'y envoi des éclaireurs.

Elle garde le mystère sur le « comment » elle compte donner cet ordre. Elle se remet sur ses tibias pour s'approcher de la porte de sa cage, sa poitrine rebondit légèrement à chaque fois qu'elle met un genou devant l'autre.

-Si je parvient à m'échapper je trouverais un moyen de me vous récompenser. Mais vous n'avez pas idée des monstres qui me veulent, ni du sort qu'ils me réservent, je préfère mourir en tentant ma chance dans les mines plutôt que de tomber entre leurs mains !

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Prison Eternum / Re : The Cell
« le: mercredi 19 juillet 2017, 13:02:49 »
-Qu’est-ce qui vous fait dire que je suis fier de mes cicatrices, Princesse, au juste ? 

A l'instant où le puissant gladiateur la surnomme "Princesse", Sylvanas redresse la tête et le fusille du regard. L'orgueil et la fierté elfique de la jeune femme transpire de tout les ports de sa peau, Marius ne peut que s'en rendre compte et réaliser qu'il a fait mouche avec son saubriquet.

Si elle n'étais ainsi arnachée de sangles et de menottes, elle se dresserait sur ses grands chevaux pour lui imposer le respect qui lui est due. Au lieu de cela, elle ouvrir la bouche dans le but de lui asséner une répartie cruelle avant d'exiger qu'il la nome par son véritable titre...

Mais les mots ne sortent pas. Car une fois de plus elle réalise le ridicule de vouloir se faire appeller Reine quand on est ligotée comme une pute au fin fond d'un bordel sordide.

Le mastodonte reprend de plus belle et la prive des quelques secondes de paroles qu'il lui falait pour se défendre. Il lui montre alors chaque sillon qui scarifie sa chaire et lui explique la valeur qu'il leur porte.

-Elles sont des souvenirs Je me souviens des circonstances de chacune des batailles que j’ai menés, et qui conduit à porter ces cicatrices. Alors, je ne sais pas si on peut en être fiers ou pas... Les filles adorent [...]

Sylvanas ne peut lui donner tors sur ce fait, quand bien même il parait sexiste et réducteur. Car force est de constater que le spectacle de son corps musclé et couvert d'anciennes blessures de guerre attise le désir charnelle de la prisonnière. Mais elle refuse de lui donner la satisfaction d'avoir raison et garde cet aveux pour elle, même si son regard ne trompe pas le gladiateur. Pendant de longues secondes, elle laisse glisser langoureusement ses yeux sur chaque crevasse et sur chaque courbe de sa musculature.

-je l’ai acquise en me montrant trop hardi en repoussant des rebelles. Une lance a entaillé mon armure, et a atteint ma chair. Un ou deux centimètres au-dessus, et ça me perçait le cœur. C’est une leçon que j’en ai tiré... Toujours protéger son cœur. [...]

A l’évocation de son organe palpitant, Sylvanas baisse à nouveau le regard et ferme les yeux, comme si Marius venait de la gifler dédaigneusement et que ce coup l'avait plus atteinte moralement que physiquement.

Elle se recroqueville un peu plus sur elle-même et serre les cuisses et les genoux devant sa poitrine pour tenter de dissimuler encore plus la seule cicatrice que son corps de rêve arbore. Mais le regard du gladiateur est acéré, exercé, perçant. Il est habitué à s'ajuster à la pénombre perpétuelle de sa cellule comme au vif éclat de l’arène. Il remarque cette trace mauve et sombre, juste sous le sein gauche de Sylvanas, précisément à l'endroit du coeur...

-Je n'aime pas les cicatrices...

Murmure Sylvanas, le regard perdu dans le vague, visiblement en proie à de douloureux souvenirs. Il est facile de comprendre qu'elle ne parle pas de celles qu'elle admirait quelques instants à peine sur le corps de son compagnon d'infortune, mais bien des siennes.

La Reine Banshee prend une grande inspiration et chasse le souvenir abominable de ce froid glacial, qui s'imissait en elle, centimètres après centimètres, alors que son bourreau enfoncé lentement sa lame runique dans sa poitrine pour lui percer le coeur.

Le mastodonte se redresse dans sa cellule, sortant Sylvanas des cauchemars de son passé tans sa stature l'impressionne maintenant qu'il est debout.

-Je m’appelle Marius, Princesse. J’étais un valeureux guerrier ashnardien quand toute ma famille a été massacrée par un clan rival... Et, comme il fallait un con pour porter le chapeau, c’est tombé sur moi. J’ignore combien de temps je suis ici, dans cette prison... On ne voit même plus le soleil. C’est notre horloge biologique qui, les premiers mois, nous dit quand on approche de la nuit, mais, ici, ce sont eux qui gèrent le cycle de sommeil, en coupant le courant quand ils veulent. 

Ainsi donc, il s'appel Marius. Son rôle avant d'atterrir ici ne la surprend pas en revanche au vue de sa puissance. A la façon dont il aborde la mort de ses proches, il semble avoir surmonté le traumatisme en s'armant de sa force et de sa fureur, en cela, la Reine banshee réalise qu'ils se ressemble beaucoup.

A l’évocation des responsables de la prisons et des geôliers, à ce "eux" maudit, elle frémit de nouveau, se demandant à nouveau pourquoi ils l'ont mise ici et pour quoi faire.

-Malheureusement, Princesse, je veux pas être le porteur de mauvaises nouvelles, mais... Vous et moi, on risque de passer un long moment ensemble. Cet endroit ne s’appelle pas Prison Eternum pour rien. En revanche, vous avez dû faire pousser des furoncles au cul d’individus puissants, parce que, pour vous retrouver direct au trou dès votre premier jour... Y a forcément un type qui vous aime pas.

Le franc parler du guerrier fait sourire timidement l'elfe qui tente toujours tans bien que mal de se draper dans sa dignité. Visiblement, il est enfermé ici depuis plus longtemps qu'il ne le crois, car le monde à évolué dans les Terres Sauvages depuis quelques années. Il n'a pas entendu parler de son invasion depuis un autre plan d’existence, ni du Royaume qu'elle à volé à un grand roi sorcier.

Il n'a pas encore entendu parler de la Reine Banshee, de ses pouvoirs nécrotiques et de son armée de morts-vivants. Ici, les prisonniers sont coupés de tout, quelque soit leur puissance personnelle, et c'est surement pour cela qu'elle a été enfermée au plus profond de la Prison Eternium.

A moins que ce ne soit pour de plus obscures raisons encore...

-Vous avez un ex’ en pétard contre vous, beauté fatale, c’est ça ?

"Ex en pétard" , "beauté fatale", Sylvanas frissonne à nouveau aux mots du gladiateur. Celui-ci semble avoir un esprit bien plus vivace qu'elle ne l'aurait crue et fait mouche à chaque coup. Un ex ? Elle en aurait le souvenir. Mais des hommes de pouvoirs obsédés par sa beauté et par son sexe, oui, et ils sont innombrables, pervers et puissants. Qu'il s'agisse du monstre qui l'a tuée puis relevée, des seigneurs démons dont elle a refusé le joug, des Seigneurs et des Reines des Royaumes qu'elle a attaqué... nombreux sont ceux qui pourraient profiter de son état actuelle... peut être même ont ils organisés sont enlèvement ? Peut être même ont il été mis au courant ? Peut être sont il déjà en chemin ?

Sylvanas se redresse sur ses genoux et avance vers les barreaux de sa cage en marchand sur ses tibias. La peur est si forte qu'elle ne réalise même pas ho combien le spectacle de son corps à moitié nu se tortillant entre ses liens pour se rapprocher ainsi est excitant.

- Je dois absolument m'enfuir... il le faut ! Des gens vont se mettre à ma recherche, il ne faut pas qu'ils sachent où je suis et que je suis vulnérable ! Il doit bien exister un moyen de s'enfuir !

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Prison Eternum / Re : The Cell
« le: lundi 17 juillet 2017, 20:13:54 »
Encore sous le choc du mauvais traitement qu'elle à reçu, Sylvanas dodeline de la tête et gémit faiblement en tentant de se redresser. Elle entend une voix résonner sur contre l'acier de sa cellule, qui es ce ? Sans doute le puissant mastodonte qu'elle à entre aperçu dans la geole en face d'elle avant que ces brutes ne la frappe et ne l'enferme ici...

Alors que ses forces lui reviennent, elle lance un regard vers les barreaux de sa cage et contemple enfin la puissance primale et virile du "Suicider". Ses yeux sont aussi ténébreux du dur que les traits de son visage , d'aussi près, elle à l'impression que son regard lui brûle la peau.

Soudain, la Reine banshee réalise dans quel posture elle se trouve et le spectacle qu'elle offre sans le vouloir au prisonnier. Elle est assise contre le mur de sa cellule, à genoux, les jambes écartés et les mollets comprimés sous ses cuisses. Ses bras, toujours liés dans son dos par les puissantes menottes magiques, la force à ouvrir ses épaules et à bomber le torse. Cela met en valeur sa superbe poitrine dont l'armure de cuir, déformée par les coups du geolier, laisse presque apparaître un de ses tétons tout en offrant au gladiateur un superbe aperçu de l'auréole plus sombre qui l'entoure.

-Ho !

Soupire t'elle en retenant un cris de stupeur. Elle ferme les jambes, ramène les genoux contre son ventre et se met de côté dans l'espoir de se cacher le plus possible. Dans cette position, elle ressemble plus à une  jeune damoiselle en détresse qu'à la puissante reine guerrière qu'elle est. C'est le triste pouvoir dont dispose les prisons et les billots, celui de rendre misérable ce qui était magnifique et grandiose.

De honte, elle baisse la tête, sa peau s'assombrit sous ses yeux rouge pâle, ce qui lui donne un petit côté séduisant et fragile. Elle se taire alors dans le mutisme pendant de longues minutes, préférant ignorer ce  prisonnier de bas étage qui ne doit être au final qu'une brute de plus dans cet enfer d'acier.

Petit à petit, un silence insupportable s'installe, et l'esprit fiévreux de l'elfe commence à se poser des questions qui étirent le temps et le supplice de l'attente.

Combien de temps vais je rester ici ? Y a t'il une échappatoire ? Que vont ils me faire ?

Autant de questions qui torturent la conscience de la banshee de chaire et de sang jusqu'à ce qu'elle perde patience. Comme les vagues d'une mer noire et saumâtre, les souvenir de son dernier emprisonnement remontent du puits sans fond de sa mémoire. Elle se revoit enchaînée de la même manière, forcée de se tenir à genou devant son ennemi juré. Puis, ce sont les souvenir de ce qu'il lui a fait qui surgissent...

Elle doit parler ! Penser à autre chose ! Pour ne pas repenser aux horreurs du passé, pour ne pas s'imaginer ce que ses nouveaux tortionnaires lui préparent.

-Je... Je m'appele Sylvanas, Sylvanas Coursevent et je viens de Terra...

Il n'a pas besoin de connaitre les détails. Et de son propre aveux, il serait ridicule de revenir sur son statut de Reine alors qu'elle se trouve enchaînée comme une esclave, un collier au cou à croupir dans une cellule. Ici, en cette instant, elle n'est plus rien...

-J'ai été faite prisonnière par une confrérie de Sorciers des Trois Royaumes pour se venger de la guerre que j'ai mené contre leur peuple, il y a quelques années de cela...

Elle se tais à nouveau, puis reprend.

-Et vous... Qui êtes vous ? Pourquoi êtes vous ici ? Que signifient ces cicatrices dont vous êtes si fier ?

Dit elle en tentant de cacher maladroitement sa propre cicatrice avec ses genoux. Celle que lui à laissé Frostmourn entre les seins alors qu'Arthas l'empalait lentement avec.

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Le coin du chalant / Re : Nous sommes les Réprouvés...
« le: samedi 15 juillet 2017, 11:50:47 »
Bonjour frère Elfe et merci d'avoir répondu à mes propositions de RP :)

Alors pour la trame 6 est un récit guerrier, plutôt orienté action/aventure et batailles dans lequel ton personnage va devoir m'affronter directement ou indirectement.

La Trame 10 est une trame plutôt action/infiltration et hentai mais elle n'est pas très raccord à la trame 6 car plusieurs années se sont écoulées entre les deux. En revanche on peu faire une Trame 10 où Guilgamesh, suite à la bataille de la Trame 6, va suivre l'armée du Fléau jusqu'à son repaire pour libérer Sylvanas du Fléau. (en gros la Trame 10 mais placée quelques années plus tôt où on remplace Ticondrius par Arthas)

Je te propose qu'on discute de la suite par MP.

M.A.J.

TRAME 8: "Un Champion pour la Reine Banshee" prise par The Suicider

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Prison Eternum / The Cell
« le: mercredi 12 juillet 2017, 22:50:41 »

C'est une triste nuit comme les autres pour les pensionnaires du quartier de Haute sécurité de la sinistre prison Etenrum. Profondément enchâssée dans les ténèbres de la terre, seul une lueur rouge ou blanche permet de connaitre le défilement des jours et des nuits qui rapprochent inexorablement chacun d'eux du tombeau. Enterrés ici pour y pourrir lentement, la plupart ne s'inquiètent même plus de leur mort prochaine, comment faire la différence entre un  trou ou un autre, quand on ne vit déjà plus comme être vivant...

Ici, rare sont ceux à connaitre autre chose que les murs froids et glacés de leur cellules. Rare sont ceux à voir autre chose que le minuscule petit morceau de couloir, d'à peine un mètre de largeur qui séparent leurs barreau de geoles de ceux des autres. Ici, il n'existe aucune intimité. Repartis en îlots de deux cellules qui se font face, les larges épieux de fer qui servent de porte permettent de voir l'autre prisonnier dans la moindre de ses actions, qu'il dorme, mange ou défèque dans le trou d'évacuation aseptisé qui lui sert de toilettes.

Au plus profond de cette désolation au murs d'acier poli par le passage du temps, ou résonne les hurlements de désespoir et de folie de ses occupants, il existe une porte. Derrière elle, se trouve une autre porte, plus grosse, plus massive que toute les autres, un véritable mur de métal amovible, dressé la pour tenir enfermé les plus dangereux guerriers de Terra et d’ailleurs.

Derrière Cette Porte, il n'y a que deux cellules...
Comme les autres elles se font face, mais c'est tout ce qu'elles ont en communs. Car leurs murs sont plus épais, leurs barreaux plus larges, leur vue plus ouvertes sur les salles de torture et d'interrogatoire aménagées tout autour pour permettre au personnel du complexe de jouir de la discrétion des lieux... et de l' impunité totale qu'elle procure...

Depuis des années, il n'y a qu'un seul prisonnier ici. Paradoxalement, c'est un de ceux qui sort le plus souvent de sa cellule et pourtant, on continue de le laisser derrières ces murs inviolables, par sécurité, pour ne pas relâcher ne serais ce qu'il maillon de la chaîne du Loup, de peur que sa fuite n’entraîne un véritable Ragnarok.

Mais alors qu'il profite du silence éternel de sa retraite souterraine, le puissant guerrier voit sa quiétude troublée par un événement surprenant, presque incroyable. Car il n'est pas l'heure du repas, il n'a aucun combat de prévu à l'Arène ce soir, et pourtant La Porte s'ouvre...


Deux puissantes guerriers en armure Terranide escorte une elfe à la peau bleue et au regard rouge pâle (plus pâle que sur l'image). Sa beauté est époustouflante, ses formes, excitantes et à la fois mises en valeur et dissimulées par son armure de ranger.

Ses poignets sont écrasés par deux énormes maillons qui lui servent de menottes, leur taille et leur brutalité contraste de manière énigmatique avec l'apparence frêle et délicate de la jeune femme. Un collier électrique orné d'un anneau lui enserre le cou comme pour de nombreux autres prisonniers dangereux.

Arrivée devant sa cellule, on la fait se tourner face à celle du gladiateur, dos à sa propre porte. Sans la moindre raison ou semonce, l'un des deux mastodontes lui donne un violent coup de poing dans l'estomac, la belle tombe à genoux en réprimant un gémissement par pure fierté. Les geôliers se penchent alors sur ses bras et un cliquetis de chaîne se fait entendre. Chacun d'eux récupère une menotte et tire sur un bras pour l'obligée à se tenir ainsi, en crucifixion, assise sur ses tibias douloureux. C'est ainsi que la belle prisonnière croise pour la première fois le regard de son futur champion.


Une voix résonne dans l'interphone de sa cellule.

-Sylvanas Coursevent, Reine Banshee du Royaume de Néo-Undercity. Pour vos crimes envers le Nexus et les Trois Royaumes: crime de guerre, nécromancie, enlèvement, séquestration et torture, vous avez été condamnée à la prison à perpétuité.

Les deux molosses en armures lui attachent alors les menottes dans le dos, ouvrent sa cellule et l'y jettent comme si elle était un simple sac de toile. A nouveau, la jeune femme réprime un petit cris de surprise et de douleur alors qu'elle vole au travers de la pièce, percute le mur et glisse lentement vers le sol.

Furieuse, elle essai maladroitement de se relever sans ses mains, liées dans son dos, l'un des deux geôlier s'approche d'elle pour corriger son impudence. Elle pousse alors un hurlement d'une puissance inouïe, un hurlement qui fait vibrer les barreaux et les murs des cellules, un hurlement qui vrille les oreilles et le coeur du gladiateur enfermé au point qu'il crois qu'il va exploser.

Le garde lui donne alors une violente gifle en plein visage, elle gémit et percute à nouveau le mur du fond.

-Sale petite pute de banshee... ta connerie de hurlement mortel ça marche pas sur les Crônn...

Il la prend par le collier et la soulève à hauteur de son visage, sa langue énorme et pateuse sort d'une embouchure de son casque et vient lécher la petite goute de sang qui coule du nez de la belle.

-Dehors t'était quelqu'un... mais ici... t'es qu'une pute...

Il lui crache au visage et la lache pour la cueuillir à nouveau d'un coup de poing dans le ventre. Sylvanas s'effondre à nouveau aux pieds de son tortionnaire. Celui-ci prend une petite télécommande de sa poche et appui sur un bouton rouge à son sommet.

-Gnnnnnnglll...

Gémit la prisonnière en se tortillant de douleur par terre. Il garde son doigt sur l'objet pendant de longues secondes, jusqu'à ce que la jeune femme commence à baver une écume mousseuse. Puis il arrête et sort de la cellule, referme les barreaux, et s'en va avec son camarade, abandonnant Sylvanas dans sa cellule, effondrée et perclus de douleur, face à celle du Gladiateur qui n'a rien manqué de toute cela.

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Les contrées du Chaos / Re : Néo-Undercity
« le: mardi 11 juillet 2017, 19:40:34 »
L'attente a été longue mais sa proie c'est enfin montré. Et avec quel festin de chaire se présente t'elle sur un royaume qu'elle crois encore à elle...

Depuis sa sale de scrutation Sylvanas regarde avancer l'immense cortège de citoyens avec un sourire narquois et pervers. Hommes et femmes marchent vers son piège en toute insouciance, sans s'imaginer une seconde que chaque centimètre carré de la terre putride qu'il foule est désormais vivante et vorace, peuplé d'une armée plus grande et plus innommable encore...

Elle les observe de si près qu'elle pourrait presque les toucher, elle les regarde marcher, parler, tenir leurs armes. Ils ont été bien formés, ça ne fait aucun doute... mais ce ne sont pas des guerriers. Leur apprentissage des armes est académique et de qualité... mais il n'en ont jamais vraiment fait usage.
Leur courage et leur patriotisme est exemplaire... mais... plus que tout... il ne connaissent pas l'indicible terreur que la Reine Banshee sait instiller dans le coeur de ses victimes...

Quand le cortège arrive aux abord de la cité antique et que l'armée tout entière se trouve désormais dans la forêt corrompue par les énergies du Puit, les pieds embourbés dans le sol gras et vivant des Réprouvés, le Roi qui les mène au combat remarque le "petit cadeau" qu'elle à laissé pour lui.

Mise là pour mourir, l'abomination ne se doute pas une seule seconde que Sylvanas l'utilise comme cobaye pour observer les réactions de l'armée du souverain face aux morts vivants les plus répugnants.
Et elle n'est pas déçu. Si les militaires de carrière et les nobles formés à la "Vraie" Guerre" ne se laissent pas impressionner, le gros du contingent composé de citoyen frémit d'horreur et de dégoût en la voyant, certains reculent même de quelques pas avant de se raviser... ce qui augure du meilleur pour la suite...

Plongée dans sa boule de cristal, la Reine Banshee écoute deviser le Roi et ses suivants et s'amuse de leurs conclusions hâtives. Visiblement, ce monde ne connait pas les extraordinaires aptitudes de la magie noire du Fléau. Ces corps assemblés, qu'ils croient mort depuis quelques jours, le sont en fait depuis des années ! Figé dans le temps par la puissance nécrotique du Roi Liche et de Sylvanas. Elle même relevée quelques instants après sa mort, n'a jamais été atteinte par la malédiction de la chaire et garde même le parfum qu'elle portait au moment de mourir.

Le souverain lève alors le bras vers le monstre et révèle à son ennemi qu'il est un Roi Sorcier, la plus puissante caste de Seigneurs de la terre. Mais Dame Coursevent ne s'en inquiète pas outre mesure et se contente d’analyser la vitesse à laquelle fuse le sort de Selenos et l'effet qu'il à sur la chaire morte de son loyal serviteur.

-Je suis le Roi Serenos Sombrechant. Vous vous êtes installés sur ces terres, vous avez tué et capturé mes gens. Ceci est votre seule chance de diplomatie. Qui que soit votre dirigeant, je suis disposé à le rencontrer pour négocier votre reddition et votre départ. Autrement, si vous préférez la manière forte...

Ce que Sylvanas voit alors pétrifie son cœur de terreur. Le Roi Sorcier est un nécromancien ! En d'autres termes, si il est suffisamment puissant, il peu se servir de sa magie pour la contrôler comme le ferait le Roi Liche en personne...

-Je retournerai chaque carcasse de cette foutue tombe contre vous.

La Reine prend quelques instants pour réfléchir et ce calmer, de toute façon, elle ne peut plus fuir, quoi qu'il arrive, elle va devoir se mettre en danger. L'avantage, c'est qu'il ne peut pas retourner sa propre armée contre elle temps qu'elle en a le contrôle direct. L’inconvénient, c'est que si il est suffisamment puissant et qu'il se concentre sur elle, il peu la forcer à lui obéir.

L'espace d'une seconde, Sylvanas se retrouve perdue dans un souvenir horrible et douloureux, elle se revoit à l'époque ou elle n'était devenue qu'une petite chienne esclave du Fléau, totalement subjuguée par Arthas, totalement nue, un collier au cou, et massant amoureusement la queue d'un de ses invités pour mieux l'aider à la violer...

Elle plisse les yeux et se prend la tête entre les mains pour chasser ces images horribles de sa tête. Intérieurement, elle se jure que cela n'arrivera plus. Elle se contre à nouveau sur l'image du Roi contrôlant l'abomination et réajuste ses vêtements sur son opulente poitrine.

"Après tout, il ne sait surement pas qu'il peu me contrôler avec ses pouvoirs de nécromancie..."

Se dit elle pour se rassurer.

"Et puis, même si Lui peut me contrôler..."

Elle lève son bras exactement comme le fait le Roi, en direction de l'image de l'abomination squelettique.

Moi... je peu toujours contrôler les autres !"

Elle canalise alors toute sa puissance nécrotique et la focalise sur la monstruosité calcinée. Serenos sent son lien avec la créature se briser violemment et l'espace d'une fraction de seconde, le visage de Sylvanas apparaît dans son esprit, leurs âmes viennent de se croiser. Quelques instants plus tard, l'abomination se retourne lentement vers le Roi et recommence à avancer vers lui pour le tuer, ses yeux se mettent alors à briller d'une lueur rouge: une conscience habite son corps ravagé, et ce n'est pas la sienne.

La Reine Banshee mise tout sur le bluff pour que le roi ne pense pas à utiliser ses pouvoirs sur elle directement et décide de faire une démonstration de force.

Juste avant que l'abomination ne se jette sur la première ligne de défense du Roi, Sylvanas ferme la main, et la bête vole en éclat putrides qui tombent en une puie de sang sur l'armée de Serenos.

Elle laisse la terreur se rependre lentement dans les rangs ennemis avant de quitter enfin sa salle de scrutation pour rejoindre les geôles des esclaves. Là, elle prend une petite laisse en cuir et ouvre une grande cage à ses pieds dans laquelle l'attend une de ses anciennes ennemis: Sonia, la petite neko mage-guerre si fidèle à son Roi...

Attention contenu explicite:

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Pendant ses quatre long mois d'attente, La reine Banshee s'est "occupée" avec ses prisonnières et plus particulièrement celle-ci, leur chef, si rebelle et si forte, qu'elle à mutilée et transformée en animal de compagnie totalement stupide et servile. Elle lui passe une laisse au collier et commence à descendre les longs escaliers de la flèche ancestrale.

Elle passe seule le vieux portail en fer forgé et marche, flanquée de sa "chatte" en laisse au devant de l'armée du Roi.

- Salutations HÔ Seigneur Serenos, Roi et souverain incontesté des Trois Royaumes ! Soit le bienvenue sur le territoire de la Reine Banshee.

Elle dissimule sa crainte de se faire contrôler par magie par son arrogance et espère que le spectacle de sa fidèle servante ainsi transformée déstabilisera suffisamment le Roi pour lui faire oublier ce qu'il peut lui faire. Elle s'approche de la Ligne de défense du souverain, là où ses serviteurs ont dressé une lourde tente de négociation, et y entre sans attendre d'y être invité. Elle se tient droite et debout derrière son siège, attend que le Roi y entre, et lui fait signe de s'installer pour bien lui faire comprendre que c'est elle qui l'invite à cette table et pas l'inverse.

- Vos... arguments, méritent... considération... mais... Il me semble que vos conditions... son inacceptables. Mais je suis sure que nous allons trouver un terrain d'entente qui nous sera mutuellement profitable et qui permettra à vos officiers, qui sont mes prisonnières de guerre de retrouver leur foyer en vie... N'est ce pas Sonia ?

Sylvanas enlève alors à la petite chatte son masque en latex et révèle au Roi ce qu'elle à fait à cette pauvre jeune femme mutilé.

La belle neko à son insigne de Commandante épinglé sur le téton droit. Elle se contente de miauler comme une bête stupide, privée de la parole et de ses pensées humaines, elle n'est plus qu'une animale, un jouet sexuel. Un filet de salive coulant au coin des lèvres, elle regarde celle qui la transformée ainsi avec amour et dévotion.


-Ce serait vraiment dommage que les autres subissent le même sort...

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Les contrées du Chaos / Re : Néo-Undercity
« le: dimanche 02 juillet 2017, 23:33:40 »
Comme une réponse à ses préparatif guerriers, une gigantesque colonne d'énergie maléfique teinté de pourpre et de mauve déchire le ciel du Royaume de l'Ouest dans un vacarme assourdissant. S'élevant des anciennes ruines, le faisceau est si puissant qu'il illumine tout les royaumes environnants et jette sur la capitale du Roi une lueur fantomatique et lugubre.

Quelque soit la force qui s'est emparée de l'ancien royaume, elle a vraisemblablement découverte et réveillée en quelques jours ce que les érudits de la cours avaient jusqu'ici passé leur vie à chercher. Tous autour de Serenos, ses courtisans, ses "amis" si tans est qu'un homme aussi puissant que lui puisse en avoir, sa famille, regardent l’horizon lointain en se blottissant les uns contre les autres, prostré et terrifiés.

Les anciennes légendes du Royaume Perdu, les contes terrifiants qui se racontaient au coin du feu pour faire peur aux enfants, les histoires cauchemardesques du fanal d'Archeron guidant la Mort et son vaisseau vers la Terre Maudite.. tout... tout était vrai...

--- Quelques jours plus tôt ---

Il y avait de la brume ce jour la, beaucoup de brume, une nappe épaisse et poisseuse qui collait aux vêtements, qui cachait la vue, qui brouillait les sens et attisait les imaginations superstitieuses.

Il n'y avait eu aucune sommation, aucune déclaration de guerre, aucun bruit avant coureur...

L'attaque avait été si soudaine que même Sonia n'avait pas eu le temps de comprendre ce qu'il se passait avant que la mort ne commence à faucher au hasard. Ça avait été si rapide, si brutale, que les corps de ses amis n'avaient pas eu le temps de refroidir avant qu'ils ne commencent à se relever sous ses yeux horrifiés.

Chef d'escadron des Mages de Bataille de l'armée dépêchée pour surveiller l'Ancien Royaume, elle n'avait dûe qu'a son expérience et ses sens surdevellopés de Neko (femme chat) de survivre aux premiers instants de la bataille... non, du massacre qui avait suivit.

Deux milles âmes s'étaient éteintes ce jour là, dans la peur, dans l'horreur, dans la boue. Attendant désespérément un ordre de retraite qui n'était jamais venu, le Hérault aillant préféré l'orgueil à la raison. Quand les derniers groupes de mages et d'officiers avaient été encerclé et s'étaient préparé pour un dernier carré héroïque, Sonia s'était jointe à eux dans l'espoir de mourir dignement. Elle avait regardé fuit le couard qui les avait tous condamnés à mort avec dégoût, au moins parviendrait il peut être à prévenir le Roi à temps...

Puis l'armée des morts avait marché sur eux dans un silence glaçant et prémonitoire.
Les flèches avaient commencés à pleuvoir, leur têtes noires avaient percé leurs boucliers, leurs barrières magiques, leurs armures et le plus noble des sang s'était joint à celui des roturiers et des simples soldats.

Quand la pluie d'acier corrompu avait cessé, Sonia avait r'ouvert les yeux, à sa grande surprise, elle n'avait pas été touché, ni même égratignée. Autour d'elle, ses soeurs de bataille, indemnes regardait le carnage qui venait de se produire, toisant les corps déchiquetés de leurs frères. A leur grande stupéfaction, elles réalisèrent que n'avait été épargnées que les femmes...

Mais avant de pouvoir s'en réjouir ou s'en inquiéter, les corps des dernières victimes de la bataille s'étaient relevées à leur tour pour les empoigner. La dernière chose qu'avait vue Sonia alors avait été l'image de ses femmes officiers et de ses propres magiciennes capturées et enlevées.


Puis la paume d'une main s'était écrasée sur sa joue, la plongeant dans les ténèbres de l'inconscience.

Combien de temps avait elle dormi ? Quelques minutes ? Quelques heures ? Elle ne le savait pas, sa tête tournait et elle avait du mal à faire le point tans l'endroit dans lequel elle se trouvait était chargé d'énergie magique, de mana pure. Elle en était presque ivre. Dans un endroit pareil, elle aurait pu invoquer des pouvoirs dépassant ses rêves les plus fous, si seulement elle n'avait pas eu les mains attachés dans le dos, les pousses liés ensemble pour l’empêcher d'accomplir une quelconque gestuelle magique.

Avec horreur, elle avait réalisé qu'elle était totalement nue, sanglée à genou au plus profond d'une geole oubliée de l'ancien royaume. Elle se doutait de la raison pour laquelle elle avait été épargnée elle, la cheffe des mages ainsi que les autres officiers. Ce qu'elle comprenait moins c'était pourquoi n'avoir épargné que les femmes. Mais après tout, elle s'en moquait, elle était prête, elle acceptait son sort en véritable mage-guerre et était prête à mourir sous la torture pour garder les secrêts de son Roi bien aimé.

Pour se donner du courage, elle s'était remémore les rares fois ou elle a eu la chance de le voir et même de lui parler. A la cours, à la remise de son  diplôme de magie, à l’obtention de son grade de Cheffe d'escadron. Elle avait été la première Neko à atteindre ce titre et elle en était tellement fière. Oui, elle se savait prête à mourir pour lui et pour son pays.

La porte de sa geole s'était finalement ouverte et une grande silhouette féminine s'était  détachée de la pénombre.

-C'est inutile, je ne dirais rien, et vous serez forcés de me tuer. Alors inutile de me parler, fermez la et faite nous gagner du temps...

Avait elle lancé faiblement, se cramponnant à son courage. Un rire pernicieux lui avait alors répondu, la faisant frissonner de peur. Une voix suave et séduisante lui avait alors répondu.

-Je ne suis pas venu ici pour te parler esclave...

Pas après pas, la tortionnaire s'était alors peu à peu révélée à la lueur des torches, arrachant finalement un cris de terreur à la magicienne. Car la femme en face d'elle avait des yeux fendus et colorés, de petites ailes de chauve sourit et une queue entourée autour de ses cuisses nues. Sa peau était rougeâtre et son corps disposait d'attribut féminins surdéveloppés

-Nan... nan !

Avait alors commencé gémir la jeune femme en se dandinant entre ses liens pendant que la succube s'approchait d'elle.

-Nan... pitié ! Arrière démone, ne me touche pas...

Avait elle soufflé encore alors que la créature des abysses s'accroupissait juste derrière elle pour être à sa hauteur et carresser sa chevelure et ses oreilles de neko de ses mains baladeuses.

Après s'être délectée pendant de longues minutes de sa terreur, la succube avait alors ouvert grand la bouche pour libérer une longue langue coupée en deux comme celle d'un serpent.

-Tu es prête à prendre ton pied ma belle ?

Avait elle dit à Sonia en lui tirant ses petites oreilles de chat en arrière.

-NAN !

Hurla t'elle une dernière fois en sentant la langue chaude et gluante de la démone s'enfoncer dans ses oreilles.


--- Aujourd'hui ---

Sylvanas exulte, les secrêts cachés dans ces ruines depuis des temps immémoriaux dépassent de loin ses rêves les plus fous. Elle s'était attendue à trouver un artefact puissant, une arme, un jouet des dieux peut être au vue de l'énergie incommensurable qui suinte de ces pierres décrépites.

Quelle avait été sa surprise alors, de découvrir que la plus profonde salle de cette Atlantide rocheuse était en fait un Puis d’éternité, une source de magie inépuisable et modelable à l'envie. Grace aux pouvoirs de cette source de création, elle allait pouvoir modeler ce royaume en fonction de ses envies, de ses rêves de grandeur et en faire une nation invincible pour ses Réprouvés.

Elle avait d’ailleurs commencé tout de suite. S'emparant d'une dague sacrificielle, elle avait r'ouverte la blessure que Frostmourn lui avait faite et avait laissé son sang corrompu imprégner les eaux du Puis. Instantanément, une vague d'énergie avait traversé les pierres de la flèche jusqu'à son sommet dans un éclatement de lumière qui avait illuminé le ciel des Trois Royaumes. Rapidement, la mana imprégnant ces terres avait muté pour prendre la couleur rouge du sang et la flétrissure s'était rependue depuis les Ruines sur les Terres Anciennes du Royaume Oublié. Désormais, même la terre et ses créatures rampantes, les forêts et ses animaux sauvages et les champs empoisonnés servaient la Reine Banshee...

Une fois la corruption achevée, elle avait caché sa blessure pour ne pas que ses ennemis voient sa faille. La blessure rouverte était comme un trou béant dans sa volonté et la rendait très vulnérable psychiquement, elle devait le cacher à tout prix en attendant de cicatriser.

Sachant pertinament que le Monarque des Royaumes voisins ne tarderait à pas répondre à son invasion, Sylvanas sonne dans sa conque et ordonne à toute ses forces de s'ensevelir dans la terre grace et meuble de son nouveau royaume. De s'enfoncer au plus profond des catacombes de la nouvelle Undercity, en attendant le moment de révéler la toute puissance des Réprouvés à son adversaire.

Une fois obéie et tranquille, elle décide de profiter des derniers jours qu'il lui reste à attendre pour en apprendre plus sur le Roi qui règne ici. D'un pas léger bien que douloureux à cause de sa blessure, elle descend les escalier vers les geôles où l'attend une de ses prisonnières et la succube invoquée par ses meilleurs démonistes. Depuis le temps qu'elles étaient ensemble, elle devait avoir obtenu des résultats...

-Gueu... Trois mille Maitresse... des hommes... mmm... des mâles... di... gh... dirigé par le... gé...gé ?... général Pasek ?

La voix de Sonia est pateuse et sa diction difficile tans elle bave en parlant. Sylvanas entre dans la geôle et regarde ce qu'il reste de la courageuse et intelligente petite magicienne.

La belle neko n'est plus que l'ombre d'elle-même. Le corps couvert de sueur, elle baigne à genou dans une mare de cyprine, le sexe gonflé de désir alors que la succube continue de la torturer du bout des doigts, s’immiscent sournoisement dans sa vulve, lui massant le clitoris pour la faire jouir encore et encore pendant qu'elle lui viole le cerveau avec sa langue.


La démone à lentement sucée sa volonté, sa personnalité, ses rêves, ses peurs et ses pensées pour n'épargner que ses instincts primaires et ses désirs sexuels. Dépossédée d'elle-même, la petite esclave néko ouvre ses souvenirs à la démone et lui dévoile un à un tout les secrets militaires qu'elle connait.

-Gneuuu... gneu Roi... grand magicien... connait... té.. téléportation... et tout... Meu... Maitresse...

Elle verse quelques larmes de désespoir en sentant les appendices de la succube lui sucer l' intelligence dont elle était si fier. A mesure que son QI décroit elle à de plus en plus de mal à parler. La reine Banshee regarde faire la démone sans jamais intervenir, jouissant du spectacle de cette courageuse petite guerrière sombrant lentement dans l’imbécillité et la servitude. Elle prend note de tout ce qu'elle révèle sur son Roi bien aimé et frissonne en apprenant que celui-ci connait la nécromancie. Si il devait découvrir sa faiblesse... il pourrait réussir à s'emparer de sa volonté exactement comme la succube était en train de le faire avec la Neko.

-Mou ?

Le miaulement de la prisonnière sort Sylvanas de ses réflexions, la jeune femme ligoté à enfin cessée de se débattre. La démone retire délicatement sa langue de sa tête et se tourne vers la Reine Banshee.

-C'est fait... ce n'est plus qu'une petite chatte en chaleur maintenant...

Dit enfin la démone en libérant l'esclave de ses liens. Celle-ci se contente de se lécher le dos des mains et de nettoyer sa chevelure avec.

-Bien, je sais ce que je voulais savoir, merci Betzalbeth. Tu lui mettre un collier et la sortir en laisse, je l'offrirais à mes chevaliers de la mort, cela fait longtemps qu'ils n'ont pas pris un peu de plaisir...

-Et pour le Roi Serenos ?

-Je pense qu'il sera ravi de voir que sa Cheffe d'Escadron est toujours en vie quand il viendra nous rendre visite...

Ajoute Sylvanas en quittant les lieux pour préparer l'arrivée de son invité de marque à Néo-Undercity.

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Oké désolée, en tout cas merci pour la validation. Et au plaisir de vous lire.

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Les contrées du Chaos / Néo-Undercity
« le: samedi 01 juillet 2017, 21:45:46 »
La Reine Banshee sent sa volonté s'écouler par la profonde entaille que vient de lui faire l'épée du Traître sous le sein droit, déchirant son armure côtelé et révélant la peau diaphane et bleuté de sa poitrine.

Déjà la voix du Roi Liche s’immisce dans ses pensées et commence à obscurcir son jugement. Elle ressent l'envie de le suivre, l'envie de se prosterner devant lui, d'obéir à tout ses caprices, de se laisser prendre de nouveau par...

-NON !

Hurle t'elle au visage casqué de sa Némésis alors qu'elle encoche une nouvelle flèche et le foudroie d'un trait en plein visage. Comme un mirage, son ennemi disparaît dans un écran de fumé. Elle l'a vaincu... encore... mais ici... dans le Nexus... la bataille ne s’arrête jamais... et le temps joue pour l'ennemi. Dans quelques heures, Arthas va revenir pour l'affronter encore, pour la blesser encore, jusqu'à ce qu'elle n'ai plus de volonté, jusqu'à ce qu'elle se prosterne de nouveau à ses pieds.

Le cœur lourd, l'orgueil blessé, la haine au ventre, Sylvanas toise le champ de bataille redevenu silencieux. Elle se tourne vers ses armées, encore puissantes et farouches, bien que moins nombreuses qu'à l'arrivée. Elle ferme les yeux, une larme de désespoir roule sur sa joue pour se transformer en un cristal glacé. Et d'un geste théâtral elle brandit sa conque et souffle la retraite.

Alimenté par la puissance combinée de tout ses mages, nécromanciens et chevaliers de la mort, un gigantesque portail s'ouvre et déchire la réalité.
De l'autre coté, les Réprouvés aperçoivent leur planche de salut. De gigantesques flèches en ruine, d'une pierre noire et suintante de mana apparaissent derrière le trou dimensionnel. Sans hésiter une seule seconde, ils passent. Pendant plusieurs heures, les troupes innombrables de Sylvanas s'engouffrent dans la brèche jusqu'à ce que la dernière goule et le dernier geyst ai franchit le passage. Quand le Roi Liche revient enfin, il trouve un champ de bataille vide, uniquement peuplé de questions. Dans un cris de rage il frappe Frostmourn sur le sol. La magie de l'épée se repend dans l'air et dessine les contours du portail qui s'est refermé. Il le regarde quelques instants, puis se fend d'un sourire sournois avant de quitter les lieux... sa vengeance pouvait attendre, ils savait désormais ou chercher... sur Terra...

--- Un nouveau Royaume ---

Cours du Roi Serenos Sombrechant, quelques semaines plus tard.

Un homme épuisé se précipite vers la salle d'audience, ses vêtements sont en aillons, du sang macule ses mains et son visage, de la boue couvre ses chausses preuve de ses longues heures de galop à cheval. Pourtant les gardes le laissent passer avec une lueur de peur dans le regard. Car l'homme en question n'est autre que le Hérault du Roi, un serviteur chargé de porter sa parole dans tous les royaumes vassault, et le voir dans cet état ne signifie qu'une chose: quelque chose de terrible s'est produit... et quelque chose de terrible va se produire.

-Mon Seigneur ! Mon Seigneur ! Je... Je demande audience ! Je demande audience tout de suite !

Hurle t'il en interrompant le conseil en plein débat.

-Mon Seigneur... Mon seigneur... le Royaume en ruine... le... l'ancien royaume mon seigneur... nous... nous l'avons perdu...

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C'était du second degré ^^ je voulais dire par là que je serai ravie de l'entendre crier entre mes doigts :)

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